Mois : février 2014

  • Il n’y a pas de paix sans justice

    Le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon avait raison. Une solution juste et durable au conflit du Sahara Occidental doit être basée sur la volonté du peuple sahraoui. Toute solution qui ne répond pas à cette condition est vouée à l’échec.
    La question du Sahara Occidental est un problème de décolonisation. Son peuple s’est prononcé en 1975 devant la commission d’enquête de l’ONU. Dans des manifestations massives, les sahraouis avaient revendiqué l’indépendance totale. Le référendum était prévu pour le mois de juin 1975. Le Maroc, soutenu par la France, a tout fait pour l’empêcher. Même des attentats terroristes contre l’armée espagnole. La situation d’agonie du Général Franco a poussé l’Espagne à céder au chantage marocain.
    La longévité du conflit est une preuve que la question du Sahara Occidental est une cause qui a été et sera toujours épousée par toutes les générations du peuple sahraoui. Raison pour laquelle seule une solution juste est valable pour établir une paix définitive dans cette région. Il ne peut y avoir de paix sans rendre justice au peuple du Sahara Occidental. Tout comme il ne peut y avoir de démocratie sans justice, il n’y a pas de paix sans justice. Et la justice c’est l’indépendance pour laquelle les sahraouis se sont battu plus de 38 ans
    Les marocains se trompent s’ils croient qu’ils peuvent venir à bout des revendications sahraouies avec la matraque. Le peuple peut se taire pendant quelques années, mais pas pour toujours. Il y aura toujours des voix pour défendre le droit de ses ancêtres. Les fils et les petits-fils de ceux qui ont donné leur vie pour l’indépendance de ce territoire.

    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT 

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Maroc : Un pays qui vit de la mendicité et de la prostitution auprès des riches monarchies du Golfe et de la France

    Gueuserie et débauche
    Par Karim Bouali
     Ce que la réalité n’offre pas au Maroc, une campagne médiatique intéressée tente de le faire croire  évoquant un «rôle d’avant-garde» de ce royaume en Afrique. En a-t-il les moyens ? Qu’est-ce qu’un pays qui vit de la mendicité et de la prostitution auprès des riches monarchies du Golfe et de la France peut apporter à l’Afrique, sinon un encouragement à la gueuserie et à la débauche politique ? 
    Il est évident que la France veut faire du Maroc sa tête de pont dans notre continent. Ce n’est sans doute pas pour répondre aux besoins des Marocains, qui sont ailleurs – plutôt dans une situation sociale détériorée à l’extrême – que deux satellites d’observation ont été «vendus» par la France au Maroc. Où trouvera-t-il l’argent pour les payer ? Faut-il rappeler que ce pays a fait appel à l’aide du Fonds monétaire international (FMI) et qu’il est l’un des pays les plus endettés du monde arabe ? Mais surtout, que vont observer ces satellites ? L’Algérie sans doute, dans quel but, au profit de qui ? 
    Le rêve de mettre à genoux notre pays n’a pas disparu chez ceux qui cherchent à prendre sur l’Algérie une revanche, à lui spolier ses ressources et à l’empêcher de remplir son devoir de solidarité à l’égard du continent africain. 
    Derrière toute cette machination se profile l’entité sioniste. Le dossier publié parAlgeriepatriotique met à nu les moyens utilisés par Israël dans le pillage systématique des richesses du continent. Dans ce but, tout est permis comme le montre l’exemple de la Libye placée sous la coupe occidentale après l’odieux assassinat de Kadhafi par Sarkozy et Bernard-Henri Lévy. Ce crime avait justement pour but de priver l’Afrique des sources de financement que la Libye fournissait aux pays africains, pour éviter que le continent noir tombe entre les mains des prédateurs occidentaux et israéliens. Jusqu’où ira la servilité du Makhzen ?
    K. B.
    http://www.algeriepatriotique.com/content/gueuserie-et-debauche
  • Plus de 80 blessés dans des manifestations : Répression féroce au Sahara occidental

    Dans un message adressé dimanche dernier au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, appelle à la prise de mesures urgentes contre l’occupant marocain pour « mettre fin » à ses pratiques « barbares » contre les manifestants sahraouis.
    La répression s’est encore une fois abattue sur des manifestants sahraouis, dans la ville d’El-Ayoun occupée. C’est paradoxalement au moment où la communauté internationale plaide pour l’élargissement des prérogatives de la mission de la Minurso à la protection des droits de l’Homme, que les forces d’occupation marocaines se sont acharnées, avec une extrême sauvagerie, sur des manifestants désarmés. 
    Selon un bilan rendu public par le ministère des Territoires occupés et des Communautés sahraouies établies à l’étranger, plus de 80 personnes, dont des femmes, des personnes âgées, des mineurs, ont été grièvement blessées et plusieurs maisons saccagées, lors d’une manifestation organisée samedi dernier par des Sahraouis qui réclamaient leur droit à l’autodétermination et l’élargissement de la mission de la Minurso à la protection des droits de l’Homme. 
    Dans un message adressé dimanche dernier au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, appelle à la prise de mesures urgentes contre l’occupant marocain pour mettre fin à ses pratiques « barbares » contre les manifestants sahraouis. Le nombre élevé des victimes de l’intervention « musclée » d’El Ayoun reflète « la cruauté et la violence aveugle des forces d’occupation marocaines contre les civils sahraouis dont des enfants, des femmes et des personnes âgées, voire même des militants des droits de l’Homme », indique M. Abdelaziz. 
    Tout en rappelant les efforts de Christopher Ross, « compromis par l’occupant marocain qui ne cesse de violer le droit humanitaire international », le président sahraoui a appelé par ailleurs le SG de l’ONU à intervenir pour la cessation du pillage des richesses du Sahara occidental. En signe de solidarité, des centaines de sympathisants avec la cause sahraouie ont pris part, samedi dernier, aux manifestations qui ont eu lieu dans dix villes espagnoles. 
    Des manifestations qui interviennent au lendemain de l’audition par le juge de la Haute-Cour espagnole, Pablo Rafael Ruz Gutierrez, de deux experts espagnols, Carlos Martin Beristain et Francisco Etxeberria, qui avaient exhumé en juin 2013, de deux fosses communes, huit cadavres, dont deux d’enfants. Ces cadavres sont ceux de Sahraouis exécutés par arme à feu par des éléments de l’armée marocaine le 12 février 1976, lorsque l’Espagne exerçait encore officiellement comme puissance administrante du territoire, précise la même source. Pour sa part, le ministre uruguayen des Affaires étrangères, Luis Almagro, a demandé de doter la Minurso d’une composante pour surveiller les droits de l’Homme, à l’issue d’une réunion à Montevideo avec l’ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique, Cheibani. Pris de court par les rapports successifs accablants des ONG internationales, à l’image de la Fondation Kennedy et Human Rights Watch, les autorités d’occupation marocaines s’entêtent à poursuivre leur violation des droits de l’Homme au Sahara occidental.
    A. Louni
    Horizons, 19/02/2014
  • Mohammed VI en son pré carré : une tournée et des questions ?

    Au moment où la classe politique algérienne se déchire en des débats stériles, les ennemis de l’Algérie, à ses frontières, ne chôment pas. Ainsi, à Nouakchott un sommet de six États sahéliens s’est tenu, sans que l’Algérie n’y soit conviée, alors qu’elle est partie prenante de la sécurité de la région sahélo-saharienne, dont elle est frontalière avec des centaines de kilomètres. Une région, qui constitue sa profondeur stratégique, d’où des coups terroristes d’envergure ont été portés à notre pays. 
    D’un autre côté, la diplomatie marocaine, dont le seul et unique objectif est d’affaiblir l’Algérie et de consolider sa colonisation du Sahara occidental, s’active beaucoup avec l’appui des ses alliés au Mali et dans les pays de l’Afrique de l’Ouest (soutiens inconditionnels de son occupation du Sahara occidental). 
    Tous les gestes et toutes les initiatives diplomatiques marocaines conduites par le monarque marocain, qui pourtant rechigne à se rendre dans les pays africains, sont guidés par un seul et même objectif : conforter définitivement la colonisation du Sahara occidental, un pays pourtant membre à part entière de l’Union africaine et faire du Maroc (une prétention et une illusion pour jouer sur l’ego de M6) une puissance économique et militaire de poids en Afrique centrale de l’Ouest grâce aux nombreuses richesses naturelles de l’ancienne colonie espagnole et permettre à la France d’en profiter. Mais aussi, comme en Guinée, l’exploitations de ressources minières rares avec Israël, l’autre colonisateur qui revient en force sur le Continent. 
    C’est dans ce contexte que rentre la mini-tournée programmée par Mohamed VI au Mali, Côte d’Ivoire, Gabon et Guinée. Ainsi, le roi du Maroc n’a pas changé la liste de ses destinations africaines. Toujours les mêmes. Ils se comptent sur les doigts d’une seule main et ils partagent avec le Maroc un point commun : la survie de leurs régimes ne dépend que des faveurs de la France et de la bienveillance des états-Unis, qui ont cantonné Paris dans ce rôle et l’y ont encouragé fortement, lors de la dernière visite «idyllique» de Hollande, à Washington. Paris compte sur les USA pour pousser ses alliés européens, et notamment la Grande-Bretagne et l’Allemagne, à financer son effort de guerre et le maintien des bases militaires françaises. 
    À l’exception du Mali, les pays qui seront visités par le souverain marocain ont pour point commun, selon des medias français, d’avoir contribué au financement illégal des campagnes présidentielles françaises, le point faible de tous les dirigeants français. Selon un câble diplomatique américain publié par WikiLeaks, Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac, ainsi que le Parti socialiste français, auraient bénéficié de l’argent de Banques des États de l’Afrique Centrale (BEAC) pour financer leur activité politique. À Abidjan, le président Alassane Ouattara a pris le pouvoir grâce aux troupes françaises stationnées en Côte d’Ivoire. Et comme le rappellent depuis Paris opposants africains et militants français de la lutte anticoloniale ; En Guinée, le lieutenant Dadis Camara a été soigné au Maroc après sa blessure pour ensuite se rendre au Burkina Faso. 
    Au Mali, où Mohammed VI, se rend pour la seconde fois, dont le but est de conforter les revendications irréelles du MNLA, dont il parraine l’aile radicale et torpiller la médiation de l’Algérie. Cette médiation qui suscite la jalousie et la colère du Palais royal qui veut redessiner la carte de l’Afrique et apparaître coûte que coûte comme un pays sahélien, alors que ses frontières historiques s’arrêtent aux portes de Goulimine. 
    Dans ses efforts pour comploter contre l’Algérie, le Palais royal compte avec le soutien de Paris qui ont fait pression sur le MNLA pour qu’ils boycottent l’appel que l’Algérie a lancé aux parties pour une rencontre exploratrice à Alger. Pourtant, l’initiative algérienne a été sollicitée par le président Boubacar Keita. En soutenant une médiation marocaine au Mali, la France récompense le Maroc pour sa participation dans la force de pacification de la République Centrafricaine. Et dans le même temps instruit son ex-ambassadeur au Mali devenu le «Monsieur-Sahel» de l’Union européenne, de faire pression sur Alger, lors de son dernier passage pour faire admettre coûte que coûte le Maroc aux négociations sur la sécurité au Sahel. Pour la petite histoire l’ambassadeur, Michel Reveryrand de Menthon, est connu pour son hostilité à l’Algérie. Tout comme son épouse, Marisol Touraine, ministre française de la Santé qui réclame à l’Algérie des dettes de la Cnas en partie injustifiées et insuffisamment documentées, alors que son pays doit au notre 80 millions d’euros, au titre des retraites d’Algériens dépendant du régime français et pris en charge en Algérie.
    Mokhtar Bendib
    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT  
  • Testimonio de Eric Goldstein sobre la manifestación del 15 de Febrero del 2014

    Eric Goldstein, responsable de la seccion de Oriente Medio y Norte de Africa en Human Rights Watch. Estuvo en el Aaiun el 15 de Febrero 2014. Hé aqui su testimonio :
    La semana pasada, las organizaciones de derechos humanos saharauis avisaron a las autoridades de una manifestación que querían organizar el 15 de febrero a las 5:30 pm. Mucho antes de la hora señalada, más de 100 policías uniformadosy vestidos de civil se desplegaron en todas las direcciones desde la intersección del punto designado, bloqueando el camino para cualquier persona de la que se sospeche la intención de participar. Dos veces mientras trataba de acercarme, agentes de paisano me devolvieron « por mi propia protección ». Un diputado británico y su delegación pudieron acercarse hasta un grupo de manifestantes antes de que la policía les impidia y arrebate una cámara de su coche, devolviéndola sólo después de haber borrado algunas fotos que acababan de tomar, según John Hilary, miembro de una ONG de su delegación. El gobernador más tarde los acusó de tratar de incitar a los manifestantes a la revuelta.
    Ese mismo día, un estudiante que mantiene una página de Facebook documentando violaciones de derechos humanos me dijo cómo, el 2 de febrero , policías vestidos de civil lo detuvieron en la calle, lo interrogaron sobre su activismo en la web, lo obligaron a revelar sus contraseñas, y luego abrieron y leyeron su correo electrónico y el contenido de su página web en una computadora de la comisaria de policía, en su presencia. Dijo que lo liberaron a medianoche advirtiendo a su padre que la próxima vez se enfrentará a cargos criminales.
    El estudiante nos dijo que cuando filmaba la acción policial contra manifestantes saharauis, él y sus colegas se agacha en balcones y azoteas para evitar la confiscación de sus equipos. Esto explica por qué las imágenes que publican son a menudo borrosas y entrecortadas.
    Marruecos no puede utilizar medios técnicos para censurar la web, pero sobre el terreno, en el Sáhara Occidental, su policía censura a través de la intimidación y las porras. 
  • Sahara occidental : la police marocaine disperse par la force une manifestation

    Des policiers marocains en civil ont dispersé par la force une manifestation indépendantiste samedi soir à Laâyoune, la principale ville du Sahara occidental, a rapporté lundi une ONG marocaine.
    La centaine de manifestants, hommes et femmes, réunis dans le quartier de Maatalah, a été “attaquée par la police et particulièrement par des policiers en civil”, a affirmé à l’AFP Hamoud Iguilid, un responsable de l’Association marocaine des droits humains (AMDH, indépendante), précisant que les forces de l’ordre avaient d’abord tenté d’empêcher le rassemblement.
    Les manifestants, parmi lesquels aucun n’a été blessé grièvement selon M. Iguilid, réclamaient la libération de prisonniers politiques et l’extension du mandat de la mission de l’ONU (Minurso) à la surveillance des droits de l’Homme.
    Un responsable régional de Human Rights Watch (HRW), Eric Goldstein, en visite à Laâyoune, a également assuré que plus d’une centaine de policiers en uniforme et en civil avaient tenté d’empêcher le rassemblement.
    “A deux reprises, alors que je tentais d’approcher, des officiers en civil m’ont repoussé pour ma +propre protection+”, a-t-il ajouté.
    Les autorités marocaines n’étaient pas joignables dans l’immédiat pour réagir. Mais dans un communiqué cité par l’agence officielle MAP, la préfecture de Laâyoune a accusé un député britannique, Jeremy Corbin, d’avoir cherché à “inciter les populations à l’émeute sur la voie publique”.
    M. Corbin, qui est à la tête d’un groupe parlementaire chargé d’attirer l’attention sur la situation au Sahara, se trouvait en déplacement à Laâyoune au cours du week-end dernier.(Afp)
    http://www.algerie1.com/flash-dactu/sahara-occidental-la-police-marocaine-disperse-par-la-force-une-manifestation/

    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT  

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Bachir Edkhil, un tránsfuga denunciado por uno de sus amigos

    La traición es un fenómeno que ha acompañado a la humanidad en su recorrido a través de la historia. Sin embargo, siempre fue considerada como un acto reprochable. Como la prostitución, calificada como la profesión más antigua del mundo, la traición ha sobrevivido al paso del tiempo, pero siempre fue mal vista. Un acto que nunca fue alabado. Al contrario, muy criticado.
    En el Sáhara Occidental, la confrontación con Marruecos y la longevidad del conflicto militar hizo que muchos saharauis tiren la toalla y se vayan a Marruecos vendiendo su alma al diablo de Rabat. Entre ellos, Bachir Edkhil. Fue representante del Frente Polisario en Cataluña ( España ). Su situación era cómoda en comparación con los refugiados del Sáhara Occidental que se encuentran en el desierto de Tinduf, en el suroeste de Argelia. Pero a pesar de su envidiable posición, optó por traicionar a su pueblo y la convicción que le ha guiado durante muchos años. Sin embargo, hoy no siente ninguna incomodidad ni molestia cuando coge el micrófono para decir que fue uno de los fundadores del Frente Polisario, aunque sea un embuste.
    El 9 de febrero de 2014, Bachir participó en una conferencia organizada por los marroquíes para conmemorar la muerte del fundador del partido USFP. Intervino quejandose de que el Majzén lo margina. Denunció las negociaciones con el Frente Polisario, pretendiendo que él es quien es digno de representar a los saharauis.
    Quiere hablar en nombre de los saharauis, todos los saharauis, incluidos los que están en el exilio. Sin embargo, sus actividades han demostrado que es contrario a los intereses de la gente que quiere representar. Según un amigo suyo, Khalili Boira, Bachir denunció a las autoridades de ocupación marroquíes la presencia en la ciudad de El Aaiún de españoles que habían llegado del País Vasco para ayudar a una familia destrozada por los acontecimientos de Gdeim Izik .
    Boira Khalili revela esta historia en un chat del que publicamos la captura de pantalla .
  • Bachir Edkhil, un transfuge dénoncé par son copain

    La trahison est un phénomène qui a accompagné l’humanité dans son parcours à travers l’histoire. Pourtant, la trahison est restée le long des siècles un acte condamnable. Tout comme la prostitution, qualifiée du plus vieux métier au monde, la trahison a survécu au passage du temps, mais restée toujours condamnable. Un acte qui n’a jamais été loué. Au contraire, il est considéré comme un acte méprisable.
    Au Sahara Occidental, la confrontation militaire déclenchée avec le Maroc et la longévité du conflit a fait que des nombreux sahraouis jettent l’éponge et se rendent au Maroc pour vendre leur âme au diable de Rabat. Parmi eux, Bachir Edkhil. Il était représentant du Front Polisario en Catalogne (Espagne). Sa situation était confortable par rapport aux réfugiés du Sahara Occidental qui se trouvent dans le désert de Tindouf, dans le sud-ouest de l’Algérie. Mais malgré son enviable situation, il a choisi de trahir son peuple et la conviction qu’il a embrassée depuis son plus jeune âge. Pourtant, aujourd’hui il n’est pas gêné lorsqu’il prend le microphone pour dire qu’il était l’un des fondateurs du Front Polisario, même si c’est un mensonge.
    Le 9 février 2014, Bachir participe dans un colloque organisé par les marocains pour commémorer la mort du fondateur du parti de l’USFP. Il intervient pour se plaindre du Makhzen qui l’a marginalisé. Il dénonce les négociations du Maroc avec le Front Polisario alors que lui aussi se croit digne de représenter les sahraouis.
    Il veut parler au nom des sahraouis, tous les sahraouis, y compris ceux qui se trouvent à l’exile. Pourtant, ses activités se sont avérées contraires aux intérêts de cette population qu’il veut représenter. Selon un ami à lui, Khalili Boira, Bachir a dénoncé aux autorités d’occupation marocaines la présence dans la ville d’El Aaiun d’espagnols venus à l’aide d’une famille qui a été touchée par les événements de Gdeim Izik.
    Khalili Boira dévoile cette histoire dans un chat dont nous publions la capture écran.
    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT  
  • El ensordecedor silencio de Ban Ki -moon

    Proceso de paz y violación de derechos humanos. Dos hechos incompatibles, pueden ir juntos? El observador más ávido no dudaría en responder. Imposible diría. En un proceso cuyo objetivo es instaurar la paz en un país o una región, cualquier violación de los derechos humanos contribuiría automáticamente a sabotear el proceso de paz o al menos debilitarlo significativamente o desproveerlo de toda eficacia.
    Sin embargo, esto es lo que está pasando en el Sáhara Occidental. La ONU ha instaurado, en 1991, un alto el fuego y un proceso de paz para organizar un referéndum de autodeterminación que permita a la población de este territorio expresarse sin ningún compromiso sobre su avenir. Un derecho fundamental contenido en la Carta de las Naciones Unidas. El proceso de paz continúa, pero el referéndum está estancado. Continua el alto el fuego, las violaciones de los derechos humanos también.
    En el Sáhara Occidental, no sólo el referéndum no tuvo lugar en seis meses, ni en 22 años, sino que Marruecos prosigue sus intervenciones musculosas contra la población civil saharaui sin ser molestado por la ONU. Al contrario, el Secretario General Ban Ki -moon, en lugar de condenar las exacciones marroquíes, alaba el « progreso » de Marruecos en materia de derechos humanos y la creación del Consejo Nacional de Derechos Humanos (CNDH ), la instancia marroquí que declaró que ocho personas murieron en la prisión y cuyos cadaveres fueron hallados en una fosa común en junio de 2013 en la región de Amgala.
    Las violaciones de los derechos humanos en el Sáhara Occidental por parte de Marruecos se suceden. Las cartas del Presidente saharaui al Secretario General Ban Ki- moon, también. Pero éste último sigue haciendo el sordo ante los gritos de auxilio de la máxima autoridad saharaui. En detrimento de su credibilidad con la parte que más sufre de esta situación de ni guerra ni paz, esta situación de status quo impuesta por el silencio de la ONU frente a los desafíos de Marruecos contra del proceso de la ONU y contra de la población local.
    El pueblo saharaui sufre una doble tortura. Una de sus partes se encuentra refugiada en un desierto de los más áridos y la otra sometida a un régimen de extrema violencia y una política de empobrecimiento que dura más de 38 años. Nada de esto parece conmover a Ban Ki -moon.
    La MINURSO (Misión de la ONU en el Sáhara Occidental) es la única misión de la ONU que carece de un componente encargado de informar sobre la situación de los derechos humanos en la antigua colonia española. El veto de Francia en el Consejo de Seguridad impide a éste resolver esta anomalía. Si usted cree que la MINURSO debe vigilar los derechos humanos, haga clic aquí y firme la petición dirigida al secretario general Ban Ki-moon y cuelgue esta petición en su página. Muchas gracias
  • Le Maghreb, l’unité brisée sur les dunes du Sahara occidental

    Quand la fondation Al Majd l’a invité, samedi dernier, comme conférencier au 25ème anniversaire de l’Union du Maghreb Arabe, Mustapha Filali a eu tout le temps de puiser dans une mémoire séculaire, qui a, durant le XXème siècle, retenu les principaux épisodes de l’histoire moderne de la Tunisie et du Maghreb. Car, en plus d’occuper des postes clés au lendemain de l’indépendance de la Tunisie en 1956, Mustapha Filali, aujourd’hui âgé de 92 ans, a également été actif sur le plan maghrébin, en inaugurant, en 1989, le poste de premier secrétaire général de l’Union du Maghreb Arabe (UMA).
    Un poste qui le positionne parmi les fins connaisseurs de l’UMA, de ses atouts, mais aussi de ses rêves avortés. Bien qu’il ne préfère pas « l’expression imagée de mort-née » que politologues et historiens n’ont de cesse de coller à l’union de la Tunisie, de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et de la Libye, Mustapha Filali ne se leurre pas. « C’est l’absence de la volonté politique qui a entravé l’intégration maghrébine, les chefs des pays du Maghreb ne s’étant jamais réunis depuis 1994 », a ainsi affirmé l’ancien secrétaire général de l’UMA. D’ailleurs, selon lui, il ne reste de l’UMA que le secrétariat général réduit aujourd’hui à une entité incapable de participer à la décision, ni de donner corps aux 34 protocoles et résolutions maghrébins, restés jusqu’ici lettres mortes.
    Pourtant l’Union Maghrébine a, aux yeux de Mustapha Filali, tous les atouts pour être effective, sinon des plus performantes dans cette ère des coalitions et des conglomérats interétatiques. Il y a d’abord la continuité du relief qui fait du Maghreb une entité homogène. Riche tant de ses richesses naturelles minières, gazières et pétrolières que de son espace terrestre et maritime, avec une position stratégique au centre du bassin méditerranéen, une longue façade atlantique et une proximité avec le détroit de Gibraltar et le canal de Sicile, le Maghreb dispose de toutes les matières premières à un essor économique qui, ajoutées aux milliers de cerveaux et compétences désertant la région, auraient fait de l’UMA une alliance qui n’aurait rien à envier à l’Union européenne, ni aux pays de l’ALÉNA (Accord de libre-échange nord-américain).
    Mais cette projection dans un futur prospère s’est très tôt pliée face à la réalité, quand Mustapha Filali a évoqué, non sans regret, le problème inutile du Sahara occidental, qui tel une épine au pied, empêche l’intégration maghrébine.
    Ce problème avait, bien avant même la déclaration de Marrakech, failli désintégrer l’Organisation de l’Unité Africaine, ancêtre de l’actuelle Union Africaine, qui avait, en 1982, admis la République arabe sahraouie démocratique (RASD) comme membre à part entière. Les annales de l’histoire retiennent encore les incidents diplomatiques qui s’en suivirent et qui finirent par le retrait du Maroc de l’OUA et la compartimentation de l’organisation panafricaine en deux blocs : les anti-RASD d’une part, les amis de la RASD dans l’autre camp avec comme chef de file l’Algérie. L’Algérie a en effet toujours soutenu les sahraouis durant la longue guerre qui les a opposés de 1975 à 1991 au Maroc et à la Mauritanie. Et même après le cessez-le-feu de 1991, les Algériens ont maintenu leur appui au mouvement politique Polisario qui revendique toujours l’indépendance du Sahara occidental.
    Algériens et Marocains entretiennent, depuis, des relations froides, réchauffées de temps en temps par des litiges sporadiques et des échanges de déclarations antagonistes. Les invectives et les attaques, jadis reprises seulement par les média, ont récemment commencé à investir les arènes des réseaux sociaux.
    Les appels à la réconciliation, et donc à la l’unité maghrébine, ne sont pourtant pas inaudibles. Mais ils semblent perdus nulle part sur les 266 000 km2 des dunes sahraouies.
    http://www.leconomistemaghrebin.com/2014/02/17/maghreb-unite-brisee-sahara-occidental/

    Au Sahara Occidental, ancienne colonies espagnole envahie par le Maroc, la mission de l’ONU est la seule mission qui ne rapporte sur les violations des droits de l’homme à cause du veto de la France au Conseil de Sécurité.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homm.
    MERCI INFINIMENT  

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy