Mois : octobre 2009

  • L’Islamisme, un danger potentiel permanent au Maroc

    Le dernier rapport du Département d’Etat américain sur le terrorisme est certainement favorable au Maroc. Les responsables marocains sont contents. Ils ont décidé de continuer dans cette voie même si c’est en détriment des millions de citoyens qui  n’ont jamais eu un compte en banque, de leurs familles et de leurs enfants. Tout est valable pour bien vendre l’image du Maroc comme « rempart contre le terrorisme ». Pourvu que le Congrès américain donne une bonne note! En plus, c’est tellement facile d’emprisonner des gens innocents et de les tasser en groupes de 30 et 50 dans la même cellule pour afficher l’efficacité des services de sécurité!
    C’est plus facile de dénoncer l’Iran et laisser l’Arabie Saoudite d’où vient le vrai danger : le salafisme. Naturellement, le royaume wahabite apporte beaucoup d’argent à la monarchie marocaine et, en plus, prendre l’Arabie Saoudite pour « ennemi » pourrait fâcher ses alliés d’outre-mer.
    L’Etat encourage le soufisme à des fins essentiellement politiques pour contrer les tendances salafistes. C’est la raison pour laquelle l’Etat a commencé à organiser des festivals et des rencontres pour propager la manière soufie.
    Pourtant les dirigeants marocains savent que les inégalités sociales, la corruption, la gabegie publique, l’opacité du système économique, le système des privilèges, le népotisme, l’absence de justice etc. sont autant de facteurs qui favorisent la haine, le radicalisme, le terrorisme, et l’Amérique est au courant de ces choses là…Mieux, les USA savent aujourd’hui que le radicalisme ou l’extrémisme n’a plus de nom, qu’il n’est ni wahhabite ni salafiste ni chiite mais naît et se nourrit soit de l’oppression soit de la misère, soit du chômage soit des contradictions de plus en plus insupportables, ou de l’ensemble de ces facteurs à la fois, dans les pays musulmans.
    Le monde devrait savoir une bonne fois pour toutes que combattre le terrorisme ce n’est pas faire de la politique. Utiliser le dossier du terrorisme pour terroriser son peuple et s’imposer sur ses voisins c’est les empêcher de se développer et accentuer par la même occasion la crise économique au niveau local et régional. 
    Pour sortir du guêpier où se trouve confiné le Maroc, tout un chacun sait qu’il n’y a pas trente six mille solutions : Il faut miser sur les ressources humaines ! Il n’y a pas d’autres ressources de toute façon. Il faut être fort, prendre des décisions fortes et nommer des hommes forts à la tête des départements, des directions et des divers services. Des hommes qui soigneront les mentalités par leurs agissements administratifs honnêtes au quotidien dans le cadre de leurs missions. Des hommes qui répandront l’intégrité, la loyauté et le patriotisme. Des hommes qui donneront le bon exemple et qui tranquilliseront les esprits les plus tourmentés. Des hommes loyaux mais qui ont de la personnalité. Des hommes qui ont des idées autres que s’enrichir, faire des affaires et favoriser les membres de leurs familles et leurs amis. Des hommes honnêtes et compétents qui ne pensent qu’à l’intérêt général. Des hommes qui n’ont pas peur de bien faire… Des hommes qui ne craignent que Dieu mais qui respectent leurs supérieurs et qui ne les trahissent jamais. Des hommes capables de relever tous les défis et de résoudre toutes les équations avec conviction et assurance. Le Maroc regorge de ce genre d’hommes. Il n’existe pas pas d’autre choix. Les choses s’accélèrent et la crise cardiaque politique générale guette plus que jamais. On a déjà tout reporté jusqu’à la limite. Les réformes paraissent si compliquées à opérer et pourtant c’est si simple. Il faut juste passer le cap et sortir de l’enceinte pour y voir clair. Beaucoup de choses peuvent encore être sauvées. Mais le temps ne pardonnera plus.
    On aurait tort, aujourd’hui plus que jamais auparavant, de considérer que les opposants, ceux qui critiquent l’ordre établi, ne peuvent s’adresser dans les meilleurs des cas qu’à quelques 50.000 voire 100.000 personnes qui constituent la population instruite et politisée au Maroc, et qui seraient en général bien lotis et donc amnésiques.
    Les gens instruits, marginalisés ou pas, sont affectés d’un profond sentiment de malaise. Ils essayent de s’occuper comme ils peuvent et luttent contre l’ennui en diffusant l’information oralement à huit clos, or c’est là la plus terrible des voies de subversion. Les gens, qu’ils soient issus de la classe pauvre, de la classe dite moyenne et même de la classe favorisée, savent qu’ils sont placés dans une situation précaire à tous les points de vue, par une volonté exécutive et administrative tacite. Les gens n’arrivent plus à supporter leur situation. Les gens ont le sentiment que leurs acquis qu’ils soient minimes ou considérables sont perpétuellement menacés non pas à cause d’une quelconque crise mondiale mais à cause de responsables injustes et d’une justice totalement imprévisible et très loin d’être juste. Les Marocains ne s’occupent pas de la crise mondiale car ils savent que celle-ci n’est et ne sera jamais et en rien responsable de l’injustice sociale, des écarts faramineux entre les salaires, de la gabegie publique, du népotisme et de la corruption dans l’Administration.
    L’indifférence et l’égoïsme exacerbé de certains gouvernants deviennent de plus en plus choquants, agaçants et dangereusement énervants. Le Peuple marocain est bon et généreux. Il pardonne toujours aux gens sincères. Le Peuple marocain est un peuple sensible. Qui parmi ses ministres ou autres politiciens responsables dans l’Administration a publié ou publie régulièrement ses impressions personnelles sur les tournures que prennent les choses au Maroc de manière sincère et crédible ? Qui parmi ses ministres parle aux gens avec sincérité ? Qui n’est pas égoïste ?
    La plus laide des formes du sous développement serait celle représentée par le ministère de l’enseignement, dont le ministre Ahmed Khchichane aurait dépensé des milliards pour l’acquisition de milliers de postes de télévision à distribuer dans les écoles pour, dit-on, l’encadrement des élèves (mais où sont les chômeurs diplômés?) et d’ordinateurs que l’on délaisserait ou que l’on détournerait vers les maisons des directeurs, alors que 50% du peuple est analphabète, 80% des écoles en milieu rural ne disposent ni d’eau ni d’électricité et les instituteurs ont affaire à plusieurs niveaux dans la même classe.
    Le roi Mohamed VI, au lieu de se pencher sur la solution à ces problèmes  susceptibles d’être un danger pour son règne, préfère délaisser ses citoyens à la misère au risque d’être recrutés comme kamikazes pour fomenter un étrange nationalisme sur l’intégrité territorial et conquérir le Sahara Occidental (Tags : Maroc, Sahara Occidental, Polisario) 

  • L’Islamisme, un danger potentiel permanent au Maroc

    Le dernier rapport du Département d’Etat américain sur le terrorisme est certainement favorable au Maroc. Les responsables marocains sont contents. Ils ont décidé de continuer dans cette voie même si c’est en détriment des millions de citoyens qui  n’ont jamais eu un compte en banque, de leurs familles et de leurs enfants. Tout est valable pour bien vendre l’image du Maroc comme « rempart contre le terrorisme ». Pourvu que le Congrès américain donne une bonne note! En plus, c’est tellement facile d’emprisonner des gens innocents et de les tasser en groupes de 30 et 50 dans la même cellule pour afficher l’efficacité des services de sécurité!
    C’est plus facile de dénoncer l’Iran et laisser l’Arabie Saoudite d’où vient le vrai danger : le salafisme. Naturellement, le royaume wahabite apporte beaucoup d’argent à la monarchie marocaine et, en plus, prendre l’Arabie Saoudite pour « ennemi » pourrait fâcher ses alliés d’outre-mer.
    L’Etat encourage le soufisme à des fins essentiellement politiques pour contrer les tendances salafistes. C’est la raison pour laquelle l’Etat a commencé à organiser des festivals et des rencontres pour propager la manière soufie.
    Pourtant les dirigeants marocains savent que les inégalités sociales, la corruption, la gabegie publique, l’opacité du système économique, le système des privilèges, le népotisme, l’absence de justice etc. sont autant de facteurs qui favorisent la haine, le radicalisme, le terrorisme, et l’Amérique est au courant de ces choses là…Mieux, les USA savent aujourd’hui que le radicalisme ou l’extrémisme n’a plus de nom, qu’il n’est ni wahhabite ni salafiste ni chiite mais naît et se nourrit soit de l’oppression soit de la misère, soit du chômage soit des contradictions de plus en plus insupportables, ou de l’ensemble de ces facteurs à la fois, dans les pays musulmans.
    Le monde devrait savoir une bonne fois pour toutes que combattre le terrorisme ce n’est pas faire de la politique. Utiliser le dossier du terrorisme pour terroriser son peuple et s’imposer sur ses voisins c’est les empêcher de se développer et accentuer par la même occasion la crise économique au niveau local et régional. 
    Pour sortir du guêpier où se trouve confiné le Maroc, tout un chacun sait qu’il n’y a pas trente six mille solutions : Il faut miser sur les ressources humaines ! Il n’y a pas d’autres ressources de toute façon. Il faut être fort, prendre des décisions fortes et nommer des hommes forts à la tête des départements, des directions et des divers services. Des hommes qui soigneront les mentalités par leurs agissements administratifs honnêtes au quotidien dans le cadre de leurs missions. Des hommes qui répandront l’intégrité, la loyauté et le patriotisme. Des hommes qui donneront le bon exemple et qui tranquilliseront les esprits les plus tourmentés. Des hommes loyaux mais qui ont de la personnalité. Des hommes qui ont des idées autres que s’enrichir, faire des affaires et favoriser les membres de leurs familles et leurs amis. Des hommes honnêtes et compétents qui ne pensent qu’à l’intérêt général. Des hommes qui n’ont pas peur de bien faire… Des hommes qui ne craignent que Dieu mais qui respectent leurs supérieurs et qui ne les trahissent jamais. Des hommes capables de relever tous les défis et de résoudre toutes les équations avec conviction et assurance. Le Maroc regorge de ce genre d’hommes. Il n’existe pas pas d’autre choix. Les choses s’accélèrent et la crise cardiaque politique générale guette plus que jamais. On a déjà tout reporté jusqu’à la limite. Les réformes paraissent si compliquées à opérer et pourtant c’est si simple. Il faut juste passer le cap et sortir de l’enceinte pour y voir clair. Beaucoup de choses peuvent encore être sauvées. Mais le temps ne pardonnera plus.
    On aurait tort, aujourd’hui plus que jamais auparavant, de considérer que les opposants, ceux qui critiquent l’ordre établi, ne peuvent s’adresser dans les meilleurs des cas qu’à quelques 50.000 voire 100.000 personnes qui constituent la population instruite et politisée au Maroc, et qui seraient en général bien lotis et donc amnésiques.
    Les gens instruits, marginalisés ou pas, sont affectés d’un profond sentiment de malaise. Ils essayent de s’occuper comme ils peuvent et luttent contre l’ennui en diffusant l’information oralement à huit clos, or c’est là la plus terrible des voies de subversion. Les gens, qu’ils soient issus de la classe pauvre, de la classe dite moyenne et même de la classe favorisée, savent qu’ils sont placés dans une situation précaire à tous les points de vue, par une volonté exécutive et administrative tacite. Les gens n’arrivent plus à supporter leur situation. Les gens ont le sentiment que leurs acquis qu’ils soient minimes ou considérables sont perpétuellement menacés non pas à cause d’une quelconque crise mondiale mais à cause de responsables injustes et d’une justice totalement imprévisible et très loin d’être juste. Les Marocains ne s’occupent pas de la crise mondiale car ils savent que celle-ci n’est et ne sera jamais et en rien responsable de l’injustice sociale, des écarts faramineux entre les salaires, de la gabegie publique, du népotisme et de la corruption dans l’Administration.
    L’indifférence et l’égoïsme exacerbé de certains gouvernants deviennent de plus en plus choquants, agaçants et dangereusement énervants. Le Peuple marocain est bon et généreux. Il pardonne toujours aux gens sincères. Le Peuple marocain est un peuple sensible. Qui parmi ses ministres ou autres politiciens responsables dans l’Administration a publié ou publie régulièrement ses impressions personnelles sur les tournures que prennent les choses au Maroc de manière sincère et crédible ? Qui parmi ses ministres parle aux gens avec sincérité ? Qui n’est pas égoïste ?
    La plus laide des formes du sous développement serait celle représentée par le ministère de l’enseignement, dont le ministre Ahmed Khchichane aurait dépensé des milliards pour l’acquisition de milliers de postes de télévision à distribuer dans les écoles pour, dit-on, l’encadrement des élèves (mais où sont les chômeurs diplômés?) et d’ordinateurs que l’on délaisserait ou que l’on détournerait vers les maisons des directeurs, alors que 50% du peuple est analphabète, 80% des écoles en milieu rural ne disposent ni d’eau ni d’électricité et les instituteurs ont affaire à plusieurs niveaux dans la même classe.
    Le roi Mohamed VI, au lieu de se pencher sur la solution à ces problèmes  susceptibles d’être un danger pour son règne, préfère délaisser ses citoyens à la misère au risque d’être recrutés comme kamikazes pour fomenter un étrange nationalisme sur l’intégrité territorial et conquérir le Sahara Occidental (Tags : Maroc, Sahara Occidental, Polisario) 

  • Is Morocco a trustworthy neighbour?

    Morocco had been making decisions based on Bush propaganda catchphrases about the terrorism threaten. Thanks to that, it was presented as “a trustworthy ally” in the global war against terrorism in the US, England, France, Spain, etc. It has tried to exploit this point to urge the international community to think that Polisario is a terrorist organization. Now,  Morocco tries to show Algeria as Iran of the Maghreb. Its lobbies claim that Algeria search to have the atomic weapon. 
    The western standard perception of the Moroccan involvement with international terrorism is that Morocco is a rempart against terrorism. Morocco defaults to: a modern Arab nation with young modern King, the best Arab democracy available, with respect for the Jewish world.  Morocco assists the USA with the interrogation of suspected Al Qaida terrorists, the modern Moroccan western oriented King has an Islamic opposition, it protects western interests, and keeps refugees from European shores, it buy Western arms. Etc. This is the standard idea about Morocco which is not true at all. 
    Morocco is not a modern society, but a medieval Sultanate in its core, spitting on international justice while having problems on all borders, with an sadistic police-corps under a maffiastyle billionaire ruler claiming to be the religious leader.  Sure, Morocco helps to torture suspected Al Qaida terrorists, moroccan secret services are experts in this matter.
    Of course this bad picture can not be enough reason to believe in Moroccan complicity with terrorism. Just like the modern image of Morocco can’t be a reason to trust it. In the end we can only judge this nation (or any other) by its action. What do they do for peace and stability in the Maghreb region? What is their attitude against terror in Algeria? 
    Of course do neighbours have obligations towards each other. If you see the home next door is on fire you are not simply going to watch it burn. Fire is a common enemy. The same goes for Islamist terror, it is a common enemy to everybody in the civilized world. If one is under attack the neighbours will help. So Morocco must have supported Algeria in some yet undisclosed way. 
    What does Morocco do to assure Algeria it is a trustworthy neighbour? What are the answers to the suspicion that Morocco is using Islamist terror as a tool for politics abroad? Nothing. Indifference. Intelligence is what matters in this case. So the question is: did Morocco provide Algeria with information and was it willing to provide it? We don’t know of such assistance and that such is not advertised. So suspicion  or the presumption this assistance is not given can arise. 
    What does Morocco to reply to accusations about poor border control? They do not care and hope their image is powerful enough. The arrogance is so enormous. They claim to solve several political murders in Belgium, while silencing internal opposition in the case of Belliraj. They kick the Spanish intelligence antennas out because they have a problem with the revelations of Chakib el-Khayari, a human rights defender. How to qualify these actions? These are not typical for a good trustworthy ally but for an opportunistic undercover double policy. 
    The Moroccans tried to exploit the GIA early on as a potential quid-pro-quo for Western Sahara. This is what Layada, The GIA founder, keeps harping on about after his release.
    Now accusations are coming from another part : Mali.  As quoted by the french weekly Jeune Afrique, « from the Malian point of view, presses on the settlement of the salafiste question: the tensions between Algeria and Morocco. ” Islamist groups benefit obviously from certain supports of the Moroccan side “, accuses a the malian information services member. According to this one, it would be about a retort in the numerous links which Mali maintains with Polisario. It is true that the outfit of the AQMI armament, including radars, systems of jamming and even “rocket launchers” (banisters of rocket launcher installed aboard trucks), can difficulty been explained without the hypothesis of some well placed complicities … 
    Carlos Ruiz Miguel, Professor in Santiago de Compostela University, defined two very important embarrassing criteria for Morocco :
    1-Who profit of the terrorism in Algeria?
    2 – Why weapons coming from France and from Spain pass in transit by Morocco and are used in Algeria and not in Morocco?
  • Is Morocco a trustworthy neighbour?

    Morocco had been making decisions based on Bush propaganda catchphrases about the terrorism threaten. Thanks to that, it was presented as “a trustworthy ally” in the global war against terrorism in the US, England, France, Spain, etc. It has tried to exploit this point to urge the international community to think that Polisario is a terrorist organization. Now,  Morocco tries to show Algeria as Iran of the Maghreb. Its lobbies claim that Algeria search to have the atomic weapon. 
    The western standard perception of the Moroccan involvement with international terrorism is that Morocco is a rempart against terrorism. Morocco defaults to: a modern Arab nation with young modern King, the best Arab democracy available, with respect for the Jewish world.  Morocco assists the USA with the interrogation of suspected Al Qaida terrorists, the modern Moroccan western oriented King has an Islamic opposition, it protects western interests, and keeps refugees from European shores, it buy Western arms. Etc. This is the standard idea about Morocco which is not true at all. 
    Morocco is not a modern society, but a medieval Sultanate in its core, spitting on international justice while having problems on all borders, with an sadistic police-corps under a maffiastyle billionaire ruler claiming to be the religious leader.  Sure, Morocco helps to torture suspected Al Qaida terrorists, moroccan secret services are experts in this matter.
    Of course this bad picture can not be enough reason to believe in Moroccan complicity with terrorism. Just like the modern image of Morocco can’t be a reason to trust it. In the end we can only judge this nation (or any other) by its action. What do they do for peace and stability in the Maghreb region? What is their attitude against terror in Algeria? 
    Of course do neighbours have obligations towards each other. If you see the home next door is on fire you are not simply going to watch it burn. Fire is a common enemy. The same goes for Islamist terror, it is a common enemy to everybody in the civilized world. If one is under attack the neighbours will help. So Morocco must have supported Algeria in some yet undisclosed way. 
    What does Morocco do to assure Algeria it is a trustworthy neighbour? What are the answers to the suspicion that Morocco is using Islamist terror as a tool for politics abroad? Nothing. Indifference. Intelligence is what matters in this case. So the question is: did Morocco provide Algeria with information and was it willing to provide it? We don’t know of such assistance and that such is not advertised. So suspicion  or the presumption this assistance is not given can arise. 
    What does Morocco to reply to accusations about poor border control? They do not care and hope their image is powerful enough. The arrogance is so enormous. They claim to solve several political murders in Belgium, while silencing internal opposition in the case of Belliraj. They kick the Spanish intelligence antennas out because they have a problem with the revelations of Chakib el-Khayari, a human rights defender. How to qualify these actions? These are not typical for a good trustworthy ally but for an opportunistic undercover double policy. 
    The Moroccans tried to exploit the GIA early on as a potential quid-pro-quo for Western Sahara. This is what Layada, The GIA founder, keeps harping on about after his release.
    Now accusations are coming from another part : Mali.  As quoted by the french weekly Jeune Afrique, « from the Malian point of view, presses on the settlement of the salafiste question: the tensions between Algeria and Morocco. ” Islamist groups benefit obviously from certain supports of the Moroccan side “, accuses a the malian information services member. According to this one, it would be about a retort in the numerous links which Mali maintains with Polisario. It is true that the outfit of the AQMI armament, including radars, systems of jamming and even “rocket launchers” (banisters of rocket launcher installed aboard trucks), can difficulty been explained without the hypothesis of some well placed complicities … 
    Carlos Ruiz Miguel, Professor in Santiago de Compostela University, defined two very important embarrassing criteria for Morocco :
    1-Who profit of the terrorism in Algeria?
    2 – Why weapons coming from France and from Spain pass in transit by Morocco and are used in Algeria and not in Morocco?
  • Un sahraoui d’origine sera à la tête du Sénat marocain

    Vendredi 2 octobre. Elections des membres de la Chambre des Conseillers (Sénat). Bis repetita, gagnant : le PAM (Parti Authenticité et Modernité), dit parti du roi créé par Fouad Ali El Himma, un proche du roi. 
    Depuis sa création, la moindre parole de son nouveau chef, Mohamed Cheikh Biadillah, est retranscrite dans les dépêches et les organes de presse officielle du régime. De nombreux hommes et femmes politiques désertent leurs partis pour rejoindre ce nouveau-né qui, miracle, gagnera les élections communales de juin 2009. 
    Coup de théâtre : Chakib Benmoussa est accusé d’avoir émis une circulaire qui demande au wali et gouverneur d’annuler la participation aux élections de tous ceux qui ont changé de parti politique comme le stipule un article de loi. Le PAM réagit violemment et le ministre de l’intérieur est obligé de faire marche arrière. Et surtout avec une rapidité qu’on ne lui connaissait pas, la justice de Rabat et de Tanger ont annulé, en 48 heures, les décisions administratives relatives au rejet de la candidature de deux députés du parti aux élections communales.  
    Son président, Biadillah, pour s’assurer la présidence de la Chambre des Conseillers, s’est présenté comme candidat à la fois à Smara (Sahara Occidental) et à Guelmim. Pourtant, aucune des deux villes n’est son fief.
    Mais le pari est déjà gagné grâce au système du Makhzen : la fraude et la corruption. Déjà à Guelmim, ses pressions ont contraint certains candidats à ne pas se présenter pour libérer la voie au « candidat de sa majesté ». Leur carrière a été entravée par un supérieur hiérarchique tyrannique, qui use de son pouvoir pour faire écarter ses rivaux : C’est le lien étroit entre corruption et pouvoir.
    Le pouvoir a voulu que ce soit un sahraoui qui soit à la tête du Sénat marocain et ainsi sera. C’est au nom de l’intérêt général et de la « stabilité du pays » que personne n’agira pour dénoncer cette mascarade.
    Un personnage comme Biadillah, sans morale et élevé dans une ambiance de corruption n’a pas besoin d’agir, il lui suffit de fermer les yeux et de laisser faire. La corruption se chargera du reste. Dans un système corrompu, c’est le refus de corrompre qui devient un acte « anormal ». Un monde où il n’y a plus de place que pour de mauvaises nouvelles.
  • Un sahraoui d’origine sera à la tête du Sénat marocain

    Vendredi 2 octobre. Elections des membres de la Chambre des Conseillers (Sénat). Bis repetita, gagnant : le PAM (Parti Authenticité et Modernité), dit parti du roi créé par Fouad Ali El Himma, un proche du roi. 
    Depuis sa création, la moindre parole de son nouveau chef, Mohamed Cheikh Biadillah, est retranscrite dans les dépêches et les organes de presse officielle du régime. De nombreux hommes et femmes politiques désertent leurs partis pour rejoindre ce nouveau-né qui, miracle, gagnera les élections communales de juin 2009. 
    Coup de théâtre : Chakib Benmoussa est accusé d’avoir émis une circulaire qui demande au wali et gouverneur d’annuler la participation aux élections de tous ceux qui ont changé de parti politique comme le stipule un article de loi. Le PAM réagit violemment et le ministre de l’intérieur est obligé de faire marche arrière. Et surtout avec une rapidité qu’on ne lui connaissait pas, la justice de Rabat et de Tanger ont annulé, en 48 heures, les décisions administratives relatives au rejet de la candidature de deux députés du parti aux élections communales.  
    Son président, Biadillah, pour s’assurer la présidence de la Chambre des Conseillers, s’est présenté comme candidat à la fois à Smara (Sahara Occidental) et à Guelmim. Pourtant, aucune des deux villes n’est son fief.
    Mais le pari est déjà gagné grâce au système du Makhzen : la fraude et la corruption. Déjà à Guelmim, ses pressions ont contraint certains candidats à ne pas se présenter pour libérer la voie au « candidat de sa majesté ». Leur carrière a été entravée par un supérieur hiérarchique tyrannique, qui use de son pouvoir pour faire écarter ses rivaux : C’est le lien étroit entre corruption et pouvoir.
    Le pouvoir a voulu que ce soit un sahraoui qui soit à la tête du Sénat marocain et ainsi sera. C’est au nom de l’intérêt général et de la « stabilité du pays » que personne n’agira pour dénoncer cette mascarade.
    Un personnage comme Biadillah, sans morale et élevé dans une ambiance de corruption n’a pas besoin d’agir, il lui suffit de fermer les yeux et de laisser faire. La corruption se chargera du reste. Dans un système corrompu, c’est le refus de corrompre qui devient un acte « anormal ». Un monde où il n’y a plus de place que pour de mauvaises nouvelles.
  • L’anti-sémitisme de Mohamed VI

    Les médias occidentaux et marocains ne cessent d’afficher l’image d’un Maroc ouvert et tolérant envers les juifs, un exemple même pour les pays arabes et musulmans. Cependant, les contradictions caractérisent la politique du gouvernement marocain à ce sujet. 
    Le journal indépendant Akhbar Alyaoum vient de voir ses locaux fermés sans aucune décision de la justice sous prétexte d’avoir publié une caricature qui, selon le ministère de l’intérieur « met en relief un anti-sémitisme flagrant ». 
    Quelques jours avant, le ministre des affaires étrangères marocain, Taïeb Fassi-Fihri rencontrait le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor Liebermann à New York.une rencontre en cachette qui n’a été rapporté que par une radio israélienne. 
    D’un autre côté, le roi Mohamed VI renie deux membres juifs de sa famille. Un frère et une sœur, en l’occurrence. 
    Sa sœur israélienne Hedva Selaa, 53 ans, ancienne soldate de l´armée israélienne Tsahal, aujourd’hui réceptionniste dans un hôtel à Eilat, avait dévoilé dans un journal israélien en 2005 être la fille naturelle du feu roi Hassan II et soeur du roi acutel Mohamed VI. 
    Elle ne demande rien, et notamment pas d’argent. Son unique souhait, dit-elle, est de « rencontrer mon demi-frère, le roi Mohammed VI ». Pour tenter de donner suite à cette demande, le journal Yedioth Aharonot a, contacté Badreddine Radi, un fonctionnaire du Ministère de la Communication à Rabat. Après « 24 heures de réflexion », dit le quotidien israélien qui a publié la nouvelle, M. Radi a répondu que le Maroc « ne donnera aucune réponse officielle à ce récit ». 
    Le gouvernement marocain a-t-il peur d’afficher sa prétendue « tolérance » ou bien celle-ci n’est qu’une façade parmi les autres qui font partie de cette politique de prostitution politique envers les pays occidentaux? 
    Le roi du Maroc, pour assumer le rôle de médiateur entre le monde arabe et Israël, doit faire un premier pas : Reconnaître les membres de sa famille qui, depuis leur enfance, cherchent une reconnaissance de la part de leur famille, et souffrent du manque de cette reconnaissance. 
    Est-ce le titre de Commandeur des Croyants qui empêche cette reconnaissance? 
  • L’anti-sémitisme de Mohamed VI

    Les médias occidentaux et marocains ne cessent d’afficher l’image d’un Maroc ouvert et tolérant envers les juifs, un exemple même pour les pays arabes et musulmans. Cependant, les contradictions caractérisent la politique du gouvernement marocain à ce sujet. 
    Le journal indépendant Akhbar Alyaoum vient de voir ses locaux fermés sans aucune décision de la justice sous prétexte d’avoir publié une caricature qui, selon le ministère de l’intérieur « met en relief un anti-sémitisme flagrant ». 
    Quelques jours avant, le ministre des affaires étrangères marocain, Taïeb Fassi-Fihri rencontrait le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor Liebermann à New York.une rencontre en cachette qui n’a été rapporté que par une radio israélienne. 
    D’un autre côté, le roi Mohamed VI renie deux membres juifs de sa famille. Un frère et une sœur, en l’occurrence. 
    Sa sœur israélienne Hedva Selaa, 53 ans, ancienne soldate de l´armée israélienne Tsahal, aujourd’hui réceptionniste dans un hôtel à Eilat, avait dévoilé dans un journal israélien en 2005 être la fille naturelle du feu roi Hassan II et soeur du roi acutel Mohamed VI. 
    Elle ne demande rien, et notamment pas d’argent. Son unique souhait, dit-elle, est de « rencontrer mon demi-frère, le roi Mohammed VI ». Pour tenter de donner suite à cette demande, le journal Yedioth Aharonot a, contacté Badreddine Radi, un fonctionnaire du Ministère de la Communication à Rabat. Après « 24 heures de réflexion », dit le quotidien israélien qui a publié la nouvelle, M. Radi a répondu que le Maroc « ne donnera aucune réponse officielle à ce récit ». 
    Le gouvernement marocain a-t-il peur d’afficher sa prétendue « tolérance » ou bien celle-ci n’est qu’une façade parmi les autres qui font partie de cette politique de prostitution politique envers les pays occidentaux? 
    Le roi du Maroc, pour assumer le rôle de médiateur entre le monde arabe et Israël, doit faire un premier pas : Reconnaître les membres de sa famille qui, depuis leur enfance, cherchent une reconnaissance de la part de leur famille, et souffrent du manque de cette reconnaissance. 
    Est-ce le titre de Commandeur des Croyants qui empêche cette reconnaissance? 
  • Mohamed VI offre un palais au Capitaine Dadis Camara

    Le journal ACTU GUINEE sous le titre de « Kadhafi et Mohamed VI viennent au secours de la junte », a écrit, le 10 septembre 2009, que le roi Mohamed VI a proposé au Capitaine Dadis Camara de lui construire un palais. Camara a révélé cette proposition dans une interview avec les médias guinéens. Voici l’article 

    KHADAFI ET MOHAMED VI VIENNENT AU SECOURS FINANCIERS DE LA JUNTELa junte guinéenne est financée par le royaume chérifien et le Colonel Khadafi dit le Président Dadis à la RTG, et le roi serait prêt d’après lui, à construire un palais privé, mais il dit que « pour le moment c’est bon  » , il n’est pas encore intéressé par ce projet.

    Ils lui ont dit de ne pas toucher le budget de l’Etat, mais  le peuple doit savoir le moment venu d’où vient les fonds utilisés dans les Mamayas au soutien de sa candidature.
    Ils auraient même participé à l’appui en armement.
    Cette information répond à la question que certains se posent sur la destination de la fortune du souverian marocain, fortune qui commence à faire le débat un peu partout dans le monde. Le site canadien Kiosque Médias, pour sa part, en a fait l’écho. Voici son article.

    Comment les Canadiens aident un milliardaire

    septembre 6, 2009
    La revue Forbes nous apprend dans cet article que Mohammed VI, le roi du Maroc, est à la tête d’un joli pactole s’élevant à 2,5 milliards de dollars.
    Mais il a de grosses dépenses. Les 10,2 millions $ que les Canadiens envoient au Maroc chaque année via l’ACDI sont à peine l’équivalent des frais des palais royaux pendant un couple de semaines. On peut lire les détails dans cet hebdo marocain.
    Dans un reportage percutant d’Enquête concernant justement le Maroc et l’ACDI, Radio-Canada se demandait si le but de l’ACDI était de venir en aide aux plus démunis ou bien d’aider au développement d’entreprises canadiennes à l’étranger? On remarquera que l’ACDI a refusé de répondre aux questions des journalistes… 
    Source : Kiosque Médias 
  • Mohamed VI offre un palais au Capitaine Dadis Camara

    Le journal ACTU GUINEE sous le titre de « Kadhafi et Mohamed VI viennent au secours de la junte », a écrit, le 10 septembre 2009, que le roi Mohamed VI a proposé au Capitaine Dadis Camara de lui construire un palais. Camara a révélé cette proposition dans une interview avec les médias guinéens. Voici l’article 

    KHADAFI ET MOHAMED VI VIENNENT AU SECOURS FINANCIERS DE LA JUNTELa junte guinéenne est financée par le royaume chérifien et le Colonel Khadafi dit le Président Dadis à la RTG, et le roi serait prêt d’après lui, à construire un palais privé, mais il dit que « pour le moment c’est bon  » , il n’est pas encore intéressé par ce projet.

    Ils lui ont dit de ne pas toucher le budget de l’Etat, mais  le peuple doit savoir le moment venu d’où vient les fonds utilisés dans les Mamayas au soutien de sa candidature.
    Ils auraient même participé à l’appui en armement.
    Cette information répond à la question que certains se posent sur la destination de la fortune du souverian marocain, fortune qui commence à faire le débat un peu partout dans le monde. Le site canadien Kiosque Médias, pour sa part, en a fait l’écho. Voici son article.

    Comment les Canadiens aident un milliardaire

    septembre 6, 2009
    La revue Forbes nous apprend dans cet article que Mohammed VI, le roi du Maroc, est à la tête d’un joli pactole s’élevant à 2,5 milliards de dollars.
    Mais il a de grosses dépenses. Les 10,2 millions $ que les Canadiens envoient au Maroc chaque année via l’ACDI sont à peine l’équivalent des frais des palais royaux pendant un couple de semaines. On peut lire les détails dans cet hebdo marocain.
    Dans un reportage percutant d’Enquête concernant justement le Maroc et l’ACDI, Radio-Canada se demandait si le but de l’ACDI était de venir en aide aux plus démunis ou bien d’aider au développement d’entreprises canadiennes à l’étranger? On remarquera que l’ACDI a refusé de répondre aux questions des journalistes… 
    Source : Kiosque Médias