Le retour aux armes n’est pas exclu. Solution finale au conflit sahraoui

Aujourd’hui, il existe un déclic entre la nouvelle génération composée pratiquement de jeunes cadres issus de formations universitaires dans diverses spécialités et leurs aînés. En effet, l’ancienne génération s’est penchée beaucoup plus sur une solution pacifique au conflit actuel, à travers les négociations, tandis que la jeunesse sahraouie, elle, se trouve être pessimiste quant à un résultat concluant dans les négociations. Les différents témoignages recueillis sur les camps des réfugiés à Tindouf attestent de cela. Dans une déclaration exclusive à notre rédaction, le Premier Ministre Sahraoui, n’exclut pas un éventuel recours à la lutte armée contre l’occupant marocain. « Les jeunes se précipitent et sont impatients et demandent qu’il y ait des pressions et qu’on doit passer aux armes parce qu’on a vu ce que l’Organisation des Nations Unies a fait » a-t-il indiqué. Par ailleurs, il expliquera qu’il y a, à chaque fois, de nouvelles perspectives qui s’ouvrent, comme c’est le cas actuellement. D’autre part, a-t-il souligné, il y a eu le déblocage après une année et demie, avec l’arrivée du nouvel envoyé spécial qui est plus équilibré que son prédécesseur, donc une lueur d’espoir subsiste. « Le Polisario a décidé de lui donner une chance » a-t-il affirmé. En attendant et au moment opportun, a-t-il conclu, le nouvel envoyer spécial, aura évalué ce processus de négociations pour créer une conclusion qui s’impose et alors suivre la politique qui s’impose. Au risque que les négociations échouent encore, selon le Premier Ministre, ce ne sera pas seulement les jeunes qui prendront les armes mais aussi les adultes et les plus âgés. « Il y a ce consensus de lutter et de faire tout pour arriver à une solution politique, pacifique». Le peuple sahraoui est déterminé à faire tout sauf lever le drapeau long, s’il s’avère que cela n’aboutisse pas, a-t-il poursuivi, ajoutant de ce fait, qu’il n’est pas prêt à rester toujours les mains croisées sans rien faire, mais qu’il opte et donne la priorité à la solution pacifique. Ceci dit, le retour aux armes, d’après notre interlocuteur, est toujours une option réelle. Et de conclure : « on se prépare pour ça comme autre alternative ».
El Djazair, 

2 Commentaires

  1. Quand le principal interlocutuer joue au sourd muet, il ne reste plus d'alternative a la discussion,un interlocuteur influence par un despotisme sans merci qui ne soucie guere de la soufrance de tout un peuple, encore s'il considere les Sahraoui un peuple, Le Roi du Maroc les voie comme de vulguere nomades qui errent dans le desert sans racine.Il faut que ca cesse, on obtient pas la liberte par un dialogue sourd, mais le sang des Martyrs, par le sacrifice et la lutte des homme et des femmes unis sous les valeurs les plus nobles, le droit a l'auto-determination comme libre qui decide de son propre avenir. Que la lutte continue et le peuple Saharaoui ne reculeras pas devant un Tyran du Maroc, l'Histoire dementrera encore une fois que les enemies des peuples finissent toujours par etre vaicus avec la grace de Dieu.

  2. L'Algerie devrait plus soutenir le peuple Sahraoui, vue les liens solides qui la lie a la leur.

    Ce n'est possible qu'on laisse dans les oubliettes les refugies qui se trouvent dans les Camps de Toundouf, une solution provisoire qui a assez duree, l'Algerie est capable de mettre en place un dispositif de lutte armee sofidtiquee contre l'occupation Marocaine et arreter l'exploitation des ressources d'un peuple trahi par tout les cotes, les Nations Unies jouent a l'hypocrite offrant des mini solution et favorisant le Royaume Marocain a cause de l'influence et les liens que le Maroc tient avec Washington.
    Il est temps que L'Algerie prenne la position ferme et defendre la cause noble des Saharaouis pas de solutions provisoires mesieurs.L'action par elle meme vaut milles paroles et couope court a l'hypocrisie des gouvernements.Dieu est avec ceux qui sont justes.

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