Mois : février 2014

  • Sécurité au Sahel: Le rôle central de l’Algérie

    Par Sofiane Aït Mohamed
    Plusieurs ministres et autres personnalités ont insisté hier lors de la 3ème réunion ministérielle du Processus de Nouakchott, sur le rôle  » central  » de l’Algérie dans le renforcement de la sécurité dans la région du Sahel louant sa « vision globale » sur le plan de la coopération continentale, non sans relever que notre pays  » mobilise beaucoup de moyens  » pour lutter contre l’insécurité dans la région.
    Le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohammed Abdulaziz, a indiqué à la presse, en marge de travaux de la réunion ministérielle, qui s’est tenue hier à Niamey au Niger, que « l’Algérie joue un rôle central dans la consolidation de la paix dans la région du Sahel ». Il a affirmé que « l’Algérie a une vision globale sur le plan de la coopération continentale », tout en précisant que « ce rôle doit être consolidé et renforcé par une volonté politique forte des autres pays de la région ». 
    Le diplomate libyen a souligné la nécessité d’une coopération « effective » entre les pays de la région pour faire face aux menaces du terrorisme et de la criminalité organisée transnationale. 
    De son côté, le ministre nigérien des Affaires étrangères, Mohamed Bazoum, a affirmé que l’Algérie jouait un « rôle central » dans le renforcement de la sécurité dans la région du Sahel, ajoutant que « ce pays mobilise beaucoup de moyens notamment pour lutter contre l’insécurité dans cette région ». Il a relevé que l’Algérie, qui est au coeur de l’espace sahélo-saharien, est entourée de pays qui sont les plus affectés par l’insécurité régionale. 
    Pour lui, « l’Algérie est appelée à jouer un rôle central ainsi qu’elle le fait à travers une diplomatie dynamique dirigée par un homme d’expérience, en l’occurrence M. Ramtane Lamamra, et grâce à ce pays, a-t-il dit, nous aurons une dynamique pour renforcer encore plus la sécurité dans la région sahélo-saharienne ». 
    Le haut représentant de la mission de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel (Misahel), Pierre Buyoya, a considéré, lui aussi, que l’Algérie était un pays important dans l’espace sahélo-saharien. « Pour nous, l’Algérie est un pays important dans l’espace sahélo-saharien. Elle joue déjà un grand rôle dans la consolidation de la paix dans cette région « , a-t-il noté, mettant en exergue le fait que l’Algérie coopère « étroitement » avec beaucoup de pays de cette région au niveau sécuritaire et économique.
    « L’Algérie est le pays le plus puissant en matière de développement et nous comptons sur elle pour faire en sorte qu’il y ait une connexion effective entre la partie subsaharienne et la partie nord du Sahara », a-t-il souligné.
    Le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra a, dans son intervention, estimé que  » ce processus prometteur constitue un élément central de la sécurité régionale « . C’est selon lui, « un mécanisme orienté vers l’action, grâce à la définition et à la mise en oeuvre de mesures opérationnelles visant à combattre le terrorisme et le crime organisé, tenant compte des enseignements tirés de la crise malienne ». 
    Outre l’adoption des mesures opérationnelles soumises par les chefs de services de sécurité et de renseignements, les ministres participants sont convenus de la tenue de réunions des chefs d’état-major et des ministres de la Défense, en vue du renforcement des structures de coopération existantes. Ils sont également convenus de la tenue d’un sommet des pays participant au processus.
    Les ministres ont par ailleurs, décidé de mettre en place, sous la direction de la Mission de l’Union africaine pour le Sahel, un secrétariat technique compact, chargé d’assister l’Union africaine dans la mise en oeuvre des décisions et mesures convenues dans le cadre du processus de Nouakchott.
    Les Débats
  • El perro de guardia marroqui

    Desde hace tiempo hablamos del miedo que domina a Marruecos desde el acceso de François Hollande a la presidencia francesa. Un cambio del que incluso los franceses hablan.
    En un artículo publicado el martes por Le Monde, el diario de mayor tirada en Francia, las periodistas francesas Charlotte Bozonnet et Isabelle Mandraud dejaron claro que « a los ojos de Rabat, los aliados tradicionales occidentales, y a su cabeza Francia y los Estados Unidos, ya no se consideran tan seguros como en el pasado, como lo demuestran las recientes tensiones con Washington sobre el tema (del Sahara Occidental) ».
    Dominados por el pánico, a pesar de los mensajes enviados por Paris para calmarlos, los marroquíes siempre están al acecho para sondear sobre el tema. Y para ello, tienen a un perro encargado de hacer la guardia en el palacio del Quai d’Orsay donde el portavoz del ministerio de asuntos exteriores francés tiene casi diariamente contactos con la prensa sobre los principales temas en las que Francia está directa o indirectamente involucrada.
    El 3 de Febrero, el portavoz les decepcionó porque no citó el plan de autonomía marroquí. Hoy, el enviado de la embajada buscaba elogios a la visita del rey Mohamed VI a Mali y la pretendida mediación marroquí en este país subsahariano. Se llevaron otra decepción.
    “El rey de Marruecos realiza una visita oficial de cinco días a Malí, un país donde Francia intervino para restablecer la seguridad con el apoyo de Marruecos. ¿Cuál es su reacción a la contribución del rey en el proceso de reconciliación nacional iniciado en Malí ?”, pregunto el marroquí.
    Lo que obtuvo fue una repuesta lejana :  » Francia se congratula por la movilización de la comunidad internacional en favor de Mali. La visita del rey de Marruecos a Bamako es una nueva prueba de ello ». Nada más. Enorme decepción para el perro de guardia de su majestad.
  • Le Maroc déçu par le porte-parole adjoint de l’Elysée

    Le porte-parole du ministère français des affaires étrangères fait presque quotidiennement des points de presse sur les thèmes qui intéressent la France de près ou de loin.
    A chaque fois qu’il y a un évènement qui implique le Maroc, il y a un journaliste ou un fonctionnaire de l’ambassade marocaine en France pour faire un sondage sur le soutien de la France au Maroc. 
    « Aux yeux de Rabat, les alliés traditionnels occidentaux, au premier chef desquels figurent la France et les Etats-Unis, ne sont plus jugés aussi sûrs que par le passé, comme en témoignent les récentes tensions avec Washington sur le sujet », ont écrit Charlotte Bozonnet et Isabelle Mandraud dans un article récent apparu sur Le Monde. C’est ce qui fait que le Maroc doute de la position du président François Hollande malgré tous les messages rassurants envoyés par Paris. Pour tester le pouls français, il y a en permanence un marocain qui fait la garde au Quai d’Orsay. Ils profitent des points de presse du porte-parole de la diplomatie française pour poser des questions et trouver des réponses aux doutes des autorités marocaines.
    A sa dernière sortie, le chien de garde marocain voulait que l’Elysée vante la « médiation du roi du Maroc et sa visite au Mali mais il a été déçu.
    Le roi du Maroc est en visite officielle de cinq jours au Mali, un pays où la France est intervenue pour rétablir la sécurité avec le soutien du Maroc. Quelle est votre réaction à la contribution du roi dans le processus de réconciliation nationale entamée au Mali ?, a-t-il questionné. 
    Loin de ce qu’il attendait, la réponse du porte-parole adjoint de l’Elysée était plutôt décevante : « La France salue la mobilisation de la communauté internationale en faveur du Mali. La visite du roi du Maroc à Bamako en est une nouvelle preuve ».
  • Le roi du Maroc décore un leader d’une organisation sioniste

    Les connexions du Maroc avec le lobby sioniste international sont de plus en plus assumées par Rabat et sont même exhibées comme un motif de fierté et de succès de sa diplomatie. Ainsi, à l’occasion de la fête du Trône, le roi Mohammed VI a décoré d’une médaille royale le numéro 2 et vice-président de l’Aipac (American Israel Public Affairs Committee), Malcolm Hoenlein, en signe de récompense pour tous les services rendus par ce personnage à Washington et toutes les démarches qu’il a entreprises auprès de l’Administration américaine en faveur du royaume chérifien. 
    Une source bien informée des coulisses des relations internationales affirme que le lobby sioniste aux Etats-Unis s’était démené tout au long de l’année 2003 pour obtenir le retrait d’un projet de résolution américaine sur la question du Sahara occidental au niveau du Conseil de sécurité des Nations unies. 
    Ce lobby, qui agit en groupe de pression au niveau des différentes instances exécutives américaines, avait mis en contact une délégation marocaine dépêchée aux Etats-Unis avec l’ancien patron du Conseil national de sécurité, Tom Donlion, remplacé depuis par Susan Rice et John Kerry. Ces démarches seront même couronnées, le 9 mai 2013, par une invitation faite par le président Barack Obama au roi Mohammed VI pour se rendre à la Maison-Blanche. Une visite qui sera présentée par la presse du Makhzen comme l’expression d’une reconnaissance américaine de la place et de la position de Rabat sur l’échiquier régional. 
    La même source ajoute que l’ambassade marocaine à Washington est aussi actionnée pour prolonger ce travail de lobbying piloté, en amont et en aval, par les différentes associations juives liées au lobby sioniste. Ainsi, l’ambassadeur Rachad Bouhlal a rencontré, entre autres, début février, l’AJC de Palm Beach Country, une organisation juive connue pour son activisme en Floride du Sud.
    R. Mahmoudi
  • Jeune élève espagnol refoulé du Sahara Occidental

    Juan Carlos Gomez, âgé de 26 ans, est un élève de l’Université de Droit et Sciences Politiques de Séville. Il est arrivé mardi à El Aaiun, capitale du Sahara Occidental occupée par le Maroc. Il a été retenu par la police marocaine à l’aéroport de cette ville pendant 21 heures pour être refoulé le lendemain.
    Il voulait faire une étude de la situation au Sahara Occidental du point de vue du droit international pour un travail académique. 
    Il assure n’appartenir à aucune association pro-sahraouie, mais ses contacts à El Aaiun étaient des activistes sahraouis ce qui lui a valu d’être qualifié par la police marocaine comme sympathisant du Front Polisario.
    Ainsi, le Maroc, qui se prend pour une puissance régionale, voire internationale, a peur d’un jeune universitaire espagnol dont l’objectif n’est autre que de faire sa thèse universitaire.
  • Franceses y marroquíes: Dime con quién andas te diré quién eres

    Treinta y ocho años después de la invasión del Sahara Occidental por Marruecos, la identidad de los promotores del conflicto y aquellos que echan leña al fuego en el Sahara ya no es un misterio. La cuestión de los derechos humanos y del mandato de la MINURSO puso de manifiesto la complicidad de Francia y su voluntad de mantener este conflicto cueste lo que cueste.
    Gracias a Francia, Marruecos puede seguir torturando, humillando, insultando y encarcelando en el Sáhara Occidental. Ni un día pasa sin que decenas de saharauis sean hospitalizados por las heridas causadas por las porras de la policía marroquí.
    Gracias a Francia, Marruecos sigue bloqueando los esfuerzos de la ONU para acabar con este conflicto.
    En la posición de Francia, hay una cuestión de intereses, pero también de afinidades. La prueba está en esta foto de dos soldados franceses « asando » a un pobre africano.
    Viendo esta foto, uno se acuerda enseguida del refrán que dice “dime con quién andas, te diré quién eres”. Los franceses y los marroquíes son aliados. Comparten la crueldad y la inclinación por la injusticia.
    La MINURSO (Misión de la ONU en el Sáhara Occidental) es la única misión de la ONU que carece de un componente encargado de informar sobre la situación de los derechos humanos en la antigua colonia española. El veto de Francia en el Consejo de Seguridad impide a éste resolver esta anomalía. Si usted cree que la MINURSO debe vigilar los derechos humanos, haga clic aquí y firme la petición en francés dirigida al secretario general Ban Ki-moon y cuelgue esta petición en su página. Muchas gracias
  • Français et marocains : qui s’assemble se ressemble

    Trente-huit ans après l’invasion du Sahara Occidental par le Maroc, l’identité des promoteurs de ce conflit et ceux qui attisent le feu dans l’ancienne colonie espagnole n’est plus un mystère.
    La question des droits de l’homme et du mandat de la MINURSO a mis à nu la complicité de la France et sa volonté de maintenir ce conflit coûte que coûte.
    Grâce à la France, le Maroc peut torturer, humilier, insulter et emprisonner au Sahara Occidental. Il ne se passe pas un jour sans que des dizaines de sahraouis soient hospitalisés pour des blessures causées par les matraques de la police marocaine.
    Grâce à la France, le Maroc continue à bloquer les efforts de l’ONU pour venir à bout de ce conflit.
    Dans la position de la France, il y est question d’intérêts, mais d’affinités aussi. La preuve se trouve dans cette photo de deux soldats français en train de « rôtir » un malheureux africain. Le même traitement est réservé aux subsahariens qui se trouvent au Maroc et aux sahraouis qui vivent dans les territoires occupés du Sahara Occidental.
    En regardant cette photo, on se rappelle du refrain « qui s’assemble se ressemble ». Les français et les marocains sont des alliés. Ils partagent la cruauté et le penchant pour l’injustice.
    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 
  • Le comble de l’hypocrisie

    Le Parti Socialiste français n’a pas changé la position de la France sur le conflit du Sahara Occidental. Même pas dans la question des droits de l’homme, puisque la France continue de menacer d’utiliser son droit de veto contre la décision d’élargir le mandat de la MINURSO au contrôle des droits de l’homme au Sahara Occidental.
    Si le conflit persiste, la faute est à la France. Ce pays est tout simplement un ennemi du peuple sahraoui. Et plus le temps passe, plus la France prouve son inimitié. Cela ne semble pas gêner Mme Hidalgo, candidate du PS à la mairie de Paris qui n’a pas hésité à s’afficher avec deux grands amis de la cause sahraouie qui sont Javier Bardem et Kerry Kennedy.
    A ce moment-là, Mme Hidalgo ne pense pas aux souffrances du peuple sahraoui depuis près de 40 ans, mais au profit qu’elle peut en tirer de cette photo avec l’étoile du cinéma espagnole et de l’illustre hôte américaine. 
    Dans cette conversation qui semble très animée, Mme Hidalgo ne vas non plus leur annoncer que la France fera tout pour aider à résoudre le problème du Sahara Occidental qui menace la sécurité de la région tout entière.
  • Le Maroc, acculé sur le dossier du Sahara Occidental provoque l’Algérie

    Pour Lamamra, il s’agit d’une provocation du Maroc, acculé qu’il est sur le dossier du Sahara Occidental. Les Nations unies doivent trancher au mois d’avril la question de l’extension de la prérogative de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara Occidental.
    Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a répliqué, hier mardi, aux accusations marocaines ciblant l’armée algérienne auteure, selon des assertions de la presse du royaume, de tirs contre un poste frontalier. Lamamra, sans infirmer l’incident, a affirmé que les «frontières sont fermées» et que, de ce fait, «les règles doivent être respectées».
    Sofiane Aït Iflis – Alger (Le Soir)
    Le ministre des Affaires étrangères a eu l’opportunité d’apporter des précisions aux allégations marocaines en animant, mardi matin, une conférence de presse conjointe avec son homologue finlandais. 
    La question lui étant évidemment posée, Lamamra dira que «les règles internationales sont connues lors de la violation des frontières». Autrement expliqué, l’armée est autorisée à réagir lorsqu’il y a transgression de la frontière, lorsque cette dernière est fermée. 
    La réaction est valable dans les deux sens, d’ailleurs. L’on comprend à travers la précision de Lamamra qu’il y a eu tentative de franchissement illégal de la frontière, un franchissement qui peut être un acte de contrebandiers. Ce que, visiblement, la presse marocaine a entrepris d’exagérer en évoquant des tirs de l’armée algérienne contre un poste frontalier marocain. Le ministre des Affaires étrangères a, au demeurant, démenti que l’accusation soit l’œuvre du ministère marocain de l’Intérieur. Selon lui, il n’y a pas eu de communiqué du ministère marocain de l’Intérieur mais qu’il s’agit d’un papier publié par un journal marocain. Lundi, en effet, plusieurs médias marocains ont tartiné autour d’une attaque supposée de l’armée algérienne contre un poste frontalier marocain, évoquant un communiqué du ministre de l’Intérieur marocain. Pour Lamamra, il s’agit d’une provocation du Maroc, acculé qu’il est sur le dossier du Sahara Occidental. Les Nations unies doivent trancher au mois d’avril la question de l’extension de la prérogative de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara Occidental.
    S. A. I.
    http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/02/19/article.php?sid=160675&cid=2

    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT  

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Le Maroc demandera au Mali de retirer sa reconnaissance de la RASD

    Dans sa bataille pour réaffirmer sa colonisation du Sahara Occidental, le Maroc mise sur les pays qui peuvent retirer leur reconnaissance de la RASD. Parmi ceux-ci, le Mali dont les relations avec l’Algérie sont étroites. 

    Le roi Mohammed VI, dans sa visite entamée aujourd’hui au Mali, tentera de convaincre le président Ibrahima Boubacar Keïta de le faire en échange de quelques investissements.

    Dans ce contexte, Zahabi Ould Sidi Mohamed, ministre des affaires étrangères du Mali était l’invité hier de la télévision marocaine. A la question de quelle est votre vision de la solution du problème du Sahara Marocain dans le cadre des Nations Unies?, M. Zahabi a répondu : « Le président a organisé une visite en Algérie, en Mauritanie et dans les pays voisins du Mali, et en ce qui concerne notre position sur la question du Sahara Occidental, nous considérons qu’il y a, maintenant, un dialogue entre musulmans, entre toutes les parties. Nous espérons qu’un jour le problème sera résolu à travers le dialogue entre les parties avec la médiation de l’ONU ». 

    M. Zahabi a ensuite changé de sujet ajoutant que « le Maroc est un des pays qui ont investi au Mali. Comme vous savez, il y a des sociétés marocaines qui ont un rôle important dans l’économie marocaine. Dans les domaines des banques, les communications, et nous espérons qu’avec cette visite du roi plusieurs accords soient signés, dont le nombre est sept dans tous les domaines du développement ».