Antonio Cubillo, un independentista canario.

Tal al día como hoy 22 de octubre de 1964, se funda el Movimiento por la Autodeterminación e Independencia del Archipiélago Canario (MPAIAC).

El MPAIAC fue creado en Argelia por el abogado penalista canario Antonio Cubillo, expatriado voluntariamente en 1962 por motivos poco claros, pues se relacionó su marcha con delincuentes comunes de amplio historial, más que por causas políticas.

Optó por una línea africanista, exaltando a los antiguos aborígenes de Canarias – guanches – llegando a conseguir en 1968 el apoyo de la extinta OUA, que declaró el archipiélago canario “territorio africano”, por la proximidad geográfica con este continente.

En 1975 los servicios de inteligencia argelinos, cedieron el uso de Radio Argel a Cubillo y al MPAIAC, que inició emisiones de “La Voz de Canarias Libre”, pero tras la muerte de Franco, una delegación dirigida por Rafael Calvo Serer y Santiago Carrillo, visitó Argel solicitando de las autoridades argelinas el cierre de la emisora, aunque el gobierno de aquel país no lo hizo hasta dos años después.

En noviembre de 1976, el MPAIAC inició su actividad terrorista en el archipiélago, al estallar un explosivo en Galerías Preciados de Las Palmas y, en marzo de 1977, otro en la terminal del aeropuerto de Gran Canaria, hiriendo a siete personas y anunciando una nueva bomba que obligó a desviar los vuelos al aeropuerto de Tenerife.

La congestión aérea y la climatología, causó el mayor accidente aéreo de la historia, con 583 muertos, aunque Cubillo – asustado por el impacto mundial – negó la colocación de la bomba y achacó las muertes a los controladores y a la neblina reinante, pero el Tribunal Supremo en sentencia de enero del 2014, ratificó que la catástrofe aérea ocurrida en el Aeropuerto de Los Rodeos, fue consecuencia de la bomba colocada en Gando por el MPAIAC y calificó a Cubillo de “terrorista”.

No obstante, la única muerte directa del MPAIAC fue la un artificiero de la policía, al desactivar una bomba en La Laguna -Tenerife – destinada a asesinar a un abogado local.

En abril de 1978 Cubillo fue apuñalado en Argel y quedó inválido, siendo dictaminado por la justicia española que personas “sin determinar pero pertenecientes a servicios policiales españoles”, encargaron su asesinato, consiguiendo 150.253 euros al amparo de la Ley de Víctimas del Terrorismo.

El movimiento canario, renunció a la lucha armada y en 1979 expulsó a Antonio Cubillo, por no coincidir sus planteamientos con la dirección.

Cubillo continuó ejerciendo como abogado y en 2007, publicó un anteproyecto de “Constitución de la República Federal Canaria” en la que propugnaba el bereber como idioma oficial, el servicio militar obligatorio desde los 17 años para hombres y mujeres, la creación de las Fuerzas Armadas Guanches y una moneda que se llamaría el « áfrico ».

Cubillo, falleció de muerte natural en diciembre de 2012, a los 82 años, en Santa Cruz de Tenerife y con él lo hizo también su movimiento.

 
 
Tags : Canarias, Antonio Cubillo, MPAIAC, colonización, colonialismo, 

Assassinat dans la maison communale de la République Française de Mohamed GABSI – 33 ans

Communiqué de l’ ATMF
La police municipale de Béziers a arraché la vie à Mohamed GABSI
Ce mercredi 8 avril, Mohamed Helmi Gabsi, 33 ans, a été arraché à ses trois enfants et à sa famille. Il nous a quittés malgré lui, avec comme dernières images, des violences de policiers municipaux et ses appels de détresse.
Après un transport musclé, le poids d’un policier assis sur lui, face à terre, tout au long du trajet menant au commissariat, il expirera son dernier souffle. Pour qui allaient ses dernières pensées, alors qu’il sentait la vie l’abandonner ? Sans conteste à ses enfants. Ceux-là même qui auront pour unique lègue, l’histoire d’un père à qui une autorité publique a ôté la vie. Nous partageons profondément la douleur de sa famille.
Mohamed n’a pas mérité de mourir si jeune.
Mohamed n’a pas mérité de mourir de cette façon.
Mohamed n’a pas mérité de mourir pour cette raison, ne pas avoir respecté le confinement.
Mohamed n’a pas mérité de mourir, parce qu’il est pauvre, parce qu’il est SDF, parce qu’il a des antécédents.
Mohamed est un humain. Mohamed est un citoyen. A ce titre, le respect de sa vie lui était dû.
« La sécurité, c’est la première preuve d’amour qu’on doit au peuple », a déclaré Robert Ménard, allié du Rassemblement National, Maire de Béziers, une des villes les plus pauvres de France. Il doit assumer la responsabilité d’avoir triplé et armé la police municipale.
Nous demandons justice, pour Mohamed, pour ses enfants et pour sa famille et amis. Nous les assurons de notre soutien inconditionnel.
Nous demandons justice, pour tous ceux qui sont stigmatisés, mal traités, réprimés et jetés à la vindicte de la haine raciale, pendant cette pandémie.
Paris, 12 avril 2020

Tags : Béziers, Mohamed Gabsi,

Stratégie de la CEDEAO au Sahel

Résumé de la stratégie Sahel de la CEDEAO intitulée « Le programme de cohérence et d’action régionale pour la stabilité et le développement des espaces saharo-sahéliens ».

Avant-propos :

La région du Sahel préoccupe l’ensemble de la communauté internationale, de par la nature transfrontalière de ses défis et menaces. A cet effet, de nombreuses initiatives ont été prises à fin de remédier aux problèmes qui frappent cette région. A l’image de la Stratégie Intégrée des Nations Unies pour le Sahel et la Stratégie pour le Développement au Sahel de l’Union Européenne, la CEDEAO est en train de formuler sa stratégie pour la région du Sahel, sous forme d’un Programme de Cohérence et d’Action Régionales, pour la stabilisation et le développement (PCAR).

Cette stratégie Sahel de la CEDEAO est élaborée en collaboration avec l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et le Comité Permanent Inter-États pour la Lutte Contre la Sécheresse dans le Sahel. L’objectif principal de cette stratégie, qui se propose de constituer une plateforme de coordination incluant les pays sahéliens, Ouest-Africains, ainsi que les pays du Maghreb à travers leur organisation régionale (UMA), est la mise en place de programmes transnationaux de sécurité et de développement, notamment dans les domaines prioritaires des infrastructures de connexion, de la résilience et de l’éducation.

Cette stratégie vise, à horizon de trente ans, à apporter des solutions régionales aux problèmes régionaux, en assurant la synergie développement et sécurité, par le biais d’un dialogue constant avec les partenaires régionaux, y compris les pays de l’Afrique du Nord.

 
 
Tags : CEDEAO, Sahel, UEMOA, UMA, terrorisme, Sahara,

Bin Salman montre la faiblesse de la monarchie saoudienne, pas sa force

Francesca Salvatore

Inside Over, 12 mars 2020

Mala tempora currunt pour la monarchie saoudienne. La maison royale, point de référence de la pétromonarchie, ne semble pas aussi forte qu’elle le souhaite. Enquêtes, excellentes arrestations, initiatives majeures et défis pour l’avenir: en regardant Riad de l’extérieur, on dirait une monarchie d’acier absolue et Mohammed bin Salman semblerait être son prophète, interprète et leader incontesté. Cependant, ces manifestations frappantes, souvent schizophrènes, sont le symptôme d’une crise de légitimité qui se traduit souvent par un syndrome de conspiration persistant qui conduit bin Salman à faire souvent des nettoyages drastiques de son entourage.
L’architecture de Saoud s’effondre
Bin Salman est très différent de ses ancêtres, c’était clair dès le départ. Son grand-père, le roi Abdelaziz Ibn Al Saud, le deus ex machina de l’Arabie moderne, a fondé l’État saoudien sur trois piliers: la redistribution de la richesse pétrolière entre les sujets du royaume en échange de la loyauté royale, un lien fort avec l’establishment Wahabite et, chef-d’œuvre de sa politique étrangère, ont scellé une alliance stratégique avec les États-Unis.
Cependant, malgré tous les efforts, ce système s’effrite. Avec une population croissante et une économie tributaire du pétrole, l’Arabie saoudite fait face à une crise que les paillettes et les néons Vision 2030 ne peuvent pas résoudre. L’héritier du trône n’a pas vraiment tenté de démanteler les structures oligarchiques qui étouffent l’économie saoudienne, il a simplement remplacé les anciens potentats par de nouveaux, très fidèles à lui. Jusqu’à la prochaine purge. Sans parler du peuple saoudien, à qui il demande de subir l’austérité sans essayer de faire face à une pauvreté généralisée.
Tags : Arabie Saoudite, MBS, Mohamed Bin Salman, wahabite,

L’encombrant Peter Pham muté vers le Sahel

Après une année et demie de mandat exercé comme envoyé spécial des USA dans la Région des Grands Lacs, C’est désormais dans le SAHEL que Peter Pham va servir les intérêts de son pays. Son style peu diplomatique n’a pas toujours plu. L’homme à la démarche lourde est connu pour ses thèses en faveur d’une partition de la République démocratique du Congo (RDC).
Lors de sa dernière tournée dans la Région et en particulier en RDC, il s’est montré particulièrement intransigeant à l’égard des anciens collaborateurs de Joseph Kabila, encore actifs par le fait de la coalition politique entre le FCC et le CACH. Ses tweets particulièrement partisans doivent avoir placé sa hiérarchie dans un embarras, estime un analyste.
Cette mutation ressemble donc à un réajustement du Département d’état américain. Ironie du sort, le balkanisationiste PHAM aura pour nouvelles mission de veiller précisément à ce que les états menacés par le terrorisme conservent leur intégrité. Il lui faudra sans doute manœuvrer autrement dans ce contexte sécuritaire particulièrement volatile où les donneurs de leçons peuvent être vite rattrapés par la réalité dramatique du terrain.

« Les colonisés ont payé leur propre colonisation » (Ahmed Henni)

Retour sur le financement de la colonisation où il apparaît que les colonisés ont payé leur propre colonisation
27 février 2017.
Par Ahmed Henni, ancien professeur agrégé des universités.
Emmanuel Macron vient de relancer le débat sur les bienfaits de la colonisation. « Je ne veux pas chanter le passé aux dépens de mon présent et de mon avenir », disait Frantz Fanon en 1952 (Peau noire, masques blancs). Mais il est utile que l’on connaisse les faits historiques. Une idée a couru et court encore, par exemple, que les colonies ont « profité » de financements venus de métropole (dénoncés par exemple par Raymond Cartier). Sans compter les apports scientifiques et culturels et les infrastructures matérielles.
Aimé Césaire ou Joseph Ki-Zerbo ont amplement démontré que ce furent plutôt des actions d’éradication des cultures indigènes qui furent menées, et dont les dégâts sont incommensurables (pas mesurables). Montaigne écrivait déjà : « Bien crains-je, que nous aurons très fort hâté sa déclinaison et sa ruine, par notre contagion : et que nous lui aurons bien cher vendu nos opinions et nos arts » (Essais, III, 6). Quant aux routes, ports, écoles, hôpitaux, etc., ils furent d’abord l’œuvre de la force de travail indigène (lire sur la construction du chemin de fer Congo-Océan). C’est aussi la main d’œuvre locale qui a produit minerais et produits agricoles. Tout ceci couronné par un système de financement public et une fiscalité assis sur les indigènes. Bref, comme je l’ai démontré pour l’Algérie, les indigènes ont payé leur propre colonisation. Ce sont les occupants européens qui ont profité des impôts payés par les les indigènes. Avant 1954, la métropole n’y était pas pour grand chose.
Financement de la colonisation de l’Algérie
1. La conquête
Évalué par le gouvernement de Paris dans un document budgétaire de 1845, le coût total de l’expédition militaire d’Alger de 1830 et des opérations militaires qui ont suivi est de 48.500.000 francs-or. Cette somme équivaut pratiquement au montant estimé du Trésor confisqué au dey d’Alger. Ce qui veut dire que l’expédition n’a rien coûté à la métropole.
L’évaluation effectuée par les autorités militaires indique que le Trésor du dey comprenait 7.212 kg d’or, soit 24.768.000 francs-or, et 108.704 kg d’argent, soit 23.915.000 francs-or – à titre indicatif, en 2016, le kg d’or coûte 40.000 euros environ et le kg d’argent 550 euros. Une fois confisqué, ce Trésor est expédié en France. On n’en garde que 5 millions pour les besoins militaires locaux. Ces chiffres officiels sont contestés par Marcel Emerit qui estime que le Trésor du dey pourrait avoir approché 150 millions de francs-or. Il s’appuie sur le rapport rédigé en 1827 à l’intention de Charles X par Clermont-Tonnerre et où celui-ci écrit :

Qui est la «pétillante Marocaine», nouvelle compagne de DSK?

Le scoop a été savamment orchestré par le magazine VSD qui en a fait sa Une cette semaine. On y devine de nuit dans les rues de Paris Dominique Strauss-Kahn au bras d’une femme présentée comme sa nouvelle compagne alors que son épouse Anne Sinclair avait confirmé quelques temps auparavant à demi-mots leur séparation.
«Le style un peu BCBG, l’élégance naturelle et le sourire de cette belle célibataire, qui occupe un poste à responsabilités dans une grande chaîne de télévision, ont immédiatement conquis le coeur de notre séducteur invétéré» écrit VSD qui nous apprend que DSK et sa conquête ont passé leurs vacances ensemble en Corse, invités par François Pupponi, député-maire de Sarcelles, un poste autrefois occupé par Dominique Strauss-Kahn.
La Meuse.be croit savoir par contre que la belle n’est pas célibataire, sans précision supplémentaire, tant «la jeune quadragénaire n’écume pas les soirées à la mode où le tout-Paris s’agglutine». Le site belge relaie aussi la fausse rumeur de sa supposée judaïté.
Il n’en fallait pas plus pour que la presse people se jette sur ce nouveau rebondissement du feuilleton DSK à l’image du site Pipole.net qui s’abandonne à des qualificatifs bien outrageants.
DE RABAT À FRANCE TÉLÉVISIONS
Ce que ne dit pas VSD qui ne cite que son prénom, est que la nouvelle compagne de l’ex-patron du FMI qui répond au nom de Myriam L’Aouffir, 45 ans, est d’origine marocaine-allemande et née à Rabat.
Après un bac B en sciences économiques obtenu en 1985 au Lycée Descartes de la capitale marocaine – le plus grand établissement français à l’étranger-, elle poursuit ses études à l’Université Paul Valéry de Montpellier, avec un Deug de Lettres Modernes, puis à l’Université Paris 8, où elle obtient une Maîtrise d’Information et de Communication.
Tags : Maroc, DSK, Myriam l’Aouffir,

Quand Bokassa accusait la France de voler l’uranium et le diamant de la Centrafrique

L’EMPEREUR BOKASSA EXPLIQUE COMMENT LA FRANCE ET LA SUISSE ONT VOLÉ L’URANIUM ET LE DIAMANT DE LA CENTRAFRIQUE
Dans une interview explosive qui fera date dans l’histoire des relations entre la France et l’Afrique, L’ancien Empereur de la Centrafrique Jean Bedel Bokassa, dénonçait déjà les pratiques coloniales dont la France infligeait à son pays.
L’exploitation abusive des ressources naturelles de la Centrafrique par la France coloniale sans versé une seule pièce de monnaie au gouvernement Centrafricain de l’époque avait suscitée et animée déjà un sentiment anti-français.
La récente intervention militaire française en Centrafrique, est motivée par les mêmes raisons qu’hier.
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Tags : France, françafrique, RCA, République Centrafricaine, pillage, Bokassa, colonialisme, 

L’Algérie et la Zone de libre-échange continentale africaine : la panacée ?

Par Mostefa Zeghlache(*)
Du 3 juin 1991, date de l’adoption à Abuja (Nigeria), par l’Organisation de l’Unité africaine (OUA), du Traité instituant la Communauté économique africaine (entré en vigueur en 1994), dans le cadre du Plan d’action et de l’Acte final de Lagos, au 7 juillet 2019, date de la mise en œuvre de l’accord sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), à l’issue du Sommet de l’Union africaine (UA) de Niamey (7 et 8 juillet) , l’Afrique aura mis près de 30 années avant de s’engager , enfin, sur un projet d’intégration régionale longtemps galvaudé par le discours unioniste africain mais qui attend toujours de voir le jour.
En ratifiant l’accord de la ZLECAf le 15 décembre 2019, l’Algérie a indiqué clairement sa volonté de ne pas rester en marge du processus enclenché en juillet 2019. Cette adhésion est justifiée par le discours officiel algérien qui présente la Zone africaine de libre-échange comme une voie pouvant soutenir la volonté du pays de diversifier l’économie nationale pour sortir de l’impasse de la dépendance aux hydrocarbures comme principale source de financement extérieur.
La création de la ZLECAf est le résultat d’un long processus intégrationniste africain qui a débuté à Abuja en 1991, du temps de l’OUA.
La stratégie établie par le Traité d’Abuja visait la mise en place de la Communauté économique africaine (CEA) sur la base d’un processus d’intégration sous-régional impliquant cinq communautés économiques régionales (CER), devenue, plus tard, huit, dont l’Union du Maghreb arabe (UMA). Parmi les nombreux objectifs fixés par le Traité, l’article 4 dispose notamment que la CEA vise à « promouvoir le développement économique, social et culturel ainsi que l’intégration des économies africaines… ».
La première étape du processus devait s’achever en 1999 et la 6e et dernière en 2028 par la création d’une union économique et monétaire. La mise en œuvre intégrale du Traité ne devait pas excéder l’année 2034. En cours de chemin, les dirigeants africains ont décidé, en janvier 2012, lors de la 18e session de l’UA de créer une Zone de libre-échange. Le processus de négociations a été initié en juin 2015, lors de la 25ème session ordinaire de l’UA à Johannesburg.
Tags : Algérie, ZLECA, Afrique, Union Africaine, libre échange, 

France : Un agent de la DGED placé en garde-à-vue pour trafic d’influence, faux et usage de faux

Abdel Ait-Omar, premier adjoint à la mairie de Villeneuve-la-Garenne passé la nuit de mardi 10 mars en prison en attendant le dénouement de l’enquête conduite par la justice pour trafic d’influence, faux et usage de faux.
A l’instar de tous les marocains, il est très probable qu’il soit un collaborateur de la DGED, les services de renseignements du Maroc. C’est ce qui explique sa présence dans un débat organisé à Bruxelles, en 2017, par l’association European Observatory for Democracy and Peace sur la révolte rifaine connue sous le nom de Hirak du Rif. Il s’est présente sous une fausse identité, prétendant être un commissaire de police en France. « Le Maroc aujourd’hui avance et on a de la chance d’avoir un pays stable », c’est le message qu’il a voulu véhiculer, probablement, selon les ordres de ses mentors marocains.
tags : Maroc, Abdel Ait-Omar, trafic d’influence, faux, usage de faux,