Mois : septembre 2009
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La jeunesse marocaine de plus en plus tentée par l’islamisme
The Economist Intelligence Unit (EIU) une institution liée au puissant hebdomadaire londonien et bible des décideurs économiques internationaux publie chaque mois un rapport sur l’Etat politique, économique et social de plus de 200 pays.Dans sa livraison d’août 2009, sue le Maroc, la EIU prévoit que «le monarque et sa coterie de conseillers maintiendront leur contrôle des affaires politiques, et ne chercheront pas à démocratiser les institutions du pays.» «Le parlement et les partis politiques resteront relativement faibles», poursuivent les auteurs.Le rapport mentionne aussi la popularité du Roi avec toutefois un bémol. «Le roi est considéré comme populaire», affirme le rapport ajoutant cependant qu’ «il était difficile d’en être certain dans un pays où les critiques contre le Roi sont réprimées. Si les auteurs ne prévoient pas de contestations sérieuses contre la centralité du rôle du Roi dans les mois à venir, des troubles sociaux sporadiques sont probables, dus aux inégalités économiques. «La majorité des Marocains est susceptible de donner plus de poids aux groupes religieux et sociaux plutôt qu’aux partis politiques formels».Le rapport conjecture aussi que le PJD pourrait perdre une partie de son soutien populaire au profit d’Al Adl Wa Al Ihssan, étant donnée son incapacité à peser sur la politique générale du pays à travers le travail parlementaire. A noter enfin que les auteurs du rapport utilisent le mot «Makhzen» pour qualifier les cercles proches du Roi.La jeunesse marocaine est déçue par la politique de ses responsables politiques qui veulent les faire croire que le progrès du Maroc est bloqué, non pas par la corruption effrénée qui pourrit le gouvernement de l’intérieur, le haut niveau de fraude électorale, les fonctionnaires avides de richesse, les titulaires dont l’engagement envers le peuple est douteux ou n’a jamais existé, mais par la révolte des citoyens pauvres ou des journalistes indépendants et des bloggers qui n’hésitent pas à dénoncer les méfaits du gouvernement ou la politique d’assistanat de leur roi. Un assistanat qui signifie tout simplement s’approprier injustement des droits des autres. Il en va des agréments des transports, les « grima », que le roi distribue aux citoyens qui demandent son aide dans des lettres écrites de la même façon qu’un mendiant implore la charité des passants.Les états qui respectent leurs citoyens ne font pas d’eux des mendiants qui implorent la charité du palais mais construisent pour eux des usines et des industries à même de leur permettre de gagner leurs vies avec dignité et respect. A supposer, ce qui est bien entendu n’est pas le cas, que ces agréments ne sont distribués qu’à ceux qui les méritent des pauvres et laissés pour compte, il n’en demeure pas moins que ceci n’honore pas du tout le citoyen marocain. L’emploi, la santé et l’enseignement sont des droits garantis par la constitution et l’Etat se doit d’assurer aux citoyens des conditions de vie dignes au lieu de l’humilier de cette façon.Cette façon d’agir a fait des Marocains un peuple sans dignité, qui vit sur les dons et les offrandes alors qu’il n’a pas besoin de quelqu’un qui ait pitié d’eux mais de quelqu’un qui assure le partage des richesses du pays d’une manière équitable, et elle a détruit le pays et lui a valu des rangs honteux dans les classements mondiaux, une économie de rentiers qui profite aux nantis et non au peuple.Le Maroc continue d’être une nation muselée, empêché d’exprimer son avis si ce n’est pour faire des éloges au roi, un peuple qui doit se faire à l’idée de vivre avec la réalité de l’inefficacité du roi à éradiquer la pauvreté, la corruption, le crime, le chômage, les services médicaux inadéquats et la brutalité de la police.Qui a dit que Hassan II est mort et que les années de plomb sont restées derrière? Voilà qui fait que le Maroc sera toujours un terrain fertile pour le terrorisme et les jeunes seront toujours tentés par l’islamisme. -
La jeunesse marocaine de plus en plus tentée par l’islamisme
The Economist Intelligence Unit (EIU) une institution liée au puissant hebdomadaire londonien et bible des décideurs économiques internationaux publie chaque mois un rapport sur l’Etat politique, économique et social de plus de 200 pays.Dans sa livraison d’août 2009, sue le Maroc, la EIU prévoit que «le monarque et sa coterie de conseillers maintiendront leur contrôle des affaires politiques, et ne chercheront pas à démocratiser les institutions du pays.» «Le parlement et les partis politiques resteront relativement faibles», poursuivent les auteurs.Le rapport mentionne aussi la popularité du Roi avec toutefois un bémol. «Le roi est considéré comme populaire», affirme le rapport ajoutant cependant qu’ «il était difficile d’en être certain dans un pays où les critiques contre le Roi sont réprimées. Si les auteurs ne prévoient pas de contestations sérieuses contre la centralité du rôle du Roi dans les mois à venir, des troubles sociaux sporadiques sont probables, dus aux inégalités économiques. «La majorité des Marocains est susceptible de donner plus de poids aux groupes religieux et sociaux plutôt qu’aux partis politiques formels».Le rapport conjecture aussi que le PJD pourrait perdre une partie de son soutien populaire au profit d’Al Adl Wa Al Ihssan, étant donnée son incapacité à peser sur la politique générale du pays à travers le travail parlementaire. A noter enfin que les auteurs du rapport utilisent le mot «Makhzen» pour qualifier les cercles proches du Roi.La jeunesse marocaine est déçue par la politique de ses responsables politiques qui veulent les faire croire que le progrès du Maroc est bloqué, non pas par la corruption effrénée qui pourrit le gouvernement de l’intérieur, le haut niveau de fraude électorale, les fonctionnaires avides de richesse, les titulaires dont l’engagement envers le peuple est douteux ou n’a jamais existé, mais par la révolte des citoyens pauvres ou des journalistes indépendants et des bloggers qui n’hésitent pas à dénoncer les méfaits du gouvernement ou la politique d’assistanat de leur roi. Un assistanat qui signifie tout simplement s’approprier injustement des droits des autres. Il en va des agréments des transports, les « grima », que le roi distribue aux citoyens qui demandent son aide dans des lettres écrites de la même façon qu’un mendiant implore la charité des passants.Les états qui respectent leurs citoyens ne font pas d’eux des mendiants qui implorent la charité du palais mais construisent pour eux des usines et des industries à même de leur permettre de gagner leurs vies avec dignité et respect. A supposer, ce qui est bien entendu n’est pas le cas, que ces agréments ne sont distribués qu’à ceux qui les méritent des pauvres et laissés pour compte, il n’en demeure pas moins que ceci n’honore pas du tout le citoyen marocain. L’emploi, la santé et l’enseignement sont des droits garantis par la constitution et l’Etat se doit d’assurer aux citoyens des conditions de vie dignes au lieu de l’humilier de cette façon.Cette façon d’agir a fait des Marocains un peuple sans dignité, qui vit sur les dons et les offrandes alors qu’il n’a pas besoin de quelqu’un qui ait pitié d’eux mais de quelqu’un qui assure le partage des richesses du pays d’une manière équitable, et elle a détruit le pays et lui a valu des rangs honteux dans les classements mondiaux, une économie de rentiers qui profite aux nantis et non au peuple.Le Maroc continue d’être une nation muselée, empêché d’exprimer son avis si ce n’est pour faire des éloges au roi, un peuple qui doit se faire à l’idée de vivre avec la réalité de l’inefficacité du roi à éradiquer la pauvreté, la corruption, le crime, le chômage, les services médicaux inadéquats et la brutalité de la police.Qui a dit que Hassan II est mort et que les années de plomb sont restées derrière? Voilà qui fait que le Maroc sera toujours un terrain fertile pour le terrorisme et les jeunes seront toujours tentés par l’islamisme. -
Un Ramadhan agité sur Internet
Le mois de Ramadhan se clôture aujourd’hui avec la fête d’Aid el Fâtr. A cause de la chaleur et des longues journées, il a été certainement très difficile, mais il aura été pénible pour une personne, en particulier : Madame Latifa Cherkaoui, la directrice du journal royal marocain.Nous nous sommes plaints du harcèlement des agents marocains. Tous les sites que nous avons trouvés pour publier nos articles ont été innondés par la propagande marocaine. Nous étions certains que le ministère de l’intérieur marocain était derrière ces écrits qui visaient à contrecarrer notre tentative d’établir un contact direct avec le peuple marocain frère.Bellaciao a été bombardée par les articles de propagande qui s’en prennent au Front Polisario et au peuple sahraoui. Fidèle à ses principes et à sa solidarité avec la cause sahraouie, Bellaciao a refusé, depuis le début, de publier le poison répandu par les écrits du palais.Nous étions loin de savoir que nous allions découvrir la ou les personnes qui étaient derrière ces articles qui sèment la haine dans le cœur des marocains. Jusqu’au jour où le même article envoyé à Bellaciao a été publié avec une heure d’avance sur le journal digital du palais, « Le Matin ». Le même article avec un titre différent signé Latifa Cherkaoui.Depuis, elle a multiplié ses articles sur d’autres sites et créé un blog dénommé « Sahraouis Marocains » pour cacher sa véritable identité. Mais il était trop tard, son identité avait été découverte grâce à la bourde qu’elle a commise. Dans ce blog, elle répond à nos articles mot par mot.Pour contrecarrer notre dénonciation de la politique de haine du gouvernement marocain visant à faire de l’Algérie un bouc émissaire pour faire oublier le véritable problème, celui de la colonisation du Sahara Occidental et ainsi maintenir ce consensus malsain, elle avait crée, au mois d’octobre 2008, un autre blog sous le titre de « Le Royaume du Maroc, nouvelle ère (Dieu, Patrie, Roi) » et elle se fait appeler Chihab. Dans son profil, on peut lire « celui qui ne veut pas de cette devise, il peut frapper sa gueule contre la largeur du mur à côté ». C’est peut être une allusion au mur de la honte qui encercle le Sahara Occidental pour maintenir les sahraouis prisonniers dans leur propre terre. Un profil certainement très bas.A cause de cette politique de haine, les forums marocains sont devenus un nid de guêpes bêtes et méchantes qui piquent mais sans faire de mal si ce n’est qu’à leur crédibilité d’apprentis politicards stériles et imbus de leur soi-disant patriotisme qu’ils confondent avec propagande anti-algérienne et soumission devant leur gouvernants corrompis et menteurs.Comme des lurons, ils se ressemblent tous vu le niveau de pâquerettes qu’ils développent entre eux. Des mauvais lurons qui se caressent dans le sens du poil, jamais d’opposition entre eux. Et ils appellent cela un débat. Des béni-oui-oui avérés, réglementés, disciplinés, dociles, serviles, qui prennent leurs désirs pour argent comptant, sans se douter de leur basse côte en bourse à cause de la mentalité que le régime leur a modelée.Ils n’apportent d’ailleurs absolument rien de positif à ce qu’ils appellent « leur cause » comme s’ils étaient les seuls habitants du Maroc. Aveuglés par la propagande de basse cour, tout ce qu’ils ont c’est la culture des insultes. Ils devront bien, un jour, se rendre à l’évidence, qu’ils ne représentent que leurs personnes qui délirent plus qu’ils ne débattent. Quand la « médiocrité » veut se faire » qualité » comme la grenouille qui veut se faire aussi grosse qu’un bœuf.
C’est connu, toutes les fins de règne dégagent la même odeur, celle de la pourriture, mais après c’est la délivrance du peuple.
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Un Ramadhan agité sur Internet
Le mois de Ramadhan se clôture aujourd’hui avec la fête d’Aid el Fâtr. A cause de la chaleur et des longues journées, il a été certainement très difficile, mais il aura été pénible pour une personne, en particulier : Madame Latifa Cherkaoui, la directrice du journal royal marocain.Nous nous sommes plaints du harcèlement des agents marocains. Tous les sites que nous avons trouvés pour publier nos articles ont été innondés par la propagande marocaine. Nous étions certains que le ministère de l’intérieur marocain était derrière ces écrits qui visaient à contrecarrer notre tentative d’établir un contact direct avec le peuple marocain frère.Bellaciao a été bombardée par les articles de propagande qui s’en prennent au Front Polisario et au peuple sahraoui. Fidèle à ses principes et à sa solidarité avec la cause sahraouie, Bellaciao a refusé, depuis le début, de publier le poison répandu par les écrits du palais.Nous étions loin de savoir que nous allions découvrir la ou les personnes qui étaient derrière ces articles qui sèment la haine dans le cœur des marocains. Jusqu’au jour où le même article envoyé à Bellaciao a été publié avec une heure d’avance sur le journal digital du palais, « Le Matin ». Le même article avec un titre différent signé Latifa Cherkaoui.Depuis, elle a multiplié ses articles sur d’autres sites et créé un blog dénommé « Sahraouis Marocains » pour cacher sa véritable identité. Mais il était trop tard, son identité avait été découverte grâce à la bourde qu’elle a commise. Dans ce blog, elle répond à nos articles mot par mot.Pour contrecarrer notre dénonciation de la politique de haine du gouvernement marocain visant à faire de l’Algérie un bouc émissaire pour faire oublier le véritable problème, celui de la colonisation du Sahara Occidental et ainsi maintenir ce consensus malsain, elle avait crée, au mois d’octobre 2008, un autre blog sous le titre de « Le Royaume du Maroc, nouvelle ère (Dieu, Patrie, Roi) » et elle se fait appeler Chihab. Dans son profil, on peut lire « celui qui ne veut pas de cette devise, il peut frapper sa gueule contre la largeur du mur à côté ». C’est peut être une allusion au mur de la honte qui encercle le Sahara Occidental pour maintenir les sahraouis prisonniers dans leur propre terre. Un profil certainement très bas.A cause de cette politique de haine, les forums marocains sont devenus un nid de guêpes bêtes et méchantes qui piquent mais sans faire de mal si ce n’est qu’à leur crédibilité d’apprentis politicards stériles et imbus de leur soi-disant patriotisme qu’ils confondent avec propagande anti-algérienne et soumission devant leur gouvernants corrompis et menteurs.Comme des lurons, ils se ressemblent tous vu le niveau de pâquerettes qu’ils développent entre eux. Des mauvais lurons qui se caressent dans le sens du poil, jamais d’opposition entre eux. Et ils appellent cela un débat. Des béni-oui-oui avérés, réglementés, disciplinés, dociles, serviles, qui prennent leurs désirs pour argent comptant, sans se douter de leur basse côte en bourse à cause de la mentalité que le régime leur a modelée.Ils n’apportent d’ailleurs absolument rien de positif à ce qu’ils appellent « leur cause » comme s’ils étaient les seuls habitants du Maroc. Aveuglés par la propagande de basse cour, tout ce qu’ils ont c’est la culture des insultes. Ils devront bien, un jour, se rendre à l’évidence, qu’ils ne représentent que leurs personnes qui délirent plus qu’ils ne débattent. Quand la « médiocrité » veut se faire » qualité » comme la grenouille qui veut se faire aussi grosse qu’un bœuf.
C’est connu, toutes les fins de règne dégagent la même odeur, celle de la pourriture, mais après c’est la délivrance du peuple.
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Le HCR va développer son programme de mesures de rétablissement de la confiance pour les réfugiés sahraouis
GENEVE, 15 septembre (HCR) – António Guterres, le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, a bouclé sa mission en Afrique du Nord le week-end dernier, après avoir obtenu un accord afin de développer des mesures de rétablissement de la confiance pour les réfugiés sahraouis du Sahara occidental. Il a également rencontré des réfugiés sahraouis dans le sud-ouest de l’Algérie et discuté de questions d’asile avec les dirigeants marocains et algériens.
Sa visite de cinq jours débutée en Algérie mardi dernier a ensuite conduit António Guterres au Maroc et au Sahara occidental. Pendant son voyage, les dirigeants de l’Algérie, du Maroc et les Sahraouis se sont mis d’accord sur la proposition de renforcer le programme de mesures de rétablissement de la confiance, actuellement modeste mais néanmoins important, lancé par le HCR en 2004 pour les Sahraouis du Sahara occidental.
Le programme comprend des visites familiales et des services téléphoniques – visant à ce que les réfugiés sahraouis se trouvant dans des camps situés dans la région aride de Tindouf en Algérie restent en contact à leurs proches vivant au Sahara occidental. Jusqu’en juillet dernier, plus de 8 750 personnes en avaient bénéficié parmi quelque 41 000 candidats pour les visites familiales.
Les différentes parties se sont mises d’accord pour retenir une proposition du HCR visant à permettre aux personnes de voyager par voie terrestre, plutôt que par la seule voie aérienne, pour les visites familiales. L’utilisation de la route la plus directe, via Mahbas, pour se rendre dans des villes du Sahara occidental permettrait à un nombre accru de personnes de rendre visite à leurs familles – environ 4 400 par an, contre 2 000 par an dans le cadre du programme aérien.
Le HCR a affirmé que le bénéfice principal serait humanitaire, permettant ainsi aux familles de se réunir après de longues périodes de séparation.
Les réfugiés sahraouis ont commencé à arriver en Algérie en 1976 après le retrait de l’Espagne du Sahara occidental et le déclenchement des affrontements liés à son contrôle. La plupart des réfugiés sahraouis en Algérie vivent dans les camps de Tindouf depuis plus de 30 ans.
António Guterres a déclaré que le HCR ne pourrait pas résoudre les problèmes des Sahraouis car il s’agissait d’un problème politique. « L’exil, c’est comme la pneumonie, il vous faut des antibiotiques pour la soigner. En l’occurrence, les antibiotiques sont la solution politique. Je ne peux pas les offrir. Je n’ai que de l’aspirine pour soulager une partie des souffrances », a-t-il affirmé.
En entreprenant cette mission, António Guterres n’était que le deuxième Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés à se rendre à Tindouf et à rencontrer des réfugiés sahraouis. Il a longuement écouté les récits des souffrances endurées et il a affirmé qu’il était important d’attirer l’attention de la communauté internationale sur leurs besoins.
Au cours de sa visite au Sahara occidental, António Guterres a rencontré un groupe de 33 réfugiés sahraouis en provenance d’Algérie qui venait d’être transféré au Sahara occidental par la mission des Nations Unies pour une visite familiale. Une femme lui a dit qu’elle allait voir son père pour la première fois de sa vie – ses parents ayant été séparés par le conflit avant sa naissance. Alors que son groupe arrivait, un autre groupe de 35 Sahraouis s’envolait pour l’Algérie pour rencontrer des membres de leurs familles réfugiés dans les camps.
Par ailleurs, lors de ses réunions avec de hauts fonctionnaires en Algérie et au Maroc, notamment les Premiers ministres des deux pays, António Guterres a encouragé les deux gouvernements à mettre en place des systèmes d’asile opérationnels et qui soient en mesure de détecter les personnes ayant besoin d’une protection internationale parmi les flux migratoires mixtes.
Il a déclaré aux représentants des donateurs à Rabat et à Alger qu’il était important que la communauté internationale continue d’apporter un soutien conséquent alors que la question des réfugiés sahraouis n’était plus sous les feux de l’actualité ces dernières années.
La visite d’António Guterres a eu lieu en plein mois de Ramadan, le jeûne islamique, et il a déclaré que ce n’était pas une coïncidence. Le Haut Commissaire a affirmé qu’il souhaitait exprimer sa solidarité avec les réfugiés musulmans et les pays d’accueil pendant cette période particulière.
Par Reem Alsalem à Genève
Source : Actualités UNHCR -
Morocco: Government Uses Torture to Silence Sahrawi Activists
From very young I received at my home, when I was living in Santiago de Cuba, Cuba, many young Saharawi medical students and hear from his own lips the oppressive regime and violator of human rights are subjected to by the regime of Morocco for the simple fact assert to have expression of their national identity, talking or singing, I saw the sadness in his faces of the oppressed people and at the same time, the twinkle in her eyes of heroic hearts fearlessly fighting for the sovereignty and independence.
Today, the situation is much worse forsarahuies due to the poor or no attention to this deplorable human rights situation and violations of theGeneva Convention on Torture is part of the rich countries even thoughyoung women are being raped and tortured by the Moroccan repressive forces.
The brothers of the Sahara under our Jesuchrist love, are also under the protection of God that in his dwelling is watching and judging our actions with the most humble and needy.
Konstantine Isidoros, Oxford -
Le HCR va développer son programme de mesures de rétablissement de la confiance pour les réfugiés sahraouis
GENEVE, 15 septembre (HCR) – António Guterres, le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, a bouclé sa mission en Afrique du Nord le week-end dernier, après avoir obtenu un accord afin de développer des mesures de rétablissement de la confiance pour les réfugiés sahraouis du Sahara occidental. Il a également rencontré des réfugiés sahraouis dans le sud-ouest de l’Algérie et discuté de questions d’asile avec les dirigeants marocains et algériens.
Sa visite de cinq jours débutée en Algérie mardi dernier a ensuite conduit António Guterres au Maroc et au Sahara occidental. Pendant son voyage, les dirigeants de l’Algérie, du Maroc et les Sahraouis se sont mis d’accord sur la proposition de renforcer le programme de mesures de rétablissement de la confiance, actuellement modeste mais néanmoins important, lancé par le HCR en 2004 pour les Sahraouis du Sahara occidental.
Le programme comprend des visites familiales et des services téléphoniques – visant à ce que les réfugiés sahraouis se trouvant dans des camps situés dans la région aride de Tindouf en Algérie restent en contact à leurs proches vivant au Sahara occidental. Jusqu’en juillet dernier, plus de 8 750 personnes en avaient bénéficié parmi quelque 41 000 candidats pour les visites familiales.
Les différentes parties se sont mises d’accord pour retenir une proposition du HCR visant à permettre aux personnes de voyager par voie terrestre, plutôt que par la seule voie aérienne, pour les visites familiales. L’utilisation de la route la plus directe, via Mahbas, pour se rendre dans des villes du Sahara occidental permettrait à un nombre accru de personnes de rendre visite à leurs familles – environ 4 400 par an, contre 2 000 par an dans le cadre du programme aérien.
Le HCR a affirmé que le bénéfice principal serait humanitaire, permettant ainsi aux familles de se réunir après de longues périodes de séparation.
Les réfugiés sahraouis ont commencé à arriver en Algérie en 1976 après le retrait de l’Espagne du Sahara occidental et le déclenchement des affrontements liés à son contrôle. La plupart des réfugiés sahraouis en Algérie vivent dans les camps de Tindouf depuis plus de 30 ans.
António Guterres a déclaré que le HCR ne pourrait pas résoudre les problèmes des Sahraouis car il s’agissait d’un problème politique. « L’exil, c’est comme la pneumonie, il vous faut des antibiotiques pour la soigner. En l’occurrence, les antibiotiques sont la solution politique. Je ne peux pas les offrir. Je n’ai que de l’aspirine pour soulager une partie des souffrances », a-t-il affirmé.
En entreprenant cette mission, António Guterres n’était que le deuxième Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés à se rendre à Tindouf et à rencontrer des réfugiés sahraouis. Il a longuement écouté les récits des souffrances endurées et il a affirmé qu’il était important d’attirer l’attention de la communauté internationale sur leurs besoins.
Au cours de sa visite au Sahara occidental, António Guterres a rencontré un groupe de 33 réfugiés sahraouis en provenance d’Algérie qui venait d’être transféré au Sahara occidental par la mission des Nations Unies pour une visite familiale. Une femme lui a dit qu’elle allait voir son père pour la première fois de sa vie – ses parents ayant été séparés par le conflit avant sa naissance. Alors que son groupe arrivait, un autre groupe de 35 Sahraouis s’envolait pour l’Algérie pour rencontrer des membres de leurs familles réfugiés dans les camps.
Par ailleurs, lors de ses réunions avec de hauts fonctionnaires en Algérie et au Maroc, notamment les Premiers ministres des deux pays, António Guterres a encouragé les deux gouvernements à mettre en place des systèmes d’asile opérationnels et qui soient en mesure de détecter les personnes ayant besoin d’une protection internationale parmi les flux migratoires mixtes.
Il a déclaré aux représentants des donateurs à Rabat et à Alger qu’il était important que la communauté internationale continue d’apporter un soutien conséquent alors que la question des réfugiés sahraouis n’était plus sous les feux de l’actualité ces dernières années.
La visite d’António Guterres a eu lieu en plein mois de Ramadan, le jeûne islamique, et il a déclaré que ce n’était pas une coïncidence. Le Haut Commissaire a affirmé qu’il souhaitait exprimer sa solidarité avec les réfugiés musulmans et les pays d’accueil pendant cette période particulière.
Par Reem Alsalem à Genève
Source : Actualités UNHCR -
Le Maroc, un Etat terroriste
Que le terrorisme n’est pas ce qu’il semble être c’est une chose qui a été prouvée par les innombrabrables opérations couvertes dirigées par des organismes officiels comme les services secrets de certains Etats.Une note, baptisée Nautilus et rédigée en septembre 2002, affirmait que l’attentat contre des employés de la DCN à Karachi en 2002 avait « été réalisé grâce à des complicités au sein de l’armée et au sein des bureaux de soutien aux guérillas islamistes de l’ISI », les services secrets pakistanais. Son auteur, Claude Thévenet, un ancien de la DST qui a effectué des missions d’intelligence économique pour le compte de la Direction des chantiers navals, soutient que le mobile de l’attentat serait une rétorsion contre l’arrêt de versements de commissions en marge du contrat conclu en 1994 pour la vente de trois sous-marins Agosta au Pakistan.C’est un fait réel que le terrorisme et les groupes terroristes sont parfois instrumentalisés. Mais le plus difficile c’est de savoir qui instrumentalise le terrorisme. Cependant il y a un critère qui ne se trompe jamais : qui profite de ce terrorisme ?Les accusations qui pointent du doigt le Maroc ne cessent de s’accumuler. La principale organisation terroriste algérienne, le Groupe Islamique Armé (GIA), a trouvé au Maroc un appui décisif. Ce n’est pas une spéculation : c’est quelque chose qui a été confessé par Driss Basri lui-même (tout-puissant dans les vingt dernières années du règne de Hassán II). Du Maroc arrivaient les armes que le GIA utilisait, au Maroc se réfugiaient les terroristes du GIA qui fuyaient de l’Algérie après avoir perpétré des massacres et c’est au Maroc que bénéficiaient les objectifs du terrorisme du GIA. D’entre ces objectifs il y avait celui d’affaiblir l’Algérie pour ainsi affaiblir le principal soutien politique et militaire du Front Polisario. Il y avait aussi l’objectif de tuer certains dirigeants du Front Polisario.L’ex-émir et fondateur du Groupe Islamique Armé (GIA), Abdelhak Layada, a déclaré dans une interview publiée le 26/12/2008 par le journal marocain « El Massa », qu’il est entré au Maroc en 1993 à la demande de la sécurité marocaine, et non pas pour rencontrer des Afghans Algériens établis au Royaume marocain.
Layada a révélé des détails sur la période qu’il a passé au Maroc, en déclarant : « Les Algériens Afghans étaient présents en Algérie et non pas au Maroc. Je suis entré au Maroc à la demande des responsables marocains chargés de la sécurité, qui m’ont contacté puis informés que les parties suprêmes du Palais voulaient me rencontrer. »
Layada a ajouté d’autres détails qui n’étaient pas connus : « J’ai rencontré Idriss Al Basri à Rabat et il m’a dit : Bienvenu dans ton deuxième pays »
Layada a rappelé qu’il n’a jamais été détenu au Maroc « J’ai rencontré Hassan II pour 15 minutes et je ne veux pas divulguer le contenu de notre entrevue, il me suffit de dire que je fus soumis à un chantage dans l’affaire du conflit relatif au Sahara et à d’autres affaires ».
Au mois de décembre dernier, le journal algérien El Khabar annonçait que les services de la Gendarmerie algérienne avaient avorté une transaction programmée entre groupes terroristes et un fornisseur marocain. Celui-ci allait fournir une quantité d’explosifs et de mines anitpersonnelles et de drogues qu’ils allaient faire passer par la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Selon les enquêtes préliminaires, le fournisseur marocain amenait les armes de la France vers l’Algérie, à travers l’Espagne et le Maroc. »Dernièrement, et plus précisément le 2 juin 2009, dans un reportage initutlé « Lutte contre le terrorisme, le calme avant la tempête« , Jeune Afrique, un magazine français de référence en politique africaine, a écrit: » Autre incertitude qui, du point de vue malien, pèse sur le règlement de la question salafiste: les tensions entre l’Algérie et le Maroc. « Des groupes islamistes bénéficient à l’évidence de certains appuis du côté marocain », accuse un membre des services de renseignements maliens. Selon ce dernier, il s’agirait d’une riposte aux nombreux liens que le Mali entretient avec le Polisario. Il est vrai que la panoplie de l’armement d’AQMI, comprenant radars, systèmes de brouillage et même « orgues de Staline » (rampes de lance-roquettes installées à bord de camions), s’explique difficilement sans l’hypothèse de quelques complicités bien placées… »En effet, le Mali reconnaît la RASD depuis le 4 juillet 1980. Le maroc a voulu la punir pour cette reconnaissance comme il a voulu punir la Mauritanie en étant derrière certains coups d’Etat pour renverser les gouvernements d’avant l’ère de Maaouiya Ould Taya.Une question qui conviendrait se poser est : Si l’ancien GIA, rebaptisé comme « Al Qaeda du Maghreb Islamique » a des fournisseurs d’armes au Maroc … pourquoi commet-il ses attentats en Algérie et au Mali, et non au Maroc ? Evidemment, la réponse est que ce serait trahir ses seuls alliés dans la région.Il est à rappeler que ces méthodes ont déjà été utilisées par le gouvernement marocain en 1974 et 1975 contre l’Espagne dans le territoire sahraoui, plus précisément contre le quartier de la « Police Territoriale » à El Aaiun et dans un attentat à la voiture d’un ancien notable sahraoui, feu Ahmed Bachir, dans lequel deux de ses enfants sont décédés. Et en 1976, c’était au tour de l’ambassadeur mauritanien en France dont la voiture a été piégée dans le but d’incriminer le Front Polisario.Le Makhzen subordonne toute sa politique extérieure au conflit du Sahara Occidental, agit en fonction de comment gagner plus de soutien à ses prétentions expansionnistes. Ainsi, il a soutenu le terrorisme dans la région, accepté la sous-traitance de la torture pour la CIA, rompu avec le Vénézuéla et l’Iran, établi des relations avec Israel, livré un opposant en 1983 à Gadhafi pour que celui-ci arrête son soutien au Polisario….. -
Morocco: Government Uses Torture to Silence Sahrawi Activists
From very young I received at my home, when I was living in Santiago de Cuba, Cuba, many young Saharawi medical students and hear from his own lips the oppressive regime and violator of human rights are subjected to by the regime of Morocco for the simple fact assert to have expression of their national identity, talking or singing, I saw the sadness in his faces of the oppressed people and at the same time, the twinkle in her eyes of heroic hearts fearlessly fighting for the sovereignty and independence.
Today, the situation is much worse forsarahuies due to the poor or no attention to this deplorable human rights situation and violations of theGeneva Convention on Torture is part of the rich countries even thoughyoung women are being raped and tortured by the Moroccan repressive forces.
The brothers of the Sahara under our Jesuchrist love, are also under the protection of God that in his dwelling is watching and judging our actions with the most humble and needy.
Konstantine Isidoros, Oxford -
Le Maroc, un Etat terroriste
Que le terrorisme n’est pas ce qu’il semble être c’est une chose qui a été prouvée par les innombrabrables opérations couvertes dirigées par des organismes officiels comme les services secrets de certains Etats.Une note, baptisée Nautilus et rédigée en septembre 2002, affirmait que l’attentat contre des employés de la DCN à Karachi en 2002 avait « été réalisé grâce à des complicités au sein de l’armée et au sein des bureaux de soutien aux guérillas islamistes de l’ISI », les services secrets pakistanais. Son auteur, Claude Thévenet, un ancien de la DST qui a effectué des missions d’intelligence économique pour le compte de la Direction des chantiers navals, soutient que le mobile de l’attentat serait une rétorsion contre l’arrêt de versements de commissions en marge du contrat conclu en 1994 pour la vente de trois sous-marins Agosta au Pakistan.C’est un fait réel que le terrorisme et les groupes terroristes sont parfois instrumentalisés. Mais le plus difficile c’est de savoir qui instrumentalise le terrorisme. Cependant il y a un critère qui ne se trompe jamais : qui profite de ce terrorisme ?Les accusations qui pointent du doigt le Maroc ne cessent de s’accumuler. La principale organisation terroriste algérienne, le Groupe Islamique Armé (GIA), a trouvé au Maroc un appui décisif. Ce n’est pas une spéculation : c’est quelque chose qui a été confessé par Driss Basri lui-même (tout-puissant dans les vingt dernières années du règne de Hassán II). Du Maroc arrivaient les armes que le GIA utilisait, au Maroc se réfugiaient les terroristes du GIA qui fuyaient de l’Algérie après avoir perpétré des massacres et c’est au Maroc que bénéficiaient les objectifs du terrorisme du GIA. D’entre ces objectifs il y avait celui d’affaiblir l’Algérie pour ainsi affaiblir le principal soutien politique et militaire du Front Polisario. Il y avait aussi l’objectif de tuer certains dirigeants du Front Polisario.L’ex-émir et fondateur du Groupe Islamique Armé (GIA), Abdelhak Layada, a déclaré dans une interview publiée le 26/12/2008 par le journal marocain « El Massa », qu’il est entré au Maroc en 1993 à la demande de la sécurité marocaine, et non pas pour rencontrer des Afghans Algériens établis au Royaume marocain.
Layada a révélé des détails sur la période qu’il a passé au Maroc, en déclarant : « Les Algériens Afghans étaient présents en Algérie et non pas au Maroc. Je suis entré au Maroc à la demande des responsables marocains chargés de la sécurité, qui m’ont contacté puis informés que les parties suprêmes du Palais voulaient me rencontrer. »
Layada a ajouté d’autres détails qui n’étaient pas connus : « J’ai rencontré Idriss Al Basri à Rabat et il m’a dit : Bienvenu dans ton deuxième pays »
Layada a rappelé qu’il n’a jamais été détenu au Maroc « J’ai rencontré Hassan II pour 15 minutes et je ne veux pas divulguer le contenu de notre entrevue, il me suffit de dire que je fus soumis à un chantage dans l’affaire du conflit relatif au Sahara et à d’autres affaires ».
Au mois de décembre dernier, le journal algérien El Khabar annonçait que les services de la Gendarmerie algérienne avaient avorté une transaction programmée entre groupes terroristes et un fornisseur marocain. Celui-ci allait fournir une quantité d’explosifs et de mines anitpersonnelles et de drogues qu’ils allaient faire passer par la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Selon les enquêtes préliminaires, le fournisseur marocain amenait les armes de la France vers l’Algérie, à travers l’Espagne et le Maroc. »Dernièrement, et plus précisément le 2 juin 2009, dans un reportage initutlé « Lutte contre le terrorisme, le calme avant la tempête« , Jeune Afrique, un magazine français de référence en politique africaine, a écrit: » Autre incertitude qui, du point de vue malien, pèse sur le règlement de la question salafiste: les tensions entre l’Algérie et le Maroc. « Des groupes islamistes bénéficient à l’évidence de certains appuis du côté marocain », accuse un membre des services de renseignements maliens. Selon ce dernier, il s’agirait d’une riposte aux nombreux liens que le Mali entretient avec le Polisario. Il est vrai que la panoplie de l’armement d’AQMI, comprenant radars, systèmes de brouillage et même « orgues de Staline » (rampes de lance-roquettes installées à bord de camions), s’explique difficilement sans l’hypothèse de quelques complicités bien placées… »En effet, le Mali reconnaît la RASD depuis le 4 juillet 1980. Le maroc a voulu la punir pour cette reconnaissance comme il a voulu punir la Mauritanie en étant derrière certains coups d’Etat pour renverser les gouvernements d’avant l’ère de Maaouiya Ould Taya.Une question qui conviendrait se poser est : Si l’ancien GIA, rebaptisé comme « Al Qaeda du Maghreb Islamique » a des fournisseurs d’armes au Maroc … pourquoi commet-il ses attentats en Algérie et au Mali, et non au Maroc ? Evidemment, la réponse est que ce serait trahir ses seuls alliés dans la région.Il est à rappeler que ces méthodes ont déjà été utilisées par le gouvernement marocain en 1974 et 1975 contre l’Espagne dans le territoire sahraoui, plus précisément contre le quartier de la « Police Territoriale » à El Aaiun et dans un attentat à la voiture d’un ancien notable sahraoui, feu Ahmed Bachir, dans lequel deux de ses enfants sont décédés. Et en 1976, c’était au tour de l’ambassadeur mauritanien en France dont la voiture a été piégée dans le but d’incriminer le Front Polisario.Le Makhzen subordonne toute sa politique extérieure au conflit du Sahara Occidental, agit en fonction de comment gagner plus de soutien à ses prétentions expansionnistes. Ainsi, il a soutenu le terrorisme dans la région, accepté la sous-traitance de la torture pour la CIA, rompu avec le Vénézuéla et l’Iran, établi des relations avec Israel, livré un opposant en 1983 à Gadhafi pour que celui-ci arrête son soutien au Polisario…..