Auteur/autrice : mahembarec

  • Maroc-Nokia: Conflit à cause d’une carte du Maroc qui exclue le Sahara Occidental

    Selon le journal digital espagnol ADN Maroc Telecom a vendu au Maroc, il y a plus d’un an, des téléphones portables Nokia de dernière génération avec un GPS qui n’inclut pas le Sahara Occidental dans la carte du Maroc. Le Ministère de l’Industrie marocain avait décidé, à l’époque, de les retirer du marché et appelé ceux qui l’ont déjà acheté pour leur proposer de le changer.

    Un groupe d’agents de la DST marocaine qui se font appeler Association Sahara Marocain ont demandé des excuses de Nokia pour avoir commercialisé ces appareils « défectueux ».

    Des sources de la filiale finlandaise au Maroc ont décliné se prononcer sur l’affaire, alors que le siège de l’entreprise pour le Proche Orient et l’Afrique, à Dubaï, ont assuré ne pas être au courant de l’affaire.

    Ce n’est pas la première fois qu’une entreprise internationale se voit impliquée dans une polémique similaire à cause du conflit du Sahara Occidental. En 2008, la filiale de Mac Donald avait retiré des jouets qui étaient distribués dans ses menus pour les enfants parce qu’ils portaient une carte qui excluait le Sahara Occidental dans la carte marocaine.

  • A Malaga, un homme trouvé calciné dans le moteur d’un camion provenant du Maroc

    A Benalmádena (Málaga)
     

    Trouvé un homme calciné dans le creux du moteur d’un camion

    MÁLAGA, 12 Mar. (EUROPA PRESS)

    Le camion qui a pris feu sue l’A-7, à la hauteur de la municipalité malaguène de Benalmádena (Malaga), dans lequel ils ont trouvé le corps calciné d’une personne, venait de Tanger (Maroc), a signalé le Corps National de Police, qui a pris en charge l’enquête sur l’affaire.

    Ainsi, les sources cités ci-dessus ont précisé à Europa Press que le camion a fait le trajet Tanger – Algésiras (Cadix), et lors de son passage à Benalmádena il a pris feu, en trouvant le corps sans vie de cette personne dans le creux du moteur. Le conducteur du camion, dont les déclarations ont déjà été prises, s’en est sorti sauf.

    La ligne Urgences 112 Andalousie a informé qu’autour des 22.10 heures, elle a reçu de nombreux appels de personnes alertant qu’un camion avait pris feu dans le kilomètre 220 de l’autoroute A-7, direcgtion Malaga. 

    Europe Press

  • Maroc-Nokia: Conflit à cause d’une carte du Maroc qui exclue le Sahara Occidental

    Selon le journal digital espagnol ADN Maroc Telecom a vendu au Maroc, il y a plus d’un an, des téléphones portables Nokia de dernière génération avec un GPS qui n’inclut pas le Sahara Occidental dans la carte du Maroc. Le Ministère de l’Industrie marocain avait décidé, à l’époque, de les retirer du marché et appelé ceux qui l’ont déjà acheté pour leur proposer de le changer.

    Un groupe d’agents de la DST marocaine qui se font appeler Association Sahara Marocain ont demandé des excuses de Nokia pour avoir commercialisé ces appareils « défectueux ».

    Des sources de la filiale finlandaise au Maroc ont décliné se prononcer sur l’affaire, alors que le siège de l’entreprise pour le Proche Orient et l’Afrique, à Dubaï, ont assuré ne pas être au courant de l’affaire.

    Ce n’est pas la première fois qu’une entreprise internationale se voit impliquée dans une polémique similaire à cause du conflit du Sahara Occidental. En 2008, la filiale de Mac Donald avait retiré des jouets qui étaient distribués dans ses menus pour les enfants parce qu’ils portaient une carte qui excluait le Sahara Occidental dans la carte marocaine.

  • A Malaga, un homme trouvé calciné dans le moteur d’un camion provenant du Maroc

    A Benalmádena (Málaga)
     

    Trouvé un homme calciné dans le creux du moteur d’un camion

    MÁLAGA, 12 Mar. (EUROPA PRESS)

    Le camion qui a pris feu sue l’A-7, à la hauteur de la municipalité malaguène de Benalmádena (Malaga), dans lequel ils ont trouvé le corps calciné d’une personne, venait de Tanger (Maroc), a signalé le Corps National de Police, qui a pris en charge l’enquête sur l’affaire.

    Ainsi, les sources cités ci-dessus ont précisé à Europa Press que le camion a fait le trajet Tanger – Algésiras (Cadix), et lors de son passage à Benalmádena il a pris feu, en trouvant le corps sans vie de cette personne dans le creux du moteur. Le conducteur du camion, dont les déclarations ont déjà été prises, s’en est sorti sauf.

    La ligne Urgences 112 Andalousie a informé qu’autour des 22.10 heures, elle a reçu de nombreux appels de personnes alertant qu’un camion avait pris feu dans le kilomètre 220 de l’autoroute A-7, direcgtion Malaga. 

    Europe Press

  • Le Maroc négocie avec la junte militaire du Niger l’accueil de Tandja

    Peu de temps après le coup d’Etat du 18 février, et suite à la visite d’une délégation marocaine qui a rencontré la junte militaire, certaines sources ont dit que Mamadou Tandja pourrait être envoyé à l’exil au Maroc. Au fur et à mesure que la nouvelle trouvait écho dans les médias, le gouvernement de Rabat a été forcé à déclarer qu’il n’avait aucun plan dans ce sens.

    La captivité de Tandja suppose un risque pour l’image du nouveau pouvoir à Niamey qui ne sait pas quoi faire avec le puissant leader précédent. Mais le Maroc est un partenaire facile pour demander cette faveur. Le royaume est connu pour avoir accueilli généreusement des dirigeants africains délogés et en plus c’est le seul pays africain qui n’est pas membre de l’Union Africaine. Celle-ci est à l’origine de plus en plus de problèmes pour la junte de Niger. A titre d’exemple, hier, le leader du corps de paix et de sécurité Ramdane Lamamra a exigé la libération de Tandja. « C’est une source constante de préoccupation pour l’Union Africaine. C’est autant une obligation morale que politique », a dit Lamamra après la réunion du Conseil de la Paix et la Sécurité de l’Union Africaine à Addis Abeba.

    Hier, Mohamed VI a reçu à Tétouan une délégation de haut niveau de la junte militaire, en présence de son Ministre des Affaires Etrangères, Taib Fassi Fihri. La délégation du Niger était dirigée par le colonel Hassan Moussi, membre influent de la junte, le lieutenant-colonel Chaibou Idrissa et le ministre de l’Education au Niger, Mahamane Laouali Dan Dah, en qualité de porte-parole du leader de la junte et président Salou Djibo.

    Convaincre le roi de Mohamed VI d’accueillir Tandja ne sera pas une tâche difficile. Il suffit de soutenir ses thèses pour l’annexion du Sahara Occidental pour obtenir tous ses faveurs.

  • Des instances latino-américaines des droits de l’homme condamnent la répression marocaine contre les sahraouis

    Chahid ElHafed.- Plusieurs instances activant dans le domaine des droits de l’Homme en Amérique Latine ont condamné la répression exercée par les autorités d’occupation marocaines dans les villes occupées d’El Aaiun et de Dakhla.

    Dans un communiqué parvenu à SPS, la Coordination populaire des droits de l’homme à Panama a dénoncé les actes de répression commis contre un groupe de militants et de manifestants sahraouis dans les villes occupées d’El Aaiun et de Dakhla.

    Cette instance humanitaire a appelé le gouvernement marocain à respecter la souveraineté de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et la communauté internationale à condamner le gouvernement marocain pour les dernières violations commises à l’encontre du peuple sahraoui en exerçant une pression sur Rabat pour l’amener à respecter les libertés et les droits de l’homme au Sahara Occidental et libérer les prisonniers politiques sahraouis.

    A Buenos Aires, capitale de l’Argentine, la Conférence internationale des droits de l’homme et de la démocratie a condamné « la répression barbare » subie par les citoyens sahraouis à El Aaiun lorsqu’ils avaient reçu un groupe de militants des droits de l’hommes venus des camps de réfugiés sahraouis et des territoires libérés de la RASD.

    Les conférenciers ont écouté une communication de l’ambassadeur sahraoui chargé de mission, M. Mohamed Salem Hamada qui a informé les personnes présentes des actes de répression ayant ciblé les manifestants sahraouis à El Aaiuun et Dakhla, a indiqué la Représentation du Front Polisario en Argentine.

    D’autre part, le parlement chilien a « vigoureusement » condamné les actes de violence commis par les forces d’occupation marocaine dans ces deux villes, selon un communiqué de la mission sahraouie au Chili.

    Les parlementaires chiliens ont exprimé leur « stupéfaction » après avoir visionné « des photos atroces » retransmises par les médias internationaux appelant le gouvernement chilien à « agir » immédiatement et à demander à Rabat des explications sur « ces actes barbares » commis contre les sahraouis notamment les militants des droits de l’homme, rappelle-t-on.

    Ils ont également appelé leur gouvernement à informer toutes les organisations -notamment celles dont le Chili est membre- des violations commises contre les droits de l’homme et qui ont fait des victimes parmi les détenus d’opinion dans les prisons marocaines. (SPS)

  • Le Maroc négocie avec la junte militaire du Niger l’accueil de Tandja

    Peu de temps après le coup d’Etat du 18 février, et suite à la visite d’une délégation marocaine qui a rencontré la junte militaire, certaines sources ont dit que Mamadou Tandja pourrait être envoyé à l’exil au Maroc. Au fur et à mesure que la nouvelle trouvait écho dans les médias, le gouvernement de Rabat a été forcé à déclarer qu’il n’avait aucun plan dans ce sens.

    La captivité de Tandja suppose un risque pour l’image du nouveau pouvoir à Niamey qui ne sait pas quoi faire avec le puissant leader précédent. Mais le Maroc est un partenaire facile pour demander cette faveur. Le royaume est connu pour avoir accueilli généreusement des dirigeants africains délogés et en plus c’est le seul pays africain qui n’est pas membre de l’Union Africaine. Celle-ci est à l’origine de plus en plus de problèmes pour la junte de Niger. A titre d’exemple, hier, le leader du corps de paix et de sécurité Ramdane Lamamra a exigé la libération de Tandja. « C’est une source constante de préoccupation pour l’Union Africaine. C’est autant une obligation morale que politique », a dit Lamamra après la réunion du Conseil de la Paix et la Sécurité de l’Union Africaine à Addis Abeba.

    Hier, Mohamed VI a reçu à Tétouan une délégation de haut niveau de la junte militaire, en présence de son Ministre des Affaires Etrangères, Taib Fassi Fihri. La délégation du Niger était dirigée par le colonel Hassan Moussi, membre influent de la junte, le lieutenant-colonel Chaibou Idrissa et le ministre de l’Education au Niger, Mahamane Laouali Dan Dah, en qualité de porte-parole du leader de la junte et président Salou Djibo.

    Convaincre le roi de Mohamed VI d’accueillir Tandja ne sera pas une tâche difficile. Il suffit de soutenir ses thèses pour l’annexion du Sahara Occidental pour obtenir tous ses faveurs.

  • Des instances latino-américaines des droits de l’homme condamnent la répression marocaine contre les sahraouis

    Chahid ElHafed.- Plusieurs instances activant dans le domaine des droits de l’Homme en Amérique Latine ont condamné la répression exercée par les autorités d’occupation marocaines dans les villes occupées d’El Aaiun et de Dakhla.

    Dans un communiqué parvenu à SPS, la Coordination populaire des droits de l’homme à Panama a dénoncé les actes de répression commis contre un groupe de militants et de manifestants sahraouis dans les villes occupées d’El Aaiun et de Dakhla.

    Cette instance humanitaire a appelé le gouvernement marocain à respecter la souveraineté de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et la communauté internationale à condamner le gouvernement marocain pour les dernières violations commises à l’encontre du peuple sahraoui en exerçant une pression sur Rabat pour l’amener à respecter les libertés et les droits de l’homme au Sahara Occidental et libérer les prisonniers politiques sahraouis.

    A Buenos Aires, capitale de l’Argentine, la Conférence internationale des droits de l’homme et de la démocratie a condamné « la répression barbare » subie par les citoyens sahraouis à El Aaiun lorsqu’ils avaient reçu un groupe de militants des droits de l’hommes venus des camps de réfugiés sahraouis et des territoires libérés de la RASD.

    Les conférenciers ont écouté une communication de l’ambassadeur sahraoui chargé de mission, M. Mohamed Salem Hamada qui a informé les personnes présentes des actes de répression ayant ciblé les manifestants sahraouis à El Aaiuun et Dakhla, a indiqué la Représentation du Front Polisario en Argentine.

    D’autre part, le parlement chilien a « vigoureusement » condamné les actes de violence commis par les forces d’occupation marocaine dans ces deux villes, selon un communiqué de la mission sahraouie au Chili.

    Les parlementaires chiliens ont exprimé leur « stupéfaction » après avoir visionné « des photos atroces » retransmises par les médias internationaux appelant le gouvernement chilien à « agir » immédiatement et à demander à Rabat des explications sur « ces actes barbares » commis contre les sahraouis notamment les militants des droits de l’homme, rappelle-t-on.

    Ils ont également appelé leur gouvernement à informer toutes les organisations -notamment celles dont le Chili est membre- des violations commises contre les droits de l’homme et qui ont fait des victimes parmi les détenus d’opinion dans les prisons marocaines. (SPS)

  • Le Parlement péruvien condamne la répression  »brutale » marocaine dans les territoires occupés du Sahara Occidental

    Lima, 12/03/2010 (SPS) Le Parlement de la République du Pérou a condamné jeudi dans une motion la « brutale » répression marocaines dans les territoires sahraouis occupés, appelant le Gouvernement de son pays de solliciter auprès de l’ONU, l’envoi « en urgence » d’une mission pour enquêter sur les violations des droits humains commises par le Maroc contre les civils sahraouis dans les zones occupées du Sahara Occidental.

    Le Parlement péruvien a « approuvé » jeudi dans une session plénière sa condamnation des incidents « du 8 et 9 mars dans les villes occupées de Dakhla et El Aaiun » dans lesquels la police marocaine aurait « brutalement réprimées » les civils sahraouis qui venaient accueillir des militants des droits humains de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis.

    La motion, déposée par 12 députés de différentes formations politiques, demande également au président de la République, « d’exprimer au royaume du Maroc sa profonde préoccupation face à la brutale répression contre la population sahraouie dans les territoires occupés » du Sahara Occidental.

    Elle exige enfin, le respect total des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental et l’ »urgence » de la mise en place d’un mécanisme onusien pour la protection et la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés par le Maroc. (SPS).

  • Le Parlement péruvien condamne la répression  »brutale » marocaine dans les territoires occupés du Sahara Occidental

    Lima, 12/03/2010 (SPS) Le Parlement de la République du Pérou a condamné jeudi dans une motion la « brutale » répression marocaines dans les territoires sahraouis occupés, appelant le Gouvernement de son pays de solliciter auprès de l’ONU, l’envoi « en urgence » d’une mission pour enquêter sur les violations des droits humains commises par le Maroc contre les civils sahraouis dans les zones occupées du Sahara Occidental.

    Le Parlement péruvien a « approuvé » jeudi dans une session plénière sa condamnation des incidents « du 8 et 9 mars dans les villes occupées de Dakhla et El Aaiun » dans lesquels la police marocaine aurait « brutalement réprimées » les civils sahraouis qui venaient accueillir des militants des droits humains de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis.

    La motion, déposée par 12 députés de différentes formations politiques, demande également au président de la République, « d’exprimer au royaume du Maroc sa profonde préoccupation face à la brutale répression contre la population sahraouie dans les territoires occupés » du Sahara Occidental.

    Elle exige enfin, le respect total des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental et l’ »urgence » de la mise en place d’un mécanisme onusien pour la protection et la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés par le Maroc. (SPS).