Mois : janvier 2011

  • « Le Royaume-Uni soutient pleinement le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination» (responsable)

    Londres, 29/01/2011 (SPS) Le sous-secrétaire d’État du Royaume-Uni, Alistair Burt a déclaré vendredi, que le gouvernement de son pays « soutient pleinement » le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination, au cours de son intervention devant la Chambre des communes, à la fin d’un débat sur le Sahara occidental.

    « Le Royaume-Uni soutient pleinement le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et salue les efforts de l’envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, en vue d’encourager les parties à engager un dialogue sans conditions préalables », a déclaré Alistair Burt

    « Le gouvernement adopte la position du Conseil de sécurité de l’ONU, appelant à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui prévoit l’autodétermination du peuple du Sahara occidental », a-t-il ajouté

    « L’absence d’un règlement du conflit du Sahara Occidental empêche l’intégration régionale et la coopération dans plusieurs domaines », a estimé le responsable britannique. (SPS)

  • John Bolton dénonce l’absence de progrès sur le référendum au Sahara occidental

    WASHINGTON.- L’ancien ambassadeur américain aux Nations unies, M. John Bolton, a dénoncé au Congrès américain l’absence de progrès pour la tenue d’un référendum au Sahara occidental, qualifiant cette situation de « grande tragédie ».

    M. Bolton a fait cette déclaration lors d’une rencontre organisée par la fondation américaine « Defense Forum Foundation » avec les membres du staff du Congrès américain pour discuter des questions de sécurité des Etats-Unis.

    « Après toutes ces années d’efforts, je suis perplexe par notre incapacité d’organiser un référendum au Sahara occidental afin de permettre au peuple sahraoui, d’une manière réellement démocratique, d’exprimer son point de vue sur ce qu’il veut pour l’avenir de son pays », a-t-il déploré.

    Pour M. Bolton, qui avait également travaillé avec l’ancien envoyé spécial des Nations unies sur le Sahara occidental, M. James Baker, « cette situation est une grande tragédie et j’espère ne perdre aucune occasion pour cette région afin de voir ce que les institutions démocratiques légitimes pourraient faire ».

    Le 24 janvier dernier, les travaux de la 5e réunion informelle entre le Front Polisario et le Maroc avaient pris fin à Manhasset (New York) sans avancée majeure dans les pourparlers entre les deux parties.

    Le Front Polisario et le Maroc avaient engagé en juin 2007 des négociations directes, sous l’égide de l’Onu, avec quatre rounds qui avaient eu lieu à Manhasset, et cinq réunions informelles à Vienne (Autriche) et à Manhasset.

    Le Conseil de sécurité avait demandé dans sa résolution (1871) au Maroc et au Front Polisario de poursuivre les négociations sous les auspices du secrétaire général de l’Onu, « sans conditions préalables et de bonne foi », en vue de parvenir à une « solution politique juste, durable et mutuellement acceptable » qui pourvoie à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.

    Le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique. Il est considéré comme territoire non-autonome par l’Onu depuis 1966.

  • "Le Royaume-Uni soutient pleinement le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination» (responsable)

    Londres, 29/01/2011.- Le sous-secrétaire d’État du Royaume-Uni, Alistair Burt a déclaré vendredi, que le gouvernement de son pays « soutient pleinement » le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination, au cours de son intervention devant la Chambre des communes, à la fin d’un débat sur le Sahara occidental.

    « Le Royaume-Uni soutient pleinement le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et salue les efforts de l’envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, en vue d’encourager les parties à engager un dialogue sans conditions préalables », a déclaré Alistair Burt

    « Le gouvernement adopte la position du Conseil de sécurité de l’ONU, appelant à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui prévoit l’autodétermination du peuple du Sahara occidental », a-t-il ajouté

    « L’absence d’un règlement du conflit du Sahara Occidental empêche l’intégration régionale et la coopération dans plusieurs domaines », a estimé le responsable britannique.

  • L’immigration!

    Avant de rentrer dans le vif du sujet, il faut savoir que cette année, la Suisse est en pleine période électorale et c’est important, car il nous faut élire pas moins de 200 conseillers nationaux.
     
    Qu’on se rassure, chaque électeur ne va pas se taper la biographie de plus de 2000 candidatures, cela est plus simple et se passe au niveau cantonal.
    Comme notre Confédération compte 26 cantons et que le nombre de conseillers est proportionnel au nombre d’habitants dudit canton, le confédéré helvétique a le choix, soit de voter pour un parti si il n’a pas envie de sa taper toutes les convictions et idées des candidats, ou voter pour des candidats avec lesquels il se sent quelques affinités.
    On a quatre partis prédominants.
    L’UDC (Union Démocratique du Centre «très très très à droite»), le PSS (Parti Socialiste Suisse «un peu à gauche»), le PLR (Parti Libéral et Radical «centre-droite-droite»), le PDC (Parti Démocrate Chrétien «Droite qui veut nous faire croire qu’elle est du centre») et les Verts, (Parti qui monte, mais comme il y a des Verts de Gauche et des Verts Libéraux qui ne sont pas foutus de s’entendre, ils préfèrent faire cavaliers seuls). Puis plein d’autres petits partis qui peuvent espérer avoir un ou deux sièges au Conseil National.
    Donc, quatre partis importants: UDC, PSS, PLR et PDC.
    Pourquoi importants? Parce que plus les partis ont de sièges au Conseil National, plus ils ont de chances d’avoir droit à un des sept sièges de Conseillers Fédéraux (qu’on appelle aussi Sages) au Pouvoir Exécutif, soit sept «ministres» qui s’échangeront le siège présidentiel chaque année selon un tournus bien rôdé.
    Jusque-là, me suis-je bien faite comprise?
    Je continue. (Si jamais il y a des questions, n’hésitez pas à les mettre en commentaires dans la case réservée à cet effet à la fin de cet article.)
    Donc, chaque citoyen peut devenir président, mais il doit suivre un long parcours et doit commencer à se distinguer dans sa commune. Comme le vent souffle selon la géopolitique mondiale et que la retraite est fixée à 65 ans pour l’instant, y compris pour les Sages…
    Actuellement, chaque parti part, avec son artillerie, faire campagne pour conquérir les sièges du Conseil National.
    Et l’UDC de partir à grand galop sur son cheval de bataille: l’immigration. Surtout celle qui vient du Sud et particulièrement celle de l’Est, entendez par là, les criminels et les Roms. Je simplifie. Mais il y a aussi, selon eux, ce foutu espace Schengen qui laisse entrer n’importe qui, même si la coopération policière se met en place de façon beaucoup plus efficace pour le canton de Genève, mais on s’en fout, la barque est pleine, Punkt Schluss! (Prononcez pounght chlouss)
    Ironie du sort, il y a une immigration qui vient du Nord et qui n’en à rien à battre de nos frontières helvétique.
    En effet, poussés par un froid intense dans les pays nordiques et d’Europe centrale, de drôles d’oiseaux tels que cinq espèces d’oies, de cygnes chanteurs et de bernaches cravants se sont installés autour des lacs de Neuchâtel, de Morat et de Bienne. On a même pu observer des oies à bec court, volatiles qui nichent normalement dans l’est du Groenland, en Islande et au Spitzberg!
  • L’indépendance s’arrache par le sacrifice, le sang et les larmes

    Depuis 1991, date du cessez-le feu, pour faire place à la négociation afin d’arriver à une solution politique qui garantisse le droit du peuple du Sahara Occidental à la libre expression de ses aspirations d’indépendance ou de rattachement au royaume du Maroc, le problème traine, en long et en large, et ce, à cause des entraves répétées que le Maroc met en « exergue » pour détourner l’opinion internationale sur le véritable blocage du référendum.

    Les autorités de cette monarchie, refusent carrément l’option du scrutin référendaire, et proposent à la place, un autre plan du Monarque Marocain. Le plan d’autonomie! Il est clair comme l’eau de roche, qu’une solution politique de ce conflit qui oppose le Front Polisario au Royaume du Maroc, s’écarte de plus en plus à cause toujours des tergiversations du Roi et ses « vassaux » qui applaudissent au refus du référendum. Un refus décrété par le maitre de Rabat et approuvé par Paris et Madrid.

    Cette position du Maroc se trouve renforcée par la complaisance de la France, ainsi que d’autres Etats négationnistes des indépendances des peuples encore sous domination coloniale.  La France qui revendique être la patrie des droits de l’homme impose son veto pour que la population sahraouie reste sous l’emprise d’un royaume féodal et violent où la corruption dépasse largement celle du pays de Ben Ali qui a poussé le peuple tunisien à la révolte.

    Ainsi, ils ne laissent aux Sahraouis qu’une seule alternative : Celle de reprendre le combat libérateur dans les meilleurs délais possibles, sans attendre ces négociations qui, depuis 2007, vacillent entre directes, formelles et informelles, sans, au bout de compte, arriver à aucun résultat. Des négociations sans effet et qui ne visent qu’à endormir la volonté de ce peuple malgré les multiples appels de l’ONU à respecter la légalité internationale consacrée dans le droit légitime du peuple sahraoui à l’autodétermination  et dont les résolutions, renouvelées à chaque échéance, ressemblent à des feuilletons sans fin.

    Le Newsweek, dans une analyse publiée dans son édition de cette semaine, constate que « la chute de Ben Ali a, néanmoins, accompli une chose : elle a exposé le dénominateur commun corrompu de chaque régime dans le monde arabe. Ils sont tous, en effet, des états de mafia – des nations entières dirigées par des familles pour leur propre bénéfice. Qu’ils s’appellent républiques ou monarchies, qu’ils soient alliés ou opposés des États-Unis, qu’ils se trouvent dans la liste des états soutenant le terrorisme ou luttant contre, qu’ils aient fait la paix avec Israël ou pas, ils sont tous des affaires de familles. Qu’ils revendiquent être laïcs ou qu’ils appliquent la Sharia ou essayent de se poser au milieu, leur gouvernance a partage moins en commun avec la Carta Magna qu’avec celle de la Cosa Nostra. »

    La fuite de Ben Ali avec ses trésors, le tremblement du pharaon Moubarak, les émeutes en Jordanie et au Yémen, serviraient-elles de leçon au président Sarkozy pour s’appliquer à trouver une solution juste et démocratique au conflit du Sahara Occidental? Rien n’est moins sûr!


    Par conséquent, devient d’actualité, maintenant plus que jamais, le slogan de tout mouvement de libération : L’indépendance ne se donne pas en cadeau sur un plateau d’argent mais elle s’arrache, par le sacrifice, le sang et les larmes.
  • L’Union africaine appelle au respect du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination

    Addis Abeba (Ethiopie), 28/01/2011 (SPS) L’Union africaine (UA) a appelé au respect du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, soulignant la nécessité de « trouver une solution au conflit au Sahara occidental conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et l’Assemblée générale des Nations Unies », durant la dix-huitième session ordinaire du comité exécutif de l’union tenue les jeudi et vendredi à Addis-Abeba.

    L’Union africaine a réaffirmé, dans un rapport présenté par le président de la Commission africaine, Jean Ping et ratifié par le Conseil exécutif de l’Union, que « l’intransigeance du Maroc et son attachement à l’autonomie comme la seule option pour la solution, a empêché tout progrès vers la voie d’une solution au conflit au Sahara occidental ».

    Le rapport a également relevé la grave situation des droits de l’Homme qui prévaut dans les territoires occupés du Sahara occidental, notamment dans la ville d’El Aaiun depuis l’assaut meurtrier perpétré par les forces marocaines pour le démantèlement du camp de liberté, Gdeim Izik le 8 novembre dernier.

    L’UA, réitère son soutien aux efforts en cours des Nations Unies pour surmonter l’impasse actuelle dans laquelle se trouve le conflit du Sahara Occidental, conformément à la déclaration de Tripoli le 31 août 2009, appelé à « intensifier les efforts en faveur d’un référendum devant permettre à la population du Sahara Occidental de choisir entre l’indépendance ou l’intégration au Maroc ». (SPS)

  • La Slovénie : pour un accord de pêche UE-Maroc qui exclut les eaux territoriales du Sahara occidental (député)

    Ljubljana, 28/01/2010 (SPS) Le député et vice président de la commission des affaires étrangères au Parlement de Slovénie, Franco Juri, a déclaré que « le gouvernement de son pays soutient un renouvellement de l’accord de pêche UE-Maroc qui exclut les eaux territoriales du Sahara Occidental », dans une lettre adressée à la ministre des Affaires étrangères de la Slovénie, Samuel Zbogar.

    « Comme vous le savez, la Slovénie a une position claire de soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui qu’elle a toujours défendu dans tous les forums internationaux », a déclaré Franco Juri, député du parti (Zares, parti libéral), ajoutant que « l’inclusion des eaux territoriales du Sahara occidental dans le prochain renouvellement de l’accord, serait une violation flagrante du Droit international », selon la lettre dont une copie est parvenue à SPS

    M. Juri, a en enfin, exhorté son gouvernement à soutenir « clairement les opinions et les propositions qui émergent à la Commission européenne concernant l’élaboration d’un nouvel accord qui exclut les eaux territoriales du Sahara occidental occupé illégalement par le Maroc. (SPS).

  • L’Association des amis de la RASD « choquée » par les déclarations d’élus français au Maroc

    PARIS, 28 jan 2011 (SPS) L’Association des amis de la RASD en France (AARASD) s’est déclarée « profondément choquée » par les propos qu’auraient tenu des élus actuellement en visite au Maroc et selon qui l’option de l’autonomie serait « largement approuvée » par les habitants du Sahara occidental.

    L’AARASD appelle, dans un communiqué rendu public vendredi soir, les associations des droits de l’homme comme Amnesty, HWR, l’AMDH qui, après le démantèlement du camp de Gdeim Izik en novembre 2010, se sont rendus sur place à « protester auprès de ces députés ».

    Un groupe de députés français, présidé par Jean Roatta, président du groupe d’amitié France-Maroc, est depuis quelques jours en visite au Maroc. L’association des amis de la RASD demande, à cet effet, à « être reçue par ces mêmes députés et à être entendue par la commission des affaires étrangères de l’Assemblée afin que nos représentants soient informés de la situation qui prévaut au Maroc et au Sahara occidental ».

    « La curiosité de nos députés ne remonte pas à octobre pour rechercher ce qui s’est passé au camp de Gdeim Izik », s’est-elle désolée. A l’adresse de ces élus, l’association se demande si  » 20.000 personnes en +exil volontaire+ de leur ville d’El Aaiun, installées dans des milliers de tentes pour protester pacifiquement contre leur marginalisation dans leur propre pays n’est pas un mouvement suffisant pour retenir l’attention de nos élus ? ».

    « 150 prisonniers politiques arrêtés, maltraités, pour certains torturés et violés, la plupart au secret et à l’isolement suite au démantèlement du camp, c’est insuffisant pour émouvoir nos élus français ? », s’est-elle également interrogée.

    L’association se demande enfin si : « la promotion sans nuance de l’option de l’autonomie n’est-elle pas contraire à ce que vote la France à chaque résolution du Conseil de sécurité qui appelle régulièrement à la tenue d’un référendum d’autodétermination ? « . (SPS)

  • «Le temps de la dignité…»

    L’Union africaine a appelé au respect du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et insisté sur la nécessité de trouver une solution au conflit maroco-sahraoui conforme aux résolutions onusiennes. Cette position a été adoptée par la 18e session ordinaire de l’UA, lors de ses travaux les 27 et 28 janvier. Une position que l’Afrique a fidèlement observée depuis les années 1960, alors que le territoire était encore aux mains de l’Espagne et que Madrid ne l’avait pas encore illogiquement cédé à deux pays, le Maroc et la Mauritanie. Mais si Nouakchott a fini par se retirer de la guerre et reconnaître la RASD, ce n’est pas le cas du Maroc, toujours intransigeant, ne voulant négocier qu’autour de la seule proposition d’autonomie. Le royaume ne se contente pas d’être intransigeant. 
    Dans les territoires occupés du Sahara occidental, il réprime les populations autochtones et le fait à huis clos, malgré les nombreuses voix qui s’élèvent de par le monde pour réclamer, à l’instar du Polisario, une protection des droits de l’homme, régulièrement violés par le roi au Sahara occidental. Une répression qui voit désormais la participation de colons marocains, ce qui élargit le fossé et attise les haines entre les deux peuples. Au Sahara occidental, le Maroc viole les droits humains en toute tranquillité, avec l’aide de Sarkozy. La France officielle défend la proposition marocaine face à la solution référendaire et s’oppose à un élargissement des prérogatives de la MINURSO à la protection des droits de l’homme. 
    Au sommet africain qui se tiendra les 30 et 31 janvier, le roi Mohammed VI sera absent, contrairement au président sahraoui Mohamed Abdelaziz et à…Sarkozy. Le président français devrait prononcer une allocution dans la matinée du 30, à l’ouverture de cette 16e session ordinaire de l’UA. Une présence différemment appréciée en Afrique où une pétition circule depuis quelque temps contre la présence de Sarkozy au sommet d’Addis Abeba. La pétition qu’on peut retrouver sur le site www.izuba.info, rappelle à Sarkozy ses propos du 26 juillet 2007 à Dakar, ainsi qu’aux 12 représentants africains allés «célébrer le cinquantenaire de leur dépendance à l’ancienne puissance coloniale française à Paris le 14 juillet 2010» que le «temps de la dignité est venu». Les Tunisiens apprécieront !
    M. Z. ( mohamed_zaaf@yahoo.fr )
    Le Jeune Indépendant, 29/01/2011
  • Conférence Bioforce : Sahara Occidental, situation et action humanitaire, mardi 8 février à 17h30

    La situation complexe du Sahara (projection audiovisuelle) et la question de l’humanitaire au Sahara Occidental  (occupé par le Maroc depuis 1975, ndds) :
    – Les territoires sous occupation marocaine
     
    – Les territoires libérés
     
    – Les campements des réfugiés
    L’invité  : Denis Vericel est réalisateur de films documentaires (dont Sahara Occidental : Ultima Colonia) et membre d’APSO (Association des Amis du Peuple du Sahara Occidental). Plus d’info sur son site.

    mardi 8 février à 17h30, salle de conférence, Institut Bioforce
    inscription : conferences@institutbioforce.fr

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