Capturan líder militante islámico tunecino en Libia

Ciudad de Túnez – Benahssine está acusado de instigar el ataque contra la embajada de EE.UU. en Túnez, en 2012.
La agencia estatal de medios en Túnez informa que el líder del grupo militante islámico, Ansar al-Shaira, ha sido capturado en Libia.
Saifalla Banahssine, conocido también como Abu Iyadh, fue capturado en Misrata por fuerzas estadounidenses y libias, dijo la agencia, aunque no ha habido confirmación por parte de Washington o Trípoli.
Benahssine está acusado de instigar el ataque contra la embajada de EE.UU. en Túnez, en 2012.
Ansar al-Sharia es uno de los grupos militantes islámicos más importantes que surgieron en Túnez después del derrocamiento del gobierno hace tres años.

Mauritania crea tribunal para casos de esclavitud

Nouakchott, 31 dic (PL) El Gobierno de Mauritania anunció hoy la creación de un tribunal dedicado exclusivamente a casos de esclavitud.

El mandatario Mohamed Uld Abdel Aziz, preside el Alto Consejo de la Magistratura del país africano (ACMM) que asumió la decisión de fundar la instancia jurídica para atender ese flagelo social.
Mauritania, que abolió la esclavitud en 1981 y estableció como delito su práctica en 2012, trataba hasta ahora esas violaciones en tribunales ordinarios.
La magistrada Umama Mint Cheij Sidiya, primera mujer del país en ser nombrada para este puesto por el ACMM, atenderá jurídicamente esa nueva instancia para combatir la esclavitud.
El grupo de magistrados ha estado reservado solo a hombres en este país islámico conservador donde prima la ley Charía (islámica), aunque sin aplicar las sanciones habituales de ese código legal, moral y religioso, como mutilaciones o flagelaciones.

Marruecos espera comenzar a extraer el fuel del petrolero en las próximas horas

El Gobierno de Canarias ha comenzado a hacer simulaciones para conocer la trayectoria y el impacto de un posible vertido.
El petrolero Silver continúa encallado y cargado de petróleo en el puerto marroquí de Tan Tan, frente a las costas del Archipiélago, debido al mal estado del mar que impide la extracción del fuel del barco.
Dentro del buque se encuentran alrededor de 5.000 toneladas de combustible; y para transportarlas necesitarían 70 cubas y sólo tienen 10, por lo tanto se prevé que tardarán al menos una semana. 
Después de ocho días desde que se produjera el accidente, el Gobierno de Canarias ha comenzado a hacer simulaciones para conocer la trayectoria y el impacto de un posible vertido.
Según Fernando Ríos, Comisionado Desarrollo del Autogobierno y Reformas Institucionales, » los canarios no nos perdonarían, si ocurriese un accidente y no estamos preparados para una marea negra ».
En el caso de que ocurriese un desastre medioambiental, Canarias necesitaría los medios con los que cuenta el Estado que se encuentran en Cádiz y en Galicia.
Desde las Islas se reclama un informe del estado de esos medios y un cálculo de cuánto tardarían en llegar. 
Las autoridades marroquíes insisten en que el combustible se sacará de forma segura, y esperan poder hacerlo a partir de la tarde de este martes.

Le nouvel an au Sahara Occidental

C’est une nouvelle année qui vient. Cela fait 22 ans depuis la déclaration du cessez-le-feu au Sahara Occidental entre le Maroc et le Maroc et le Front Polisario. Le peuple sahraoui attend depuis 22 ans que le processus de paix entamé par l’ONU aboutisse à une solution qui concrétise l’autodétermination du peuple sahraoui. Ce peuple qui est la première victime du disfonctionnement de l’ONU. Un disfonctionnement dû au poids de l’interventionnisme de la France dans ce dossier. 
Au Sahara Occidental, l’ONU n’est même pas capable de protéger la population locale contre les violations constantes des droits de l’homme par le Maroc. L’année écoulée s’est caractérisée par la découverte d’une fosse commune dans la région d’Amgala? Et, étant donné qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé, d’autres charniers feront surface pour montrer la dimension de la tragédie du peuple sahraoui et la nature cruelle de la monarchie marocaine.
Une autre année qui passe dans les prisons pour le dénommé « Groupe de Gdeym Izik » dont le seul crime était de revendiquer une amélioration de la situation des sahraouis qui vivent dans les territoires occupés par le Maroc. 
Une nouvelle année où les sahraouis verront un comportement qui leur est étrange et incompréhensible : battre, insulter et violer leurs femmes sous le silence complice de la communauté internationale.
Une année qui s’ajoute aux 38 ans d’exile, de souffrances et de martyr d’un peuple qui n’a fait que revendiquer un droit légitime : l’autodétermination.

Le voeu du peuple sahraoui pour cette année? Retourner vivre dans son pays.

Le nouvel an au Sahara Occidental

C’est une nouvelle année qui vient. Cela fait 22 ans depuis la déclaration du cessez-le-feu au Sahara Occidental entre le Maroc et le Maroc et le Front Polisario. Le peuple sahraoui attend depuis 22 ans que le processus de paix entamé par l’ONU aboutisse à une solution qui concrétise l’autodétermination du peuple sahraoui. Ce peuple qui est la première victime du disfonctionnement de l’ONU. Un disfonctionnement dû au poids de l’interventionnisme de la France dans ce dossier. 
Au Sahara Occidental, l’ONU n’est même pas capable de protéger la population locale contre les violations constantes des droits de l’homme par le Maroc. L’année écoulée s’est caractérisée par la découverte d’une fosse commune dans la région d’Amgala? Et, étant donné qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé, d’autres charniers feront surface pour montrer la dimension de la tragédie du peuple sahraoui et la nature cruelle de la monarchie marocaine.
Une autre année qui passe dans les prisons pour le dénommé « Groupe de Gdeym Izik » dont le seul crime était de revendiquer une amélioration de la situation des sahraouis qui vivent dans les territoires occupés par le Maroc. 
Une nouvelle année où les sahraouis verront un comportement qui leur est étrange et incompréhensible : battre, insulter et violer leurs femmes sous le silence complice de la communauté internationale.
Une année qui s’ajoute aux 38 ans d’exile, de souffrances et de martyr d’un peuple qui n’a fait que revendiquer un droit légitime : l’autodétermination.

Le voeu du peuple sahraoui pour cette année? Retourner vivre dans son pays.

Sahara Occidental : Y aura-t-il justice sans guerre?

Un documentaire de Josep Lluís Penades porte le titre de « RASD, y aura-t-il justice sans guerre? ».
L’écrasante majorité de la jeunesse est catégorique : Le cessez-le-feu n’a apporté aux sahraouis que le malheur de découvrir une complaisance de l’ONU envers le Maroc même dans la question des droits de l’homme au Sahara Occidental. 
Le documentaire espagnol montre à travers le regard de Yahia, un jeune sahraoui qui vit à Barcelone, la torture et les disparitions de ses compatriotes au Sahara occidental occupé par le Maroc, les conditions de vie précaires dans les camps de réfugiés en Algérie et la situation des immigrés sahraouis en Espagne, l’ancienne puissance coloniale du Sahara occidental. A l’instar de la majorité des jeunes Sahraouis, Yahia conclue que, après tant d’années de soutien à la voie pacifique, la guerre est devenue la seule option pour que les sahraouis récupèrent leur territoire.
Yahia Moulay a 21 ans et il veut la guerre. Il ne l’aurait pas voulue s’il vivait dans son pays et non pas dans un camp de réfugiés qui existe depuis près de 40 ans où il y a des problèmes de malnutrition; s’ils ne voyaient pas comment ses compatriotes sont torturés et assassinés; si, pour pouvoir être universitaire il n’aurait pas fallu passer huit ans sans papiers et sans pouvoir voir sa famille; si l’Espagne n’avait pas offert en cadeau son pays au Maroc et à la Mauritanie alors que la communauté internationale ignorait les résolutions de l’ONU … A l’instar de Yahia, des milliers de jeunes Sahraouis veulent la guerre. Pour eux, l’ONU est la seule responsable de cette situation.
RASD, justice sans guerre? a été filmé à Barcelone, dans les camps des réfugiés en Algérie, dans les territoires libérés du Sahara Occidental et, clandestinement, dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc, où le Maroc tente, par tous les moyens, d’empêcher l’accès aux étrangers qui vont dénoncer ses agissements contre la population sahraouie.

Sahara Occidental : Y aura-t-il justice sans guerre?

Un documentaire de Josep Lluís Penades porte le titre de « RASD, y aura-t-il justice sans guerre? ».
L’écrasante majorité de la jeunesse est catégorique : Le cessez-le-feu n’a apporté aux sahraouis que le malheur de découvrir une complaisance de l’ONU envers le Maroc même dans la question des droits de l’homme au Sahara Occidental. 
Le documentaire espagnol montre à travers le regard de Yahia, un jeune sahraoui qui vit à Barcelone, la torture et les disparitions de ses compatriotes au Sahara occidental occupé par le Maroc, les conditions de vie précaires dans les camps de réfugiés en Algérie et la situation des immigrés sahraouis en Espagne, l’ancienne puissance coloniale du Sahara occidental. A l’instar de la majorité des jeunes Sahraouis, Yahia conclue que, après tant d’années de soutien à la voie pacifique, la guerre est devenue la seule option pour que les sahraouis récupèrent leur territoire.
Yahia Moulay a 21 ans et il veut la guerre. Il ne l’aurait pas voulue s’il vivait dans son pays et non pas dans un camp de réfugiés qui existe depuis près de 40 ans où il y a des problèmes de malnutrition; s’ils ne voyaient pas comment ses compatriotes sont torturés et assassinés; si, pour pouvoir être universitaire il n’aurait pas fallu passer huit ans sans papiers et sans pouvoir voir sa famille; si l’Espagne n’avait pas offert en cadeau son pays au Maroc et à la Mauritanie alors que la communauté internationale ignorait les résolutions de l’ONU … A l’instar de Yahia, des milliers de jeunes Sahraouis veulent la guerre. Pour eux, l’ONU est la seule responsable de cette situation.
RASD, justice sans guerre? a été filmé à Barcelone, dans les camps des réfugiés en Algérie, dans les territoires libérés du Sahara Occidental et, clandestinement, dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc, où le Maroc tente, par tous les moyens, d’empêcher l’accès aux étrangers qui vont dénoncer ses agissements contre la population sahraouie.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=uQpwczt9wn4]

Les étudiants universitaire sahraouis violemment réprimés au Maroc

Le pouvoir au Maroc, c’est connu, a créé, dans les années 1970 la Chabiba Islamiya pour combattre les militants de gauche. Ses machettes ont assassiné Omar Benjelloun, un des leaders de l’USFP, ainsi que Abderrahim Menioui, membre du secrétariat politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS, un parti communiste à l’époque). 
Bien implantée dans les campus universitaires, la Chabiya Islamiya a été utilisée pour réprimer tous les courants opposés au régime de Hassan II.
Aujourd’hui, il paraît que le courant amazigh à l’Université d’Agadir a décidé de faire le sale boulot pour le Makhzen. Des étudiants sahraouis ont été agressés par des soi-disant militans du courant amazigh dans le but de provoquer l’intervention des forces de l’ordre contre les étudiants sahraouis. En effet, l’intervention de la police n’a visé que les sahraouis. 
Au Maroc, le mouvement amazigh n’est qu’une créature du Makhzen conçue pour l’image extérieur de la monarchie.
A Marrakech, un sit-in de solidarité avec les étudiants sahraouis d’Agadir a aussi été violemment réprimé par les forces de répression makhzéniennes.

Les étudiants universitaire sahraouis violemment réprimés au Maroc

Le pouvoir au Maroc, c’est connu, a créé, dans les années 1970 la Chabiba Islamiya pour combattre les militants de gauche. Ses machettes ont assassiné Omar Benjelloun, un des leaders de l’USFP, ainsi que Abderrahim Menioui, membre du secrétariat politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS, un parti communiste à l’époque). 
Bien implantée dans les campus universitaires, la Chabiya Islamiya a été utilisée pour réprimer tous les courants opposés au régime de Hassan II.
Aujourd’hui, il paraît que le courant amazigh à l’Université d’Agadir a décidé de faire le sale boulot pour le Makhzen. Des étudiants sahraouis ont été agressés par des soi-disant militans du courant amazigh dans le but de provoquer l’intervention des forces de l’ordre contre les étudiants sahraouis. En effet, l’intervention de la police n’a visé que les sahraouis. 
Au Maroc, le mouvement amazigh n’est qu’une créature du Makhzen conçue pour l’image extérieur de la monarchie.
A Marrakech, un sit-in de solidarité avec les étudiants sahraouis d’Agadir a aussi été violemment réprimé par les forces de répression makhzéniennes.

Lamamra : «Notre relation avec le Maroc a pris un sérieux coup»

Dans un long entretien accordé au magazine Afrique-Asie, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé que les relations avec le Maroc ont pris un sérieux coup après l’incident de Casablanca. «Nul ne peut ignorer l’ampleur du dommage causé à cette relation par l’agression perpétrée contre le consulat général d’Algérie à Casablanca et par la profanation de l’emblème national algérien un certain 1er novembre, c’est-à-dire le jour qui a vu s’accélérer la marche des peuples maghrébins vers leur libération solidaire de la domination coloniale», a-t-il déploré. 
Un incident qui n’a pas été pris par les autorités marocaines à sa juste valeur, puisque l’auteur de cette agression a été jugé – puis relâché – pour violation d’une «propriété privée». L’Algérie avait, faut-il le rappeler, vivement protesté contre cet incident et exigé sa participation dans l’enquête pour déterminer les tenants et les aboutissants de cet acte criminel et attentatoire à la souveraineté nationale. Pour réparer les dégâts, la balle est donc dans le camp marocain. «N’étant pas amateur de la politique du mégaphone, je m’empresse d’assurer que les frères marocains savent parfaitement ce qu’ils pourraient et devraient faire pour que les relations bilatérales connaissent un cours normal», a soutenu Lamamra qui appelle à nouveau le Maroc à concevoir cette relation bilatérale «indépendamment» de la question du Sahara occidental. 
Le chef de la diplomatie algérienne souligne dans ce sillage que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation relevant de la responsabilité des Nations unies. Aussi Lamamra invite-t-il les Marocains à éloigner le dossier du Sahara occidental de «la nécessaire relance de l’Union du Maghreb arabe, en fonction de ses mérites propres car, vingt-cinq ans après sa fondation par les dirigeants des cinq Etats membres, l’UMA doit se soumettre au jugement critique de tous les peuples maghrébins, du point de vue de leurs attentes et de leurs ambitions légitimes». 
Le ministre des Affaires étrangères rappelle dans ce sillage le tissu de relations particulièrement dense entre l’Algérie et le Maroc, avec des dimensions matérielles et immatérielles indissociables, des référents historiques, des questionnements et des projections qui dépassent la conjoncture. Il estime ainsi que «les relations algéro-marocaines ne sont pas réductibles à la seule question de la fermeture de la frontière terrestre». Lamamra relève que l’Algérie est la principale économie de la région, qu’elle est le pays maghrébin qui partage des frontières avec tous les autres et que c’est aussi celui qui a ratifié le plus de conventions et d’accords de coopération intermaghrébine, soit vingt-neuf sur les trente-huit existants. 
Tout en refusant de parler de panne de l’UMA, le ministre des AE reconnaît que dans un environnement dynamique, celui qui n’avance pas recule. Autrement dit, l’UMA fait un bond en arrière à cause de l’attitude belliqueuse du Maroc envers l’Algérie.
Sonia B.