Mois : octobre 2010

  • Le Maroc en sous-traitant de la France

    Sous prétexte d’alerter l’opinion internationale sur le sort de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, ce cadre policier sahraoui arrêté et mis en détention par le Front Polisario à son retour du Maroc, le Makhzen a déclenché une violente campagne d’intox contre l’Algérie. Ce qui n’est pas nouveau de sa part, sachant qu’il voit la main de l’Algérie derrière tout acte ou déclaration du Front Polisario qui déjouent sa stratégie du fait accompli au Sahara Occidental. 

    Cette fois pourtant, il nous semble que sa nouvelle campagne anti-algérienne n’est pas destinée seulement à faire contrepoids à la réprobation internationale que le Maroc essuie pour ses atteintes aux droits de l’homme et la répression sauvage que ses policiers exercent sur les militantes et militants indépendantistes sahraouis. Elle nous paraît destinée avant tout à détourner les autorités algériennes de ce qui se trame au Sahel sous orchestration française, suite à l’enlèvement dans le nord du Niger des sept employés d’entreprises hexagonales, dont cinq sont des ressortissants français. 

    Dans le Sahel, un bras de fer oppose la France et l’Algérie, avec pour trame de fond la prétention de Paris de dicter aux pays de la région une stratégie sécuritaire fondée sur l’intervention étrangère française au premier chef. 

    Le Maroc, dont la candidature à participer à l’alliance antiterroriste regroupant l’Algérie et les pays sahéliens a été recalée, au motif pertinent qu’il n’est pas frontalier de la région concernée, n’a rien à refuser à Paris qui est son principal soutien sur le dossier sahraoui. Il ne peut par conséquent qu’approuver ce que la France projette de réaliser au Sahel et prêter main forte à la réalisation de son dessein. 

    Non content d’approuver, le Maroc met la main à la pâte en usant de son influence sur certains régimes de la région en les poussant à la méfiance à l’égard de l’Algérie, qu’il leur présente comme étant animée d’intention hégémoniste sur le Sahel et en leur faisant valoir que la France est leur plus sûr allié contre la menace terroriste qui plane sur leurs pays et contre la velléité algérienne de les assujettir. 

    Par ailleurs, son autre contribution au plan français consiste à faire diversion en tentant de mettre en mauvaise posture internationalement l’Algérie en braquant sur elle par voie d’intox les militants des droits de l’homme, en prenant appui sur le cas de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud et les prétendues atteintes aux libertés qui séviraient dans les camps sahraouis sous protection algérienne. Pour donner un semblant de crédit à sa manœuvre, le Makhzen a été jusqu’à organiser en territoire marocain des manifestations populaires de protestations «spontanées». 

    En fait, tous les moyens sont bons pour ce Makhzen pour occuper l’attention des autorités algériennes, alors que la France s’active à mettre en place les conditions de son intervention directe au Sahel. Au point qu’il n’est pas interdit de penser que dans les jours et semaines à venir, qui vont être décisifs au plan de la crise créée au Sahel par les agissements d’Aqmi et les manœuvres de Paris visant à rendre effective la présence militaire française dans la région, le Maroc va intensifier sa campagne anti-algérienne. 

    Toute la question est de savoir si les apprentis sorciers de Rabat sauront malgré tout raison garder en n’allant pas trop loin dans la provocation, source d’imprévisibles dérapages qui ne sont ni dans l’intérêt du peuple marocain ni dans celui de leurs frères algériens. 
    Par Kharroubi Habib
  • Lutte contre le terrorisme au Sahel Jeux d’influence au Sahel

    Le ministère français des Affaires étrangères annonce qu’«un groupe d’action antiterroriste (créé à l’initiative de la France durant sa présidence du G8 en 2003) se réunira à Bamako
    les 13 et 14 octobre».

    Quelques jours après la tenue à Alger de deux réunions portant sur la lutte contre le terrorisme dans le Sahel, et sachant que l’Algérie défend toujours sa position concernant le refus de toute ingérence étrangère en Algérie, la France a apparemment décidé de se donner un rôle «principal» dans la gestion de cette lutte, surtout que cinq de ses ressortissants sont toujours détenus par Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).  Toutefois, la situation de ces ressortissants n’est pas le seul mobile puisque les enjeux économiques en Afrique sont énormes, au point où Paris a peur de perdre sa place face à l’invasion sino-américaine.  

    Dans ce cadre, le ministère français des Affaires étrangères annonce qu’«un groupe d’action antiterroriste (créé à l’initiative de la France durant sa présidence du G8 en 2003) se réunira à Bamako les 13 et 14 octobre, pour étudier le renforcement des capacités des pays du Sahel contre la menace terroriste d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)».  Selon l’AFP, «la France participera à la réunion du Counter-terrorism Action Group à Bamako». 

    C’est ce qui a été déclaré par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero. Interrogé lors d’un point de presse sur cette réunion, dont avait fait part une source diplomatique dans la capitale malienne,  il a expliqué que ce groupe vise le «renforcement des capacités des pays de la région à lutter contre le terrorisme», ajoutant que «la France plaide depuis longtemps pour un engagement accru de ceux-ci et un renforcement de la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme dans le Sahel». 

    En tout cas, c’est le but affiché puisque, avant tout, le groupe du G8 cherche à préserver ses intérêts économiques dans la région. Avec les prises d’otages qui prennent de l’ampleur, puisque c’est un moyen de financement efficace pour le terrorisme, la présence économique de ses pays dans la région est apparemment «menacée».  Il faut souligner qu’Alger défend toujours le fait que la situation au Sahel est une affaire des pays de la région, tout en dénonçant le payement des rançons et la mise en liberté des terroristes en échange des otages, comme ce fut le cas avec l’otage français libéré suite aux pressions françaises sur le Mali de libérer quatre terroristes, dont deux Algériens revendiqués par l’Algérie.

    Toutefois, il y a quelques jours une dépêche de l’AFP citant une source malienne parlait de la possibilité d’élargir la coalition de lutte contre le terrorisme au Sahel  à notamment le Maroc, la Libye et le Tchad. La même source évoquait aussi des divergences entre les pays qui composent cette coalition (Algérie, Niger, Mali, Mauritanie), notamment après que le chef d’état-major Gaïd Salah avait appelé ces pays à tenir leurs engagements. Juste après, le  président malien a déclaré que son pays est «victime» et l’ancien ministre des Affaires étrangères mauritanien, Ahmedou Ould Abdalla a déclaré la semaine dernière à Paris que l’Algérie «peut faire plus» pour la coopération régionale face à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Sahel et doit «se montrer plus patiente» avec ses voisins du Sud.

    Pour rappel, la dernière réunion qu’a récemment abritée Alger a été consacrée à la création d’un centre du renseignement pour contrer le terrorisme dans le Sahel.
    Par Nacera Chenafi
    Le Jour d’Algérie, 6/10/2010
  • Protestation sahraouie dans les territoires sous occupation marocaine

    Des dizaines de citoyens sahraouis ont abandonné la capitale El-Ayoun pour s’installer dans des tentes à l’est de la ville. Une action pour protester contre la «répression systématique» des Sahraouis par des autorités marocaines. Selon un communiqué de l’Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA) ils sont plus de quarante familles à camper actuellement dans des tentes à l’est de la capitale sahraouie occupée pour dénoncer les «traitements inhumains» des autorités de l’occupant marocain à leur encontre. 

    La répression et l’oppression des Sahraouis dans les territoires occupés sont dénoncées par cette action qui se veut aussi une réaction à l’agression contre la délégation de militants sahraouis et des observateurs internationaux à El-Ayoun à leur retour après avoir pris part à Alger à la conférence internationale sur «Le droit des peuples à la résistance : cas du peuple sahraoui». Par ailleurs, le royaume chérifien qui tente en vain de cacher la contestation populaire sahraouie a invité une délégation de députés français qui se sont exprimés sans surprise en faveur du projet marocain de «l’autonomie». 

    Position prônée par l’Elysée, pour rappel, durant le mandat de Chirac et endossée par son successeur à la tête de la présidence française, sans se soucier du piétinement du droit international. Par ailleurs, les députés français tout en soutenant le Maroc ont exprimé leur intérêt de voir la coopération économique entre Paris et Rabat s’intensifier via «des investissements» dans les territoires sahraouis sous occupation marocaine. 

    A ce propos, l’action précitée des Sahraouis vise notamment à dénoncer «le pillage des richesses du Sahara Occidental par le Maroc» et exige de l’ONU d’assumer sa responsabilité engagée pour l’autodétermination du peuple sahraoui. 
    K. B.
  • Plus de 40 familles sahraouies s’installent sous des tentes pour dénoncer la répression marocaine

    EL AAIUN (territoires occupés du Sahara Occidental) – Des dizaines de citoyens sahraouis ont abandonné la capitale sahraouie occupée d’El-Aaiun et se sont installés dans des tentes à l’Est de la ville pour protester contre la « répression systématique » du Maroc, rapporte mardi l’agence de presse sahraouie SPS, citant un communiqué de l’Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA). 

    Ils sont plus de quarante familles à camper actuellement dans des tentes à l’Est de la capitale sahraouie occupée pour dénoncer les « traitements inhumains » des autorités marocaines à leur encontre, a ajouté SPS. Cette action intervient en réaction à l’agression contre la délégation de militants sahraouis et des observateurs internationaux à El-Aaiun à leur retour, après avoir pris part à Alger à la conférence internationale sur « Le droit des peuples à la résistance: cas du peuple sahraoui ». 




  • Lutte contre le terrorisme au Sahel Jeux d’influence au Sahel

    Le ministère français des Affaires étrangères annonce qu’«un groupe d’action antiterroriste (créé à l’initiative de la France durant sa présidence du G8 en 2003) se réunira à Bamako
    les 13 et 14 octobre».

    Quelques jours après la tenue à Alger de deux réunions portant sur la lutte contre le terrorisme dans le Sahel, et sachant que l’Algérie défend toujours sa position concernant le refus de toute ingérence étrangère en Algérie, la France a apparemment décidé de se donner un rôle «principal» dans la gestion de cette lutte, surtout que cinq de ses ressortissants sont toujours détenus par Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).  Toutefois, la situation de ces ressortissants n’est pas le seul mobile puisque les enjeux économiques en Afrique sont énormes, au point où Paris a peur de perdre sa place face à l’invasion sino-américaine.  

    Dans ce cadre, le ministère français des Affaires étrangères annonce qu’«un groupe d’action antiterroriste (créé à l’initiative de la France durant sa présidence du G8 en 2003) se réunira à Bamako les 13 et 14 octobre, pour étudier le renforcement des capacités des pays du Sahel contre la menace terroriste d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)».  Selon l’AFP, «la France participera à la réunion du Counter-terrorism Action Group à Bamako». 

    C’est ce qui a été déclaré par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero. Interrogé lors d’un point de presse sur cette réunion, dont avait fait part une source diplomatique dans la capitale malienne,  il a expliqué que ce groupe vise le «renforcement des capacités des pays de la région à lutter contre le terrorisme», ajoutant que «la France plaide depuis longtemps pour un engagement accru de ceux-ci et un renforcement de la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme dans le Sahel». 

    En tout cas, c’est le but affiché puisque, avant tout, le groupe du G8 cherche à préserver ses intérêts économiques dans la région. Avec les prises d’otages qui prennent de l’ampleur, puisque c’est un moyen de financement efficace pour le terrorisme, la présence économique de ses pays dans la région est apparemment «menacée».  Il faut souligner qu’Alger défend toujours le fait que la situation au Sahel est une affaire des pays de la région, tout en dénonçant le payement des rançons et la mise en liberté des terroristes en échange des otages, comme ce fut le cas avec l’otage français libéré suite aux pressions françaises sur le Mali de libérer quatre terroristes, dont deux Algériens revendiqués par l’Algérie.

    Toutefois, il y a quelques jours une dépêche de l’AFP citant une source malienne parlait de la possibilité d’élargir la coalition de lutte contre le terrorisme au Sahel  à notamment le Maroc, la Libye et le Tchad. La même source évoquait aussi des divergences entre les pays qui composent cette coalition (Algérie, Niger, Mali, Mauritanie), notamment après que le chef d’état-major Gaïd Salah avait appelé ces pays à tenir leurs engagements. Juste après, le  président malien a déclaré que son pays est «victime» et l’ancien ministre des Affaires étrangères mauritanien, Ahmedou Ould Abdalla a déclaré la semaine dernière à Paris que l’Algérie «peut faire plus» pour la coopération régionale face à Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Sahel et doit «se montrer plus patiente» avec ses voisins du Sud.

    Pour rappel, la dernière réunion qu’a récemment abritée Alger a été consacrée à la création d’un centre du renseignement pour contrer le terrorisme dans le Sahel.
    Par Nacera Chenafi
    Le Jour d’Algérie, 6/10/2010
  • Protestation sahraouie dans les territoires sous occupation marocaine

    Des dizaines de citoyens sahraouis ont abandonné la capitale El-Ayoun pour s’installer dans des tentes à l’est de la ville. Une action pour protester contre la «répression systématique» des Sahraouis par des autorités marocaines. Selon un communiqué de l’Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA) ils sont plus de quarante familles à camper actuellement dans des tentes à l’est de la capitale sahraouie occupée pour dénoncer les «traitements inhumains» des autorités de l’occupant marocain à leur encontre. 

    La répression et l’oppression des Sahraouis dans les territoires occupés sont dénoncées par cette action qui se veut aussi une réaction à l’agression contre la délégation de militants sahraouis et des observateurs internationaux à El-Ayoun à leur retour après avoir pris part à Alger à la conférence internationale sur «Le droit des peuples à la résistance : cas du peuple sahraoui». Par ailleurs, le royaume chérifien qui tente en vain de cacher la contestation populaire sahraouie a invité une délégation de députés français qui se sont exprimés sans surprise en faveur du projet marocain de «l’autonomie». 

    Position prônée par l’Elysée, pour rappel, durant le mandat de Chirac et endossée par son successeur à la tête de la présidence française, sans se soucier du piétinement du droit international. Par ailleurs, les députés français tout en soutenant le Maroc ont exprimé leur intérêt de voir la coopération économique entre Paris et Rabat s’intensifier via «des investissements» dans les territoires sahraouis sous occupation marocaine. 

    A ce propos, l’action précitée des Sahraouis vise notamment à dénoncer «le pillage des richesses du Sahara Occidental par le Maroc» et exige de l’ONU d’assumer sa responsabilité engagée pour l’autodétermination du peuple sahraoui. 
    K. B.
  • Les services secrets marocains et leurs guerres secrètes contre l’Algérie : des médias orientés et une propagande sale

    De même, tout le monde connaît les chaînes paraboliques qu’a lancées le Maroc. En plus des stations qui appartiennent à l’état, on trouve medi@sat qui est financée par la France et la Maroc. En effet, si on regarde ces chaînes, on constatera « la Marocanité du Sahara occidental », et de montrer l’Algérie comme étant un pays comme la Somalie ou le Soudan où règnent l’insécurité, la faim et le crime. C’est un acte qui veut imposer une certaine réalité en ce qui concerne le Sahara occidental et ternir l’image de l’Algérie sur le plan régional et sur le plan international.

    Cela représente un des grands et dangereux aspects avec lesquelles les services de renseignements marocains tablent pour la thèse et a propre propagande marocaine envers le Sahara occidental, et aussi pour frapper profondément l’Algérie. Le Makhzen marocain a toujours voulu la représenter comme étant une partie intégrale et active dans le conflit qui oppose le royaume et le Polisario. Ce tapage médiatique s’est traduit par l’arsenal qu’utilise le Maroc dans cette secrète et salle guerre. Le Maroc a tracé sur les médias, même les indépendants, les lignes rouges qu’il ne faut pas outrepasser. Le Makhzen a tenu d’insister à ce que les médias, notamment ceux qui s’alignent avec sa politique et sa vision, à maintenir le nom de « Sahara marocain » ou bien « les régions du sud du Maroc », par conséquent, aucun journal ou écrivain ou officier de dépasser cette ligne rouge mortelle. Ce qui veut dire par la, sa fin et la destruction de sa carrière professionnelle et même sa vie privée.

    De même, tout le monde connaît les chaînes paraboliques qu’a lancées le Maroc. En plus des stations qui appartiennent à l’état, on trouve medi@sat qui est financée par la France et la Maroc. En effet, si on regarde ces chaînes, on constatera « la Marocanité du Sahara occidental », et de montrer l’Algérie comme étant un pays comme la Somalie ou le Soudan où règnent l’insécurité, la faim et le crime. C’est un acte qui veut imposer une certaine réalité en ce qui concerne le Sahara occidental et ternir l’image de l’Algérie sur le plan régional et sur le plan international.

    Sans prendre en considération la liberté la presse au Maroc, et tout le monde est au courant des journaux qui on été fermés, à l’instar de « Nichan », ou celle qui on été forcé de changer leur façade, tel que « Akhbar Al Youm » et « Al Machaal ». Certains journalistes ont été incarcérés et d’autres ne sont pas autorisés à écrire comme Ali Lamrabet qui a dépassé les lignes rouges en ce qui concerne la cause du Sahara occidental qui est considérée comme la première cause « nationale ».

    Si on parlerait du vécu de la liberté de la presse au Maroc des livres entiers ne serons pas suffisants, mais nous nous contenterons de l’aspect qui nous concerne et qui sont les quelques axes de cette dangereuse propagande qui vise l’Algérie. Nous pouvons citer par exemple :
    1-la propagande pour la vision marocaine :

    Le but principal de tous les médias marocains c’est d’appeler mondialement à l’autonomie ou à la régionalisation élargie qui présenté comme étant le seul et unique solution du Sahara occidental en montrant uniquement les points positifs. Chose qui est flagrante, en faisant recours au faux notoire, aux illusions et aux mensonges. En outre, en œuvrant à prouver que les sahraouis adhèrent à cette option, en montrant certains d’entre eux ou des marocains vêtus d’habit Sahraouis donnant allégeance au trône. Nous source nous prouvent que la plupart de ces allégeances ont été obtenus par force. Parfois, des rapports journaliers mal orientés qui n’a pas aucune relation avec le quotidien. Pour preuve flagrante, la rencontre de Dakhla de 28 juillet passé, que j’ai témoigné personnellement. En effet, les supporters du front Polisario ont maîtrisé la rencontre en revendiquant l’autodétermination en obligeant les participants à arrêter la rencontre. Cependant, lés médias du Makhzen ont voulu lui donner un aspect mondial et que les participants ont unanimement revendiqué l’autonomie, ce qui n’est pas du tout passé.

    Mensonges et semence du doute

    C’est la pire des choses que les médias marocains ont faites. En effet, ils montent beaucoup et sèment des doutent et de mensonges qui n’ont aucun fondement, notamment sur les relations entre l’Algérie et Polisario. De temps en temps on lisait des informations fabriquées dans une cellule privée de Al Mansouri, le chef des renseignements, qui était le premier responsable de l’agence de presse officielle. Encore plus, nos sources précisent que des universitaires spécialisés dans les médias et dans les affaires militaires, stratégiques, sciences politiques, sécurité et le droit international participent à cette cellule.

    Cet axe est également aperçu avec la fabrication des déclarations des personnalités politiques et même celles des opposants algériens. Les médias marocains diffusent ce qui arrangent les gendarmes à la manière de « halte aux gens qui font la prière » ou « n’approchez pas la prière » et oubliant toujours « ceux qui oublient leur prière » ou « lorsque vous étés ivres ». Nombreux d’interviews ont été fabriqués et de nombreux de déclarations ont étaient émises pour servir les intérêts des gendarmes marocains.

    J’ai subi ceci à maintes reprises. Ma première histoire avec eux remonte lorsque j’ai interviewé l’écrivaine et journaliste égyptienne, Wafaa Ismail, pour le compte du journal « Akhbar Al Arab » en 2007 à Canada. Le journal « Sahifat Al Oma » du 01/04/2007 a diffamé les informations en voulant favoriser les intérêts des gendarmes marocains
    Par Anouar Malek/Version française Fawzi Khemili
    Echourouk Online, 3/10/2010
  • Guerre secrète du renseignement marocain : création de situations suspectes sous des noms d’Algériens -3e partie-

    Après la faillite de la presse marocaine de faire la publicité d’un « Sahara marocain », le renseignement marocain s’est orienté vers une autre astuce : créer des sites sous le nom d’Algériens vivant à l’étranger. Sur ce genre de sites, la constante c’est l’approbation du Plan d’autonomie marocain. L’objectif est de créer l’illusion qu’il existe une opinion publique qui est contre la politique algérienne, et que la position officielle de l’Algérie ne dépasse pas les seuls tenants du pouvoir.

    Il existe sur la Toile une quantité extraordinaire de sites web très suspects, dont les auteurs affirment être des opposants politiques, indépendants, vivant à l’étranger, en Europe ou aux Etats-Unis, alors qu’ils ne sont que simples agents de service des renseignements marocains.
    Certains de ces sites, et pour faire le jeu jusqu’au bout, n’hésitent pas à critiquer ouvertement la politique de Rabat, les partis, le fonctionnement du Parlement marocain, et même parfois rédigent des brûlots sur le Rif et l’amazighité au Maroc. Le seul sujet qu’ils ne touchent pas, c’est « les régions marocaines du Sud », ou encore « l’unité territoriale du Maroc ». Cela est une constante dans ces sites.

    Presque tous ces sites sont financés par le renseignement marocain. Une des preuves les plus évidentes c’est la publicité provenant d’Air Maroc, des banques et des institutions marocaines. Nous reparlerons de cela ultérieurement.

    Après la faillite de la presse marocaine de faire la publicité d’un « Sahara marocain », le renseignement marocain s’est orienté vers une autre astuce : créer des sites sous le nom d’Algériens vivant à l’étranger. Sur ce genre de sites, la constante c’est l’approbation du Plan d’autonomie marocain. L’objectif est de créer l’illusion qu’il existe une opinion publique qui est contre la politique algérienne, et que la position officielle de l’Algérie ne dépasse pas les seuls tenants du pouvoir.

    Par la magie de la prolifération de sites de pseudo-Algériens vivant à l’étranger, une opinion veut se former pour donner l’impression qu’il existe bel et bien une plate-forme politique algérienne qui va dans le même sens que l’opinion marocaine. C’est là ou réside le danger d’une telle illusion…

    Une des anecdotes de ces entourloupes, est la création du site « Algérie Times », dont je fus, moi et un ingénieur d’origine algérienne et vivant au Canada, un des deux fondateurs. Cet ingénier suivait toutes mes interventions télévisées et couchait cela sur papier avant de les introduire sur site. Le site « Hespress » en fut charmé et publia la naissance de ce site, et beaucoup d’avenir lui fit prédit.

    Quelques jours après la naissance de ce site, cet ingénieur fit changer le serveur et les mots de passe, clés essentiels pour entrer dans ce site, et tout à coup, je n’avais plus l’accès au site comme administrateur. Lorsque l’affaire ce fut ébruitée, le site changea d’adresse et de numéro de téléphone du webmaster, et lorsque je me suis déplacé moi-même à l’adresse indiquée, à Paris, je tombais…sur une vieille femme. Quand au numéro de téléphone, ce n’est pas la peine de dire qu’il n’existait pas non plus. Un peu de temps plus tard, le site fut vendu à un groupe appelé « le Congrès marocain d’Amérique » et racheté par un Américain d’origine maghrébine nommé Jalil. Ce même personnage a été derrière le lancement d’un autre site, « Maroc Post », qui a été immédiatement fermé, après qu’il eu racheté « Algérie Times ».

    Pour donner un peu de crédibilité au site, Jalil fit confectionner un entretien avec un pseud-journaliste algérien, dénommé Tlemçani Bouyounès, né en 1960, à Jijel, ayant obtenu un magistère en informatique et vivant à Londres, Jalil se faisant passer pour le rédacteur en chef du site « Algérie Times ». Le nom de cet Algérien vivant à Londres est bien entendu introuvable à Londres…

    Echourouk Online, 5/10/2010
  • Les services secrets marocains et leurs guerres secrètes contre l’Algérie : des médias orientés et une propagande sale

    De même, tout le monde connaît les chaînes paraboliques qu’a lancées le Maroc. En plus des stations qui appartiennent à l’état, on trouve medi@sat qui est financée par la France et la Maroc. En effet, si on regarde ces chaînes, on constatera « la Marocanité du Sahara occidental », et de montrer l’Algérie comme étant un pays comme la Somalie ou le Soudan où règnent l’insécurité, la faim et le crime. C’est un acte qui veut imposer une certaine réalité en ce qui concerne le Sahara occidental et ternir l’image de l’Algérie sur le plan régional et sur le plan international.

    Cela représente un des grands et dangereux aspects avec lesquelles les services de renseignements marocains tablent pour la thèse et a propre propagande marocaine envers le Sahara occidental, et aussi pour frapper profondément l’Algérie. Le Makhzen marocain a toujours voulu la représenter comme étant une partie intégrale et active dans le conflit qui oppose le royaume et le Polisario. Ce tapage médiatique s’est traduit par l’arsenal qu’utilise le Maroc dans cette secrète et salle guerre. Le Maroc a tracé sur les médias, même les indépendants, les lignes rouges qu’il ne faut pas outrepasser. Le Makhzen a tenu d’insister à ce que les médias, notamment ceux qui s’alignent avec sa politique et sa vision, à maintenir le nom de « Sahara marocain » ou bien « les régions du sud du Maroc », par conséquent, aucun journal ou écrivain ou officier de dépasser cette ligne rouge mortelle. Ce qui veut dire par la, sa fin et la destruction de sa carrière professionnelle et même sa vie privée.

    De même, tout le monde connaît les chaînes paraboliques qu’a lancées le Maroc. En plus des stations qui appartiennent à l’état, on trouve medi@sat qui est financée par la France et la Maroc. En effet, si on regarde ces chaînes, on constatera « la Marocanité du Sahara occidental », et de montrer l’Algérie comme étant un pays comme la Somalie ou le Soudan où règnent l’insécurité, la faim et le crime. C’est un acte qui veut imposer une certaine réalité en ce qui concerne le Sahara occidental et ternir l’image de l’Algérie sur le plan régional et sur le plan international.

    Sans prendre en considération la liberté la presse au Maroc, et tout le monde est au courant des journaux qui on été fermés, à l’instar de « Nichan », ou celle qui on été forcé de changer leur façade, tel que « Akhbar Al Youm » et « Al Machaal ». Certains journalistes ont été incarcérés et d’autres ne sont pas autorisés à écrire comme Ali Lamrabet qui a dépassé les lignes rouges en ce qui concerne la cause du Sahara occidental qui est considérée comme la première cause « nationale ».

    Si on parlerait du vécu de la liberté de la presse au Maroc des livres entiers ne serons pas suffisants, mais nous nous contenterons de l’aspect qui nous concerne et qui sont les quelques axes de cette dangereuse propagande qui vise l’Algérie. Nous pouvons citer par exemple :
    1-la propagande pour la vision marocaine :

    Le but principal de tous les médias marocains c’est d’appeler mondialement à l’autonomie ou à la régionalisation élargie qui présenté comme étant le seul et unique solution du Sahara occidental en montrant uniquement les points positifs. Chose qui est flagrante, en faisant recours au faux notoire, aux illusions et aux mensonges. En outre, en œuvrant à prouver que les sahraouis adhèrent à cette option, en montrant certains d’entre eux ou des marocains vêtus d’habit Sahraouis donnant allégeance au trône. Nous source nous prouvent que la plupart de ces allégeances ont été obtenus par force. Parfois, des rapports journaliers mal orientés qui n’a pas aucune relation avec le quotidien. Pour preuve flagrante, la rencontre de Dakhla de 28 juillet passé, que j’ai témoigné personnellement. En effet, les supporters du front Polisario ont maîtrisé la rencontre en revendiquant l’autodétermination en obligeant les participants à arrêter la rencontre. Cependant, lés médias du Makhzen ont voulu lui donner un aspect mondial et que les participants ont unanimement revendiqué l’autonomie, ce qui n’est pas du tout passé.

    Mensonges et semence du doute

    C’est la pire des choses que les médias marocains ont faites. En effet, ils montent beaucoup et sèment des doutent et de mensonges qui n’ont aucun fondement, notamment sur les relations entre l’Algérie et Polisario. De temps en temps on lisait des informations fabriquées dans une cellule privée de Al Mansouri, le chef des renseignements, qui était le premier responsable de l’agence de presse officielle. Encore plus, nos sources précisent que des universitaires spécialisés dans les médias et dans les affaires militaires, stratégiques, sciences politiques, sécurité et le droit international participent à cette cellule.

    Cet axe est également aperçu avec la fabrication des déclarations des personnalités politiques et même celles des opposants algériens. Les médias marocains diffusent ce qui arrangent les gendarmes à la manière de « halte aux gens qui font la prière » ou « n’approchez pas la prière » et oubliant toujours « ceux qui oublient leur prière » ou « lorsque vous étés ivres ». Nombreux d’interviews ont été fabriqués et de nombreux de déclarations ont étaient émises pour servir les intérêts des gendarmes marocains.

    J’ai subi ceci à maintes reprises. Ma première histoire avec eux remonte lorsque j’ai interviewé l’écrivaine et journaliste égyptienne, Wafaa Ismail, pour le compte du journal « Akhbar Al Arab » en 2007 à Canada. Le journal « Sahifat Al Oma » du 01/04/2007 a diffamé les informations en voulant favoriser les intérêts des gendarmes marocains
    Par Anouar Malek/Version française Fawzi Khemili
    Echourouk Online, 3/10/2010
  • Les sites algériens du Maroc

    Maroc RASD: le diabolique petit roi diffame des algériens sur internet 

    Le diabolique petit roi diffame des algériens sur internet usurpant les identités d’algériens vivant à l’étranger : Après la débacle de la presse marocaine qui a engagé une campagne d’intox contre l’Algérie les services Makhzen de renseignement marocain ont trouvé une autre ruse diffamatoire : créer des sites sous le nom d’Algériens vivant à l’étranger. Sur ce genre de sites, la constante c’est l’approbation du Plan d’autonomie marocain. L’objectif est de créer l’illusion qu’il existe une opinion publique qui est contre la politique algérienne.




    Un exemple de cette diffamation des algériens et de l’Algérie, est la création du site  » Algérie Times  » gérér par deux ingénieurs d’origine algérienne et vivant au Canada, un des deux fondateurs. Ces ingénieurs suivait toutes mes interventions télévisées et couchait cela sur papier avant de les introduire sur site. Le site « Hespress » en fut charmé et publia la naissance de ce site, et beaucoup d’avenir lui fit prédit.




    Quelques jours après la naissance de ce site, il fut hacké donc plus d’accès au site de administrateur algérien. Lorsque l’affaire ce fut ébruitée, le site changea d’adresse et de numéro de téléphone du webmaster, l’ingénieur algérien raconte : » lorsque je me suis déplacé moi-même à l’adresse indiquée, à Paris, je tombais…sur une vieille femme. Quand au numéro de téléphone, ce n’est pas la peine de dire qu’il n’existait pas non plus. Un peu de temps plus tard, le site fut vendu à un groupe appelé « le Congrès marocain d’Amérique » et racheté par un Américain d’origine maghrébine nommé Jalil. Ce même personnage a été derrière le lancement d’un autre site,  » Maroc Post « , qui a été immédiatement fermé, après qu’il eu racheté  » Algérie Times « .




    Pour donner un peu de crédibilité au site, Jalil fit confectionner un entretien avec un pseud-journaliste algérien, dénommé Tlemçani Bouyounès, né en 1960, à Jijel, ayant obtenu un magistère en informatique et vivant à Londres, Jalil se faisant passer pour le rédacteur en chef du site « Algérie Times « . Le nom de cet Algérien vivant à Londres est bien entendu introuvable à Londres… « 

    Saidabiida Blog, 05/10/2010