Mois : mars 2010

  • Droits de l’homme au Sahara Occidental Les Sahraouis subissent sévices et tortures

    Des militants sahraouis, en visite en Algérie et dans les camps des réfugiés sahraouis, ont témoigné jeudi au siège du Comité algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), à Alger, sur les « sévices », la « torture » et l’« oppression » infligés à la population sahraouie dans les territoires occupés et au Maroc. Constitués en délégation, ces membres de la résistance populaire pacifique des territoires du Sahara occidental occupés, ont, lors d’une conférence de presse, attiré l’attention de la communauté internationale et les Nations unies sur ce que le peuple sahraoui subit « à huis clos » en raison du black-out total imposé par les autorités marocaines. « Le peuple du Sahara occidental ne baissera jamais les bras tant qu’il n’a pas arraché son indépendance », insistera Sidi Mohamed Daddach, président du Comité de défense du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui (Codapso). Tout en rendant hommage à l’Algérie, cet ancien condamné à mort, qui a été libéré en 2001, réaffirmera la revendication sahraouie pour une solution juste et équitable. Mme Soukeina Jeddehlou a, pour sa part, qualifié de « tragédie » et de « souffrances » ce que vit le peuple sahraoui dans les villes occupées du Sahara occidental.

    « Personne n’échappe à ces exactions qui touchent aussi bien les enfants que les jeunes filles et les vieilles personnes », a-t-elle témoigné. « A l’heure où je vous parle, des enfants, des filles et des vieillards, sont agressés dans nos villes occupées », témoigne de son côté Awlad Cheikh Mahdjoub. Etant enlevé et torturé à l’âge de 14 ans, cet autre militant a fait savoir que sa famille et ses proches continuent de subir les pires humiliations dans les territoires occupés, rappelant par ailleurs que son frère aîné est porté disparu depuis 1980. Cheikh Mahdjoub estime lui aussi que l’« oppression de l’occupant n’entamera en rien la détermination du peuple sahraoui à poursuivre son combat jusqu’à la victoire ». Il a aussi appelé à revoir les prérogatives de la Minurso en intégrant la question des droits de l’homme. Abondant dans le même sillage, Mme Najat Khneibila a soutenu que la présence de cette délégation de militants à Alger se veut un message aux Marocains quant à la détermination du peuple sahraoui d’aller jusqu’au bout. « Ces photos prouvent mes paroles », dit elle en exhibant les photographies de jeunes femmes sahraouies torturées et mutilées le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale de la femme. Comme pour ses compatriotes, Mme Khneibila est déterminée à poursuivre son combat afin d’arracher l’indépendance du Sahara occidental. « Même si nous arrivons à disparaître, une autre génération de jeunes prendra le relais afin de poursuivre notre noble combat », rassure-t-elle. « Nous sommes un peuple pacifique, et nous nous battons pour notre droit légitime de vivre en paix », a-t-elle ajouté. Pour le chef de la délégation M. Daddach, la focalisation sur la question des droits de l’homme est la seule solution pour mettre fin au conflit. « Le citoyen sahraoui est un homme de paix, nous voulons résoudre le conflit pacifiquement », a-t-il conclu

    Source : Journal DZ

  • Droits de l’homme au Sahara Occidental Les Sahraouis subissent sévices et tortures

    Des militants sahraouis, en visite en Algérie et dans les camps des réfugiés sahraouis, ont témoigné jeudi au siège du Comité algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), à Alger, sur les « sévices », la « torture » et l’« oppression » infligés à la population sahraouie dans les territoires occupés et au Maroc. Constitués en délégation, ces membres de la résistance populaire pacifique des territoires du Sahara occidental occupés, ont, lors d’une conférence de presse, attiré l’attention de la communauté internationale et les Nations unies sur ce que le peuple sahraoui subit « à huis clos » en raison du black-out total imposé par les autorités marocaines. « Le peuple du Sahara occidental ne baissera jamais les bras tant qu’il n’a pas arraché son indépendance », insistera Sidi Mohamed Daddach, président du Comité de défense du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui (Codapso). Tout en rendant hommage à l’Algérie, cet ancien condamné à mort, qui a été libéré en 2001, réaffirmera la revendication sahraouie pour une solution juste et équitable. Mme Soukeina Jeddehlou a, pour sa part, qualifié de « tragédie » et de « souffrances » ce que vit le peuple sahraoui dans les villes occupées du Sahara occidental.

    « Personne n’échappe à ces exactions qui touchent aussi bien les enfants que les jeunes filles et les vieilles personnes », a-t-elle témoigné. « A l’heure où je vous parle, des enfants, des filles et des vieillards, sont agressés dans nos villes occupées », témoigne de son côté Awlad Cheikh Mahdjoub. Etant enlevé et torturé à l’âge de 14 ans, cet autre militant a fait savoir que sa famille et ses proches continuent de subir les pires humiliations dans les territoires occupés, rappelant par ailleurs que son frère aîné est porté disparu depuis 1980. Cheikh Mahdjoub estime lui aussi que l’« oppression de l’occupant n’entamera en rien la détermination du peuple sahraoui à poursuivre son combat jusqu’à la victoire ». Il a aussi appelé à revoir les prérogatives de la Minurso en intégrant la question des droits de l’homme. Abondant dans le même sillage, Mme Najat Khneibila a soutenu que la présence de cette délégation de militants à Alger se veut un message aux Marocains quant à la détermination du peuple sahraoui d’aller jusqu’au bout. « Ces photos prouvent mes paroles », dit elle en exhibant les photographies de jeunes femmes sahraouies torturées et mutilées le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale de la femme. Comme pour ses compatriotes, Mme Khneibila est déterminée à poursuivre son combat afin d’arracher l’indépendance du Sahara occidental. « Même si nous arrivons à disparaître, une autre génération de jeunes prendra le relais afin de poursuivre notre noble combat », rassure-t-elle. « Nous sommes un peuple pacifique, et nous nous battons pour notre droit légitime de vivre en paix », a-t-elle ajouté. Pour le chef de la délégation M. Daddach, la focalisation sur la question des droits de l’homme est la seule solution pour mettre fin au conflit. « Le citoyen sahraoui est un homme de paix, nous voulons résoudre le conflit pacifiquement », a-t-il conclu

    Source : Journal DZ

  • Le Maroc, traqué par la résolution 1871 du Conseil de Sécurité

    Le Maroc est soumis ces temps-ci à de bien mauvais vents. Rabat s’était accomodé au statu quo qui le faisait gagner du temps, mais la volonté de la communauté internationale de mettre fin au conflit n’est plus en mesure de permettre cela. La visite de l’envoyé spécial Christopher Ross en est le témoin et dans un mois il doit présenter son rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU avec des faits palplables sur l’avancement du dossier.

    Les autorités de Rabat se sentent acculés par le responsable onusien et traqués par la résolution 1871 qui préconise une « solution basée sur le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination », une résolution embarrassante pour les responsables marocains. Ils voient la fin de leur occupation du Sahara Occidental, ce pays si riche en ressources naturelles et la fin de leur rêve de devenir la première puissance régionale. Ils se débattent comme des chiens aux abois.

    Là, aucun conseiller ne peut secourir le roi Mohamed VI. Comme d’habitude, il fait recours à la même ordonnance qu’il utilise en général à chaque fois qu’il ressent que ses prétensions expansionnistes sont menacées. Il appelle le lobby sionniste américain à la rescousse. Alors ils annoncent que des sénateurs ont présenté une motion qui décrit l’autonomie comme seule solution ou qu’une délégation française de haut niveau a prévu de se rendre aux territoires occupés du Sahara Occidental. Ils veulent faire pression sur l’lenvoyé spécial au même temps qu’ils l’agacent avec des interminables rencontres avec des personnages fantôches comme Ould Errachid, Biadillah, Mansouri, et la liste est longue.

    A court d’arguments, Rabat, au lieu de se remettre en cause, opte pour la fuite en avant. Alors, il s’adonne à ce qu’il maîtrise le plus : les déclarations de mépris. Traqué par le droit international, le Maroc se trouve dans l’état de l’animal blessé. Il peut devenir dangereux. 

    Photo : Carte des pays qui reconnaissent la RASD 

  • Le Maroc, traqué par la résolution 1871 du Conseil de Sécurité

    Le Maroc est soumis ces temps-ci à de bien mauvais vents. Rabat s’était accomodé au statu quo qui le faisait gagner du temps, mais la volonté de la communauté internationale de mettre fin au conflit n’est plus en mesure de permettre cela. La visite de l’envoyé spécial Christopher Ross en est le témoin et dans un mois il doit présenter son rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU avec des faits palplables sur l’avancement du dossier.

    Les autorités de Rabat se sentent acculés par le responsable onusien et traqués par la résolution 1871 qui préconise une « solution basée sur le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination », une résolution embarrassante pour les responsables marocains. Ils voient la fin de leur occupation du Sahara Occidental, ce pays si riche en ressources naturelles et la fin de leur rêve de devenir la première puissance régionale. Ils se débattent comme des chiens aux abois.

    Là, aucun conseiller ne peut secourir le roi Mohamed VI. Comme d’habitude, il fait recours à la même ordonnance qu’il utilise en général à chaque fois qu’il ressent que ses prétensions expansionnistes sont menacées. Il appelle le lobby sionniste américain à la rescousse. Alors ils annoncent que des sénateurs ont présenté une motion qui décrit l’autonomie comme seule solution ou qu’une délégation française de haut niveau a prévu de se rendre aux territoires occupés du Sahara Occidental. Ils veulent faire pression sur l’lenvoyé spécial au même temps qu’ils l’agacent avec des interminables rencontres avec des personnages fantôches comme Ould Errachid, Biadillah, Mansouri, et la liste est longue.

    A court d’arguments, Rabat, au lieu de se remettre en cause, opte pour la fuite en avant. Alors, il s’adonne à ce qu’il maîtrise le plus : les déclarations de mépris. Traqué par le droit international, le Maroc se trouve dans l’état de l’animal blessé. Il peut devenir dangereux. 

    Photo : Carte des pays qui reconnaissent la RASD 

  • M. Abdelaziz appelle à l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la protection des droits de l’Homme au Sahara occidental

    Alger, 20/03/2010.- Le Président sahraoui, Mohamed Abdelaziz a appelé, vendredi à Alger, à l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la protection des droits de l’Homme au Sahara Occidental et a dénoncé l’occupation marocaine des territoires sahraouis et la violation de la légalité internationale et des résolutions de l’ONU, dans une allocution prononcée à l’ouverture des travaux du 9e congrès du FLN.

    Il a, par ailleurs, dénoncé le pillage et l’exploitation par les autorités marocaines des richesses du peuple sahraoui et la construction du mur militaire d’une longueur de 2700 Km pour séparer les terres et le peuple du Sahara Occidental.

    Pour ce qui est de la situation des droits de l’Homme au Sahara Occidental, le président sahraoui a insisté sur l’aspect pacifique de la résistance dans les territoires sahraouis occupés, devant la poursuite des graves violations marocaines des droits de l’Homme au Sahara Occidental.

    M. Abdelaziz a également lancé un appel au Maroc « pour ouvrir une nouvelle page, dans laquelle seront consacrés, le respect de la légalité internationale, le droit international, le bon voisinage et le respect mutuel afin de parvenir à une solution juste qui assure au peuple sahraoui son droit inaliénable à l’autodétermination ».

    Le président a souligné la « disposition » de la partie sahraouie à coopérer avec tous les pays maghrébins pour la construction de l’édifice Maghrébin sur « des bases solides et ancrées pour l’instauration de la paix, la sécurité et la prospérité dans la région ». (SPS)

  • M. Abdelaziz appelle à l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la protection des droits de l’Homme au Sahara occidental

    Alger, 20/03/2010.- Le Président sahraoui, Mohamed Abdelaziz a appelé, vendredi à Alger, à l’élargissement des prérogatives de la MINURSO à la protection des droits de l’Homme au Sahara Occidental et a dénoncé l’occupation marocaine des territoires sahraouis et la violation de la légalité internationale et des résolutions de l’ONU, dans une allocution prononcée à l’ouverture des travaux du 9e congrès du FLN.

    Il a, par ailleurs, dénoncé le pillage et l’exploitation par les autorités marocaines des richesses du peuple sahraoui et la construction du mur militaire d’une longueur de 2700 Km pour séparer les terres et le peuple du Sahara Occidental.

    Pour ce qui est de la situation des droits de l’Homme au Sahara Occidental, le président sahraoui a insisté sur l’aspect pacifique de la résistance dans les territoires sahraouis occupés, devant la poursuite des graves violations marocaines des droits de l’Homme au Sahara Occidental.

    M. Abdelaziz a également lancé un appel au Maroc « pour ouvrir une nouvelle page, dans laquelle seront consacrés, le respect de la légalité internationale, le droit international, le bon voisinage et le respect mutuel afin de parvenir à une solution juste qui assure au peuple sahraoui son droit inaliénable à l’autodétermination ».

    Le président a souligné la « disposition » de la partie sahraouie à coopérer avec tous les pays maghrébins pour la construction de l’édifice Maghrébin sur « des bases solides et ancrées pour l’instauration de la paix, la sécurité et la prospérité dans la région ». (SPS)

  • Délégation sahraouie achève sa visite au Méxique

    La délégation sahraouie présidée par Bachir Mustafa Seyed, membre du Secrétariat National du Front Polisario a achevé ce mercredi une visite au Mexique, a informé l’Ambassade sahraouie au Mexique.

    Lors de son séjour Bachir Mustafa Seyed et la délégation qui l’a accompagné ont participé au XIV Séminaire international sur « les partis et la nouvelle société », a tenu des rencontres avec presque 20 délégations qui représentaient des pays et des partis, ainsi que des organisations régionales.

    D’autre part, des réunions ont été réalisées avec de hautes personnalités politiques et juridiques mexicaines, des interviews avec la radio et la télévision. Les activités ont été culminées avec une rencontre avec le Sénateur Carlos Navarrete, président de la Table Directive du Sénat de la République du Mexique et le Sénateur Salomón Jara, Président de la Commission Relations Extérieures – Afrique du Sénat, ainsi qu’une rencontre avec Monsieur Jesús Ortega, Président du Parti de la Révolution Démocratique et une autre avec la Députée Maestra Ifigenia Martínez Hernández, présidente du Groupe d’Amitié Mexique-République Sahraouie.

    Durant les rencontres, Bachir Mustafa Seyed a expliqué la situation actuelle du conflit entre la République Sahraouie et le Royaume du Maroc, spécialement, la situation dans les territoires occupés, les détentions et les violations des droits de l’homme contre la population civile sahraouie.(SPS)

  • Gabon : Ali Bongo Ondimba, en visite officielle au Maroc.

    L’heure est aux retrouvailles avec un vieil ami, le Roi du Maroc Mohamed VI, un frère d’enfance au rêve commun réalisé, celui de notamment succéder aux papas, même si la méthode et la manière n’ont guerre été similaires, seul compte dans cette ambition en commune, la capacité d’être parvenu à ses fins, disons, même à tous les prix, si nécessité fait loi.

    Ce sont donc des retrouvailles de trois jours de deux fils d’anciens dirigeants amis et complices, qui décident de s’inscrivent dans la logique de leurs devanciers. Cette visite officielle entamée dans l’après midi de lundi dernier, est bien plus qu’une simple visite de travail officielle, présentée comme étant, la première du genre d’Ali Bongo Ondimba depuis son investiture en octobre dernier. Il s’agit au premier chef, d’une rencontre amicale et familiale, habillée pour la circonstance des apparats officiels. Et pour le bonheur des caméras et micros, le Roi du Maroc, recevra dans les cadres de ses attributs, son hôte de haute marque, en vue de coller aux exigences protocolaires.

    Ali Bongo Ondimba échangera par la suite avec le premier ministre marocain Abbas El Fassi, puis avec les présidents des deux chambres du parlement, Mustapha Mansouri et Mohamed Cheik Biadillah.

    La coopération entre les deux pays qui ne souffre qu’aucun nuage, sera repassée au peigne fin, idem pour les intérêts des deux familles dans leurs pays respectifs, qui seront revisités pour la circonstance. Pour ce qui est particulièrement de l’investissement du Maroc au Gabon, citons sa forte présence dans les secteurs clés de la vie économique et sociale gabonaise, à l’exemple du tissu économique, avec notamment la très récente prise de la part du lion, dans les capitaux de l’Union Gabonaise de Banque.

    Au plan social, évoquons la grande implantation de la puissante colonie marocaine au Gabon dans la petite et moyenne industrie. Autre volet du plan social, l’implication de la colonie marocaine dans les activités de conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon, au plan socio économique, la prise de Gabon Télécom, en charge de la gestion des télécommunications, tant au plan national, qu’à l’international.

    Le Gabon est considéré comme terreau favorable à l’investissement, par la fédération marocaine des chambres de commerce, d’industrie et de services.

    Selon des données datant de 2008, le Maroc avait importé du Gabon, un volume de 290 millions d’euro, contre 17,6 millions d’euro en volume d’exportation pour la même année 2008.


  • Groupe parlementaire vénézuélien au Parlement Latino-américain condamne la « brutale » répresssion marocaine

    Caracas, 19/03/2010.- Le Groupe Parlementaire vénézuélien dans le Parlement Latino-américain, a condamné ce jeudi la brutale répression marocaine subi par la population civile sahraouie dans les villes dE Aaiun et Dakhla dans les territoires occupés du Sahara Occidental, selon rapporte l’ambassade sahraouie à Caracas.
    Le Groupe a condamné « la répression brutale contre la population civile sans défense du Sahara Occidental qui réclame le droit légitime à son libre autodétermination, un droit reconnu par les résolutions des Nations Unies sur la décolonisation des territoires illégalement occupés ».
    « Nous nous joignons à l’appel de la communauté internationale pour demander l’intervention urgente du secrétaire général de l’ONU pour protéger les sahraouis dans les territoires occupés par le royaume du Maroc », a demandé le groupe dans sa note
    De plus, ils exigent la liberté des prisonniers politiques sahraouis soumis aux conditions d’emprisonnement « inhumaines dans les sinistres prisons militaires du royaume du Maroc ».
    Entre-temps ils ont assuré qu’ils enverront une copie de cet Accord aux ambassades du Royaume de l’Espagne et de la République Sahraouie dans La République Bolivarienne du Venezuela, à la Table Directive Régionale du Parlement Latino-américain et à l’honorable monsieur Ban ki – moon, Secrétaire général des Nations Unies. (SPS).
  • Délégation sahraouie achève sa visite au Méxique

    La délégation sahraouie présidée par Bachir Mustafa Seyed, membre du Secrétariat National du Front Polisario a achevé ce mercredi une visite au Mexique, a informé l’Ambassade sahraouie au Mexique.

    Lors de son séjour Bachir Mustafa Seyed et la délégation qui l’a accompagné ont participé au XIV Séminaire international sur « les partis et la nouvelle société », a tenu des rencontres avec presque 20 délégations qui représentaient des pays et des partis, ainsi que des organisations régionales.

    D’autre part, des réunions ont été réalisées avec de hautes personnalités politiques et juridiques mexicaines, des interviews avec la radio et la télévision. Les activités ont été culminées avec une rencontre avec le Sénateur Carlos Navarrete, président de la Table Directive du Sénat de la République du Mexique et le Sénateur Salomón Jara, Président de la Commission Relations Extérieures – Afrique du Sénat, ainsi qu’une rencontre avec Monsieur Jesús Ortega, Président du Parti de la Révolution Démocratique et une autre avec la Députée Maestra Ifigenia Martínez Hernández, présidente du Groupe d’Amitié Mexique-République Sahraouie.

    Durant les rencontres, Bachir Mustafa Seyed a expliqué la situation actuelle du conflit entre la République Sahraouie et le Royaume du Maroc, spécialement, la situation dans les territoires occupés, les détentions et les violations des droits de l’homme contre la population civile sahraouie.(SPS)