Pourtant, l’idée de juger le dictateur Mohamed VI n’est pas du tout mauvaise.
Miriam Prat
miriam@hispanidad.com
(1) En espagnol, le mot « real » équivaut à réel et royal.
Source : Hispanidad.com
Pourtant, l’idée de juger le dictateur Mohamed VI n’est pas du tout mauvaise.
Miriam Prat
miriam@hispanidad.com
(1) En espagnol, le mot « real » équivaut à réel et royal.
Source : Hispanidad.com
Dans une interview accordée à EFE, après ses rencontres avec le président de la République Arabe Sahraouie Démocrátique (RASD), Mohamed Abdelaziz, et le chef d’État algérien, Abdelaziz Bouteflika, le politicien mexicain a considéré que la position d’Obama envers le conflit israélo-palestinien offre « des espoirs » en relation avec la question sahraouie.
« J’ai l’espoir qu’Obama, aussi vite qu’il se libérera des problèmes de politique intérieure et que l’économie nord-américaine reprenne croissance, puisse dédier plus de temps à la politique extérieure et avoir une attitude différente avec le Maroc », dit-il.
Navarrete a regretté que le Maroc ait « bloqué » la solution du référendum marquée par les résolutions de l’ONU et a estimé que tandis que la France « maintienne son soutien » à Rabat et que l’Espagne adopte une « attitude peu réceptive pour soutenir les résolutions des Nations Unies » le conflit « semble ne pas avoir des voies de solution rapide ».
Cependant, il a indiqué qu’une « attitude différente » des EU à l’égard du Maroc « aidera » et espère que l’actuel blocage dans lequel se trouvent les négociations entre Rabat et le Front Polisario sous les auspices de l’ONU « ne se prolonge pas longtemps ».
Dans ce sens, il a dit qu’il s’est engagé devant les dirigeants sahraouis à intercéder pour la cause du Sahara Occidental dans ses contacts avec les mandataires américains.
« Je suis convaincu que cette cause, qui est juste, ne finira pas par être oubliée au sein de l’ONU et que la situation internationale aide pour que le Maroc puisse être convaincu qu’il ne peut pas maintenir une attitude de dureté comme celle qu’il a eue jusqu’à présent », réïtéra-t-il.
Le président du Sénat a tenu mercredi une interview de plus de deux heures avec Bouteflika dans laquelle il a revisé les relations bilatérales entre les deux pays et les « visions coïncidentes » du Mexique et de l’Algérie dans des questions multiples de politique internationale, parmi elles celle du Proche Orient.
« J’ai remarqué une attitude très réceptive de Bouteflika, il est très intéressé à ce qu’il se passe au Mexique, dans son système politique et électoral », a dit Navarrete, qui a invité le chef d’État algérien aux célébrations du bicentenaire de l’indépendance mexicaine au mois de septembre suivant.
De la même manière, il lui a exprimé la reconnaissance de son pays par la prochaine inauguration à Alger d’un buste dédié à Emiliano Zapata, le héros de la révolution mexicaine.
Le sénateur a souligné que l’échange commercial entre son pays et l’Algérie a considérablement augmenté dans les cinq dernières années, malgré le fait que cette croissance a été freinée en 2009 à cause de la crise économique du pays latino-américain.
« Il y a des grandes opportunités de coopération dans le secteur de la construction de logements et d’infrastructures et dans celui des télécommunications, en plus d’autres spécifiques comme les produits agricoles, d’e cuir ou des chaussures que les entrepreneurs mexicains pourraient placer très bien en Algérie », indiqua-t-il.
L’Algérie est l’un des principaux partenaires commerciaux du Mexique dans le continent africain et en 2008 l’échange économique entre les deux pays a atteint un chiffre record de 632 millions de dollars.
Après son interview avec Bouteflika, Navarrete a été reçu aujourd’hui par le premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, et par le ministre des Affaires Maghrébins et Africains, Abdelkader Messahel.
Pendant ses deux jours de visite officielle, il s’est réuni de plus avec le président du Sénat algérien, Abdelkader Bensalah, le vice-président de l’Assemblée Nationale, Sedik Chiheb, et du Conseil Constitutionnel, Boualem Bessayah.
Dans les camps des réfugiés sahraouis du sud-ouest algérien, il a tenu des rencontres, en plus d’Abdelaziz, avec le premier ministre de la RASD, Abdelkader Taleb Omar, et le président du Parlement, Mahfud Ali Beiba.
Le Mexique a reconnu la RASD le 8 septembre 1979 et depuis lors les deux pays maintiennent des relations diplomatiques.
Source : EPA
Pourtant, l’idée de juger le dictateur Mohamed VI n’est pas du tout mauvaise.
Miriam Prat
miriam@hispanidad.com
(1) En espagnol, le mot « real » équivaut à réel et royal.
Source : Hispanidad.com
Dans une interview accordée à EFE, après ses rencontres avec le président de la République Arabe Sahraouie Démocrátique (RASD), Mohamed Abdelaziz, et le chef d’État algérien, Abdelaziz Bouteflika, le politicien mexicain a considéré que la position d’Obama envers le conflit israélo-palestinien offre « des espoirs » en relation avec la question sahraouie.
« J’ai l’espoir qu’Obama, aussi vite qu’il se libérera des problèmes de politique intérieure et que l’économie nord-américaine reprenne croissance, puisse dédier plus de temps à la politique extérieure et avoir une attitude différente avec le Maroc », dit-il.
Navarrete a regretté que le Maroc ait « bloqué » la solution du référendum marquée par les résolutions de l’ONU et a estimé que tandis que la France « maintienne son soutien » à Rabat et que l’Espagne adopte une « attitude peu réceptive pour soutenir les résolutions des Nations Unies » le conflit « semble ne pas avoir des voies de solution rapide ».
Cependant, il a indiqué qu’une « attitude différente » des EU à l’égard du Maroc « aidera » et espère que l’actuel blocage dans lequel se trouvent les négociations entre Rabat et le Front Polisario sous les auspices de l’ONU « ne se prolonge pas longtemps ».
Dans ce sens, il a dit qu’il s’est engagé devant les dirigeants sahraouis à intercéder pour la cause du Sahara Occidental dans ses contacts avec les mandataires américains.
« Je suis convaincu que cette cause, qui est juste, ne finira pas par être oubliée au sein de l’ONU et que la situation internationale aide pour que le Maroc puisse être convaincu qu’il ne peut pas maintenir une attitude de dureté comme celle qu’il a eue jusqu’à présent », réïtéra-t-il.
Le président du Sénat a tenu mercredi une interview de plus de deux heures avec Bouteflika dans laquelle il a revisé les relations bilatérales entre les deux pays et les « visions coïncidentes » du Mexique et de l’Algérie dans des questions multiples de politique internationale, parmi elles celle du Proche Orient.
« J’ai remarqué une attitude très réceptive de Bouteflika, il est très intéressé à ce qu’il se passe au Mexique, dans son système politique et électoral », a dit Navarrete, qui a invité le chef d’État algérien aux célébrations du bicentenaire de l’indépendance mexicaine au mois de septembre suivant.
De la même manière, il lui a exprimé la reconnaissance de son pays par la prochaine inauguration à Alger d’un buste dédié à Emiliano Zapata, le héros de la révolution mexicaine.
Le sénateur a souligné que l’échange commercial entre son pays et l’Algérie a considérablement augmenté dans les cinq dernières années, malgré le fait que cette croissance a été freinée en 2009 à cause de la crise économique du pays latino-américain.
« Il y a des grandes opportunités de coopération dans le secteur de la construction de logements et d’infrastructures et dans celui des télécommunications, en plus d’autres spécifiques comme les produits agricoles, d’e cuir ou des chaussures que les entrepreneurs mexicains pourraient placer très bien en Algérie », indiqua-t-il.
L’Algérie est l’un des principaux partenaires commerciaux du Mexique dans le continent africain et en 2008 l’échange économique entre les deux pays a atteint un chiffre record de 632 millions de dollars.
Après son interview avec Bouteflika, Navarrete a été reçu aujourd’hui par le premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, et par le ministre des Affaires Maghrébins et Africains, Abdelkader Messahel.
Pendant ses deux jours de visite officielle, il s’est réuni de plus avec le président du Sénat algérien, Abdelkader Bensalah, le vice-président de l’Assemblée Nationale, Sedik Chiheb, et du Conseil Constitutionnel, Boualem Bessayah.
Dans les camps des réfugiés sahraouis du sud-ouest algérien, il a tenu des rencontres, en plus d’Abdelaziz, avec le premier ministre de la RASD, Abdelkader Taleb Omar, et le président du Parlement, Mahfud Ali Beiba.
Le Mexique a reconnu la RASD le 8 septembre 1979 et depuis lors les deux pays maintiennent des relations diplomatiques.
Source : EPA
Gianni Agnelli ou Santiago Bernabéu auraient bien aimé revendiquer pour la Juventus et le Madrid l’immunité et l’impunité du FAR. Toutes les deux sont si grandes que le règlement et les normes fédératives changaient et sont changées selon la convenance de l’équipe divine.
Mémorable et démonstrative est devenu la première saison. Le FAR l’avait terminée à la tête grâce à la corruption arbitrale et la peur de Hassan II, mais sa différence de buts lui empêchait de gagner le titre dans les urnes du palais parce que le résultat des deux autres rivaux était meilleur.
On a improvisé alors la solution d’un tournoi triangulaire et l’on a compris que la distraction du roi ne pouvait pas être obstruée. C’est le motif pour lequel le FAR persévérait dans ses prérogatives zénithales et l’on a permis d’intimider le système même du football.
Son budget n’a jamais fait du souci ni les honoraires des joueurs étaient connus. Oui il était évident que les garçons de Hassan II se déplaçaient dans des avions militaires au moment où le reste des équipes avaient besoin de parcourir le pays à bord de modestes autobus.
Pour ne pas parler des pressions que sa majesté exerçait personnellement. Des pressions bien connues part Abdelkhalek Louzani, sélectionneur du Maroc en 1993 et victime de l’irascibilité du roi parce que l’entraîneur avait exclu de la convocation certains de ses joueurs.
Le motif s’appuyait sur la belligérance / arrogance des garçons, tellement que Hassan II a rappelé à Louzani qu’il fallait pas pas mettre en question la discipline d’un soldat marocain. Et encore moins s’il militait parmi les illuminés le FAR et si papa disait que l’enfant devait jouer le dimanche.
Vingt ans ou presque après l’anecdote, la Fédération marocaine de football entreprend la tâche de professionalliser le championnat. Il ne va pas s’avérer simple de transformer l’équipe de l’armée en une équipe conventionnelle ni la soumettre aux normes de la transparence, mais le FAR est moins FAR depuis que Hassan II est mort, et son actuel président, avec des galons de général, a déduit de ses homologues européens que relativiser le despotisme ne s’avère pas nécessaire.
Gianni Agnelli ou Santiago Bernabéu auraient bien aimé revendiquer pour la Juventus et le Madrid l’immunité et l’impunité du FAR. Toutes les deux sont si grandes que le règlement et les normes fédératives changaient et sont changées selon la convenance de l’équipe divine.
Mémorable et démonstrative est devenu la première saison. Le FAR l’avait terminée à la tête grâce à la corruption arbitrale et la peur de Hassan II, mais sa différence de buts lui empêchait de gagner le titre dans les urnes du palais parce que le résultat des deux autres rivaux était meilleur.
On a improvisé alors la solution d’un tournoi triangulaire et l’on a compris que la distraction du roi ne pouvait pas être obstruée. C’est le motif pour lequel le FAR persévérait dans ses prérogatives zénithales et l’on a permis d’intimider le système même du football.
Son budget n’a jamais fait du souci ni les honoraires des joueurs étaient connus. Oui il était évident que les garçons de Hassan II se déplaçaient dans des avions militaires au moment où le reste des équipes avaient besoin de parcourir le pays à bord de modestes autobus.
Pour ne pas parler des pressions que sa majesté exerçait personnellement. Des pressions bien connues part Abdelkhalek Louzani, sélectionneur du Maroc en 1993 et victime de l’irascibilité du roi parce que l’entraîneur avait exclu de la convocation certains de ses joueurs.
Le motif s’appuyait sur la belligérance / arrogance des garçons, tellement que Hassan II a rappelé à Louzani qu’il fallait pas pas mettre en question la discipline d’un soldat marocain. Et encore moins s’il militait parmi les illuminés le FAR et si papa disait que l’enfant devait jouer le dimanche.
Vingt ans ou presque après l’anecdote, la Fédération marocaine de football entreprend la tâche de professionalliser le championnat. Il ne va pas s’avérer simple de transformer l’équipe de l’armée en une équipe conventionnelle ni la soumettre aux normes de la transparence, mais le FAR est moins FAR depuis que Hassan II est mort, et son actuel président, avec des galons de général, a déduit de ses homologues européens que relativiser le despotisme ne s’avère pas nécessaire.
A travers ce message, à qui Al Jazeera a, une nouvelle fois, servi de canal, Ben Laden s’adressait au peuple américain pour lui parler des prisonniers américains en sa possession les priant de tout faire pour empêcher leur actuel président (Barack Obama) de marcher sur les pas de son prédécesseur (George W.Bush).
C’est, à tout point de vue, le signe d’une évolution notable dans la stratégie d’Al Qaïda et qui renseigne sur la nature des prochaines opérations que cette organisation s’apprêterait à exécuter.
En effet, c’est la première fois que la tête d’Al Qaïda menace publiquement d’exécuter des otages occidentaux, elle qui se cachait toujours derrière le principe du «bon traitement des prisonniers de guerre» et qui a toujours refusé d’assumer publiquement, par le passé, la responsabilité des exécutions des otages. Plus encore, le n°2 de l’organisation, Aymen Zawahiri, avait, en 2004, adressée une lettre qu’Al Qaïda avait pris soin de rendre publique, au «chef d’Al Qaïda de Mésopotamie» (Irak) Abou Moussab Zarqaoui, dans laquelle il critiquait l’exécution des otages occidentaux et la façon brutale avec laquelle ces exécutions étaient filmées et montrées. La direction d’Al Qaïda, tout comme ses démembrements locaux ne diffère pas de nature, le terrorisme étant le même quoi qu’il utilise comme moyen et quelle que soit sa cible. Mais ce message de Ben Laden confirme qu’Al Qaïda s’orientera, dans la prochaine étape, à tenter de multiplier, là où elle le pourra, les prises d’otages occidentaux, qu’ils soient civils ou militaires, et notamment des Américains pour en faire une monnaie d’échange et presser l’administration américaine de libérer aussi bien ses éléments impliqués dans les attentats du 11-Septembre que tous les autres détenus dans les prisons américaines.
Autre indice, le chef d’Al Qaïda a, encore une fois, insisté sur la question palestinienne, tout comme il l’a fait dans les précédents messages, avec des critiques virulentes contre le soutien américain aux Israéliens et à leur oppression en Palestine occupée. Et le timing de ce message est bien celui du statu quo du processus de paix, à l’heure où les groupes extrémistes ne savent vers qui se tourner pour agir. L’heure aussi où Washington fait montre d’une totale incapacité à obtenir quoi que ce soit de Tel-Aviv. Dans un sens, Oussama Ben Laden rejoint les propos de David Petraeus, chef du commandement central des opérations en Irak et en Afghanistan, qui devant le Congrès, a estimé que la politique de colonisation d’Israël allait fatalement mener à plus d’instabilité et à de nouvelles menaces sur les soldats américaines en Irak et en Afghanistan.
Ce qui encouragerait Al Qaïda à emprunter la voix de la prise d’otages, c’est notamment le succès obtenu par l’organisation d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui a libéré un otage français, qu’elle détenait dans le Sahara malien, dans le cadre d’un marché qui a permis l’élargissement de plusieurs de ses membres fait prisonniers au Mali et d’autres dans des Etats voisins.
Le piège de la rançon
Une transaction où la France a mis tout son poids, malgré la forte opposition de Washington et de certains pays en première ligne de la lutte antiterroriste, comme l’Algérie et la Mauritanie. Pour sa part, Alger a vivement réagi et rappelé son ambassadeur au Mali «pour consultations» et le ministère algérien des Affaires étrangères a estimé, également, dans un communiqué au ton univoque, que la libération de ces prisonniers constituait «une évolution dangereuse pour la sécurité et la stabilité de l’Afrique du Sahel, qui sert les intérêts du groupe terroriste actif dans la région».Une évolution qui vient à contresens des efforts de l’Algérie qui a réussi à étrangler financièrement et logistiquement l’organisation de Abdelmalek Droukdel au Nord en la coupant de ses sources d’approvisionnement dans le Sud et mené une poursuite sans relâche contre les groupes du Sahara qui ont complètement reculé vers le Mali ou le Niger.
Et c’est aussi l’Algérie qui a été derrière la résolution de l’ONU condamnant l’octroi des rançons aux groupes terroristes en échange de la libération d’otages.
C’est que l’expérience algérienne ne date pas d’hier. Non seulement, elle remonte aux années où le GIA s’attaquait aux ressortissants étrangers, mais elle a été encore plus aiguisé depuis la série ouverte par le groupe de Abderrezak El Para et l’affaire des 32 touristes européens, en 2003, qui avait mal tourné pour lui et son groupe. Mais le procédé n’a été abandonné pour autant par Al Qaïda Maghreb. Chaque année, depuis, des enlèvements de touristes européens sont revendiqués par celle-ci et se terminent toujours dans des conditions plus ou moins obscures, en majorité par la libération des otages.
C’est en 2009 que le pic a été atteint. D’abord, en janvier, où quatre touristes britanniques ont été enlevés au Mali, dont deux seront vite libérés, alors qu’un autre est menacé d’exécution si un Jordanien condamné à mort pour activité terroriste détenu en Grande-Bretagne n’est pas libéré. Le même mois, l’AQMI récidive avec un couple suisse, une Allemande et un Britannique dans la zone frontalière entre le Niger et le Mali, mais finit par libérer en avril deux diplomates canadiens qu’elle avait enlevés en décembre 2008. En mai 2009, l’AQMI annonce, par Internet, avoir tué un otage britannique, après un premier report d’ultimatum. En novembre, l’organisation annonce aussi avoir enlevé trois espagnols en Mauritanie.
Au jour d’aujourd’hui, l’AQMI affirme détenir quatre otages, deux espagnols et deux italiens et il ne faut pas croire que les motifs de ces prises d’otages puissent être d’ordre financier. Même s’ils demandent jusqu’à 10 millions d’euros par otage, il ne s’agit en réalité que d’une tactique pour encourager les autorités du pays visé à accepter de négocier, l’argent étant la chose que les gouvernements sont le plus disposer à concéder. Mais il n’y a qu’à voir la liste des pays dont les ressortissants sont ciblés pour se rendre compte que la priorité d’AlQaida n’est absolument pas financière, mais correspond à un agenda international.
Le fait de s’en prendre essentiellement aux ressortissants de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Italie et de l’Espagne, des pays moteurs de l’Otan et totalement impliqués aux cotés des Etats-Unis dans les zones en conflit, confirme bien que ce n’est pas en accédant aux desiderata d’Al Qaida et des groupes qui activent sous sa bannière qu’il sera mis fin au terrorisme international.
L’année passée plus de 3.000 personnes ont participé à cette initiative, mais les organisateurs espèrent que cette année ils vont être plus nombreux.
« Avec la Colonne 2010, dont la devise est « Abattons le mur. Construisons la liberté », nous voulons que le problème du Sahara soit vite résolu », a signalé López, qui a rappelé que dans la protestation de l’année passée un sahraoui a perdu un pied après l’explosion d’une mine.