Auteur/autrice : mahembarec

  • Deux percherons vendus au roi du Maroc

    A cause des critiques apparues dans la presse internationale, la presse nationale, il faut pas rêver, n’osera jamais aborder le sujet, le roi Mohamed VI s’est montré plus discret dans ses vices et loisirs. Nonobstant, de temps en temps, l’on trouve des indices sur penchon pour la belle vie.
    En plus des voitures de luxe transportées en avion pour être réparés en Grande Bretagne, il y a aussi le goût pour les chevaux. Le voilà en Normandie. Une dépêche publiée par Ouest-France, le samedi, 6 avril 2010. Avec une photo qui illustre la belle race de la bête.

    Deux percherons vendus au roi du Maroc
    Jacky Lorenzo, propriétaire du domaine de la Forge à Saint-Victor-de-Reno (Orne), vient de vendre un étalon percheron, Quintus, au roi du Maroc, Mohamed VI. Le cheval a été sélectionné par le vétérinaire personnel de la garde royale marocaine. C’est le second percheron de Jacky Lorenzo qui prend la route du Maghreb, après la jument Océane, également partie aux haras royaux du Maroc. Le propriétaire a pu rencontrer le roi qui l’a invité au Maroc à l’automne pour revoir ces deux chevaux. 

    Ouest France

  • Intervention  »musclée » de la police marocaine contre un sit-in de Sahraouis et étrangers à El Aaiun

    El Aaiun (territoires occupés) 09/04/2010 (SPS) La police marocaine est intervenue « brutalement », la nuit du jeudi à vendredi à El Aaiun, capitale du Sahara Occidental occupé par le Maroc) pour disperser un sit-in pacifique organisé par des activistes sahraouis des droits humains et de juristes étrangers devant la Cour d’appel d’El Aaiun, pour déposer une plainte contre la police marocaine, qui les avait maltraité, jeudi soir, au poste de contrôle, à leur entrée dans la ville occupée.

    « L’intervention, qui s’est déroulée à deux heures du matin, était violente, brutale et expéditive contre les manifestants, dont deux juristes espagnols, qui arboraient des slogans dénonçant les abus de la police dont ils ont été victimes », a indiqué un communiqué du Collectif sahraoui des droits humains, basé dans la capitale sahraouie occupée, dont une copie est parvenue à SPS.

    Les deux ressortissants espagnols, qui participaient au sit-in, ont été arrêtés par la police jusqu’au matin et leur documents, appareils photos et téléphones cellulaires, lui été confisqués, a-t-on indiqué de même source.

    Les manifestants s’en sortis avec « des blessures légères et des ecchymoses sur plusieurs parties de leur corps », a précisé la même source.

    Les douze activistes sahraouis des droits humains qui avaient visité les camps de réfugiés sahraouis et l’Algérie récemment avaient été agressés sauvagement à leur arrivée à l’aéroport d’El Aaiun et ultérieurement devant la maison de Deddech par des milices à la solde de l’Etat marocain, rappelle-t-on.

    Les autorités d’occupation marocaines avaient alors incité plus de 700 colons marocains à les agresser devant les forces de sécurité marocaines qui « encourageaient les agresseurs à torturer les victimes ». (SPS)

  • Consulat d’un pays « ami » du Maroc menacé par ses concitoyens

    Ambassade de Guinée au Maroc : Les Etudiants Guinéens menacent de prendre le consulat en otage le 13 avril 2010 prochain
    Objet : Préavis de grève

    Excellence Monsieur le Premier ministre,
    Suite au retard accusé pour la perception des compléments de bourses et primes de vacances de l’année 2009 par les étudiants guinéens boursiers de l’étranger et particulièrement ceux du Maroc. Considérant qu’aucune suite favorable n’a suivi les documents qui nous ont été transmis le 02 mars 2010 par votre gouvernement, faisant mention du déblocage de notre situation et précisant à travers votre signature que chaque étudiant guinéen boursier de l’étranger devrait rentrer en possession de sa bourse dans le courant du mois de mars 2010 et que la situation des étudiants guinéens au Maroc se détériore de jour en jour .
    Excellence Monsieur le Premier Ministre, vu ce non respect des engagements pris par l’Etat guinéen vis-à-vis de ses boursiers, Le bureau exécutif des étudiants guinéens du Maroc soucieux de la situation que nous vivons, vous informe qu’a partir du 13 avril 2010, l’ensemble des étudiants guinéens ira en grève jusqu’a la satisfaction totale de toutes ses revendications et cela dans l’enceinte de l’ambassade de la République Guinée sise à Rabat-Agdal.
    Excellence Monsieur le Premier Ministre, espérant qu’une solution sera trouvée avant la date butoire, veuillez agréer l’expression de notre très haute considération.
    Pour le Bureau Exécutif de l’ASEGUIM
    Le Secrétaire Général 
    Blog Guinée Info

  • Deux percherons vendus au roi du Maroc

    A cause des critiques apparues dans la presse internationale, la presse nationale, il faut pas rêver, n’osera jamais aborder le sujet, le roi Mohamed VI s’est montré plus discret dans ses vices et loisirs. Nonobstant, de temps en temps, l’on trouve des indices sur penchon pour la belle vie.
    En plus des voitures de luxe transportées en avion pour être réparés en Grande Bretagne, il y a aussi le goût pour les chevaux. Le voilà en Normandie. Une dépêche publiée par Ouest-France, le samedi, 6 avril 2010. Avec une photo qui illustre la belle race de la bête.

    Deux percherons vendus au roi du Maroc
    Jacky Lorenzo, propriétaire du domaine de la Forge à Saint-Victor-de-Reno (Orne), vient de vendre un étalon percheron, Quintus, au roi du Maroc, Mohamed VI. Le cheval a été sélectionné par le vétérinaire personnel de la garde royale marocaine. C’est le second percheron de Jacky Lorenzo qui prend la route du Maghreb, après la jument Océane, également partie aux haras royaux du Maroc. Le propriétaire a pu rencontrer le roi qui l’a invité au Maroc à l’automne pour revoir ces deux chevaux. 

    Ouest France

  • Des militants sahraouis agressés par les forces de police marocaine soutenue par une foule de colons

    El Aaiun occupée, 08-04-2010
    Des militants sahraouis agressés par les forces de police marocaine soutenue par une foule de colons marocains

    Mardi soir, lors du retour à El Aaiun occupé par le Maroc de la délégation menée par M. Dadach, un certain nombre de citoyens Sahraouis et les défenseurs des droits humains ont été blessés à des degrés divers après l’intervention violente des forces de police marocaine, soutenue par une foule de colons marocains.
    La militante des droits de l’homme et vice-président de l’ASVDH, Mme Djimi El-Ghalia, ancienne disparue Sahraouie, était sur place et témoigne des faits.
    Celle-ci accompagnait Mme Ismaili Fatimatou, épouse de Mr Sidi Med Dadach, président CODAPSO, comite de défense de l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental.
    Elles attendaient avec d’autres l’arrivée de la délégation des défenseurs Sahraouis de droits de l’homme à leur retour d’une visite aux camps de réfugiés Sahraouis, lorsque des centaines de personnes marocaines sont arrivées, brandissant des drapeaux marocains et scandant des slogans racistes.
    Alors qu’elle avait ressenti le danger, Mme Djimi El-Ghalia a demandé en français de l’aide à un agent de la MINURSO qui stationnait là.
    Ce dernier a indiqué qu’il ne comprenait pas le français. A la même demande d’aide formulée en anglais, l’agent a répondu qu’« il n’était pas d’ici », que la question ne le concernait pas . Il n’est donc pas intervenu pour protéger ces femmes.
    Selon Mme Djimi El-Ghalia, la plupart des agresseurs, dont certains étaient habillés de vêtements traditionnels Sahraouis, étaient des colons marocains.
    Il semble qu’ils étaient sous le commandement des deux officiers Abdul Aziz Anoush et Khalid Baraka.
    À l’intérieur de l’aéroport, les employés ont retardé pendant plus d’une heure la livraison des bagages de tous les membres de la délégation.
    Cet acte a été compris comme une tentative de faire sortir les militants de l’aéroport avec l’assurance qu’il n’y aurait plus d’autres témoins que ceux triés et « autorisés ».
    Une fois hors de l’aéroport, les militants ont été frappés à coups de bâton, ils ont reçu des jets de pierre, des crachats. Des insultes à caractère sexuel ont été lancées contre Sultana Khaya.
    Les jets de pierre sur les voitures des familles Sahraouies ont continué à la sortie de l’aéroport sur la route officielle.
    La présence des forces de police marocaine était très importante et très visible sur la route d’accès au quartier ERAK où se trouve la maison de Mohamed Daddach.
    L’ensemble du quartier était sous haute surveillance, empêchant la libre circulation des citoyens Sahraouis.
    Une manifestation de sympathisants et d’ami de Dadach a été violement dispersée par la police marocaine.

    Le Temps d’Algérie
  • ONG’s exigent au Ministère de l’Industrie espagnol d’accomplir la loi et l’arrêt de la vente d’armes au Maroc

    MADRID, 9 Avril.-Une demi-douzaine d’organisations pro-droits de l’homme ont déposé aujourd’hui une dénonce auprès du Ministère d’Industrie, du Tourisme et du Commerce, pour exiger au Gouvernement d’ »accomplir la loi » et de s’adapter aux conventions internationales et cesser de vendre des armes au Maroc, après avoir constaté que les transferts d’armes de double usage au Royaume alaouite continue.

    Concrètement, la dénonce se rapporte à la Loi du Commerce d’Armes, approuvée en décembre 2007, selon laquelle l’État doit se tenir au Code de Conduite de l’Union Européenne et, donc, il ne peut pas vendre des armes à des pays en conflit qui violent les droits de l’homme ou qui ne présentent pas des garanties que le matériel ne sera pas revendu à des tiers qui encourent en ces pratiques, entre autres limitations.

    Pour la juriste spécialisée dans la question du Sahara Occidental et le représentant des plaignants, Inés Miranda, le Maroc est « l’exemple typique et visible » de ce profil parce que « depuis 35 ans il maintient l’occupation violente du Sahara, séparé avec un mur plus long que celui de Berlin et militarisé; il ne respecte pas la Convention de Genève ni celle de la Haye et, entre autres, il garde plus de 50 prisonniers de conscience dans des prisons militaires, 31 desquels depuis plus de 20 jours sont en grève de la faim pour réclamer qu’on leur dise de quoi ils sont accusés ».

    Dans des déclarations à Europa Press, Miranda a expliqué que, malgré que l’Espagne « n’a jamais reconnu publiquement  » qu’au Maroc les droits de l’homme sont violés, le pays « est membre de l’Union Européenne et le Conseil de l’Europe a exigé au Maroc de respecter les droits fondamentaux et, spécialement, ceux des activistes qui défendent le peuple sahraoui ».

    La dénonce a été remise à tous les membres de l’Assemblée Interministérielle qui décide sur les exportations (JIMMDU), au président du Conseil de l’Europe, au Parlement Européen, au Haut Commisaire des Droits de l’homme de l’ONU, au président du Conseil de Sécurité et au secrétaire général de l’institution, Ban Ki Moon, a ajouté Miranda.

    Chez la Commission Espagnole d’Aide au Réfugié (CEAR), sont souscrites l’Association de Familiers de Prisonniers et les Disparus Saharauis (AFAPREDESA), l’Association Pro Droits Humains de l’Espagne (APDHE), l’Association Internationale de Juristes pour le Sahara Occidental (IAJUWS), l’Observatoire Asturien de Droits de l’homme pour le Sahara Occidental, l’Observatoire Aragonais pour le Sahara Occidental et l’Association Canarienne de Juristes pour la Paix et les Droits de l’homme (JUPADEHU) et les organisations n’écartent qu’il y ait plus d’adhésions.

    Euorpa Press

  • Consulat d’un pays "ami" du Maroc menacé par ses concitoyens

    Ambassade de Guinée au Maroc : Les Etudiants Guinéens menacent de prendre le consulat en otage le 13 avril 2010 prochain
    Objet : Préavis de grève

    Excellence Monsieur le Premier ministre,
    Suite au retard accusé pour la perception des compléments de bourses et primes de vacances de l’année 2009 par les étudiants guinéens boursiers de l’étranger et particulièrement ceux du Maroc. Considérant qu’aucune suite favorable n’a suivi les documents qui nous ont été transmis le 02 mars 2010 par votre gouvernement, faisant mention du déblocage de notre situation et précisant à travers votre signature que chaque étudiant guinéen boursier de l’étranger devrait rentrer en possession de sa bourse dans le courant du mois de mars 2010 et que la situation des étudiants guinéens au Maroc se détériore de jour en jour .
    Excellence Monsieur le Premier Ministre, vu ce non respect des engagements pris par l’Etat guinéen vis-à-vis de ses boursiers, Le bureau exécutif des étudiants guinéens du Maroc soucieux de la situation que nous vivons, vous informe qu’a partir du 13 avril 2010, l’ensemble des étudiants guinéens ira en grève jusqu’a la satisfaction totale de toutes ses revendications et cela dans l’enceinte de l’ambassade de la République Guinée sise à Rabat-Agdal.
    Excellence Monsieur le Premier Ministre, espérant qu’une solution sera trouvée avant la date butoire, veuillez agréer l’expression de notre très haute considération.
    Pour le Bureau Exécutif de l’ASEGUIM
    Le Secrétaire Général 
    Blog Guinée Info

  • Des militants sahraouis agressés par les forces de police marocaine soutenue par une foule de colons

    El Aaiun occupée, 08-04-2010
    Des militants sahraouis agressés par les forces de police marocaine soutenue par une foule de colons marocains

    Mardi soir, lors du retour à El Aaiun occupé par le Maroc de la délégation menée par M. Dadach, un certain nombre de citoyens Sahraouis et les défenseurs des droits humains ont été blessés à des degrés divers après l’intervention violente des forces de police marocaine, soutenue par une foule de colons marocains.
    La militante des droits de l’homme et vice-président de l’ASVDH, Mme Djimi El-Ghalia, ancienne disparue Sahraouie, était sur place et témoigne des faits.
    Celle-ci accompagnait Mme Ismaili Fatimatou, épouse de Mr Sidi Med Dadach, président CODAPSO, comite de défense de l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental.
    Elles attendaient avec d’autres l’arrivée de la délégation des défenseurs Sahraouis de droits de l’homme à leur retour d’une visite aux camps de réfugiés Sahraouis, lorsque des centaines de personnes marocaines sont arrivées, brandissant des drapeaux marocains et scandant des slogans racistes.
    Alors qu’elle avait ressenti le danger, Mme Djimi El-Ghalia a demandé en français de l’aide à un agent de la MINURSO qui stationnait là.
    Ce dernier a indiqué qu’il ne comprenait pas le français. A la même demande d’aide formulée en anglais, l’agent a répondu qu’« il n’était pas d’ici », que la question ne le concernait pas . Il n’est donc pas intervenu pour protéger ces femmes.
    Selon Mme Djimi El-Ghalia, la plupart des agresseurs, dont certains étaient habillés de vêtements traditionnels Sahraouis, étaient des colons marocains.
    Il semble qu’ils étaient sous le commandement des deux officiers Abdul Aziz Anoush et Khalid Baraka.
    À l’intérieur de l’aéroport, les employés ont retardé pendant plus d’une heure la livraison des bagages de tous les membres de la délégation.
    Cet acte a été compris comme une tentative de faire sortir les militants de l’aéroport avec l’assurance qu’il n’y aurait plus d’autres témoins que ceux triés et « autorisés ».
    Une fois hors de l’aéroport, les militants ont été frappés à coups de bâton, ils ont reçu des jets de pierre, des crachats. Des insultes à caractère sexuel ont été lancées contre Sultana Khaya.
    Les jets de pierre sur les voitures des familles Sahraouies ont continué à la sortie de l’aéroport sur la route officielle.
    La présence des forces de police marocaine était très importante et très visible sur la route d’accès au quartier ERAK où se trouve la maison de Mohamed Daddach.
    L’ensemble du quartier était sous haute surveillance, empêchant la libre circulation des citoyens Sahraouis.
    Une manifestation de sympathisants et d’ami de Dadach a été violement dispersée par la police marocaine.

    Le Temps d’Algérie
  • ONG’s exigent au Ministère de l’Industrie espagnol d’accomplir la loi et l’arrêt de la vente d’armes au Maroc

    MADRID, 9 Avril.-Une demi-douzaine d’organisations pro-droits de l’homme ont déposé aujourd’hui une dénonce auprès du Ministère d’Industrie, du Tourisme et du Commerce, pour exiger au Gouvernement d’ »accomplir la loi » et de s’adapter aux conventions internationales et cesser de vendre des armes au Maroc, après avoir constaté que les transferts d’armes de double usage au Royaume alaouite continue.

    Concrètement, la dénonce se rapporte à la Loi du Commerce d’Armes, approuvée en décembre 2007, selon laquelle l’État doit se tenir au Code de Conduite de l’Union Européenne et, donc, il ne peut pas vendre des armes à des pays en conflit qui violent les droits de l’homme ou qui ne présentent pas des garanties que le matériel ne sera pas revendu à des tiers qui encourent en ces pratiques, entre autres limitations.

    Pour la juriste spécialisée dans la question du Sahara Occidental et le représentant des plaignants, Inés Miranda, le Maroc est « l’exemple typique et visible » de ce profil parce que « depuis 35 ans il maintient l’occupation violente du Sahara, séparé avec un mur plus long que celui de Berlin et militarisé; il ne respecte pas la Convention de Genève ni celle de la Haye et, entre autres, il garde plus de 50 prisonniers de conscience dans des prisons militaires, 31 desquels depuis plus de 20 jours sont en grève de la faim pour réclamer qu’on leur dise de quoi ils sont accusés ».

    Dans des déclarations à Europa Press, Miranda a expliqué que, malgré que l’Espagne « n’a jamais reconnu publiquement  » qu’au Maroc les droits de l’homme sont violés, le pays « est membre de l’Union Européenne et le Conseil de l’Europe a exigé au Maroc de respecter les droits fondamentaux et, spécialement, ceux des activistes qui défendent le peuple sahraoui ».

    La dénonce a été remise à tous les membres de l’Assemblée Interministérielle qui décide sur les exportations (JIMMDU), au président du Conseil de l’Europe, au Parlement Européen, au Haut Commisaire des Droits de l’homme de l’ONU, au président du Conseil de Sécurité et au secrétaire général de l’institution, Ban Ki Moon, a ajouté Miranda.

    Chez la Commission Espagnole d’Aide au Réfugié (CEAR), sont souscrites l’Association de Familiers de Prisonniers et les Disparus Saharauis (AFAPREDESA), l’Association Pro Droits Humains de l’Espagne (APDHE), l’Association Internationale de Juristes pour le Sahara Occidental (IAJUWS), l’Observatoire Asturien de Droits de l’homme pour le Sahara Occidental, l’Observatoire Aragonais pour le Sahara Occidental et l’Association Canarienne de Juristes pour la Paix et les Droits de l’homme (JUPADEHU) et les organisations n’écartent qu’il y ait plus d’adhésions.

    Euorpa Press

  • Présidents des sous-commissions africaines du Sénat et du Congrès américain demande l’élargissement du mandat de la MINURSO

    Washington, un 08/04/2010 (SPS) .-Les présidents des sous-commissions de Affaires Africaines dans le Sénat et le Congres des EU, Russell D. Feingold et Donald M. Payne respectivement, ont appelé ce mardi le Gouvernement des Etats-Unis à appuyer les efforts de l’Envoyé Personnel du Secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross pour renouer les négociations sans conditions préalables, lors de la proche réunion du Conseil de Sécurité.
    Dans une lettre adressée au Secrétaire d’État, Hilary Clinton, les Présidents des deux sous-commissions ont averti que n’importe quel changement dans la politique des Etats-Unis par rapport au Sahara Occidental, doit appuyer une solution négociée du conflit.
    Ils ont aussi demandé au Gouvernement des Etats-Unis son soutien pour que le prochain mandat de la MINURSO inclue la supervision et la protection des droits de l’homme au Sahara Occidental.

    De la même manière, ils ont réaffirmé son appui au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination à travers un référendum libre et juste.

    Finalement, Russell D. Feingold et Donald M. Payne ont demandé aux deux parties d’entrer dans des négociations directes et de bonne foi. (SPS)