Auteur/autrice : mahembarec

  • Conférence constitutive de l’Association des Amis de la RASD aux Etats-Unis

    La ville de Fort de Mitchell, aux Etats-Unis, a abrité, samedi dernier, la conférence de fondation de l’Association des Amis de la RASD. Les membres ont élu les délégués du Bureau Exécutif : Lamana Ould Ali, président, Salka Barka, vice-présidente, Hamdi Abfalahi Barka, secrétaire général, Sidi Abdalahi Ould Sadfi, responsable des relations extérieures, Abdallahi Salek, responsable des droits de l’homme, Aboubakr Ould Taleb, premier vice-responsable des DH, Mohamed-Mahmoud Ould Akhiarhoum, deuxième vice-responsables des DH, Jamal Ould Taqui, responsable de l’information et mobilisation, Amar Sarr, viceresponsable de l’inforamtion et mobilisation, Mohamed Ould Ahmed Mouloud, trésorier, Houssein Ould Mohamed Lamine, représentant au Canada.


    Un comité indépendant présidé par Hamadi Ould Haddaï a supervisé le vote et la réunion qui a discuté de l’évolution de la situation au Sahara Occidental et les perpectives de solution du problème.

    Pour rappel, l’AARASD est une association de défense des droits de l’homme fondée par des personnalités mauritaniennes et sahraouies qui résident aux Etats-Unis. Sa licence porte le numéro 1920453 et son plan d’action se situe au niveau de la défense du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination en accord avec le droit international et les termes du cessez-le-feu signé entre le Front Polisario et le Maroc.


    Source : Al-Ahdath Al-Mouritaniya, 04 avril 2010

  • 32 prisonniers politiques Sahraouis en grève de la faim, sous le régime marocain

    On se souvient des longs jours de grèves de la faim d’Aminatou Haidar en novembre et décembre 2009 et de son courage internationalement salué pour le respect de ses droits.


    On se souvient de l’arrestation rocambolesque de 7 responsables d’organisations Sahraouies des droits de l’homme à Casablanca en octobre 2009, à leur retour des campements de réfugiés où ils avaient visité leurs familles, et de leur mise sous régime d’inculpation militaire.


    Après avoir subi des conditions de détention inqualifiables, qui ont conduit la seule femme du groupe à de graves désordres psychologiques, et à sa liberté provisoire, 5 d’entre eux sont en grève de la faim illimitée depuis le 18 mars 2010. Ils demandent à être libérés, puisque leur détention est sans fondement, ou à être jugé immédiatement.

    Aujourd’hui, s’ajoutent à ceux-ci 19 prisonniers politiques Sahraouis incarcérés à Tiznit, 6 à El Aaiun et 3 à Marrakech.

    Ces hommes, maintes fois torturés, maltraités et humiliés par le régime marocain, pour leurs opinions et leur attachement au respect du droit international à la décolonisation de leur pays, risquent encore une fois leur vie. Ils nous rappellent par leur courage ce principe universel et sans appel de la primauté des droits de l’homme et du respect du droit établi sur les intérêts mercantiles ou matériels.

    Voilà la note d’information émise le 1er avril par l’association sahraouie des victimes des violations des droits de l’homme, l’ASVDH.

    Prison de Salé.
    État de santé des 5 détenus politiques Sahraouis incarcérés dans la prison de Salé – nord de Rabat et en grève de la faim depuis le 18 mars.
    Détérioration générale : léthargie chronique, déshydratation, étourdissements, douleurs dans le dos, douleur arthritique et chute de pression artérielle.
    À environ 3h du matin, M. Brahim Dahan, Président de l’ASVDH, a perdu conscience, suite à de violentes douleurs à l’estomac, conséquences de son ulcère.
    Ahmed Naasiri, président du comité des droits de l’homme de Smara, se plaint de douleurs sévères au niveau du cœur, et d’accélération du nombre d’impulsions. Sa pression artérielle est de 9 / 11.
    Ali Salem Tamek, vice-président du CODESA, souffre d’essoufflement, de manifestations asthmatiques et de vomissements aigus.
    Yahdih Tarouzi, militant des droits de l’homme, souffre de douleurs sévères au niveau du cœur et de l’intestin.
    Rashid Sghayer, membre du comité contre la torture, se plaint de douleurs sévères au niveau des articulations. Sa pression artérielle est faible, 7 / 11.
    Prison de Tiznit
    Dans la prison de Tiznit au sud du Maroc, les19 prisonniers politiques Sahraouis en grève de la faim depuis les 20, 21 et 22 mars, poursuivent leur action malgré les intimidations de l’administration pénitentiaire. Celle-ci les menace de les séparer et de les transférer dans d’autres prisons s’ils continuent leur grève. Parmi eux certains présentent des complications sanitaires importantes.
    Le prisonnier politique Sahraoui Mustafa Abdel-Dayem souffre d’une forte pression artérielle de 16/10. M. Brahim Khali Mghaimima, Mahmoud Aboulkacem, Mahmoud Berkaoui et Ismaili Bachir souffrent des complications d’inflammations de la vésicule biliaire et d’insuffisance rénales, conséquences de précédentes grèves de la faim. Le prisonnier politique Takkiou Allah Fakou Allah souffre de tachycardie et a été transféré à l’infirmerie de la prison.
    Prison noire, El Aaiun
    Dans la prison noire (Carcel Negra ) de El-Aaiun – Sahara occidental, les 6 détenus politiques Sahraouis entrent aujourd’hui dans une grève de la faim d’avertissement de 48 heures pour protester contre leurs conditions de détention.
    Prison Boulmharez à Marakech
    Les 3 prisonniers politiques Sahraouis de la prison Boulmharez à Marakech entrent dans une grève de la faim d’avertissement de 72 heures en solidarité avec les grévistes de la faim de la prison de Salé et Tiznit.


    APSO, le 3 avril 2010

  • La médaille de solidarité des médias algériens dédiée au peuple sahraoui

    Alger, 03/04/2010 (SPS) La médaille de solidarité des médias algériens a été décernée par le club de presse des amis du président de la République, Abdelaziz Bouteflika au peuple sahraoui qui lutte pour le recouvrement de sa liberté et son indépendance. La cérémonie a été assistée par une délégation de la RASD conduite par l’ambassadeur en Algérie, Brahim Ghali accompagnée des représentants des différents secteurs de la presse sahraouie et des étudiants sahraouis en Algérie.

    Le président du club, Ouael Daadouch a précisé au cours de son intervention, que cette médaille, la première du genre, a été dédiée au peuple sahraoui « en guise de solidarité avec les militants, les médias et tous ceux qui luttent pour la juste cause de ce peuple ».

    D’autres prix ont été remis aux journalistes sahraouis présents à cette cérémonie, ainsi qu’à la militante sahraouie des droits humains, Aminetou Haidar, en reconnaissance de son combat pacifique en faveur des droits de l’Homme au Sahara Occidental.

    La question du Sahara Occidental est la dernière colonie en Afrique, a rappelé le club dans un communiqué parvenu à SPS, estimant que la solidarité avec le peuple sahraoui « est un devoir pour toutes les personnes de conscience à travers le monde ».

    Il a enfin appelé tous les médias à travers le monde à se solidariser avec le peuple sahraoui pour mettre à nu les pratiques inhumaines perpétrées par le Maroc contre les Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au Sud du Maroc et dans les universités marocaines. (SPS)

  • L’Algérie ne cesse de réitérer son soutien au peuple sahraoui

    Suite aux constantes provocations de Rabat et l’arrogance qui caractérise son attitude et sa défiance de la légalité internationale et face au silence des instances internationales sur les violations des droits de l’homme par le Maroc, le gouvernement algérien a, dernièrement, multiplié les gestes guise de solidarité avec le peuple sahraoui. De la visite du président de l’Assemblée Nationale Populaire aux différentes manifestations de sympathie et de soutien, l’Algérie a exprimé au monde qu’elle n’est pas près de laisser tomber ce peuple courageux qui doit faire face au club de charognards composé par le Maroc, la France et l’Espagne qui se sont tracé comme but de dévorer ce peuple d’une seule bouchée.


    A côté de la résistance populaire dans les territoires occupés du Sahara Occidental, la détermination des nouvelles générations à poursuivre la lutte armée et la capacité de résistance des sahraouis réfugiés en Algérie, le soutien algérien constitue un atout vital dans le périple combattant du peuple sahraoui en vue de bâtir son Etat indépendant. En effet, c’est grâce au soutien de l’Algérie que les Bush, les Sarkozy et les Zapatero n’ont pas pu imposer leur solution contre la volonté des sahraouis.

    Si les moyens de propagande marocaine ne cessent de répéter que l’Algérie « aspire à devenir une puissance dans la région », c’est pour empêcher les marocains de voir la réalité en face : Que l’Algérie est la véritable puissance régionale et que le Maroc est en train de se cogner contre un rocher et il finira par se casser. Le soutien des uns et des autres dont jouissait le Maroc n’a rien fait dans ces 35 ans de conflit. Pire encore, l’échec marocain saute aux yeux. L’ONU refuse toute solution qui ne soit pas basée sur le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui et aucune solution ne sera imposée contre la volonté de ce dernier. La RASD est membre à part entière de l’UA et l’Etat sahraoui est appuyé par les trois principales puissances de l’Afrique : Algérie, Afrique du Sud, Nigeria. Et ce n’est pas rien.

    Toutes les sources, diplomatiques et autres, sont unanimes : « l’Algérie est la première puissance économique, militaire et politique de la région, sa longue expérience dans la lutte antiterroriste lui permet d’assurer la coordination de la lutte contre Al Qaïda dans la région. Par extension et grâce à ses richesses sur le plan énergétique ainsi qu’à sa position particulièrement privilégiée dans le flanc sud de la Méditerranée, l’Algérie jouit d’une grande influence au niveau des ensembles régionaux auxquels elle appartient (Union africaine, Ligue arabe, dialogue euro-méditerranéen, etc.). Aussi, l’Algérie a su montrer son importante puissance d’influence. Elle a contribué avec succès au règlement d’un certain nombre de crises comme la libération des otages américains en 1981, la signature de l’accord de paix entre l’Érythrée et l’Éthiopie en 2000, et tout récemment, sa médiation réussie dans le conflit interne malien et l’organisation de la dernière réunion des pays du Sahel dans le but de coordonner la lutte contre le terrorisme. »

    De ce fait, dans la configuration actuelle, la cause sahraouie se trouve renforcée plus que jamais.

  • Bilan de l’état de santé des prisonniers politiques sahraouis

    Prison de Salé :

    Ali Salem Tamek : Détérioration générale de son état de santé, difficultés respiratoires avec des fortes attaques d’asthme.

    Brahim Dahane : Toujours incapable de bouger sa main gauche, fortes douleurs d’estomac

    Ahmed Nassiri : douleurs cardiaques intenses en plus d’augmentation des palpitations du cœur.

    Yahdih Tarrouzi : Douleurs cardiaques et intestinales

    Rashid Sghayer : Rhumatisme aigüe et douleurs intestinales.

    Prison de Tiznit :

    Hassan Mohamed Lahsan : Permanence à l’hôpital dans un état critique.

    Bouamoud Mulay Ali: Perte de connaissance ce matin à l’aube à cause de la détérioration de son état de santé.

    El Ismaili Bachir: Baisse de tension artérielle alarmante.

    Moustafa Abdedaem: Etat de santé critique avec difficultés à parler ou bouger son corps.

    Le reste des activistes souffrent, également, de sérieux problèmes de santé, surtout des difficultés de mouvement et de parler.

  • La médaille de solidarité des médias algériens dédiée au peuple sahraoui

    Alger, 03/04/2010 (SPS) La médaille de solidarité des médias algériens a été décernée par le club de presse des amis du président de la République, Abdelaziz Bouteflika au peuple sahraoui qui lutte pour le recouvrement de sa liberté et son indépendance. La cérémonie a été assistée par une délégation de la RASD conduite par l’ambassadeur en Algérie, Brahim Ghali accompagnée des représentants des différents secteurs de la presse sahraouie et des étudiants sahraouis en Algérie.

    Le président du club, Ouael Daadouch a précisé au cours de son intervention, que cette médaille, la première du genre, a été dédiée au peuple sahraoui « en guise de solidarité avec les militants, les médias et tous ceux qui luttent pour la juste cause de ce peuple ».

    D’autres prix ont été remis aux journalistes sahraouis présents à cette cérémonie, ainsi qu’à la militante sahraouie des droits humains, Aminetou Haidar, en reconnaissance de son combat pacifique en faveur des droits de l’Homme au Sahara Occidental.

    La question du Sahara Occidental est la dernière colonie en Afrique, a rappelé le club dans un communiqué parvenu à SPS, estimant que la solidarité avec le peuple sahraoui « est un devoir pour toutes les personnes de conscience à travers le monde ».

    Il a enfin appelé tous les médias à travers le monde à se solidariser avec le peuple sahraoui pour mettre à nu les pratiques inhumaines perpétrées par le Maroc contre les Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au Sud du Maroc et dans les universités marocaines. (SPS)

  • Bilan de l’état de santé des prisonniers politiques sahraouis

    Prison de Salé :

    Ali Salem Tamek : Détérioration générale de son état de santé, difficultés respiratoires avec des fortes attaques d’asthme.

    Brahim Dahane : Toujours incapable de bouger sa main gauche, fortes douleurs d’estomac

    Ahmed Nassiri : douleurs cardiaques intenses en plus d’augmentation des palpitations du cœur.

    Yahdih Tarrouzi : Douleurs cardiaques et intestinales

    Rashid Sghayer : Rhumatisme aigüe et douleurs intestinales.

    Prison de Tiznit :

    Hassan Mohamed Lahsan : Permanence à l’hôpital dans un état critique.

    Bouamoud Mulay Ali: Perte de connaissance ce matin à l’aube à cause de la détérioration de son état de santé.

    El Ismaili Bachir: Baisse de tension artérielle alarmante.

    Moustafa Abdedaem: Etat de santé critique avec difficultés à parler ou bouger son corps.

    Le reste des activistes souffrent, également, de sérieux problèmes de santé, surtout des difficultés de mouvement et de parler.

  • Les sahraouis, au croisée des chemins

    Les nouvelles générations continuent à revendiquer l’indépendance du Sahara Occidental et sont prêtes à tout pour l’arracher

    PABLO MORÁN. ENVOYE SPECIAL AU SAHARA 02-04-2010

    Peu de choses ont changé dans les 25 dernières années dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie. C’est le problème principal auquel font face plus de 300.000 personnes qui vivent loin du Sahara Occidental. Les nouvelles générations continuent de réclamer au Maroc l’indépendance de ce territoire et assurent qu’elles sont prêtes à tout pour l’arracher.

    Les réfugiés sahraouis dans ce côté de la frontière vivent dans une contradiction continuelle. Ils rêvent de retourner au Sahara Occidental mais ils s’affrontent aux nouvelles générations qui se sentent tentées à sentir comme propre la terre que l’Algérie leur a cédée.

    Ils vivent d’un prêt, dans les camps de réfugiés qui devraient être provisoires mais le passage du temps les a obligé à développer une structure politique et sociale qui leur projète de plus en plus loin de son leur rêve. Ils veulent la paix mais ils n’écartent pas les armes si les négociations internationales ne leur donnent pas ce qu’ils réclament.

    À toutes ces doutes et contradictions s’ajoute un bouquet d’intérêts politiques et économiques qui condamne les familles qui survivent dans des tentes et dans des maisons d’argile et d’uralite au milieu du désert. C’est dans ces foyers où réside la résistance réelle du peuple sahraoui. Le plus quotidien devient, pour eux, une lutte inégale contre le désert pour pouvoir avoir chaque jour de l’eau, du courant et de la nourriture suffisante pour vivre.

    Au milieu de ces conditions, ils trouvent encore le temps pour profiter des leurs d’un autour du rituel du thé ou en jouant une partie de cartes le soir. C’est là où qu’ils profitent pour échanger des impressions sur leur avenir. Peut-être en se demandant si quelqu’un se rappellera encore d’eux au milieu d’autant de discours politiques.

    La Cadena SER dans la « Colonne des 1000 »

    Vendredi prochain, des milliers de personnes arrivées de différents points de l’Espagne formeront une chaîne humaine en face du mur de séparation construit par le Maroc pour isoler le Sahara Occidental des camps de réfugiés sahraouis en Algérie. La SER accompagne la protestation de ces activistes.

    Cadena SER , 02/04/2010 

  • Les sahraouis, au croisée des chemins

    Les nouvelles générations continuent à revendiquer l’indépendance du Sahara Occidental et sont prêtes à tout pour l’arracher

    PABLO MORÁN. ENVOYE SPECIAL AU SAHARA 02-04-2010

    Peu de choses ont changé dans les 25 dernières années dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie. C’est le problème principal auquel font face plus de 300.000 personnes qui vivent loin du Sahara Occidental. Les nouvelles générations continuent de réclamer au Maroc l’indépendance de ce territoire et assurent qu’elles sont prêtes à tout pour l’arracher.

    Les réfugiés sahraouis dans ce côté de la frontière vivent dans une contradiction continuelle. Ils rêvent de retourner au Sahara Occidental mais ils s’affrontent aux nouvelles générations qui se sentent tentées à sentir comme propre la terre que l’Algérie leur a cédée.

    Ils vivent d’un prêt, dans les camps de réfugiés qui devraient être provisoires mais le passage du temps les a obligé à développer une structure politique et sociale qui leur projète de plus en plus loin de son leur rêve. Ils veulent la paix mais ils n’écartent pas les armes si les négociations internationales ne leur donnent pas ce qu’ils réclament.

    À toutes ces doutes et contradictions s’ajoute un bouquet d’intérêts politiques et économiques qui condamne les familles qui survivent dans des tentes et dans des maisons d’argile et d’uralite au milieu du désert. C’est dans ces foyers où réside la résistance réelle du peuple sahraoui. Le plus quotidien devient, pour eux, une lutte inégale contre le désert pour pouvoir avoir chaque jour de l’eau, du courant et de la nourriture suffisante pour vivre.

    Au milieu de ces conditions, ils trouvent encore le temps pour profiter des leurs d’un autour du rituel du thé ou en jouant une partie de cartes le soir. C’est là où qu’ils profitent pour échanger des impressions sur leur avenir. Peut-être en se demandant si quelqu’un se rappellera encore d’eux au milieu d’autant de discours politiques.

    La Cadena SER dans la « Colonne des 1000 »

    Vendredi prochain, des milliers de personnes arrivées de différents points de l’Espagne formeront une chaîne humaine en face du mur de séparation construit par le Maroc pour isoler le Sahara Occidental des camps de réfugiés sahraouis en Algérie. La SER accompagne la protestation de ces activistes.

    Cadena SER , 02/04/2010 

  • Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » appelle à la libération des détenus politiques sahraouis

    CASABLANCA (Maroc) – Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » a appelé le pouvoir en place dans son pays à libérer tous les détenus politiques sahraouis et à arrêter toutes les poursuites judiciaires « injustes » à leur encontre, indique un communiqué du parti cité par l’Agence de presse sahraouie SPS.
     
    Le secrétariat national du parti a appelé, selon le communiqué, à « la poursuite des négociations directes entre le Maroc et le Font Polisario sur la base du principe de l’autodétermination et la recherche incessante d’une solution politique qui évite à la région les affres d’une guerre ».
     
    Le secrétariat national du parti, a ajouté le communiqué, a relevé plusieurs questions politiques dont la dernière visite de l’envoyé onusien chargé du Sahara Occidental, M. Christopher Ross, dans la région dans la perspective d’élaborer un rapport au Conseil de sécurité au cours du mois en cours. (SPS)