ONU- Maroc : Rabat sous pression sans le soutien de Paris

Selon des obsevateurs et analystes qui suivent de près le dossier du Sahara Occidental, le déplacement du roi du Maroc et son séjours à la ville d’El Aaiun est arrivé comme réaction aux pressions subies par Rabat de la part de la communauté internationale en vue de résoudre le conflit du Sahara Occidental, un contentieux qui dure depuis 40 ans.
La visite du monarque marocain au Sahara Occidental a été accompagnée de manifestations devant le siège de la mission onusienne au Sahara Occidental, la MINURSO. Plus surprenante encore, les déclarations du Ministre marocain des Affaires étrangères lors de cette visite royale. 
Selon Salah Mezouar, le Maroc interdira toute visite de l’Envoyé Spécial de l’ONU, Christopher Ross, au Sahara Occidental. Selon le responsible marocain, Ross devra se contenter de rencontrer les responsables marocains à Rabat et il est personne non grata dans le territoire de l’ancienne colonie espagnole.
La réaction de l’ONU ne s’est pas fait espérer. “Ross a le droit de se rendre au Sahara Occidental et cette question ne doit même pas se poser”, a affirmé le porte-parole du SG de l’organisation des Nations Unies, Martin Nesirky. 
Hier, selon des propos rapportés par l’agence EFE, le président du Conseil de Sécurité a renouvelé le soutien du Conseil à Ross.
“Nous réiterons notre plein soutien au processus de l’ONU au Sahara Occidental et au travail de l’Envoyé Personnel du SG, Monsieur Ross”, a déclaré aux journalistes l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft.
Il semble que l’ONU est décidé à mettre fin au conflit du Sahara Occidental qui menace sa crédibilité. Sa décision semble être renforcée par le soutien de Paris à la memdiation de Ross.

ONU- Maroc : Rabat sous pression sans le soutien de Paris

Selon des obsevateurs et analystes qui suivent de près le dossier du Sahara Occidental, le déplacement du roi du Maroc et son séjours à la ville d’El Aaiun est arrivé comme réaction aux pressions subies par Rabat de la part de la communauté internationale en vue de résoudre le conflit du Sahara Occidental, un contentieux qui dure depuis 40 ans.
La visite du monarque marocain au Sahara Occidental a été accompagnée de manifestations devant le siège de la mission onusienne au Sahara Occidental, la MINURSO. Plus surprenante encore, les déclarations du Ministre marocain des Affaires étrangères lors de cette visite royale. 
Selon Salah Mezouar, le Maroc interdira toute visite de l’Envoyé Spécial de l’ONU, Christopher Ross, au Sahara Occidental. Selon le responsible marocain, Ross devra se contenter de rencontrer les responsables marocains à Rabat et il est personne non grata dans le territoire de l’ancienne colonie espagnole.
La réaction de l’ONU ne s’est pas fait espérer. “Ross a le droit de se rendre au Sahara Occidental et cette question ne doit même pas se poser”, a affirmé le porte-parole du SG de l’organisation des Nations Unies, Martin Nesirky. 
Hier, selon des propos rapportés par l’agence EFE, le président du Conseil de Sécurité a renouvelé le soutien du Conseil à Ross.
“Nous réiterons notre plein soutien au processus de l’ONU au Sahara Occidental et au travail de l’Envoyé Personnel du SG, Monsieur Ross”, a déclaré aux journalistes l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft.
Il semble que l’ONU est décidé à mettre fin au conflit du Sahara Occidental qui menace sa crédibilité. Sa décision semble être renforcée par le soutien de Paris à la memdiation de Ross.

ONU- Maroc : Rabat sous pression sans le soutien de Paris

Selon des obsevateurs et analystes qui suivent de près le dossier du Sahara Occidental, le déplacement du roi du Maroc et son séjours à la ville d’El Aaiun est arrivé comme réaction aux pressions subies par Rabat de la part de la communauté internationale en vue de résoudre le conflit du Sahara Occidental, un contentieux qui dure depuis 40 ans.
La visite du monarque marocain au Sahara Occidental a été accompagnée de manifestations devant le siège de la mission onusienne au Sahara Occidental, la MINURSO. Plus surprenante encore, les déclarations du Ministre marocain des Affaires étrangères lors de cette visite royale. 
Selon Salah Mezouar, le Maroc interdira toute visite de l’Envoyé Spécial de l’ONU, Christopher Ross, au Sahara Occidental. Selon le responsible marocain, Ross devra se contenter de rencontrer les responsables marocains à Rabat et il est personne non grata dans le territoire de l’ancienne colonie espagnole.
La réaction de l’ONU ne s’est pas fait espérer. “Ross a le droit de se rendre au Sahara Occidental et cette question ne doit même pas se poser”, a affirmé le porte-parole du SG de l’organisation des Nations Unies, Martin Nesirky. 
Hier, selon des propos rapportés par l’agence EFE, le président du Conseil de Sécurité a renouvelé le soutien du Conseil à Ross.
“Nous réiterons notre plein soutien au processus de l’ONU au Sahara Occidental et au travail de l’Envoyé Personnel du SG, Monsieur Ross”, a déclaré aux journalistes l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft.
Il semble que l’ONU est décidé à mettre fin au conflit du Sahara Occidental qui menace sa crédibilité.
http://diasporasaharaui.blogspot.com/2015/11/onu-maroc-rabat-sous-pression-sans-le.html

Le but réel de la monarchie

Le Maroc continue de s’enliser dans ses contradictions, en développant un discours suranné à dix milles lieux des défis de l’heure, pour son pays et pour toute la région du Maghreb. En prononçant, avant-hier des propos «hallucinants» pour le 40e anniversaire de l’occupation des territoires du Sahara occidental, il ferme toutes les portes d’une probable sortie et maintient son royaume dans un cercle vicieux dont il ne sortira pas de sitôt. Il faut dire que ledit cercle est un tissu de mensonge qui maintient des millions de Marocains dans une ignorance totale de leur intérêt véritable.
Le roi jure par tous les saints que le Sahara occidental devrait rester marocain, mais omet de dire à ses sujets que cette promesse est tenue au prix d’une éducation imparfaite, d’un taux de vaccination désuet, d’un niveau d’électrification «tiers-mondiste». Bref, tout un peuple maintenu dans une sorte de pauvreté subie pour assouvir le désir d’une famille royale qui ne cherche rien d’autre qu’à assurer à la descendance les moyens de contrôler efficacement la population du royaume.
Mohamed 6, comme Hassane 2, sait parfaitement que sans ce point de fixation et cette guerre de cent ans, le Maroc serait plus radieux et le Maghreb plus prospère. Mais ce n’est manifestement pas l’objectif premier de la monarchie. Les souverains marocains ont ceci en commun, est de régner pour régner. La gouvernance, les discours et tout le protocole qui suit, ne servent qu’une seule ambition, le maintien de la famille sur le trône.
Ce n’est certainement pas par hasard ou authentique volonté de récupérer ses terres que le père de Mohamed 6 avait réclamé Tindouf et de Tlemcen au lendemain de l’indépendance. Cela procédait de la même stratégie que l’envahissement du Sahara occidental, à savoir créer un point de tension, laisser la braise en l’état et donner au peuple marocain dans une sorte d’illusion d’une guerre qu’on est à deux doigts de gagner, mais qu’on ne gagnera jamais en réalité. Et si, dans le sillage, on se met quelques gouvernements étrangers dans la poche à travers des cadeaux offerts à des personnalités clés, c’est tout bénéfice.
Mohamed 6 a donné, hier, au peuple marocain une autre preuve du but réel de la monarchie.
Par Smaïl Daoudi
http://www.ouestribune-dz.com/fr/le-but-reel-de-la-monarchie/

Le but réel de la monarchie

Le Maroc continue de s’enliser dans ses contradictions, en développant un discours suranné à dix milles lieux des défis de l’heure, pour son pays et pour toute la région du Maghreb. En prononçant, avant-hier des propos «hallucinants» pour le 40e anniversaire de l’occupation des territoires du Sahara occidental, il ferme toutes les portes d’une probable sortie et maintient son royaume dans un cercle vicieux dont il ne sortira pas de sitôt. Il faut dire que ledit cercle est un tissu de mensonge qui maintient des millions de Marocains dans une ignorance totale de leur intérêt véritable.
Le roi jure par tous les saints que le Sahara occidental devrait rester marocain, mais omet de dire à ses sujets que cette promesse est tenue au prix d’une éducation imparfaite, d’un taux de vaccination désuet, d’un niveau d’électrification «tiers-mondiste». Bref, tout un peuple maintenu dans une sorte de pauvreté subie pour assouvir le désir d’une famille royale qui ne cherche rien d’autre qu’à assurer à la descendance les moyens de contrôler efficacement la population du royaume.
Mohamed 6, comme Hassane 2, sait parfaitement que sans ce point de fixation et cette guerre de cent ans, le Maroc serait plus radieux et le Maghreb plus prospère. Mais ce n’est manifestement pas l’objectif premier de la monarchie. Les souverains marocains ont ceci en commun, est de régner pour régner. La gouvernance, les discours et tout le protocole qui suit, ne servent qu’une seule ambition, le maintien de la famille sur le trône.
Ce n’est certainement pas par hasard ou authentique volonté de récupérer ses terres que le père de Mohamed 6 avait réclamé Tindouf et de Tlemcen au lendemain de l’indépendance. Cela procédait de la même stratégie que l’envahissement du Sahara occidental, à savoir créer un point de tension, laisser la braise en l’état et donner au peuple marocain dans une sorte d’illusion d’une guerre qu’on est à deux doigts de gagner, mais qu’on ne gagnera jamais en réalité. Et si, dans le sillage, on se met quelques gouvernements étrangers dans la poche à travers des cadeaux offerts à des personnalités clés, c’est tout bénéfice.
Mohamed 6 a donné, hier, au peuple marocain une autre preuve du but réel de la monarchie.
Par Smaïl Daoudi
http://www.ouestribune-dz.com/fr/le-but-reel-de-la-monarchie/

Una reacción tardía

Su declaración viene como una reacción muy tardía a la intransigencia de Marruecos que pretende imponer el hecho consumado de su ocupación del Sáhara Occidental.
Ban evoca el proceso de negociaciones que empezó en 2007. Es decir, 9 años después. El Secretario General de la ONU, Ban Ki-moon recordó el estatuto del Sáhara Occidental y llamó a “verdaderas negociaciones entre el Frente Polisario y Marruecos con el fin de llegar a una solución basada en el derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación.
Qué credibilidad podríamos dar a la declaración de Ban Ki-moon?
Este sábado, Mohamed VI llegó llegó de noche como un ladrón a la ciudad ocupada del Aaiún. Una visita que constituye un nuevo mensaje de desafío a la comunidad internacional.
Marruecos, protegido por el veto de Francia, pretende prolongar este proceso otros 9 años marear la perdiz y seguir saqueando los recursos naturales del Sahara Occidental.

Una reacción tardía

Su declaración viene como una reacción muy tardía a la intransigencia de Marruecos que pretende imponer el hecho consumado de su ocupación del Sáhara Occidental.
Ban evoca el proceso de negociaciones que empezó en 2007. Es decir, 9 años después. El Secretario General de la ONU, Ban Ki-moon recordó el estatuto del Sáhara Occidental y llamó a “verdaderas negociaciones entre el Frente Polisario y Marruecos con el fin de llegar a una solución basada en el derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación.
Qué credibilidad podríamos dar a la declaración de Ban Ki-moon?
Este sábado, Mohamed VI llegó llegó de noche como un ladrón a la ciudad ocupada del Aaiún. Una visita que constituye un nuevo mensaje de desafío a la comunidad internacional.
Marruecos, protegido por el veto de Francia, pretende prolongar este proceso otros 9 años marear la perdiz y seguir saqueando los recursos naturales del Sahara Occidental.

La fuite en avant

Quarante ans après son invasion du Sahara Occidental, le Maroc continue sa fuite en avant et continue son œuvre de travestir la vérité historique en croyant imposer la politique du fait accompli et en organisant de grandes manifestations pour cette grande supercherie qu’est «la marche faite».
Plus encore, le royaume a saisi encore une fois cette triste occasion pour s’attaquer à l’Algérie, l’accusant d’être derrière la fabrication de ce conflit et voulant la considérer comme partie dans le conflit. Des tentatives vaines qui dénotent en réalité le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le colonisateur marocain qui essuie les revers diplomatiques les uns après les autres, dont le dernier et le plus retentissant est venu du secrétaire général de l’Onu Ban Ki Moon en personne qui a appelé à de véritables négociations entre le Front Polisario et le Maroc qui doivent être lancées dans les prochains mois et devant aboutir à l’autodétermination du peuple sahraoui ».
Un appel qui a le mérite d’identifier clairement les parties du conflit qui sont le Maroc et le front Polisario et qui surtout souligne l’urgence d’un référendum sur l’autodétermination du peule sahraoui. Car, pour l’ONU, il s’agit bien là d’une affaire de décolonisation qui enlève de fait les allégations du makhzen quant à la marocanité du Sahara et qui d’un autre côté, rejette la proposition marocaine quant à son projet d’autonomie qui va à l’encontre de la légalité internationale.
Le Maroc qui veut fêter avec faste son quarantième anniversaire de la «marche verte» à coup de dollars et d’invités payés grassement, ne peut cacher la vérité à l’opinion mondiale de plus en plus convaincue que le temps est bien venu de régler la situation dans une plus ancienne colonisation en Afrique et instaurer un climat apaisé dans la région pour l’intérêt de tous les peuples du Maghreb.
La fuite en avant du royaume marocain et la visite que compte effectuer le roi Mohamed VI dans les territoires occupés du Sahara Occidental, ne sont que des provocations mal inspirées qui ne peuvent cacher la vraie nature de l’une des plus barbares colonisations en Afrique.
Par Abdelmadjid Blidi

La fuite en avant

Quarante ans après son invasion du Sahara Occidental, le Maroc continue sa fuite en avant et continue son œuvre de travestir la vérité historique en croyant imposer la politique du fait accompli et en organisant de grandes manifestations pour cette grande supercherie qu’est «la marche faite».
Plus encore, le royaume a saisi encore une fois cette triste occasion pour s’attaquer à l’Algérie, l’accusant d’être derrière la fabrication de ce conflit et voulant la considérer comme partie dans le conflit. Des tentatives vaines qui dénotent en réalité le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le colonisateur marocain qui essuie les revers diplomatiques les uns après les autres, dont le dernier et le plus retentissant est venu du secrétaire général de l’Onu Ban Ki Moon en personne qui a appelé à de véritables négociations entre le Front Polisario et le Maroc qui doivent être lancées dans les prochains mois et devant aboutir à l’autodétermination du peuple sahraoui ».
Un appel qui a le mérite d’identifier clairement les parties du conflit qui sont le Maroc et le front Polisario et qui surtout souligne l’urgence d’un référendum sur l’autodétermination du peule sahraoui. Car, pour l’ONU, il s’agit bien là d’une affaire de décolonisation qui enlève de fait les allégations du makhzen quant à la marocanité du Sahara et qui d’un autre côté, rejette la proposition marocaine quant à son projet d’autonomie qui va à l’encontre de la légalité internationale.
Le Maroc qui veut fêter avec faste son quarantième anniversaire de la «marche verte» à coup de dollars et d’invités payés grassement, ne peut cacher la vérité à l’opinion mondiale de plus en plus convaincue que le temps est bien venu de régler la situation dans une plus ancienne colonisation en Afrique et instaurer un climat apaisé dans la région pour l’intérêt de tous les peuples du Maghreb.
La fuite en avant du royaume marocain et la visite que compte effectuer le roi Mohamed VI dans les territoires occupés du Sahara Occidental, ne sont que des provocations mal inspirées qui ne peuvent cacher la vraie nature de l’une des plus barbares colonisations en Afrique.
Par Abdelmadjid Blidi

Ban Ki-moon peut toujours rêver !

par Moncef Wafi
Quel crédit et surtout quelle résonance donner à l’appel insistant du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon qui a appelé, ce mercredi soir depuis New York, à de «véritables» négociations entre le Front Polisario et le Maroc qui doivent être lancées dans les prochains mois avec pour but aboutir à l’autodétermination du peuple sahraoui. 
Evoquant le travail de titan abattu par son envoyé spécial, Christopher Ross, le Sud-Coréen regrette l’échec des négociations de 2007 à New York entre les deux parties qui devaient en principe déboucher sur l’ouverture de négociations auxquelles la communauté internationale avait appelées. Une première cartouche tirée à blanc et il aura fallu presque neuf ans pour s’offrir une seconde ou deuxième chance, selon les résultats des prochaines négociations entre le Polisario et le Maroc, pour clore le dossier sahraoui. 
Pour Ban Ki-moon et le reste du monde, la solution la plus naturelle à ce conflit est l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental mais pour Mohamed VI, pour qui le Maroc ne lâchera jamais «son» Sahara, «l’initiative d’autonomie est le maximum que le Maroc puisse offrir», devait-il déclarer dans un discours prononcé à l’occasion du 39e anniversaire de la «Marche verte» sur le Sahara Occidental annexé par le Maroc depuis 1975. Une solution rejetée par le Polisario qui réclame un référendum d’autodétermination. 
Devant l’imperméabilité du royaume alaouite, il n’est pas difficile de deviner l’issue de ces négociations que d’aucuns estiment qu’elles connaîtront le même sort que celles de Manhasset et du coup, une perte de temps dans le règlement du conflit qui profite pleinement à Rabat. Ce dossier, source permanente d’une tension dans la région et qui empoisonne le climat entre le Maroc et l’Algérie, devra être solutionné, et définitivement, par les instances onusiennes. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit prendre une décision forte et responsable pour mettre le Maroc devant ses responsabilités mais malheureusement, l’argent de la diplomatie de Sa Majesté est passé par là. Le Snowden marocain révélait que l’entourage proche de l’ex-Haut-commissaire pour les Droits de l’homme (HCDC), Navi Pillay, était infiltré par le Maroc pour manipuler la gestion du dossier des violations des droits de l’homme au Sahara Occidental. 
Le Makhzen avait mis en place une véritable stratégie d’infiltration et de pression sur la première responsable du HCDC à travers son entourage l’influençant directement dans le dossier sahraoui. Dépassant le simple travail de lobbying, les documents de la Mission marocaine à Genève, piratés par le hacker cyber-activiste, mettent en lumière un maillage pour cadenasser le dossier des droits de l’homme au Sahara Occidental. Appui financier, fuites d’informations sensibles, pressions et manipulations ont été les armes favorites du Maroc pour éviter de se faire épingler sur cette question, jusqu’à aujourd’hui. Une stratégie payante puisqu’elle a permis de faire avorter une tentative d’élargissement du mandat de la mission de l’ONU au Sahara Occidental (Minurso) à la question des droits de l’homme. Washington ayant élaboré un projet de résolution en ce sens au Conseil de sécurité avant de renoncer face au lobbying de Rabat. 
Les prochaines négociations seront-elles les bonnes ? Malheureusement non au vu des intérêts économiques des puissances occidentales, la France, en premier, qui continue de peser de tout son poids.