Le juge Garzon voulait juger Mohamed VI

Le juge Garzon voulait conduire le roi Mohamed VI aux tribunaux internationaux pour sa façon de traiter les sahraouis. Le ministre de la Justice Caamaño lui a prévenu que son intégrité procédurale est en danger


Les campements de réfugiés de Tindouf se trouvent dans le coin occidental de l’Algérie. Ce sont des campements de réfugiés du Sahara Occidental qui fuient le mauvais traitement du régime marocain de Mohamed VI. Un mauvais traitement certainement royal (1). C’était le dernier objectif du juge Garzon : mettre en accusation le Roi du Maroc, Mohamed VI, comme responsable de la persécution.


Mais, à ce moment-là, intervint un des grands défenseurs du super-juge : le titulaire de Justice, Francisco Caamaño, il lui a fait savoir que son intégrité procédurale est en danger, maintenant entourée par trois sommaires, et où seul le soutien effronté de l’Exécutif et du Ministère public dont elle dépendant a empêché qu’il soit suspendu de ses fonctions avec un caractère préventif, parce qu’il avait trois affaires admises.


Pourtant, l’idée de juger le dictateur Mohamed VI n’est pas du tout mauvaise.

Miriam Prat

miriam@hispanidad.com

(1) En espagnol, le mot « real » équivaut à réel et royal. 

Source : Hispanidad.com



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