Auteur/autrice : mahembarec

  • Sahel : La vérité sur le terrain dément les dépêches de la MAP

    Le Maroc, depuis quelques années, essaient de s’imposer comme partie concernée dans la région du Sahel. Les dépêches de la MAP ne cessent de dessiner au royaume voisin un rôle qui n’existe que dans la mythomanie de cette agence, alors que ce pays ne fait même pas partie de cette région. Les autorités marocaines sont jalouses du rôle joué par l’Algérie, véritable avantgarde des intérêts des peuples de la région. Fayçal Abdelghani nous trace un dessin de la situation dans « Le Jeune Indépendant« .

    Sécheresse et crise alimentaire au Sahel

    Des millions de personnes

    Les pays du Sahel vivent une situation dramatique, la plus grave depuis une décennie. La sécheresse qui s’amplifie dans la région s’ajoute au climat d’insécurité et à l’absence de perspectives de développement économique. La menace s’intensifie et risque de peser lourd si les Etats sahéliens ne se déploient pas rapidement avec leurs propres moyens pour sauver les populations. En tout cas, les différents rapports dressent un constat alarmant sur la sécheresse qui affecte le corridor sahélien depuis plus de 20 ans.

    L’un des derniers rapports émanant du comité inter-Etats sahéliens de lutte contre la sécheresse (CILSS) déplore que «70 % de la partie saharo-sahélienne reçoive moins de 300 mm de pluie en moyenne annuellement alors que 25 % de ces pays n’enregistrent qu’entre 300 et 750 mm». Une situation qui affecte durablement les contrées désertiques où les points d’eau sont rares, sauf dans la région est du Soudan où les précipitations peuvent atteindre 1 200 mm par an. Les experts sahéliens, réunis le 25 mars dernier à Ouagadougou, ont alerté les autorités de ces Etats pour «mettre plus de moyens dans les projets d’appui en matière de ressources hydriques en tablant sur les moyens satellitaires de détection de nappes phréatiques».
    Il convient de noter à ce propos que les pays sahéliens comptent maintenant sur les moyens satellitaires pour explorer d’éventuelles nappes phréatiques. L’Algérie dispose, pour l’heure, d’un satellite efficace pour identifier les besoins d’eau dans la région désertique. Elle serait sur le point d’aider ces pays dans le cadre d’une convention globale qui engagerait tous les intéressés.
    Il convient de noter par ailleurs qu’à ce niveau les aides des Etats sahéliens ont profité d’un projet d’accompagnement de l’Algérie pour la création de forages et de bassins de captage d’eau au Mali et au Niger.
    Ce projet, qui a obtenu un succès certain, selon des responsables algériens, serait sur le point d’être généralisé au reste des pays. Cependant, on évoquerait davantage «la prise en charge d’un cadre partenarial de sous-régions et de régions avec plus de financements dans les projet structurants». A ce niveau, les spécialistes réitèrent leur recommandation de «réactiver le projet de muraille verte dont le financement est assuré par tous les Etats de la région». Un projet qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la désertification.

    La région menacée d’implosion
    Le nombre des populations menacées par la famine ne cesse de s’amplifier dans la mesure où 1,7 million d’habitants entre le Niger, l’est du Mali et le Tchad se déplacent vers le Nord à la recherche de contrées plus clémentes. Le CILSS, réuni jeudi dernier à Lomé (Togo), a estimé que la situation nutritionnelle dans certains pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest est très inquiétante au point que «la production céréalière de 16 millions de tonnes a reculé cette année de 9 %».
    Conséquence : près de 2 millions de personnes au Tchad et 2,7 millions au Niger ont besoin d’une assistance d’urgence. Les pays de la région ont souhaité que les «pays interviennent pour développer des actions d’urgence en facilitant l’accès à l’eau et pour prévenir les conflits qui pourraient naître». Si certains veulent travailler dans un cadre régional, d’autres souhaitent élargir cette aide aux pays d’Europe tels que la France, l’Italie, la Grande-Bretagne…, voire une implication internationale.
    Et l’on sait que ces interventions ne sont jamais neutres, du moment que les pays puissants chercheraient des prétextes pour asseoir une présence militaire sous le label humanitaire.

  • WSRW demande à l’ONU de surveiller les droits humains et d’arrêter le pillage au Sahara Occidental

    Bruxelles.- Western Sahara Resource Watch (WSRW) a demandé au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon de souligner notamment la nécessité d’adapter le mandat de la MINURSO pour qu’il inclut les droits de l’homme dans le rapport sur la situation au Sahara Occidental qu’il doit présenter durant le mois en cours au Conseil de Sécurité.

    « Nous demandons que vous souligniez dans votre rapport, sur la situation au Sahara Occidental, la nécessité pour le mandat de la MINURSO à être adapté pour inclure la capacité de surveiller les droits humains, et d’en rendre compte directement au Conseil de Sécurité de l’ONU », écrit WSRW dans une lettre adressée à Ban Ki-Moon, à la veille de l’examen par le Conseil de sécurité du renouvellement du mandat de la MINURSO.

    « Il a été largement démontré que la population civile du territoire non autonome du Sahara Occidental est l’objet de diverses atteintes aux droits humains, comme la détention arbitraire, les coups et les tortures.

    L’ONU a une obligation d’accepter comme une mission sacrée de protéger les populations contre de tels abus en attendant l’organisation d’un référendum d’autodétermination équitable, en conformité avec les résolutions de l’Assemblée générale des Nations unies, le Conseil de sécurité et de l’Union africaine », a souligné la même source.

    Elle rappelle que la MINURSO est la seule mission des Nations Unies mise en place depuis 1978 sans mandat de surveiller les droits de l’homme. « Il n’y a aucune raison qu’elle doit rester l’exception à la règle », soutient WSRW.

    En deuxième lieu, l’ONG internationale, qui regroupe des organisations de 35 pays, demande « instamment » à Ban Ki-moon d’inscrire dans son rapport la nécessité de lutter contre l’exploitation continue et illégale du Maroc des ressources naturelles du Sahara Occidental.
    « Un vol qui continue de miner la confiance entre les parties, et en tant que tel, un obstacle majeur à la résolution de ce différend de longue date », a-t-elle conclu. 

    (SPS) 02/04/2010 
  • Au Sahara Occidental. La marche contre le mur marocain clôre sans incidents

    Plus de 2.000 activistes internationaux, plusieurs d’eux provenant de l’Espagne, ont formé dans le matin de ce vendredi une chaîne humaine en face du mur construit par le Maroc dans le Sahara Occidental, une action annuelle pour dénoncer l’occupation marocaine qui cette fois-ci a fini sans incidents. Durant la réalisation de la Colonne des Mille de 2009 deux jeunes sahraouis ont été blessés par l’explosion d’une mine enterrée devant le mur gardé par des militaires marocains.



    L’initiative, que cette année accomplit sa troisième édition, essaie de rendre à l’actualité un conflit enkysté depuyis 1975, lorsque le Maroc a envahi la colonie espagnole.

    « L’acte a été réalisé d’une manière pacifique et sans incidents grâce à la collaboration de tous et au fait que l’organisation du Front Polisario a maintenu un périmètre de sûreté plus ample qu’en 2009 », a informé l’organisation « Colonne 2010 » dans un communiqué.

    L’acte central de l’initiative, qui amène des milliers des Espagnols à passer quelques jours aux camps de réfugiés sahraouis de Tinduf (Algérie), est la réalisation de cette chaîne humaine en face du mur, « un symbole de l’occupation, où à côté des réfugiés sahraouis, nous construirons Le Mur de la Dignité, un mur d’espérance formé par 34 drapeaux sahraouis qui sera ouvert à tous et qui restera en face du mur militaire marocain ».

    « En face du mur de la honte construit par le Maroc, le plus long mur du monde avec 2700 kilomètres et plus de 8 millions de mines antipersonnes, la Colonne 2010 a levé le « Mur de la Dignité ». Un mur formé par 34 drapeaux sahraouis, une par chaque année de lutte et d’exil », l’on explique.

    Ont participé à l’acte des sahraouis et des Espagnols, en plus de citoyens de nationalités différentes comme des Portugais, des Anglais et des Américains. On a aussi compté sur la participation de quelques activistes sahraouis des Droits humains provenant des territoires occupés du Sahara Occidental.

    Europa Press , 2/4/2010 

  • Plus d’un millier de personnes forment une chaîne humaine pour dénoncer le « mur de la honte »

    Bir Lehlu (territoires libérés), 03/03/2010 (SPS) Plus d’un millier de personnes venues de plusieurs pays européens, dont l’Espagne, ont formé vendredi une immense chaîne humaine face à un tronçon du « mur de la honte », près de Mahbès (Sud-est) érigé par le Maroc au Sahara Occidental, pour demander le démantèlement de ce « symbole de la colonisation ».

    En organisant cette initiative, connue sous le nom de la « Colonne des 1.000 » pour la troisième année consécutive, les organisateurs entendent « dénoncer de nouveau l’occupation marocaine du Sahara occidental et ce mur de la honte qui sépare le peuple sahraoui et qui symbolise la poursuite du conflit », expliquent les organisateurs.

    « 34 ans se sont écoulés depuis que le Maroc a occupé par la force ce territoire, ouvrant ainsi un conflit qui continue sans aboutir à une solution juste et définitive, avec des familles sahraouies séparées : une partie demeure expulsée de sa terre vivant dans des conditions précaires dans des camps de réfugiés, et l’autre continue de souffrir des affres de l’occupation et de la répression marocaine », ajoutent-ils dans un communiqué.

    « Ces familles vivent séparées par le mur de la honte, le plus long du monde avec plus de 2.500 Km, ses barbelés, ses millions de mines antipersonnel et une armée d’occupation derrière », a dénoncé la « Colonne des 1.000 », une initiative créée en 2008 par des étudiants de l’université Complutense de Madrid pour soutenir le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.

    Outre l’organisation d’une chaîne humaine pour revendiquer un « Sahara occidental sans murs et sans mines, libre et indépendant », les participants ont également procédé à la « construction du mur de la dignité, un mur d’espoir formé de 35 drapeaux sahraouis qui sera ouvert à tous et qui restera face au mur militarisé marocain ».

    La manifestation a également compté avec la participation des 12 activistes sahraouis des droits humains venus des territoires occupés, au terme d’une visite dans les camps de réfugiés sahraoui qu’ils ont terminé vendredi et aussi avec les cyclistes participant à la course de solidarité de vélos qui a sillonné la partie est des territoires sahraouis libérés jusqu’à Tifariti, parallèlement avec ce rempart militaire. (SPS)

  • Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » appelle à la libération des détenus politiques sahraouis

    Casablanca (Maroc).- Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » a appelé le pouvoir en place dans son pays à libérer tous les détenus politiques sahraouis et à arrêter toutes les poursuites judiciaires « injustes » à leur encontre, indique un communiqué du parti .


    Le secrétariat national du parti a appelé, selon le communiqué, à « la poursuite des négociations directes entre le Maroc et le front Polisario sur la base du principe de l’autodétermination et la recherche incessante d’une solution politique qui évite à la région les affres d’une guerre ».


    Le secrétariat national du parti, a ajouté le communiqué, a relevé plusieurs questions politiques dont la dernière visite de l’envoyé onusien chargé du Sahara Occidental, M. Christopher Ross, dans la région dans la perspective d’élaborer un rapport au Conseil de sécurité au cours du mois en cours. Le parti a dénoncé « les campagnes de répression sauvage, les procès politiques et les manœuvres auxquels se heurtent les revendications légitimes des différentes couches sociales », passant en revue « l’escalade dangereuse de la répression sauvage et les manoeuvres dilatoires avec lesquelles le pouvoir répond à ces luttes légitimes ».

    La même source a souligné « la poursuite des graves scandales liés à la corruption et au pillage des deniers publics qui sont la conséquence de la nature du pouvoir en place au Maroc notamment dans le cadre de la politique d’impunité dans les affaires de crimes politiques et économiques ». 

    (SPS)  2 avr 2010

  • Au Sahara Occidental. La marche contre le mur marocain clôre sans incidents

    Plus de 2.000 activistes internationaux, plusieurs d’eux provenant de l’Espagne, ont formé dans le matin de ce vendredi une chaîne humaine en face du mur construit par le Maroc dans le Sahara Occidental, une action annuelle pour dénoncer l’occupation marocaine qui cette fois-ci a fini sans incidents. Durant la réalisation de la Colonne des Mille de 2009 deux jeunes sahraouis ont été blessés par l’explosion d’une mine enterrée devant le mur gardé par des militaires marocains.



    L’initiative, que cette année accomplit sa troisième édition, essaie de rendre à l’actualité un conflit enkysté depuyis 1975, lorsque le Maroc a envahi la colonie espagnole.

    « L’acte a été réalisé d’une manière pacifique et sans incidents grâce à la collaboration de tous et au fait que l’organisation du Front Polisario a maintenu un périmètre de sûreté plus ample qu’en 2009 », a informé l’organisation « Colonne 2010 » dans un communiqué.

    L’acte central de l’initiative, qui amène des milliers des Espagnols à passer quelques jours aux camps de réfugiés sahraouis de Tinduf (Algérie), est la réalisation de cette chaîne humaine en face du mur, « un symbole de l’occupation, où à côté des réfugiés sahraouis, nous construirons Le Mur de la Dignité, un mur d’espérance formé par 34 drapeaux sahraouis qui sera ouvert à tous et qui restera en face du mur militaire marocain ».

    « En face du mur de la honte construit par le Maroc, le plus long mur du monde avec 2700 kilomètres et plus de 8 millions de mines antipersonnes, la Colonne 2010 a levé le « Mur de la Dignité ». Un mur formé par 34 drapeaux sahraouis, une par chaque année de lutte et d’exil », l’on explique.

    Ont participé à l’acte des sahraouis et des Espagnols, en plus de citoyens de nationalités différentes comme des Portugais, des Anglais et des Américains. On a aussi compté sur la participation de quelques activistes sahraouis des Droits humains provenant des territoires occupés du Sahara Occidental.

    Europa Press , 2/4/2010 

  • Plus d’un millier de personnes forment une chaîne humaine pour dénoncer le "mur de la honte"

    Bir Lehlu (territoires libérés), 03/03/2010 (SPS) Plus d’un millier de personnes venues de plusieurs pays européens, dont l’Espagne, ont formé vendredi une immense chaîne humaine face à un tronçon du « mur de la honte », près de Mahbès (Sud-est) érigé par le Maroc au Sahara Occidental, pour demander le démantèlement de ce « symbole de la colonisation ».

    En organisant cette initiative, connue sous le nom de la « Colonne des 1.000 » pour la troisième année consécutive, les organisateurs entendent « dénoncer de nouveau l’occupation marocaine du Sahara occidental et ce mur de la honte qui sépare le peuple sahraoui et qui symbolise la poursuite du conflit », expliquent les organisateurs.

    « 34 ans se sont écoulés depuis que le Maroc a occupé par la force ce territoire, ouvrant ainsi un conflit qui continue sans aboutir à une solution juste et définitive, avec des familles sahraouies séparées : une partie demeure expulsée de sa terre vivant dans des conditions précaires dans des camps de réfugiés, et l’autre continue de souffrir des affres de l’occupation et de la répression marocaine », ajoutent-ils dans un communiqué.

    « Ces familles vivent séparées par le mur de la honte, le plus long du monde avec plus de 2.500 Km, ses barbelés, ses millions de mines antipersonnel et une armée d’occupation derrière », a dénoncé la « Colonne des 1.000 », une initiative créée en 2008 par des étudiants de l’université Complutense de Madrid pour soutenir le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.

    Outre l’organisation d’une chaîne humaine pour revendiquer un « Sahara occidental sans murs et sans mines, libre et indépendant », les participants ont également procédé à la « construction du mur de la dignité, un mur d’espoir formé de 35 drapeaux sahraouis qui sera ouvert à tous et qui restera face au mur militarisé marocain ».

    La manifestation a également compté avec la participation des 12 activistes sahraouis des droits humains venus des territoires occupés, au terme d’une visite dans les camps de réfugiés sahraoui qu’ils ont terminé vendredi et aussi avec les cyclistes participant à la course de solidarité de vélos qui a sillonné la partie est des territoires sahraouis libérés jusqu’à Tifariti, parallèlement avec ce rempart militaire. (SPS)

  • Plus d’un millier de personnes forment une chaîne humaine pour dénoncer le « mur de la honte »

    Bir Lehlu (territoires libérés), 03/03/2010 (SPS) Plus d’un millier de personnes venues de plusieurs pays européens, dont l’Espagne, ont formé vendredi une immense chaîne humaine face à un tronçon du « mur de la honte », près de Mahbès (Sud-est) érigé par le Maroc au Sahara Occidental, pour demander le démantèlement de ce « symbole de la colonisation ».

    En organisant cette initiative, connue sous le nom de la « Colonne des 1.000 » pour la troisième année consécutive, les organisateurs entendent « dénoncer de nouveau l’occupation marocaine du Sahara occidental et ce mur de la honte qui sépare le peuple sahraoui et qui symbolise la poursuite du conflit », expliquent les organisateurs.

    « 34 ans se sont écoulés depuis que le Maroc a occupé par la force ce territoire, ouvrant ainsi un conflit qui continue sans aboutir à une solution juste et définitive, avec des familles sahraouies séparées : une partie demeure expulsée de sa terre vivant dans des conditions précaires dans des camps de réfugiés, et l’autre continue de souffrir des affres de l’occupation et de la répression marocaine », ajoutent-ils dans un communiqué.

    « Ces familles vivent séparées par le mur de la honte, le plus long du monde avec plus de 2.500 Km, ses barbelés, ses millions de mines antipersonnel et une armée d’occupation derrière », a dénoncé la « Colonne des 1.000 », une initiative créée en 2008 par des étudiants de l’université Complutense de Madrid pour soutenir le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.

    Outre l’organisation d’une chaîne humaine pour revendiquer un « Sahara occidental sans murs et sans mines, libre et indépendant », les participants ont également procédé à la « construction du mur de la dignité, un mur d’espoir formé de 35 drapeaux sahraouis qui sera ouvert à tous et qui restera face au mur militarisé marocain ».

    La manifestation a également compté avec la participation des 12 activistes sahraouis des droits humains venus des territoires occupés, au terme d’une visite dans les camps de réfugiés sahraoui qu’ils ont terminé vendredi et aussi avec les cyclistes participant à la course de solidarité de vélos qui a sillonné la partie est des territoires sahraouis libérés jusqu’à Tifariti, parallèlement avec ce rempart militaire. (SPS)

  • Le parti marocain "Ennahdj Edimocrati" appelle à la libération des détenus politiques sahraouis

    Casablanca (Maroc).- Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » a appelé le pouvoir en place dans son pays à libérer tous les détenus politiques sahraouis et à arrêter toutes les poursuites judiciaires « injustes » à leur encontre, indique un communiqué du parti .


    Le secrétariat national du parti a appelé, selon le communiqué, à « la poursuite des négociations directes entre le Maroc et le front Polisario sur la base du principe de l’autodétermination et la recherche incessante d’une solution politique qui évite à la région les affres d’une guerre ».


    Le secrétariat national du parti, a ajouté le communiqué, a relevé plusieurs questions politiques dont la dernière visite de l’envoyé onusien chargé du Sahara Occidental, M. Christopher Ross, dans la région dans la perspective d’élaborer un rapport au Conseil de sécurité au cours du mois en cours. Le parti a dénoncé « les campagnes de répression sauvage, les procès politiques et les manœuvres auxquels se heurtent les revendications légitimes des différentes couches sociales », passant en revue « l’escalade dangereuse de la répression sauvage et les manoeuvres dilatoires avec lesquelles le pouvoir répond à ces luttes légitimes ».

    La même source a souligné « la poursuite des graves scandales liés à la corruption et au pillage des deniers publics qui sont la conséquence de la nature du pouvoir en place au Maroc notamment dans le cadre de la politique d’impunité dans les affaires de crimes politiques et économiques ». 

    (SPS)  2 avr 2010

  • Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » appelle à la libération des détenus politiques sahraouis

    Casablanca (Maroc).- Le parti marocain « Ennahdj Edimocrati » a appelé le pouvoir en place dans son pays à libérer tous les détenus politiques sahraouis et à arrêter toutes les poursuites judiciaires « injustes » à leur encontre, indique un communiqué du parti .


    Le secrétariat national du parti a appelé, selon le communiqué, à « la poursuite des négociations directes entre le Maroc et le front Polisario sur la base du principe de l’autodétermination et la recherche incessante d’une solution politique qui évite à la région les affres d’une guerre ».


    Le secrétariat national du parti, a ajouté le communiqué, a relevé plusieurs questions politiques dont la dernière visite de l’envoyé onusien chargé du Sahara Occidental, M. Christopher Ross, dans la région dans la perspective d’élaborer un rapport au Conseil de sécurité au cours du mois en cours. Le parti a dénoncé « les campagnes de répression sauvage, les procès politiques et les manœuvres auxquels se heurtent les revendications légitimes des différentes couches sociales », passant en revue « l’escalade dangereuse de la répression sauvage et les manoeuvres dilatoires avec lesquelles le pouvoir répond à ces luttes légitimes ».

    La même source a souligné « la poursuite des graves scandales liés à la corruption et au pillage des deniers publics qui sont la conséquence de la nature du pouvoir en place au Maroc notamment dans le cadre de la politique d’impunité dans les affaires de crimes politiques et économiques ». 

    (SPS)  2 avr 2010