Côte D’Ivoire: Déclaration de Josef Borrell à la veille de l’élection présidentielle

Côte D’Ivoire: Déclaration du Haut-Représentant/Vice-Président Josef Borrell à la veille de l’élection présidentielle

À la veille de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, l’Union européenne s’associe à la déclaration du Secrétaire Général des Nations unies.

Elle exprime sa plus grande inquiétude suite aux incidents violents et aux discours de haine constatés ces dernières semaines. Elle exhorte l’ensemble des acteurs politiques à faire preuve de responsabilité, de retenue et de refus de toute violence.

Elle appelle les institutions en charge du processus électoral à assurer un scrutin transparent, crédible et apaisé.

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Tags : Côte D’Ivoire, Alassane Ouattara, élection présidentielle, Laurent Gbagbo,

Maroc : Le racisme anti-noir implicitement institutionnalisé

Lors de son premier séjours au Maroc invité par le roi Hassan II, Nelson Mandela, l’icone mondial de la lutte contre le racisme et l’Apartheid, a découvert le visage raciste du Maroc envers la race noire. Il a exprimé son indignation en voyant la Garde Royale composée d’anciens esclaves noirs affranchis qui vivent, jusqu’à présent dans la cité connue sous le nom de Touarga. Mandela a découvert que le racisme est inscrit dans le patrimoine du Makhzen.

Si les marocains adorent brandir le slogan de « premier pays à avoir reconnu les Etats-Unis d’Amérique », ils cachent un passé rempli d’histoire de marchandage d’esclaves destinés au Nouveau Monde. On dit même que la mère du roi Hassan II était une esclave affranchi du nom de « Abla » qui a été offerte en cadeau à son père Mohammed V par umn de ses Pachas du nom de Leglaoui.

Au Maroc, on utilise le mot à connotation péjoratif de « azzi » en référence à l’homme noir. Mais le racisme anti-noir a été mise à nu par la présence des migrants africains sur le sol marocain où les violences contre eux se répètent incessament dans toutes les villes marocaines.

En vue de dissimuler son racisme, le régime marocain incite la population à s’en prendre aux migrants africains. Nombreuses attaques à la machette et au couteau ont eu lieu à Tanger et Rabat. A cela s’ajoute, le traitement que leur réservent la police et la gendarmerie.

La majorité de ces migrants son originaires du Sénégal, Côte d’Ivoire et Guinée Conakry. Les marocains peuvent continuer à agir ainsi puisque les dirigeants africains ne risquent pas de défendre les leurs tant que Rabat remplit leurs poches.

Tags : Maroc, Afrique, africains, subsahariens, migration, racisme anti-noir, Sénégal, Côte d’Ivoire, Guinée Conakry,

La France est la cause du méchef africain

Nombreux sont ceux s’autoproclamant parfois « opposants » et de fois alliés du pouvoir par nécessité du ventre, dans toute l’Afrique soumise, sont capables de dénoncer publiquement l’origine réelle de leur méchef qu’est la France.

L’imposition sur le trône pour plusieurs décennies d’autocrates brutaux, leur protection militaire, les abus de pouvoir sur perpétrés partout, la falsification des constitutions, les conflits sans fin, l’impunité totale en matière des détournement massifs des biens publics, les élections truquées à fond, ainsi que le maintien permanent dans l’horrible sous-développement, etc… feront toujours parties intégrantes de l’imposture « démocratique » de la France officielle, et servent en premier leiu son interminable colonialisme.

Tant que, par peur ou oar intérêt, les « différentes oppositions locales, organisations régionales et la soi-disant Union Africaine », ne commandent pas les ingérences intolérables, et incessantes de la françafrique dans les intérieures du continent, elles seront perçues comme les instruments au service du fascisme français. De surcroît, les véritables ennemis de l’Afrique. Ce qui justifiera de « droit », des jours heureux et tranquilles pour l’ordre impérialo-mafieux françafricain d’écumer comme il l’entend, ses gouvernorats bananiers.

Ali Muhammad Diallo

Source : Twitter

Tags : Afrique, France, françafrique, Tchad, Mali, Niger, Burkina Faso, Guinée, RDC, RCA, Centrafrique, Sénégal, Côte d’Ivoire, Gabon, 

La Françafrique a de beaux jours devant elle

Lors de l’élaboration des fondements et préceptes de la maçonnerie françafricaine, son pontife-négrier, Charles De Gaulle indiqua très bien que tout ce qui concerne la domination permanente des sous-préfectures bananières d’Afrique, relève exclusivement de l’Elysée, et en aucune manière à une autre institution étatique. C’est la parfaite illustration de la « démocratie » exemplaire de ce pays!

Par conséquent, tout véritable débat sur le « devenir » de la maudite unité monnétaire, appelée le Franc CFA dans les pays l’utilisant dont le débat au parlement françaus reste illégalement interdit.

Le jour bien lointain où il y aurait lieu dans l’ensemble des protectorats assrvis d’Afrique, ce serait effectivement le début du processus de l’affirmation des souveraintetés réelles.

Ali Muhammad Diallo

Source: Twitter

Tags : Françafrique, Tchad, Niger, Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Guinée, RCA, RDC, Congo, Sénégal, 

WikiLeaks : les Américains contre le réseau de la Françafrique

Au même temps qu’ils saluait l’annonce de Nicolas Sarkozy prétendant vouloir rompre avec les relations connues sous le nom de Françafrique, les Américains offrent leur propres analyses sur les relations unissant la France et ses anciennes colonies ainsi que les raisons de la survivance de la Françafrique.

Dans un câble sur une réunion entre diplomates américains et Bruno Joubert, ancien monsieur Afrique de l’Elysée, ce dernier affirmaient que « beaucoup de leaders africains comme Sassou Nguesso ont grandi avec la Françafrique. Quand ils rencontraient Chirac, ce n’était que tapes dans le dos, plaisanteries, longs repas. Ils commencent à s’apercevoir qu’avec Sarkozy, le temps des tapes dans le dos est révolu ».

Ce n’est pas l’avis des américains pour lesquels les réseaux d’influence parallèles sont loin de disparaître. Pour eux, le conseiller officieux pour l’Afrique de Nicolas Sarkozy, Robert Bourgi est la « quintessence de l’acteur de la Françafrique impliqué dans des intrigues n’importe où en Afrique ».

Les câbles américains indiquent clairement que, les interventions de Robert Bourgi exaspèrent ses collègues africanistes officiels de l’Elysée. Tout en reconnaissant que ce dernier fournit de précieux conseils sur le Sénégal, le Gabon ou le Congo-Brazzaville, les responsables français le présentent comme un « mercenaire seulement préoccupé par son bien être », un « opportuniste » qui ne cherche qu’à se faire promotionner dans le but de doper sa fortune personnelle.

Bourgi a laissé, ces deux derniers années. ses empreintes sur les dossiers malgaches et mauritaniens. Ses détracteurs français ne sont plus en poste à l’Elysée.

Dans les fuites documentées de Wikileaks, le pays de l’Oncle Sam ne cache pas son intérêt par la « rupture » avec les vestiges de la Françafrique que Nicolas Sarkozy a faussement promis. Cet intérêt est palpable dans un câble datant de 2008. Il indique en toute clarté que « cette nouvelle politique peut donner aux Etats-Unis des occasions d’étendre leur influence en Afrique sans rencontrer de résistance de la France ».

Les diplomates américains analysent les choses ainsi : les Français veulent « partager le fardeau africain », et cela les rend plus ouverts aux initiatives américaines sur le continent, d’Africom à la lutte anti-terroriste dans le Sahara. En plus, laisser les Etats-Unis étendre leur influence en Afrique permet aux Français d’y contrer la percée chinoise.

Autant dire que la diplomatie américaine a donc suivi de près la réorganisation des bases militaires françaises en Afrique, qui a abouti à la concentration des forces à Djibouti et Libreville.
Réalistes, les diplomates américains constatent toutefois que « tuer la Françafrique est plus facile à dire qu’à faire ». Ils soulignent que certains leaders africains eux mêmes sont réticents au changement, notamment ceux qui tiraient des avantages du système, ceux qui, comme le rappelle l’ambassade américaine à Paris, « ont pu amasser des fortunes privées parfois transformées en un vaste patrimoine immobilier et autre, en France et en Europe ».

Tags : Etats-Unis, France, Afrique, Françafrique, réseaux, intérêts, USA, Nicolas Sarkozy, Gabon, Tchad, Mali, Niger, Mauritanie, Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Togo, RCA, RDC, Congo, 

La Françafrique vue par Wikileaks

WIKILEAKS : UNE CERTAINE IDÉE DE LA FRANCE ET DE SA POLITIQUE ÉTRANGÈRE

Si 2% seulement des câbles Wikileaks ont été rendus publics, ils ont déjà permis de brosser un bout de l’histoire contemporaine de la France vue par la diplomatie américaine.

Ces dernières semaines, la publi­cation des câbles diplomatiques par Wikileaks s’est focalisée sur la Tunisie, l’Egypte et la Lybie, mettant en lumière les connivences de certaines chancelleries avec les régimes en place, notamment de la France avec celui de Ben Ali. Il ressort de ces télégrammes que les États-Unis sont à la fois admiratifs des dispositifs répressifs et inquiets du racisme français.

Ils font état de la visite de différentes personnalités politiques françaises à l’ambassade des Etats-Unis à Paris ou sur le sol américain. Si certains n’y passent que pour livrer leurs opinions, d’autres, comme Alain Madelin s’y rendent pour demander un soutien à leur carrière [1]. D’autres encore pour assurer les diplomates américains de leur proximité idéologique : Brice Hortefeux ou Nicolas Sarkozy qui, en 2005, promet de faire en France « ce que Reagan a fait aux Etats-Unis ou Thatcher au Royaume-Uni » mais aussi Dominique Strauss-Khan ou Michel Rocard, qui propose la création d’un think tank franco-américain.

Rwanda : le juge Bruguière en service commandé

Parmi les visiteurs de l’ambassade américaine, on trouve aussi le juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière. Il y fournit les détails de plusieurs affaires en cours, racontant notamment comment il s’est coordonné avec l’exécutif français pour délivrer les mandats d’arrêt contre plusieurs personnalités rwandaises [2].

Un responsable français affirme plus directement que le dossier Bruguière était une réponse de la France à l’enquête rwandaise sur les responsabilités fran­çaises dans le génocide de 1994. Bruguière n’aurait pas caché sa volonté d’isoler le gouvernement Kagamé lors de sa visite. Une volonté qu’on s’attendrait à retrouver chez un politicien plutôt que chez un juge, dont l’indépendance n’est manifestement pas la plus grande qualité…

En mars 2007, un diplomate américain analyse les orientations en matière de politique étrangère des candidats Royal et Sarkozy et se félicite de leur volonté affichée de rompre avec la gestion interpersonnelle des affaires africaines de Chirac et de « réduire l’empreinte militaire » de la France en Afrique, ce qui, cependant, « ne signifie pas un retrait », puisqu’elle « voudra continuer à exercer son influence au maximum » [3].

Dans plusieurs télégrammes ultérieurs, les diplomates décortiquent la réalité de cette promesse de rupture avec la Françafrique. Le terme est d’ailleurs explicitement employé dans plusieurs notes, pas comme dénonciation militante, mais comme grille d’analyse géopolitique par la diplomatie américaine.

La Françafrique comme grille de lecture en Afrique

En 2008, trois longues notes [4] brossent la définition d’une Françafrique quel­que peu édulcorée (les crimes de la Françafrique ne sont abordés que par le biais de quelques affaires arrivées en justice, comme l’assassinat du juge Borrel), qui connaîtrait un réel tournant avec l’arrivée de Sarkozy. Néanmoins, la politique africaine de la France continue d’être dictée par la cellule africaine de l’Elysée. L’un de ses membres, Romain Serman, reconnaît que les accords de défense encore en vigueur avec huit pays africains sont absurdes, donnant à la France « un accès monopolistique aux ressources naturelles ». Les diplomates américains semblent alors croire à la rup­ture annoncée par Sarkozy, qui n’aurait connu que « quelques accidents de parcours, comme l’éviction de Bockel impliquant le Gabon », mais qui pêcherait plus par manque de réussite que de volonté.

La dernière note, concernant la présence militaire française en Afrique, conclut en excusant la non-rupture pour cause de difficulté de la tâche. Un fonctionnaire du ministère de la Défense français décrit, sans honte, la relation franco-africaine comme une relation « parent-enfant », dont l’enfant, maintenant « adulte, est capable et mérite plus d’autonomie, ayant cependant toujours besoin d’aide et d’orientation ».

En 2009, lors d’un entretien, portant longuement sur la Françafrique [5], Stephan Gompertz, du ministère des Affaires étrangères, reconnaissait l’influence de Robert Bourgi, « opérant dans l’ombre ».

Les diplomates américains concluaient que la France use d’un panel large de politiques en Afrique, « allant d’une approche idéale exprimée par Sarkozy » à ses débuts, « à des approches plus opaques mais probablement plus judicieuses, conformes au vieux modèle de la Françafrique. Les circonstances et la nature imprévisible, voire violente, des évènements en Afrique peuvent parfois inciter ou forcer les Français à agir moins idéalement qu’ils le voudraient – un comportement connu de tous les gouvernements de la planète – quand les décisions doivent conforter les intérêts nationaux par les méthodes les plus efficaces, même quand les méthodes les plus efficaces ne sont pas forcément les plus jolies ».

La plus grande puissance impérialiste du monde ne peut que comprendre, évidemment…

Les coulisses diplomatiques de la Françafrique

Si la plupart des câbles ne contiennent que peu d’informations nouvelles, ils livrent parfois un aperçu du jeu diplomatique de la France pour influencer l’avenir des pays africains. Ainsi, en 2006, une proposition de résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU présentée par Chirac sur la Côte d’Ivoire inquiète les Anglais et les Américains [6]. Ils y voient une dérive qui pourrait aller « au-delà des lois et jurisprudences internationales » en se «substituant à la constitution d’un pays souverain».

Ne souhaitant pas s’opposer à la France, les Anglais sont néanmoins surpris que les Français aient réussi à obtenir le soutien du Ghana et du Congo. Pour ce dernier, ce soutien n’a pourtant rien de surprenant quand on sait à quel point Denis Sassou Nguesso doit à la France sa longévité au pouvoir.

En 2009, une note sur la perspective des élections en Côte d’Ivoire analyse les accords de « Ouaga IV » comme « essentiellement un accord entre Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo sur le contrôle du nord » du pays.

Les Américains considèrent alors que les « FAFN gardent, de facto, le contrôle de la région, en particulier en ce qui concerne les finances » et que « le désarmement et la réunification ne sont pas des processus séparés. Ils sont intimement liés ».

Une grille de lecture qui semble avoir été oubliée de la communauté internationale aujourd’hui…

En juin 2009, un autre télégramme (censuré à moitié) [7] rapporte que la France considère le président mauritanien Abdallahi renversé par les putschistes comme « un obstacle », à qui il faudrait forcer la main lors des négociations. Le rôle de Robert Bourgi y est à nouveau pointé du doigt, tant dans le rapprochement du putschiste Aziz avec les autorités françaises que dans le cas du Gabon ou de Madagascar. Pour Romain Serman, la Lettre du Continent sert régulièrement à Bourgi pour diffuser ses informations et que « tout ce qui [y] paraît avec un lien potentiel avec Bourgi doit être considéré avec précaution ».

D’autres exemples de cet acabit se trouvent dans l’infime partie des câbles déjà publiés mais ils fournissent déjà un matériau riche.

Le cablegate de Wikileaks nous parle avant tout de la diplomatie des Etats-Unis et la Françafrique n’est donc pas son objet principal. Néanmoins, les Américains s’y sont suffisamment intéressés pour qu’on puisse espérer que quelques affaires françafricaines récentes soient mises à jour.

Notes:

[1] 05PARIS6744 Alain Madelin Seeks U.s. Support For His Candidacy To Head The Oecd And His Project To Reform The Oecd

[2] 07PARIS322, C/t Judge On France, Rwanda, Pakistan, And His Political Future, 07PARIS186, Rwanda : Effect Of Bruguiere Report On Usg, Status Of Mrs. Habyarimana , lire aussi France-Rwanda : l’enquête Bruguière était suivie de près à l’Elysée, Philippe Bernard, le Monde, 11 décembre 2010

[3] 07PARIS921, French Foreign Policy Under Nicolas Sarkozy Or Segolene Royal

[4] 08PARIS1501, France’s Changing Africa Policy : Part I (background And Outline Of The New Policy), 08PARIS1568, France’s Changing Africa Policy : Part Ii (french Implementation And African Reactions), 08PARIS1698, France’s Changing Africa Policy : Part Iii (military Presence And Other Structural Changes)

[5] 09PARIS1534, « francafrique » — Mfa Disputes Reports On A Return To Business As Usual

[6] 06LONDON7670, (c) Cote D’ivoire : Uk Shares U.s. Concerns But Does Not Want To Oppose France In Unsc

[7] 09PARIS815, Mauritania : French See Abdallahi As Obstacle

Source : Survie, 3 mai 2011

Tags: Côte d’Ivoire, Rwanda, Mauritanie, Nicolas Sarkozy, Jean-Louis Bruguière, Wikileaks, Françafrique, Wikileaks, Afrique, Gabon, Tchad, Sénégal, RCA, RDC, Franc CFA, FCFA, colonisation, colonialisme, 

Côte d’Ivoire : Alpha Condé embrasse le charlatanisme pour lutter contre le covid-19

Alpha Condé vient d’insulter ses concitoyens en leur proposant de boire de l’eau chaude pour éviter la contamination au coronavirus. Une action qui lui a valu un rappel à l’ordre de la part des experts africains de la santé.

Alpha Condé et Andry Rajoelina ont été appelés à agir de manière responsable par les experts africains de la santé. Ce dernier avait conseillé ses concitoyens de prendre « covid-organiques », un médicament fait à base d’Artemisia, una plante qui a eu un certain succès dans la lutte contre le paludisme, mais dont l’efficacité dans la prévention ou le traitement du Covid-19 n’a pas encore été prouvée

Covid-organique est « un médicament dont les preuves scientifiques n’ont pas encore été établies et qui risquent de nuire à la santé de la population, en particulier celle des enfants », selon un communiqué publié par Selon l’Académie nationale de médecine de Madagascar (ANAMEM), il s’agit d’un « médicament dont les preuves scientifiques n’ont pas encore été établies et qui risquent de nuire à la santé de la population, en particulier celle des enfants ». 

 
Tags : Madagascar, Côte d’Ivoire, pandémie, covid-19, Alpha Condé, Andry Rajoelina,

Orange choisit ENGIE pour l’exploitation et la maintenance de l’un des plus important data center d’Afrique de l’Ouest

Ce datacenter présente une puissance électrique de 1,3 MW, et une conception orientée vers la fiabilisation, et l’optimisation énergétique du stockage de données

ABIDJAN, Côte d’Ivoire, 20 mai 2019/ — ENGIE (www.Engie-Africa.com) a été retenu pour l’exploitation et la maintenance du datacenter du Groupement Orange Services à Abidjan, pour un contrat d’une durée de cinq (5) ans qui démarrera début Juin 2019.

Ce datacenter de dernière génération, construit par le Groupement Orange Services (GOS), est l’un des rares datacenters d’Afrique de l’Ouest répondant aux normes de la classification tier IV. Conformément à cette classification, il dispose des redondances visant à assurer la continuité du service en toute circonstance. Il a ainsi reçu le prix du meMiddle East Africa ​_illeur datacenter d’Afrique au « Datacloud congress » de 2017 à Monaco.

Le périmètre du contrat couvre l’exploitation, la maintenance préventive et la maintenance curative de l’ensemble des lots multi-techniques des bâtiments du datacenter, incluant les postes de livraison, le courant fort, les groupes froid, la gestion technique centralisée, la détection incendie, la vidéo surveillance et le contrôle d’accès.

Ce contrat témoigne de la volonté de ENGIE d’accélérer son développement dans les services énergétiques en Afrique de l’Ouest et Centrale et devenir l’un des leaders des services d’efficacité énergétique, d’installation et de maintenance en Afrique.

Construit sur la Zone Franche de Grand-Bassam située à 40 km d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, le bâtiment présente une surface utile de 1.450 m2 dont 420 m2 de salle informatique. Ce datacenter présente une puissance électrique de 1,3 MW, et une conception orientée vers la fiabilisation, et l’optimisation énergétique du stockage de données.

Infrastructure stratégique du groupe Orange en Afrique de l’Ouest, ce datacenter héberge en priorité les plateformes de services de ses filiales de la zone Middle East Africa (MEA), mais également un espace de colocation à destination des clients Entreprises de la sous-région.

Distribué par APO Group pour ENGIE.

Tags : Groupement Orange Services, Engie, Cote d’Ivoire, Middle East Africa, Orange, Afrique de l’Ouest,

En Guinée, Nicolas Sarkozy n’est pas le bienvenu

Depuis le mois de février, Nicolas Sarkozy a visité trois fois la Guinée, alors qu’il ne l’avait jamais visité pendant son mandat en tant que chef de l’Elysée.

Cette vérité ne passe pas inaperçue dans le pays d’Ahmed Sékou Touré, où l’opinion public se pose des question sur cet oiseau de mauvaise augure.

Dans un ton très franc et direct, Dansa Courouma, président du Conseil national des organisations de la société civile guinéenne, s’est exprimé le 22 février sur la visite de l’ancien président français Nicolas Sarkozy en Guinée.

Rappelant les mauvais tours que cet ancien président français a fait subir à des pays africains, entre autres la Lybie et la Côte d’Ivoire, il a dit n’attacher aucune importance à la venue de ce dernier en Guinée.

Acteur principal de la crise ivoirienne où il y a eu près de 3000 morts, la crise libyenne aussi et tant d’autres.

L’Afrique est en train de s’embraser à cause d’une décision politique complaisante et indélicate de Sarkozy.

«  La Guinée, le temple du panafricanisme, nous ne devons pas recevoir une personnalité controversée de ce genre. Je crois que cette visite est une visite controversée et provocatrice » a déclaré Dansa Courouma qui demande au président Alpha Condé des explications à l’endroit du peuple de Guinée.

«  Je crois que le président Alpha Condé devrait le rencontrer dans un autre pays, mais pas en Guinée. Il a des explicaitons données au peuple de Guinée sur pourquoi la venue de Sarkozy en Guinée », a-t-il dit dans des propos relayés par Youtube.

« Ce qui me sidère un peu, Sarkozy a toujours contesté la légitimité d’Alpha Condé. Alors, pourquoi ce mariage homosexuel aujourd’hui entre eux ? », a-t-il ajouté.

Pour lui, « François Hollande, oui. Abdoulaye, oui. D’autres aussi, oui. Mais pas Sarkozy ». Les réactions de Nicolas Sarkozy n’ont rien à voir avec la France. La France et la Guinée sont dans une relation inviolable, a-t-il laissé entendre.

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Un Algérien se fait passer pour un français et enceinte 14 filles en côte d’ivoire !

De son vrai nom Sofiane Boudjelah, un Algérien de 27 ans qui a vécu en côte d’ivoire pendant 8 ans et dont par simple curiosité, ce dernier a constaté avec pertinence que les jeunes filles ivoiriennes comme toutes d’ailleurs en Afrique sub-saharienne avaient un faible pour les européens en général et les français en particulier.

Ayant constaté cet intérêt trop élevé de celles-ci vis-à-vis des français et grâce a sa couleur de peau très similaire des français, Sofiane était conscient du fait que les filles ivoiriennes n’aiment pas trop les Arabes, se fait donc rapidement passer pour en français et en plus il se fera même appelé Luis Dupont pour mieux confirmer son originalité française.

Comme sur les roulettes, le plan de Sofiane va fonctionner à merveille et ce dernier se fera le plaisir d’enceinter environ 14 jeunes filles ivoiriennes promettant à chacune d’elles de l’amener en France puisqu’il savait bien que c’était l’objectif principal de celles-ci.

Le plan de Sofiane sera malheureusement découvert grâce à un cousin de l’une de ces filles qui connaissait très bien ce dernier et donc son origine Algérienne et par la suite après avoir su que son plan a été détecté, il prendra fuite et réussi tout de même à se réfugier dans son pays et les filles victimes de son plan n’auront que leurs yeux pour pleurer.

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