Rumeurs nauséabondes, marécages médiatiques, et précisions juridiques autour d’un présumé partouzeur pédophile

Lundi sur Canal+, Luc Ferry accuse. Et ses sources sont béton : « des autorités de l’État au plus haut niveau » l’on mis au courant…

Or donc, un ancien ministre a commis des actes de pédophilie au Maroc «  un ancien ministre qui s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons ».

Le nullissime pseudo philosophe Luc Ferry dont chacun a pu constater la médiocrité du torchon « Le Nouvel ordre écologique » paru en 1992, ( le raisonnement s’arrête à peu de chose près à ce stade : dans l’Allemagne nazie, il y avait de nombreuses sociétés de protection de la nature , donc les protecteurs de la nature sont des Nazis- et en conséquence les écologistes français sont réactionnaires ). Chacun peut admirer la profondeur philosophique ! L ignorance crasse de L. Ferry de ce qui fonde l’écologique est consternante.

Reprenons. Cet ex-piteux ministre de l’Éducation Nationale – sous gouvernement Raffarin – poste auquel il a succédé à Jack Lang, a lancé un pavé dans la mare cathodique. !

Et il a, au passage, glissé une sacrée peau de banane aux socialistes.

C’est le coup d’envoi de la présidentielle !

C’est l’éviction de Lang au titre de Défenseur des droits.!

Immédiatement, toute la classe médiatique s’ engouffre…. L’affaire, tombant à pic en ces temps de viols à répétition, est propice à vendre du papier et de l’image… L’accusation est gravissime… Et nos média de faire semblant de s’interroger sur la personnalité désignée qu’ il faut d’urgence jeter en pâture à la vindicte populaire.

Évidemment Jack Lang est furieux et il le fait savoir.

La très coquette, très politique girouette Jack Lang, a séduit les Français, au point qu’il s’est un moment tâté pour savoir s’il ne se sentirait pas, par hasard, une vocation et un destin présidentiels. Trop fin politique et trop vieux routier du PS pour s’illusionner bien longtemps sur ses chances de réussite il n’a – heureusement  pas persévéré bien longtemps dans cette voie.

Jack Lang, un homme qui sait séduire.

Il a atteint des sommets de popularité… dans un pays qui était pourtant plus homophobe à l’époque qu’il ne l’est aujourd’hui.

Pour cela, il a utilisé deux moyens d’actions – ou d’inaction, je vous laisse choisir le terme le plus approprié

En faisant croire qu’il avait considérablement augmenté le budget de son Ministère de la Culture à l’aide de simples tours de passe passe budgétaires, entre les différents services, et en distribuant moult et moult micro-enveloppes à une myriade d’ associations culturelles éphémères. Tel un Potentat régnant sur le petit monde de la culture, il a acheté sa popularité en distribuant des subventions.

Parfois avec largesse… enfin quand il s’agissait des copains…

Mais Jack est aussi adroit qu’il se prétend à gauche. Il est l’homme qui a fait de la fête de la musique une institution, il a soutenu de sa présence les Gay Pride( Fiertés Homosexuelles) et, point d’orgue de sa carrière narcissique, il a magnanimement orchestré avec Jean Paul Goude – un pro de la Pub qui nous inflige la promotion des Galeries Lafayette depuis des lustres  la commémoration du Bicentenaire de la révolution… Hollywood sur les Champs Elysées voilà qui a de la gueule !

La France branchée et la France profonde ont communié dans cette commémoration en 1989 ! L’artiste ( l’illusionniste ?) ne manque pas de talent de communiquant…

Il fut à une époque omniprésent sur les plateaux de télévision. Un quasi don d’ubiquité.

Tel un empereur romain, Jack avait parfaitement intégré en fréquentant tout ce que la France compte de metteurs en scène au Festival de Nancy- dont il assura longtemps la direction – que le Faste et le Jeu restent les méthodes les plus efficaces pour se faire aimer du populo. C’est peut être également la raison pour laquelle il fréquentait assidument la plus célèbre et plus grande noctambulesque et homosexuelle boîte de nuit parisienne, le Palace.

Ces nuits arrosées et vitaminées lui permettaient de séduire dans ces fêtes, souvent privées, le tout Paris branché de la mode, des arts, de la pub. Bref les gens qui comptent, sur qui il pouvait compter.

Au ministère de l’Éducation Nationale il n’a strictement rien fait, ce qui lui a évité d’être aussi catastrophique que ses prédécesseurs et successeurs, et donc, de renforcer sa popularité.

A part cela, et selon la rumeur, Jack Lang serait un véritable expert en droit constitutionnel et un professeur adoré de ses élèves.

Mais pourquoi Ferry n’a-t-il pas dénoncé plus tôt ce crime présumé, cet acte de pédophilie quasi ministériel ?

Alain

Pour mémoire on pourra jeter un œil sur ce n° de l’express Copié collé d’un vieil article de l’express

France : Secrets et ragots

Par par Christophe Barbier, Aude Rossigneux

Jack et l’argent

«S’il a réussi à la Culture, c’est qu’il avait des budgets et il les obtenait par sa pugnacité», témoigne l’un de ses anciens collaborateurs. Jack Lang a toujours dépensé sans hésiter l’argent public pour la création. Ainsi, en 2000, il fit refaire à une designer une série complète de meubles destinés à la salle à manger du ministère, les premiers ayant été jugés inconfortables. On l’accuse aussi d’oublier des notes dans les restaurants. «Tout est parti d’un établissement de Blois où je ne n’étais jamais allé et qui a fait courir ce bruit, plaide-t-il. Des années plus tard, dans un banquet, des vignerons ont dit à ma femme: « On votera pour votre mari, même si on est de droite. Mais pourquoi ne paie-t-il pas au restaurant? » François Mitterrand m’a rassuré un jour sur ces ragots: « Ça n’influence que ceux qui sont déjà contre vous. »»

Lang à peine battu aux municipales, la mairie invita tous les Blésois, le 23 mars 2001, à un verre de l’amitié. Son successeur, l’UDF Nicolas Perruchot, refusa de régler la note (22 143,84 euros); le préfet puis le tribunal administratif le 28 juin dernier l’obligèrent à payer, mais il a fait appel.

Lang est surtout accusé, depuis des années, d’avoir gardé pour lui, en toute légalité, les fonds secrets que Matignon dispensait, jusqu’à leur suppression par le gouvernement Jospin. En 1999, Jack Lang a traîné en justice Sophie Coignard et Alexandre Wickham, auteurs de L’Omerta française (Albin Michel), qui avaient évoqué cette assertion. Il perdit en première instance et gagna 1 franc de dommages et intérêts en appel. Et il protesta auprès d’Arnaud Montebourg quand il apprit que le député PS de Saône-et-Loire, pourfendeur des fonds secrets, témoignait au procès en livrant une description précise de ce mécanisme.

Propriétaire d’un appartement place des Vosges depuis 1984, il a montré lors du procès comment il l’avait payé (2,7 millions de francs, par la revente d’un appartement du boulevard Saint-Germain et trois emprunts), levant le voile sur un patrimoine jusqu’alors bien opaque. «Je n’ai jamais passé une nuit dans un ministère: je trouve que ce n’est mentalement pas bon, explique-t-il. Mon grand-père était l’une des fortunes de Nancy. J’ai souffert à l’école d’être traité de « gosse de riches ». Plus tard, on me soupçonna là-bas de posséder un bar louche à Paris. « Bar louche »: j’ai toujours trouvé l’expression fascinante.»

Témoignant au procès de «l’omerta», le journaliste Daniel Carton, citant un collaborateur de Michel Rocard, fixa à 120 000 francs mensuels les fonds remis au cabinet Lang par Matignon entre 1988 et 1991. Pour un conseiller de Lang, qui vit ces fonds de près, le montant fut de 30 000 francs à la Culture et de 85 000 francs quand l’Education s’ajouta au portefeuille – ministériel – du maire de Blois. «Je n’ai jamais gardé un centime pour moi», assure l’ex-ministre. La vérité est plus nuancée. «Lang ne s’en occupait pas, confie un proche. Deux tiers étaient distribués en primes: certains touchaient, d’autres pas, sans que j’aie su pourquoi. A l’Education, tout le monde percevait. Le dernier tiers allait aux faux frais du ministre, dont ceux de ses officiers de sécurité pour les séjours à Blois.» Mécanisme classique. Conseillère de Lang de 1981 à 1986, Odette Grzegrzulka déclara avoir reçu – à partir de 1983 seulement – 500 francs par mois en liquide Rue de Valois; rempilant de 1988 à 1993, elle ne toucha rien, puis perçut 2 000 francs en prime officielle quand, en 1992, Lang géra aussi la Rue de Grenelle.

Jack et les «nègres»

Comme beaucoup d’hommes politiques, Jack Lang est accusé de faire écrire ses livres. «Je tiens mes manuscrits à disposition», réplique-t-il. Et de n’accepter comme muse récente que ce staphylocoque qui l’alita quinze jours: «J’ai décidé alors de rédiger un livre sur les idées à reprendre du modèle scandinave, ou bien une profession de foi en dix propositions.» Le résultat est Changer (Plon). Un éditeur confie la méthode Lang. «Il arrive avec une idée, jamais gratuite: il va écrire sur François Ier ou sur la Ve République parce qu’il a tel ou tel objectif politique. Un spécialiste ou des documentalistes font un « plâtre ». Lang le lit, fait des remarques et le renvoie à « l’atelier » pour une deuxième version qui va ensuite chez l’éditeur. Ce dernier apporte ses retouches, puis, après un autre passage à ?l’atelier?, Lang met le vernis. C’est un peu comme Rembrandt et ses aides. Lang est perfectionniste, travaille beaucoup, fait des remarques. Il a une vraie culture personnelle, remarque un détail dans des archives, exige qu’il soit évoqué dans un passage du livre, qu’il trouve trop court et fait reprendre selon ses consignes.» Système efficace et habile: l’une de ses plumes avoue n’avoir jamais rencontré Jack Lang? Vrai travail, aussi, à défaut d’écriture totale. «Un jour, il est venu corriger son texte ici, se souvient un autre éditeur. On y a passé un temps infini, il a fallu faire livrer des plateaux-repas, puis d’autres car ils n’étaient pas à son goût?»

Jack et la calomnie

A part Dominique Baudis, aucun homme politique n’a tant subi de calomnies sur ses m?urs que Jack Lang. En janvier 1995, dans la rivalité au PS pour la présidentielle, des jospinistes font courir la rumeur. «Je me souviens d’une réunion place des Vosges où il était effondré, témoigne un proche. Il a dit: « Là, je n’en peux plus. De telles ignominies! »» «On m’a traité alors de pédophile, raconte Lang, parfaitement lucide sur ces ragots. C’était immonde. J’ai trouvé les deux personnages qui racontaient cela. Le premier a fait amende honorable. Le second, je ne lui parle plus.» «Je sais qu’il pense cela, répond ce dernier, qui fut ensuite conseiller de Jospin à Matignon. Il se trompe, je n’ai jamais rien dit.»

En 1996, un «blanc» – document non signé – des Renseignements généraux fait allusion à une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note? détruites depuis. La hiérarchie policière n’accorde aucune crédibilité à l’assertion. Enfin, à l’approche de la présidentielle de 2002, quelques chiraquiens racontent une arrestation de Jack Lang au Maroc, dans une affaire de m?urs, suivie d’une exfiltration discrète organisée par l’Elysée. Pas la moindre preuve, mais les missiles anti-Jospin se préparent, que le 21 avril rendra caducs. «Le plaisir est important dans sa vie privée, conclut un proche, mais il est trop soucieux de la liberté d’autrui pour se livrer à quoi que ce soit d’illégal en la matière.» La capacité de Jack Lang à endurer ces rumeurs et à en parler lui-même, comme il l’a fait avec L’Express, témoigne en tout cas de sa détermination à aller au bout de l’aventure présidentielle.

L’Express, 22/09/2005

Source : Blog du Collectif de Résistance d’Intervention Citoyenne – Manosque

Tags : France, Jack Lang, rumeurs, ragots, pédophilie, pédocriminalité, Jeffrey Epstein,

Le politicien français Jack Lang dit que le don d’Epstein était pour financer un film

L’ancien ministre est confronté à des questions sur l’argent de l’organisme de bienfaisance du financier en disgrâce.

Par PAUL DE VILLEPIN 14/10/20,

PARIS – Le politicien français à la retraite Jack Lang a rompu son silence sur un don important du financier en disgrâce Jeffrey Epstein, disant à POLITICO qu’il était censé financer un film.

En 2018, un an avant son arrestation pour trafic sexuel et son suicide en prison, Epstein a fait un don de plus de 57000 dollars à une association française par le biais de son association caritative privée. Le président, le trésorier et le secrétaire de l’association étaient tous des collaborateurs de longue date ou des amis de Lang, ministre de la Culture de la France au début des années 1980, puis de 1988 à 1993.

La nouvelle du don – rapportée pour la première fois la semaine dernière par le Daily Beast – a soulevé une foule de questions pour Lang, une personnalité éminente du Parti socialiste français étroitement associée à la grande promotion des arts du défunt président François Mitterrand.

L’ancien ministre, aujourd’hui président de l’Institut français du monde arabe, a refusé de répondre à toutes ces questions lorsqu’il est contacté par téléphone mardi. Mais, dans une brève conversation, il a dit que l’argent était destiné à financer un film – sans fournir de détails.

Lorsqu’on lui a demandé si le travail avait commencé sur le film, il a répondu: « Il est en cours de finalisation, je crois. »

Une enquête menée par POLITICO suggère que l’organisation à but non lucratif a jusqu’à présent à peine existé au-delà de quelques formalités administratives de base.

Sylvie Aubry, amie de longue date de Lang et l’un des cofondateurs de l’organisation à but non lucratif, a déclaré lors d’une conversation téléphonique qu’elle «ne se souvenait pas que l’organisation à but non lucratif ait jamais été vraiment active». Elle a également déclaré qu’il «avait été essentiellement mis en place par Jack Lang», bien que le nom du politicien n’apparaisse sur aucun des documents.

L’association à but non lucratif, dont le nom se traduit par «Association pour la promotion de la politique culturelle nationale menée dans les années 1980 et 1990 du XXe siècle» – période pendant laquelle Lang était à la tête de la politique culturelle de la France – a été créée en juillet 2018 par les trois des proches de l’ex-ministre.

Le don de 57 897 $ à l’association est enregistré dans les déclarations de revenus de l’organisme de bienfaisance privé d’Epstein, Gratitude America. L’association est la seule entité française à laquelle Epstein ait jamais fait un don, selon les déclarations fiscales.

La mission de l’association française, détaillée dans les documents soumis au registre local des ONG et obtenus par POLITICO, était de «pérenniser les relations entre les milieux culturels et économiques [en France]», de «favoriser les liens entre les créateurs, les chercheurs et les producteurs qui en découlent » et « soutenir la production d’œuvres de création … y compris audiovisuelles et cinématographiques, visant à sensibiliser à cette politique ».

« Ce sont des gens qui ont collecté des fonds pour financer un film, c’est tout », a déclaré Lang.

Lang a renvoyé POLITICO à son bureau pour d’autres questions. Son bureau a refusé de répondre à de multiples demandes de commentaires et de clarifications, notamment à quel stade en était le film ou à son sujet.

On ne sait pas si l’organisation à but non lucratif avait d’autres donateurs. Aubry a déclaré qu’elle n’avait aucune connaissance du don d’Epstein et qu’elle n’avait jamais reçu de revenu via l’organisation à but non lucratif.

Fleuriste et ami

Fleuriste qui travaille notamment pour l’hôtel de luxe parisien Le Meurice, Aubry est un ami de longue date de Lang.

Sur une photo datée du 27 avril 2018 et publiée sur son profil Instagram, on peut voir Lang se livrant à du thé et des pâtisseries sous une toile monumentale de plafond en or et ocre peinte à la main dans le restaurant du Meurice. Elle a posté une autre photo de Lang célébrant un anniversaire de famille en décembre de l’année dernière.

En juin 2018, Aubry a signé un protocole d’association, une déclaration légale signée par tous les administrateurs acceptant de former l’association.

Contactée par POLITICO, Aubry a d’abord déclaré qu’elle n’était pas au courant de l’existence de l’organisation à but non lucratif. Plus tard dans la conversation, elle a dit qu’elle se souvenait que Lang avait discuté du projet avec elle et « en gros mis en place ».

Dans une conversation téléphonique ultérieure, Aubry a déclaré: «à un certain moment, je me souviens qu’on m’avait demandé si je voulais [créer l’association à but non lucratif] et j’ai dit oui. Elle a dit qu’elle croyait que l’organisation à but non lucratif avait l’intention de «faire un film sur la culture dans les années 1980 et 1990 ou quelque chose du genre», mais a refusé de fournir des preuves matérielles du projet de film.

Dans les archives publiques, l’organisation répertorie une adresse dans le 14e arrondissement de Paris, dans un immeuble majoritairement occupé par des cabinets de médecins où réside également Aubry. L’organisme à but non lucratif n’est actuellement pas répertorié parmi les boîtes aux lettres et les buzzers du bâtiment.

Le groupe ne semble pas avoir de présence en ligne. L’Observatoire français des politiques culturelles, un organisme national étroitement impliqué dans la vie culturelle à travers le pays, a déclaré qu’il n’avait jamais entendu parler de l’organisation à but non lucratif.

Aux côtés d’Aubry dans la structure de gouvernance de l’association, on trouve Christophe Degruelle, coté président, et Jacques Renard, coté trésorier.

Degruelle a travaillé comme chef de cabinet de Lang lorsque ce dernier était ministre de l’éducation et a passé trois ans à conseiller Lang à l’Institut du monde arabe. Degruelle occupe désormais un poste élu de président de la communauté urbaine de Blois, ville de la vallée de la Loire où Lang a été maire pendant 11 ans. Ils y ont été photographiés ensemble lors d’un événement culturel en octobre 2018.

Degruelle n’a pas répondu à plusieurs messages et e-mails sollicitant des commentaires.

Renard était le chef de cabinet de Lang au ministère de la Culture. Il a refusé de répondre aux questions en personne et par téléphone.

Lien Lang
Bien que le nom de Lang n’apparaisse pas sur les documents officiels de l’organisation à but non lucratif, son nom rappelle son activité politique dans les années 80 et 90.

Lang est largement reconnu pour son rôle en rendant la culture plus accessible à un public de masse et pour la création d’un festival de musique de rue populaire (Fête de la Musique) organisé chaque année le premier jour de l’été, lorsque des musiciens amateurs donnent des spectacles gratuits en plein air. à travers le pays.

En 2013, le président français de l’époque, François Hollande, l’a nommé président de l’Institut du monde arabe, un centre culturel dédié à la civilisation arabe à Paris. Lang a également été conseiller spécial de Ban Ki-Moon lorsqu’il était secrétaire général des Nations Unies.

En août 2019, Lang a déclaré à France Info qu’il connaissait Epstein. Il a dit avoir rencontré Epstein lors d’un dîner en l’honneur de Woody Allen en 2012 à Paris. Lang a exprimé son soutien au réalisateur – également un ami d’Epstein – à la suite d’accusations d’abus sexuels portées par sa fille adoptive Dylan Farrow. En janvier 2018, le jour où Dylan Farrow a détaillé les abus présumés de son père dans sa première interview télévisée, Lang a tweeté «#WoodyAllenforever». Allen a nié à plusieurs reprises les accusations.

Lang a déclaré qu’il n’avait déjeuné à l’appartement d’Epstein sur l’avenue Foch près des Champs-Elysées qu’une seule fois et a qualifié le financier de «personne charmante, courtoise et agréable».

«Il est vrai qu’il était souvent accompagné de jolies femmes, mais qui n’étaient évidemment pas mineures», a-t-il déclaré à France Info. Lang a dit qu’il était sidéré quand il a appris «toutes ces histoires à son sujet».

Lang a également invité Epstein en mars 2019 à célébrer le 30e anniversaire de la pyramide du Louvre, en présence également du ministre de la Culture de l’époque, Franck Riester.

Rien n’indique que Lang ait participé aux crimes d’Epstein. L’ancien ministre n’a fait l’objet d’aucune accusation de la part d’aucune des victimes d’Epstein.

Epstein a d’abord plaidé coupable à une accusation de sollicitation de prostitution impliquant un mineur en 2008, et a été condamné à 18 mois de prison en Floride, dont il a purgé 13 ans. Le financier a ensuite été contraint de s’inscrire comme délinquant sexuel.

Il a de nouveau été arrêté en 2019 et accusé d’avoir abusé sexuellement de nombreuses filles mineures pendant plusieurs années.

Dans les années qui ont suivi sa première peine de prison, Epstein a vanté ses efforts philanthropiques dans des communiqués de presse hagiographiques réguliers, se décrivant comme un mécène des arts et des sciences dans le but de raffermir sa réputation.

La fondation Gratitude America d’Epstein a été créée en 2012 pour «apporter un soutien à d’autres organisations du monde entier qui cherchent à célébrer les États-Unis d’Amérique et les idéaux américains, notamment la liberté, l’égalité, la démocratie, l’individualisme, l’unité et la diversité».

L’argent de la fondation proviendrait d’un don de 10 millions de dollars effectué par l’intermédiaire d’une société à responsabilité limitée liée au milliardaire de capital-investissement Leon Black.

Gratitude America a mis en banque via Deutsche Bank AG, a rapporté le Wall Street Journal, qui a été condamné en juillet 2020 à une amende de 150 millions de dollars «pour manquements importants à la conformité», dans ses relations avec Epstein.

Deux des associés d’Epstein en charge de Gratitude America, les avocats Darren Indyke et Erika Kellerhals, n’ont pas répondu à plusieurs messages et appels demandant des commentaires.

Les activités philanthropiques d’Epstein ont fait l’objet d’un examen minutieux. Le scandale Epstein a incité à un compte philanthropique d’accepter des dons de sources corrompues. Plusieurs scientifiques, organisations à but non lucratif et institutions, telles que Harvard, ont été critiquées pour avoir reçu des millions d’Epstein.

Selon Patricia Illingworth, professeur d’éthique à la Northeastern University aux États-Unis, il est difficile de justifier la sollicitation ou la réception d’argent de donateurs controversés comme Jeffrey Epstein.

«Epstein a violé les droits des jeunes filles» et il y avait «toutes les raisons de croire qu’il [ferait] de mauvais actes à l’avenir», a-t-elle déclaré.

Epstein a été arrêté le 6 juillet 2019 à l’aéroport de Teterboro dans le New Jersey à son arrivée de France.

En août 2019, à la suite du suicide d’Epstein dans sa cellule de prison à New York, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur des infractions sexuelles présumées liées aux activités du financier en France.

Source : POLITICO, 14 oct 2020 (traduction non officielle)

Tags : Jack Lang, Jeffrey Epstein, pédophilie, pédocriminalité,

Maroc / Les bonnes: L’esclavage des temps modernes

« Aujourd’hui, c’est le premier jour du mois sacré de Ramadan. Je me suis réveillée à l’aube pour préparer le s7our à toute la famille. J’ai fait le plateau de la fille de Lalla, et je l’ai monté dans sa chambre. C’est drôle quand même, d’imaginer toute une chambre et toute une salle de bain pour une seule personne, bon je me perds là, j’en reviens au s7our. Quant à Lalla et Sidi, je leur ai dressé une table dans le jardin, et j’ai mis les « Sllayates » en direction de la Mecque pour qu’ils puissent prier à l’air frais. Ils aiment bien sentir l’odeur des orangers pendant leur prière de l’aube. Et moi, en ce beau matin, comme tous les autres, je m’installerai dans la cuisine des bonnes, et je mangerai un morceau de pain de bonnes, tartiné de margarine de bonnes, avec du lait de bonnes, agrémenté de dattes de bonnes, pour finir par un verre d’eau du robinet, mais du robinet des bonnes. Puis j’irai dans ma petite chambre de bonne, dormir une heure de plus, peut être deux, avant que Lalla ne me bipe pour me réveiller.

8h30, mon Nokia 1100 me fait l’effet d’un marteau piqueur sur la nuque, j’ai envie de le fracasser contre un mur mais ces trucs là sont indestructibles. Je le sors de sous l’oreiller, c’est Lalla, il est temps de se réveiller. Je vais faire ma toilette, comme vous l’avez deviné, dans ma salle de bain de bonne, et puis je fais ma prière. Ce matin, je prie de rencontrer Mouhanad quand j’irai faire les courses avec Lalla, qu’il tombera sous mon charme, et que je partirai avec lui en Turquie, là où il habite. Plus sérieusement, je prie pour que Lalla oublie de fermer la porte de sa chambre à clés. Bref, au boulot.

Lalla dépose le petit à l’école, et Sidi la grande au lycée. Je monte donc ranger les chambres des enfants. La fille de Lalla garde une chambre nette et rangée, ce qui me facilite énormément la tâche. Je n’ai plus qu’à faire la poussière, le parterre, la salle de bain, changer les draps, faire les carreaux, et plier le linge, une quantité astronomique de linge. Je suis sure qu’elle ne remet jamais la même chose deux fois la même année. Elle est gentille, on a quasiment le même âge, et elle me demande toujours de lui tenir compagnie. Elle me raconte ses prouesses amoureuses, elle me maquille, je lui raconte mes histoires avec L’hachmi. Par moment, je sens une véritable complicité s’installer entre nous, puis je me souviens qu’on ne vient pas du même monde, et puis c’est tant mieux, si elle pense que nous sommes complices, elle ne se doutera jamais que c’est moi qui lui ai volé sa chaine en or.

Je passe à la chambre du petit, le gosse le plus bordelique de la planète. Lalla dit que c’est parce qu’il est créatif, et que retourner tous ses placards sens dessus dessous est un moyen d’expression qui cache un grand génie. Moi j’appelle ça, « 9ellet tterch » (carence en gifles). Heureusement, son tiroir est ouvert, une grosse enveloppe pleine de billets de 100 m’aguiche depuis tout à l’heure, c’était son cadeau d’anniversaire. Quelle idée, donner des sommes aussi obscènes a un gamin de 10 ans. Je me serre copieusement, ça m’aidera à ranger son bordel. Je déteste les gosses.

Je me dirige vers la chambre de Lalla, elle est fermée à clés. Bon, tout à l’heure alors. Je descends en cuisine, je m’attèle à la tâche. Nous avons des invités ce soir. Il faut commencer par épousseter tous les salons, frotter le marbre du parterre au savon noir, puis passer la serpillère. Faire une machine ou deux et commencer à préparer le ftour et le diner. J’ai la tête qui tourne, j’ai faim, et il n’est que midi. Lalla rentre, elle m’ouvre la porte de sa chambre, j’ai 15 minutes chrono pour la ranger sous son œil inspecteur. Je ne peux me permettre de rien prendre, trop risqué. Elle inspecte les chambres de ses enfants, me reproche la poussière sur les jouets du petit, et puis nous nous dirigeons vers la fournaise, pardon, la cuisine pour finir les repas.

16h, Lalla vas faire sa prière puis une petite sieste. J’essaye de tout bâcler en cuisine pour en faire autant. J’emmène tout de même un panier à linge dans ma chambre qui me servira potentiellement d’alibi. 17h15, je me réveille, je me lave le visage, et je remonte en cuisine. Ma sieste m’a fait du bien. Bientôt, j’entends Lalla m’appeler. Merde, je suis sure que je me suis faite choper, mon père va me couper les jambes. Je vais la voir, et en fait non, elle ne s’est toujours pas rendu compte de mon crime. Elle a un cadeau pour moi, un sachet Marjane, avec un pyjama de bonnes, et des sandales de bonnes. C’est gauche mais je dis merci quand même. Alors qu’elle passe sa vie à s’acheter des chandails en cachemire chez Un Deux Trois, elle aurait pu faire l’effort d’au moins aller dans un vrai magasin, au lieu de m’acheter un pyjama difforme de grande surface. Est-ce trop bien pour moi? Ou suis-je trop « Bonne » pour ça. Mais bon, c’est le geste qui compte. Ce n’est pas finis, elle me tend une enveloppe, me fait la bise et me lance un « mabrouk l3wacher » chaleureux. Mon père ne m’a toujours pas souhaitée un ramadan mabrouk. Ça me touche. Il y a 5 billets de 100 dans l’enveloppe. J’espère qu’elle ne le dira pas à mon père pour que je puisse les garder. Motivée, je retourne en cuisine, je finis de préparer les plats, je dresse la table, tout va très vite.

Les invités commencent à arriver, tout est prêt. Nous n’attendons plus que l’Adane. Allahou Akbar, et c’est parti, les invités commencent à manger, je ne mangerai pas avant 20 minutes, je dois sortir les jus frais du frigidaire, servir les briouates du four. Je romprai le jeune en 10 minutes avant de faire le café. Une fois le café servi, et les plateaux jonchés de bouffe revenus en cuisine, je me jette dessus comme une sauvage. Je mords à pleines dents dans tous les choux à la crème qu’on m’a toujours refusé parce que ce n’était pas pour les bonnes, je n’arrête pas de mâcher. J’en profite à fond. Les plateaux de café et de thé reviennent, merde, plus de café. Tant pis, je me ferai un café de bonnes, c’est dégueulasse mais au moins c’est du café. Peut-être aurais-je plus de chance demain. Je range la cuisine et puis Lalla revient me voir. Elle a une nouvelle à m’annoncer. Demain, une nouvelle fille viendra travailler avec moi, elle ne passera pas la nuit et sera sous ma supervision. Elle s’occupera de ranger les chambres et je m’occuperai de la cuisine. Elle constitue pour moi, le parfait bouc émissaire à ma main légère. Hamdoullah. Quelqu’un sonne à la porte, c’est mon père. On est vendredi, il vient, après les prières des tarawi7, récupérer mon salaire hebdomadaire, l’équivalent de 40 euros. Lalla ne l’as pas mis au courant du petit cadeau qu’elle m’avait fait plus tôt. Hamdoullah. Plus tard, je compterai mon petit butin de la journée, et je le rajouterai à ma cagnotte. Bientôt, j’irai à Dubaï à travers une passeuse que j’ai rencontrée au Hammam. Dubai, c’est mon Eldorado, c’est un nouveau monde qui s’offre à moi. »

Au Maroc l’esclavage persiste. Les femmes de ménage sont une marchandise efficace à prix bas, vendues de force par leurs familles, ou par leurs conditions, à des bourreaux qui se pensent bons et altruistes alors qu’ils ont le cul entre deux chaises: considérer la bonne comme un membre de la famille, ou la considérer comme un employé avec qui il faut entretenir des relations professionnelles. Notre société schizophrène, fait de la bonne son amie et son ennemie. Jamais assez bonne pour vivre comme ses maitres, et toujours trop bonne pour bénéficier de la CNSS. Il est grand temps de rendre son humanité à la femme de ménage, et d’arrêter cette hypocrisie qui fait que Lalla pleure en regardant Enquête Exclusive qui relate la souffrance des Philippines dans les foyers américains, alors que s a bonne est entrain de faire les 12 travaux d’Hercules en vue de la réception du lendemain.

Source : La vérité qu’on n’ose pas dire 

Tags : Maroc, bonnes, esclavage, exploitation, abus, viol, pédocriminalité, pédophilie, ménage, travaux ménagers,

Maroc : pédophile se fait passer pour chirurgien plastique

Selon le site Marokko.nl, un homme a été arrêté jeudi dans la localité de Zeghanghane, province de Nador, qui se faisait passer pour chirurgien plastique comme appât en vue de faire tomber un garçon 13 ans dans ses prétensions pédocriminelles.

L’homme de 32 ans a promis au garçon de lui pratiquer gratuitement une opérations chirurgicale pour reconstruire son nez. Il est poursuivi par la justice suite à une plainte déposée par la mère de l’enfant après avoir découvert la superchérie du suspect dont le but était d’abuser de son fils.

Les services de sécurité ont confirmé l’arrestation de l’homme qui se trouve en garde-à-vue pendant que l’enquête suit son cours.

Selon la même source, l’arrestation intervient à un moment où l’on observe une montée remarquable des cas signalés de pédophilie et d’autres crimes contre les enfants au Maroc. « Le sujet a fait la une des journaux depuis la mort tragique d’Adnane Bouchouf, le garçon de 11 ans a été enlevé, violé et assassiné à Tanger début septembre », indique-t-on.

A cet égard, le site rapporte que « dans les semaines qui ont suivi, d’autres délits sexuels ont été mis en avant dans les médias marocains ». « Dans le pays, il y a des appels massifs pour des peines plus lourdes pour les crimes contre les enfants. Quelque 640 000 personnes ont demandé la peine de mort pour l’assassin d’Adnane par le biais d’une pétition sur Facebook. Le Maroc n’a pas appliqué la peine de mort depuis 1993 », a-t-il ajouté.


« Mardi, un couple a été condamné à la peine de mort par le tribunal de Tanger pour son implication dans le meurtre d’un enfant de 7 ans. Le père et la belle-mère ont tué leur enfant en novembre 2019, l’ont démembré, en ont gardé une partie au réfrigérateur et une partie dans une décharge à Larache », conclue la source.

Tags : Maroc, Pédophilie, pédocriminalité, crime, enfance, viol, 

L’élitisme « à la française » a bien protégé la pédophilie

Selon un témoignage réel que je recueillis de vive voix il y a une vingtaine d’année d’une estimable personne, en lien avec la Direction de la Protection de la Jeunesse, Ministère de la Justice, la pédophilie était…fort bien vue dans le microcosme local de la capitale. « On ne peut pas faire grand chose côté Justice, me disait ce professionnel découragé, les protections de la pédophilie sont très puissantes à Paris. C’est difficile »

La personne était écoeurée des affaires judiciaires étouffées tel le scandale public de Jack Lang au Maroc, entre beaucoup d’autres dossiers dont ce pro avait connaissance et bien évidemment ne partageait pas, secret professionnel oblige. Chape de plomb.

La pédophilie touche traditionnellement TOUS les milieux liés à l’enfance tels l’Education Nationale, l’Eglise… mais pas seulement.

Les délinquants « puisent  » dans leur vivier. A cette époque carrément à la vue de tous comme l’affaire Franck Demules, cette victime publique du pédophile Hennion. En 2009 il publie aux Editions du moment Un petit tour en enfer. Entre 1977 et 1986, de ses 10 à ses 18 ans, il a été abusé par Christian Hennion, alors journaliste à Libération.

Ce qui choque ici et ce que démontre l’affaire Matzneff est cette accointance, tolérance pour l’intolérable. On cite donc les nombreuses affaires françaises dans des milieux qui valorisaient cette « utilisation » (illégale) de mineurs: Hamilton, le couple Bergé-Yves Saint-Laurent et leur Villa Majorelle, les années Mitterrand, les soixante huitards type Cohen-Bendit, l’affaire étouffée du Coral et des pontes de la mitterrandie, Jack Lang cité ici aussi pour Coral. Idem Matzneff !!

LA DERIVE SOIXANTE HUITARDE … DOLTO

Des lieux de vie animés par les mouvements d’antipsychiatrie des années 70 sont concernés (Affaire Père Jaouen) . Dolto, Foucault pris dans le même panier. La psychanalyste Dolto avait signé une pétition pour libérer des pédophiles notoires et racontait souvent n’importe quoi (dont les propos de 1979). Elisabeth Roudinesco analyse aujourd’hui ici les accointances théoriques des praticiens avec la pédophilie, une véritable dérive idéologique: Comment réagissez-vous à la polémique autour de certains textes de Françoise Dolto publiés dans le Canard enchaîné en janvier ?Françoise Dolto tenait souvent des propos insensés, notamment quand elle a commencé à être célèbre et qu’elle répondait n’importe quoi à n’importe qui. Dans toutes les citations bien connues, recueillies depuis des lustres sur Internet, c’est toujours la même litanie : elle prend les enfants pour des adultes parce qu’elle leur reconnaît, à juste tire, un statut de sujet, confond l’inconscient avec le conscient et accumule des cas particuliers tirés de sa clinique, comme si elle s’adressait à un cercle d’initiés : les femmes battues désirent «inconsciemment» être battues, les enfants aiment séduire «inconsciemment» les adultes, notamment leurs pères, etc.

L’enfant version Dolto serait une personne et donc maître de son corps? Belle aubaine pour les pédophiles ! « L’enfant qui chercherait à le séduire Lui le bel adulte « est effectivement un leitmotiv du discours de justification chez Matzneff. Voici le parfait signe de la perversion. Le délinquant se dit tellement séduisant que même un enfant le désire !

Matzneff – mêlé depuis longtemps à de véritables affaires judiciaires de pédophilie- qui « consomme » de jeunes garçons en Asie et s’en vante dans ses écrits passe pourtant sa vie sans être inquiété par la Justice. Un peu questionné mais protégé. Il continue à publier ses livres chez Gallimard, (éditeur de pédophilie dans le texte) émaillant même ô perversion, ses écrits de messages codés à ses victimes !

Denise Bombardier avait dit elle clairement son fait à G. pédophile de salon sur le plateau d’Apostrophes il y a plusieurs années sans trouver le soutien de Bernard Pivot. La québécoise se prit même une bordée d’injures du microcosme parisien (Philippe Sollers etc.)

Jusqu’au livre d’une femme courageuse paru en janvier : Vanessa Springora.

VANESSA SPINGORA EMPLOIE LA METHODE DU « PREDATEUR G »: PAR UN LIVRE, …COMME FLAVIE FLAMENT!

La France est incroyable de « détours ». Deux femmes victimes vont faire bouger les lignes. Comment ?? En employant la méthode des pédophiles artistiques soutenus par le microcosme parisien: écrire des livres ! Et c’est seulement à ce moment là que leurs « fictions » ramènent au réel du scandale.

Juste parce que des….livres sont écrits, la « France qui décide »commence enfin à se regarder dans le miroir !!! Par le miroir de la littérature, ô France des Lumières, ô miroir de la Galerie des Glaces…

TROIS FEMMES ECRIVENT

Vanessa Springora prend donc le chasseur à son propre piège : elle couche M. G (pas l’ange Gabriel..) par écrit, dans un roman autobiographique. Le scandale éclate.

La parole se libère jusque dans le sport avec le livre de Sarah Abitbol contre Monsieur O (Monsieur Ordure!) On se souvient de celle qui a courageusement ouvert le ban Flavie Flament qui dénonca David Hamilton le photographe britannique délétère post 68 des jeunes filles en fleurs.

Il fallait une sacrée dose de courage de la part de ces femmes marquées à vie. Au risque de leurs relations familiales. Flavie Flament s’est fâchée avec sa mère postérieurement au livre (accusée d’avoir laissé une jeune ado dans les mains du prédateur juste parce qu’il était connu) Idem Vanessa Springora vient de perdre son père suite à la publication du livre.

L’ENQUETE DU NEW-YORK TIMES

La société française de 2020 (celle des Gilets Jaunes anti-élite et …pas seulement !) n’est plus prête à accepter les dérives dites « parisianistes » (de parisiens souvent montés de leur province. L’un n’empêche pas l’autre!) qui s’accaparant le pouvoir économique, politique, éditorial, médiatique, journaliste, culturel, décidant de leurs propres normes d’acceptabilité en dépit des Lois.

Quel média a soutenu Denise Bombardier en son temps ? Le traitement médiatique des infos sur les affaires pédophiles tenait du caricatural : depuis les années 70 la presse de gauche soutenait le plus souvent pédophilie. Souvent celle d’extrême-droite dénonçait. Et globalement rien

En France, certains membres de la « soit-disant » élite se devaient de « consommer » des enfants mineurs filles ou garçons tels des ogres voraces. Ou de dire par la médiation d’un livre ou d’un art combien la pédophilie est sublime (Dolto, Cohen-Bendit et les autres..)

Ils avaient la capacité d’étouffer les dossiers de pédophilie.OUI L’élite française est au bien banc des accusés ! On apprécie infiniment le titre de l’article de Norimitsu Onishi du New-york Times publié le 11 février 2020 : « Un écrivain pédophile — et l’élite française — sur le banc des accusés »

Le journal Libération a fait difficilement et tardivement son autocritique.

Grâce aux victimes courageuses, la parole a enfin trouvé son chemin.

Blog de Sylvie Neidinger

Tags : France, pédophilie, Jack Lang,

Le tourisme sexuel, un autre phénomène social marocain

Le Maroc est depuis plus d’une dizaine d’années déjà, une terre d’élection pour le tourisme sexuel. Certaines villes comme Marrakech, Casablanca, Tanger ou Agadir sont un eldorado pour les touristes sexuels et pédophiles. Mais l’ampleur de ce fléau est bien plus grande : beaucoup de marocaines prostituées s’envolent vers les riches pays du Golf pour exercer leur métier. Quelle est l’histoire du tourisme sexuel marocain ? Quels sont les principaux bénéficiaires ? Quelles en sont les causes et les conséquences ? Découvrons le Maroc de l’ombre.

L’Afrique du Nord en général, mais en particulier le Maroc, est une destination incontournable pour quiconque désire passer une nuit à l’orientale, en compagnie d’une de ses nombreuses prostituées. Le tourisme sexuel est né à l’époque coloniale. En effet dans les années 1930 et 40, lorsqu’elle avait le statut de ville internationale, Tanger était connue pour être une destination très prisée par les français et les espagnoles. Au lendemain de l’indépendance du Maroc, et à partir des années 60, ce sont surtout les touristes sexuels espagnols qui continuent de fréquenter Tanger. Ces touristes traversaient le Détroit pour venir s’offrir les charmes d’une population parfois très jeune (certaines filles ont à peine 10 ans !). Mais, à l’époque, ce phénomène restait marginal, et était perçu comme un véritable tabou. Il faudra attendre les années 70 et surtout, les années 80 pour qu’il prenne de l’ampleur. Marrakech, Casablanca et Agadir deviennent les pôles d’attraction préférés des allemands, français et scandinaves.

Il est vrai que c’est pendant les années 1980 que la mauvaise réputation des Marocaines s’est établie. Mais la réputation des Marocaines ne se répand pas qu’en Europe. Les Moyen-orientaux, qui avaient pour coutume de faire débauche au Liban et en Egypte, se sont détournés de ces régions secouées par la guerre civile libanaise et celle d’octobre 1973 pour se diriger vers le Maroc, au climat politique relativement stable, mais en pleine crise économique et à la veille du Plan d’ajustement structurel. Dans ce contexte rigide, les pétrodollars ont représenté une « bouée de sauvetage » pour le royaume, qui a donc gracieusement ouvert ses portes aux Saoudiens et aux koweïtiens les plus vicelards. “Le tapis rouge a été déroulé pour ces Moyen-orientaux qui payaient nos fonctionnaires. Des pères se sont transformés en maquereaux et certaines femmes ont offert leur ‘savoir-faire’. C’est ainsi que de nombreuses familles pauvres se sont enrichies avec ‘Flouss Sa3oud’”, témoigne Harakat.

Le temps a fait que beaucoup parmi ces touristes du Golfe, s’installent de façon définitive au Maroc, où ils fondent des familles avec femmes et enfants. Au début des années 90, après l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie, des jeunes Algériens débarquent par milliers pour épancher leurs frustrations dans les bordels miteux de certaines villes du moyen Atlas comme Azrou, Imouzzar, El Hajeb et Khénifra.

Les Algériens cessent de venir au Maroc à partir 1994, mais une autre forme de tourisme sexuel né. Malgré le fait que Marrakech, Casablanca et Agadir restent de véritables paradis sexuels, beaucoup de prostituées marocaines migrent vers les pays du Golf pour exercer leur métier, le plus souvent dans le luxe.

Meriem a 27 ans et est consultante dans le secteur des télécoms à Dubaï, elle a souvent dû faire face aux préjugés, liés à son origine. « Ah, vous êtes Marocaine ? Vous savez ce que l’on dit sur vos femmes, elles sont belles mais très légères » . Malheureusement une remarque pareille reste assez polie par rapport à ce qu’elle entend quotidiennement depuis qu’elle vit aux Emirats arabes unis. Un nombre impressionnant de Khalijis ne se barricadent pas d’autant de politesses: pour certains, les Marocaines sont toutes des prostituées… alors que ce sont bien souvent les premiers clients.

Hélas confrontées à un choix crucial, les autorités marocaines hésitent entre un verrouillage sécuritaire qui peut avoir pour conséquence la déroute des touristes, ou une attitude passive avec le risque de laisser la situation s’envenimer et se dégrader. Néanmoins, plusieurs associations ont vu le jour pour lutter contre le tourisme sexuel et la pédophilie. Parmi elles, l’association Touche pas à mon enfant, dirigée par Najat Anwar, est l’une des plus actives en matière de lutte contre la pédophilie. Il y’a quelques années, elle a été rejointe par l’Association marocaine des Droits de l’Homme (AMDH). Cependant, malgré les efforts de l’administration, la création en 1994 d’une police touristique, le jugement depuis 2001 pour des affaires de pédophilie et de prostitution de plus d’une centaine de touristes vacanciers ou de retraités occidentaux installés au Maroc, nous avons encore un long chemin à parcourir pour pouvoir désherber ce phénomène.

Source 

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De Marrakech à Agadir, le tourisme sexuel se développe au Maroc

Le royaume, qui voit débarquer depuis le tsunami en Asie d’anciens habitués de la Thaïlande, veut éviter des scandales publics. Un Français a été condamné dans une affaire de pédophilie

A une journaliste marocaine qui voulait enquêter sur le sujet, la police a conseillé de changer de sujet. La réputation de Marrakech était en jeu. La réputation de la ville risquait d’être éclaboussée par une affaire de pédophilie embarrassante. Le silence l’a donc emporté. Hormis quelques lignes dans de rares journaux, la presse s’est tue.

Pourtant, un homme est mort, probablement assassiné au mois de mai, deux autres sont sous les verrous, et des dizaines d’adolescents victimes de sévices sexuels ont été placés dans des établissements spécialisés.

Tout a commencé par une dénonciation à la police. Un jeune homme d’une vingtaine d’années, Imad Aït Bich, est venu raconter à la mi-mars comment un Français, Hervé L. G., agent immobilier installé à Marrakech depuis plusieurs années, attirait à son domicile des enfants d’une quinzaine d’années à qui il faisait jouer des scènes érotiques devant une caméra. C’est un certain Moustapha qui jouait les rabatteurs. Pour attirer les adolescents, tous issus du même quartier populaire, il leur offrait de menus cadeaux, un peu d’argent ou quelques friandises. Une fois gagnée leur confiance, il les amenait au domicile d’Hervé.

En avril, pendant près de deux semaines, des policiers ont surveillé le domicile du Français. Ils ont recueilli les premiers témoignages, puis sont intervenus, en flagrant délit : un garçon est chez Hervé et la caméra tourne.

La police saisit à son domicile des dizaines de milliers de photos et de courts films enregistrés sur un ordinateur. On y voit la cinquantaine d’enfants recrutés à Marrakech, mais pas seulement. A la grande surprise des enquêteurs, les séquences mettent aussi en scène des adolescents d’origine asiatique et africaine. D’où viennent les images ? L’enquête n’a pas encore permis de l’établir.

La justice a été aussi rapide que clémente à l’encontre du Français, condamné à quatre ans de prison tandis que son complice écopait de deux ans. « Ce n’est pas cher payé » , convient un enquêteur. Il est vrai qu’Hervé ­ qui a fait appel de la décision ­ a reconnu les faits tout en affirmant qu’il agissait seul, qu’il n’appartenait à aucun réseau organisé et que ses photos ne circulaient pas sur Internet.

Est-ce vrai ? Un témoignage le contredit. Celui d’Imad, un jeune homme de 23 ans qui a alerté la police et fourni les coordonnées des victimes. Pour reprendre l’expression d’un policier, Imad, fines lunettes et regard intelligent, était « un homme de la nuit » . Il avait fait de la prison pour escroquerie. Il connaissait bien le Français et son associé. En même temps qu’il se tournait vers la police, Imad avait contacté Le Monde et fourni par écrit des renseignements détaillés. A l’en croire, Hervé était le chef d’un réseau de pédophilie auquel appartenaient des personnalités locales et des Européens installés à Marrakech. Il avait établi une liste de neuf noms.

Que vaut son témoignage ? On ne le saura jamais. Le dimanche 22 mai, au terme d’une course poursuite dans la médina, Imad, talonné par quatre hommes qui le surveillaient, a été retrouvé pendu dans un hangar désaffecté. Pendu ou étranglé ? Un mois après le drame, la police n’a toujours pas transmis les conclusions de l’autopsie à son père, un enseignant. « Il y a eu une chasse à l’homme et mon fils a été poussé au suicide » , clame Aziz. « Imad a sans doute payé parce qu’il nous avait mis sur l’affaire de pédophilie » , ajoute un policier de Marrakech sous le couvert de l’anonymat.

DES DIZAINES D’ENFANTS

D’Imad, son père a conservé le journal qu’il tenait en prison un an auparavant. A la date du 20 septembre 2004, Imad écrivait : « J’ai rien fait de beau (…) et je me retrouve avec un tas de problèmes sur le dos mais, inch Allah, je vais tâcher de mettre au point un programme strict pour sauver ma vie. »

Pour exceptionnelle que soit l’affaire, le détournement de dizaines de mineurs par un étranger n’étonne pas vraiment les habitants de Marrakech. Le tourisme sexuel se développe rapidement dans la ville ocre.

Le tsunami de 2004 en Asie n’a fait qu’accélérer le phénomène : Marrakech a vu débarquer des habitués de la Thaïlande. « La police surveille les riads dans la vieille ville, mais elle ignore ce qui se passe dans les villas de la palmeraie louées une fortune » , lance une Française, Michèle, qui travaille dans une agence immobilière, très exigeante sur la qualité des locataires, insiste-t-elle. Les responsables municipaux sont conscients du phénomène. Le maire de la ville, Omar Jazouli, affirmait ainsi début mai : « Nous ne voulons pas que la ville devienne un rendez-vous de la débauche (…), qu’elle soit étiquetée comme une plaque tournante de la dépravation. »

Le tourisme sexuel n’est pas l’apanage de Marrakech. Une autre affaire, de bien moindre ampleur puisqu’elle implique des femmes adultes, a éclaté ces dernières semaines à Agadir. Tout est parti de cédéroms de photos pornographiques vendus dans des boutiques de la cité balnéaire. Les dizaines de filles qui posaient étaient des habitantes d’Agadir. Elles ont déclaré à la police avoir été abusées par un Belge familier de la ville, qui leur promettait mariage et vie meilleure en Europe.

Diffusées sur un site Internet, les photos, prises entre 2001 et 2004, ont été récupérées par des tiers avant d’être vendues sous le manteau. Le code pénal marocain réprimant la pornographie, même à caractère privé, douze femmes ont d’ores et déjà été condamnées à des peines de prison (jusqu’à un an). D’autres sont en fuite. D’autres encore attendent d’être fixées sur leur sort.

Par Jean-Pierre Tuquoi (avec Jean-Pierre Stroobants à Bruxelles)

Le Monde : 21 juin 2005

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Maroc / Accusations de pédophilie : des témoins étayent les déclarations de Luc Ferry

Plusieurs personnes ont raconté aux policiers que leurs vacances au Maroc avaient été perturbées par des affaires d’agressions sur mineurs.

Stéphane Sellami | Publié le 24.06.2011, 07h00

Alors que beaucoup la pensaient déjà terminée, l’« affaire » Luc Ferry connaît un prolongement inattendu. Selon nos informations, plusieurs personnes se sont présentées, ces dernières semaines, dans les locaux de la brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire de Paris, après les déclarations de l’ancien ministre de l’Education nationale (2002-2004) sur des actes de pédophilie dont se serait rendu coupable un ancien ministre de la République au Maroc.

Ces témoins ont livré des éléments « concrets » aux enquêteurs, notamment sur les dates et les lieux des faits relayés par Luc Ferry, le 30 mai sur les plateaux de Canal +.

A l’époque, le philosophe avait déclaré avoir eu connaissance de l’histoire d’un ministre qui se serait fait « poisser » avec de jeunes garçons, il y a quelques années, alors qu’il se trouvait dans un hôtel à Marrakech. Luc Ferry avait assuré tenir cela des « plus hautes autorités de l’Etat » et notamment d’un Premier ministre, sans en préciser le nom.

« A la suite de ces déclarations et de l’audition de l’ancien ministre de l’Education nationale par les policiers, le 3 juin, différentes personnes ont décidé de témoigner spontanément, confie une source proche de l’affaire. Plusieurs ont notamment relaté s’être retrouvés bloquées, pendant plusieurs heures, dans leur hôtel par la police marocaine au cours de leur séjour à Marrakech. Elles ont ensuite été informées qu’elles avaient été retenues après la découverte de faits criminels commis sur des mineurs dans leur hôtel. »

Toujours selon nos informations, plusieurs des personnes entendues ont fourni des précisions sur leur période de présence dans le royaume chérifien. Les policiers de la BPM ont ainsi pu « resserrer » leurs investigations sur les années 2001 et 2004.

« Ces témoignages ont été recueillis avec beaucoup d’attention par les enquêteurs, poursuit la même source. Des vérifications sont en cours, notamment sur la liste des clients des hôtels désignés aux dates précisées par ces témoins. D’autres auditions sont à venir pour étayer ces informations. » A commencer par celles de diplomates français en poste au Maroc à l’époque des faits présumés. Le ministère des Affaires étrangères a été saisi, à ce sujet, d’une demande par les policiers de la brigade des mineurs.

Egalement entendu par les policiers de la BPM, le 10 juin, Yves Bertrand, l’ancien patron des renseignements généraux (1994-2002) — dont le nom avait été évoqué par Luc Ferry lors de son audition — avait assuré avoir « fait état », en 2001, auprès des « autorités de tutelle » de rumeurs d’actes pédophiles par un ex-ministre au Maroc. Dans ses célèbres carnets saisis par la justice dans l’affaire Clearstream, Yves Bertrand évoque une affaire de pédophilie au Maroc, qu’il date de novembre 2001, impliquant un ancien ministre. De son côté, Luc Ferry avait indiqué que ces faits supposés étaient « bien antérieurs » à 2002.

Le Parisien 

Tags : Maroc, Luc Ferry, Jack Lang, Marrakech, pédophilie, Clearstream,

JACK LANG « orgie avec des petits garçons » au Maroc.

L’un des partisans les plus proches de scandale a frappé le politicien français Dominique Strauss-Kahn est aujourd’hui liée à « une orgie avec des petits garçons» au Maroc.

Jack Lang, l’ancienne culture socialiste et secrétaire à l’éducation, se battait pour sauver sa réputation après Luc Ferry, un autre ex-ministre, a révélé le crime à la télévision.

Briser la loi du silence qui permet traditionnellement de telles infractions à conserver un secret, M. Ferry a déclaré: «Nous tous ici le savez probablement tous qui je parle. »

M. Ferry revendiqué l’attaque du sexe de l’homme sur les garçons – qui aurait eu lieu dans la ville touristique de Marrakech et a été découvert par la police qui ont fait irruption « palmeraie ‘a – a été un secret de polichinelle qui a été discuté ouvertement par un ancien Premier ministre.

Prié de dire s’il avait aucune preuve, M. Ferry a déclaré: «Bien sûr que non. Mais j’ai des témoignages de membres du cabinet au plus haut niveau, les pouvoirs publics au plus haut niveau. « 

M. Ferry dit co-panélistes sur le Grand Canal Plus du jury mardi qu’il n’avait pas l’intention de nommer l’ancien ministre, en disant: «Si je laisse son nom à maintenant, c’est moi qui va être chargée et sans doute condamné, même si je sais que l’histoire est vraie. « 

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Maroc : Partouzes et prostitution de mineurs dans la villa d’YSL et Pierre Bergé? Jack Lang régulièrement invité

(…) Au milieu de cette savoureuse galerie de témoins, plus étonnante encore est la présence du prêtre d’une paroisse du sud de la France. Au cours des congés passés au Maroc en 2003 puis en 2007, celui-ci aurait reçu des « confidences » indiquant qu’ »au cours de séjour de français connu (…), des événements festifs avaient été organisés dans lesquels des mineurs se seraient livrés à la prostitution ». Ses sources: « Des hôteliers et des marocains de condition modeste, qui s’étaient ouverts à lui en raison de sa position ecclésiastique. » Le prêtre fait ainsi état de cas de « prostitution de mineurs à la villa Majorelle, propriété d’Yves Saint-Laurent (décédé en 2008, NDLR) et de Pierre Bergé, où Jack Lang était régulièrement invité ».

Interrogé pas VSD, ecclésiastique précise toutefois n’avoir « pas cité de noms par déontologie professionnelle ». « Je souhaite protéger ces personnes en faiblesse sociale, poursuit l’homme d’église. Dans la médina, des parents de jeunes victimes se sont confiés à moi. Mai compte tenu du fossé culturel, ils ne s’adresseront jamais aux institutions. Faute de témoignages directs, les policiers se trouvent dans une impasse. »

Source: VSD n° 1857 – Du 28 Mars au 3 Avril 2013

Enquête

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