
Salé (Maroc).- Les prisonniers politiques sahraouis détenus à la prison de Salé au Maroc entameront, à partir de jeudi, une grève illimitée de la faim pour revendiquer un procès équitable ou leur libération dans les plus brefs délais.
Ces prisonniers politiques sahraouis ont appelé, dans un communiqué, toutes les forces démocratiques dans le monde qui défendent les droits de l’homme à « les soutenir dans ce combat pour leur droit à la dignité et à faire pression sur l’Etat marocain pour libérer tous les détenus politiques sahraouis et marocains emprisonnés dans les geôles marocaines ».
En dépit du fait que des parties gouvernementales, parlementaires et syndicales dans le monde considèrent les détenus politiques sahraouis comme des prisonniers d’opinion et des militants des droits de l’homme et appellent à leur libération inconditionnelle, l’Etat marocain persiste à les maintenir en détention en violation du droit international, a ajouté la même source.
Bien que l’enquête préliminaire se soit achevée depuis deux mois, les autorités marocaines « n’ont toujours pas fixé de date pour examiner le dossier », se sont interrogés les détenus politiques sahraouis, qui considèrent ceci comme « une atteinte à leur droit à avoir un procès équitable ».
Les sept activistes ont été arrêtés le 8 octobre 2009 à leur retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis et dans les territoires libérés de la République arabe sahraoui démocratique (RASD), rappelle-t-on. (SPS)
Salé (Maroc).- Les prisonniers politiques sahraouis détenus à la prison de Salé au Maroc entameront, à partir de jeudi, une grève illimitée de la faim pour revendiquer un procès équitable ou leur libération dans les plus brefs délais.
Ces prisonniers politiques sahraouis ont appelé, dans un communiqué, toutes les forces démocratiques dans le monde qui défendent les droits de l’homme à « les soutenir dans ce combat pour leur droit à la dignité et à faire pression sur l’Etat marocain pour libérer tous les détenus politiques sahraouis et marocains emprisonnés dans les geôles marocaines ».
En dépit du fait que des parties gouvernementales, parlementaires et syndicales dans le monde considèrent les détenus politiques sahraouis comme des prisonniers d’opinion et des militants des droits de l’homme et appellent à leur libération inconditionnelle, l’Etat marocain persiste à les maintenir en détention en violation du droit international, a ajouté la même source.
Bien que l’enquête préliminaire se soit achevée depuis deux mois, les autorités marocaines « n’ont toujours pas fixé de date pour examiner le dossier », se sont interrogés les détenus politiques sahraouis, qui considèrent ceci comme « une atteinte à leur droit à avoir un procès équitable ».
Les sept activistes ont été arrêtés le 8 octobre 2009 à leur retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis et dans les territoires libérés de la République arabe sahraoui démocratique (RASD), rappelle-t-on. (SPS)
Assa (sud du Maroc) .- La délégation de militants sahraouis des droits humains de retour d’une visite des camps de réfugiés sahraouis et des territoires libérés de la RASD, a été accueillie « chaleureusement » , mardi , dans les villes situées au sud du Maroc, peuplées majoritairement par les Sahraouis, a rapporté une source proche de la délégation.
Des centaines des Sahraouis ont arboré le drapeau sahraoui République arabe sahraouie démocratique, scandé des slogans en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et ont porté des photos des prisonniers politiques sahraouis qui se trouvent encore dans les prisons marocaines , pour marquer la bienvenue à cette délégation.
Les populations sahraouies à Tan Tan, Assa et Zak (sud du Maroc) ont souhaité la bienvenue à cette délégation, exprimant « leur attachement à la défense des droits légitimes du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance et leur soutien de la résistance pacifique au Sahara Occidental « .
Elles ont également dénoncé la répression « féroce » infligée par les autorités d’occupation marocaines contre les civils sahraouis sans défense dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au sud Maroc et dans les universités marocaines.
La délégation a informé au cours des réunions avec les militants et défenseurs sahraouis des droits humains des résultats de sa visite, mettant en exergue « la place qui revient aujourd’hui à l’Etat sahraoui et ses institutions sur la scène internationale ».
Une autre délégation de 7 membres, qui s’était rendue en octobre dernier aux camps de réfugiés sahraouis pour visiter ses proches a été arrêtée à son retour à l’aéroport de Casablanca et transférée à la prison de Salé. Elle est menacée de comparaître devant une cour martiale marocaine, dont la date n’a pas encore été déterminée.
Mme Degja Lechgar, la seule femme dans cette délégation, a été récemment mise en liberté provisoire en raison de son état « critique » de santé à cause des dures conditions dans lesquelles elle se trouvait aux côtés des prisonnières de droits communs, rappelle-t-on, encore. (SPS)
Assa (sud du Maroc) .- La délégation de militants sahraouis des droits humains de retour d’une visite des camps de réfugiés sahraouis et des territoires libérés de la RASD, a été accueillie « chaleureusement » , mardi , dans les villes situées au sud du Maroc, peuplées majoritairement par les Sahraouis, a rapporté une source proche de la délégation.
Des centaines des Sahraouis ont arboré le drapeau sahraoui République arabe sahraouie démocratique, scandé des slogans en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et ont porté des photos des prisonniers politiques sahraouis qui se trouvent encore dans les prisons marocaines , pour marquer la bienvenue à cette délégation.
Les populations sahraouies à Tan Tan, Assa et Zak (sud du Maroc) ont souhaité la bienvenue à cette délégation, exprimant « leur attachement à la défense des droits légitimes du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance et leur soutien de la résistance pacifique au Sahara Occidental « .
Elles ont également dénoncé la répression « féroce » infligée par les autorités d’occupation marocaines contre les civils sahraouis sans défense dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au sud Maroc et dans les universités marocaines.
La délégation a informé au cours des réunions avec les militants et défenseurs sahraouis des droits humains des résultats de sa visite, mettant en exergue « la place qui revient aujourd’hui à l’Etat sahraoui et ses institutions sur la scène internationale ».
Une autre délégation de 7 membres, qui s’était rendue en octobre dernier aux camps de réfugiés sahraouis pour visiter ses proches a été arrêtée à son retour à l’aéroport de Casablanca et transférée à la prison de Salé. Elle est menacée de comparaître devant une cour martiale marocaine, dont la date n’a pas encore été déterminée.
Mme Degja Lechgar, la seule femme dans cette délégation, a été récemment mise en liberté provisoire en raison de son état « critique » de santé à cause des dures conditions dans lesquelles elle se trouvait aux côtés des prisonnières de droits communs, rappelle-t-on, encore. (SPS)
Un patrouilleur du Service Maritime de la Garde Civile a arrêté aujourd’hui deux personnes d’origine maghrébine qui voyageaient dans un zodiac avec 1.230 kilos de hachisch à environ 1,8 milles de la plage de Jinámar, en Grande Canarie, où deux autres individus ont été arrêtés, hier, avec 1.110 kg de hachisch.
La drogue, évaluée à 1,7 millions d’euros, était distribuée dans 41 colis dans l’embarcation qui a été été détectée à l’aube d’aujourd’hui grâce à une caméra thermique dans une intervention réalisé avec la direction adjointe de Vigilance Douanière.
Le fait que le GPS ne se trouvait pas dans l’embarcation saisie est peut-être dû au fait que l’équipage ne voulait pas donner de pistes sur sa provenance et l’a jeté à la mer pour brouiller les pistes, mais il est très probable que ce soit Tarfaya (sur du Maroc) ou Dakhla (Sahara Occidental).
La présidente du Gouvernement des Canaries, Carolina Darias, a souligné aujourd’hui le succès que cette opération est un « coup important » au trafic de stupéfiants en Grande Canarie, où dans les deux derniers jours 2.300 kilos de hachisch ont été saisis, en empêchant aisni sa commercialisation dans l’île et dans le reste de l’archipel.
Source : EPA, EFE
La Plate-forme Universitaire de Soutien au Sahara (PUAS) a initié une campée sous la devise « Pour un Sahara Libre, 35 Ans d’Oubli, 35 Jours de Bruit » qui se maintiendra jusqu’au 18 avril, dans l’enceinte sportive de l’Amudena, dans le Campus Universitaire.
Ce projet essaie de faire prendre conscience la société en général, et spécialement à la communauté universitaire sur la situation du peuple sahraoui et d’exercer une pression politique et sociale sur le Gouvernement de l’Espagne pour adopter une attitude favorable au droit d’autodétermination.
La campée a lieu du 15 mars au 18 avril; une durée symbolique de 35 jours pour 35 ans qui ont passé depuis 1975, l’année année de signature des Accords Tripartites de Madrid, par lesquels l’Espagne céda le territoire du Sahara Occidental au Maroc et à la Mauritanie.
L’acte a commencé avec un manifeste réalisé par la plate-forme organisante. PUAS a souligné que la réalité du projet « essaie de rendre à la société la conscience responsable envers le peuple sahraoui ». La campée est encadrée dans « la nécessité de canaliser la frustration, et la changer en illusion, en force et en engagement ».
Les organisateurs ont remercié la collaboration, économique et morale, entre autres, du Front Polisario, CEAS-Sahara, différentes associations d’Amis du Peuple Sahraoui, spécialement celles des Asturies et Albacete, à la Plate-forme de Soutien Politique au Peuple Sahraoui (PAPPS), Jeunes pour Une Cause, FISAHARA, FEMAS, l’Université D’Alcalá de Henares de Madrid, le Collège Majeur Chaminade et d’autres collèges majeurs.
Une vingtaine d’étudiants ont dormi la première nuit de campée, et l’on s’attend que la présence croît durant les jours suivants avec l’arrivée de sympathisants d’autres provinces espagnoles pendant les jours du week-end. La campée est ouverte à la participation de tous les intéressés qui soutiennent le droit d’autodétermination du peuple sahraoui.
La campée continue cette semaine avec différentes activités comme des projections de documentaires tous les jours à 16h00 ; une conférence introduction au conflit avec la présence d’Alí Mojtar, délégué du Front Polisario à Madrid (un mercredi 17, à 18:30 heure); quelques monologues avec la présence d’Agustín Jiménez et de Carolina riega (jeudi de 18 à 20h00) concerts de chanteurs avec la présence de Cristina Mari, Titxu Vénez et Carlos Siles (vendredi de 19 à 22h00), une soirée litéraire en présence des poètes sahraouis Bahia Awah et Limam Boicha (samedi à 19h00) et un repas populaire (dimanche à 13h00)
Un patrouilleur du Service Maritime de la Garde Civile a arrêté aujourd’hui deux personnes d’origine maghrébine qui voyageaient dans un zodiac avec 1.230 kilos de hachisch à environ 1,8 milles de la plage de Jinámar, en Grande Canarie, où deux autres individus ont été arrêtés, hier, avec 1.110 kg de hachisch.
La drogue, évaluée à 1,7 millions d’euros, était distribuée dans 41 colis dans l’embarcation qui a été été détectée à l’aube d’aujourd’hui grâce à une caméra thermique dans une intervention réalisé avec la direction adjointe de Vigilance Douanière.
Le fait que le GPS ne se trouvait pas dans l’embarcation saisie est peut-être dû au fait que l’équipage ne voulait pas donner de pistes sur sa provenance et l’a jeté à la mer pour brouiller les pistes, mais il est très probable que ce soit Tarfaya (sur du Maroc) ou Dakhla (Sahara Occidental).
La présidente du Gouvernement des Canaries, Carolina Darias, a souligné aujourd’hui le succès que cette opération est un « coup important » au trafic de stupéfiants en Grande Canarie, où dans les deux derniers jours 2.300 kilos de hachisch ont été saisis, en empêchant aisni sa commercialisation dans l’île et dans le reste de l’archipel.
Source : EPA, EFE
La Plate-forme Universitaire de Soutien au Sahara (PUAS) a initié une campée sous la devise « Pour un Sahara Libre, 35 Ans d’Oubli, 35 Jours de Bruit » qui se maintiendra jusqu’au 18 avril, dans l’enceinte sportive de l’Amudena, dans le Campus Universitaire.
Ce projet essaie de faire prendre conscience la société en général, et spécialement à la communauté universitaire sur la situation du peuple sahraoui et d’exercer une pression politique et sociale sur le Gouvernement de l’Espagne pour adopter une attitude favorable au droit d’autodétermination.
La campée a lieu du 15 mars au 18 avril; une durée symbolique de 35 jours pour 35 ans qui ont passé depuis 1975, l’année année de signature des Accords Tripartites de Madrid, par lesquels l’Espagne céda le territoire du Sahara Occidental au Maroc et à la Mauritanie.
L’acte a commencé avec un manifeste réalisé par la plate-forme organisante. PUAS a souligné que la réalité du projet « essaie de rendre à la société la conscience responsable envers le peuple sahraoui ». La campée est encadrée dans « la nécessité de canaliser la frustration, et la changer en illusion, en force et en engagement ».
Les organisateurs ont remercié la collaboration, économique et morale, entre autres, du Front Polisario, CEAS-Sahara, différentes associations d’Amis du Peuple Sahraoui, spécialement celles des Asturies et Albacete, à la Plate-forme de Soutien Politique au Peuple Sahraoui (PAPPS), Jeunes pour Une Cause, FISAHARA, FEMAS, l’Université D’Alcalá de Henares de Madrid, le Collège Majeur Chaminade et d’autres collèges majeurs.
Une vingtaine d’étudiants ont dormi la première nuit de campée, et l’on s’attend que la présence croît durant les jours suivants avec l’arrivée de sympathisants d’autres provinces espagnoles pendant les jours du week-end. La campée est ouverte à la participation de tous les intéressés qui soutiennent le droit d’autodétermination du peuple sahraoui.
La campée continue cette semaine avec différentes activités comme des projections de documentaires tous les jours à 16h00 ; une conférence introduction au conflit avec la présence d’Alí Mojtar, délégué du Front Polisario à Madrid (un mercredi 17, à 18:30 heure); quelques monologues avec la présence d’Agustín Jiménez et de Carolina riega (jeudi de 18 à 20h00) concerts de chanteurs avec la présence de Cristina Mari, Titxu Vénez et Carlos Siles (vendredi de 19 à 22h00), une soirée litéraire en présence des poètes sahraouis Bahia Awah et Limam Boicha (samedi à 19h00) et un repas populaire (dimanche à 13h00)
Les Etats-unis d’Amérique et la France ont salué l’initiative algérienne de réunir à Alger les pays du Sahel en vue de constituer un front commun dans la lutte contre le terrorisme.
Outre l’Algérie, les autres pays concernés par cette réunion sont le Tchad, la Libye, le Mali, la Mauritanie et le Niger.
« Nous nous réjouissons de l’initiative prise par les autorités algériennes d’accueillir sur leur sol cette enceinte de concertation entre les États de la région », a dit le communiqué du Ministère des Affaires Etrangères français. « Nous souhaitons que cette conférence puisse donner un nouvel élan au processus de Bamako et renforcer la coordination régionale, cruciale en matière de lutte contre le terrorisme dans cette zone » ajoute-t-il.
Tous les pays du monde sont unanimes sur le fait que « l’Algérie est la principale puissance économique et militaire de la région, jouissant d’une longue expérience dans la lutte antiterroriste qui se doit d’assurer la coordination de la lutte contre Al Qaïda dans la région, laquelle ne peut se faire de manière séparée sans risque de voir le terrorisme menacer d’autres parties de la région».
Rabat, dans sa tentative d’imposer une reconnaissance de sa souveraineté sur le Sahara Occidental et asseoir son influence au Sahel a joué toutes les cartes pour participer à la conférence d’Alger. Les dépêches de la MAP et les faux rapports des centres imaginaires, comme le POTOMAC et l’ESISC ont travaillé à arrache-pied dans ce sens en présentant le Maroc de rempart contre tous les dangers, même contre l’invasion des extraterrestres.
Au Mali, l’argent du roi Mohamed VI a poussé le président malien à revendiquer la participation de Rabat dans toute réunion sur le Sahel. L’offensive de charme marocaine dans ce pays a débuté il y a quelques années. Mais le royaumé chérifien ne fait pas partie des pays du Sahel du fait que ses frontières internationalement reconnues n’arrivent pas au Grand Sahara et son occupation du territoire du Sahara Occidental est illégale aux yeux du droit international. De plus, la République Arabe Sahraouie Démocratique est membre de l’UA et elle est reconnue par le mali en tant que’Etat indépendant.
A cela s’ajoute que les pays du Sahel refusent l’ingérence étrangère dans leurs affaires, alors que leur voisin marocain traîne avec lui l’ombre de l’AFRICOM qui ne cesse de revendiquer son installation chez lui.
La déception des autorités marocaines a été exprimée dans un communiqué dans lequel ils « déplorent » leur absence.