Mois : avril 2014
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Marruecos quiere anticipar el debate del Consejo de Seguridad sobre los derechos humanos en el Sáhara Occidental
Como ya es habitual desde hace 22 años, el Consejo de Seguridad de las Naciones Unidas se dispone a renovar el mandato de la eterna misión de la ONU para el Referéndum del Sáhara Occidental ( MINURSO).La tensión se monta en ambos lados de las partes beligerantes. En Marruecos, el gobierno multiplica los gestos simbólicos para anticipar una eventual decisión del Consejo de Seguridad de ampliar el mandato de la MINURSO a la vigilancia de los derechos humanos en el Sáhara Occidental y los campamentos de refugiados saharauis en Tinduf. Una especie de válvulas de escape para aliviar la presión que se acumula con el fin de obligar a Marruecos a cumplir con sus compromisos.En las fronteras de Ceuta y Melilla, Rabat aumenta la presión sobre España a quien también pide dinero para reprimir los asaltos de los subsaharianos.Por su parte, el Frente Polisario acenuta la presión sobre la ONU para poner fin a la represión practicada por Marruecos con el apoyo de Francia. Una situación que podría prender fuego en toda la región, según dos ex responsables de la MINURSO, Frank Rudy y Peter van Walsum.Del lado saharaui, el riesgo de decepción es fuerte debido a la legendaria posición de apoyo de Francia a la colonización marroquí y a las violaciones de los derechos humanos cometidas contra un pueblo que nunca ha conocido la Declaración Universal de Derechos Humanos. Una decepción cuyas consecuencias podrían ser fatales para los intereses de Francia en la región. -
Le Maroc veut anticiper le débat du Conseil de Sécurité sur les droits de l'homme au Sahara Occidental
Comme c’est devenu habituel depuis plus de 22 ans, le Conseil de Sécurité de l’ONU s‘apprête à renouveler le mandat de l’éternelle mission des Nations Unies pour le Référendum au Sahara Occidental (MINURSO).La tension monte des deux côtés des belligérants. Au Maroc, le gouvernement multiplie les gestes symboliques pour anticiper l’éventuelle décision du Conseil de Sécurité d’élargir le mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental et aux camps de réfugiés sahraouis de la région de Tindouf. Une sorte de valves d’échappement pour évacuer la pression qui s’accumule en vue d’amener le Maroc à respecter ses engagements.Dans les frontières de Ceuta et Melilla, Rabat accentue la pression sur l’Espagne qui est priée de débourser de l’argent pour réprimer les assauts des subsahariens.De son côté, le Front Polisario accentue la pression sur l’ONU en vue d’arrêter la répression pratiquée par le Maroc avec le soutien de la France. Une situation qui risque de mettre le feu dans toute la région, selon les deux anciens responsables de la MINURSO, Frank Rudy et Peter Van Walsum.Du côté sahraoui, les risques de déception sont forts à cause de la légendaire position de soutien de la France à la colonisation marocains et aux violations des droits de l’homme commises contre un peuple qui n’a jamais connu la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Une déception dont les conséquences risquent d’être fatales pour les intérêts de la France dans la région. -
Le nouveau mensonge d’Ali Anouzla
Ali Anouzla est le prototype du citoyen marocain que nous avons toujours dénoncé dans nos écrits. Ce marocain qui défend avec bec et ongles le mensonge de la marocanité du Sahara Occidental. Pire encore, il embrasse, consciemment ou inconsciemment, les mensonges de la MAP sur le Front Polisario et les réfugiés sahraouis.Il fait partie de cette couche d’intellectuels marocains qui ont décidé de soutenir le Makhzen dans la question du Sahara Occidental en vue de réaliser leurs objectifs personnels.Dans une de ses dernières sorties, Anouzla prétend que le front Polisario continue d’imposer sa volonté sur les réfugiés sahraouis à Tindouf. Son torchon rappelle, à la nausée, les délires de la MAP pour monter le peuple marocain contre le courage d’un peuple pour défendre sa cause et le sol de sa patrie.Anouzla ressemble étrangement ce chien qui, par peur, obéît davantage à celui qui le maltraite. Mais les chiens aboient et la caravane de la liberté passe, qu’Anouzla le veuille ou pas. Lui et son genre d’enfants de la MAP sont incapables de comprendre que seule une conviction nationale solide peut être derrière la pérennité de ce conflit qui dure déjà près de 40 ans. Le lait qu’ils ont tété de leur maître, le Makhzen, était trop toxique.Au malheur de ces marocains, la causa sahraouie survivra tant qu’il y aura un sahraoui sur terre.
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Des ex-fonctionnaires de l’ONU écrivent au président français
Les ex-représentants du SG de l’ONU pour le Sahara occidental, Frank Ruddy et Peter Van Walsum ont demandé au président français, François Hollande de ne pas s’imposer contre l’inclusion de la surveillance des droits de l’homme au sein du mandat de la mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental (Minurso), afin de sauver la paix et la stabilité dans la région, selon une lettre publiée sur le site de Western Sahara Action Forum.« Nous vous demandons de faire un appel pressant pour doter la Minurso d’un mécanisme de surveillance des droits de l’homme », ont-ils écrit, exprimant « leur grande préoccupation des sentiments d’inquiétudes chez les jeunes sahraouis qui pourront nourrir les bases de la violence potentielle future, les conflits et même l’extrémisme et le terrorisme dans la région ».Ils ont également attiré l’attention sur le lien entre ces sentiments de frustration et le grand nombre de violations des droits de l’homme perpétrées par les autorités marocaines contre les Sahraouis. Le rapporteur spécial de l’ONU pour la torture affirme avoir entendu « des témoignages crédibles relatifs à la torture et aux mauvais traitements dans la prison d’El Aaiun, y compris le viol, la torture et l’isolement pendant plusieurs semaines, en particulier des détenus accusés de participation aux pro-activités de l’indépendance », ont-ils rappelé.« Il est vital que nous prenions des mesures préventives afin de désamorcer les tensions au Sahara occidental et d’éviter une répétition du Mali qui pourrait mettre en danger la sécurité française et occidentale et nécessiter une intervention similaire difficile », ont-ils averti.http://www.horizons-dz.com/?Des-ex-fonctionnaires-de-l-ONU -
Le Polisario prévient le Conseil de Sécurité du risque de l’entêtement du Maroc au Sahara Occidental
Sahara Occidental : Le Polisario saisit le Conseil de sécuritéLe Front Polisario a avisé lundi le Conseil de sécurité de l’ONU du »risque réel » du Maroc à vouloir continuer à bloquer le processus de négociation dans le but de »conforter » son occupation illégale du Sahara occidental.»Dans le cas où le Conseil de sécurité n’assumerait pas sa responsabilité quant à la décolonisation des territoires sahraouis occupés, il existe alors un risque réel du Maroc à continuer à bloquer le processus de négociation dans le but de conforter son occupation illégale du Sahara occidental », a mis en garde le représentant du Front Polisario à l’ONU, M. Ahmed Boukhari, dans sa lettre adressée à la présidente du Conseil de sécurité.Or, a-t-il soutenu, le rôle du Conseil de sécurité »est de maintenir la paix et la sécurité internationales en veillant à ce que le processus de décolonisation soit achevé ». Cette lettre a été adressée à l’organe de décision de l’ONU en prévision de la tenue, le 17 avril, de sa consultation informelle avec l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, M. Christopher Ross, et le Représentant spécial et Chef de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), M.Wolfgang Weisbrod-Weber, et ce, avant de se prononcer sur un projet de résolution sur le dossier sahraoui vers la fin du mois en cours.A ce propos, le représentant sahraoui a réitéré que le Front Polisario demeurait constamment »ouvert à une reprise des pourparlers directs » avec le Maroc, ajoutant que la »volonté apparente », exprimée récemment par la récente lettre du ministre marocain des Affaires étrangères adressée au Secrétaire général de l’ONU, de vouloir coopérer avec les efforts en cours de l’ONU »est un tout nouveau développement qui doit se traduire rapidement en actions concrètes sans conditions préalables ».Présentant le point de vue du Front Polisario sur l’état actuel du processus politique mené par l’ONU sur le Sahara occidental ainsi que ses perspectives d’avenir, M. Boukhari a aussi réaffirmé la volonté constante du Front Polisario à coopérer pleinement avec M. Christopher Ross dont il a salué les efforts menés jusqu’à maintenant. Il a, néanmoins, noté que si le Maroc avait accepté de respecter les accords passés conclus en 1991 avec le Front Polisario et approuvés par le Conseil de sécurité, le conflit sur le Sahara Occidental aurait été résolu depuis plus de deux décennies par la tenue d’un référendum dont la mise en oeuvre a été, pourtant, la raison pour laquelle fut créée la MINURSO.Dans ce sens, il a regretté que le Maroc ait »saboté » ces accords »après avoir placé des obstacles sur le chemin de la tenue d’un référendum ». Par ailleurs, le ministre sahraoui des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Salek a salué, lundi au camp des réfugiés sahraouis de Chahid El Hafed, le « bon qualitatif » que connaissent les médias sahraouis, indique l’Agence de presse sahraouie (SPS). Ancien ministre de l’Information (1976), M. Ould Salek qui intervenait à l’occasion de la célébration du 15ème anniversaire de la création de SPS, a affirmé que les médias sahraouis « constituent une source intarissable pour la diplomatie sahraouie », précisant que les diplomates sahraouis les plus chevronnés avaient exercé en tant que journalistes avant de rejoindre le corps diplomatique.L’occasion était pour le ministre sahraoui de rappeler les efforts consentis par les journalistes sahraouis durant les années 70 « alors qu’ils ne disposaient que de moyens modestes pour exploiter et transmettre les informations ». Le principal enjeux des médias consiste, aujourd’hui, à « lever le voile sur la souffrance des Sahraouis qui croupissent sous le joug de l’occupation marocaine », a-t-il ajouté mettant en garde contre les tentatives visant à aliéner l’identité et la culture sahraouies. M. Ould Salek a appelé les médias sahraouis à « faire preuve d’un sens élevé de responsabilité dans l’accomplissement de leur mission face à la politique colonialiste marocaine ». A cette occasion, le ministre sahraoui s’est recueilli à la mémoire des martyrs du devoir qui ont voué leur vie au service de la cause de leur pays.http://www.tribunelecteurs.com/fichier/9_4_2014/polisario.html -
Visite de courtoisie au président du Sénat du Rwanda
L’ambassadeur de la RASD Habib Boukhreis a éré reçu mardi en audience par l’honorable Dr Ntawukuliryayo Jean Danscene, président du Sénat de la République du Rwanda.Les entretiens ont porté sur l’historique di conflit du Sahara Occidental ainsi que les derniers développements de la situation. La question du non-respect par le Maroc des droits de l’homme aux territoires occupés et la nécessité de donner mandat à la MINURSO ou un autre organisme des Nations Unies pour surveiller les dits droits a été souligné par les deux personnalités.Dr Ntawukuliryayi a dénoncé avec force ces pratiques d’un autre âge perpétrées par le Maroc contre des manifestants pacifiues revendiquant leurs droits à la liberté et l’indépendance.Il a en outre réitéré le soutien de son pays à la juste cause du peuple sahraoui et a exprimé sa sympathie avec les victimes de la frépression. « La République sahraouie sera victorieuse. C’est le sens de l’histoire », a-t-il conclu. -
L'agence de presse sahraouie a 15 ans
Dans un contexte de guerre médiatique entre le peuple sahraoui et le Maroc sur le Sahara Occidental, l’agence de presse sahraouie (SPS) a célébré, lundi dernier, son 15e anniversaire dans le camp Chahid El Hafed.
Salek Meftah, son directeur, a appelé à « observer les règles de crédibilité et de professionnalisme » qui ont présidé à la mise en place de l’agence appelée à connaître un développement de ses services avec l’introduction de « nouvelles technologies de l’information pour consacrer, dans la faits, la réalité de la République arabe sahraouie démocratique ».
Le ministre de l’Information, Mohamed Elmami Tamek, a indiqué que « le secteur de l’information dans lequel SPS joue un rôle pionnier continuera de combattre par tous les moyens les tentatives d’aliénation de la culture et de l’identité du peuple sahraoui ».
Des attestations de reconnaissance ont été remises à des représentants d’Algérie Presse Service et à des journalistes des médias de France, du Pérou, de Russie et d’Espagne. Un hommage à titre posthume à été rendu à Mohamed Fadel Ismaïl, ancien ministre de l’Information et l’un des fondateurs de SPS. Des distinctions ont été décernées aux journalistes sahraouis travaillant dans les territoires occupés. -
Argelia, entre la defensa de su soberanía y el chantaje occidental
Ningún gobierno está exento de los intereses y del chantaje de las potencias occidentales. Mucho menos si es reservorio de significativas reservas de petróleo y gas (12 mil millones de barriles en petróleo y 4.500 miles de millones de metros cúbicos de gas) que posee la República Argelina Democrática y Popular (RADP) [1].Era de esperar que occidente (principalmente Estados Unidos y Francia) también tenga sus manos metidas, hasta el fondo, en la actual disyuntiva que enfrenta el pueblo argelino, y pretenda aprovechar la actual coyuntura política electoral, que tendrá lugar próximamente en la RADP, para imponer sus groseros intereses a través de sus más fieles representantes.Luego de la revolución argelina, que puso fin al colonialismo francés en 1962 y proclamó el carácter socialista de dicha revolución, el pueblo argelino ha experimentado el retroceso en las políticas socialistas luego de la desaparición física del líder revolucionario Huari Bumedian (1925-1978), bajo el mandato del derechista Chadli Benyedid, en 1981, quien terminó por imponer políticas de apertura a Occidente. Nuevamente, Argelia enfrenta el dilema por una posible sucesión que podría definir su futuro.Un poco de historia reciente.Las rebeliones populares árabes (“Primavera Árabe”) iniciadas en el año 2010 en Túnez y Egipto, no alcanzaron a la RADP gracias a la rápida intervención del gobierno del Presidente Abdelaziz Bouteflika, que hizo una serie de concesiones políticas, reforzó la seguridad nacional y utilizó los ingresos provenientes de las ventas de los hidrocarburos para calmar las incipientes protestas registradas sólo en algunas pocas localidades de ese país.De esta forma, el gobierno impidió que el caos se apoderara de Argelia, y los aparatos de seguridad lograron neutralizar rápidamente a los grupos yihadistas que aprovecharon la coyuntura política-social de toda la región, así como el apoyo militar brindado por Francia y Estados Unidos, que habían iniciado acciones terrorista en Libia, teniendo como segundo objetivo a la RADP. El gobierno argelino no iba a permitirse bajo ninguna razón o circunstancia que su país volviera a ser presa de los grupos yihadistas (Frente Islámico de Salvación), que provocaron los sangrientos episodios de la guerra terrorista suscitada en 1991.Las rápidas políticas económicas y de seguridad desarrolladas por el gobierno de Bouteflika permitieron que éste ganara suficiente fortaleza política y el apoyo popular de las masas para poder presentarse, nuevamente, a las próximas elecciones presidenciales programadas para el 17 de abril del presente año. Muchos reconocen a Bouteflika como un factor importante para el mantenimiento de la estabilidad, la seguridad y la unidad nacional en ese país.Sin embargo, se produce un revés en esta nueva coyuntura, derivado del accidente cerebro-vascular (ACV) adolecido por el Presidente Bouteflika en abril de 2013, se ha generado un debate político interno en Argelia sobre un posible escenario de traspaso del poder, alimentado principalmente por las pocas apariciones públicas y discursos del mandatario desde que sufrió dicha enfermedad.Situación ActualEl pasado 22 de febrero, el Primer Ministro Abdelmalek Sellal, anunció la candidatura del Presidente Bouteflika. El Presidente hizo entregar su Carta de Intención. El Primer Ministro aseguró que a pesar de que el Presidente Bouteflika no se ha recuperado totalmente de la enfermedad, éste goza de todas sus capacidades mentales e intelectuales para seguir gobernando, y que la postulación a un cuarto mandato se da por la insistencia y el apoyo del pueblo argelino.El Presidente Bouteflika recurre a la fortaleza de su gestión gubernamental, es decir, a la estabilidad y seguridad que ha prevalecido en Argelia bajo su gobierno. Tomando en cuentan que éste país es considerado por occidente como aliado clave en la lucha contra el terrorismo en la región (franja septentrional de África).La candidatura del Presidente Bouteflika es respaldada por los partidos de gobierno Frente de Liberación Nacional (FLN) y la Agrupación Nacional Democrática (RND), así como también, por pequeños partidos como el Partido del Renuevo Argelino y Alianza Nacional Republicana. Sin embargo, el anuncio de la candidatura de Bouteflika es criticado por el principal partido aliado del gobierno, Movimiento Social por la Paz (MSP), y por otros como el Djil Djadid (Nueva Generación) y el Movimiento Ennahda; los cuales han hecho llamados a boicotear el proceso electoral por considerar que no están garantizadas las condiciones para la celebración de unas elecciones libres y transparentes.La estabilidad que ofrece el Presidente Bouteflika no termina de convencer a un sector de la clase política argelina, que ven su candidatura como un intento para perpetuarse en el poder. Ese sector manifiesta desconfianza en la capacidad física e intelectual del Presidente para continuar gobernando y argumentan que en las pocas apariciones públicas que ha hecho el mandatario argelino se le ha visto en silla de ruedas y con dificultades para hablar.Algunos medios internacionales como El País de España aseguran que existen fracturas entre el FLN y el Servicio Secreto Militar Argelino (dos de las instituciones más poderosas de Argelia). Según este medio, el servicio secreto ha hecho público una serie de actos de corrupción, donde están involucrados altos funcionarios del Ejecutivo. [2]Las manifiestas contradicciones entre los altos funcionarios del Estado pudieran provocar divisiones en el seno de la sociedad argelina, debilitar la seguridad del Estado y facilitar la infiltración dentro del territorio argelino de los grupos yihadistas-terroristas que operan en la zona del Magreb. Situación en la que occidente pudiera sacar mayor provecho político para imponer a sus lacayos más serviles como candidatos para las próximas elecciones presidenciales. El Presidente Bouteflika ha hecho un llamado en los últimos días a la unidad y al respeto entre las instituciones públicas.A pesar de que un sector de la clase política no apoya las aspiraciones del Presidente para un cuarto mandato, éste sigue gozando de un importante apoyo popular. El pasado 03 de marzo presentó en persona al Consejo Constitucional su candidatura, con más de un millón de firmas recolectadas en todo el país respaldando sus aspiraciones para un nuevo mandato.Otra vez China como pretexto de las hienasUno de los intereses de occidente por acabar con el gobierno nacionalista de Bouteflika es la creciente penetración de China en el continente africano, siendo Argelia (y en particular bajo el gobierno de Bouteflika) uno de los principales socios en la región del gigante asiático. Esto se ve reflejado en la profundización de las relaciones que tuvo lugar el pasado 24 de febrero, donde la relación bilateral entre estos países fue llevada a una asociación estratégica, siendo la primera que establece la nación asiática con un país árabe. [3]Aunque la mayor parte de las exportaciones de África a China son de petróleo. También China exporta hacia África equipamiento para transporte y comunicaciones, además de maquinaria y productos electrónicos. De las exportaciones que se dan desde África hacia China, un 70% son de petróleo y gas natural, un 15% de minerales y metales y un 10% de manufacturas [4], lo que ha permitido diversificar las relaciones con ese continente.El gigante asiático que experimenta un impresionante crecimiento anual de entre 8 y 10% de producto interno bruto (PIB), necesita cada día de más y mejores fuentes de materia prima. Su primer contrato de importación de petróleo con África fue en 1998 con Nigeria. Pero el comercio de crudo con China no ha dejado de aumentar. A la lista se agregaron nuevos países que exportan crudo a China, tales como Angola, Argelia, Sudán, La República del Congo, Guinea Ecuatorial y Egipto.China está llevando a cabo una agresiva estrategia de expansión y reposicionamiento en África, que ha conducido a muchos analistas a formular opiniones encontradas. Unos consideran que la estrategia de China constituye una forma de neocolonialismo, pero menos agresivo que aquel llevado a cabo por occidente en África desde el XVIII hasta la actualidad.Otros consideran que China está otorgando verdaderas oportunidades de desarrollo a las naciones africanas, con beneficios compartidos y sin injerencia en los asuntos internos de esos países. China rechaza la acusación de ser una potencia neo-imperialista, y siempre se ha preocupado por destacar que su balanza comercial con África es equilibrada, además de que los créditos que ofrece a los países africanos son blandos y sin las condicionalidades que impone el Fondo Monetario Internacional y el Banco Mundial, que exigen duros planes de ajuste a cambio de financiamiento.Occidente (Estados Unidos y la Unión Europea), que se ve afectado por la crisis estructural del sistema capitalista, ve cada día con mayor oposición a los gobiernos que levantan banderas de soberanía nacional y desarrollan acuerdos bilaterales con potencias como China.Por esta razón, el gigante asiático se ha convertido en un real dolor de cabeza para las transnacionales francesas y estadounidenses que cada día ven perder sus mercados y fuentes de materias primas, frente a los atractivos negocios que proyectan los capitales chinos.El papel del Frente de Liberación Nacional (FLN)El partido de gobierno FLN que ha dominado la dinámica política argelina desde la independencia en 1962, de ideología panarabista, y que aglutina a sectores militares nacionalistas y a políticos de corte bumedianistas y reformistas; entiende el tablero del juego del geopolítico occidental que se desarrolla en toda la región. El FLN comprende las amenazas que se ciernen contra su país, rodeado de países poco amigables como Libia, Mali y Marruecos que cuentan con presencia y apoyo de la Organización del Tratado Atlántico Norte (OTAN).Por otra parte, el gobierno argelino ha procurado mantener estables las amplias relaciones económicas con occidente, principalmente con Europa, puesto que por su ubicación geográfica este mercado el resulta natural y el más importante para la colocación de sus hidrocarburos. En efecto, gasoductos submarinos conectan a Argelia con Europa, con importantes proyecciones futuras [5].La RADP es un país soberano, el FLN mantiene un rol importante en materias sensibles de política exterior como su apoyo al Frente Polisario (a la República Árabe Saharaui Democrática), que lucha por la liberación de sus territorios del colonialismo marroquí; ha mostrado su respaldo al gobierno del Presidente sirio, Bashar al Asad, quien se enfrenta a grupos islamistas y terroristas que intentan hacerse del control político de esa nación, apoyados por occidente; también ha procurado que las alianzas económicas y comerciales que mantiene con occidente no sean impedimento para la diversificación de sus mercados con nuevos socios como China. Obviamente, esto irrita mucho a los arrogantes de occidente.Fuentes -
Príncipe Mulay Hicham: No se puede solucionar el conflicto del Sahara sin democracia en Marruecos
Apodado como “El Príncipe Rojo” por su postura iconoclasta sobre la monarquía marroquí, Moulay Hicham El-Alaoui de 50 años tuvo siempre mucha reincidencia. En el Diario de un príncipe desterrado (Grasset), que se publicará el 9 de abril, el primo de Mohamed VI ofrece un retrato íntimo de la feroz corte cherifiana donde fue criado. El autor, que vive desde el año 2002 en los Estados Unidos, como una forma de reivindicación para la abolición del poder del Makhzen, un término que ha designado el tribunal, las instituciones relacionadas con el palacio así como los consejeros reales más cercanos al rey.¿Por qué publicar un libro hoy que empezó a escribir allá en el año 2007?A comienzos de los 90, fui consiguiendo gradualmente mi libertad, mi libertad crítica y mi libertad intelectual. No solamente la conquisté, sino también la defendí con uñas y dientes. Este libro es la culminación de este pensamiento libre al cual estoy apegado. Poco a poco, me sometí a una transformación que me ha convertido en un extranjero, no en Marruecos, pero un extraño en la familia y en el entorno en el que crecí. Sentí que en mi trayectoria, una secuencia ha sido cerrada y de que algo ha cambiado profundamente con la “primavera árabe”. Todo lo que he estado diciendo desde hace años ahora es un tema candente.Quiero iluminar a la gente, contribuir al debate y en este caso concreto, hacerles llegar una parte de la historia contemporánea de mi país. Fui el centro del reactor. Muchos dirán: “Se cayó del carruaje y quiere volver.” “No. En mi cultura, no es así como se regresa. Se regresa de forma intrigante, haciendo las paces de una forma honorable.Usted dice que no pretende reclamar ningún papel, pero no usted no prohíbe nada…Eso es correcto. No sabemos de qué está hecho el futuro. Si se hubiera presentado la ocasión, habría aportado mi contribución, pero no creo que venga del Palacio. Ello depende de la interacción de las fuerzas en un momento determinado: ¿va a ser un escenario de ruptura, de un cambio apaciguado? ¡Ni idea! Pero me fui de mi casa y no regresaré.Usted afirma que se debería desmantelar el “Makhzen”. ¿Pero esto no es lo que constituye la monarquía?El “Makhzen” se basa en la monarquía para vivir y la monarquía se basa en el “Makhzen” para vivir a su manera; es una relación simbiótica y debe ser redefinida por completo esta interdependencia. El ejercicio de tres reyes que se han sucedido tras la independencia- era mantener esta dualidad, cada uno a su manera. Pienso que Marruecos no puede evolucionar mientras exista la figura del “Makhzen”. Y en caso de que no pueda, es la monarquía quien pague su precio. Acabar con la figura del “Makhzen” es esencial. Este es un poder neo-patrimonial que impide el desarrollo económico, un sistema de depredación y de subyugación. Lo que significa que no se puede liberar las energías económicas y por tanto no se podrá elevar agua de la fuente. El segundo componente es la creación de un Estado verdaderamente moderno, un Estado de Derecho. Hoy en día tenemos una monarquía con una Constitución pero no tenemos una monarquía constitucional como tal.Usted parecía más indulgente a su tío Hassan II al final de su reinado que a su primo Mohamed VI…Indulgencia no es la palabra adecuada. Pero al final del reinado de Hassan II se vio en un callejón sin salida. Pero cuando Mohamed VI llegó al poder, heredó una situación de consenso sin precedentes así como el apaciguamiento de la monarquía marroquí.Es la primera vez que el traspaso del trono se llevó a cabo en unas condiciones favorables, todas las demás tuvieron lugar en épocas de disturbios y tensiones. Al principio, Mohamed VI, vaciló. Pero, en última instancia, nos hemos quedado en la misma lógica. Se trata de una cita perdida con la historia.Bajo el reinado de Hassan II, se fue alternando con un gobierno socialista cooptado. Esto podría conducir a la democracia. ¿Qué hizo Mohamed VI? Abandonó la lógica democrática con un gobierno de tecnócratas en el año 2002 -dirigido por Driss Jettou-y cinco años más tarde con otro gobierno liderado por el partido Istiqlal encabezado por Abbas El Fassi- que vació todos sus poderes con la creación de comisiones reales y altas instancias. A partir del 2007-2008, Mohamed VI casi iba a dar un golpe de gracia con la creación de un nuevo partido, el PAM- Partido Autenticidad y Modernidad-. Pero todo ello se detendrá con los movimientos populares y la “primavera árabe”, la estrategia de crear una nueva Constitución que crea una gran ambigüedad y un método utilizado previamente con los socialistas: crear una fachada renovada con los islamistas del PJD- Partido de la Justicia y Desarrollo-. Hemos colocado una nueva élite que hemos vampirizado, para que luego sean abandonados como si fueran zoombies sin vida. Personalmente, pienso que todo encaja en la lógica de la continuidad. Estamos reproduciendo el tiempo, vaciamos las cáscaras de sus sustancias y esperamos que la presión descienda.Hassan II tuvo mucha pasión por su rol como rey, lo que le empujó hacia el absolutismo. Mohamed VI es totalmente lo contrario: se aprecia que tiene una falta de pasión que hace que la democratización haya fallado. Un mismo resultado con dos personalidades diferentes.Usted apoyó la “primavera árabe” y predijo la caída de las monarquías árabes pero no se movieron.…Bahrein es una ocupación de Arabia Saudí! Sí, yo he estado cerca de la familia real saudí y la familia real jordana, pero respetarse, es también el respeto de las opiniones de los demás. Hoy en día, estas monarquías no me quieren mucho, porque piensan que me opuse a mi raza. Actualmente, no hay excepción marroquí, hay una ventaja monárquica. Se trata de un sistema que no está completamente cerrado: Hay válvulas y válvula.Pero creo que las válvulas no son lo suficientemente grandes como para aliviar la presión. El cambio generacional, la clase media, la recesión en Europa, son nuevos parámetros.
La verdad excepción, no es Marruecos. La verdad excepción del mundo árabe, es Túnez y el resto de ella. Pero la fascinación por el autoritarismo en la región se rompió. La impotencia también.¿Cuál sería la solución que plantearía para la cuestión del Sahara Occidental, que sigue siendo un problema espinoso?Marruecos apoya el Sahara porque no tiene ningún proyecto de democratización. La cuestión del Sahara es la misma que la de Marruecos: en lugar de involucrar a las personas en una base cívica, les involucramos sobre unas bases clientelistas. Y el principio del clientelismo no funciona. Esta descentralización necesariamente tendrá que integrar los principios de del derecho internacional. Quiero mantener en estos términos, porque si hablaría de “autodeterminación”, entraríamos en calificativos como “traición a la patria”, etc. Pero, obviamente esta descentralización debe estar en sintonía con el derecho internacional. Todo lo demás es cuestión de negociaciones.Entrevista relaizada por Isabelle Mandraud.http://alifpost.com/es/principe-mulay-hicham-no-se-puede-solucionar-el-conflicto-del-sahara-sin-democracia-en-marruecos/ -
Respuesta italiana a un pelotilla marroqui
A los señores de la Redacción de L’Espresso,Somos el colectivo Tindouf Express y nos ocupamos de las informaciones y análisis sobre la cuestión histórico-jurídica del Sáhara Occidental. Les escribimos sobre el artículo “Cuidado, el Sahara puede explotar”, firmado por Tahar Ben Jelloun y publicado el 6 de Marzo en vuestra rubrica « Sin Fronteras ».Les escribimos porque, en primer lugar, queremos señalar que el autor desarrolla el artículo con una serie de inexactitudes periodísticas e históricas que nos gustaría refutar y eventualmente responder.El artículo no hace ninguna mención de las numerosas resoluciones de la ONU que, en los últimos 38 años afirmaron el derecho a la autodeterminación del pueblo saharaui (citamos como ejemplo: AG/Res.1514 14/12/1960, AG/Res.2072 12/16/1965, 12/20/1966 AG/Res.2229). Tampoco dice nada sobre la opinión consultiva de la Corte Internacional de Justicia del 16/10/1975 en la que, al tiempo que reconoce los lazos históricos entre el sultanato marroquí y los habitantes del Sáhara Occidental, descartaba cualquier vínculo de soberanía territorial entre los dos países. Además, lo que en el artículo se llama « la marcha verde pacifica » a través de la cual « Marruecos recuperó los territorios del Sáhara Occidental », debe considerarse como una verdadera invasión militar. El Consejo de Seguridad de las Naciones Unidas adoptó resoluciones inequívocas condenando la acción militar marroquí (citamos como ejemplo: CdS/Res.377 22/10/1975, 11/02/1975 CdS/Res.379, CdS/Res.380 06:11. 1975). La presencia masiva de las fuerzas armadas entre los 350.000 « voluntarios » de la Marcha Verde, así como el carácter violento de la acción, son también atestiguados por numerosas fotografías, videos y entrevistas recogidas por muchos periódicos europeos de la época.A pesar de la posición adoptada por las Naciones Unidas y la comunidad internacional, el rey Hassan II continuó su proyecto expansionista de ocupación progresiva del Sáhara Occidental. La determinación del régimen marroquí se apoyaba por un lado en la debilidad de España que ya no era capaz de administrar sus dominios coloniales, y por otro lado sobre la suscripción secreta, el 14 de noviembre de 1975, de los Acuerdos de Madrid por los que Marruecos, Mauritania y España sancionaron la retirada de las tropas coloniales españolas el 28 de febrero 1976, que serían seguidos por una administración tripartita del territorio del Sáhara Occidental. El Presidente del Comité de Descolonización de la ONU condenó los acuerdos de Madrid calificándolos de incompatibles con las decisiones y resoluciones adoptadas por las Naciones Unidas hasta entonces, al mismo tiempo que subraya cómo tales acuerdos subordinan los derechos del pueblo del Sahara Español a las reivindicaciones territoriales de los países vecinos.Estos hechos dieron lugar a un conflicto que ha durado décadas, provocando el éxodo de la población saharaui a los territorios desérticos de la vecina Argelia. Hasta la fecha, más de 200.000 saharauis viven en tiendas en los campamentos de refugiados de Tindouf, en el suroeste de Argelia. Que Argelia pueda o no tener intereses geopolíticos en el Atlántico no constituye una deslegitimación del derecho a la autodeterminación consagrado por Naciones Unidas al pueblo saharaui. Por lo tanto, nos gustaría destacar -contrariamente al artículo de Tahar Ben Jelloun- que la cuestión del Sáhara Occidental no debe ni debe ser vista a partir de los intereses políticos y económicos de Argelia y Marruecos. El punto de partida para una comprensión correcta y honesta de la cuestión histórico-jurídica del Sáhara Occidental no puede ser más que el derecho de un pueblo a la libre determinación en su propio territorio, sobre la base del jus cogens internacional y en oposición a la lógica de la dominación colonial de los años 900.Durante los últimos 24 años -mucho antes del fantasmagórico año 2007 citado por el autor- Marruecos se ha opuesto sistemáticamente a los planes de resolución de las Naciones Unidas, también por el apoyo de Francia y los Estados Unidos que ven, históricamente, en Marruecos un aliado estratégico en el Magreb. La incapacidad de organizar un referéndum sobre la libre determinación como se define en el Plan de Arreglo de la ONU en 1990, luego modificado por los Acuerdos de Houston de 1997, es en sí mismo el resultado de la obstrucción de la correcta identificación de los ciudadanos residentes en los territorios ocupados del Sáhara Occidental con derecho al voto.El obstruccionismo marroquí, la lentitud de la maquinaria burocrática de la ONU, la complicidad de las potencias occidentales aliadas de Marruecos, entre ellos la Unión Europea (véase, por ejemplo, la cuestión de los acuerdos de pesca de 2007, tácitamente renovados en 2011 y sólo en los últimos años cuestionados por el Parlamento Europeo) han contribuido a hacer perdurar la situación de inmovilidad. En flagrante violación del derecho internacional Marruecos saquea, en las últimas décadas, los recursos pesqueros y mineros del Sáhara Occidental. Esto, mientras que en los campamentos de refugiados saharauis, centenares de miles de personas sobreviven sólo gracias a la ayuda internacional.El otro aspecto que queremos destacar se refiere a la problemática situación del respeto de los derechos humanos en los territorios ocupados del Sáhara Occidental. Tahar Ben Jelloun en su artículo la relega, groseramente, a la declaración del presidente de Argelia, Abdelaziz Bouteflika, fingiendo ignorar lo que es una preocupación de toda la comunidad internacional: el Parlamento Europeo, la Unión Africana, los gobiernos nacionales (Noruega, Suecia y Dinamarca, en primer lugar, pero también Italia, España, Bélgica, Reino Unido, por no hablar de los Estados Unidos del presidente Obama), y los miles de organizaciones de la sociedad civil de todo el mundo que se comprometieron a hacer conocer esta dramática realidad.En los últimos meses, el tema de la protección de los derechos humanos en el Sahara Occidental ocupado también fue planteado por algunos países históricamente aliados de Marruecos. El 15 de febrero, el diputado británico Jeremy Corbyn, del Partido del Trabajo, el Presidente del Grupo Interparlamentario sobre el Sáhara Occidental, fue detenido junto con John Hillary y John Gurr, ciudadanos británicos también, por haber filmado la violenta represión por parte de la policía marroquí de las manifestaciones celebradas en El Aaiún, la capital del Sáhara Occidental. El Sr Corbyn, después de su regreso a su tierra natal, presentó un informe detallado al primer ministro David Cameron para pedir que el gobierno británico sea el portavoz de la inclusión de la vigilancia de los derechos humanos en el mandato de la MINURSO – Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum en el Sáhara Occidental – que debe
ser renovado en abril próximo. Pocos días después, el 28 de febrero, el Secretario de Estado americano, John Kerry, presentó un informe al Presidente Obama en el que se analiza la situación de los derechos humanos en el Sáhara Occidental ocupado.Partiendo de la hipótesis de que « el mandato de la MINURSO no incluye todavía el mecanismo de vigilancia de los derechos humanos », el informe también denuncia « la violencia verbal y física contra los saharauis que están bajo arresto, la restricción de las libertades de expresión, de prensa y de asociación, así como contra la detención arbitraria prolongada contra todos los disidentes políticos » y a la vez « la negación sistemática de la libertad de crear asociaciones saharauis independentistas ». También en Francia, el aliado occidental más influyente de Marruecos, un hecho sorprendente ocurrió recientemente. En el marco de una investigación que llevó la policía francesa a la Embajada de Marruecos en París para investigar sobre la tortura de ciudadanos franco-marroquíes, en la que había el asunto de un saharaui que también es víctima de detención arbitraria y tortura en las cárceles marroquíes.La sensación causada por estos eventos también provocó un debate en Francia sobre la necesidad de vigilar la situación de los derechos humanos en el Sahara Occidental ocupado, un evento de gran importancia si tenemos en cuenta el hecho de que en abril de 2013 fue París quién se opuso a la ampliación del mandato de la MINURSO.Con respecto a la cuestión histórica de las violaciones de los derechos humanos de las que son víctimas los saharauis, se recomienda la lectura de “El Oasis de la Memoria”, de Carlos Martín Beristain, que está disponible en nuestro sitio web tindoufexpress.org, la traducción de la versión italiana resumida. Un equipo de abogados e investigadores dirigidos por el Profesor Beristain ha investigado la memoria histórica de este pueblo, entrevistando a 261 víctimas saharauis de los bombardeos, allanamientos, secuestros y torturas y la recolección de sus historias en dos volúmenes que constituyen un primer paso de un complejo análisis de las violaciones cometidas en casi cuatro décadas de conflicto.Por último, recordamos que la atención a la cuestión saharaui mostrada por su revista se limita a la publicación de una información parcial y superficial con una fuerte connotación propagandística, que no respeta ni a los cánones del periodismo serio y analítico que tenga en cuenta la producción jurídica internacional y la realidad histórica, ni la memoria de una población ahora relegada a los márgenes de los circuitos mediáticos internacionales.El « riesgo de explosión » en el título de su artículo, está más relacionado con la incapacidad de la comunidad internacional a resolver un problema bloqueado ahora desde 1991, que con el riesgo real de la infiltración terrorista en una población que hace 23 años consintió deponer las armas, confiando en una solución pacífica a través de la vía diplomática de un conflicto emanado de la lucha por sus derechos y por su tierra?Atentamente,Folco, Francesca, Michele, Riccardo – Tindouf ExPRESS staffhttp://www.tindoufexpress.org/tep/?p=1361