El Aaiun (capitale du Sahara Occidental occupé par le Maroc), 20/07/2010 (SPS) Les autorités marocaines maintiennent des citoyens sahraouis en détention au commissariat central d’El Aaiun occupée, après avoir être soumis aux interrogatoires par des agents de la police, selon des déclarations de leurs compatriotes libérés récemment.
Les citoyens qui se trouvent toujours en détention ont arrêtés parmi des groupes des militants sahraouis en raison de leur participation à la cérémonie d’accueil organisée à l’occasion de l’arrivée de la délégation d’activistes sahraouis de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis et aux territoires libérés de la RASD . Selon la même source, l’ancien prisonnier politique, Mustafa Labrass et le citoyen sahraoui, Bahi El Moussaoui, se trouvent en garde à vue , sans que leur famille soit en mesure de savoir les conditions et les raisons de leur arrestation. Les autorités marocaines avaient libéré lundi dernier un groupe de militants sahraouis des droits humains arrêtés au cours des événements sanglants qui ont eu lieu à El Aaiun occupée à la suite de l’intervention « brutale » de la police marocaine qui a fait des dizaines de blessés dont des étrangers, rappelle-t-on. (SPS)Mois : juillet 2010
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Hassan II était favorable à l’indépendance
Kadhafi livre une vérité historique à propos du Sahara occidental : Hassan II était favorable à l’indépendancePar Mahmoud TadjerSelon le dirigeant libyen, le conflit entre l’Algérie et le Maroc au sujet du Sahara occidental ne pourra se régler que par une «consultation populaire» sur l’autodétermination des Sahraouis. Le guide libyen qui s’exprimait avant-hier sur la chaîne de télévision française France 24 avait soutenu qu’il «n’y a pas d’autre solution que le référendum ou le plébiscite».Selon le leader libyen, le Maroc «se montre hésitant, mais Hassan II (roi du Maroc de 1961 à 1999) y était favorable, nous étions d’accord là-dessus. Evidemment, le Polisario refuse l’autonomie comme solution».
Le président Kadhafi vient d’assener une vérité historique que le Maroc tente par tous les moyens de cacher à la communauté internationale.
D’abord, en faisant volte-face en 1975 lorsqu’ils ont occupé illégalement le Sahara occidental, alors sous occupation espagnole, à travers une marche verte qui a rassemblé des millions de Marocains, sans attendre le retrait définitif des soldats espagnols, et ce au mépris de la résolution onusienne qui a fortement condamné cette initiative. Ensuite, en initiant des actions diplomatiques pour faire admettre la thèse de la marocanité du Sahara occidental. Emboîtant le pas à son père, le roi du Maroc, Mohammed VI, avait reconnu, dans un discours prononcé en 2009, l’indépendance du Sahara occidental. Mais les raisons de cette reconnaissance restent encore inexpliquées à ce jour.
De son côté, le Front Polisario s’est dit réjoui du «réalisme marocain» et affirme que sa première priorité en tant que nouvel Etat indépendant sera d’œuvrer à la construction du Maghreb avec ses voisins maghrébins. Le Front Polisario qui a mené une guerre de plus de 20 ans contre l’armée marocaine avait signé un cessez-le-feu avec le Maroc en 1991 afin d’organiser, avec l’aide de la Minurso, un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui partagé entre le Sahara occidental sous administration marocaine et la région de Tindouf, en Algérie, où vivent plusieurs dizaines de milliers de réfugiés sahraouis. Un référendum qui n’a toujours pas eu lieu à ce jour, malgré plusieurs rounds de négociations sous l’égide de l’ONU.
Malgré la répression du régime marocain à El-Ayoun et partout dans les territoires occupés (lire l’article ci-après), les Sahraouis ne semblent nullement découragés. Ils sont plutôt occupés à poursuivre leur insurrection pacifique jusqu’à l’indépendance.
Freedom House, une ONG américaine, avait tout récemment indiqué que le Maroc «continue le harcèlement et la détention des citoyens sahraouis» réclamant l’indépendance du Sahara occidental, en plus de la marginalisation, des privations et des discriminations qui touchent la plupart d’entre eux. L’organisation internationale a indiqué que «le Maroc, en tant que force d’occupation au Sahara occidental, est en train de procéder à l’écartement de tous ceux qui revendiquent l’indépendance du Sahara occidental de tous les processus politiques […] au Maroc».
Elle a également relevé que des organisations sahraouies des droits humains et d’autres syndicales ont été empêchées par les autorités marocaines de voir le jour. Elle a aussi relevé l’implication de la justice marocaine dans cette affaire.Le Jeune Indépendant, 20/7/2010 -
Grenade ? C’est du passé !
Des Sahraouis se font sauvagement esquinter de retour chez eux à El-Aaiun, juste parce qu’ils ont osé se rendre en visite chez les «séquestrés».M. Z.( mohamed_zaaf@yahoo.fr )A grenade, il y a quelques temps, les Européens avaient demandé à Rabat de s’améliorer quelque peu sur la question des droits humains. Le royaume s’est amélioré, mais pas dans le sens voulu par l’UE. Le royaume tape de plus en plus fort sur les activistes sahraouis et ne s’en cache plus, il le fait sans discrimination de sexe et il arrive même que la femme soit mieux servie. Les forces de l’ordre marocaines tapent courageusement sur la Sahraouie et sont en voie de nous produire ainsi beaucoup d’Aminatou Haïder. L’Europe ? Occupée à pêcher, elle regarde ailleurs. Ce qui s’est passé récemment à El-Aaiun est tout simplement scandaleux. Des Sahraouis se font sauvagement esquinter de retour chez eux à El-Aaiun, juste parce qu’ils ont osé se rendre en visite chez les «séquestrés». C’est-à-dire chez les leurs, ces dizaines de milliers de gens forcés à vivre en refugiés dans la Hamada de Tindouf depuis l’invasion militaire marocaine de leur pays en 1975. C’est devenu une règle, le Maroc organise systématiquement des comités d’accueil officiels et officieux pour dispenser les «bienfaits» aux Sahraouis des territoires occupés qui ont la témérité d’aller là où il ne faut pas. Les Sahraouis, selon les témoignages sur place, disent que la répression ne leur fera pas baisser les bras et qu’ils ne reculeront pas. Le makhzen est bien placé pour jauger la détermination des populations autochtones puisqu’il s’agit de la septième délégation sahraouie à qui il arrange sa cravate. Pourquoi alors une telle répression si elle ne paye pas en retour ? Voudrait-on que les Sahraouis qui partent à Tindouf y restent et s’y marient ? Sinon voudrait-on les pousser à la révolte et au désespoir qui souvent servent d’antichambre au terrorisme ? Le président Mohamed Abdelaziz a bien sûr saisi Ban Ki-moon pour une protection des populations sahraouies après la dernière sauvagerie marocaine à El-Aaiun. Il a bien sûr imputé aussi au gouvernement marocain «la totale responsabilité des conséquences de ces graves dépassements commis sous une occupation militaire illégale des territoires sahraouis… ». Mais ici, à Alger, nous savons que la France, membre permanent du Conseil de sécurité, empêche la protection onusienne des droits humains au Sahara occidental et assure plutôt la protection du coupable.Le Jeune Indépendant, 20/7/2010 -
Hassan II était favorable à l’indépendance
Kadhafi livre une vérité historique à propos du Sahara occidental : Hassan II était favorable à l’indépendancePar Mahmoud TadjerSelon le dirigeant libyen, le conflit entre l’Algérie et le Maroc au sujet du Sahara occidental ne pourra se régler que par une «consultation populaire» sur l’autodétermination des Sahraouis. Le guide libyen qui s’exprimait avant-hier sur la chaîne de télévision française France 24 avait soutenu qu’il «n’y a pas d’autre solution que le référendum ou le plébiscite».Selon le leader libyen, le Maroc «se montre hésitant, mais Hassan II (roi du Maroc de 1961 à 1999) y était favorable, nous étions d’accord là-dessus. Evidemment, le Polisario refuse l’autonomie comme solution».
Le président Kadhafi vient d’assener une vérité historique que le Maroc tente par tous les moyens de cacher à la communauté internationale.
D’abord, en faisant volte-face en 1975 lorsqu’ils ont occupé illégalement le Sahara occidental, alors sous occupation espagnole, à travers une marche verte qui a rassemblé des millions de Marocains, sans attendre le retrait définitif des soldats espagnols, et ce au mépris de la résolution onusienne qui a fortement condamné cette initiative. Ensuite, en initiant des actions diplomatiques pour faire admettre la thèse de la marocanité du Sahara occidental. Emboîtant le pas à son père, le roi du Maroc, Mohammed VI, avait reconnu, dans un discours prononcé en 2009, l’indépendance du Sahara occidental. Mais les raisons de cette reconnaissance restent encore inexpliquées à ce jour.
De son côté, le Front Polisario s’est dit réjoui du «réalisme marocain» et affirme que sa première priorité en tant que nouvel Etat indépendant sera d’œuvrer à la construction du Maghreb avec ses voisins maghrébins. Le Front Polisario qui a mené une guerre de plus de 20 ans contre l’armée marocaine avait signé un cessez-le-feu avec le Maroc en 1991 afin d’organiser, avec l’aide de la Minurso, un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui partagé entre le Sahara occidental sous administration marocaine et la région de Tindouf, en Algérie, où vivent plusieurs dizaines de milliers de réfugiés sahraouis. Un référendum qui n’a toujours pas eu lieu à ce jour, malgré plusieurs rounds de négociations sous l’égide de l’ONU.
Malgré la répression du régime marocain à El-Ayoun et partout dans les territoires occupés (lire l’article ci-après), les Sahraouis ne semblent nullement découragés. Ils sont plutôt occupés à poursuivre leur insurrection pacifique jusqu’à l’indépendance.
Freedom House, une ONG américaine, avait tout récemment indiqué que le Maroc «continue le harcèlement et la détention des citoyens sahraouis» réclamant l’indépendance du Sahara occidental, en plus de la marginalisation, des privations et des discriminations qui touchent la plupart d’entre eux. L’organisation internationale a indiqué que «le Maroc, en tant que force d’occupation au Sahara occidental, est en train de procéder à l’écartement de tous ceux qui revendiquent l’indépendance du Sahara occidental de tous les processus politiques […] au Maroc».
Elle a également relevé que des organisations sahraouies des droits humains et d’autres syndicales ont été empêchées par les autorités marocaines de voir le jour. Elle a aussi relevé l’implication de la justice marocaine dans cette affaire.Le Jeune Indépendant, 20/7/2010 -
Grenade ? C’est du passé !
Des Sahraouis se font sauvagement esquinter de retour chez eux à El-Aaiun, juste parce qu’ils ont osé se rendre en visite chez les «séquestrés».M. Z.( mohamed_zaaf@yahoo.fr )A grenade, il y a quelques temps, les Européens avaient demandé à Rabat de s’améliorer quelque peu sur la question des droits humains. Le royaume s’est amélioré, mais pas dans le sens voulu par l’UE. Le royaume tape de plus en plus fort sur les activistes sahraouis et ne s’en cache plus, il le fait sans discrimination de sexe et il arrive même que la femme soit mieux servie. Les forces de l’ordre marocaines tapent courageusement sur la Sahraouie et sont en voie de nous produire ainsi beaucoup d’Aminatou Haïder. L’Europe ? Occupée à pêcher, elle regarde ailleurs. Ce qui s’est passé récemment à El-Aaiun est tout simplement scandaleux. Des Sahraouis se font sauvagement esquinter de retour chez eux à El-Aaiun, juste parce qu’ils ont osé se rendre en visite chez les «séquestrés». C’est-à-dire chez les leurs, ces dizaines de milliers de gens forcés à vivre en refugiés dans la Hamada de Tindouf depuis l’invasion militaire marocaine de leur pays en 1975. C’est devenu une règle, le Maroc organise systématiquement des comités d’accueil officiels et officieux pour dispenser les «bienfaits» aux Sahraouis des territoires occupés qui ont la témérité d’aller là où il ne faut pas. Les Sahraouis, selon les témoignages sur place, disent que la répression ne leur fera pas baisser les bras et qu’ils ne reculeront pas. Le makhzen est bien placé pour jauger la détermination des populations autochtones puisqu’il s’agit de la septième délégation sahraouie à qui il arrange sa cravate. Pourquoi alors une telle répression si elle ne paye pas en retour ? Voudrait-on que les Sahraouis qui partent à Tindouf y restent et s’y marient ? Sinon voudrait-on les pousser à la révolte et au désespoir qui souvent servent d’antichambre au terrorisme ? Le président Mohamed Abdelaziz a bien sûr saisi Ban Ki-moon pour une protection des populations sahraouies après la dernière sauvagerie marocaine à El-Aaiun. Il a bien sûr imputé aussi au gouvernement marocain «la totale responsabilité des conséquences de ces graves dépassements commis sous une occupation militaire illégale des territoires sahraouis… ». Mais ici, à Alger, nous savons que la France, membre permanent du Conseil de sécurité, empêche la protection onusienne des droits humains au Sahara occidental et assure plutôt la protection du coupable.Le Jeune Indépendant, 20/7/2010 -
L’Envoyé spécial de l’ONU au Sahara occidental préoccupé par la situation des droits de l’homme au Sahara occidental
Chahid El Hafed, 20/07/2010 (SPS) Le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Sahara occidental, M. Hany Abdelaziz, a exprimé mardi sa préoccupation et celle de l’organisation des Nations unies concernant la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, malgré les obstacles qui empêchent l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la surveillance et la protection des droits de l’homme dans ce territoire.
La MINURSO n’est pas encore dotée d’une composante pour cette mission, a dit M. Hany Abdelaziz, soulignant qu’il suit de près la situation et demeure informé des rapports et déclarations sur le sujet des droits de l’homme au Sahara occidental, à la fois de la partie sahraouie ou des organisations internationales , Amnesty International et Human Rights Watch.
Le Représentant spécial, est arrivé mardi au siège de l’Association des familles des prisonniers et des disparus sahraouis (AFAPREDESA), où il a rencontré les membres de l’Assemblée de cette ONG , qui lui ont exposé la situation des droits de l’homme qui prévaut au Sahara occidental. (SPS) -
Droits de l’homme au Sahara occidental : session spéciale de dénonciation à Alger
Alger, 20/07/2010 (SPS) Une « session spéciale » de dénonciation et de condamnation des « violations systématiques » des droits de l’homme par le Maroc dans les territoires sahraouis occupés, sera organisée mercredi au camp international de la jeunesse (ANALJ) de Sidi Fredj (Alger) à l’appel du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
« Face aux violations systématiques des droits de l’homme et la persistance de la politique criminelle coloniale marocaine dans les territoires sahraouis occupés, les participants à l’université d’été-jeunesse de la RASD (République arabe sahraouie démocratique), tiendront une session spéciale de dénonciation et de condamnation en présence d’un panel d’ambassadeurs et de membres du CNASPS pour apporter tout leur soutien et leur solidarité à la résistance populaire pacifique des Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental », indique mardi le CNASPS dans un communiqué. Cette manifestation intervient également à la suite de la « répression brutale, dure et féroce menée par les forces coloniales marocaines à El-Aaiun occupée contre les membres de la 6ème délégation des activistes sahraouis défenseurs des droits de l’homme de retour de la visite des camps de réfugiés sahraouis après leur participation aux travaux de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants, et leur recueillement à la stèle du 11 décembre 1960 à Alger », ajoute la même source. (SPS) -
L’Envoyé spécial de l’ONU au Sahara occidental préoccupé par la situation des droits de l’homme au Sahara occidental
Chahid El Hafed, 20/07/2010 (SPS) Le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Sahara occidental, M. Hany Abdelaziz, a exprimé mardi sa préoccupation et celle de l’organisation des Nations unies concernant la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, malgré les obstacles qui empêchent l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la surveillance et la protection des droits de l’homme dans ce territoire.
La MINURSO n’est pas encore dotée d’une composante pour cette mission, a dit M. Hany Abdelaziz, soulignant qu’il suit de près la situation et demeure informé des rapports et déclarations sur le sujet des droits de l’homme au Sahara occidental, à la fois de la partie sahraouie ou des organisations internationales , Amnesty International et Human Rights Watch.
Le Représentant spécial, est arrivé mardi au siège de l’Association des familles des prisonniers et des disparus sahraouis (AFAPREDESA), où il a rencontré les membres de l’Assemblée de cette ONG , qui lui ont exposé la situation des droits de l’homme qui prévaut au Sahara occidental. (SPS) -
Droits de l’homme au Sahara occidental : session spéciale de dénonciation à Alger
Alger, 20/07/2010 (SPS) Une « session spéciale » de dénonciation et de condamnation des « violations systématiques » des droits de l’homme par le Maroc dans les territoires sahraouis occupés, sera organisée mercredi au camp international de la jeunesse (ANALJ) de Sidi Fredj (Alger) à l’appel du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
« Face aux violations systématiques des droits de l’homme et la persistance de la politique criminelle coloniale marocaine dans les territoires sahraouis occupés, les participants à l’université d’été-jeunesse de la RASD (République arabe sahraouie démocratique), tiendront une session spéciale de dénonciation et de condamnation en présence d’un panel d’ambassadeurs et de membres du CNASPS pour apporter tout leur soutien et leur solidarité à la résistance populaire pacifique des Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental », indique mardi le CNASPS dans un communiqué. Cette manifestation intervient également à la suite de la « répression brutale, dure et féroce menée par les forces coloniales marocaines à El-Aaiun occupée contre les membres de la 6ème délégation des activistes sahraouis défenseurs des droits de l’homme de retour de la visite des camps de réfugiés sahraouis après leur participation aux travaux de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants, et leur recueillement à la stèle du 11 décembre 1960 à Alger », ajoute la même source. (SPS) -
Ces soeurs françaisesàl’étranger : le Maroc
Le 2ème volet de ce grand thème sur ces françaises musulmanes qui vivent à l’étranger. Aujourd’hui, nous allons au Maroc.le Royaume du Maroc est un pays situé dans le nord-ouest de l’Afrique et fait partie du Maghreb.De nombreuses personnes originaires du Maroc n’hésitent plus à aller y s’installer, que se soit des personnes avec des origines marocaines ou encore des retraités français qui ont eu un coup de coeur pendant un séjour touristique.Selma, installée à Casablanca, nous a fait la gentillesse de répondre à nos question et de partager son quotidien.