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Mois : mars 2016

  • Sahara occidental : et si derrière Ban Ki-moon se profilaient les Etats-Unis ?

    LE BRAS DE FER se poursuit entre l’ONU et un Palais royal de plus en plus fébrile. Rabat persiste en effet dans sa politique de fuite en avant. Dernier geste impulsif en date, la réclamation de la fermeture d’un bureau de liaison militaire de la Minurso à Dakhla, dans le Sahara occidental occupé. Cette nouvelle crispation intervient après l’expulsion la veille de 83 membres du personnel de la mission onusienne. Un précédent grave depuis la création en 1991 de la Mission de l’ONU au Sahara occidental où «jamais auparavant l’aspect militaire de la mission n’avait été ciblé», selon le porte-parole du SG des Nations unies qui parle d’escalade. 
    Cette attitude intempestive du palais Royal a eu le don d’irriter la représentante permanente des Etats-Unis à l’ONU, Samantha Power, qui s’est insurgée à son tour devant le Conseil de sécurité, contre le fait «d’utiliser les missions de maintien à la paix, comme des pions sur un échiquier politique». Et de rappeler que ces missions devraient être en mesure de compléter leurs mandats. Washington y voit donc un précédent dangereux qui pourrait mettre en cause d’autres missions de paix dans d’autres zones de conflit. Et si l’actuelle crise avec Ban Ki-moon ne serait finalement qu’un bras de fer qui cacherait des divergences plus sérieuses entre le Maroc et deux membres influents au Conseil de sécurité, les USA et la Grande-Bretagne ? 
    Le refus ferme du SG de l’ONU d’assouplir ses positions de principe hostiles à Rabat ne serait pas anodin, encore moins une simple coïncidence. Il ne pourrait résulter d’un simple entêtement ou d’un parti-pris de la part du Sud-coréen, sachant que sur le dossier du Sahara occidental, c’est la diplomatie US qui tire les ficelles. C’est Washington qui donne le la diplomatique au sujet de ce conflit vieux de quarante et un ans. 
    Le rôle de l’ONU se limite à accompagner la politique du Département d’Etat qui manœuvre grâce aux leviers diplomatiques que sont les «Envoyés personnels» du SG onusien. Fait notable à relever, sur les trois diplomates nommés à ce poste deux sont américains : James Baker et Christopher Ross. Et même lorsque le Maroc avait retiré sa confiance en Ross en 2012, c’est Colin Powell qui était pressenti pour le remplacer. C’est dire l’intérêt stratégique pour la Maison-Blanche de rester l’acteur majeur sur le dossier du Sahara occidental. Face à une Union européenne affaiblie par son manque de cohésion et une France résolument engagée aux côtés du Maroc, Washington a su imposer sa vision soutenue par Londres. Face à l’impasse historique dans laquelle s’est enlisé le conflit, Washington et Londres pourraient préparer un projet de solution alternatif. Une sorte de troisième voie sous l’aspect d’un fédéralisme beaucoup plus ambitieux que le Plan d’autonomie marocain qui n’est qu’une forme de régionalisation relativement poussée. 
    Après l’épisode tumultueux d’avril 2013, le Maroc s’acheminerait-il vers une nouvelle crise avec les Etats-Unis ? A l’époque, John Kerry avait soumis au Conseil de sécurité un projet de résolution proposant d’élargir le mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. Projet que le Maroc avait réussi à déjouer grâce à ses relais au Pentagone, au lobby juif et à l’Arabie saoudite. Autre coïncidence inquiétante pour le Maroc, les déclarations de Ban Ki-moon interviennent un mois après le voyage dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf de l’ambassadrice des Etats-Unis à Alger. La diplomate était accompagnée par la responsable Afrique au Département d’Etat. On verra encore si les perspectives diplomatiques pour le Maroc s’assombriraient davantage à l’issue de la prochaine visite à Alger du secrétaire d’Etat américain. John Kerry y vient pour la 4e session du dialogue stratégique algéro-américain.
    La Tribune, 24 mars 2016
    24 mars 2016
  • L’isolement du Maroc

    La récente visite du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, au Sahara occidental et à Alger est considérée comme l’aboutissement des efforts visant à redéfinir de nouvelles pistes diplomatiques quant à l’autodétermination du peuple sahraoui. Dans l’intervalle, le Maroc, redoutant les conclusions de cette tournée de Ban Kimoon, après avoir tiré à boulets rouges sur celui-ci, et bien sûr, comme à l’accoutumée, sur l’Algérie, se tourne une fois de plus sur ses supports, Paris et Washington, pour venir à son secours. C’est d’ailleurs ce que vient de faire l’ambassadeur US à Rabat qui, dans une interview à la MAP, exprime le point de vue de son pays sur la question du Sahara. Un parti pris qui n’étonne personne :  » Le plan d’autonomie du Sahara occidental est sérieux, crédible et réaliste « . 
    De tels propos offrent au Makhzen les arguments pour se faciliter sa tâche vis-à-vis du peuple sahraoui. C’est aussi un message pour enrayer les efforts de l’ONU pour résoudre cette question. Washington entend ainsi assumer de façon probante le rôle déterminant qui n’a jamais cessé d’être le sien dans ce conflit, dans le but de garder son hégémonie au Maghreb avec l’appui du Maroc, et ce, tout en restant le tuteur de cette guerre. Mais de-là à imaginer que le référendum d’autodétermination peut-être définitivement enterré, il y a une marge que le Maroc et ses soutiens ont franchi bien imprudemment. Ils s’exposent à être ballottés au gré des incidents et événements de parcours. 
    C’est ainsi que tous ceux qui ont voulu voir dans l’attitude du Maroc contre le SG de l’ONU pour le convaincre de céder sur sa thèse d’autonomie sont obligés de reconnaître, aujourd’hui, que ce manque de respect au SG entre dans le cadre d’une partie très serrée que joue le Makhzen pour ne pas perdre la face. Le palais royal, bradant l’honneur du peuple marocain et reniant ses engagements à négocier avec le Polisario, atteint un point de non-retour conforté par l’Arabie saoudite et sous la supervision de la France et des Etats-Unis. 
    A partir de-là, Ban Ki-moon compte rappeler au Maroc la réalité des rapports de force et le respect de la charte onusienne et lui imposer la nécessité de ne pas se laisser aller encore dans son intransigeance à vouloir coûte que coûte imposer sa thèse d’autonomie au Sahara au détriment du droit international.
    Les observateurs les plus lucides se rendent compte de la portée directe des pressions que l’ONU compte imposer au Makhzen, surtout que Ban Kimoon a déjà le soutien de l’Union européenne et de l’Union africaine en vue de parvenir à la solution d’autodétermination.  Le chef de la division Maghreb à la Commission européenne a déclaré il y a quelques jours :  » La position de l’UE et de ses Etats membres sur le Sahara occidental n’a pas changé d’un iota. Nous réitérons, ici, notre soutien aux efforts du SG de l’ONU en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permettra l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, dans le cadre d’arrangements conformes au but et aux principes énoncés dans la charte des Nations-Unies « . 
    Par ailleurs, dans une tentative ratée de ramener le SG de l’ONU à changer sa position sur ce conflit, le Maroc a annoncé mardi qu’il allait réduire de manière importante la composante civile de la Minurso, en particulier la branche politique et cesser avec effet immédiat sa contribution financière à cette mission. Devant cet état de fait, la présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini-Zuna, a averti que la nouvelle attitude du Maroc relative à ces mesures constituait  » un précédent dangereux qui remet en question le mandat du Conseil de sécurité de l’Onu dans le maintien de la paix et la sécurité dans le monde « . Aussi, a-t-elle prié instamment le Conseil de sécurité de  » réaffirmer le mandat entier de la Minurso, y compris l’organisation d’un référendum d’autodétermination », insistant sur la nécessité pour la communauté internationale de continuer à fournir un appui sans réserve aux efforts déployés par Ban Ki-moon et son Envoyé personnel, Christopher Ross, visant la concrétisation d’une solution au conflit conforme à la légalité internationale. 
    la tribune des lecteurs, 23 mars 2016
    24 mars 2016
  • Western Sahara Action Forum : Le Maroc n’a aucun droit sur les missions de l’ONU au Sahara occidental

    Le Maroc n’a aucun droit sur les mandats des missions de l’ONU dans des territoires qui ne sont pas sous son autorité, et lui permettre de s’autoriser ce droit, serait un grave précédent, a affirmé, hier, à Londres, l’organisation internationale de soutien au Sahara Occidental au Royaume Uni, le « Western Sahara Action Forum » (WSAF). « Le Maroc ne peut pas être autorisé à dicter les mandats de la mission de paix des Nations Unies dans les territoires qui ne sont pas les siens, et le lui permettre serait un précédent dangereux pour la primauté du droit international, à l’exercice du droit à l’autodétermination et au principe de l’intégrité territorial », a affirmé WSAF dans un communiqué adressé à la représentation du Front Polisario à Londres.
    L’Organisation a également exprimé ses « inquiétudes » face à la réaction marocaine après la visite du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon aux camps des réfugiés sahraouis et aux territoires libérés à Bir Lehlou, estimant que l’occupant n’a aucun droit sur les missions onusiennes.
    L’organisation a qualifié la réaction marocaine de « mépris total pour la personnalité de Ban Ki-moon, pour le Conseil de sécurité des Nations unies mais aussi pour le droit international. » L’ONU a confirmé mardi la fermeture de son bureau de liaison militaire à Dakhla dans les territoires sahraouis occupés suite aux nouvelles mesures de rétorsion du Maroc visant la composante militaire de la Mission des Nations unies pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (Minurso).
    Par la fermeture de cette structure, le dialogue entre la Minurso et l’armée marocaine devient presque impossible, avait souligné le porte-parole adjoint de Ban Ki-moon, Farhan Haq, qui a dit attendre une position ferme et claire du Conseil de sécurité pour répondre aux dépassements du Maroc. Auparavant, le Maroc avait expulsé 72 membres civils de la Minurso. M. Haq avait averti que cette décision n’aura pas seulement des répercussions sur la Minurso mais sur toutes les missions de maintien de la paix de l’ONU .
    M. H
    http://www.algerieconfluences.com/?p=52972
    24 mars 2016
  • L’ONU appelle le Maroc à respecter ses obligations legales internationales

    Le porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, Farhan Haq, a déclaré mercredi dans un point de presse que les Nations Unies a envoyé une note verbale au Représentant permanent du Maroc auprès de l’Organisation des Nations Unies, en réponse à la note verbale envoyée par le Gouvernement du Maroc le 16 Mars.

    La note a précisé que le Secrétaire général est profondément préoccupé par les mesures prises récemment par le gouvernement du Maroc qui sont contraires aux obligations légales du Maroc, comme convenu dans le cadre du Statut de l’accord de la Mission pour la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO).
    Cet accord comprend une obligation légale pour le Maroc de veiller à ce que les membres de la MINURSO « auront, à chaque fois que le RSSG le sollicite, avoir le droit d’entrer dans, y résider et partir de la zone de la Mission. »
    Le Bureau exécutif du Secrétaire général demande instamment au gouvernement du Maroc de se conformer immédiatement à ses obligations juridiques internationales en vertu de la Charte des Nations Unies, la Convention générale et le Statut de la MINURSO et travailler ensemble dans un esprit de coopération.
    24 mars 2016
  • Le Sahara Occidental, un conflit gelé depuis 40 ans

    Dans le Sahara occidental, territoire situé au sud du Maroc et revendiqué par celui-ci depuis 1976, l’ONU est confrontée à une impasse diplomatique. Le Maroc contrôle la majorité des terres mais le Front Polisario, soutenu par l’Algérie, réclame l’indépendance. Un conflit qui a fait entre 90 000 et 125 000 réfugiés en quarante ans et ne semble pas prêt de se résoudre tant le royaume chérifien campe sur ses positions.
    Au sud du Maroc se trouve 266 000 m² considérés comme « territoire non autonome » par l’ONU : le Sahara occidental. Depuis le départ des colons espagnols en 1976, aucun statut définitif n’a pu être trouvé puisque ces terres sont revendiquées à la fois par le Maroc – qui administre 80% du territoire – et la République arabe sahraouie démocratique (RASD, non reconnue), proclamée il y a quarante ans par le Front Polisario, mouvement politique et armé créé pour lutter contre l’occupation espagnole. Et depuis quatre décennies, la situation est au point mort et fait grimper les tensions entre le Maroc et l’Algérie, pays voisin qui soutient l’indépendance.
    De l’occupation espagnole à l’annexion marocaine
    En 1884, l’Espagne place le Sahara occidental sous son protectorat. Cette présence dure jusqu’en 1975, année de la mort de Franco. A ce moment-là, les espagnols se retirent unilatéralement. L’ONU le leur demandait depuis dix ans afin de pouvoir engager des discussions avec le Maroc, qui revendiquait le territoire. Mais en 1976, les Sahraouis proclament la RASD, appuyés par l’Algérie. Les Marocains ne reconnaissent pas cette république et entreprennent une annexion de ce territoire. Ils vont faire face à une opposition armée mais, aidés par les USA dans les années 80, ils mettent en place une zone tampon qui court sur plus de 1 000 km avec un dispositif de mines. Commence alors une forme de guerre froide. Une situation qui n’est toujours pas réglée aujourd’hui dans la mesure où tous les acteurs campent sur leurs positions.
    Le Sahara occidental et ses villes principales. Crédit : Gribeco
    Un territoire riche et donc… convoité
    Si le Sahara occidental est un espace désertique, il est également plein de richesses. C’est en partie ce qui explique l’intérêt du Maroc pour ce territoire. L’ayant annexé, le royaume profite déjà grandement de ses ressources. Avec 1200 kilomètres de côtes, la région est l’une des plus poissonneuses au monde. Ce qui a permis au Maroc d’y réaliser 78% de ses captures, pour 17% du PIB des « provinces du Sud », le nom donné par les Marocains au Sahara occidental.
    Un autre enjeu important est celui des phosphates, très présents dans la zone. A l’échelle mondiale, ils sont rares et très recherchés puisque utilisés en agriculture pour les engrais. Grâce aux infrastructures mises en place au Sahara occidental, le Maroc tirait de cette exploitation 6% de son PIB en 2012. Avec le territoire annexé, le royaume comptabilise les plus importantes ressources mondiales.
    De difficiles relations Maroc/Algérie
    Le Maroc et l’Algérie sont rivaux en ce qui concerne la conquête de l’espace saharien. Et ils l’étaient avant même que les Espagnols aient quitté le Sahara occidental. En 1963, les deux pays s’affrontaient déjà dans la guerre des Sables pour délimiter leur frontière dans le Sahara. A cette époque, le Maroc revendique une partie de l’Algérie que le pays nouvellement indépendant n’entend pas céder. Le conflit se joue aussi autour des ressources de l’espace convoité après la découverte d’importants gisements de pétrole et de minerais.
    Après plusieurs mois, le Maroc finit par abandonner ses revendications et une frontière sera tracée. Mais le souvenir de cette guerre reste et c’est pourquoi l’Algérie est aujourd’hui le principal soutien des Sahraouis. Même si la frontière entre les deux est fermée depuis 1994, l’Algérie accueille de nombreux réfugiés.
    Une impossible mission de l’ONU ?
    Les Nations unies sont présentes au Sahara occidental depuis 1991 à travers la Minurso, une mission spéciale qui avait pour mandat d’origine de surveiller le cessez-le-feu et d’organiser un référendum libre pour que les citoyens décident s’ils veulent être Marocains ou indépendants. Mais cette dernière mission a été perdue de vue et l’ONU affirmait en avril 2015 qu’aucune solution politique n’était en vue.
    En effet, difficile de faire avancer le règlement du conflit quand le Maroc fait tout pour préserver le statu quo. Début mars, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, était en visite à Bir Lahlou, dans une zone du Sahara occidental contrôlée par le Front Polisario.
    A cette occasion, il a utilisé le terme « occupé » en parlant de la présence marocaine dans le Sahara. Ce qui n’a pas manqué d’irriter le roi Mohammed VI, qui a annoncé une semaine plus tard la réduction de sa contribution à la Minurso, signe qu’il ne ferait pas d’efforts pour aller vers une résolution du conflit. Le 22 mars, l’ONU annonçait la fermeture de son bureau de liaison militaire à Dakhla, réclamée par Rabat. Un désengagement problématique puisqu’un éventuel accord ne pourra se faire sans volonté marocaine.
    http://chronosmag.fr/2016/03/23/le-sahara-occidental-un-conflit-gele-depuis-quarante-ans/

    24 mars 2016
  • Le roi du Maroc gouverne-t-il la France ? Ses sujets parmi les terroristes, les ministres, les trafiquants, les criminels …

    Le roi du Maroc gouverne-t-il la France ? Ses sujets parmi les terroristes, les ministres, les trafiquants, les criminels …
    Dernière mise à jour le jeudi 07/01/2016
    Un marocain attaque le commissariat du 18ème à Paris. Il est neutralisé par les policiers. Il a agit pour le compte de l’Etat islamique.
    ———————————
    La liste des auteurs et complices des attentats du vendredi 13 février 2015 à Paris ne cesse de s’allonger. La plupart de ces criminels sont marocains même s’ils sont nés en France ou en Belgique de parents marocains, belgo-marocains ou franco-marocains car, dans les pays musulmans, conformément à la charia, on ne peut jamais quitter ni la nationalité d’origine, ni la religion musulmane.
    Il serait peut-être temps pour nos autorités de revoir l’autorisation de double nationalité qui encourage le refus d’intégration. Dans un monde idéal où on ne retrouverait pas autant de bi-nationaux parmi les délinquants et les terroristes, il va de soi que chacun pourrait être libre mais les évènements tragiques qui viennent de se dérouler mettent le projecteur sur ce qui est une anomalie au regard de la sécurité du peuple de France.De gauche droite : Brahim Abdeslam, Bilal Hadfi, Abdelhamid Abaaoud, Salah Abdeslam Samy Amimour.
    Permalien de l’image intégrée
    Bilal Hadfi, Français de 20 ans, résidait en Belgique.
    Abdelhamid Abaaoud, origine marocaine, commanditaire présumé des attentats
    Salah Abdeslam né il y a 26 ans à Bruxelles
    Samy Aminour est originaire de Drancy (Seine-Saint-Denis)
    Ismaël Omar Mostefaï a été tué vendredi. Il est né à Courcouronnes (Essonne) et a vécu à Chartres.
    Mohamed Amri
    Hamza Attou
    Brahim Abdeslam, Français résidant en Belgique
    Ahmed Damani La Turquie a annoncé samedi l’arrestation d’Ahmed Dhamani, un homme de nationalité belge, d’origine marocaine, soupçonné d’avoir participé à des opérations de reconnaissance pour choisir les sites parisiens attaqués par les jihadistes.
    Lazez Abraïmi, ressortissant marocain de 39 ans résidant à Jette- a été arrêté en même temps que trois autres personnes suspectées d’être en lien avec les attentats de Paris. Il vient d’être placé en détention pour un mois supplémentaire. http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/attentat-de-paris-l-un-des-suspects-avait-des-armes-car-il-faisait-des-brocantes_1739571.html
    Mohamed Abrini, Belgomarocain, homme à tout faire actuellement recherché sous mandat international, dangereux et probablement armé.
    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/artificier-complice-chauffeur-le-role-obscur-de-mohamed-abrini_1739243.html
    Jawad Bendaoud, le logeur des terroristes à Saint-Denis, marchand de sommeil, truand, bête et dangereux selon la police. Jawad est condamné en 2008 à huit ans de prison pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
    Hasna Aït Boulahcen, née en France origine marocaine
    La famille d’Hasna Haït Boulahcen est arrivée en France en 1973 et s’est installée dans la région parisienne, où la future kamikaze est née, en 1989 à Clichy-la-Garenne. Le père est arrivé plus tard en Moselle, peut-être dans un premier temps avec sa famille. La dernière fois que le nom de la jeune femme apparaît sur des documents publics, c’est le 15 mai 2013, où dans une annonce légale enregistrée au tribunal de Bobigny, elle est nommée gérante de Beko Construction, une société implantée à Clichy-sous-Bois. Une entreprise inactive depuis deux ans.http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-saint-avold-creutzwald/2015/11/19/kamikaze-de-saint-denis-des-liens-familiaux-a-creutzwald
    LES PHOTOS PRISES A CREUTZWALD SONT ICI.
    http://videos.lexpress.fr/actualite/societe/video-portrait-d-hasna-ait-boulahcen-premiere-kamikaze-de-france_1737798.html
    Selon France Bleu, la société d’Hasna Aït Boulahcen était auparavant basée à Creutzwald (Moselle). Citant le maire de la commune, la radio révèle que le père de la jeune femme est toujours domicilié là-bas mais passe la majorité de son temps au Maroc, d’où la famille est originaire. Les gendarmes effectuent actuellement des vérifications sur place. 
    http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/021492637647-qui-sont-les-auteurs-des-attentats-du-13-novembre-1176687.php
    Charaffe al Mouadan
    Le djihadiste français Charaffe al-Mouadan, dont les Américains ont annoncé mardi la mort en Syrie, était proche d’au moins un des kamikazes du Bataclan, Samy Amimour, sur lequel il exerçait un ascendant. Selon le Pentagone, ce Français a été tué le 24 décembre. Washington le présente comme « lié directement » à Abdelhamid Abaaoud, le djihadiste belge soupçonné d’être l’organisateur des attentats du 13 novembre à Paris, et affirme qu’il « préparait activement d’autres attaques » au nom de l’organisation État islamique (EI)…Al-Mouadan et Amimour avaient été arrêtés mi-octobre 2012 avec un troisième habitant de Drancy, Samir Bouabout : ils projetaient de partir combattre, au Yémen ou en Afghanistan, via la Somalie. Dans le trio, visé par un mandat d’arrêt depuis octobre dernier, l’ascendant était clairement exercé par al-Mouadan, se souvient une source proche de l’enquête de l’époque. Dernier d’une fratrie de huit enfants, ce fils d’un mécanicien est né à Bondy de parents marocains.
    http://www.lepoint.fr/monde/syrie-un-militant-de-l-ei-lie-au-cerveau-des-attentats-de-paris-tue-29-12-2015-2005948_24.php
    http://www.bvoltaire.fr/extvideo/francais-jihadiste-tue-le-profil-de-charaffe-al-mouadan
    J’avais commencé cet article le 30 septembre, les événements me contraignent à le terminer.
    Encore des Marocains parmi les terroristes ! Marocains parce qu’on ne quitte jamais la nationalité marocaine, c’est interdit. Les états musulmans étant des théocraties, renoncer à la nationalité d’une dictature musulmane, c’est renoncer à l’islam, donc devenir apostat, ce qui est puni de mort en Islamie. Ceci est la réalité car, en théorie, on peut renoncer à la nationalité musulmane si le roi y consent par décret royal.
    Comme c’est interdit, on a droit à la double nationalité de façade. Franco-marocains, Belgo-marocains, Italo-marocains, Euro-marocains, parmi eux nombreux sont ceux qui crachent dans la soupe de leur pays d’adoption et font passer les intérêts de l’islam et de leur monarque avant tout reconnaissance et solidarité avec le pays qui les nourrit, les soigne et les instruit. Je dis bien, « nombreux » car, bien sûr, des Marocains bienveillants, éduqués et solidaires, ceux-là existent et si nous pouvons les remercier, ils peuvent se remercier eux-mêmes pour leur intelligence de coeur. Quand les Marocains sont bienveillants, ils sont terriblement chaleureux et sympathiques. Je le sais d’expérience.
    Pourquoi tant de faveurs accordées aux Marocains par nos dirigeants ? Qu’ont-ils de plus que les Français ces Marocains qui ont été nourris grâce à leur diaspora implantée en France avec des avantages notables dont l’indulgence des autorités sur le trafic de cannabis, des accommodements « raisonnables » qui ne nous valent qu’ingratitude et désordre ?
    14 janvier 2015 Bernard Cazeneuve promet la légion d’honneur française à Abdellatif Hammouchi, le chef marocain de la DGST et de la DGSN.
    Qu’a fait le sieur Hammouchi pour la France qui mérite l’ insigne d’officier de la Légion d’honneur ?
    …l’homme en question fait l’objet de trois plaintes, dont deux pour complicité de torture et faits de torture qui se seraient déroulés au centre de détention de Témara. Quel rapport avec la France, me direz-vous ? L’un des plaignants est franco-marocain. Qui plus est, la visite en France, l’année dernière, du ministre de l’Intérieur marocain accompagné, précisément, d’Abdellatif Hammouchi s’était soldée par un incident diplomatique tel qu’il avait jeté un froid polaire sur les relations franco-marocaines.
    L’ACAT (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture) avait alors demandé, dans le cadre de ces plaintes, l’audition du sieur Hammouchi devant la justice. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que les inspecteurs français avaient déclenché la grosse cavalerie, profitant de l’absence du ministre de l’Intérieur marocain à la résidence de l’ambassadeur du Maroc en France pour notifier au chef DGST et DGSN sa convocation devant le juge d’instruction. Vexation pour le Maroc,« incident regrettable » pour Paris… Un an plus tard, François Hollande entame une visite de « travail et d’amitié ». http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/poursuivi-actes-de-torture-aura-meme-legion-dhonneur,207390
    http://www.leparisien.fr/international/edition-a-l-origine-de-la-brouille-entre-la-france-et-le-maroc-l-ex-boxeur-s-explique-30-09-2015-5141447.php
    L’homme par qui la brouille diplomatique entre Paris et Rabat est arrivée s’explique. Ce mercredi sort son livre «L’homme qui voulait parler au roi» (éd. Calmann-Lévy). Ancien champion du monde de kickboxing, Zakaria Moumni, y donne la raison de sa plainte pour torture déposée en France contre le patron du contre-espionnage marocain. «J’ai longtemps cru en Mohammed VI. Je l’aimais bien», affirme l’ancien boxeur qui a renoncé à la nationalité marocaine pour prendre la nationalité française.
    Il dénonce dans l’ouvrage la corruption qui «empoisonne» selon lui lafédération sportive marocaine de kickboxing. Affirmant avoir été mis sur la touche à la suite de ces accusations, il décide d’en référer au roi. Mais toutes ses tentatives d’approcher le souverain «demeurent vaines», explique-t-il. Émigré en France en 2007, l’ex-champion du monde cherche toujours à contacter le roi… en vain. En janvier 2010, il ira manifester seul sous les grilles du château de Mohammed VI dans l’Oise, au nord de Paris.
    Interpellé une première fois en 2010 à Casablanca lors d’une visite au Maroc, Zakaria Moumni est «enlevé» à l’aéroport de Rabat par des agents de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) du Maroc lors d’une seconde visite dans le royaume en septembre 2010. Durant quatre jours, avance-t-il, il sera torturé. Il est détenu au secret à Témara, siège de la DGST. Il sera finalement condamné dans une affaire d’escroquerie à 30 mois de prison au terme d’un procès qualifié d’«inéquitable» par Human Rights Watch. Ses aveux ont été arrachés sous la torture, dit-il.
    «J’ai confiance dans la justice française»
    Libéré en février 2012 après une grâce royale, il retourne en France. En février 2014, il dépose plainte pour torture en visant notamment Abdellatif Hammouchi, patron de la DGST, qu’il accuse d’avoir assisté aux sévices qu’il aurait subis. Rabat dénonce des «mensonges» et un «chantage» de Zakaria Moumni à l’encontre de l’État marocain. «Je rappelle que M. Moumni a fait l’objet d’une plainte pour dénonciation calomnieuse qui est à l’instruction à Paris ainsi que d’une citation directe devant le tribunal correctionnel pour diffamation à l’encontre du Maroc», a déclaré à l’AFP l’un des avocats de Rabat en France, Me Ralph Boussier.
    Cette plainte et d’autres visant également le patron du Renseignement marocain Adellatif Hammouchi ont entraîné une grave crise diplomatique entre Paris et Rabat. La brouille a pris de l’ampleur en février 2014. Après la plainte de l’ex-boxeur, des policiers français s’étaient rendus à la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Neuilly-sur-Seine pour notifier au patron de la DGST — en visite en France — une convocation d’un juge d’instruction. Rabat proteste vigoureusement et suspend sa coopération judiciaire avec Paris.
    La coopération franco-marocaine a repris en 2015 à la faveur d’un accord judiciaire qui prévoit notamment d’instruire prioritairement au Maroc les plaintes des binationaux franco-marocains. Des visites ministérielles ont suivi, puis des rencontres entre le roi du Maroc et le président Hollande, pour apaiser les relations entre les deux pays.
    Mais, selon Zakaria Moumni, sa plainte contre Abdellatif Hammouchi, antérieure à cet accord, demeure valable. «J’ai confiance dans l’État français et j’ai confiance dans la justice française», écrit l’ancien champion qui affirme être «revenu des ténèbres». Mercredi, une source proche du palais marocain, «dénonce vertement les objectifs» de l’ancien champion de boxe, et assure que ce livre aurait été écrit par Catherine Graciet, la journaliste mise en examen, en compagnie de son confrère Eric Laurent, pour «extorsion de fonds» et «chantage» contre Mohamed VI. Dans cette affaire rocambolesque, les deux journalistes admettent un «accord financier» pour ne pas publier leur propre enquête mais démentent catégoriquement toute forme de chantage. Ils affirment être tombés dans un «traquenard» du régime marocain.
    01/10/2013 Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, ce lundi, sept membres d’un réseau terroriste en France dédié au recrutement et à la formation de jihadistes à des peines allant de 18 mois à 8 ans. Selon l’AFP, le supposé leader du groupe, Mohamed Niaz Abdul Raseed, un Indien âgé de 24 ans, a été condamné à huit ans de prison et s’est vu refuser définitivement l’entrée sur le territoire français.
    Ses deux bras droits franco-marocains de 27 et 24 ans, Charaf-Din Aberouz et Saad Rajraji, ont été condamnés à des peines de cinq ans de prison. Charaf-Din a été interpellé en 2011 à l’aéroport de Lahore au Pakistan lorsqu’il attendait un membre du réseau Al-Qaïda qui devait le conduire dans un camp d’entraînement militaire.
    Durant la même opération, un français d’origine pakistanaise de 24 ans, Zohab Ifzal, a été arrêté. Il a été condamné par le même tribunal à 3 ans et demi de prison. Les tribunaux français ont condamnés les sept prévenus, dont un est en fuite, pour « association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes », précise la même source.
    02/08/2014
    Un jihadiste franco-marocain en provenance d’Istanbul et expulsé par les autorités turques a été interpellé samedi à l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle et placé en garde à vue, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
    L’homme, dont l’âge et l’identité n’ont pas été précisés, a été interpellé à son arrivée en France par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes », a ajouté le ministère dans un communiqué.
    Source LLJ
    26 août 2014 Najat Vallaud-Belkacem, franco-marocaine est nommée ministre de l’Education nationale alors qu’elle n’a ni compétence ni expérience dans ce domaine
    Zacarias Moussaoui, né en France de parents marocains, Le 3 mai 2006, au terme de deux mois de procès et de sept jours de délibération, il est reconnu coupable1 par le jury du tribunal fédéral d’Alexandria en Virginie, États-Unis, de six chefs d’accusation de complot en liaison avec les attentats du 11 septembre 2001 et condamné à la prison à perpétuité, sans possibilité de remise de peine. En février 2015 a été publiée une déclaration de Moussaoui sur l’implication de l’Arabie saoudite dans le financement de Al Qaeda et la préparation des attentats du 9/11.
    23 janvier 2015 Le Conseil constitutionnel a validé, ce vendredi, la déchéance de nationalité d’un jihadiste franco-marocain. Ahmed Sahnouni a été condamné pour terrorisme en 2013.
    Les Sages ont donné leur verdict. Le Conseil constitutionnel a approuvé, vendredi, la déchéance de nationalité française décrétée en mai dernier par le gouvernement à Ahmed Sahnouni. Né à Casablanca en 1970 et naturalisé Français le 26 février 2003, Ahmaed Sahnaoui a écopé en 2013 de 7 ans de prison pour des faits de terrorisme. Son avocat a réfuté la validité du décret par une Question prioritaire de constitutionnalité (QPC), que le Conseil d’État a transmise au Conseil constitutionnel. Ce dernier a statué aux dépens du Franco-Marocain.
    25 janvier 2015 Un Marocain interpellé avec dix kilos de cannabis
    …Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/32923/france-marocain-interpelle-avec-kilos.html
    8 février 2015 Trafic de drogue démantelé entre le Maroc et le Gard via l’Espagne
    16 avril 2015 Jihadistes français d’origine marocaine arrêtés au Maroc
    Une ressortissante française et son compagnon marocain ont été arrêtés, jeudi 16 avril 2015, au Maroc, dans la ville de Safi, par les éléments du Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), alors qu’ils planifiaient un « acte terroriste au Maroc ou à l’étranger, au nom de l’Etat islamique (EI) », a annoncé le ministère de l’Intérieur.
    Cette ressortissante française d’origine marocaine, identifiée par ses initiales (S.H.), et son compagnon marocain (Y.C.), qui résidaient auparavant dans un pays européen, « s’apprêtaient à rejoindre les rangs de l’EI en Syrie et en Irak », selon le ministère…
    Par ailleurs, plusieurs Français qui avaient des visées djihadistes ont été arrêtés au Maroc. L’un d’eux avait été interpellé, en juillet 2014, à Tanger, alors qu’il s’apprêtait à regagner son pays pour mener des opérations de recrutement au nom du Front Al-Nosra, un groupe actif en Syrie. Un Français avait été condamné à de la prison ferme, en février, au Maroc, pour des affaires en lien avec le terrorisme.
    Un Marocain résidant en France, accompagné de ses deux filles, avait été interpellé à Casablanca, en octobre dernier, alors qu’il cherchait à rejoindre le groupe Etat islamique via la Turquie.
    15 août 2015 Nabil Ibelati, braqueur d’une bijouterie cannoise, franco-marocain, a été interpellé au Maroc. Né en France, il avait choisi le Maroc. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international. Il avait commis son forfait avec son frère et Najib Zebali.
    21 août 2015 Attaque terroriste du Thalys Amsterdam-Paris par le Marocain Ayoub-el-khazzani
    6 septembre 2015 Nomination de Myriam El Khomri, franco-marocaine comme ministre du travail alors qu’elle n’a ni compétence ni expérience en ce domaine
    9 septembre 2015 Les douaniers ont intercepté un camion immatriculé en France et conduit par un Marocain de 35 ans. Ce camion frigorifique contenait une tonne de cannabis
    10 septembre 2015 Sous le coup d’ une ordonnance de quitter le territoire français (OQTF), le Marocain de 24 ans harcelait des collégiennes dans l’espoir de se marier pour pouvoir rester en France
    14 septembre 2015 un septuagénaire revenant du Maroc transportait 3.4kg de cannabis dans sa camionnette. Ils lui aurait été confiés par quelqu’un de son village du Maroc. Il a été interpellé à la sortie du ferry, à Sète.
    21 septembre 2015 La SNCF a été condamnée à verser 200 000euros à des retraités marocains, pour discrimination.
    22 septembre 2015 Ahmed Sahnouni El Yaacoubi, franco-marocain a été explusé de France après avoir été déchu de la nationalité française en 2014. Ce jihadiste marocain arrêté en 2010 pour terrorisme a été durant sa détention à l’origine de la radicalisation de plusieurs codétenus. Il avait été condamné à 7 ans de prison en 2013.
    13 novembre 2015 : six attentats commis simultanément à Paris. 140 morts, 300 blessés, la population française traumatisée. Plusieurs marocains parmi les terroristes impliqués
    Vendredi 04 Décembre 2015-La police espagnole a interpellé un marocain de 37 ans en vertu d’un mandat d’arrêt international, délivré par les autorités marocaines pour violence physique contre son ex-femme, comme rapporté par telquel.ma.
    L’affaire remonte à mi-décembre 2014, lorsque cet homme aurait frappé et blessé safemme Rechercher femme avec un couteau, lui causant de graves blessures au visage.
    16 décembre 2015 Un Marocain tente de forcer l’entrée de l’hôtel des Invalides avec sa voiture. Il est arrêté par les coups de feu des gendarmes de service. A 13 heures, l’individu, a priori inconnu de la justice, était en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie. Selon nos informations, il aurait demandé à voir sa femme et son avocat. L’homme aurait fourni une identité aux enquêteurs, affirmant être né au Maroc et être âgé de 37 ans. Il n’a encoure donné aucune explication sur son geste.
    07/01/2016 un Marocain attaque le planton du commissariat du XVIIIème à Paris, il est abattu par la police
    18h19. L’homme abattu par les policiers est un Marocain de 20 ans,mis en cause pour vol en 2013 à Sainte-Maxime dans le Var. A l’époque des faits, l’homme avait déclaré aux gendarmes chargés de l’enquête s’appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca au Maroc. Ses empreintes digitales avaient alors été entrées dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) et correspondent à celles de l’homme tué après avoir attaqué le commissariat…17h26. L’assaillant prête allégeance à Al-Baghdadi, le leader de l’Etat islamique, dans le texte de revendication retrouvé sur lui, selon BFMTV.
    16h43. Le papier retrouvé sur l’agresseur évoque «des actes pour venger les morts en Syrie» et contient un dessin d’un drapeau de l’organisation jihadiste Etat islamique (EI), a précisé une source proche de l’enquête. L’homme était vêtu d’un manteau sombre, dans lequel était dissimulée une petite pochette scotchée d’où sortait un fil. Un robot de déminage a permis de s’assurer que ce dispositif ne contenait pas d’explosifs.
    La Connectrice
    http://laconnectrice.net/2015/11/22/le-roi-du-maroc-gouverne-t-il-la-france-ses-sujets-parmi-les-terroristes-les-ministres-les-trafiquants-les-criminels/
    23 mars 2016
  • Une question de décolonisation

    Le Sahara occidental a été une colonie espagnole de 1883 jusqu’ au 1975, en 1963 celle ci a été répertoriée étant un territoire non autonome par les Nations Unies ; en 1966, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté sa première résolution (Assemblée générale des Nations Unies, 1966, Résolution 2229 (XXI)). Sur le territoire, exhortant l’Espagne d’organiser, dès que possible, un référendum sous la supervision des Nations Unies sur le droit du territoire d’exercer son droit à l’autodétermination. Ainsi, la Cour n’a pas trouvé de liens juridiques de nature à modifier l’application de la résolution 1514 (XV) dans la décolonisation du Sahara occidental et, en particulier, du principe de l’autodétermination grâce à l’expression libre et authentique de la volonté des populations du territoire (CIJ Recueil 1975, p. 68, par. 162.). 
    1975 est l’invasion du Maroc pour le Sahara occidental, et depuis cette date c était la guerre entre le Maroc et le Front Polisario qui est le seul représentant de peuple sahraoui, ou il y avait un très grand nombre de morts et de prisonniers des deux cotés ; jusqu’ à 1991 ont déclaré le cessez-le-feu.
    La résolution 690 du Conseil de sécurité a établi le mandat de MINURSO pour la paix et la justice par un référendum d’autodétermination pour le peuple sahraoui comme il est stipulé dans la résolution des Nations Unies 1514 (XV).
    Cette colonie espagnole, qui est maintenant occupé par le Maroc et la nation unie l a classé parmi les terres non-autonome Liste des territoires non autonomes à décoloniser inscrits sur la liste de l’Assemblée générale et ca est confirmé en 1990 que la question du Sahara occidental dans le contexte de la décolonisation était pas encore terminée pour le peuple du Sahara occidental processus
    Et depuis ses terres sont divisées en deux parties par un mur de mines qui provoque jusqu’ a maintenant le décès des civiles innocents et aussi le peuple sahraoui est divisé en deux , certains vivent dans la pauvreté ; le chaumage ; et violations de droit de l homme dans les territoires occupées , les autres vivent sur l’aide humanitaire internationale en constante diminution ,dans les camps de réfugiés de Tindouf en Algérie ; en plus l’invasion marocaine a tué un réfugiés sahraouis de L autre coté de la ceinture que le Maroc a construire dans une zone de cessez –le-feu donc c est une violation du cessez-le-feu.
    En outre le Maroc qui occupe le Sahara occidental ne cesse de voler sa richesse.
    Ce peuple qui attend un référendum qu’on lui a promis ; croyant en paix, ayant confiance en Nations Unies et qui est malheureusement récompensé par toutes ces violations des droits humains commises par le Maroc :
    _ violences physiques et morales contre les manifestants sahraouis dans les territoires occupés.
    _ Des centaines de prisonniers sahraouis arrêtés aux territoires occupés pour avoir exprimé leurs demandes à l’autodétermination. 
    _ Des civils sahraouis jugés devant un tribunal militaire marocain.
    _ Plus de 500 cas de disparitions forcées depuis 1975 jusqu’ aujourd’hui.
    _ Plus de cents prisonniers sahraouis de guerre depuis 1975 jusqu’ à ce jour la dans des prisons marocains. 
    _ Expulser un certain nombre des délégations d’observations étrangers de territoires occupés du Sahara Occidental.
    _ le vole des richesses du Sahara occidental.
    _ Les exploitations illégales de minéraux au Sahara occidental sans consulté le peuple sahraoui.
    _ Les assassinas des sahraouis commises par le Maroc et surtout l assassinat de refugié Chmad fils d Abad fils de Jolie le 27/02/2016 à la zone Gualtate Zamore. 
    _ Ne pas oublié les pratiques immorales que subissent les étudiants sahraouis par la confiscation de leurs droit contenir leurs études en les exclurent de poursuivre leurs études supérieures et les arrêtés en les poursuivant par des dossiers fabriqués pour faire croies que ce sont des criminelles – les prisonniers politiques de groupe des étudiants facultés des villes suivantes : Agadir, Marrakech, Fès. Et donné une mauvaise opinion sur les sahraouis et incité les citoyens marocaines contre eux pour utiliser les forces contre nos étudiants ; surtout les périodes des examens
    A _ Les violations commises par les nations unies : 
    1 _ elles parlent de paix sans prendre les précautions nécessaires pour protéger ce peuple comme la mission de la MINURSO ne protège pas le droit de l’ homme , il n’y a même pas un centre de la Croix-Rouge ou un centre du croissant rouge pour prendre soin des gens , il n’ a pas enlevé les mines plantées par le Maroc dans les territoires occupés, qui a causé la mort d’un grand nombre de sahraouies, leurs silence sur tous ces crimes .Par contre on s’intéresse plus à la démocratie ,les droits de l’homme pour les pays qui ont déjà leurs indépendances comme la Syrie, la Libye…. exit. Malgré les derniers décisions N° 2099 et N° 2218 (2015) qui insiste sur le droit à l’autodétermination et le respect des droits de l’homme ce qui les rend complices.
    2_ Nations Unies ne protège pas les richesses du Sahara occidental en laissant l’ invasion marocaine l’ a pillé ; par contre le peuple sahraoui vit dans la misère, et le chômage.
    3_Les négociations pour le peuple sahraoui est une perte de temps dont la seule victime est ce peuple, au lieu de passer à l’autre étape précisé par le septième article qui consiste à imposer par force un référendum d’autodétermination. 
    4_ Le silence sur la violation de l’invasion marocaine du cessez-le-feu en assassinant un citoyen sahraoui dans une zone démilitarisé 
    5 _ Le silence sur l’organisation de l’invasion marocaine le Forum Crans Montana sur le Sahara Occident occupé et dont il ne lui appartint pas et qui est considéré une violation immorale de la légitimité internationale
    B_ Violations de l union européens sur le droit du peuple sahraoui.
    1 _ La signature des ‘accords avec l’invasion marocaine y comprend les territoires occupés du Sahara occidental sans le consentement du représentant légitime du peuple sahraoui le front Polisario
    2 _ Le silence sur l’expulsion des observateurs internationaux des droits de l’homme et dont la plupart d’entre eux sont des ses citoyens à lui
    3 _ Le silence pillage du phosphate de Sahara occidental
    4 _ Son silence sur les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et les crimes commis mon invasion marocaines 
    Après tout ceux-ci le peuple sahraoui a commencé à perdre confiance en nations unies, il y’a aussi des centaines de sahraouis qui ont refusé la nationalité marocaine et ils ont remis leurs papiers marocains aux tribunaux marocains. Maintenant ils sont sans papiers sur leurs terres, ils refusent toutes les nationalités et veulent un référendum pour l’autodétermination parce qu’ils sont contre la situation actuelle.
    Et comme la zone est une bombe prête à s exploser, les nations unies seront responsables de la prise des armes au Sahara occidental ; elles ne s’intéressent pas vraiment à ce dossier et à donner à ce peuple une vraie paix.
    Pour tout ceci et que ce peuple ne peux plus supporter ces violations et la poursuite de la colonisation marocain sur nos terres nous les activistes sahraouis de droit de l homme suivant : Khadija Moutik, Brahim Mouhiti et Mohamed Salam Lwarguawi nous allons faire une grive de faim sans limité comme une étape plus forte et pacifique pour protester contre votre ignorance pour notre cause et de nous permettre une indépendance pour le Sahara occidental et nous assumons la responsabilité à la nation unie ; à l union européenne et à l Amérique pour le silence sur le droit de ce peuple ;nos exigences sont les suivantes 
    1 _ L indépendance de Sahara occidental 
    2_ Le seul représentant légitime de peuple sahraoui est le front Polisario
    3_ La liberté pour tous les prisonniers politiques sahraouis et ceux de l opinion sahraoui 
    4 _ La détection des informations sur les sahraouis enlevés et les prisonniers sahraouis de guerre et leurs liberté
    5_ La poursuite du Maroc dans des tribunaux mondiaux pour tous les crimes qui a commis 
    6_ L imposition de sanctions à l invasion marocain
    7_ La sollicitude pour ce peuple 
    8_ notre refus total pour l organisation de Forum Crans Montana sur nos terres occupées 
    9_ notre solidarité inconditionnelle avec les prisonniers politiques de Gdim Izik dans leur bataille des intestins vides et nous vous tenons responsables de leurs santés physiques et morales
    Signatures 
    1 Khadija Moutik activiste de droit de l homme 2 Brahim Moutiti activiste de droit de l homme
    Et elle a refusé la nationalité marocaine ex prisonnier politique :
    Son matricule à la prison de Ait Maloul est 49537
    Son matricule à la prison de Sala est 18222
    Son matricule à la prison de Meknès est 16030
    Son matricule à la prison de Fès est 24450
    3 Mohamed Salam Lwarguawi activiste de droit de l homme 
    Ex prisonnier son matricule à la prison d Ait Maloul est 49533
    https://www.facebook.com/JunckerEU/posts/10153554978098129
    23 mars 2016
  • Sahara occidental : Le comportement du Maroc ne peut pas être toléré

    Le Maroc a demandé à l’ONU de fermer un bureau de liaison de sa mission au Sahara occidental (Minurso), un nouvel épisode de la querelle avec le gouvernement marocain sur le sort de ce territoire contesté. La Minurso a reçu une demande de fermeture de son bureau de liaison militaire à Dakhla, a indiqué lundi le porte-parole adjoint de l’ONU Farhan Haq. C’est la première demande visant directement la composante militaire de la Minurso, a-t-il souligné. 
    Les Marocains ont déjà expulsé dimanche la majeure partie des experts civils internationaux de la Minurso. Il s’agit de 70 personnes de différents statuts dépendant de l’ONU et de trois civils dépendant de l’Union africaine. La liste comprend notamment les six spécialistes du déminage de la mission et deux sous-traitants. Le Maroc avait initialement donné les noms de 81 employés civils expatriés de l’ONU mais onze ne travaillaient plus pour la Mission. Les civils expulsés ont été installés à Las Palmas (Canaries) ou sont en congés dans leur pays d’origine, a précisé le porte-parole. L’ONU a accepté qu’ils partent pour des raisons logistiques et de sécurité. 
    Des responsables de l’ONU et du Conseil de sécurité continuent de négocier avec Rabat une solution mutuellement acceptable à cette querelle. Le secrétaire général Ban Ki-moon devait en discuter lundi avec les ambassadeurs des 15 pays du Conseil. Le Front Polisario, qui revendique l’indépendance du Sahara occidental, est tenu informé des discussions. Le porte-parole a aussi réaffirmé que sans les experts expulsés, la mission ne pourrait bientôt plus remplir son mandat. Outre les militaires de la Minurso, il ne reste sur place que 27 civils qui ne peuvent assumer qu’une petite partie des tâches. 
    Le porte-parole a une nouvelle fois accusé le Maroc de faillir à ses obligations internationales. Nous espérons que le Maroc comprendra que ce comportement ne peut pas être toléré, a-t-il affirmé en demandant un soutien fort et uni du Conseil de sécurité. Si la mission ne peut plus fonctionner, a-t-il estimé, il y aura un risque réel d’une escalade de la tension et peut-être même de conflit. La Minurso, forte de 500 civils et militaires, a été déployée en 1991 pour surveiller un cessez-le-feu et préparer un referendum sur le sort du territoire, dont Rabat ne veut pas entendre parler. Selon l’ONU, cette querelle qui s’envenime risque aussi d’inciter d’autres pays hôtes d’opérations de maintien de la paix à se débarrasser des Casques bleus lorsque ceux-ci deviennent encombrants. L’ONU s’est plaint à de nombreuses reprises des obstacles mis au travail de ses missions au Soudan, Soudan du Sud ou RD Congo.
    Une gifle infligée 
    Dans un communiqué publié lundi, le Front Polisario a fustigé la décision marocaine d’expulser les civils de la Minurso, la qualifiant de gifle infligée au Conseil de sécurité et de provocation dangereuse qui pourrait mener à la guerre.
    Le Conseil doit ordonner au Maroc de revenir sur sa décision et en profiter pour convoquer les parties autour de la table de négociations afin de négocier les modalités d’un referendum, a estimé le représentant du Polisario à l’ONU Ahmed Boukhari. 
    Saisi de l’affaire jeudi dernier, le Conseil de sécurité n’avait pas réussi à adopter une position commune, laissant à chacun de ses membres le soin de traiter individuellement avec le Maroc pour tenter d’apaiser cette querelle. 
    La querelle est partie d’une visite début mars de M. Ban dans un camp de réfugiés sahraouis en Algérie. Le gouvernement marocain avait été ulcéré de l’entendre parler ensuite d’occupation du Sahara occidental, une ex-colonie espagnole que Rabat considère comme partie intégrante du royaume marocain.
    http://www.lemaghrebdz.com/?page=detail_actualite&rubrique=Internationnal&id=75738
    23 mars 2016
  • Le Maroc ne peut aucunement expulser la MINURSO

    Quoi qu’on dise de l’Algérie, il y a une vérité que personne ne peut nier: l’Algérie est un pays indépendant dans tous les sens du terme. Sa diplomatie en est la preuve vivante.
    Au moment où tous les pays de la dénommée Ligue Arabe s’ameutent derrière le régime terroriste et médieval de Riyad contre la Syrie et le mouvement haouthi au Yémen, Alger a répondu par un niet retentissant.
    Les relations que l’Algérie entretient avec l’Iran est un autre exemple de son indépendace et sa politique basée sur des principes loin de toute allégeance à l’Arabie Saoudite, aux Etats-Unis ou à la France-
    Au Maroc, Rabat a été contraint de rompre avec l’Iran sous les ordres de Riyad. Les mêmes raisons ont poussé le gouvernement marocain à envoyer son armée au Yémen. 
    La diplomatie du Maroc est assujetie aux positions des pays qui financent son invasion du Sahara Occidental et son agression contre le peuple sahraoui. L’armée marocains se trouve là où se trouve l’armée de son autre protecteur, la France. 
    Au Maroc, la volonté et les ordres de ces pays passent avant tous les intérêts du pays. En 2009, la France a contraint le roi du Maroc Mohammed VI à faire marche arrière dans sa décision d’expulser Mme Aminattou Haidar.
    Aujourd’hui, Rabat fait des gestes qui font croire qu’il veut expulser la MINURSO, mais les autorités marocaines savent pertinemment que cela n’aura jamais par respect de la volonté de son allié français.
    23 mars 2016
  • Le Maroc hors-la.loi

      L’ONU accuse le Maroc de violer la charte des Nations unies : Mohamed VI hors-la-loi
      Le souverain marocain, en dépit du soutien dont il jouit de la part de la France, pays qui a réussi à » manipuler » les Etats-Unis, n’en a pas moins trop » tiré sur la corde « , si bien qu’il vient de se mettre dans une position absolument intenable. Il risque fort de payer au comptant, face au conseil de sécurité de l’ONU, sa politique colonialiste, criminelle et extrêmement arrogante.
      Par Ali Oussi :
      L’ONU a accusé lundi le Maroc de « violer la charte des Nations unies », en appelant le Conseil de sécurité à intervenir, en prenant les mesures nécessaires pour mettre fin aux dépassements de Rabat. Farhan Haq, le porte-parole adjoint de Ban Ki-moon a affirmé au cours d’un point de presse qu’en expulsant les effectifs civils de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental (MINURSO), « le Maroc a violé la charte des Nations unies ». En confirmant l’évacuation de la composante civile de cette mission des territoires sahraouis occupés, M. Farhan Haq a précisé que « des 84 membres de la Minurso concernés par les mesures de rétorsion de Rabat, 72 ont quitté ces territoires sahraouis, alors que 11 autres membres sont en fin de mandat et ne font plus partie, de ce fait, de cette mission. Un seul membre de ces effectifs est resté pour des raisons de santé ». Farhan Haq a également fait savoir que le Maroc a également ordonné aux Nations unies de fermer son bureau militaire à Dakhla. Le porte-parole adjoint de l’ONU a averti le Maroc des conséquences de sa décision en affirmant qu’ »en absence d’une force efficace de maintien de la paix, les tensions vont s’exacerber dans ces territoires ». C’est toute la composante civile et politique de la Minurso qui a quitté les territoires occupés à l’exception de Kim Bolduc, représentante spéciale du SG de l’ONU pour le Sahara Occidental et chef de la Minurso, et également d’un autre membre malade, a indique à l’APS une source onusienne. Le Conseil de sécurité qui s’est réuni lundi à huis clos pour la troisième fois d’affilée pour examiner les répercussions des mesures décidées par le Maroc sur la mission de la Minurso s’est abstenu de faire une déclaration dans ce sens. Trois pays en l’occurrence la France, le Sénégal et l’Egypte continuent de bloquer une « déclaration musclée » du Conseil de sécurité contre Rabat, pourtant prévue avant la première réunion, tenue la semaine dernière, a ajouté cette source. « Ces trois pays ont empêché le Conseil de sécurité d’avoir une position unanime forte contre le Maroc », a-t-elle dit. Lundi, le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a lancé un appel urgent au Conseil de sécurité dans lequel il l’exhorte à assumer ses responsabilités en tant que mandataire et premier responsable de la Minurso. « Le Front Polisario prend à témoin le Conseil de Sécurité de l’ONU contre toute manifestation probable de l’aventurisme et de l’expansionnisme marocain qui constituerait une nouvelle escalade de l’agression et une menace sérieuse à la sécurité régionale », a écrit le secrétaire général du Front Polisario dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, Ismael Gaspar Martins juste avant la réunion de lundi. Vendredi le porte parole de Ban-Ki-moon, Stéphane Dujarric, a critiqué à mots voilés la position du Conseil de sécurité qui était décevante par rapport aux attentes du secrétariat général de l’ONU, selon lui. « Il aurait été préférable si nous avions reçu des mots plus clairs de la part président du Conseil de sécurité », a-t-il déclaré en confirmant au cours de son point de presse quotidien que les membres du Conseil de sécurité n’étaient pas tous unis derrière le SG de l’ONU.
      A.O.
      Pa
      23 mars 2016
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