Année : 2015

  • Le Maroc reste le « principal fournisseur » de cannabis à l’Europe

    Les plus grandes quantités de drogue saisies proviennent du Maroc « principal fournisseur » de cannabis à l’Europe, a affirmé l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS).
    Dans un rapport dont le Secrétariat d’Etat américain aux Affaires étrangères a reçu une copie, l’OICS a précisé que la quantité de cocaïne passant par le Maroc vers l’Europe a été estimée à 20 tonnes soulignant que les services de sécurité ont saisi d »importantes quantités » de cocaïne par voie aérienne ( Sao Paulo-Casablanca).
    « Plusieurs informations font état de l’implication de l’institution militaire marocaine dans le trafic de drogue », précise le document. Le secrétariat d’Etat américain aux Affaires étrangères avait auparavant classé le Royaume du Maroc à la deuxième position après l’Afghanistan dans la culture et production de cannabis.
  • Assassinat de Ben Barka : Le roi et le Mossad

    Par Rafik Benasseur 
    L’affaire risque de souiller un peu plus le palais royal et son makhzen. Les services secrets marocains (le Mossad) ont donné un sacré de pouce au roi Hassan II pour se débarrasser de l’illustre opposant Mehdi Benbarka. Cet assassinat coordonné entre Rabat et Tel Aviv fait les choux gras de la presse israélienne, française et même marocaine.
    L’hebdomadaire marocain Tel Quel a publié de larges extraits de l’enquête. Premier à ouvrir la boite de pandore, le quotidien israélien Yedioth Aharonoth a publié le 23 de ce mois une enquête exhaustive sur les relations entre le Mossad et le Maroc et établi preuve à l’appui l’implication des services secrets israéliens dans l’enlèvement puis l’assassinat atroce de l’opposant Mehdi Ben Barka.
    Cette sulfureuse enquête s’appuie sur des «sources israéliennes», qui avouent l’existence de contacts entre le Mossad et le général Oufkir, ministre de l’Intérieur et de la Défense sous Hassan II. Pis encore, ces gorges profondes d’Israël racontent même les circonstances horribles dans lesquelles se serait déroulé l’assassinat de l’opposant d’Hassan II.
    Ronen Bergman et Shlomo Nakdmon, les deux journalistes à l’origine de ces révélations, ont expliqué s’être notamment appuyés sur des documents officiels israéliens secrets. Ils ont ainsi pu consulter des archives de l’un des plus proches conseillers du Premier ministre qui confirme des rencontres entre le chef du Mossad, Meir Amit, et le Premier ministre israélien Levi Eshkol.
    Une enquête explosive
    Pourquoi le Mossad a-t-il jugé utile de donner un coup de main au roi Hassan II pour tuer Ben Barka ? Explication des enquêteurs israéliens : «Au début des années 1960, le Mossad se fixe comme objectif de rentrer en contact avec les services marocains. Car le Maroc est un pays arabe en contact rapproché avec les principaux ennemis d’Israël. De plus, Hassan II est perçu comme un chef d’État « relativement pro-occidental».
    Ronen Bergman et Shlomo Nakdmon expliquent que la relation entre le royaume et l’État hébreu a débuté en 1960, lorsque ’Hassan II était encore prince héritier. Un an plus tard, suite à son couronnement, Israël demande au roi Hassan II de permettre aux Juifs marocains d’émigrer en Israël. Mohammed Oufkir, responsable des services secrets à l’époque, aurait servi d’intermédiaire et c’est lui qui aurait conclu l’accord avec les agents du Mossad, instituant le versement de 250 dollars pour chaque citoyen juif marocain, avancent les deux journalistes. La rétribution financière concernant le transfert
    de 80 000 citoyens juifs marocains (deux millions de dollars) aurait été placée, selon le Yedioth Aharonoth, sur un compte secret en Europe.
    Guerre des «Six Jours», le roi aux côtés d’Israël… 
    Suite à la mise en place de ces contacts, Hassan II aurait demandé une protection rapprochée de la part des agents du Mossad. « Le roi avait peur d’être assassiné […], il avait beaucoup d’ennemis », a confié l’un de ses anciens gardes du corps, David Shmoron, au quotidien israélien.
    On y apprend aussi que le roi Hassan II était soucieux de la stabilité de son régime et soupçonnait l’Algérie et l’Égypte de soutenir «plusieurs éléments de l’opposition monarchique». Les choses s’accélèrent avec le début de la «guerre des Sables», en 1963, quand le Maroc a envahi le sud ouest algérien. L’enquête révèle que le chef du Mossad, Meir Amit, embarque dans un avion en direction de Marrakech, avec un faux passeport, et rencontre le roi Hassan II, lui déclarant : « Nous pouvons aider et nous voulons aider ».
    Une proposition qui aurait été acceptée par Hassan II, et qui aurait permis au Maroc de bénéficier des renseignements provenant d’Israël, mais aussi de pilotes aguerris ainsi que d’armement israélien. En échange, les services de l’État hébreu avaient accès aux prisonniers égyptiens venus combattre aux côtés des Algériens. Durant le même temps, le Mossad a également installé une station permanente à Rabat. «Vendre» ses frères pour la peau de Ben Barka Pire, l’agent du Mossad, Rafi Eitan a reconnu à Yedioth Ahronoth que les services marocains ont informé leurs homologues israéliens des «faiblesses militaires des pays arabes exposées lors de la conférence de la Ligue arabe de 1965 à Casablanca».
    De précieux renseignements qui ont été décisifs dans la défaite militaire des arabes lors de la guerre des «Six Jours» en 1967. Une collaboration marocaine qui a été «payée» auparavant par Israël dont les services de renseignements furent chargés de repérer puis liquider l’opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1963.
    Le journal Yedioth Aharonoth souligne que dans les documents des services israéliens, le nom de code de l’opposant est généralement «BB». Mehdi Ben Barka est localisé à Genève et aurait débarqué à Paris le 29 octobre 1965, «équipé d’un passeport diplomatique algérien » selon le journal. Ce jour-là, il part à la rencontre d’un journaliste à la brasserie Lipp. Une rencontre qui n’aurait été qu’un leurre censé attirer Ben Barka, selon l’historien Yigal Ben-Nun. A quelques encablures du restaurant, l’opposant est embarqué par deux policiers, qui n’auraient été en fait que des mercenaires français payées par le second d’Oufkir, Ahmed Dlimi. Il aurait ensuite été emmené vers un appartement où il aurait été torturé pendant au moins 3 jours : «battu, et brûlé avec des cigarettes».
    Des agents du Mossad racontent l’horrible crime
    La victime a, ensuite selon le Yedioth Ahronoth, été électrocuté et sa tête plongée dans une baignoire. « Ils (les Marocains, ndlr) ont rempli une baignoire d’eau. Dlimi a plongé sa tête et voulait qu’il (Ben Barka, ndlr) révèle des informations […], ils ont mis sa tête sous l’eau un peu trop longtemps jusqu’à ce qu’il devienne complètement bleu», a témoigné Elizer Sharon, un agent du Mossad qui s’est confié aux deux journalistes avant son décès.
    Une fois la mort de l’opposant constatée, les agents du Mossad, lit-on encore, «se sont emparés de son corps et ont décidé de s’en débarrasser en l’enterrant dans le bois de Saint-Germain-en-Laye et en le saupoudrant de produits chimiques qui devaient consumer le corps». Le corps de Mehdi Ben Barka est certes réduit en poudre, mais son cri d’outre tombe résonne encore dans les oreilles des anciens du makhzen.
    Bien que l’establishment français maintienne la chape de plomb sur cette scabreuse affaire d’assassinat politique, la vérité commence à faire son chemin. Le journal Le Monde a publié lundi un entretien avec l’un des journalistes auteur de l’enquête qui confirme l’implication du Mossad dans le meurtre de Ben Barka. La justice française pourra-t-elle rester indéfiniment aveugle face à de telles révélations ? Pas si sûr.
  • Concierto Solidario a favor del Proyecto Sahara Salud

    Organización: 
    SEPAR, a través de SeparSolidaria
    Fecha de celebración: 
    Desde el 25-03-2015 hasta el 25-03-2015
    Descripción:
    SEPAR, a través de SeparSolidaria, participa en la organización del Concierto Solidario que con el título Unplugged ofrecerá Sergio González Carducci en quinteto el próximo miércoles 25 de marzo, en el Salón de Actos de la Facultad de Medicina de la UAM, a las 19:00h. Todos los beneficios irán destinados al Proyecto Alianza Sahara Salud con el fin de mejorar la situación sanitaria de los campamentos de refugiados saharauis de Tinduf (Argelia).
    El proyecto Sahara Salud tiene como objetivo dar formación a los profesionales saharauis que trabajan en los campamentos de refugiados principalmente a aquellos que colaboran en las áreas de educación y sanidad. Y es una iniciativa de la Alianza SaharaSalud que promueve SeparSolidaria con distintas sociedades científicas y universidades públicas madrileñas.
    Entre otros puntos, las entradas se pueden comprar en la Secretaría de Neumología del Hospital de la Princesa (6º planta).
  • Une nouvelle chance pour la paix

    Visite d’IBK, le président malien, en Algérie- Une nouvelle chance pour la paix
    Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a effectué, hier, une visite d’Etat de trois jours en Algérie. Cette visite capitale s’inscrit, dans le cadre de l’aboutissement de la médiation conduite par l’Algérie pour la restauration de la paix au Nord Mali, en dépit des difficultés qui, l’a caractérisent
    La médiation algé- rienne risque de connaître un échec, après avoir reçu le Chef du MNLA, le roi Mohamed VI a désorganisé les pistes concernant la résolution de la crise malienne et la mise en place d’un processus de réconciliation entre Bamako et le nord Mali. Selon les accords de Ouagadougou de juin 2013, gouvernement malien et rebelles doivent s’entendre sur le choix d’un médiateur mais à mesure que le temps passe, le MNLA s’est montré de plus en plus méfiant à l’égard d’Alger qui pourtant à toujours tenté de trouver une solution politique, même au plus fort du conflit. Par sa visite en Algérie, le président malien préfère que ce soit Alger qui prenne la tête des opérations de médiation, au moment ou le choix du MNLA de se rapprocher du Maroc est un nouveau coup dur pour l’exécutif malien mais aussi pour l’intermédiaire des négociations qui est l’Algérie. Ce sale coup du Rabat qui a pour ambition de prendre une place plus large au niveau de la politique régionale cherche à influer sur les discussions entre Bamako et les rebelles quittes à provoquer la colère de l’Algérie. Reste désormais à savoir si le Maroc prendra le risque de mécontenter le Mali en rencontrant à nouveau les dirigeants du MNLA. En attendant de ce va entraîner la rencontre des deux Présidents Algérien et Malien, les discussions pié- tinent, pour le moment, et la situation reste la même. La visite de Boubaker Kaita qui s’inscrit, en effet, dans une tradition séculaire de liens de fraternité, de solidarité et de bon voisinage entre les peuples algérien et malien, permettra aux deux parties de dynamiser la coopération et les échanges entre les deux pays dans tous les domaines offrant des opportunités. L’évolution des relations entre les deux pays a été marquée par l’échange de visites de responsables de haut niveau, ce qui a permis de consolider et de renforcer encore davantage ces relations qualifiées d’  » excellentes  » par Alger et Bamako. Pour rappel, la visite du pré- sident malien à Alger en janvier 2014 a été sanctionnée par un communiqué conjoint dans lequel les deux pays avaient décidé de créer de nouveaux mécanismes à même de renforcer davantage la coopération bilaté- rale. A cette même occasion, les chefs d’Etat des deux pays avaient souligné la nécessité de renforcer la coopération algéro-malienne par la création d’un comité bilaté- ral sur le Nord, qui se réunirait une fois par mois pour suivre la mise en oeuvre des décisions en vue du règlement pacifique du problème du Nord du Mali. Ils avaient convenu également de l’élaboration et de la mise en oeuvre d’arrangements de sécurité commune, prenant en considé- ration le renforcement de la coopération militaire, sécuritaire et la lutte contre le terrorisme et les trafics en tout genre. Ils se sont mis d’accord, également, sur la mise en place d’un programme spécial de développement économique des régions du Nord et des zones frontaliè- res des deux pays et de réaliser un programme spécial d’appui humanitaire au bénéfice notamment des populations affectées des régions des deux pays. Les efforts de l’Algérie dans la recherche de règlement de la crise au Mali ont été couronnés, après plusieurs mois de négociations entre les parties maliennes à Alger, par le paraphe d’un accord de paix et de réconciliation. En vertu de ce document, les parties maliennes, se sont déclaré déterminées à éliminer définitivement les causes profondes de cette crise et à promouvoir une véritable réconciliation nationale fondée sur une réappropriation de l’histoire à travers une unité nationale respectueuse de la diversité humaine caractéristique de la nation malienne.
    La Tribune des Lecteurs, 23/03/2015
  • Sahara occidental : Dakhla assiégée par les forces d’occupation marocaines

    Après la mascarade du Forum de Crans-Montana, les autorités d’occupation marocaines continuent à imposer un siège de sécurité restreint sur la ville occupée de Dakhla, au Sahara occidental, afin d’empêcher d’éventuelles manifestations en faveur de l’indépendance du territoire du Sahara occidental. Cette initiative vise à dissuader les Sahraouis dans les territoires occupés de protester pacifiquement pour leur droit à la liberté et à l’indépendance, et à appeler au retrait de l’occupation marocaine du Sahara occidental, a indiqué une source du ministère sahraoui des Territoires occupés et des Communautés à l’étranger. Les Forces marocaines ont procédé au verrouillage des différents quartiers de la ville occupée de Dakhla, et mené une large campagne d’arrestations et de la torture contre les jeunes Sahraouis. Cette situation est vivement dénoncée par des organisations internationales de défense des Droits de l’homme. Au Sahara occidental, des restrictions à la liberté de réunion et de manifestation continuent d’être imposées plus qu’ailleurs, a dénoncé le Réseau euro-méditerranéen des Droits de l’homme (REMDH) dans un rapport de mission. Le rapport rendu public sur une mission organisée au Maroc et au Sahara occidental, du 14 au 21 septembre 2014, afin d’y évaluer la situation en matière de respect des Droits de l’homme constate qu’«au Sahara occidental des restrictions à la liberté de réunion et de manifestation continuent d’être imposées plus qu’ailleurs. Les manifestations politiques et de solidarité sont systématiquement interdites ou réprimées dans la violence par les forces de police qui agissent en toute impunité». «La torture demeure également une pratique courante», fustige la REMDH, indiquant que «la situation des droits économiques et sociaux est négligée, et les libertés individuelles et publiques sont limitées par des contrôles de police draconiens. Par ailleurs, Western Sahara Resource Watch (WSRW) a publié un rapport détaillé révélant les entreprises impliquées dans le pillage du phosphate au Sahara occidental, avec la complicité des autorités d’occupation marocaines. La présentation du rapport a eu lieu dans la ville de Wellington en Nouvelle-Zélande, qui est considérée comme le troisième plus grand des pays importateurs des phosphates sahraouis. Sara Eyckmans, la coordinatrice de Western Sahara Resource Watch, a souligné que « ce commerce est profondément contraire à l’éthique, puisqu’il affaiblit directement les efforts de paix de l’ONU. Il s’effectue dans une violation du droit légitime du peuple sahraoui à gérer ses propres ressources », a souligné la coordinatrice de Western Sahara Resource Watch. Les Sahraouis ont le droit à l’autodétermination sur leur terres et des ressources, alors que le Maroc et les entreprises concernées ne semblent pas s’en soucier du tout », a-t-elle ajouté. En 2014, le rapport a indiqué que le volume de production a atteint 2,1 millions de tonnes, correspondant à une valeur estimative de 230 millions de dollars, par le suivi et l’analyse de l’ensemble du trafic des navires dans le port d’El-Ayoun, au Sahara occidental occupé. WSRW est en mesure de présenter une liste complète des expéditions de phosphate du territoire pour l’année 2014. L’Organisation attribue les achats à neuf compagnies identifiées et un importateur inconnu, dans neuf pays à travers le monde. Parmi elles, les entreprises Agrium Inc (Canada) et Lifosa AB (Lituanie) ont représenté 58% de tous les achats de phosphate du Sahara occidental.
    M. B.
  • ¿Hay manipulación en « Futuro Saharaui »?

    por Said Mahamud
    غضب في اوساط الجالية بعد اعداد اجراءات اعداد جواز السفر البيومتري
    He leído este titular en la revista futuro saharaui y me decepciona el rigor que tiene este medio para tratar los asuntos internos de nuestra sociedad saharaui. El artículo trata uno de los temas que más preocupan al conjunto de ciudadanos saharauis que viajan al exterior y en especial los que residen fuera de los campamentos de refugiados. El título propagandístico y alarmante convierte el asunto de los pasaportes biométricos en un problema sin serlo porque realmente no hay ninguna gestión en curso de los pasaportes, sino una solicitud de datos como propuesta para tramitar los pasaportes en el momento oportuno elegido por las autoridades Argelinas en coordinación con el Frente Polisario.
    Dicho artículo lleno de mentiras y con fines dudosos me confirma la poca credibilidad de los contenidos de algunos artículos que el futuro saharaui avala con su publicación y consentimiento. Como he dicho en otras ocasiones, los medios de comunicación son imprescindibles en cualquier sociedad porque informan y denuncian los hechos actuando con rigor y responsabilidad contrarrestando la información que se publica. En este caso y otros anteriores, la revista Futuro saharaui incumple sus objetivos y compromisos con el lector cuando en 1999 fundó su medio con el lema “sirve para la causa saharaui y no santifica a las personas”,es decir, trabaja para los intereses de la causa saharaui y no de los particulares. 
    Los inmigrantes saharauis afortunadamente están dispersos por todo el territorio Español y en cada comunidad hay una representación tanto de los inmigrantes como de la delegación del frente POLISARIO. En la labor difícil de obtener datos imprescindibles para tramitar los pasaportes biométricos que expide la Republica Democrática y Popular de Argelia a los ciudadanos saharauis, el Frente POLISARIO ha delegado esta función en la representación de los inmigrantes en España para un mejor funcionamiento y control de los datos de ciudadanos saharauis residentes en España que necesitan un pasaporte Argelino.
    Los saharauis debemos acatar las medidas que toma el Frente POLISARIO en materia de documentación porque es el único representante legitimo que reconocen las instancias internacionales y en este caso Argelia que nos ofrece la posibilidad de obtener un pasaporte reconocido en todo el mundo y que facilita a los saharauis viajar fuera de Argelia. Nuestro Gobierno considera que la oficina de la comunidad saharaui en Madrid es competente para hacer la labor junto con sus representantes en cada comunidad y lo que tenemos que hacer es facilitar la tarea a nuestros representantes en cada comunidad. Claro que hay que establecer unas reglas para tramitar el pasaporte biométrico y una de ellas es que cada ciudadano saharaui residente en España se inscriba en su correspondiente asociación de inmigrantes de su comunidad. Hay una responsabilidad grande ante las autoridades argelinas para cumplir sus leyes relacionadas con la expedición del pasaporte, los propios ciudadanos argelinos se someten a las normas exigidas por la ley para tramitar sus pasaportes como refleja su ley en los términos siguientes:
    و يقضي القانون المتضمن وثائق و سندات السفر 22 مادة تنص في مجملها على شروط و كيفيات إعداد و تسليم و تجديد سندات و وثائق السفر. و تعرف المادة 6 من القانون جواز السفر أنه « سند سفر فردي يمنح بدون شرط السن لكل مواطن ما لم يكن محكوما عليه نهائيا في جناية و لم يرد اعتباره ». و تنص نفس المادة على ان جواز السفر « يثبت هوية و جنسية حامله و يسمح له بمغادرة التراب الوطني أو العودة إليه طبقا للتشريع و التنظيم المعمول بهما « . و حدد القانون صلاحية جواز السفر بعشرة سنوات (10) و بخمس (5) سنوات بالنسبة للقصر الذين يقل سنهم عن تسع عشر (19) سنة. و تضمن النص أحكاما جزائية في المادة (17) التي تنص على ان كل شخص يزور أو يقلد أو يحرض على أي تحريف أو يتلف عمدا سندا أو وثيقة سفر أو يستعمل عمدا سندا أو وثيقة سفر مزورة أو مقلدة أو محرفة يتعرض الى العقوبات المنصوص عليها في قانون العقوبات. و تضيف المادة المذكورة سلفا انه في حالة ما « إذا مست الأفعال المذكورة أعلاه البيانات المخزنة في النظام البيومتري الالكتروني فتطبق العقوبات المنصوص عليها في قانون العقوبات ». و حسب المادة (20) من القانون فانه سيحدد تاريخ سحب جواز السفر غير البيومتري الالكتروني قيد التداول عن طريق التنظيم. 
    No creo que nada de lo que hemos visto en la circular relacionado con los pasaportes fuera extraño de entender, es un rayo de luz para muchos inmigrantes preocupados por lo que pueda pasar en noviembre próximo en el que caducan todos los pasaportes expedidos por Argelia a los ciudadanos saharauis y que debemos seguir las leyes Argelinas para tramitar un nuevo pasaporte biométrico. Intentar confundir a la gente con artículos como los que vemos últimamente en el futuro saharaui es faltar a la verdad y no defender el interés común de los saharauis.
    Si lo que se pretende es atacar a los representantes de la comunidad saharaui en Madrid como se ha hecho repetidas veces no se debe hacer con un tema tan importante como los pasaportes. Si una determinada asociación de inmigrantes saharaui con dirigentes que piensan diferente no quiere integrarse en el marco de las normas que establece nuestra representación en Madrid debe seguir otros cauces legítimos para denunciar su malestar y no aprovechar un medio que les da la voz las veces que quieren para escribir mentiras que aburren al lector y comprometen el prestigio de la revista. Vivo en una comunidad que todos nos hemos alegrado de que tengamos la posibilidad de tramitar nuestros pasaportes Argelinos en España y estoy seguro que es una alegría generalizada en toda España.
    Said Mahamud 
    Said.mahamu[at]yahoo.es
  • ¿Hay manipulación en el « Futuro Saharaui »?

    por Said Mahamud
    غضب في اوساط الجالية بعد اعداد اجراءات اعداد جواز السفر البيومتري
    He leído este titular en la revista futuro saharaui y me decepciona el rigor que tiene este medio para tratar los asuntos internos de nuestra sociedad saharaui. El artículo trata uno de los temas que más preocupan al conjunto de ciudadanos saharauis que viajan al exterior y en especial los que residen fuera de los campamentos de refugiados. El título propagandístico y alarmante convierte el asunto de los pasaportes biométricos en un problema sin serlo porque realmente no hay ninguna gestión en curso de los pasaportes, sino una solicitud de datos como propuesta para tramitar los pasaportes en el momento oportuno elegido por las autoridades Argelinas en coordinación con el Frente Polisario.
    Dicho artículo lleno de mentiras y con fines dudosos me confirma la poca credibilidad de los contenidos de algunos artículos que el futuro saharaui avala con su publicación y consentimiento. Como he dicho en otras ocasiones, los medios de comunicación son imprescindibles en cualquier sociedad porque informan y denuncian los hechos actuando con rigor y responsabilidad contrarrestando la información que se publica. En este caso y otros anteriores, la revista Futuro saharaui incumple sus objetivos y compromisos con el lector cuando en 1999 fundó su medio con el lema “sirve para la causa saharaui y no santifica a las personas”,es decir, trabaja para los intereses de la causa saharaui y no de los particulares. 
    Los inmigrantes saharauis afortunadamente están dispersos por todo el territorio Español y en cada comunidad hay una representación tanto de los inmigrantes como de la delegación del frente POLISARIO. En la labor difícil de obtener datos imprescindibles para tramitar los pasaportes biométricos que expide la Republica Democrática y Popular de Argelia a los ciudadanos saharauis, el Frente POLISARIO ha delegado esta función en la representación de los inmigrantes en España para un mejor funcionamiento y control de los datos de ciudadanos saharauis residentes en España que necesitan un pasaporte Argelino.
    Los saharauis debemos acatar las medidas que toma el Frente POLISARIO en materia de documentación porque es el único representante legitimo que reconocen las instancias internacionales y en este caso Argelia que nos ofrece la posibilidad de obtener un pasaporte reconocido en todo el mundo y que facilita a los saharauis viajar fuera de Argelia. Nuestro Gobierno considera que la oficina de la comunidad saharaui en Madrid es competente para hacer la labor junto con sus representantes en cada comunidad y lo que tenemos que hacer es facilitar la tarea a nuestros representantes en cada comunidad. Claro que hay que establecer unas reglas para tramitar el pasaporte biométrico y una de ellas es que cada ciudadano saharaui residente en España se inscriba en su correspondiente asociación de inmigrantes de su comunidad. Hay una responsabilidad grande ante las autoridades argelinas para cumplir sus leyes relacionadas con la expedición del pasaporte, los propios ciudadanos argelinos se someten a las normas exigidas por la ley para tramitar sus pasaportes como refleja su ley en los términos siguientes:
    و يقضي القانون المتضمن وثائق و سندات السفر 22 مادة تنص في مجملها على شروط و كيفيات إعداد و تسليم و تجديد سندات و وثائق السفر. و تعرف المادة 6 من القانون جواز السفر أنه « سند سفر فردي يمنح بدون شرط السن لكل مواطن ما لم يكن محكوما عليه نهائيا في جناية و لم يرد اعتباره ». و تنص نفس المادة على ان جواز السفر « يثبت هوية و جنسية حامله و يسمح له بمغادرة التراب الوطني أو العودة إليه طبقا للتشريع و التنظيم المعمول بهما « . و حدد القانون صلاحية جواز السفر بعشرة سنوات (10) و بخمس (5) سنوات بالنسبة للقصر الذين يقل سنهم عن تسع عشر (19) سنة. و تضمن النص أحكاما جزائية في المادة (17) التي تنص على ان كل شخص يزور أو يقلد أو يحرض على أي تحريف أو يتلف عمدا سندا أو وثيقة سفر أو يستعمل عمدا سندا أو وثيقة سفر مزورة أو مقلدة أو محرفة يتعرض الى العقوبات المنصوص عليها في قانون العقوبات. و تضيف المادة المذكورة سلفا انه في حالة ما « إذا مست الأفعال المذكورة أعلاه البيانات المخزنة في النظام البيومتري الالكتروني فتطبق العقوبات المنصوص عليها في قانون العقوبات ». و حسب المادة (20) من القانون فانه سيحدد تاريخ سحب جواز السفر غير البيومتري الالكتروني قيد التداول عن طريق التنظيم. 
    No creo que nada de lo que hemos visto en la circular relacionado con los pasaportes fuera extraño de entender, es un rayo de luz para muchos inmigrantes preocupados por lo que pueda pasar en noviembre próximo en el que caducan todos los pasaportes expedidos por Argelia a los ciudadanos saharauis y que debemos seguir las leyes Argelinas para tramitar un nuevo pasaporte biométrico. Intentar confundir a la gente con artículos como los que vemos últimamente en el futuro saharaui es faltar a la verdad y no defender el interés común de los saharauis.
    Si lo que se pretende es atacar a los representantes de la comunidad saharaui en Madrid como se ha hecho repetidas veces no se debe hacer con un tema tan importante como los pasaportes. Si una determinada asociación de inmigrantes saharaui con dirigentes que piensan diferente no quiere integrarse en el marco de las normas que establece nuestra representación en Madrid debe seguir otros cauces legítimos para denunciar su malestar y no aprovechar un medio que les da la voz las veces que quieren para escribir mentiras que aburren al lector y comprometen el prestigio de la revista. Vivo en una comunidad que todos nos hemos alegrado de que tengamos la posibilidad de tramitar nuestros pasaportes Argelinos en España y estoy seguro que es una alegría generalizada en toda España.
    Said Mahamud 
    Said.mahamu[at]yahoo.es
  • Los “éxitos” de Zapatero en el Sáhara ocupado por Marruecos: El desmentido de Ban Ki-moon y el rechazo en España

    El expresidente del Gobierno José Luis Rodríguez Zapatero se trajo de su estancia en el Sáhara Occidental ocupado por Marruecos, donde asistió al Crans Montana Forum de Dajla, un desmentido del Secretario General de la ONU, Ban Ki-moon, y el rechazo generalizado en España, incluido el del Gobierno.
    La celebración del Foro en Dajla fue denunciado por las autoridades de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) y del Frente Polisario como un intento de dar legalidad internacional a la ocupación marroquí del Sáhara Occidental, con la complicidad de la organización suiza Crans Montana y en especial de su presidente, Jean-Paul Carteron. La ONU, Unión Africana, Unión Europea, UNESCO y otras instituciones internacionales vetaron el Foro por celebrarse en un Territorio No Autónomo pendiente de descolonización.
    El anuncio de Crans Monstana y de las autoridades marroquíes de que el Foro iba a reunir del 12 al 14 de marzo a “jefes de Estado y de Gobierno, ministros…” se quedó en responsables de países como Macedonia, Guinea, Mali, Dominica y las Islas Salomón. Entre las altas “personalidades de innegable prestigio internacional” a las que Mohamed VI dio la bienvenida en su discurso leído por Jefe de Gobierno marroquí, Abdelilah Benkirane, ya que el rey no acudió a Dajla, se encontraban el expresidente español José Luis Rodríguez Zapatero, el expresidente chileno Ricardo Lagos, el reverendo estadounidense Jesse Jackson o el asesor personal del secretario general de la ONU para las formas innovadoras de financiación del desarrollo, Philippe Douste Blazy.
    Ante las múltiples críticas a Zapatero por acudir a Dajla, con lo que supone de respaldo a Marruecos, la presencia del francés Philippe Douste fue aprovechada por el expresidente socialista para justificar su estancia en la antigua Villa Cisneros diciendo que se trataba de un foro de “pluralidad evidente” , en el que había intervenido “el secretario general adjunto de la ONU en nombre del secretario general” y que “por tanto no hay más que decir; aquí, como es muy notable, hay representantes de todo el mundo ».
    La respuesta de Ban Ki-moon fue rápida y contundente. La intervención de Philippe Douste, sobre el que matizo no es secretario general adjunto, solo asesor para temas financieros, era “privada” y no le representaba ni a él ni a Naciones Unidas. Aprovechó para decir que Dajla no es una ciudad de Marruecos como la presenta el Foro, es “una ciudad del Sáhara Occidental bajo control marroquí” y su estatuto definitivo “objeto de un proceso negociador desarrollado bajo los auspicios del secretario general partiendo de las resoluciones de Naciones Unidas ».
    En España las protestas contra Zapatero, además de la condena de las asociaciones solidarias con el pueblo saharaui, fueron numerosas. Desde Izquierda Unida se denunció una actitud « cómplice y vergonzosa » con la « ocupación militar e ilegal » al asistir al foro de Crans Montana, un « lobby pro-marroquí », y simpatizantes de la causa saharaui se congregaron el 13 de marzo ante la sede del PSOE en Madrid, en la calle de Ferraz. El portavoz adjunto socialista en la Comisión de Exteriores del Congreso, Alex Sáez, evitó el día anterior apoyar el viaje e insistió en que no había cambiado la posición de su partido. Más concreto fue el presidente de la Diputación Provincial de Ciudad Real, el socialista Nemesio de Lara, quien dijo no compartía la presencia de Zapatero en el Foro.
    No se quedó fuera el Gobierno de España. Además de su habitual declaración oficial sobre la “necesidad de una solución política urgente, justa y definitiva a este conflicto en el marco del Consejo de Seguridad de Naciones Unidas, de acuerdo a la legalidad”, aprovechó para recordar que la Unión Africana solicitó la cancelación del foro por ser ilegal conforme al derecho internacional. La vicepresidenta y portavoz del Gobierno, Soraya Sáenz de Santamaría, pidió « prudencia » a Zapatero y criticó que no hubiese sido consciente de las implicaciones de un viaje « de esa naturaleza ».
    El objetivo marroquí al patrocinar la 26 reunión del Crans Montana Forum en Dajla quedó patente en el discurso de Mohamed VI al dar la bienvenida a los asistentes “a Marruecos y de modo muy particular a la ciudad de Dajla, perla del Sur del Reino”, así como al referirse a “la tierra del Sáhara marroquí” y a un modelo de desarrollo que emana de una visión política “basada en la regionalización avanzada”.
    La intervención de Rodríguez Zapatero en el Foro, con un gran retrato de Mohamed VI y un mapa en el que el Sáhara Occidental forma parte de Marruecos, estuvo “llena de lugares comunes (solidaridad, paz, religión, el papel de la mujer, derechos humanos) y vacío de contenido, según el blog Poemario por un Sáhara Libre del poeta Bahia Mahmud Awah. “Un vergonzoso discurso en un territorio ocupado ilegalmente, militarizado, donde los observadores internacionales tienen muchas dificultades para hacer su trabajo, están prohibidas las asociaciones saharauis, las manifestaciones, se expolian los recursos naturales y la población civil saharaui sufre todo tipo de abusos y violaciones de derechos humanos, con especial violencia contra las mujeres (esas que tanto “preocupan” a Zapatero), con más de 500 desaparecidos, fosas comunes y con cerca de ochenta presos políticos saharauis sufriendo las cárceles marroquíes”.
    Para el Gobierno de la RASD el Foro ha sido un rotundo fracaso, después de tanto esfuerzo financiero y despliegue diplomático “dada la escasa participación y el boicot masivo de un acontecimiento exagerado por la prensa y que no puede ocultar una propaganda grotesca y un dispositivo represivo militar o policial desplegado con esta ocasión”, según el ministro de Asuntos Exteriores saharaui, Mohamed Salem Ould Salek. La agencia oficial saharaui SPS publicó que “ningún jefe africano o personalidad de primer plano participó en esta mascarada cuyo propósito es desafiar a la comunidad internacional”.
  • L’ONU dément sa participation au Forum de Crans-Montana

    NEW YORK – L’Organisation des Nations Unies (ONU) a démenti samedi sa participation au Forum de Crans-Montana qui se tient actuellement à Dakhla, dans les territoires occupés du Sahara occidental.
    Dans une note adressée aux correspondants de presse, l’ONU a précisé que son Secrétaire général  » a été invité à ce Forum, mais a informé son président qu’il ne pouvait pas y assister » et qu’ »il n’a pas délégué M.
    Philippe Douste-Blazy ou quelqu’un d’autre pour le représenter,lui ou les Nations Unies ». L’ONU a souligné que M. Douste-Blazy, qui occupe le poste de conseiller spécial du Secrétaire général sur les financements innovants, participe au Forum « exclusivement à titre privé ».
    « Alors que Dakhla est décrite dans les matériaux du Forum comme étant une ville du Maroc, le statut définitif du Sahara occidental fait l’objet d’un processus de négociations mené sous les auspices du Secrétaire général, conformément aux résolutions pertinentes des Nations Unies »,a rappelé l’ONU dans sa note.
  • L’agence marocaine MAP veut maquiller l’échec du Forum de Dakhla en s’acharnant sur l’Algérie

    Après les graves anathèmes proférés par le ministre des Affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar, en juillet dernier, l’agence officielle MAP accuse l’Algérie de faire dans «la manipulation» et «la désinformation sordide», en s’attaquant haineusement à l’APS. 
    Dans une dépêche parue aujourd’hui samedi, l’agence marocaine en veut à l’APS pour avoir repris l’extrait d’une déclaration peu flatteuse pour le Maroc prononcée par le ministre espagnol des Affaires étrangères, dans laquelle celui-ci considérait que l’organisation du Forum Crans-Montana dans la ville occupée de Dakhla était «illégale, en vertu du droit international». 
    La MAP estime que ces propos auraient été déformés, et espère voir le chef de la diplomatie espagnole intervenir lui-même pour y apporter un démenti et «rétablir la vérité». L’agence crie alors au «sabotage» qui, selon le rédacteur, «montre aussi la haine de ceux qui la commandent face aux succès (sic) que rencontre le Maroc sur la scène internationale en tant que partenaire écouté et respecté comme le montrent encore aujourd’hui l’affluence et la grande qualité des participants au Forum Crans Montana» (resic). 
    Or, ce que la MAP feint ignorer, ici, c’est que la déclaration attribuée au chef de la diplomatie espagnole a d’abord été rapportée par le grand journal madrilène El Pais.
    S’il est de bonne guerre pour ce canal de propagande officielle marocaine de maquiller le fiasco qu’a connu ce Forum organisé à Dakhla, après la défection de plusieurs pays qui avaient, d’emblée, contesté cette ruse visant à cautionner un fait colonial, sous couvert d’activité économique, rien n’aurait inspiré aux Marocains cette nouvelle croisade contre leurs voisins de l’est si tout avait bien marché pour eux. 
    Cela dit, Alger devrait réagir sereinement, mais avec la fermeté voulue face à ces dérives répétées qui dénotent une inquiétante fuite en avant en raison des échecs essuyés dernièrement par le Makhzen. 
    La farce de Dakhla, rendez-vous et galerie des has been qui ne représentent que leur petite personne dans le cadre d’une excursion exotique payée de la cassette royale, en est le dernier exemple qui démontre clairement que les nerfs des hauts responsables commencent à lâcher.
    R. Mahmoudi