Mohammed VI anula su visita a Etiopia a causa de la revuelta en su país

Las manifestaciones populares que sacuden a Marruecos a raíz del asesinato de un vendedir de pescado en Alucemas obligó el rey a anular su visita prevista en Etiopía.
El Palacio Real recurrió a une versión edulcorada para ocultar el pánico que se aproprió del soberano marroquí por miedo a ver al difunto Mohcine Fikri convertirse en el Bouazizi de Marruecos.
La policía marroquí, deseosa de encubrir el asesinato detuvo a un amigo de la víctima a raíz de una declaración que hizo en la que dio detalles de la muerte de su amigo.

Mohammed VI annule sa visite en Ethiopie à cause des émeutes au Maroc

Les manifestations populaires qui secouent le Maroc suite à l’assassinat d’un vendeur poissonnier à Alhuceima a contraint le roi à annuler sa visite prévue en Ethipie.
Le palais royal a eu recours à des formules édulcorées en vue de cacher la panique qui s’est appropriée du souverain marocain de crainte de voir la défunt Mohcine Fikri devenir le Bouazizi du Maroc.

Maroc, la réalité d’une monarchie autoritaire explose au visage du monde

Refusant que sa marchandise soit confisquée par la police, Mouhcine Fikri a été broyé dans une benne à ordures

La mort de Mouhcine Fikri, un vendeur de poisson broyé dans une benne à ordures après la confiscation de sa marchandise par la police pousse des milliers de personnes en colère à manifester à travers tous le pays.
« Criminels, assassins, terroristes », scandaient notamment les manifestants, ou encore « Ecoute makhzen [palais royal], on n’humilie pas le peuple du Rif ! ». Le rassemblement s’est déroulé sans incident.
Des manifestations de moindre ampleur ont eu lieu dans plusieurs autres villes du Rif, mais aussi à Casablanca, Marrakech et Rabat, où plus d’un millier de personnes ont défilé au cri de « Nous sommes tous Mouhcine ! », brandissant la photo de la victime ou une pancarte provocatrice « Bienvenue à la COP22, ici on broie les gens ».
Petit point d’histoire que rappelle en partie et faussement  » le Monde » qui écrit « La ville côtière d’Al-Hoceima, comptant environ 55 000 habitants, fut le cœur de la révolte contre le colonisateur espagnol dans les années 1920, puis le théâtre d’une insurrection populaire en 1958 ».
Le Monde oubliant au passage de signaler que la France de 1921 à 1926 au côté de l’Espagne se singularisera dans une répression qui sera l’occasion pour le jeune PCF de s’engager frontalement dans la solidarité internationale et la lutte anticoloniale.
C’est pour s’être opposé à la guerre du Rif que Pierre Semard alors secrétaire général du PCF sera emprisonné.
C’est lors de la guerre du Rif que se nouera la « fraternité d’arme et de conviction » entre un certain Franco et son ami Pétain 
Longtemps délaissée sous le règne de Hassan II, la région du Rif a une réputation de frondeuse et entretient des relations difficiles avec le pouvoir central. Elle fut aussi l’un des principaux foyers de la contestation lors du mouvement du 20-Février, la version marocaine des Printemps arabes en 2011.
la guerre du Maroc, rappelle B Ducoulombier présentant un ouvrage sur la période http://www.laviedesidees.fr/Une-guerre-coloniale-oubliee-le.html:
« coté Espagne a porté Primo de Rivera au pouvoir, et constitué pour Francisco Franco une école et un marchepied. Elle a scellé aussi la rencontre entre Philippe Pétain et la droite traditionaliste et philofasciste de la péninsule : sous l’œil attentif du dictateur, le maréchal vainqueur reçoit en février 1926 à Tolède la médaille militaire des mains du roi Alphonse XIII. Auréolé de son prestige acquis pendant la Première Guerre mondiale, Pétain a écarté Lyautey avec la bénédiction de Paul Painlevé, et a transporté au Maroc les méthodes de la guerre européenne. Le besoin était urgent que soit porté le coup de grâce à la « République du Rif », qui menaçait l’équilibre du protectorat marocain. « 
Plus que du révisionnisme historique, ne faire de la guerre du Rif (et du sentiment nationale rifain ) qu’un épisode d’un affrontement entre le Maroc (rapporté à la monarchie chérifienne -installé par la France) et l’Espagne est un contre sens et sert à masquer la réalité des luttes républicaines qui se jouent depuis plus d’un siècle ainsi que le rôle de premier plan de l’impérialisme français.
La mort de Mouhcine Fikri survient quasiment à la date anniversaire de l’enlèvement et l’assassinat de Medhi Ben Barka par les hommes de main du père de l’autocrate en place aujourd’hui.
Les méthodes policières répressives (comme la violation des résolutions de l’ONU concernant le Sahara occidental) sont la vie quotidienne du Maroc où le Monarque face à la montée des colères populaires et l’exigence démocratique joue une dangereuse carte de l’islamisation qui menace d’embraser tout le Maghreb.
On attend avec impatience les expression de solidarité internationale qui établissent la continuité entre le Rif de 1921, le Sahara occidental, tel qu’est s’ext encore exprimé avec Abraham Serfaty et la répression vivement entretenue par la maison royale, avec la bienveillance de Paris. 

Belkhadem à CNN : «Les conditions pour rouvrir la frontière avec le Maroc et maintenir la coopération avec la France»

Sur la question du Sahara Occidental, Belkhadem juge que les positions de l’Algérie et du Maroc resteront «inconciliables» tant que Rabat continue de refuser le principe même de l’autodétermination.

Interrogé par la chaîne de télévision américaine CNN sur la question de la fermeture des frontières algéro-marocaines, l’ex-chef du gouvernement et ex-secrétaire général du FLN a répondu que la réouverture de cette frontière «se fera inexorablement» parce qu’il est impossible, a-t-il dit, que «nos deux peuples continuent à se tourner le dos indéfiniment». «Cette situation, a-t-il dit, devrait cesser un jour mais tout le monde doit savoir que c’est le Maroc qui a commencé parce que, suite aux événements de Marrakech (attentat du 24 août 1994, ndlr), à l’époque où l’Algérie subissait les affres du terrorisme et souffrait d’un embargo international imposé sans l’aval du Conseil de sécurité, le Maroc avait accusé l’Algérie, injustement, d’être à l’origine de l’attentat, et décidé d’instaurer le «visa aux Algériens». «La réaction algérienne fut de fermer la frontière», a-t-il rappelé. 

Sur la question sahraouie, Belkhadem juge que les positions de l’Algérie et du Maroc resteront «inconciliables» tant que Rabat continue de refuser le principe même de l’autodétermination. Au sujet de la Libye, l’ex-chef du gouvernement considère que le chaos libyen est l’«œuvre» de Bernard Henri-Levy, «l’ami de Nicolas Sarkozy, qui s’en vante aujourd’hui dans son livre». Et d’ajouter : «Je crains que si la situation actuelle perdure, ce pays aille à la partition.»
L’ancien conseiller de Bouteflika a rendu hommage à l’ANP pour son rôle dans la lutte contre le terrorisme transfrontalier qui menace, aujourd’hui, une vaste région s’étalant de la Mauritanie jusqu’à Djibouti, qu’il qualifie de «ventre mou» de l’Afrique. Il n’omet pas, au passage, de critiquer le dernier rapport américain évoquant «la partition de l’Algérie». 
Abdelaziz Belkhadem estime, par ailleurs, que la position de l’Algérie en faveur du Hezbollah libanais n’est pas liée à un quelconque rapprochement avec l’Iran mais est plutôt «une décision souveraine fondée sur un principe et une logique, à savoir que le Hezbollah est un parti libanais agréé, reconnu et présent dans les institutions, et même au sein du gouvernement». 
A propos du froid qui caractérise les relations algéro-saoudiennes, Belkhadem le réduit à des «divergences de vue conjoncturelles liées historiquement» à «l’adoption du dogme socialiste en Algérie et à la gestion du pétrole». Pour lui, il y a des divergences sur quelques points, comme le soutien de l’Arabie Saoudite au Maroc dans l’affaire du Sahara Occidental. «Mais je ne pense pas qu’il puisse y avoir un confit avec l’Arabie Saoudite», a-t-il assuré. 
Au sujet du «printemps arabe», l’invité de la chaîne de télévision américaine défend la position officielle de l’Algérie, qui est la non-ingérence dans les affaires des autres pays, tout en s’interrogeant sur l’objectif de la présence des grandes puissances aujourd’hui en Irak et en Syrie. «Le terrorisme est-il à ce point invincible que toute une coalition comptant plus de 80 pays en Irak et plus de 30 en Syrie ne parvient pas à l’éradiquer ? Ou alors ces pays sont-ils là pour appliquer d’autres agendas en voulant utiliser le terrorisme comme un épouvantail ?» s’est-il interrogé, dubitatif. L’Algérie ne voudrait pas que la Syrie devienne un sanctuaire du terrorisme, a encore expliqué Abdelaziz Belkhadem.
Interrogé sur le projet de loi sur la criminalisation du colonialisme, l’ancien président de l’APN affirmera que ce texte «devrait être réactivé parce que les relations avec la France devraient être d’égal à égal, en prenant en considération l’intérêt commun des deux peuples». «Cet intérêt commun, a-t-il ajouté, passe nécessairement par la mise en place du cadre devant prendre en considération un aspect aussi important que la mémoire et l’histoire.» Belkhadem va plus loin dans son analyse, en suggérant de cesser toute coopération commerciale et sécuritaire avec la France si celle-ci refusait de «faire acte de repentance». 
R. Mahmoudi 

Gabinete privado de información Stratfor: Marruecos, gran proveedor de “yihadistas” en Irak y Siria

Marruecos es uno de los principales proveedores de “yihadistas” para la organización terrorista autoproclamada “Estado Islámico – IE / Daech” en Irak y Siria, según un análisis del gabinete privado de información americano Stratfor.
“Con aproximadamente 1.200 a 1.500 yihadistas (terroristas) en Siria e Irak, Marruecos es uno de los principales proveedores de combatientes extranjeros para el Estado islámico y otros grupos yihadistas en la región”, señala este centro de información y análisis estratégico en un análisis publicado recientemente en los Estados Unidos, titulado “la paradoja de yihadistas marroquíes esclarecida.” Las cifras de Stratfor corroboran con las estimaciones reveladas en septiembre pasado por The Soufan Group, una empresa estadounidense, con sede en Nueva York, que ofrece a los gobiernos servicios en el campo de la inteligencia y la seguridad. Estas cifras fueron transmitidas por la red mundial de información especializada en la cobertura de las crisis humanitarias, IRIN. “Esto está lejos de ser un fenómeno nuevo”, subraya Stratfor.
“Los Yihadistas” marroquíes habían participado anteriormente en numerosas guerras en Afganistán, Bosnia, Chechenia e Irak, recuerda el gabinete de información, también llamado la CIA clandestina. Estos terroristas formaron parte de los grupos terroristas transnacionales desde su creación como Al Qaeda, pero el contingente marroquí permaneció menos conocidos por los servicios de inteligencia, en comparación con grupos procedentes de otros países, precisó. A pesar de que todos estos grupos terroristas son entrenados en los mismos campos, los miembros del contingente marroquí fueron incapaces de elevarse a la categoría de líderes, constituida esencialmente de elementos procedentes de Egipto y Libia, constata Stratfor .
Mayor proveedor de Al Qaeda en Irak
Señala que esta tendencia ha sido muy bien ilustrado en documentos descubiertos en 2007 por las fuerzas armadas americanas en una casa secreta de Al Qaeda en Irak. El análisis de estos documentos conocidos bajo el nombre de “ficheros de Sinjar” reveló que Marruecos fue “el principal proveedor de combatientes extranjeros para Al Qaeda en Irak”, afirma Stratfor. Del conjunto de los terroristas en las listas de Sinjar, los marroquíes son los más dispuestos a convertirse en suicidas. 91% de ellos se declaraton dispuestos a llevar a cabo atentados suicidas, revela Stratfor. Esta propensión a cometer ataques suicidas estaría detrás de la muerte de varios miembros del contingente marroquí, avanza la misma fuente.

Al-Hoceima : Il était une fois un Maroc où #طحن_مو réglait les problèmes

Notre histoire est celle de Mouhcine Fekri, un homme de 31 ans qui est mort hier soir dans un camion poubelle. Une mort atroce pour ce père de famille qui a perdu son business, ses biens et son argent, avant de perdre sa vie.
Chapitre 1
Cet homme, poissonnier à Al Hoceima, a acheté une quantité d’espadon du port pour la revendre à ses clients, une espèce qui est apparemment interdite à la pêche en cette période. Un officier a donc éventuellement fait son travail en ordonnant à un camion poubelle de se débarrasser de la marchandise.
Chapitre 2
Mouhcine Fikri ne pouvait pas se permettre une telle perte, il avait la rude mission de subvenir aux besoins d’une famille de 10 personnes. Il était donc dans un état de choc et a donc menacé de se jeter dans le camion poubelle pour récupérer son poisson.
Chapitre 3 (âmes sensibles s’abstenir)
Jusque là, l’affaire est malheureusement assez normale. Il n’est pas rare d’assister aux « guerres » entre la police et les marchands ambulants, chacun justifiant sa position et réclamant justice. Mais l’histoire de Mouhcine est plus atroce.
Le marchand n’a pas hésité à se jeter dans le camion, un geste où toute dignité est oubliée. Le policier a donc ordonné au chauffeur de camion de #طحن_مو , le laissant ainsi sans vie au milieu de ses poissons…
Fin.

El Aaiún, aislada del mundo por las inundaciones

El Aaiun, capital del Sáhara Occidental ocupara por Marruecos, se encuentra completamente aislada del mundo.
Las fuertes lluvias que azotaron la noche del viernes el territorio hicieron que el Río Saguia El Hamra se desborde destruyendo los dos puentes que unen el territorio con Marruecos. La electricidad y las comunicaciones por teléfono se encuentran cortados desde ayer.
Las autoridades de ocupación marroquíes declararon estado de alerta y los viajeros que desean ir al territorio desde Marruecos son bloqueados por la policía marroquí en la ciudad de Tan-Tan, a unos 300 km al norte del Aaiún.

La ville d’El Aaiun, coupée du monde

El Aaiun, capitale du Sahara Occidenta occupée par le Maroc se trouve depuis hier sans électricité ni téléphone et les routes vers le Maroc sont coupées à cause des intempéries.
En effet, les fortes orages de vendredi ont provoqué un débordement du fleuve Saguia El Hamra qui a coupé les routes qui relient le Sahara Occidental avec le Maroc.
Les autorités d’occupation marocaine ont déclenché l’état d’alerte et les voyageurs désirant rentrer dans le territoire sont bloqués dans la ville de Tan-Tan.

Mohammed VI milite pour la légalisation de la marijuana aux Etats-Unis

Le roi du Maroc Mohammed VI ne cesse d’apparaître sur les réseaux sociaux en compagnie de ses sujets, du Maroc comme d’ailleurs. Mais sa tournée en Afrique Australe a dévoilé un secret qui a été très débattu dans la toile.

Un journal tanzanien, le « Swahili Times« , publie des photos pour le moins troublantes du roi du Maroc, Mohamed VI. Il y est habillé d’une manière très légère

La traduction du titre de l’article, écrit en swahili, est la suivante : « Photos : Le roi du Maroc fait du shopping à Zanzibar en portant des tee-shirts et des shorts ».

Selon le journal, le roi du Maroc « fait du shopping dans la périphérie du Zanzibar dans le cadre d’un voyage à titre privé habillé d’un gilet et un short et sans ses gardes du corps »

Dans l’une des photos, le souverain marocain porte un tee-shirt avec une feuille de marihuana frappée du drapeau des Etats-Unis qui symbolise la lutte pour la légalisation de la marihuana aux Etats-Unis.

Le violeur marocain Saâd Lemjarred déguise ses instincts bestiaux en «cabale algérienne»

Le chanteur marocain dont les chansons sont diffusées en boucle par les radios algériennes au point qu’il est difficile de ne pas y voir une «opération préméditée», a accusé l’Algérie d’avoir monté une cabale contre lui en France, où le perroquet de Mohammed VI vient d’être arrêté pour agression sexuelle commise sur une jeune fille. Son avocat a déclaré au juge que cette affaire était un coup monté par l’Algérie visant à ternir l’image de son client pour avoir «chanté la marocanité du Sahara» (sic). Selon plusieurs sources qui rapportent cette ineptie, le juge n’en revenait pas d’entendre cette plaidoirie désopilante tirée par les cheveux et complètement saugrenue.
Saâd Lemjarred, ce plagiaire à qui l’Algérie a ouvert ses portes pour y vendre sa camelote érigée en art, est le chantre du Makhzen qui a été décoré par Mohammed VI pour son engagement en faveur du régime monarchique dont il est l’ambassadeur à l’étranger. Sa musique, entièrement «inspirée» du tempo saoudien, sert, à la fois, à propager insidieusement ce genre musical au Maghreb et à s’introduire dans le marché juteux des pays du Golfe où l’argent coule à flots.
Si ce bouffon du roi est libre de défendre son maître et sa croute, il n’en reste pas moins que sa présence envahissante sur les différentes chaînes de la Radio publique algérienne a de quoi susciter des interrogations. Algeriepatriotique avait révélé, il y a quelques années, qu’une note avait été adressée aux différentes stations pour interdire – ou limiter – les chansons marocaines après que les auditeurs eurent remarqué une tendance inhabituelle et anormale à la promotion de ce genre musical dans notre pays. Mais des contre-instructions semblent avoir été données pour, au contraire, inonder les ondes de cette musique mi-marocaine mi-saoudienne portée par une nouvelle génération de chanteurs marocains opportunistes très présents sur les réseaux sociaux.
Ce n’est pas la première fois que les «décideurs» de la sphère culturelle algérienne imposent aux Algériens des artistes arabes – marocains et égyptiens notamment – qui, une fois leur cachet faramineux encaissé, déversent leur fiel contre l’Algérie et son peuple. Mais la leçon ne semble pas avoir été apprise, puisque des artistes égyptiens qui ont fait montre d’une haine viscérale contre notre pays durant la grave crise de novembre 2009, provoquée par l’agression des joueurs de l’équipe nationale algérienne de football au Caire, continuent d’être invités et honorés à toutes les éditions du festival du film arabe d’Oran, entre autres.
Lina S.