Étiquette : Mohammed VI

  • Maroc : Le bilan du roi des pauvres, 20 ans après

    Le bilan du roi des pauvres, 20 ans après

    Le dictateur fête bientôt ses 20 ans de règne, un règne sans partage, conformément à la tradition de ses ancêtres. Il est évident que rien n’a changé dans le bagne alaouite à ciel ouvert, ses sujets désormais ne rêvent que d’une chose, traverser la Méditerranée qui est devenue un cimetière, les deux décennies noires de son arrivée au pouvoir n’ont fait qu’aggraver la situation et le despote lui même avait reconnu les faits dans l’un de ses discours creux, histoire de se moquer de ses esclaves, en les interrogeant sur la richesse disparue de la nation alors qu’il continue de la transférer dans les paradis fiscaux du monde entier, là où il construit ses projets faramineux et sans vergogne.

    Ses caprices extravagants n’ont plus de limite, commandeur des croyants et homosexuel à la fois, une insulte obscène à la foi, mais le royaume alaouite a toujours été un havre de paix pour les pédophiles et les pervers de toute espèce, ils y sont même décorés royalement.

    En effet, la monarchie n’a guère changé, d’ailleurs un certain politicien français avait déclaré que :« le Maroc est une maîtresse qu’on n’aime pas trop, mais on doit la protéger » ce qui explique que toute tentative de changement est une cause perdue, le harem bien cadenassé depuis l’époque de Caligula II, mort Dieu merci , les crimes et les assassinats politiques sont d’actualité, les disparitions, les fusillades en terre ou mer, les suicides vrais et faux, les siècles de prison pour qui ose dire non, bref, un Maroc tel qu’on connaît depuis la nuit des temps : un enfer absolu pour les marocains et un paradis fascinant pour les traîtres et les étrangers au frontière de l’ Europe !

    Et quand je lis, par exemple, un certain rapport du magazine « Le Point » consacré au bilan du despote en décrivant sa monarchie comme « une nouvelle puissance de l’Afrique », quand j’entends un journaliste politique chevronné de « Mediapart » dire au festival des « droits de l’homme » à Essaouira que les condamnations du Rif ont été « un PEU exagérées » !…Franchement, en tant que marocain exilé en France, je crois que je ne suis pas sorti de l’auberge.

    Mahatma Ghandi avait dit : « celui qui veut servir, ne gaspillera pas une seule seconde pour son confort personnel », le roi des « selfies » quant à lui, s’offre justement une montre à un million d’euros, car ses secondes sont comptées !

    Vive le peuple, et vive la république marocaine

    Abdellatif Zeraïdi

    Source: Blogs Mediapart, 14 jui 2019

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Makhzen, dictature, répression, homosexualité, gay,

  • Pourquoi le roi du Maroc empêche Lalla Salma de se faire des photos en Grèce?

    Le scandale dévoilé par la princesse Haya de Jordanie suite à sa décision de fuir en Angleterre et demander l’asile politique a mis à jour le mystère d’une autre princesse disparu des radars depuis près de 2 ans. Celle de la Lalla Salma, la princesse enfermée par son époux, le roi du Maroc Mohammed VI.

    Selon les médias grecs, la princesse marocaine est en vacances en Grèce accompagné de son fils, le prince héritier Moulay Hassan de 16 ans.

    Au Maroc, le palais royal a fait de l’histoire de Lalla Salma un véritable mystère. Le roi pour annoncer leur divorce lui lance une série de salves depuis un blog administré par les services secrets marocains en la qualifiant de tous les mots. Ensuite, il se fait photographier dans un cliniques à Paris entouré de son frère, ses soeurs et ses enfants comme s’il voulait faire remarquer l’absence de son épouse. Et pour lever le doute, Mohammed VI l’annonce indirectement à travers un magazine people espagnol proche de la famille royale marocaine.

    Maintenant, Lalla Salma est supposée être de nouveau en Europe. La presse parle de son arrivée à Skiathos, son yacht loué à 600.000 euros… mais il n’y a pas de photos!. Tout l’encre coulé n’a aucune valeur en raison du manque d’illustration d’une princesse dont le sort est inconnu et dont la disparition a été entourée de beaucoup de rumeurs. Là aussi, le palais a choisi de se réfugier dans le silence. Aucun communiqué ni déclaration officielle à ce sujet.

    Tags : Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI, Lalla Khadija,

  • Quand le magazine français « Le Point » fait ridiculement la propagande superlative pour le régime marocain

    Édito. Le magazine français « Le Point » annonce que le Maroc est « une nouvelle puissance ». Quand un magazine est au service d’un régime répressif et policier, il n’exerce pas le journalisme, mais le mercenariat.

    Ce n’est pas le cas. La réalité est tout une autre. Il n’est pas à la Une des pages de couverture; ce n’était jamais en tête des bulletins d’information; ce n’était jamais le sujet des débats des experts de la télévision. Mais le magazine français « Le Point » connu pour ses prises de position en faveur du régime marocain et ses articles maniérés pour embellir l’image du palais royal a annoncé sur la largeur de sa couverture de cette semaine: « Maroc. La nouvelle puissance ». Une blague ? Un canular ? Une fumisterie ? Non, c’est ce que vraiment « Le Point » fait connaître, il s’agit d’une enquête, le Maroc est la nouvelle puissance.

    Oui, le Maroc qui est devancé par des pays exsangues et en guerre comme la Palestine, l’Irak ou la Libye dans le classement de développement humain publié par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) est une nouvelle puissance, c’est « Le Point » qui le dit, le porte-drapeau du régime marocain au sein de la presse française, un torchon peu soucieux de sa crédibilité, mais également peu scrupuleux. N’est ce pas le même magazine qui a tenté un procès contre deux médias français indépendants pour avoir dénoncé la collusion entre certains journalistes français et le pouvoir marocain en 2015 ? Oui, c’est « Le Point » qui -contre toutes les normes déontologiques- a voulu réduire au silence ses confrères « Orient XXI » et « Arrêt Sur Images ». Une affaire qui en dit long de l’ampleur de l’idylle entre « Le Point » et le pouvoir marocain.

    Peut-être, « Le Point » qui voit vaches noires en bois brûlé quand il s’agit du régime marocain, veut faire croire à ses lecteurs que les 70 % des Marocains qui veulent quitter leur pays à cause de la corruption et de la pauvreté selon le sondage international réalisé par Arab Barometer est un signe avant-coureur de la venue d’une nouvelle puissance.

    Il convient de souligner également à cet égard, que lors de la violente répression qui s’est abattue sur la population rifaine en 2017 pour éradiquer le mouvement du Hirak et les centaines d’arrestations des militants pacifistes, « Le Point » a publié un article de Tahar Ben Jelloun qui n’a aucune pertinence et rempli de stéréotype et de mensonges pour tordre les faits.

    En fin de compte, les journalistes du magazine « Le Point » qui trahissent sciemment l’honneur de leur métier, doit-on leur rappeler que le journalisme, le vrai, c’est celui qui est au service des dominés, des persécutés et des sans-voix. Le « journalisme » qui est au service d’un régime répressif et policier, ce n’est absolument pas du journalisme, mais ça s’appelle le mercenariat. De rien.

    Source : Le Courrier du Rif, 11 jui 2019

    Tags : Maroc, Makhzen, Le Point, marocleaks, Mohammed VI, répression,

  • “Le Roi prédateur”: Une bonne idée mal mise en pratique

    Por: Ignacio Cembrero

    Source: Orilla Sur, 02 mars 2012

    L’idée est excellente, sa mise en pratique laisse à désirer. L’idée du livre « Le Roi prédateur » (Le Seuil), écrit par les journalistes français Catherine Graciet et Eric Laurent, est d’expliquer pourquoi Mohamed VI a doublé, selon la revue Forbes, sa fortune en cinq ans, pourquoi il s’est hissé au septième rang des monarques plus fortunés devançant les émirs du Qatar et du Koweït. ImageRoi

    Les auteurs commencent par décrire le train de vie du souverain et de ses courtisans en faisant une bonne synthèse de que ce qui a été publié ces dernières années par la presse marocaine et plus spécialement Le Journal hebdomadaire, Tel Quel, Nichane ou des sites d’information comme Lakome. C’est ce résumé que le quotidien espagnol EL PAÍS a publié, le dimanche 26 février, et qui lui a valu d’être interdit au Maroc. Pourtant, pour le lecteur marocain, il n’y avait là rien de nouveau, rien qu’il n’ait déjà pu lire dans son propre pays. L’interdiction d’EL PAÍS n’a donc aucun sens.

    Ensuite vient l’enquête pour aboutir à une conclusion : « Au Maroc, c’est le peuple qui, chaque jour que Dieu fait, enrichit le roi en achetant les produits de ses entreprises ». Le roi est, en effet, « le premier banquier, le premier assureur, le premier agriculteur » de son royaume.

    Mais l’enquête n’est pas à la hauteur. Elle est un peu bâclée. Sans doute n’est-elle guère facile à faire dans un pays ou tout ce qui touche au palais royal baigne dans l’opacité. Il n’y a même pas un porte-parole ou un directeur de communication de l’institution comme le possèdent les maisons royales européennes. Pour ceux qui ont pu approcher le roi et ses courtisans, parler après à des journalistes est un exercice risqué. Cela explique, entre autres, que très souvent les sources du livre sont anonymes.

    En quoi l’enquête n’est-elles pas à la hauteur ? Sur la forme il n’est, par exemple, guère raisonnable de donner des chiffres en euros, dollars ou livres sterling sans les convertir à une même monnaie. Sur le fond les anecdotes ou les données rapportées ne sont pas suffisamment étayées. Un exemple parmi tant d’autres : Peut-on raconter que Mohamed VI a inauguré, dans le sud du pays, un hôpital dont le matériel médical qui lui a été montré avait été loué pour l’occasion sans préciser la date, le lieu et le nom de l’établissement ? Les six questions clefs du journalisme (qui, quoi, où, quand, comment et pourquoi) n’obtiennent pas toujours des réponses dans le livre.

    Il y a cependant des chapitres qui valent bien le détour à commencer par celui intitulé « Comment on fabrique un coupable » consacré à la descente aux enfers de Khalid Oudghiri, celui qui fut le patron de la plus grande banque du pays, Attijariwafa Bank. Il osa proposer de désengager les entreprises de la famille royale de l’économie marocaine. Mal lui en prit. Trainé dans la boue et humilié il finit par être condamné par contumace à 20 ans de prison et ses biens au Maroc furent saisis. De son exil en France il a parlé aux auteurs du livre.

    Mohamed VI a érigé sa fortune, et c’est là le dernier défaut du livre, dans un Maroc qui a vécu son « printemps arabe » très spécial, ou les islamistes ont, pour la première fois, gagné les élections, en novembre dernier, et formé le gouvernement. Tout au loin des 216 pages de l’ouvrage il n’y a que quelques paragraphes, à la fin du livre, sur ce contexte politique qui aiderait pourtant à mieux comprendre l’enrichissement royal.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, le roi prédateur, Forbes, foortune, enrichissement,

  • Las princesas que se fugaron de su reino.

    Son hermosas, ricas y privilegiadas; son princesas de Oriente Medio. Y, sin embargo, decidieron dejar a sus palacios, sus familias y, a veces, incluso su país. Lalla Salma, esposa del rey de Marruecos, Latifa Al Maktoum, de los Emiratos Árabes Unidos, y hoy Haya, que abandonó a Dubai. Todas estas princesas se han fugado para escapar de una vida que probablemente estaba lejos de ser un cuento de hadas …

    Las imaginamos disfrutando en el corazón de suntuosos palacios orientales … ¡Pero en realidad, su vida es más como una travesía del desierto que los famosos cuentos de « Las mil y una noches »! En los últimos años, varias princesas orientales han huido de su país para encontrar la serenidad. Privados de libertad en su reino, prefirieron buscar refugio en Occidente. ¿Quiénes son estas herederas que desaparecieron de la noche a la mañana?

    La princesa Haya huyó de Dubai recientemente

    La esposa del Emir de Dubai, Haya Bint al Hussein, conocida como « Haya de Jordania », ha escapado recientemente para buscar refugio en el Reino Unido, pasando primero por Alemania. Una vez llegada este miércoles 3 de julio a Londres, esta dama de 45 años quisiera divorciarse, pero no es tan simple.

    Ella es la última y más joven esposa de Sheikh Mohammed bin Rachid Al Maktoum, Emir de Dubai. Actualmente, vive enclaustrada en su lujosa residencia de Kensington Palace Gardens, acompañada por sus dos hijos de 11 y 7 años.

    La prensa británica informa que ella tiene « miedo de ser asesinada o devuelta a Dubai ». Según « Detained in Dubai », una ONG que apoya la liberación de prisioneros en el país, este reciente ejemplo de fuga sería « la acusación más grave de su marido ». La organización también se pregunta sobre las motivaciones profundas que empujaron a su Alteza Haya, una mujer social y comprometida, a tomar una decisión tan radical …

    Por su parte, Sheikh Mohammed aún no consigue contener su ira, sobre todo porque la pareja parecía muy enamorada hasta hace poco. En las redes sociales, se dirigió públicamente a su esposa con vehemencia: « Has traicionado la más preciosa de las confianzas », « para mí, ya no tienes ningún lugar en mi corazón », « Me importa un pito que estés viva o muert ».

    Sheikha Latifa había intentado de escapar el año pasado.

    En marzo de 2018, pocos meses antes de la desaparición de Haya, Cheikha Latifa Al Maktoum, la hija de 33 años del Emir, ya había tratado de huir. ¿Están vinculadas las dos desapariciones? El hecho es que esta última había intentado huir en barco con la ayuda de Hervé Jaubert, un antiguo espía francés; pero su plan de instalación en los Estados Unidos finalmente fracasó al final, fue interceptada fuera de la India y devuelta por la fuerza al palacio, donde según alguna fuentes, ahora está detenida.

    Después de su intento de fuga en marzo de 2018, la joven había publicado un largo video en las redes sociales, en el que predijo lo peor: « Si ves este video, es que la cosa está fea. O estoy muerta o estoy en una situación muy, muy mala « , advirtió.

    También sabemos que ella ya había intentado irse cuando era adolescente, y que luego fue maltratada, encarcelada durante varios años después de su regreso. ¿Se repite el caso otra vez, está castigada actualmente por este nuevo intento? Desafortunadamente, no hay noticias de Latifa desde su regreso al palacio.

    Entonces, bien podría ser que esta abortada partida de Latifa, la hija del Sheikh, esté relacionada con la reciente decisión de huir de Haya, su suegra. La armonía de la pareja real habría, tal vez, haya volado en pedazos, señala « Madame Figaro ». Además, según la BBC, « fuentes cercanas a la princesa Haya dijeron que recientemente descubrieron hechos preocupantes detrás del misterioso regreso a Dubai de la Sheikha ». Ahora que está libre en el extranjero, ¿Haya de Jordania revelará el final de la historia? Por ahora, el misterio permanece intacto …

    Lalla Salma, desaparecida de Marruecos hace dos años.

    Al igual que Haya y Latifa, la heredera marroquí Salma Bennani, conocida como Lalla Salma, también desapareció hace cerca de dos años. La esposa del rey Mohammed VI, había sido una pionera, una mujer de carácter a la que se había acordado más libertad.

    Su esposo le había permitido aparecer en la prensa nacional e internacional, pero luego quiso divorciarse por razones oscuras. Esta reina, un viento de modernidad en esta monarquía conservadora, se vio obligada a irse y vivir hoy reclusa y en el anonimato.

    En un esfuerzo grave para intentar que vuelva, Mohammed VI no proporciona ninguna información sobre la causa que llevó a Lalla Salma a desaparecer. Un motivo que parece embarazoso para el palacio real, que prefiere cubrir sus escándalos. La Princesa Lalla Salma, sin embargo, dos años después, sigue sin paradero conocido. Sigue invisible, pero probablemente libre.

    Etiquetas: Marruecos, Dubai, Lalla Salma, Princesa Haya, Sheikha Latifa, Mohammed VI, Sheikh Mohammed ben Rachid Al Maktoum,

  • Ces princesses qui ont fui leur royaume

    Elles sont belles, riches et privilégiées; ce sont des princesses du Moyen-Orient. Et pourtant, elles ont décidé de fuir leur palais, leur famille et parfois même leur pays. Lalla Salma, héritière marocaine, Latifa Al Maktoum, des Emirats Arabes unis, et aujourd’hui Haya, qui a quitté Dubaï. Ces princesses ont toutes pris la fuite pour échapper à une vie qui était sans doute loin d’être un conte de fées…

    On les imagine se prélasser au cœur de somptueux palais orientaux… Mais en réalité, leur vie s’apparente plus à une traversée du désert qu’aux fameux contes des «Mille et Une Nuits»! Depuis quelques années, plusieurs princesses orientales ont fui leur pays pour retrouver la sérénité. Privées de liberté dans leur royaume, elles ont préféré trouver refuge en Occident. Qui sont ces héritières qui ont disparu du jour au lendemain?

    La princesse Haya a récemment fui Dubaï

    Epouse de l’émir de Dubaï, Haya Bint al Hussein – dite «Haya de Jordanie» – s’est très récemment échappée pour se réfugier au Royaume-Uni, en passant d’abord par l’Allemagne. Arrivée ce mercredi 3 juillet à Londres, cette cavalière de 45 ans souhaiterait divorcer, mais ce n’est pas aussi simple.

    Elle est la dernière et la plus jeune épouse du Cheikh Mohammed ben Rachid Al Maktoum, émir de Dubaï, rappelle «Le Point». Actuellement, elle vivrait cloîtrée dans sa luxueuse résidence de Kensington Palace Gardens, accompagnée de ses deux enfants de 11 et 7 ans.

    La presse britannique rapporte en outre qu’elle aurait «peur d’être assassinée ou ramenée de force à Dubaï». Selon «Detained in Dubaï», une ONG qui soutient la libération des prisonniers dans la pays, ce récent exemple de fuite serait «la plus grave mise en accusation de son époux». L’organisation s’interroge aussi sur les motivations profondes qui ont poussé son Altesse Royale Haya, une femme mondaine et engagée, à prendre une décision aussi radicale…

    De son côté, Cheikh Mohammed ne décolère pas, d’autant plus que le couple s’affichait très amoureux jusqu’à récemment. Sur les réseaux sociaux, il s’est publiquement adressé à sa femme avec véhémence: «Vous avez trahi la plus précieuse des confiances», «vous n’occupez plus aucune place pour moi», «je n’ai cure que vous soyez morte ou vivante».

    Cheikha Latifa avait tenté de s’échapper l’an dernier

    En mars 2018, quelques mois seulement avant la disparition de Haya, c’est Cheikha Latifa Al Maktoum, la fille de l’émir dubaïote, âgée de 33 ans, qui avait déjà tenté de prendre la fuite. Les deux disparitions sont-elles liées? Toujours est-il que cette dernière avait tenté de fuir par bateau avec l’aide d’Hervé Jaubert, un ancien espion français; mais son plan d’installation aux Etats-Unis avait finalement échoué. Elle avait alors été interceptée au large de l’Inde et ramenée de force au palais, où d’aucuns prétendent qu’elle est maintenant tenue prisonnière.

    Après sa tentative de fuite en mars 2018, la jeune femme avait publié une longue vidéo sur les réseaux sociaux, dans laquelle elle prévoyait le pire: «Si vous regardez cette vidéo, ce n’est pas une si bonne chose. Ou je suis morte ou je suis dans une très, très mauvaise situation», prévenait-elle.

    On sait par ailleurs qu’elle avait déjà tenté de partir adolescente, et qu’elle avait ensuite été maltraitée, prisonnière pendant plusieurs années après son retour. Est-ce à nouveau le cas, est-elle actuellement punie pour cette nouvelle incartade? On reste malheureusement sans nouvelle de Latifa depuis son retour au palais.

    Alors, il se pourrait bien que ce départ avorté de Latifa, la fille du Cheikh, soit corrélé à la récente décision de fuite de Haya, sa belle-mère. L’harmonie du couple royal aurait, peut-être, ainsi volé en éclats, rapporte «Madame Figaro». De plus, selon la BBC, «les sources proches de la princesse Haya ont déclaré qu’elle a récemment découvert des faits troublants derrière le mystérieux retour à Dubaï de la Cheikha». Maintenant libre à l’étranger, Haya de Jordanie dévoilera-t-elle le fin mot de l’histoire? Pour l’instant, le mystère reste entier…

    Lalla Salma, disparue du Maroc depuis deux ans

    Comme Haya et Latifa, l’héritière marocaine Salma Bennani – appelée Lalla Salma – avait aussi pris la poudre d’escampette il y a maintenant deux ans. Femme du roi Mohammed VI, elle avait pourtant été une pionnière, une femme de caractère à qui l’on avait accordé plus de liberté.

    Son époux lui avait en effet permis de paraître dans la presse nationale et internationale, mais avait ensuite souhaité divorcer pour des raisons obscures. Cette souveraine, un vent de modernité dans cette monarchie conservatrice, a pourtant été obligée de partir et de vivre aujourd’hui recluse et dans l’anonymat.

    Cherchant toutefois à la faire revenir, Mohammed VI ne livre aucune information sur la cause qui a poussé Lalla Salma à s’expatrier. Un motif qui semblerait gênant pour le palais royal, qui préfère faire taire les scandales. Le princesse Lalla Salma, elle, reste cependant introuvable depuis bientôt deux ans. Introuvable, mais sans doute libre.

    Tags : Maroc, Dubaï, Lalla Salma, princesse Haya, Cheikha Latifa, Mohammed VI, Cheikh Mohammed ben Rachid Al Maktoum,

  • Des mesures de sécurité draconniennes autour de Lalla Salma et son fils

    Selon la presse grecque, la plage d’Agonta, à Skopelos, a été secouée ce matin par l’irruption des agents de sécurité du cortège du prince héritier du Maroc Moulay Hassan à bord d’un bateau pneumatique.

    Ils sont arrivés pour rattisser le yacht de luxe « Serenity » qui porte à son bord les illustres passagers du palais de Mohammed VI. Ils ont demandé aux passants de faire demi-tour sous prétexte de dégager le chemin devant une famille dont un membre a des problèmes de mobilité.

    « Les agents de sécurité de la princesse marocaine Lalla Salma ont procédé à un contrôle prudent mais discret, et il a ensuite été décidé que la famille n’y débarquera pas », signale le site Skiathos Life.

    tags: maroc, mohammed vi, lalla salma, moulay hassan,

  • Maroc: Mohammed VI empêcherait-il Lalla Khadija de partir en vacances avec sa mère?

    L’onde de choc de la fugue de la princesse Haya de Jordanie est arrivé au Maroc où une histoire semblable est arrivée avec le divorce du roi Mohammed VI et la princesse Lalla Salma. Un divorce annoncé par un seul média espagnol, le magazine Hola.

    La disparition de l’ancienne épouse du souverain marocain a fait couler beaucoup d’encre. Son absence lors des cérémonies de réceptions des rois d’Espagne et du prince Harry d’Angleterre a fait craindre le pire. La presse people s’est fait des soucis sur son sort à cause de la disparition de celle qui était derrière la nouvelle image de la monarchie marocaine.

    Pour calmer l’opinion publique internationale sur le sort de Lalla Salma, le roi du Maroc a autorisé cette dernière à apparaître avec son fils sur les terres grecques. Les autorités marocaines ont pris le soin d’en informer la presse hélénique. Elles ont aussi fait savoir que Lalla Salma garde son titre de princesse parce qu’elle « est la mère du prince héritier ». Un cadeau qui fait partie des effets collatéraux de la fuite de la princesse Haya.

    Cependant, il y a lieu de se demander pourquoi Lalla Khadija n’est pas avec sa mère à cette occasion ? Pourquoi des vacances avec son fils Moulay Hassan en l’absence de sa sœur Lalla Khadija ? Mohammed VI, a-t-il peur que ses enfants soient enlevés par leur mère ? Que se cache-t-il derrière cette étrange absence ?

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Lalla Khadija, Moulay Hassan,

  • Maroc : Lalla Salma conserve son titre de princesse grâce à la princesse Haya de Jordanie

    Il y a quelques jours, la princesse Haya de Jordanie a décidé de quitter son mari l’Emir de Dubaï et sollicité l’asile politique au Royaume Uni en vue de ne pas subir le sort de ses belles-filles emprisonnées par leur père dans un de ses palais.

    La princesse jordanienne a deux enfants : une fille de 11 ans y un garçon de 7 ans. Elle veut leur garantir un avenir loin des contraintes du palais royal emiratí.

    L’affaire a rappelé le sort de Lalla Salma, l’épouse du roi du Maroc disparue de la vie publique depuis l’annonce du divorce du couple royal. Cela a poussé le roi Mohammed VI à lâcher du lest. Lalla Salma a été vite expédiée en Grèce à bord d’un jet royal et accompagnée de son fils le prince héritier Moulay Hassan.

    Dans le but de calmer l’opinion publique internationale, la visite de la princesse marocaine a été annoncée à la presse grecque qui a aussi révélé que Lalla Salma garde son titre de « princesse ». Il faut reconnaître que la cette dernière doit une fière chandelle à la princesse Haya de Jordanie.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Haya de Jordanie, princesse,

  • Maroc : La princesse Lalla Salma en Grèce avec son fils

    L’anécdote de la princesse Haya a contraint le roi du Maroc à lâcher Lalla Salma

    Par crainte d‘être mouillé par le scandale soulevé par la fuite de la princesse Haya de Jordanie, Mohammed VI a libéré son ex-épouse.

    En effet, selon des médias grecs, Lalla Salma est arrivé hier après-midi à l’ìle grecque de Skiathos accompagnée de son fils, le prince héritier Hassan Alaoui.

    Selon la même source, la princesse marocaine s’est également rendue à Corfou et d’après des nouvelles non confirmées, Lalla Salma auraie visité l’île de Kea où ella a achete une luxueuse villa en 2015. Le tout dans une atmosphère de sécurité strice mais discrète.

    Pour rappel, Lalla Salma a divorcé du roi du Maroc il y a près de 2 ans. Leur divorce n’a pas été confirmé par le palais ni par aucune voix officielle.

    A l’instar de la princesse Haya de Jordanie, Lalla Salma a disparu de la scène publique. Après son absence lors des visites des rois d’Espagne et du prince Harry. La presse internationale a commencé à se poser des questions sur son sort.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Makhzen, divorce,