Mois : octobre 2010

  • Les voitures de Mohamed VI



    Voici une petite collection parmi les voitures de luxe du roi du Maroc. Chevrolet, Rolls Royce, Jaguar, Mercedes. De tout. Il y a lieu de se demander qu’est-ce que cet enfant gâtée de la dynastie Glaoui fait avec un parc de plus de 600 voitures de luxe, alors que les jeunes femmes marocaines sont obligés à se prostituer partout dans le monde jusqu’au point de devenir célèbres.

    Pour rappel, lors de la dernière Oumra (pèlerinage) l’Arabie Saoudite a refusé le visa aux jeunes femmes marocaines parce qu’elles ont tendance à y rester pour commercialiser leurs corps.

    Grâce à la politique de sa Majesté le roi Mohamed VI, les femmes marocaines sont répudiées partout dans le monde. Toutes des putes, comme leur roi qui n’a trouvé d’autre moyen pour conquérir le Sahara Occidental que de se prostituer auprès des français, des américains et des sionistes.

    C’est de lui, la pute de Sarkozy, que les marocains sont fiers. De ce fait, ils devraient être fiers aussi de leurs femmes, persécutées en Arabie Saoudite, au Kouwait, en Jordanie. Par contre, en Israël, il paraît que les putes marocaines sont bien accueillies.
  • PROCÈS DES TROIS SAHRAOUIS : BESOIN D’OBSERVATEURS

    Appel à des observateurs internationaux pour assister au procès d’Ali Salem Tamek, Brahim Dahane et Ahmed Naciri, le 15 Octobre 2010, Casablanca

    Les défenseurs sahraouis des droits humains, Ali Salem Tamek, Brahim Dahane et Ahmed Naciri comparaîtront devant le Tribunal de première instance, à Casablanca, le 15 octobre 2010. Il est essentiel que ce procès soit suivi par des observateurs internationaux.


    Tamek, Dahane et Naciri ont été arrêtés le 8 octobre 2009, immédiatement après leur retour d’une visite aux campements de réfugiés sahraouis en Algérie. Ils ont été accusés de «menacer la sécurité de l’État marocain », et transférés au tribunal militaire de Rabat, accusés de « trahison ».


    Le 21 Septembre 2010, le tribunal militaire de Rabat a décliné sa compétence sur leur cas, et les a référés au tribunal civil de Casablanca.

    Nous faisons appel à toutes les organisations internationales et les gouvernements étrangers pour exiger du Maroc les conditions d’un procès équitable.

    International observers needed to attend trial of Ali Salem Tamek, Brahim Dahane and Ahmed Naciri on 15 October 2010, Casablanca.


    The Saharawi human rights defenders, Ali Salem Tamek, Brahim Dahane and Ahmed Naciri will appear in front of the Court of First Instance, in Casablanca, on 15 October 2010. It is vital that this trial be attended by international observers.

    Tamek, Dahane and Naciri are 3 high-profile human rights activists who were arrested on 8 October 2009, immediately upon their return from a visit to the Saharawi refugee camps in Algeria. They were accused of “undermining the Moroccan state’s security”, and referred to a military court, charged with “treason”.

    On 21 September 2010, the Military Court in Rabat declined jurisdiction over their case, and referred them to the Civil Court of Casablanca.

    Additionally, we appeal to all international organisations and foreign governments to call upon Morocco to assure the conditions for a fair trial.

    Se necesita observadores internacionales para asistir al juicio de Ali Salem Tamek, Brahim Dahane y Ahmed Naciri el 15 de octubre de 2010, Casablanca


    Los defensores saharauis de los derechos humanos, Ali Salem Tamek, Brahim Dahane y Ahmed Naciri aparecerán ante el Tribunal de Primera Instancia, en Casablanca, el 15 de octubre de 2010. La presencia de observadores internacionales a este juicio es muy importante.

    Tamek, Dahane y Naciri han sido detenidos el 8 de octubre de 2009, inmediatamente después de su regreso de una visita a los campamentos de refugiados saharauis en Argelia. Les han acusado de « poner el peligro la seguridad de Marruecos », y les remitieron a un tribunal militar, acusado de « traición a la patria ».

    El 21 de septiembre de 2010, el tribunal militar de Rabat se declaró incompetente y remitió caso a la Corte Civil de Casablanca.

    Al mismo tiempo, hacemos un llamamiento a todas las organizaciones internacionales y gobiernos extranjeros para instar al gobierno marroquí a asegurar las condiciones para un juicio justo.

    Par Basta!

    Le Maghrébin, 06/10/2010

  • Le président de la République appelle à « imposer des sanctions économiques » contre le Maroc

    Thamura (Espagne) 05/10/2010 (SPS) Le président Mohamed Abdelaziz, a appelé à « imposer des sanctions économiques internationales contre le Maroc afin qu’il se conforme à la légalité internationale et respecte les droits de l’homme au Sahara occidental », a rapporté l’agence espagnole d’information (EFE).

    « Le Maroc « vole et pille » les richesses naturelles de l’ancienne colonie espagnole en Afrique du Nord, le Sahara occidental, qu’il occupe illégalement depuis 1975, a indiqué le président sahraoui dans une interview à l’agence espagnole publiée mardi.

    « Imposer des sanctions économiques internationales contre le Maroc, vise à amener ce dernier à respecter la légitimité internationale, comme ce fut le cas avec d’autres Etats rebelles à l’instar du régime de l’Apartheid en Afrique du Sud », a précisé le président, Mohamed Abdelaziz.

    Faisant un rapport entre le mouvement en Afrique du sud et au Timor oriental, Mohamed Abdelaziz a exigé de l’Union européenne de « geler » ses accords conclus avec le Maroc, et exclure les eaux territoriales du Sahara occidental des accords de pêche entre l’UE et Rabat, soulignant que ces accords sont « illégaux et injustes » et contraires aux principes de l’Union européenne.

    L’accord d’un statut avancé au Maroc de la part de l’UE demeure « injustifié » à la lumière des violations des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés et du déni du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, a indiqué le président sahraoui, estimant cela de « scandale » dans l’histoire de l’Union européenne. (SPS)
  • La RASD décide de libérer Moustapha Selma à la demande des organisations internationales

    Bir Lehlu (territoires libérés), 06/10/2010 (SPS) Les autorités sahraouies ont décide ce mercredi depuis la localité de Mhériz (territoires libérés) la mise en liberté de Moustapha Selma, à la demande des organisations internationales des droits de l’Homme, a indiqué un communiqué du ministère de l’information.

    « Les autorités sahraouies ont décidé la libération depuis M’hériz (territoires libérés de la RASD) de Moustapha Selma Sidi Mouloud, impliqué dans une opération d’espionnage en faveur du Maroc, un pays en guerre avec la RASD », a précisé le communiqué parvenu à SPS.
    « Cette décision intervient en réponse à la demande des organisations internationales des droits de l’Hommes défendant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination », a ajouté la même source. 
    Moustapha Selma a été arrêté le 21 septembre dernier à Mheriz (territoires libérés) pour répondre à plusieurs chefs d’accusations dont la principale est l’espionnage en faveur d’un pays en guerre avec la République sahraouie, rappelle-t-on. (SPS)

  • Le Groupe de Rio s’exprime pour une solution juste qui prévoit l’autodétermination du peuple sahraoui

    ONU, 05/10/2010 (SPS) Le Groupe de Rio a réaffirmé lundi son soutien à toutes les résolutions adoptées par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité de l’ONU pour parvenir à « une solution juste, durable et mutuellement acceptable devant conduire à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, conformément principes de la Charte des Nations Unies ».

    Intervenant devant la commission de décolonisation de l’ONU au nom du Groupe de Rio, le Représentant permanent du Chili auprès de l’ONU, Octavio Errazuriz, a rappelé que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation, inscrite à l’ONU dans la résolution 1514 de l’Assemblée générale depuis les années 60.

    Les futures négociations entre le Front Polisario et le Maroc sous les auspices du Secrétaire général et son Envoyé personnel, doivent être « plus intenses et substantielles afin d’aboutir à la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité appelant à une solution finale » du conflit du Sahara occidental, a estimé M. Errazuriz.

    Il a également exprimé son soutien à la reprise du programme d’échange de visites entre les familles sahraouies, supervisé par le HCR, par voie aérienne et le lancement des visites par voies terrestres.

    Dans ce contexte, M. Errazuriz a encouragé les deux parties (le Front Polisario et le Maroc) à coopérer avec le HCR pour la mise en œuvre de leurs accords.

    Enfin, le Groupe de Rio a affirmé une fois de plus son engagement pour l’élimination du colonialisme sous toutes ses formes, réitérant son appel à tous les États membres de cette organisation à continuer de contribuer positivement dans ce sens. (SPS)
  • Le président de la République appelle à "imposer des sanctions économiques" contre le Maroc

    Thamura (Espagne) 05/10/2010 (SPS) Le président Mohamed Abdelaziz, a appelé à « imposer des sanctions économiques internationales contre le Maroc afin qu’il se conforme à la légalité internationale et respecte les droits de l’homme au Sahara occidental », a rapporté l’agence espagnole d’information (EFE).

    « Le Maroc « vole et pille » les richesses naturelles de l’ancienne colonie espagnole en Afrique du Nord, le Sahara occidental, qu’il occupe illégalement depuis 1975, a indiqué le président sahraoui dans une interview à l’agence espagnole publiée mardi.

    « Imposer des sanctions économiques internationales contre le Maroc, vise à amener ce dernier à respecter la légitimité internationale, comme ce fut le cas avec d’autres Etats rebelles à l’instar du régime de l’Apartheid en Afrique du Sud », a précisé le président, Mohamed Abdelaziz.

    Faisant un rapport entre le mouvement en Afrique du sud et au Timor oriental, Mohamed Abdelaziz a exigé de l’Union européenne de « geler » ses accords conclus avec le Maroc, et exclure les eaux territoriales du Sahara occidental des accords de pêche entre l’UE et Rabat, soulignant que ces accords sont « illégaux et injustes » et contraires aux principes de l’Union européenne.

    L’accord d’un statut avancé au Maroc de la part de l’UE demeure « injustifié » à la lumière des violations des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés et du déni du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, a indiqué le président sahraoui, estimant cela de « scandale » dans l’histoire de l’Union européenne. (SPS)
  • La RASD décide de libérer Moustapha Selma à la demande des organisations internationales

    Bir Lehlu (territoires libérés), 06/10/2010 (SPS) Les autorités sahraouies ont décide ce mercredi depuis la localité de Mhériz (territoires libérés) la mise en liberté de Moustapha Selma, à la demande des organisations internationales des droits de l’Homme, a indiqué un communiqué du ministère de l’information.

    « Les autorités sahraouies ont décidé la libération depuis M’hériz (territoires libérés de la RASD) de Moustapha Selma Sidi Mouloud, impliqué dans une opération d’espionnage en faveur du Maroc, un pays en guerre avec la RASD », a précisé le communiqué parvenu à SPS.
    « Cette décision intervient en réponse à la demande des organisations internationales des droits de l’Hommes défendant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination », a ajouté la même source. 
    Moustapha Selma a été arrêté le 21 septembre dernier à Mheriz (territoires libérés) pour répondre à plusieurs chefs d’accusations dont la principale est l’espionnage en faveur d’un pays en guerre avec la République sahraouie, rappelle-t-on. (SPS)

  • Le Groupe de Rio s’exprime pour une solution juste qui prévoit l’autodétermination du peuple sahraoui

    ONU, 05/10/2010 (SPS) Le Groupe de Rio a réaffirmé lundi son soutien à toutes les résolutions adoptées par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité de l’ONU pour parvenir à « une solution juste, durable et mutuellement acceptable devant conduire à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, conformément principes de la Charte des Nations Unies ».

    Intervenant devant la commission de décolonisation de l’ONU au nom du Groupe de Rio, le Représentant permanent du Chili auprès de l’ONU, Octavio Errazuriz, a rappelé que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation, inscrite à l’ONU dans la résolution 1514 de l’Assemblée générale depuis les années 60.

    Les futures négociations entre le Front Polisario et le Maroc sous les auspices du Secrétaire général et son Envoyé personnel, doivent être « plus intenses et substantielles afin d’aboutir à la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité appelant à une solution finale » du conflit du Sahara occidental, a estimé M. Errazuriz.

    Il a également exprimé son soutien à la reprise du programme d’échange de visites entre les familles sahraouies, supervisé par le HCR, par voie aérienne et le lancement des visites par voies terrestres.

    Dans ce contexte, M. Errazuriz a encouragé les deux parties (le Front Polisario et le Maroc) à coopérer avec le HCR pour la mise en œuvre de leurs accords.

    Enfin, le Groupe de Rio a affirmé une fois de plus son engagement pour l’élimination du colonialisme sous toutes ses formes, réitérant son appel à tous les États membres de cette organisation à continuer de contribuer positivement dans ce sens. (SPS)
  • Le Maroc en sous-traitant de la France

    Sous prétexte d’alerter l’opinion internationale sur le sort de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, ce cadre policier sahraoui arrêté et mis en détention par le Front Polisario à son retour du Maroc, le Makhzen a déclenché une violente campagne d’intox contre l’Algérie. Ce qui n’est pas nouveau de sa part, sachant qu’il voit la main de l’Algérie derrière tout acte ou déclaration du Front Polisario qui déjouent sa stratégie du fait accompli au Sahara Occidental. 

    Cette fois pourtant, il nous semble que sa nouvelle campagne anti-algérienne n’est pas destinée seulement à faire contrepoids à la réprobation internationale que le Maroc essuie pour ses atteintes aux droits de l’homme et la répression sauvage que ses policiers exercent sur les militantes et militants indépendantistes sahraouis. Elle nous paraît destinée avant tout à détourner les autorités algériennes de ce qui se trame au Sahel sous orchestration française, suite à l’enlèvement dans le nord du Niger des sept employés d’entreprises hexagonales, dont cinq sont des ressortissants français. 

    Dans le Sahel, un bras de fer oppose la France et l’Algérie, avec pour trame de fond la prétention de Paris de dicter aux pays de la région une stratégie sécuritaire fondée sur l’intervention étrangère française au premier chef. 

    Le Maroc, dont la candidature à participer à l’alliance antiterroriste regroupant l’Algérie et les pays sahéliens a été recalée, au motif pertinent qu’il n’est pas frontalier de la région concernée, n’a rien à refuser à Paris qui est son principal soutien sur le dossier sahraoui. Il ne peut par conséquent qu’approuver ce que la France projette de réaliser au Sahel et prêter main forte à la réalisation de son dessein. 

    Non content d’approuver, le Maroc met la main à la pâte en usant de son influence sur certains régimes de la région en les poussant à la méfiance à l’égard de l’Algérie, qu’il leur présente comme étant animée d’intention hégémoniste sur le Sahel et en leur faisant valoir que la France est leur plus sûr allié contre la menace terroriste qui plane sur leurs pays et contre la velléité algérienne de les assujettir. 

    Par ailleurs, son autre contribution au plan français consiste à faire diversion en tentant de mettre en mauvaise posture internationalement l’Algérie en braquant sur elle par voie d’intox les militants des droits de l’homme, en prenant appui sur le cas de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud et les prétendues atteintes aux libertés qui séviraient dans les camps sahraouis sous protection algérienne. Pour donner un semblant de crédit à sa manœuvre, le Makhzen a été jusqu’à organiser en territoire marocain des manifestations populaires de protestations «spontanées». 

    En fait, tous les moyens sont bons pour ce Makhzen pour occuper l’attention des autorités algériennes, alors que la France s’active à mettre en place les conditions de son intervention directe au Sahel. Au point qu’il n’est pas interdit de penser que dans les jours et semaines à venir, qui vont être décisifs au plan de la crise créée au Sahel par les agissements d’Aqmi et les manœuvres de Paris visant à rendre effective la présence militaire française dans la région, le Maroc va intensifier sa campagne anti-algérienne. 

    Toute la question est de savoir si les apprentis sorciers de Rabat sauront malgré tout raison garder en n’allant pas trop loin dans la provocation, source d’imprévisibles dérapages qui ne sont ni dans l’intérêt du peuple marocain ni dans celui de leurs frères algériens. 
    Par Kharroubi Habib
  • Plus de 40 familles sahraouies s’installent sous des tentes pour dénoncer la répression marocaine

    EL AAIUN (territoires occupés du Sahara Occidental) – Des dizaines de citoyens sahraouis ont abandonné la capitale sahraouie occupée d’El-Aaiun et se sont installés dans des tentes à l’Est de la ville pour protester contre la « répression systématique » du Maroc, rapporte mardi l’agence de presse sahraouie SPS, citant un communiqué de l’Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA). 

    Ils sont plus de quarante familles à camper actuellement dans des tentes à l’Est de la capitale sahraouie occupée pour dénoncer les « traitements inhumains » des autorités marocaines à leur encontre, a ajouté SPS. Cette action intervient en réaction à l’agression contre la délégation de militants sahraouis et des observateurs internationaux à El-Aaiun à leur retour, après avoir pris part à Alger à la conférence internationale sur « Le droit des peuples à la résistance: cas du peuple sahraoui ».