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  • Les médias marocains s’acharnent contre Ramtane Lamamra et s’en prennent à sa fille

    Les médias marocains s’en sont pris à la fille du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, dans une série d’articles haineux. La cause de ce énième emportement du Makhzen : la soutenance par la fille du ministre d’une thèse sur la cause sahraouie à l’université de Cambridge. Handicapé par l’efficacité, la probité et l’influence de Ramtane Lamamra sur la scène internationale, le régime marocain a longtemps cherché la «faille» pour tenter de le discréditer aux yeux de ses partenaires et homologues étrangers auprès desquels il jouit d’un grand respect, mais sans succès. Devant cette impuissance face à celui que Rabat décrit comme son «ennemi juré», les médias de propagande de Mohammed VI ont cru trouver la brèche en taclant le ministre algérien à travers un membre de sa famille.
    En commettant cette série d’articles honteux, les journalistes à la solde du roi et de sa clientèle qui prennent en otage tout un peuple réduit à la privation la plus absolue – le Maroc profond, ce n’est pas le Marrakech du rire, les festival cache-misère et les clips imitation Hollywood d’un chanteur contrefacteur en vogue en ce moment –, avouent, en définitive, ce que tout le monde sait déjà. Mohammed VI et ses dévoués souffrent de douleurs stomacales depuis que des bruits insistants courent sur une fort probable élection du ministre des Affaires étrangères algérien à la tête de la Commission de l’Union africaine. Ramtane Lamamra part favori dans cette course à la présidence de cette instance exécutive de l’organisation panafricaine.
    Désavoué dans le dossier du Sahara Occidental, isolé sur la scène internationale depuis son comportement puéril à l’égard du secrétaire général de l’ONU, affaibli intérieurement par une situation économique désastreuse, menacé par une montée de l’extrémisme religieux que ses alliés européens tentent vainement de celer, le Maroc est conscient que la tribune de l’Union africaine, qu’il cherche à réintégrer pour y répandre ses thèses boiteuses, serait immunisée pour plusieurs années encore contre ses turpitudes.
    «Des attaques contre Ramtane Lamamra, il y en aura encore», affirment des sources informées à Algeriepatriotique. «Le Maroc est sur le fil du rasoir et il ne lui reste que la gesticulation pour tenter de sauver ce qui peut l’être dans le dossier du Sahara Occidental», notent nos sources qui soulignent que «Rabat n’a d’autre choix que de jouer au trouble-fête pour se faire entendre, maintenant qu’il a perdu toute crédibilité aux yeux de la communauté internationale». Pour ce faire, le Makhzen s’appuie sur une brochette de lobbyistes qui ont prouvé leur superfluité.
    «Nous ne pratiquons pas la diplomatie du mégaphone», avait subtilement répliqué Ramtane Lamamra, en novembre 2015, suite à une des nombreuses provocations du Maroc à l’égard de l’Algérie. Sa réponse à cette nouvelle agression est déjà toute faite.
    Karim Bouali

  • Moroccoleaks : Actividad del representante saharaui en Croacia provoca delirios del embajador marroquí

    El encuentro de Malainin Bacada con Frano Matusic, adjunto de Milorad Pupovac, presidente de la Comisión de Asuntos Exteriores del Parlamento Croata no le cayó nada bien al embajador marroquí en Zagreb.
    Este último inventa toda una serie de embustes para desmentir la recepción conseguida por el representante saharaui y que ha sido reportada por SPS. « Las acciones cíclicas (aproximadamente dos al año) del representante del Polisario, destinadas a cender su discuros en total ruptura con la mímica pizca de simpatía por parte de las autoridades croatas, tienden más a justificar a los ojos de su jerarquía ses fastuosos gastos, de ahí ses recurrentes afabulaciones y falaces declaraciones », dice el embajador marroquí.
  • Mohammed VI, el buen alumno de Kim Jong-un

    En su conflicto con la ONU, el rey de Marruecos parece haber asimilado y aprendido perfectamente la política de provocación del líder norcoreano, Kim Jong-un. Cuanto más aumenta la presión de la ONU, más multiplica las provocaciones contra el organismo internacional. 
    Ambos regímenes están protegidos por una potencia mundial. Corea del Norte, por China, Marruecos por Francia. Las condenas internacionales y las resoluciones del Consejo de Seguridad de la ONU o las presiones ejercidas, respectivamente, por París y Pekín, no dieron ningún resultado. A pesar de ello, tanto dirigentes chinos como franceses, incluso muy molestos por estas continua bravuconadas, no tienen la intención de abandonar a sus respectivos aliados. Sobre todo porque son conscientes de que los riesgos de aumentar la escalada hasta la confrontación militar directa entre, por una parte, Corea del Norte y Estados Unidos, y Marruecos y el Frente Polisario, por la otra, son, hay que reconocerlo, pocos.
    Si Kim Jong-un responde a las advertencias de la comunidad internacional con nuevos lanzamientos de misiles, el último de ellos tuvo lugar hace a penas una semana, Mohammed VI afirma su testarudez prohibiendo al Secretario General de la ONU visitar El Aaiún, capital del Sahara occidental, para inspeccionar la misión de la ONU que se encuentra ahí desde hace 25 años. Más todavía, Rabat procedió, pocos días después, a la expulsión de gran parte del contingente de la MINURSO en respuesta a la decisión de Ban Ki.moon de visitar a los campamentos de refugiados saharauis y la base onusina de Bir Lahlu.
    Haciendo caso omiso de las advertencias de la ONU, Kim encadena los tiros de provocación. Mohammed VI, siguiendo los pasos de su homólogo coreano, sigue desafiando a la comunidad internacional. Ambos dictadores son conscientes de que el precio a pagar por estas repetidas provocaciones es inexistente, lo que les da una casi impunidad gracias al veto de sus aliados en el Consejo de Seguridad.
    Esta declarada voluntad de confrontación con Naciones Unidas puede ser una simple retórica con objetivos domésticos para mostrar que los dos regímenes van bien y tienen la iniciativa en esta confrontación.
    En Corea del Norte, Kim Jung-un agita la amenaza de un ataque nuclear contra Estados Unidos. En Marruecos, Mohamed VI, al no tener el suficiente valor para invadir los territorios liberados del Sáhara Occidental, recurre a pequeñas artimañas para proyectar una imagen de fuerza al pueblo marroquí y ocultar su debilidad y los efectos de la presión de la ONU contra el régimen marroquí. Esta presión se encuentra en los continuos llamamientos de la ONU que recuerdan el estatuto legal del Sahara Occidental como territorio no autónomo y el derecho inalienable del pueblo saharaui a la autodeterminación.
    De entre estos gestos qui parecen gestos de desesperación se halla la última decisión de Marruecos de asfaltar la ruta entre el muro defensivo marroquí y el puesto fronterizo mauritano de El Gargarat. Una decisión que podría ser la última locura del régimen de Mohamed VI que mantiene, desde hace 40 años, a la población saharaui en una gran prisión cerrada a periodistas y políticos extranjeros que no tienen la costumbre de beneficiarse de las privilegios de la hospitalidad de La Mamounia.
    Esta salida marroquí, que viola las términos del alto el fuego de 1991, suena como un nuevo desaire a la ONU. Sobre todo porque va acompañado por el anuncio de la próxima apertura de una fábrica de municiones.
    Por lo tanto, en un declarado « estado de guerra », el conflicto con el embajador Christopher Ross, seguido de otro con el propio Secretario General Ban Ki-moon, el despliegue de su ejército en la zona de Gargarat, las amenazas con expulsar a toda el contingente de la MINURSO, el régimen empuja la barra de las provocaciones hasta el máwimo con el fin de consolidar su posición en las negociaciones sobre el estatuto definitivo del territorio saharaui.
  • Mohammed VI, le bon élève de Kim jong-un

    Dans son conflit avec l’ONU, le roi du Maroc semble avoir assimilé et appris la politique de provocation du leader nord-coréen Kim jong-un. Plus la pression de l’ONU augmente, plus il multiplie les provocations contre l’instance internationale.
    Les deux régimes sont protégés par une puissance mondiale. La Corée du Nord, par la Chine, le Maroc par la France. Les condamnations internationales et les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU ou les pressions exercées respectivement par Pékin et Paris n’ont donné aucun résultat. En dépit de cela, autant les dirigeants chinois que les français, même fortement agacés par ces bravades continuelles, n’ont pas l’intention de laisser tomber leurs alliés respectifs. D’autant plus qu’ils sont conscients que les risques d’une escalade allant jusqu’à la confrontation militaire directe entre, d’un côté, la Corée du Nord et les Etats-Unis, et le Maroc et le Front Polisario, de l’autre sont, il faut le reconnaître, faibles.
    Si Kim jong-un répond aux avertissements de la communauté internationale par des nouveaux tirs de missiles, le dernier a eu lieu il y a à peine une semaine, Mohammed VI, manifeste son entêtement en interdisant au Secrétaire Général de l’ONU de se rendre à El Aaiun, capitale du Sahara Occidental, pour inspecter la mission onusienne qui s’y trouve depuis 25 ans. Pis encore, Rabat procède, quelques jours plus tard, à l’expulsion d’une grande partie du contingent de la MINURSO en réaction à la décision de Ban Ki.moon de se rendre aux camps des réfugiés sahraouis et à la base onusienne de Bir Lehlou.
    Faisant fi des mises en garde l’ONU, Kin enchaîne les tirs de provocation. Mohammed VI, suivant les pas de son homologue coréen, continue à défier la communauté internationale. Les deux dictateurs sont conscients que le prix à payer pour ces provocations répétées est nul, ce qui leur confère une quasi-impunité grâce au veto de leurs alliés au Conseil de Sécurité.
    Cette volonté déclarée de confrontation avec l’ONU peut être une symple réthorique avec des visées domestiques pour montrer que les deux régimes se portent bien et ménent l’initiative dans cette confrontation.
    En Corée du Nord, Kim jung-un brandit la menace d’une attaque nucléaire contre les Etats-Unis. Au Maroc, Mohammed VI, n’ayant pas le courage d’envahir les territoires libérés du Sahara Occidental, fait recours à des petits gestes pour lancer un message de force au peuple marocain et cacher la faiblesse et les effets de la pression de l’ONU contre le régime marocain. Cette pression se trouve dans le rappel du statu légal du Sahara Occidental en tant que territoire non autonome et le droit incontournable du peuple sahraoui à l’autodétermination.
    Parmi ces gestes qui ressemblent à des gestes de désespoir la dernière décision marocaine de bitumer la route entre le mur de défense marocain et le poste frontalier mauritanien de Gargarat. Une décision qui pourrait être la dernière folie du régime de Mohammed VI qui maintient, depuis 40 ans, la population sahraouie dans une grande prison fermée aux journalistes et aux hommes politiques étrangers qui n’ont pas l’habitude de bénéficier des bienfaits de l’hospitalité de La Mamounia.
    Cette sortie marocaine, qui viole les termes du cessez-le-feu de 1991, sonne comme un nouveau pied de nez à l’ONU. D’autant plus qu’elle accompagnée de l’annonce de l’ouverture bientôt d’une usine de production de munitions.
    Ainsi donc, dans un « état de guerre » déclaré, le conflit avec l’ambassadeur Christopher Ross, ensuite avec le SG Ban Ki-moon, le déploiement de son armée dans la zone de Gargarat, les menaces d’expulser la totalité du contingent de la MINURSO, le régime pousse la barre des provocations au maximum dans le but de consolider sa position dans les négociations sur le statut définitif du territoire sahraoui.
  • Maroc : Contre l’impunité, et pour la vérité sur les crimes d’assassinats, de disparition, et de torture

    Le Secrétaire National de notre organisation « la Voie Démocratique », le Camarade Mustapha BRAHMA, a été convoqué par le service d’enquêtes et d’investigations de la de police de la Ville de Rabat à deux reprises en l’espace d’un mois. 
    La première convocation, à la veille du 4e Congrès National, est perçue comme une provocation et une tentative de trop pour perturber le bon déroulement du congrès de la Voie Démocratique qui s’est déroulé à Casablanca les 15, 16 et 17 juillet 2016.
    Le 13 août 2016, la police politique de Rabat récidive son inquisition policière à l’encontre de notre Secrétaire National lui orchestrant un interrogatoire sur des propos qu’il aurait tenus, lors d’une Conférence le 26 décembre 2015 à la Ville d’Oujda , sur l’assassinat du martyr Omar BENJELLOUN le 25 décembre 1975. Il aurait déclaré que le fondateur du parti islamiste Justice et Développement (PJD), majoritaire au gouvernement actuel, est impliqué dans l’assassinat du martyr Omar BENJELLOUN et au su de l’État.
    Au lieu d’enquêter et d’engager des poursuites contre les auteurs des crimes d’assassinats, de disparition, et de torture, qu’il a commis, par ce précédé abominable, le régime despotique au Maroc confirme son refus de rendre justice et faire éclater la vérité.
    En s’en prenant au Secrétaire National, le régime tente vainement d’intimider la Voie Démocratique et toutes les forces qui militent contre l’impunité, et pour la vérité sur les exactions perpétrées par son arsenal répressif. Il discrédite tout discours de démocratisation et rend un non événement la mascarade électorale du 7 octobre prochain.
    Face à ces nouvelles intimidations à l’encontre de notre Organisation et à l’égard de notre Secrétaire National, le Secrétariat Régional de la Voie Démocratique-région Europe :
    1) exprime tout son soutien et sa solidarité avec le Camarade Mustapha BRAHMA, considérant cette nouvelle provocation comme une atteinte à l’ensemble des militant-e-s de la Voie Démocratique tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Maroc, et demande la dissolution des appareils répressifs qui continuent à sévir pour museler les voix libres,
    2) déplore l’obstination du régime au Maroc à masquer la vérité sur les crimes commis, et à protéger les auteurs de torture, disparitions et assassinats. Elle affirme sa détermination à poursuivre le combat pour la vérité, la justice et contre l’impunité des assassins du martyr Omar BENJELLOUN, et tend la main à toutes les forces éprises de justice pour ouvrir une enquête impartiale sur ce crime odieux,
    3) demande la dissolution des appareils répressifs qui continuent à sévir pour museler les voix libres, et, rejette toute ‘’réconciliation’’ construite sur les dépouilles de nos martyrs,
    4) et, enfin, réitère sa volonté et son dévouement politiques à œuvrer pour le Rassemblement des forces progressistes Marocaines, et, à poursuivre la lutte pour un Maroc démocratique et populaire, débarrassé des chaînes du pouvoir du Makhzen.
    .
    Secrétariat régional-Europe
    23 août 2016
  • Marruecos incita a la guerra en el norte de África

    El Consejo Peruano de Solidaridad con el Pueblo Saharaui (COPESA) ofreció un desayuno en honor del embajador saharui en México, Ahmed Mulay Alí, al que asistieron miembros de la institución, así como dos invitados excepcionales, el exministro Rodolfo Beltrán y el destacado analista Ricardo Escudero Vigil.
    Distinguió la reunión, asimismo, la presencia de Juan Suárez, presidente del Centro Federado de Periodistas de Lima, así como la hospitalidad del anfitrión Manuel Ruiz Huidobro. Estuvieron presentes Ricardo Sánchez Serra, Gary Ayala y Nathalie Mandujano, presidente, secretario general y secretaria de prensa de COPESA, respectivamente.
    El embajador Mulay explicó en forma didática la problemática del pueblo saharaui en el contexto internacional, el desacato de Marruecos a las resoluciones de las Naciones Unidas, sus provocaciones en la zona desmilitarizada y que incita a la guerra. Hizo un llamado a los países para que reconozcan a la República Árabe Saharaui Democrática. Asimismo explicó la situación apremiante en que viven los saharauis en los campamentos de refugiados desde hace 40 años, luego de la invasión de Marruecos a su territorio.
    El diplomático saharaui cumple una serie de actividades en Lima, como reunirse con parlamentarios y brindar conferencias magistrales como en la Universidad Mayor de San Marcos y universidades privadas
    http://rsanchezserra.blogspot.pe/2016/08/marruecos-incita-la-guerra-en-el-norte.html
  • Sahara occidental : Valiente réitère l’engagement de Madrid avec la question sahraouie

    Le conseiller municipal Mauricio Valiente a réitéré cette semaine, lors d’une cérémonie d’adieu organisée en l’honneur de 228 enfants sahraouis ayant bénéficié du programme « vacances de paix dans la capitale espagnole l’ »engagement de la ville de Madrid avec la cause sahraouie ». 
    Le conseiller municipal qui a fait cette déclaration rapportée par « Télémadrid » en présence de tous les groupes politiques locaux qui constituent le conseil a également réitéré le respect du droit international « pour une solution politique qui implique l’autodétermination du peuple sahraoui ».
    Cet engagement solidaire, a-t-on ajouté, s’est traduit en juillet dernier par l’octroi d’une subvention à l’association des amis du peuple sahraouie d’une valeur de l’ordre de 59.000 euros ayant permis de payer les frais pour 80 enfants sahraouis.
    Le maire intérimaire, Ignacio Murgui, a de son côté félicité et remercié les enfants sahraouis d’être « les ambassadeurs du peuple sahraoui », avant de rappeler la figure emblématique que fut et restera le défunt président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, décédé récemment.
    Le porte parole du parti socialiste, membre du conseil municipal, a également réaffirmé « la solidarité de la ville de Madrid tout en exhortant à résoudre la situation du peuple sahraoui qui dure depuis plus de 40 ans ».
    Les 228 enfants sahraouis, ayant séjourné dans la capitale espagnole durant cet été, étaient répartis sur 216 familles d’accueil espagnoles.
    La présidente de la communauté de Madrid Cristina Cifuentes qui a reçu une partie de ces enfants avait souligné l’importance de cette initiative qui montre une nouvelle fois « la conscience qui anime la société Madrilène », en rappelant que « ce programme de vacances de la paix concrétise deux objectifs, à savoir l’amélioration des conditions de vie des enfants sahraouis pour les deux mois d’été et permet par ailleurs aux enfants espagnols de découvrir d’autres cultures ».
    Ce genre de programme aide à « construire des sociétés plus tolérantes parce que la où il y a plus de connaissances, il y a un plus grand respect et une plus grande tolérance », a-t-on souligné de même source.
    Pour sa part, le représentant sahraoui à Madrid, Abdulah Arabi, a remercié le « geste de solidarité des familles espagnoles ayant accueilli les enfants sahraouis durant les deux mois d’été qui sont insupportables à vivre dans les camps de réfugiés », en notant par ailleurs que « cette initiative permettra à la cause sahraouie de ne pas tomber dans l’oubli » avant d’estimer que « ce programme est un symbole de la lutte et du sacrifice et de l’engagement du peuple sahraoui pour une solution pacifique ».
    Plus de 5.000 enfants sahraouis ont bénéficié durant cet été du programme de « vacances de la paix » initié par des associations espagnoles amies avec le peuple sahraoui ainsi que des municipalités et localités du territoire espagnol.
    Les enfants sahraouis qui étaient accueillis par des familles espagnoles ont également bénéficié de divers programmes de divertissement culturels et pour jeunes et de soins médicaux appropriés, ont indiqué les différents organisateurs de ce programme 
    http://www.lemaghrebdz.com/?page=detail_actualite&rubrique=Internationnal&id=78626
  • Discours du roi Mohammed VI : un non-événement

    Rabat, Maroc, 25 août 2016.- Le dernier discours du roi Mohammed VI s’inscrit en droite ligne avec ses habitudes et sa caractéristique de personnalité faible entourée de mauvais conseillers. Nous sommes loin des discours des anciens leaders qui sont restées dans les annales de l’histoire comme guides de sagesse et de bonne gouvernance. 
    Celui-ci est un discours qui constitue un non-événement. Il est oublié aussi vite qu’il est prononcé. Son contenu est facilement identifiable. Ses jugement dénotent une tonalité enfantine et ne comportent aucune proposition de solution logique et définitive. Avec peu d’imagination et sans aucune profondeur à l’instar d’une flaque d’eau formée dans une superficie plane après une forte averse. Il est vide et chargé d’expressions menaçantes et sent l’arrogance. Il veut transmettre l’image de celui qui détient la vérité alors qu’il dégage un flagrant sentiment d’insécurité qui implore la pitié de ses mentors.
    En bon manipulateur, le roi Mohammed VI veut donner l’impression qu’il gouverne un pays ultra-avancé alors que le Maroc est ravagé par le sous-développement, la misère et l’analphabétisation. Il continue à surfer sur la vague du mensonge et de la tromperie tout en évitant de parler des sujets qui intéressent les marocains : l’argent du Panama Papers, les terrains luxueux vendus à prix dérisoire…
    Il n’a rien dit de ses interminables disputes avec les Nations Unies, l’Union Européenne et le continent africain. Il préfère vendre du faux à l’instar du nouveau costume qu’il essaie de porter et qui lui va très mal. Celui du Che Guevara l’anticolonialiste. Il s’attaque au colonialisme qui l’a intronisé et continue à protéger la dynastie alaouite au Conseil de Sécurité et grâce auquel le Maroc a obtenu des relations privilégiées avec l’Union Européenne. Ce qui prouve que son discours était spécialement dirigée à la consommation interne. Quitte à ne pas rattraper une sale indigestion.
  • Le Maroc essaie de dissuader la Chine de faire partie des donnateurs d’aide aux réfugiés sahraouis

    Le Maroc a tenté de dissuader les autorités chinoises de faire partie des pays donnateurs d’aide aux réfugiés sahraouis en Algérie.
    Une note interne datée du 30 mai 2014 demande aux autorités de « informer la partie chinoise que la présence des autres pays à ces rencontres de donateurs à Tindouf est dû au fait qu’ils font parties du groupe d’amis du secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara, dont la Chine n’est pas membre et, que la présence de l’Ambassadeur Chinois à cette manifestation serait mal exploitée par l’autre partie au conflit ».
    Selon la même note, « les responsables chinois se demandent pourquoi la Chine resterait à l’écart de ce genre de rencontre, au moment où les autres pays membres permanents du Conseil de Sécurité y prennent part, sans que cela ne soit interprété comme une quelconque reconnaissance de la pseudo « rasd ». D’après les responsables chinois, la position de Pékin sur le Sahara étant claire, sans équivoque et inchangée, ils souhaitent cependant être informés sur l’évolution de cette question partout où cela est possible ».
  • Moroccoleaks : Etat actuel des Relations de coopération Maroco-Chinoises (28 mai 2014)

    Etat actuel des Relations de coopération Maroco-Chinoises
    a/- Cadre Juridique
    Les relations bilatérales Maroco-Chinoises prennent appui sur un cadre juridique étoffé, couvrant la majorité des secteurs de la coopération tels que la finance et la fiscalité, la santé, l’agriculture, le commerce et le tourisme.
    b/- Relations Economiques
    1- Coopération Financière
    Le Maroc reste le pays le moins bénéficiaire des financements économiques Chinois destinés à l’Afrique en raison de l’inadéquation de la procédure d’appel d’offre avec les conditions présidant à l’octroi des prêts concessionnels Chinois, qui s’inscrivent dans le cadre de l’aide au développement Sud-Sud.
    A noter dans ce cadre, l’octroi par la Chine à notre pays de sept prêts sans intérêts portant sur un montant global de 477,3 millions DH (construction du complexe sportif Moulay Abdellah à Rabat, de trois piscines couvertes dans les villes de Fès, Marrakech et Kénitra, de polycliniques et de petits barrages).
    En outre, China EximBank a concédé, en avril 2011, une ligne de crédit à hauteur de 2,108 milliards de DH, pour le financement des travaux de l’autoroute Berrechid-Beni Mellal, avec un taux d’intérêt de 2%.
    La Banque d’Etat China Development Bank a octroyé une ligne de crédit de 150 Millions US$ (1,2 Milliard DH), dont 50 Millions US $ (425 millions de DH) à la BMCE, en avril 2011, au profit de la PME opérant dans le secteur de l’Export.
    Au titre de l’année 2010, le montant global des dons octroyés à notre pays est évalué à 164 millions de dirhams, alors que le montant cumulé pour les années 2011, 2012 et 2013 a été de l’ordre de 154,12 millions de DH.
    2- Les Principales Entreprises Chinoises Opérant au Maroc
    L’investissement Chinois au Maroc demeure globalement modeste. Le montant cumulé des investissements Chinois ne dépasse guère, selon les meilleures estimations, les 180 millions de dollars US.
    – Le groupe Huawei, fournisseur de solutions de réseau de télécommunications, est équipementier des grands opérateurs nationaux dont Maroc Telecom, Inwi et Méditel, a implanté au Maroc plus de 200 projets en télécommunications, transport et éducation. En 2010, la filiale marocaine « Huawei technologies Morocco » a réalisé 200 millions de dollars en termes de revenu des ventes, dont 80 % grâce aux télécoms.
    Cette société chinoise a mis en place un Centre de formation dans le domaine des télécommunications « Huawei Morocco Academy », à vocation régionale, destiné aux pays africains francophones, avec un investissement de 60 millions de DH. Ce Centre est le 3ème plus grand de Huawei, après ceux implantés en Chine et en Malaisie ;
    – ZTE Corporation est l’un des principaux constructeurs d’équipements de télécommunications en Chine et fournisseur mondial des solutions réseaux. ZTE fourni ce genre de matériel et de services aux trois opérateurs nationaux ;
    – China Overseas Engineering Corporation (Covec) et Sinohydro sont des sociétés Chinoises opérant au Maroc dans le domaine de construction d’infrastructures, dont notamment les autoroutes ;
    – China Railway major bridge engineering co. Ltd opérant au Maroc dans le cadre du projet de l’autoroute de contournement de Rabat ;
    – SEPCO III (Shandong electric power construction corporation) à laquelle a été confiée récemment le projet d’extension de la centrale thermique de Jerada. Ce projet prévoit la construction d’un nouveau groupe thermique d’une puissance de 318 MW ;
    – Le Groupe chinois « Hangzhou Ding Li Copper Co., Ltd » a crée, en 2011, une filiale à Casablanca « Cathay Atlantic Mining Ltd. Sarlau ». Il a obtenu un permis de recherche et d’exploitation d’une mine de cuivre à Tansrift, Ouaouizerth région de Béni Mellal, pour une période de 4 ans. Le montant de cet investissement est estimé à 255 millions DH. La mise en œuvre de ce projet pourrait générer 150 emplois directs au Maroc ;
    La société HAIER, spécialisée en équipements électroménagers, a conclu un partenariat avec la société Yakelectronics (Groupe Raji), pour développer une unité de production au Maroc.
    3- Echanges commerciaux
    Ils sont marqués par un grand déficit chronique et structurel au détriment du Maroc.
    Le Volume Global des Echanges Commerciaux a connu, à fin 2013, un accroissement de 4,3%, en glissement annuel, en passant à 29.21 milliards de dirhams, contre 27,98 milliards de dirhams, enregistré en 2012  et ce, sachant que la balance commerciale bilatérale reste déficitaire au détriment du Maroc et que la Chine occupe le rang de 3ème fournisseur du Maroc.
    Les exportations Marocaines vers le Chine qui étaient, en 2012, de l’ordre de 2,4 milliards de dirhams ont été portées à 2,9 milliards de dirhams, en 2013, enregistrant de la sorte une augmentation de 20 %.
    Les importations Marocaines de la Chine qui se sont chiffrées, en 2012, à 25,58 milliards de dirhams ont atteint 26,31 milliards de dirhams, en 2013, soit une faible augmentation de l’ordre de 2,8 %.
    Les exportations Marocaines sont constituées principalement de minerais et de leurs concentrés et débris, de circuits intégrés, de phosphates et de produits de la mer, alors que les importations Marocaines sont composées essentiellement de machines et d’appareils électriques, de textiles, de produits manufacturés divers, de thé vert et d’équipements de transport.
    c/- Echanges Humains
    1- Tourime
    Caractérisé par sa faiblesse, le nombre de touristes Chinois ayant visité le Maroc en 2013 est estimé à 8000. En 2012, la Chine a dépensé 102 milliards de dollars US et ce, sachant que d’ici 2020, ce pays sera émetteur d’environ 100 millions de touristes qui visiteront une destination internationale.
    2- Coopération Décentralisée
    Signature d’une convention de coopération entre la Région de Chaouia-Ouardigha et la Région chinoise musulmane autonome Hui du Ningxia (23 mai 2011), ainsi que d’Accords de Jumelage entre Fès et Wuxi, Casablanca et Shanghai, Tanger et Qingdao, Mohammedia et Jiangyin et Meknès et Huzhou.
    d/- Coopération Technique
    1- Formation
    En 2011, 22 hauts responsables marocains ont bénéficié d’un programme de formation en Chine, sur la mise en place et la gestion des parcs industriels,  de même que 53 cadres marocains ont participé en Chine à des séminaires/stages/ateliers portant sur différentes thématiques (technologies nouvelles, énergies renouvelables, administration publique etc. …). en 2012, 97 cadres marocains ont en bénéficié.
    2- Santé

    Soutien technique par l’envoi d’une Mission Médicale Chinoise au Maroc. Depuis 1975, le Maroc a accueilli 137 équipes médicales, totalisant 1500 cadres médicaux, toutes spécialités confondues. Actuellement, 8 équipes sont affectées au Maroc, composées de 79 médecins spécialistes. Ces équipes opèrent dans les régions éloignées des provinces de Settat, Benguérir, Meknès, Mohammedia, Er-Rachidia, Agadir, Chefchaouen et Taza.