Mois : février 2014

  • Les forces d’occupation marocaines portent atteinte contre l’intégrité physique de parlementaires du Royaume Uni…


    Cet après-midi, vers 17h, dans la capital du Sahara Occidental occupé, El Aaiùun, à l’occasion d’une importante visite d’une délégation des parlementaires et responsables des associations de solidarité du Royaume Uni, la Plateforme de Coordination d’Akdeim Izik a fait un appel aux citoyens sahraouis pour manifester pacifiquement en raison de la campagne internationale pour l’extension de compétence de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental.
    La délégation britannique a visité le quartier Maatalla où elle a rencontré les Sahraouis qui portaient des drapeaux de la RASD et entonnaient des slogans pour exiger le droit à l’autodétermination.
    Selon l’activiste des droits de l’homme et vice président de l’ASVDH, la police marocaine a procédé à la détention de la délégation britanique et de son accompagnateur, l’activiste des droits de l’homme Mohamed Salem Lakhal, dans la rue Zarqtuni, aussi il a confirmé que les forces marocaines avaient essayé de confisquer la voiture de Salem Lakhal. Les parlementaires britanniques ont dû ensuite monter dans la voiture de l’activiste Aminatou Haidar pour aller à la maison de Larbi Messaoud.
    Les forces d’occupation marocaines ont continué à poursuivre les citoyens sahraouis dans tous les passages et rues qui  conduisent à l’endroit de la manifestation et sont intervenues violemment contre les manifestants pacifiques sahraouis dans l’avenue Smara. Les manifestants sont restés dans l’avenue Smara, le quartier Maatallah, rue Daddach et le quartier Maghreb Arabe, malgré  la présence importante de l’appareil répressif des forces d’occupation marocaines.
    Selon les sources sahraouies plusieurs citoyens sahraouis ont été blessés:
    – Mohammadi Didda  – Sabar Bani  – Ghalia Aljoumani – Leila Elilli  – Aali Saadouni  – Hamza Filali 
    A  l’hôpital locale Hassan El Mehdi l’arrivée des citoyens sahraouis grièvement blessés n’arrête pas :
    _ Brahim Dahane  _ Mint Akhualha Farik  _ El Taki Elmachdoufi  _ Idriss Ahl Sidi  _ Fatimatou Dahwar  _ Abdurahaman Zeyou  _ Swelam LKhleifi  _ Mina Abaali  _ Hassanna Duihi  _ Mbarka Aalina Abaali  –  Byay Abdul Aziz  _ Galia Djimi  _ H’mad Hammad  _ Abdul Hai Toubali  _ María Alboudnan  _ Abdul Karim Ambairkat
    La délégation de parlementaires britannique se trouve depuis hier à la ville occupée d’El Aaiún, pour voir de près la situation des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental. Cette délégation est composée par Jeremy Korbin, coordinateur de l’intergroupe pour le Sahara Occidental au Royaume Uni, Mark Wiliams, rapporteur de l’intergroupe, et les représentants des associaciones de solidarité avec le peuple sahraoui au Royaume Uni, John Hillary et John Gurr.
    Selon cette délégation, la représentation diplomatique du Royaume Uni à Rabat a déjà contacté les autorités marocaines pour demander le respect dû à ses citoyens.

    http://solidmar.blogspot.be/2014/02/les-forces-doccupation-marocaines.html



    La MINURSO est la seule mission onusienne qui ne surveille pas le respect des droits de l’homme. S’il vous plaît, votre signature de cette pétition aidera à atténuer les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique
    SIGNEZ LA PETITION!

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • PROTESTAS PARA QUE LA ONU VIGILE LOS DERECHOS HUMANOS EN EL SÁHARA OCCIDENTAL

    Las concentraciones, organizadas en varias ciudades del estado español, exigen que la MINURSO incorpore competencias en la vigilancia de los derechos humanos.
    15/02/2014. Las organizaciones solidarias con el pueblo saharaui han celebrado durante toda la jornada de hoy concentraciones de apoyo a la campaña para que la Misión de Naciones Unidas para el Referéndum en el Sáhara Occidental (MINURSO) incorpore competencias en la vigilancia de los derechos humanos. Las protestas, que han tenido lugar en una decena de ciudades del Estado español, han contado con la asistencia de centenares de simpatizantes que han coreado consignas en defensa de los derechos de la población saharaui y de denuncia de la actitud de Naciones Unidas. “Se trata de una iniciativa de los activistas de los territorios ocupados, que ya en el 15 de enero intentaron organizar una concentración en El Aaiún que fue brutalmente reprimida”, dicen. Y añaden “allí van a seguir organizando protestas de este tipo y desde aquí las secundamos y apoyamos para darles visibilidad ante la opinión pública española”.
    La MINURSO, creada en 1991 tras el alto el fuego firmado entre Marruecos y el Frente POLISARIO, es la única misión de la ONU cuyo mandato no contempla la vigilancia de los derechos humanos en el territorio en el que está presente. Según las organizaciones afines a la causa saharaui, “los abusos de las autoridades marroquíes contra la población saharaui, incluidas torturas y detenciones arbitrarias, son diarios”. Estas violaciones y otras restricciones a derechos como del de asociación, manifestación o libre circulación, aparecen en informes de organizaciones independientes como Amnistía Internacional o Human Rights Watch.
    Según han anunciado las entidades organizadoras, estas concentraciones se van a seguir celebrando los días 15 de cada mes, hasta que el Consejo de Seguridad de la ONU renueve el mandato de la misión a finales de abril de 2014. La campaña también incluye recogida de firmas y envío de mails a los países involucrados en la aprobación de dicha Resolución de renovación. El año pasado, a pesar de que EE.UU. amagó con incluir dicha demanda, la oposición de España, Francia y Rusia, y la presión diplomática de Marruecos, que en ese momento era parte del Consejo de Seguridad, frenaron la tentativa.
  • Delegación británica visita la ciudad ocupada del Aaiun

    El Aaiun (Sahara Occidental), 15 Feb 2014 .- Una delegación británica de parlamentarios y responsables de asociaciones de solidaridad con el pueblo saharaui se encuentra desde ayer en la la ciudad de El Aaiún, capital del Sáhara Occidental ocupada por Marruecos para estudiar la situación de los derechos humanos en el territorio saharaui .
    La visita de esta delegación coincide con una manifestación convocada por la Coordinadora del movimiento asociativo saharaui con motivo de la campaña internacional para la ampliación de las competencias de la MINURSO a los derechos humanos.
    Esta tarde a las 17:00 , la delegación visitó el barrio Maatalla donde tuvo la oportunidad de observar de cerca una gran manifestación de saharauis portando banderas de la RASD y coreando esloganes exigiendo el derecho a la autodeterminación.
    Unos minutos más tarde, el coche de la delegación fue detenido por la policía en la avenida Zarqtouni. Los visitantes británicos tuvieron que embarcar en el coche de la activista Aminatu Haidar para ir a casa de Larbi Mesaoud.
    Según Radio Maizirat , las autoridades marroquíes fuerona contactados por la embajada británica para exigir respeto a la integridad física y moral de sus ciudadanos.
    Vídeo del relato del acompañante de la delegación, el militante Mohamed Salem Lekhal 

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=zlImyDfTy_8&w=420&h=315]

  • Une délégation britannique visite la ville occupée d'El Aaiun

    El Aaiun (Sahara Occidental).- Une délégation britannique composée de parlementaires et responsables d’associations de solidarité avec le peuple sahraoui se trouve depuis hier dans la ville d’El Aaiun capitale du Sahara Occidental occupée par le Maroc pour s’enquérir de la situation des droits de l’homme dans le territoire sahraoui.
    La visite de cette délégation coïncide avec un sit-in convoqué par la Coordination du mouvement associatif sahraoui à l’occasion de la campagne internationale pour l’élargissement des compétences de la MINURSO aux droits de l’homme.
    Cet après-midi, à 17h00, la délégation s’est rendue au quartier Maatalla où elle a pu observer de près une grande manifestation de sahraouis brandissant les drapeaux de la RASD et scandant des slogans pour revendiquer le droit à l’autodétermination.
    Quelques minutes après, la voiture de la délégation a été arrêtée à l’Avenue Zarqtouni. Les visiteurs britanniques ont embarqué dans la voiture de la militante Aminatou Haidar pour se diriger vers la maison de Larbi Mesaoud.
    Selon Radio Maizirat, les autorités marocaines ont été contactées par l’ambassade britannique pour exiger le respect de l’intégrité physique et morale de ses concitoyens.
    Vidéo du récit de l’accompagnateur de la délégation, le militant Mohamed Salem Lekhal.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=zlImyDfTy_8]
  • Affaire Ben Barka : Après les blocages, on s’attaque à l’avocat de la famille

    Nous, associations et organisations signataires, sommes scandalisées d’apprendre que l’avocat de la famille Ben Barka, Me Maurice Buttin, sera jugé le 18 février à Lille pour «  violation du secret professionnel ».
    Force est de constater qu’au lieu d’agir dans le sens de la levée des blocages pour favoriser la manifestation de la vérité sur le sort de la disparition de Mehdi Ben Barka, les autorités judiciaires françaises n’ont mieux trouvé que de poursuivre en justice le plus ancien avocat de la famille Ben Barka qui prend en charge l’affaire depuis 50 ans.
    Elles reprochent à Me Maurice Buttin d’avoir divulgué des secrets de l’instruction à propos des mandats d’arrêt internationaux lancés contre les sécuritaires marocains en 2007*.
    Cette plainte fait curieusement suite à celle de Miloud Tounsi, concerné par ces mandats d’arrêt, contre le journaliste Joseph Tual, spécialiste de l’affaire. Ce procès a, rappelons-le, été perdu par Miloud Tounsi.
    Au moment où les blocages politiques continuent d’empêcher la justice de progresser dans l’établissement de la vérité, les autorités judiciaires françaises s’en prennent scandaleusement à l’avocat de la famille de la victime.
    Par ces procédés d’intimidation,  on tente vainement d’empêcher la famille Ben Barka et son avocat de poursuivre ce travail acharné, entamé il y a presque 50 ans, et de rechercher la vérité quant aux circonstances exactes de la disparation du leader marocain.
    Cela confirme malheureusement la volonté de poursuivre la même politique de complaisance et de complicité avec les autorités marocaines pour que rien ne soit dévoilé sur ce crime abominable commis au cœur de Paris.
    Les associations et les organisations signataires dénoncent ces procédés et réaffirment leur soutien à Maître Buttin et à la famille Ben Barka. Elles considèrent que rien ne pourra arrêter le combat engagé pour que triomphent la vérité et la justice.
    Paris, le 13 février 2014
    Pour signer ce texte, veuillez envoyer un message àcherbib@gmail.com ou ayadahram@orange.fr 
    *Les cinq personnes visées par ce mandat d’arrêt international sont le général Hosni Benslimane, chef de la gendarmerie royale marocaine, Abdelkader Kadiri, ancien patron de la Direction Générale des Etudes et de la Documentation (DGED, renseignements militaires), Miloud Tounsi, alias Larbi Chtouki, l’un des membres présumés du commando marocain qui aurait enlevé Ben Barka, Boubker Hassouni, infirmier et agent du Cab 1, une des unités des services marocains ultrasecrète, et Abdelhaq Achaachi, également agent du Cab 1.
    Premiers signataires :
    Organisations
    Institut Mehdi Ben Barka-Mémoire Vivante, ASDHOM, AMBDH, AMF, ATMF, FMVJ-France, APADM, FEMED,  CRLDHT, Vérité et Justice pour Farhat Hached, LDH, FIDH, PG, Elghorba, FORSEM, AMDH-Paris, PADS-Maroc, Voie Démocratique-Région Europe, Solidarité Maroc 05, Assemblée des Citoyens-Maroc, AMDH-Nord France, AMRVT-Maroc, Al Wasl, ….
    Personnalités
    Famille El-Manouzi, Famille Ouzzane, Mireille Moroni, Yves Perrin Toinin, Mohamed Bentahar, Ahmed Dahmani, Daniel Dayot, Michel Mangin, Boualam Azahoum, Mohamed Halout, Marguerite Rollinde, Malika Bakhti-Dahmani, Joseph Tual, Claude Mangin, Noureddine Ahmine, Raymond Benhaim, Abdeladim Elhamdani, Naima Abdelmoumni, Said Salmi, Samira Baibi, Fayka Aouad,

    SOURCE : ASDHOM, 14 FEV 2014



    La MINURSO est la seule mission onusienne qui ne surveille pas le respect des droits de l’homme. S’il vous plaît, votre signature de cette pétition aidera à atténuer les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique
    SIGNEZ LA PETITION!


  • Malgré les provocations du Makhzen : Lamamra adopte le mode conciliant

    Par Nacera Bechar
    Malgré les provocations du Maroc, l’Algérie préfère la solution pacifique pour régler ces différents. L’Algérie  » entretient des relations normales et diversifiées avec le Maroc et privilégie toujours la solution pacifique en cas de différends  » a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. 
    Dans une interview accordée à la chaîne « Russia today » en marge d’une visite de travail en Russie, diffusée jeudi dernier, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra a déclaré que  » ce sont des relations diplomatiques, commerciales et culturelles que l’Algérie entretient avec les frères au Maroc, outre les liens qui unissent les deux peuples et les citoyens des deux pays « . Il a assuré que l’Algérie  » entretient des relations normales et diversifiées avec le Maroc et privilégie toujours la solution pacifique en cas de différends « , cependant, Lamamra a reconnu que  » certains incidents surviennent de temps à autre. Nous souhaiterions qu’ils n’aient pas lieu mais lorsqu’ils se produisent, nous privilégions toujours en Algérie la solution pacifique à tous les différends « .
    Dans ce cadre, il a souligné que  » les divergences de vues des deux pays autour de questions politiques ne doivent en aucun cas se répercuter négativement sur les relations entre les deux pays voisins « . Il y a quelques jour certains juristes et des citoyens ont appelé à rompre les relations diplomatiques avec le Maroc, suite à ses dernières accusations au sujet des ressortissants syriens.
    A ce propos, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini, a préconisé la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc, suite à la dernière  » provocation  » à l’encontre de l’Algérie au sujet des réfugiés syriens.
    Lors d’une conférence de presse qu’il a tenu jeudi dernier à Alger, consacrée à la présentation d’une étude sur les flux migratoires  » vers, à partir et à travers l’Algérie « , Ksentini, qui sait que la politique étrangère est de seul ressort de président de la République comme le stipule la Constitution dira ;  » Le Makhzen s’est rendu coupable d’une énième provocation à l’encontre de l’Algérie. Ces agissements sont ceux d’un pays ennemi et non pas d’un pays frère. Par conséquent, l’Algérie doit prendre une position ferme pour mettre définitivement fin à ces provocations. A mon sens, il faut rompre les relations diplomatiques ». Le président de la CNCPPDH a indiquéaussi :  » Je considère que le Maroc n’est pas un pays voisin, mais un pays ennemi. Il faut tirer les conséquences de ces récurrentes provocations ». 
    Il est à rappeler que suite aux provocations marocaines au sujet des réfugiés syriens, les autorités algériennes avaient fermement réagi aux allégations du Royaume, à travers la convocation de l’ambassadeur marocain à Alger. L’Algérie avait aussi exprimé son  » rejet ferme et sa forte réprobation de cette nouvelle provocation politiquement motivée  » des autorités marocaines.
    Il faut savoir que malgré la décision de l’Algérie de fermer les frontières terrestres avec le Maroc depuis 2004, après les attentats de Merrakech, Alger à toujours favorisé le dialogue et le bon voisinage dans le cadre notamment de l’Union maghrébine.
    N. B.
    Les Débats, 15/02/2014

    La MINURSO est la seule mission onusienne qui ne surveille pas le respect des droits de l’homme. S’il vous plaît, votre signature de cette pétition aidera à atténuer les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique
    SIGNEZ LA PETITION!

  • Sahara occidental- Ramtane Lamamra souligne : Se conformer à la volonté du peuple sahraoui

    « L’Algérie n’est pas partie au conflit (du Sahara occidental) et ne dicte à aucune autre partie la conduite à tenir lors du référendum ». 
    Cette réaffirmation du ministre des Affaires étrangères, M. Ramtane Lamamra, parue dans le contenu de l’interview qu’il a accordée à la chaîne « Russia Today », s’impose plus que jamais pour contrecarrer les attaques répétées du Maroc à l’encontre de notre pays, et également un autre éclaircissement en direction de la communauté internationale. 
    Dans ce cadre, l’Algérie, en vertu du principe de bon voisinage et des liens historiques entre les deux peuples frères, s’est toujours efforcée de faire dans la plus grande sagesse pour éloigner la question du Sahara occidental de ses relations avec le voisin de l’Ouest, privilégiant de ce fait la piste de la solution pacifique en « cas de différends », tout en affirmant avec la plus forte constante: « L’attachement de l’Algérie au droit du peuple sahraoui à son autodétermination, un droit qui passe conformément à la doctrine de l’ONU par des négociations entre les deux parties en conflit, en l’occurrence le Royaume du Maroc et le Front Polisario ». (Dixit R. Lamamra). 
    Les autorités algériennes plus que jamais attachées à ce principe d’accorder au peuple sahraoui sa liberté et sa souveraineté, sont convaincues qu’en vertu des règles et des principes de la Charte des Nations unies et celles présidant à la décolonisation des territoires occupés à travers les différents continents, que le Maroc tiendrait compte un jour ou l’autre des considérations du peuple sahraoui à sa liberté et à son indépendance, notamment qu’il est constaté avec satisfaction que l’immense majorité de la communauté internationale a fait preuve de cette attitude, qui, faut-il le rappeler, prend davantage d’ampleur, avec le retour dans la région de l’envoyé personnel du SG de l’ONU au Sahara occidental, Christopher Ross. A ce titre, le ministre des Affaires étrangères, M. Lamamra, a tenu à préciser dans la même interview à « Russia Today »: « L’Algérie demeure fidèle à son histoire contemporaine, elle qui a arraché son indépendance après une guerre sans merci et après avoir accepté l’idée d’un référendum d’autodétermination en dépit du prix fort qu’elle a payé pour l’indépendance et la liberté ».
    En dépit de tous ces prémices visant à rendre au peuple sahraoui sa dignité et sa souveraineté, il y a comme toujours des obstacles qui se dressent sur son chemin à son autodétermination. Les nombreux épisodes de fuite en avant et de blocage de ce référendum en témoignent. En parallèle aux très nombreux coups bas du Maroc, l’Algérie, Etat et peuple, continue d’apprécier les « relations normales et diversifiées avec le Maroc » sur les plans diplomatique, commercial et culturel, mais très certainement pas sur le plan politique. Il y a regret d’autant plus qu’aujourd’hui, la monarchie marocaine passe outre ses relations amicales, fraternelles désirées au plus haut degré par l’Algérie, en passant à des positions et à des arguments auxquels notre pays ne s’y prête pas tant ils ne sont aucunement bénéfiques à l’intégration maghrébine, ni de défense sincère de la souveraineté de la région, ni moins encore au droit des Sahraouis à décider de leur propre volonté. En réalité, nos frères marocains opèrent avec leur propre concept abstrait, d’une certaine stérilité et d’un certain désistement flagrant envers les intérêts du Grand Maghreb au profit d’autres concepts de déchirement de toute la région.
    B. C.
    Le Maghrebdz, 15/02/2014
    La MINURSO est la seule mission onusienne qui ne surveille pas le respect des droits de l’homme. S’il vous plaît, votre signature de cette pétition aidera à atténuer les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique
    SIGNEZ LA PETITION!

  • VERDAD, REPARACIÓN Y JUSTICIA EN EL CONFLICTO DEL SAHARA OCCIDENTAL

    El 27 de febrero de 1976, tras el abandono por parte de España del llamado Sahara Español, el Frente Polisario, representante único y legítimo de la población del Sahara Occidental, proclamaba la República Árabe Saharaui Democrática (RASD)

    38 años después ningún estado en el mundo reconoce la anexión del Sáhara por parte de Marruecos y decenas de países (incluida la propia Unión Africana) reconocen la República Saharaui, lo que no ha impedido que aproximadamente un 75% de su territorio permanezca militarmente ocupado por Marruecos aún cuando es manifiesta la ausencia de cualquier título de soberanía de Marruecos sobre los territorios del Sáhara Occidental.

    38 años después el Sahara Occidental parece un conflicto olvidado, que no interesa, que no esta, en definitiva, en la agenda de la Comunidad Internacional, al tiempo que la ONU se muestra incapaz de persuadir a Marruecos para que cumpla con la legalidad internacional y se celebre el referéndum de autodeterminación.

    No obstante, más allá del derecho a la libre determinación del Pueblo Saharaui y sus relaciones -aún por definir- con el Estado marroquí, resulta necesario enfocar la mirada en la situación de derechos humanos de la población que reside en los territorios del Sahara Occidental, convencidos de que ni en el Sáhara ni en cualquier otro lugar del planeta podrá haber paz ni acuerdo político duradero sin «verdad, justicia, reparación y garantías de no repetición» para las víctimas de las violaciones de derechos humanos.

    Una violación particularmente odiosa de los derechos humanos constituyen las desapariciones forzosas o involuntarias que violan toda una gama de derechos humanos consagrados en la Declaración Universal y enunciados en los Pactos Internacionales de Derechos Humanos y otros importantes instrumentos internacionales de derecho humanitario. Drama todavía presente en la vida de muchas familias saharauis, desconocedoras del destino de sus seres queridos y atenazadas por un dolor y sufrimiento indescriptibles, por una herida que no han podido cerrar aún. Véase al respecto el excelente trabajo «Meheris, la esperanza posible. fosas comunes y primeros desaparecidos saharauis» de Carlos Martín Beristain y Francisco Etxeberria Gabilondo que recoge los hallazgos realizados por un equipo de investigación forense y laboratorio genético de la Universidad del País Vasco, sobre un caso de personas saharauis desaparecidas.

    La búsqueda de la verdad, las iniciativas de justicia, la reparación y las garantías de no repetición, además de obligaciones jurídicas vigentes, contribuyen -de forma interrelacionada, como parte de una misma política integrada y con enfoque de género- al reconocimiento de las víctimas como elemento esencial para cualquier futuro político que se pueda diseñar mediante el diálogo y el acuerdo entre las partes, en el marco de las iniciativas llevadas a cabo por parte de Christopher Ross, Enviado Personal del Secretario General de la ONU para el Sáhara Occidental, que en próximas fechas comenzará una nueva gira por la región.

    Como señala con acierto Pablo de Greiff, -Relator Especial sobre la promoción de la verdad, la justicia, la reparación y las garantías de no repetición-, que recientemente ha visitado el Estado Español, después de situaciones de represión y conflicto, e incluso en situaciones de conflicto en curso en las que no cabe siquiera hablar de transición, «Los Estados tienen las obligaciones jurídicas permanentes, contraídas en virtud del derecho internacional, de aplicar medidas que realicen el derecho a la verdad, la justicia, la reparación y la garantía de no repetición».

    Estos cuatro elementos no son solo una cuestión de empatía hacia las víctimas, y como demuestra la experiencia internacional en conflictos pasados y presentes, también en el Sáhara Occidental es preciso hacer frente a las violaciones manifiestas de los derechos humanos padecidas por la población civil saharaui en los territorios bajo administración marroquí.

    El citado trabajo de Beristain y Etxeberria, y la reciente admisión por parte del Juez D. Pablo Ruz de la ampliación de la querella por genocidio contra el Pueblo Saharaui a partir del descubrimiento de las fosas comunes en las que fueron hallados ocho cadáveres -algunos con documentación española-, constituyen pasos firmes en la necesaria dirección de justicia y reparación para las víctimas.

    Una razón más, entre las otras miles y miles de víctimas del planeta, para defender el principio de jurisdicción universal y oponerse a la reforma que limita la facultad de las y los jueces españoles de investigar y enjuiciar los graves crímenes de derecho internacional que atentan contra la dignidad humana y contra la propia Comunidad Internacional.

    http://www.naiz.info/eu/iritzia/articulos/verdad-reparacion-y-justicia-en-el-conflicto-del-sahara-occidental

    En la antigua colonia espanola del Sahara, Marruecos sigue cometiendo las peores atrocidades contra la poblacion civil saharaui gracias al apoyo de Francia que sigue bloqueando en el Consejo de Seguridad impidiendo que la MINURSO (Mision de las Naciones Unidas para el Referéndum en el Sahara Occidental) tenga en su mandato la orden de vigilar los derechos humanos en el Sahara Occidental.
    En Abril se reúne el Consejo de Seguridad para debatir sobre la cuestión del Sahara Occidental. Tu firma puede ayudar a acabar con las violaciones de derechos humanos en el Sahara Occidental.
    Firma, por favor, esta petición

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Efemérides de la visita del Enviado Especial Olof Rydbeck al Sahara

    Efemérides del 14 de Febrero de 1976
    En ese día ABC llevaba en gran titular la visita a Madrid del Enviado Espacial de la ONU, Olof Rydbeck, a su a su regreso del Sahara después de una visita de varios días a dicho territorio. Fue recibido por ministro de asuntos exteriores, señor Areilza, conversa en su despacho en al palacio de Santa Cruz.
    “El secretario general de las Naciones Unidas dijo en cierta occasion que la situacion en el Sahara era explosive, y lo que yo puedo decir es que, en efecto, la situacion es dificil, porque en caso contrario no me habria enviado alli”, ha declarado a los periodistas el Enviado Especial de Kurt aldheim, Olof Rydbeck, a su llegada esta noche a Barajas, en vuelo especial, procedente de El Aaiun.
    EL ENVIADO DE WALDHEIM RECIBIDO POR AREILZA Y OSORIO
    El embajador de Suecia en la ONU, Olf Rydbeck, almorzó ayer con varios altos funcionarios del Ministerio de Asuntos Exteriores tras ser recibido por su titular, José María de Areilza, y, posteriormente, por el ministro de la Presidencia, señor Osorio, según ha podido saber Pyresa en fuentes dignas de crédito.
    El enviado especial del SG de las Naciones Unidas, que llego ayer a Madrid tras varios días de permanencia en el Sahara Occidental, informara a sus interlocutores españoles sobre sus contactos y gestiones en el territorio antes de regresar a Nueva York para presentar su informe al señor Waldheim.
    Rydbeck llego a Madrid el 12 de Febrero de 1976, el mismo dia de la desaparicion de ocho ciudadanos saharauis que serán hallados 38 años mas tarde en una fosa común en Fadrat Legüeiaa, región de Amgala.
    El mismo diario informa que ese dia dos unidades de las Fuerzas Armadas Reales en el Sahara han ocupado la localidad de Guelta Zemur, al sur de Bucraa y junto a la frontera con Mauritania.

    En la antigua colonia espanola del Sahara, Marruecos sigue cometiendo las peores atrocidades contra la poblacion civil saharaui gracias al apoyo de Francia que sigue bloqueando en el Consejo de Seguridad impidiendo que la MINURSO (Mision de las Naciones Unidas para el Referéndum en el Sahara Occidental) tenga en su mandato la orden de vigilar los derechos humanos en el Sahara Occidental.
    En Abril se reúne el Consejo de Seguridad para debatir sobre la cuestión del Sahara Occidental. Tu firma puede ayudar a acabar con las violaciones de derechos humanos en el Sahara Occidental.
    Firma, por favor, esta petición

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Ephémérides de la visite en Espagne de l'Envoyé Spécial de l'ONU, Olof Rydbeck

    Ephémérides.- Le journal espagnol ABC du 14 Février 1976 rapporte l’arrivée le 12 février 1976 de l’Envoyé Spécial du Secrétaire Général de l’ONU, Olof Rydbeck à Madrid provenant du Sahara Occidental. Il a été reçu par le ministre espagnol des affaires étrangères de l’époque José Maria de Areilza. 
    A l’aéroport de Barajas, M. Rydbeck a été abordé par les journalistes. « Le Secrétaire Général des Nations Unies a déclaré, à une occasion, que la situation au Sahara Occidental était explosive, et ce que je peux dire c’est que, en effet, la situation est difficile, dans le cas contraire, M. Waldheim ne m’aurait pas envoyé là-bas » a-t-il déclaré.
    M. Rydbeck est arrivé à Madrid le 12 février 1976, le jour où huit citoyens sahraouis ont disparu dans la région d’Amgala. Leurs corps ont été retrouvés 38 ans après dans une fosse commune à Fadret Legüeiaa.
    Le rapport de la découverte de ce charnier a été ajouté comme preuve accablante la semaine passé par juge espagnol au dossier de la plainte déposée auprès de l’Audience Nationale espagnole contre des hauts officiers de l’armée marocaine pour crime de génocide.

    Le même journal rapporte l’occupation de la ville de Guelta Zemmour par les forces marocaines ce 12 février 1976, dans une vaste campagne militaire qui englobe aussi la région de Mahbes et Bir Lehlou.

    La MINURSO est la seule mission onusienne qui ne surveille pas le respect des droits de l’homme. S’il vous plaît, votre signature de cette pétition aidera à atténuer les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique
    SIGNEZ LA PETITION!