Mois : octobre 2010

  • Christopher Ross traque les miracles

    «A tout seigneur tout honneur», M. Christopher Ross, l’envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara occidental, est arrivé hier à Alger, première étape d’une tournée dans la région ouest-maghrébine, où il prévoit des consultations avec les dirigeants algériens, sahraouis, mauritaniens et marocains. L’objectif est de défricher le chemin à une nouvelle rencontre informelle entre Marocains et Sahraouis destinée à faciliter la tenue d’un nouveau round des négociations entamées en 2007 sous la conduite de Peter van Walsum, le prédécesseur de Ross. Des pourparlers qui n’ont pas pu avancer d’un iota en raison de la «ténacité» diplomatique du makhzen. 

    Quelles chances a-t-il, M. Christopher Ross, de faire revenir à la raison un commandeur des croyants qui dit crânement que le Sahara occidental, territoire reconnu internationalement non autonome, est un bien qui lui a été offert par… l’histoire ? Que peut-il faire quand on nie les réalités politiques de l’époque et qu’on ne cesse de répéter, avec une remarquable stupidité, que les propriétaires ne sont donc pas les Sahraouis qui portent le nom du pays et qui ont fait le coup de feu contre l’Espagne coloniale, mais que ce sont les gens qu’on appelle communément les Marocains, les gens qui habitent le Maroc, et c’est là qu’ils comptent des cimetières et non pas dans la Seguia El Hamra ou à Wad Edhahab, nous dit l’histoire. 

    M. Ross sait que si l’on devait vraiment tenir compte des frontières historiques, ce serait les Sahraouis qui seraient en droit de revendiquer leurs terres greffées arbitrairement à celles du sud du royaume du temps de la présence espagnole vers le milieu du siècle dernier. Le Maroc dit d’un côté qu’il est prêt à reprendre les négociations et jure ses dieux qu’il a toujours été de bonne volonté. De l’autre, il dit qu’il ne renoncera à aucun pouce du Sahara et qu’il n’est prêt qu’à une chose, laisser au peuple sahraoui le choix de la sauce à laquelle il sera bouffé. L’autonomie, rien que l’autonomie, et sans référendum, svp. Car il devient notoire que le royaume craint une pacifique consultation référendaire plus que la guerre et ses drames. Peut-être que M. Ross serait mieux inspiré d’aller discuter du sort du Sahara occidental avec les «bienfaiteurs» d’en face.
    M. Z. (mohamed_zaaf@yahoo.fr)
  • Algériens, nous sommes témoins!

    L’Algérie n’est pas un pays comme les autres. Sa terre, son peuple, son histoire ainsi que sa destinée. Sa terre d’abord ; cette immense contrée désertique qui, pourtant, est riche de tout. Riche de pétrole, de gaz et, plus noble encore, riche de ses hommes. Une terre qui se déploie, inexorablement, au fur et à mesure qu’elle se rudoie par les hommes qui s‘y habitent. Et ce, au fil des années , des ages et des saisons. 

    Ensuite, des hommes durs à la tache, patients dans l’adversité et résistants durant l‘épreuve et qui, en somme, constituent un peuple qui s’est, dignement, résigné à épouser son histoire comme les cicatrices enlacent les plaies. Une destinée, enfin, d‘exception. 

    Libérée des jougs du colonialisme, l’Algérie n’a cessé d’en témoigner pour les Hommes. N’a, surtout, cessé d’aider les autres pour qu’ils s’en sortent. Madiba, dans son livre d‘adieu, lui rend un hommage solennel. 

    Je me suis inspiré de la révolution algérienne pour mener à bien mon combat, écrit le vieux guerrier. Le général Giap, l’architecte de Dien Bien Phu, tenait à que sa première sortie à l’étranger soit pour l’Algérie. Che Guevara décide d’y prononcer son discours testament, le fameux discours d’Alger. Miriam Makeba, déchue de sa nationalité d’Apartheid, est naturalisée algérienne et voulait y vivre. Arafat y déclara la renaissance de la Palestine. 

    Bref, depuis son indépendance, le peuple algérien fut de tous les combats et de toutes les luttes pour la justice et l’égalité de par le monde. De ce fait, La grande “gueule”de l’Algérie a, toujours, été du côté des opprimés. Les derniers en la matière, Palestiniens et Sahraouis, sont, d’ailleurs, là pour en témoigner.

    De nous, Mauritaniens, l’Algérie était, comme à l’accoutumée, solidaire. Quand la France, rancunière, voulait asphyxier le petit pays que nous sommes et qui, après avoir nationalisé MIFERMA, tenait, ultime avanie, à sa souveraineté monétaire en créant l’Ouguiya, l’Algérie fut de la partie. Boumediene rassura et conforta. Pas très bavard, le Colonel dira au père fondateur : Moktar-c’est ainsi qu’il le nomme quand les affaires se corsent-compte sur Dieu et sur l’Algérie. Et les deux n’ont pas déçu. 

    Alors, voisinage et aléa de l’existence obligent, des frictions entre voisins peuvent, de temps en temps se font sentir. Ce n’est que du vent. 

    La vérité est que chaque poète a son héros. Homer, son Ulysse. Al-Mutanabbi, Saif al Dewla. Poétesse plus haute que son luth, la Mauritanie, elle, a l’Algérie.

    En effet, un million de poètes mauritaniens n’ont, un demi siècle durant, cessé de tantôt chanter tantôt pleurer les louanges et le martyre de ces milliers d’Algériens qui, par leur sang, ont pétrit cette terre d’honneur faisant d’elle un pays pas tout à fait comme les autres. De ce, nous, Mauritaniens, nous sommes témoins(*).

    * Le refrain principal de l’hymne national algérien est : Témoignez! Témoignez! Témoignez!
    Source : CRIDEM, 17/10/2010
  • Libération des militants sahraouis : Amnesty International accule le Maroc

    Amnesty International a appelé les autorités marocaines à la libération «immédiate» et «sans condition» des militants sahraouis des droits de l’homme détenus à Salé (Maroc) et jugés suite à leur visite aux camps de réfugiés sahraouis, a indiqué un communiqué de cette ONG.

    Les trois militants sahraouis Brahim Dahan, Ali Salem Tamek et Ahmed Naciri, dont le jugement a débuté vendredi mais a été reporté au 5 novembre, ont été arrêtés à l’aéroport de Casablanca à leur retour d’une visite dans les camps de réfugiés sahraouis et les territoires libérés, en octobre 2009. Quatre autres militants sahraouis sont également jugés dans cette affaire à savoir Yahdia Trouzi, Essalah Lebihi, Adkija Lechkar et Rachid Essaghir, mais ont bénéficié de liberté provisoire. Ces Sahraouis sont accusés d’«atteinte à la sécurité interne et à l’intégrité territoriale».

    «Il est tout simplement inacceptable que les autorités marocaines inculpent ces sept personnes, parmi lesquelles se trouvent des défenseurs des droits de l’homme et des ex-victimes de disparition forcée, pour visiter librement et ouvertement les camps de réfugiés et rencontrer des membres du Front Polisario», a déclaré le directeur du programme d’Amnesty International pour le Proche-Orient et le nord de l’Afrique, Malcolm Smart. «Brahim Dahane, Ali Salem Tamek et Ahmed Nasiri se trouvent depuis plus d’un an emprisonnés pour des actions qui ne représentent que l’exercice pacifique de leur droit à la liberté d’expression et d’association. Les charges contre eux ont une motivation politique claire et doivent être immédiatement retirés. Ces procès ne doivent pas continuer», a-t-il indiqué.

    Ces militants sahraouis des droits de l’homme avaient été poursuivis par un tribunal militaire, qui s’est déclaré le 25 septembre dernier incompétent. L’affaire a été transmise à la chambre correctionnelle près le tribunal de Casablanca.

    El Watan, 18/10/2010
  • Algériens, nous sommes témoins!

    L’Algérie n’est pas un pays comme les autres. Sa terre, son peuple, son histoire ainsi que sa destinée. Sa terre d’abord ; cette immense contrée désertique qui, pourtant, est riche de tout. Riche de pétrole, de gaz et, plus noble encore, riche de ses hommes. Une terre qui se déploie, inexorablement, au fur et à mesure qu’elle se rudoie par les hommes qui s‘y habitent. Et ce, au fil des années , des ages et des saisons. 

    Ensuite, des hommes durs à la tache, patients dans l’adversité et résistants durant l‘épreuve et qui, en somme, constituent un peuple qui s’est, dignement, résigné à épouser son histoire comme les cicatrices enlacent les plaies. Une destinée, enfin, d‘exception. 

    Libérée des jougs du colonialisme, l’Algérie n’a cessé d’en témoigner pour les Hommes. N’a, surtout, cessé d’aider les autres pour qu’ils s’en sortent. Madiba, dans son livre d‘adieu, lui rend un hommage solennel. 

    Je me suis inspiré de la révolution algérienne pour mener à bien mon combat, écrit le vieux guerrier. Le général Giap, l’architecte de Dien Bien Phu, tenait à que sa première sortie à l’étranger soit pour l’Algérie. Che Guevara décide d’y prononcer son discours testament, le fameux discours d’Alger. Miriam Makeba, déchue de sa nationalité d’Apartheid, est naturalisée algérienne et voulait y vivre. Arafat y déclara la renaissance de la Palestine. 

    Bref, depuis son indépendance, le peuple algérien fut de tous les combats et de toutes les luttes pour la justice et l’égalité de par le monde. De ce fait, La grande “gueule”de l’Algérie a, toujours, été du côté des opprimés. Les derniers en la matière, Palestiniens et Sahraouis, sont, d’ailleurs, là pour en témoigner.

    De nous, Mauritaniens, l’Algérie était, comme à l’accoutumée, solidaire. Quand la France, rancunière, voulait asphyxier le petit pays que nous sommes et qui, après avoir nationalisé MIFERMA, tenait, ultime avanie, à sa souveraineté monétaire en créant l’Ouguiya, l’Algérie fut de la partie. Boumediene rassura et conforta. Pas très bavard, le Colonel dira au père fondateur : Moktar-c’est ainsi qu’il le nomme quand les affaires se corsent-compte sur Dieu et sur l’Algérie. Et les deux n’ont pas déçu. 

    Alors, voisinage et aléa de l’existence obligent, des frictions entre voisins peuvent, de temps en temps se font sentir. Ce n’est que du vent. 

    La vérité est que chaque poète a son héros. Homer, son Ulysse. Al-Mutanabbi, Saif al Dewla. Poétesse plus haute que son luth, la Mauritanie, elle, a l’Algérie.

    En effet, un million de poètes mauritaniens n’ont, un demi siècle durant, cessé de tantôt chanter tantôt pleurer les louanges et le martyre de ces milliers d’Algériens qui, par leur sang, ont pétrit cette terre d’honneur faisant d’elle un pays pas tout à fait comme les autres. De ce, nous, Mauritaniens, nous sommes témoins(*).

    * Le refrain principal de l’hymne national algérien est : Témoignez! Témoignez! Témoignez!
    Source : CRIDEM, 17/10/2010
  • Le “mur des sables” marocain, œuvre d’Israël et des États-Unis

    Le 15/01/08.- Érigé entre 1980 et 1987 par le roi Hassan II, l’impressionnant “mur des sables”, de plus de 2 000 km, fait de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d’autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop… a été concocté par des experts israéliens et américains.

    Décidément, les relations entre le Maroc et Israël sont beaucoup plus étroites que l’on aurait imaginé. En effet, à voir la nouvelle révélation du magazine français le Point, dans son édition datée du 10 janvier courant, l’État hébreu et le royaume alaouite coopèrent de façon régulière. Selon cet hebdomadaire, ce qui n’était qu’une rumeur au sujet de la participation d’Israël à la construction du mur des sables marocain au Sahara occidental s’est avéré fondé en fin de compte.

    Dans un article intitulé “Spécial mur”, l’auteur affirme que “les Israéliens et les Américains ont travaillé ensemble” pour édifier cette muraille, dont l’objectif est de limiter au maximum des incursions du Front Polisario vers le Maroc. Ainsi, dans le but de se protéger des incursions du Front Polisario, Rabat a construit entre 1980 et 1987 cet impressionnant mur de sable, d’une longueur de 2 720 kilomètres. L’œuvre est attribuée donc à des experts militaires israéliens et américains. Selon la même source, il coûte au Trésor marocain deux millions d’euros chaque jour. Voilà une dépense qui grève le budget du royaume, déjà très déficitaire ces dernières années en raison de la forte hausse du pritr du pétrole sur les marchés mondiaux. Ce mur n’est pas une simple levée de terre mais une succession d’obstacles alignés sur plusieurs kilomètres de profondeur et soutenus par des points d’appui dotés d’artillerie et de moyens de détection et d’intervention rapide. Il est doté de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d’autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop et “points d’appui”, des bases de soldats tous les 1,5 à 2 kilomètres. Depuis, le territoire du Sahara occidental est coupé en deux.

    Pour information, le mur a été construit bien avant celui qui sépare Israël des territoires palestiniens. Il n’est pas exclu que les responsables israéliens se soient inspirés de cet ouvrage pour construire un mur à la limite de la Cisjordanie.

    En 2002, Ariel Sharon décide, en réponse aux sollicitations des colons d’ériger cette ceinture de béton et de barbelés, 9 mètres de hauteur dans les villes, qui se double d’une “barrière intelligente”, avec un couloir large de 45 à 100 mètres et des caméras tous les 50 mètres, pour se protéger contre l’Intifadha des Palestiniens. Ce mur, qui ne suit pas exactement l’ancienne ligne de démarcation d’avant 1967, et qui confisque 9 % de la Cisjordanie, a été déclaré illégal par la Cour internationale de justice.
    Source : Alliance, 17/10/2010
  • Le “mur des sables” marocain, œuvre d’Israël et des États-Unis

    Le 15/01/08.- Érigé entre 1980 et 1987 par le roi Hassan II, l’impressionnant “mur des sables”, de plus de 2 000 km, fait de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d’autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop… a été concocté par des experts israéliens et américains.

    Décidément, les relations entre le Maroc et Israël sont beaucoup plus étroites que l’on aurait imaginé. En effet, à voir la nouvelle révélation du magazine français le Point, dans son édition datée du 10 janvier courant, l’État hébreu et le royaume alaouite coopèrent de façon régulière. Selon cet hebdomadaire, ce qui n’était qu’une rumeur au sujet de la participation d’Israël à la construction du mur des sables marocain au Sahara occidental s’est avéré fondé en fin de compte.

    Dans un article intitulé “Spécial mur”, l’auteur affirme que “les Israéliens et les Américains ont travaillé ensemble” pour édifier cette muraille, dont l’objectif est de limiter au maximum des incursions du Front Polisario vers le Maroc. Ainsi, dans le but de se protéger des incursions du Front Polisario, Rabat a construit entre 1980 et 1987 cet impressionnant mur de sable, d’une longueur de 2 720 kilomètres. L’œuvre est attribuée donc à des experts militaires israéliens et américains. Selon la même source, il coûte au Trésor marocain deux millions d’euros chaque jour. Voilà une dépense qui grève le budget du royaume, déjà très déficitaire ces dernières années en raison de la forte hausse du pritr du pétrole sur les marchés mondiaux. Ce mur n’est pas une simple levée de terre mais une succession d’obstacles alignés sur plusieurs kilomètres de profondeur et soutenus par des points d’appui dotés d’artillerie et de moyens de détection et d’intervention rapide. Il est doté de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d’autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop et “points d’appui”, des bases de soldats tous les 1,5 à 2 kilomètres. Depuis, le territoire du Sahara occidental est coupé en deux.

    Pour information, le mur a été construit bien avant celui qui sépare Israël des territoires palestiniens. Il n’est pas exclu que les responsables israéliens se soient inspirés de cet ouvrage pour construire un mur à la limite de la Cisjordanie.

    En 2002, Ariel Sharon décide, en réponse aux sollicitations des colons d’ériger cette ceinture de béton et de barbelés, 9 mètres de hauteur dans les villes, qui se double d’une “barrière intelligente”, avec un couloir large de 45 à 100 mètres et des caméras tous les 50 mètres, pour se protéger contre l’Intifadha des Palestiniens. Ce mur, qui ne suit pas exactement l’ancienne ligne de démarcation d’avant 1967, et qui confisque 9 % de la Cisjordanie, a été déclaré illégal par la Cour internationale de justice.
    Source : Alliance, 17/10/2010
  • MOHAMED ETTAHLIL : «Nous n’avons pas peur de visiter l’Algérie»

    MOHAMED ETTAHLIL, MILITANT SAHRAOUI DES DROITS DE L’HOMME :

    «Nous n’avons pas peur de visiter l’Algérie»

    Rencontré à Mijek mardi dernier dans les territoires sahraouis libérés, ou il participait aux festivités de la commémoration du 35e anniversaire de la déclaration de l’unification de toutes les composantes du peuple sahraoui, Mohamed Ettahlil, militant sahraoui des droits de l’homme, président de la section de Boudjedour de l’association sahraouie contre les atteintes aux droits de l’homme dans les territoires occupés, nous a fait savoir qu’il est venu sans craindre les représailles marocaines qui pourraient le cibler quand il sera de retour. 

    «J’ai été en Algérie avec 72 militants des droits de l’homme et je suis venu à Mijek pour la première fois pour dire à l’ennemi que cette terre est sahraouie et que nous la reprendrons», nous dit-il. Mohamed Ettahlil, qui fait partie des 13 militants sahraouis des droits de l’homme venus des territoires occupés pour participer à cette commémoration, rappelle les «persécutions dont ont été victimes d’autres militants dont Carnello, à leur retour aux territoires occupés, dans les aéroports de Casablanca et Laàyoune», rappelant que «trois autres militants seront jugés le 15 octobre en cours par un tribunal militaire marocain». «Aujourd’hui, nous dirons à l’ennemi que nous avons visité les camps et l’Algérie», ajoute ce militant des droits de l’homme, qui lance que «nous ne savons pas si nous serons à notre retour aux territoires occupés, mis derrière les barreaux, comme le sont 40 détenus politiques».
  • VOUS PARLER D’EUX……

    Ceux qui ont pu

    prouver au monde
    que la résistance du peuple
    qd elle est organisée
    et disciplinée
    peut vaincre les plus grandes armées du monde
    et toutes les trahisons
    internes ou voisines..
    je parle d’eux
    ces combattants de la liberté
    sous n’importe quel emblème
    qui font passer leur désir de liberté
    sur tout autre chose
    ces hommes et femmes
    qui préfèrent de battre jusqu’à la mort
    pour
    détruire
    ce m »mythe »
    malheureusement rumine par nombre d’entre nous
    prétendant que les des sont jetés
    et que la seule chose à faire
    c d’accepter
    cad capituler
    admettre
    et vivre à genoux..
    oui
    je l’ai vu
    ce SUD LIBAN
    reconstruit
    revivant
    malgré les milliers de bombes larguées
    souvenez vous
    cet aout 2006…
    ces hommes
    ces femmes
    que les sionistes
    forts de la complicité internationale
    croyaient détruire…
    en un clin d’œil
    ces hommes
    ces femmes
    qui nous réapprennent
    nous redisent
    que la résistance
    est la seule réponse
    à ce siècle de mensonges
    d’imposture
    d’arrogance..
    j’ai pu revoir MILTA
    ce musée
    que la résistance libanaise
    je veux dire le hezbollah
    a édifie
    en souvenir de ces résistants
    qui ont pu chasser l’occupant en 90
    et en2006
    qui lui ont appris
    que le liban
    n’est plus ce pays
    ou il peut errer à sa guise
    assassinant
    en toute impunité
    car le monde tourne les yeux
    quand c « israel » qui frappe
    non
    je devrai dire
    tend la main
    les armes
    les aides financières
    à cet »état  » voyou
    et pleurniche
    qd il veut
    qd ça l’arrange
    sur la « démocratie »
    surtout qd il y a du pétrole à voler
    -souvenez vous de cet élan mondial pour la « démocratie » en Irak
    bombardée à partir de l’état très « démocratique « Arabie saoudite-!!!!!-
    je disais
    à MILTA
    on a refait le chemin que prenait les combattants
    on a visite le tunnel
    qu’ils avaient fait a mains nus
    ss l’œil de l’ennemi
    je ne sais pas
    si vous imaginez
    ce que ça a du être
    moi je n’arrive tjs pas………..
    ce tunnel
    par ou ts les martyrs sont passés
    ces martyrs dont on ne connait pas les noms
    ce tunnel
    que les sionistes ont cherche pendant 15 ans
    téléphonant aux libanais
    leur promettant des millions comme récompense……….
    walou
    je ne saurai dire
    mon admiration
    mon respect
    pour eux
    eux qui ont bien déterminé leur ennemi
    ne se sont pas trompé de cible
    et s’y sont préparé
    contre et envers tous
    avec discipline
    avec fermeté
    avec une gde foi en la force de la justice de leur cause
    je regarde
    j’admire
    j’espère……………….

    Par Samira Kinani, lundi 27 septembre 2010, à 20:20

    Source : Samira, 27/9/2010

  • MOHAMED ETTAHLIL : «Nous n’avons pas peur de visiter l’Algérie»

    MOHAMED ETTAHLIL, MILITANT SAHRAOUI DES DROITS DE L’HOMME :

    «Nous n’avons pas peur de visiter l’Algérie»

    Rencontré à Mijek mardi dernier dans les territoires sahraouis libérés, ou il participait aux festivités de la commémoration du 35e anniversaire de la déclaration de l’unification de toutes les composantes du peuple sahraoui, Mohamed Ettahlil, militant sahraoui des droits de l’homme, président de la section de Boudjedour de l’association sahraouie contre les atteintes aux droits de l’homme dans les territoires occupés, nous a fait savoir qu’il est venu sans craindre les représailles marocaines qui pourraient le cibler quand il sera de retour. 

    «J’ai été en Algérie avec 72 militants des droits de l’homme et je suis venu à Mijek pour la première fois pour dire à l’ennemi que cette terre est sahraouie et que nous la reprendrons», nous dit-il. Mohamed Ettahlil, qui fait partie des 13 militants sahraouis des droits de l’homme venus des territoires occupés pour participer à cette commémoration, rappelle les «persécutions dont ont été victimes d’autres militants dont Carnello, à leur retour aux territoires occupés, dans les aéroports de Casablanca et Laàyoune», rappelant que «trois autres militants seront jugés le 15 octobre en cours par un tribunal militaire marocain». «Aujourd’hui, nous dirons à l’ennemi que nous avons visité les camps et l’Algérie», ajoute ce militant des droits de l’homme, qui lance que «nous ne savons pas si nous serons à notre retour aux territoires occupés, mis derrière les barreaux, comme le sont 40 détenus politiques».
  • VOUS PARLER D’EUX……

    Ceux qui ont pu

    prouver au monde
    que la résistance du peuple
    qd elle est organisée
    et disciplinée
    peut vaincre les plus grandes armées du monde
    et toutes les trahisons
    internes ou voisines..
    je parle d’eux
    ces combattants de la liberté
    sous n’importe quel emblème
    qui font passer leur désir de liberté
    sur tout autre chose
    ces hommes et femmes
    qui préfèrent de battre jusqu’à la mort
    pour
    détruire
    ce m »mythe »
    malheureusement rumine par nombre d’entre nous
    prétendant que les des sont jetés
    et que la seule chose à faire
    c d’accepter
    cad capituler
    admettre
    et vivre à genoux..
    oui
    je l’ai vu
    ce SUD LIBAN
    reconstruit
    revivant
    malgré les milliers de bombes larguées
    souvenez vous
    cet aout 2006…
    ces hommes
    ces femmes
    que les sionistes
    forts de la complicité internationale
    croyaient détruire…
    en un clin d’œil
    ces hommes
    ces femmes
    qui nous réapprennent
    nous redisent
    que la résistance
    est la seule réponse
    à ce siècle de mensonges
    d’imposture
    d’arrogance..
    j’ai pu revoir MILTA
    ce musée
    que la résistance libanaise
    je veux dire le hezbollah
    a édifie
    en souvenir de ces résistants
    qui ont pu chasser l’occupant en 90
    et en2006
    qui lui ont appris
    que le liban
    n’est plus ce pays
    ou il peut errer à sa guise
    assassinant
    en toute impunité
    car le monde tourne les yeux
    quand c « israel » qui frappe
    non
    je devrai dire
    tend la main
    les armes
    les aides financières
    à cet »état  » voyou
    et pleurniche
    qd il veut
    qd ça l’arrange
    sur la « démocratie »
    surtout qd il y a du pétrole à voler
    -souvenez vous de cet élan mondial pour la « démocratie » en Irak
    bombardée à partir de l’état très « démocratique « Arabie saoudite-!!!!!-
    je disais
    à MILTA
    on a refait le chemin que prenait les combattants
    on a visite le tunnel
    qu’ils avaient fait a mains nus
    ss l’œil de l’ennemi
    je ne sais pas
    si vous imaginez
    ce que ça a du être
    moi je n’arrive tjs pas………..
    ce tunnel
    par ou ts les martyrs sont passés
    ces martyrs dont on ne connait pas les noms
    ce tunnel
    que les sionistes ont cherche pendant 15 ans
    téléphonant aux libanais
    leur promettant des millions comme récompense……….
    walou
    je ne saurai dire
    mon admiration
    mon respect
    pour eux
    eux qui ont bien déterminé leur ennemi
    ne se sont pas trompé de cible
    et s’y sont préparé
    contre et envers tous
    avec discipline
    avec fermeté
    avec une gde foi en la force de la justice de leur cause
    je regarde
    j’admire
    j’espère……………….

    Par Samira Kinani, lundi 27 septembre 2010, à 20:20

    Source : Samira, 27/9/2010