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  • III Conferencia Europea sobre la Información en el Sáhara Occidental

    La Asociación de Amistad con el Pueblo Saharaui de Sevilla, con el apoyo de la Coordinadora Estatal de Asociaciones Solidarias con el Sahara, CEAS-Sahara, organiza en Sevilla la III Conferencia Europea sobre la Información en el Sáhara Occidental los próximos 13, 14 y 15 de mayo de 2016.
    – PRECIO INSCRIPCIÓN: 60€ (incluye documentación y comida)
    – MODO DE PAGO: Transferencia a la cuenta de la Asociación de Sevilla 
    IBAN: ES61 2100 2592 2102 1010 0539
    Indicando en el concepto: “3ª Conferencia de Información Sevilla, nombre de la persona participante y nacionalidad.”
    – PROGRAMA Y FICHA INSCRIPCIÓN: ver en documentos adjuntos
    – DATOS DE CONTACTO: Asociación Amistad con Pueblo Saharaui (AAPSS)
    C/ Virgen de la Antigua nº 4, bajo – 41011 Sevilla 
    Tlf: +34 954282205 – Fax: +34 954282046 
    – ALOJAMIENTO: Las personas inscritas recibirán una relación de los hoteles más próximos con ofertas, precios y condiciones. También se gestionará el alojamiento en una Residencia Estudiantil o Albergue Juvenil, cuyo precio no superará los 30 €/persona, en habitaciones compartidas de 3 y 5 personas. Las habitaciones se asignarían a la llegada de participantes, formando grupos para compartir voluntariamente.
    Se eligió Sevilla como sede del evento, por ser una ciudad monumental y representativa de la mejor tradición arquitectónica hispano-árabe y constituir un marco histórico incomparable.
    Esta nueva Conferencia Europea de carácter Internacional sobre la Información en el Sahara Occidental, cuenta con la aprobación de la 40ª EUCOCO, celebrada en Madrid en 2015, y se justifica por la necesidad de discutir y adoptar acuerdos para fomentar el trabajo informativo sobre el Sahara Occidental, para contrarrestar la desinformación que desde siempre el gobierno de Marruecos ha creado como consecuencia de su invasión del territorio saharaui.
    Tras la ruptura marroquí con la ONU y el desplante al Secretario General Ban Ki-Moon, se ha creado la sombra de la tragedia sobre el Pueblo Saharaui y se ha producido un endurecimiento de la represión contra la población civil saharaui en los Territorios Ocupados del Sáhara Occidental.
    El movimiento Intencional de solidaridad con el Pueblo Saharaui, tiene entre sus objetivos difundir la situación de este noble pueblo para que se conozca y no se borre de la memoria colectiva su sufrimiento, en un momento crucial como es el actual, de Ni Guerra, ni Paz.
    La Conferencia Europea sobre la Información, debe analizar el último informe del Consejo de Seguridad de NNUU, publicado hace unos días y actuar en consecuencia.
    La actual situación nos obliga a adoptar acuerdos de cooperación, coordinación y dotarnos de las herramientas de información y comunicación necesarias, capaces de romper la desinformación que interesadamente imponen las grandes cadenas de comunicación públicas y privadas.
    Por tanto existe la necesidad de constituir un foro de debate internacional para hacer balance de los resultados alcanzados hasta la fecha y adoptar nuevos compromisos de coordinación y marcar próximos objetivos en base a la evolución del conflicto de ocupación marroquí del Sáhara Occidental.
    Los objetivos fundamentales de la Conferencia se centran en los siguientes puntos:
    – Hacer balance de los resultados obtenidos y logros alcanzados después de 40 años, desde el inicio de la invasión militar y política de Marruecos en el Sáhara Occidental. 
    – Constituir un foro de debate sobre la situación del Sáhara, que durante tres días consecutivos proponga métodos informativos para dar a conocer internacionalmente el drama del Pueblo Saharaui. 
    – Crear una plataforma informativa global con la participación de personas expertas en herramientas de comunicación, plataformas y redes sociales. 
    – Adoptar compromisos y objetivos para los próximos años o etapas a establecer, sobre el proceso de liberación del Sáhara Occidental.
  • Conférence sur l’occupation et le pillage du Sahara occidental

    Dans cette rencontre, on fera une analyse de la relation entre différents moments de l’occupation étrangère ( Espagne , Maroc) Sahara Occidental et le pillage de ses ressources naturelles et les formes de résistance du peuple sahraoui et les mouvements de solidarité dans le monde.
    La conférence fait partie du projet ‘Dans les sables’ de Saint-Sébastien 2016
    Centre Culturel Okendo
    Culture pour vivre ensemble
    Donostia/San Sebastián Capitale Européenne de la Culture 2016
    Easo kalea, 43 Donostia /San Sebastián 20006 Spain – info@dss2016.eu
  • Le Sénégal trahit l’Afrique pour servir les intérêts des toubabs et des nar-Fas

    Sous les ordres de ses maîtres français, le président Macky Sall a décidé de trahir la cause défendue par l’Union Africaine : le droit du Sahara Occidental à une décolonisation conforme aux paramètres de la légalité internationale.
    Alors que le continent noir a dépêché au Conseil de Sécurité son Envoyé Spécial pour le Sahara Occidental, l’ancien président mozambicain, Joachim Chissano, pour faire part de la position de l’Afrique sur ce contentieux quadragénaire, le Sénégal nage à contre-courant en se positionnant du côté du Maroc et contre le principe africain de l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme. 
    La France et le Sénégal, les seuls pays á défendre l’occupation du Sahara Occidental par le Maroc. La France, au nom de ses intérêts économiques et ses ambitions néocolonialistes. Le Sénégal, au nom de la servitude et l’esclavage dans le cadre des derniers vestiges de la Françafrique.
    Ainsi, Dakar a décidé de laisser tomber ses frères africains pour obéir les ordres des toubabs français et servir les nar-gannar marocains.
  • L’Union africaine neutralise l’alliance Maroc-France-Egypte-Sénégal contre le peuple sahraoui

    Le Conseil de sécurité des Nations unies a répondu favorablement à la demande de l’Union africaine, introduite via la mission angolaise auprès de l’ONU, de permettre à l’émissaire africain pour le Sahara Occidental, l’ex-président mozambicain Joachim Chissano, de présenter son rapport sur la situation dans ce pays colonisé par le Maroc. Le Makhzen est pris de panique. 
    Les tentatives des deux pays africains qui ont volé à son secours, l’Egypte et le Sénégal – sur ordre de l’Arabie Saoudite –, ainsi que la France, pour faire alliance avec lui contre le peuple sahraoui devant les instances onusiennes, se sont fracassées contre la position ferme de l’Union africaine attachée à la légalité internationale. 
    Malgré, donc, les manœuvres et l’opposition frontale de Paris, Dakar et Le Caire, l’envoyé spécial de la présidente de la Commission de l’Union africaine va rencontrer les membres du Conseil de sécurité de l’ONU ce 26 avril à 15 heures, pour leur présenter le point de vue de l’Organisation africaine, a appris Algeriepatriotique de sources proches du dossier. 
    L’émissaire africain pour le Sahara Occidental fera part à ses interlocuteurs, à New York, de l’exigence de l’Union africaine de faire annuler la décision du Maroc d’expulser les membres de la composante civile et politique de la Minurso et de rétablir la mission onusienne dans la plénitude de son mandat. L’Union africaine exprimera, à cette occasion, son attachement au droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, a-t-on encore appris auprès de nos sources. 
    Enfin, l’Union africaine exhortera les membres du Conseil de sécurité de l’ONU à protéger les ressources naturelles sahraouies spoliées par l’occupant marocain. Pour rappel, le Maroc et la France avaient réussi, l’année dernière, à saborder la rencontre de Joachim Chissano avec les membres du Conseil de sécurité. 
    Le Makhzen tremble à l’idée que l’Union africaine fasse entendre sa voix à l’ONU. Comptant sur l’aide des monarchies du Golfe, le Makhzen a tenté de faire pression sur les deux pays à sa solde, le Sénégal et l’Egypte, pour affaiblir et contrebalancer la position africaine. Il s’est également arc-bouté sur la France dont il est une sorte de protectorat. 
    Les Français considérant ce pays, en effet, comme une sorte de département d’outre-mer. Toutes les gesticulations de Rabat et tous les soutiens financiers, diplomatiques et politiques dont il bénéficie se brisent lamentablement contre la volonté stoïque du peuple sahraoui à recouvrer son indépendance et à l’éveil de la communauté internationale agacée par le comportement puéril de la monarchie marocaine et de ses serviteurs zélés.
    L’indépendance du Sahara Occidental est définitivement en marche. 
    Karim Bouali
  • Sahara Occidental : le Conseil de sécurité appelé à assumer ses responsabilités

    La commission de l’Union africaine (UA) des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) a appelé les Nations unies à « fixer une date pour la tenue du référendum d’autodétermination du peuple du Sahara occidental », territoire sous colonisation marocaine, et à exhorter aussi l’institution onusienne à « trouver une réponse appropriée » aux questions liées au respect des droits de l’Homme et à l’exploitation illégale des ressources naturelles du peuple sahraoui. L’appel de la commission de l’UA s’inscrit en droite ligne avec la Légalité internationale, pour une question de décolonisation inscrite à l’ONU et « conforme » notent les membres de la CADHP, à la décision de la conférence de l’UA de juin dernier.
    Dans sa résolution adoptée à l’issue des travaux de sa 58ème session ordinaire, à Banjul, la CADHP exhorte le Conseil de sécurité de l’Onu à « renforcer » le mandat de la mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui arrive à terme fin avril courant, «en y incluant la surveillance des droits de l’Homme» est-il souligné, dans le communiqué de la CADHP. à l’adresse du Conseil de paix et de sécurité de l’UA (CPS/UA) et à la présidente de l’UA, les membres de la commission appellent ces derniers à continuer le suivi » de l’évolution de la question du Sahara-occidental et « la présentation » d’un rapport sur la situation des droits de l’Homme. Annonçant par la même occasion, qu’elle compte entreprendre une mission au Sahara occidental, conformément à la décision du CPS de l’UA, adoptée le 6 avril 2016 en Ethiopie, la CADHP lance un appel aux organisations internationales, citant l’union européenne,(UE), la Banque Mondiale (BM) et d’autres acteurs, « à ne pas soutenir, ni reconnaître les accords de commerce ou d’investissements avec le Maroc, incluant les territoires sahraouis » car «en opposition» au Droit international et aux droits du peuple du Sahara occidental. Succédant à l’appel précité de la CADHP, l’organisation internationale dont la crédibilité est incontestable à travers le monde, Western Sahara Ressource Watch (WSRW), en l’occurrence, a dans son récent rapport, responsabilisé les sociétés et les firmes étrangères, notamment celles activant dans le secteur de l’énergie, des « souffrances » du peuple sahraoui, au même degré, de celle des autorités coloniales marocaines au Sahara Occidental. Pour la présidente de WSRW, Joanna Allan, à l’origine de l’étude en question, ces entreprises du secteur énergétique outre qu’elle «risquent de donner (…) un financement important à l’occupation marocaine » mais aussi, de « créer simultanément, d’autres obstacles au processus de paix de l’ONU» ne manquant pas de relever plus loin « l’illégalité de toute exploitation des richesses du peuple sahraoui». Le document de WSRW, dont la presse britannique, a repris de larges extraits, met en évidence des données et des chiffres outre sur les pratiques coloniales dans les territoires sahraouis encore sous occupation marocaine, notamment sur les violations par Rabat des droits politico-socio-économiques du peuple sahraoui. à titre d’exemple, pour le secteur de la pêche au large des côtes du Sahara occidental, cette activité illégale se fait selon l’étude de Joanna Allan « par des chalutiers appartenant à des Marocains » et à la ville sahraouie occupée, Dakhla, « la pêche est la principale industrie et seulement 5% des travailleurs sont des Sahraouis» indique le rapport.
    Appels à faire valoir la force du Droit
    Refusant des années durant, depuis le cessez le feu, en 1991, sous les auspices de l’Onu, entre le Front Polisario et l’occupant marocain, en prévision de l’organisation du référendum au Sahara occidental, Rabat, n’a cessé de tergiverser et de manœuvrer pour faire valoir la realpolitik sur la doctrine et la charte de l’ONU, s’agissant d’une question de décolonisation inscrite sur le registre onusien, depuis 1966. Une posture adoptée par Rabat, dans son occupation au Sahara occidental, qui s’est révélée, au grand jour, notamment depuis ces derniers mois, similaire à celle de la colonisation de l’Entité sioniste, bafouant d’une manière récurrente la légalité internationale, ce qui lui a valu d’être classée au rang de hors de la Loi sur la scène mondiale. Après s’être opposer à la visite précitée du SG de l’ONU, les autorités coloniales marocaines se sont érigées contre la communauté internationale, en s’attaquant, en premier lieu, à son premier représentant, Ban-Ki moon, puis en violant la résolution 690-Minurso, du Conseil de sécurité, par l’expulsion de son personnel en charge du segment politique du mandat de cette mission au Sahara occidental, et par conséquent, une violation de l’Assemblée générale de l’ONU et de son IV commission en charge des questions politiques et de décolonisation. Ce qui a été à l’origine de l’expression outre des inquiétudes de bon nombre d’institutions, d’organismes, de parlements, d’ONgs et d’associations, sur les plans, régionale, continentales et internationale, mais aussi des appels au Conseil de sécurité, l’exhortant de rappeler à l’ordre, fermement Rabat », lors de sa réunion, qui se tiendra , mardi ou mercredi, sur le Sahara occidental, sur la base du rapport qui lui a été remis par Ban-Ki moon sur le conflit sahraoui marocain. Rapport, qui faut-il le noter, à rappeler, pertinemment, que la primauté du droit international pour le règlement de ce conflit est la base fondamentale et incontournable, car elle consacre le droit d’autodétermination du peuple sahraoui, en application de la Légalité international. Ce qui est souligné, dans les appels à l’adresse du Conseil de sécurité, outre par l’UA, mais aussi par le parlement européen, les pays d’Amérique Latine, ainsi que d’Ongs, organismes et associations à travers le monde. Sans compter les avertissements émis par les responsables du Front Polisario, quant aux conséquences de la posture adoptée par Rabat, laquelle, précise ses responsables, dont le secrétaire général, Mohamed Abdelaziz « est une déclaration de guerre contre le peuple sahraoui». Parmi les voix précitées qui se sont élevées, exigeant au Conseil de sécurité d’assumer pleinement ses responsabilités, en matière de paix et de sécurité, le collectif des journalistes algériens solidaires avec le peuple sahraoui (CJASPS). Dans un communiqué, ses membres « dénoncent énergiquement les pratiques coloniales du Maroc au Sahara occidental» comme « nous condamnons ses dernières tentatives visant, non seulement à bloquer la poursuite du processus de règlement de ce conflit, en conformité avec la légalité internationale, mais également à discréditer les Nations unies», soulignent-ils. Indiquant, par ailleurs, que « nous nous élevons contre la position des pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), ces monarchies, qui, pour couvrir les dérapages répréhensibles du royaume chérifien » précisent le collectif «attisent les tensions, en s’alignant sur les thèses de la colonisation marocaine» notamment, précise-t-on « par leur ( CCG :ndlr) soutien à la proposition d’autonomie, sans aucune considération à la raison d’être de l’ONU, ni à la responsabilité du Conseil de sécurité dans ses missions de paix et de sécurité dans le monde » notent-ils. Le collectif lance «un appel urgent » aux membres du Conseil de sécurité en leur demandant, poursuit-il «d’assumer leur responsabilité » outre à sanctionner Rabat, «pour non-respect de ses engagements envers la communauté internationale et envers le peuple du Sahara occidental ». Les membres du collectif « interpellent » le Conseil de sécurité, en prévision de sa réunion sur le Sahara occidental à « réhabiliter la pleine mission de la Minurso, par le retour de son personnel dans les territoires sahraouis occupés » et notamment par «l’élargissement du mandat (Minurso :ndlr) à la surveillance des droits de l’homme » précise-t-on.
    Karima Bennour
  • Convocatoria rueda de prensa ENVIADO ESPECIAL DEL FRENTE POLISARIO

    El ministro saharaui Bachir Mustafa Sayed expondrá las graves consecuencias de la expulsión de personal de la Misión de las Naciones Unidas en el Sáhara Occidental por parte de Marruecos 
    Bachir Mustafa Sayed, ministro Consejero de la Presidencia de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) y enviado especial del presidente Mohamed Abdelaziz, comparecerá ante los medios de comunicación mañana, 26 de abril, a las 11 horas, en el Centro Internacional de Prensa.
    Miembro del Secretariado Nacional del Frente POLISARIO, Bachir Mustafa Sayed se ha reunido en Madrid con las principales fuerzas políticas, a las que ha expuesto la situación límite que ha provocado Marruecos con la expulsión de personal de la Misión de las Naciones Unidas para el referéndum del Sáhara Occidental (MINURSO) y la postura del Movimiento de Liberación Saharaui sobre el informe que el secretario general de la ONU, Ban Ki-moon, ha presentado al Consejo de Seguridad.
    También ha denunciado la intensificación de la represión contra la población saharaui en los territorios ocupados por Marruecos, donde un dirigente sindical falleció días pasados a consecuencia de las torturas recibidas. 
    El enviado especial del presidente saharaui ha estado en Francia, que con su derecho de veto en el Consejo de Seguridad es el principal aliado de Marruecos, y tiene previsto viajar al Reino Unido.
    Bachir Mustapha Sayed, negociador con Marruecos y la ONU en los años ochenta, en plena guerra, y exministro de Asuntos Exteriores, estará acompañado por la Delegada del Frente POLISARIO para España, Jira Bulahi Bad.
    RP: 26 de abril, a las 11.00 horas
    Centro Internacional de Prensa
    C/ María de Molina, 50 – 2ª planta
  • Communiqué du Collectif des Journalistes Algériens Solidaires avec le Peuple Sahraoui

    Le Collectif des Journalistes Algériens Solidaires avec le Peuple Sahraoui (CJASPS), conscient de l’impasse dans laquelle se trouve actuellement le processus de négociations maroco-sahraoui, rendu possible par l’obstination du Maroc et le renoncement de ses engagements internationaux, constate que l’occupant marocain veut profiter de la conjoncture régionale difficile pour imposer le fait accompli colonial, dans le « territoire non autonome » du Sahara occidental.
    Nous prenons note des préoccupations exprimées par le Secrétaire Général des Nations unies, ainsi que de ses recommandations faites, dans son dernier rapport d’avril 2016 sur la situation au Sahara occidental, qu’il a transmis récemment au Conseil de sécurité. Nul ne peut nier, à présent, que le Maroc, cité nommément dans ledit rapport, est la seule partie qui bloque le processus de règlement de la question de l’ancienne colonie espagnole, en foulant le droit international et en violant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance. 
    Depuis au moins 2007, le Maroc a considéré unilatéralement « son plan d’autonomie comme seule base pour les négociations », comme l’a souligné M. Ban Ki-Moon dans le rapport, une proposition en opposition avec le Droit international, pour empêcher la recherche d’une solution pacifique, « mutuellement acceptable qui permet l’autodétermination du peuple du Sahara occidental ». Ces dernières années, les territoires du Sahara occidental sous occupation marocaine ont connu une dégradation inquiétante des droits de l’homme (assassinats, arrestations, tortures, procès irréguliers…) et un pillage à grande échelle des ressources naturelles : des rapports des ONG et de Parlementaires en font d’ailleurs état. 
    Mais, dans la même période, il y a eu notamment les manifestations de Gdeïm Izik (2009) en faveur des droits nationaux sahraouis, les actions de protestation et les grèves de la faim des militants sahraouis des droits de l’homme, dont Aminatou Haidar, ainsi que celles entamées par les familles de jeunes sahraouis morts sous la torture des bourreaux marocains. Récemment, il y a eu également l’annulation, le 10 décembre 2015, de l’accord agricole entre le Maroc et l’Union européenne (UE), par le tribunal de l’UE qui, comme la Cour internationale de justice (de la Haye), l’ONU et l’Union africaine (UA), considère que le Maroc n’a aucune souveraineté sur le Sahara occidental et que le Front Polisario est le seul représentant du peuple sahraoui. Ces événements ont contribué largement à mettre à nu le système colonial marocain. 
    Pris au piège, celui-ci a agi en hors-la-loi et s’est attaqué, de façon unilatérale, à la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), défiant le Conseil de sécurité qui, conformément au plan de règlement accepté par les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario (ayant abouti au cessez-le-feu et à la création de la MINURSO), avait créé la MINURSO, par résolution 690 du 29 avril 1991, pour le contrôle du cessez-le-feu et l’organisation d’un référendum d’autodétermination dans la dernière colonie en Afrique. 
    La décision marocaine d’expulser 84 fonctionnaires internationaux composant le segment politique de la MINURSO, ajoutée à celle du refus de permettre au Secrétaire Général des Nations unies d’accomplir pleinement sa mission, en se rendant à Rabat et dans la capitale occupée du Sahara occidental, El-Ayoun, auraient de graves conséquences sur la stabilité de la région, et constitueraient un grave précédent pour les opérations de maintien de la paix de l’ONU dans le monde. Et ce, sans écarter le risque de reprise de la lutte armée du peuple sahraoui, comme l’ont signifié les responsables du Front Polisario, à leur tête son Secrétaire Général, Mohamed Abdelaziz, si le Conseil de sécurité n’assume pas ses engagements et ses responsabilités.
    Nous, membres du CJASPS, dénonçons énergiquement les pratiques coloniales du Maroc au Sahara occidental, comme nous condamnons ses dernières tentatives visant, non seulement à bloquer la poursuite du processus de règlement de ce conflit, en conformité avec la légalité internationale, mais également à discréditer les Nations unies, son Secrétaire Général, son Conseil de sécurité, son Assemblée générale et sa IVème Commission chargée de la décolonisation, compris. 
    Par ailleurs, nous nous élevons contre la position des pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), ces monarchies du Golfe qui, pour couvrir les dérapages répréhensibles du royaume chérifien, attisent les tensions en s’alignant sur les thèses de la colonisation marocaine, notamment par leur soutien à la proposition d’autonomie. Sans aucune considération à la raison d’être de l’ONU ni à la responsabilité du Conseil de sécurité dans ses missions de paix et de sécurité dans le monde. 
    Nous doutons fort que le Conseil de sécurité participera à ce genre de coup de force, destiné à déposséder le peuple sahraoui de son droit légitime à l’autodétermination, mais aussi à affaiblir l’ONU. 
    Aussi, nous lançons un appel urgent aux membres du Conseil de sécurité en leur demandant d’assumer leur responsabilité, en étant ferme à l’endroit de l’occupant marocain : exiger de ce dernier de s’expliquer sur ses graves décisions et le sanctionner pour non-respect de ses engagements envers la communauté internationale et envers le peuple du Sahara occidental. Nous interpellons en outre le Conseil de sécurité sur la réhabilitation de la pleine mission de la MINURSO, pour le retour de son personnel dans les territoires sahraouis occupés, et sur l’élargissement du mandat de cette MINURSO à la surveillance des droits de l’homme, afin que cessent les violations aux droits humains perpétrées par les autorités coloniales marocaines, ainsi que l’exploitation illicite des richesses naturelles du Sahara occidental. 
    La question sahraouie est inscrite depuis 1963 aux Nations unies au chapitre de la décolonisation. La recherche d’une solution juste, équitable et durable, passe forcément par la tenue d’un référendum d’autodétermination libre du peuple sahraoui, sous contrôle de l’ONU. Dans ce cadre, nous appelons le Conseil de sécurité à soutenir l’appel de M. Ban Ki-Moon à l’exercice du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, dans les meilleurs délais.
    Alger, le dimanche 24/04/2016
  • El Secretario General de la ONU visitó el Norte de Africa

    Ban Ki- Moon, Secretario General de la Organización de las Naciones Unidas, realizó una visita al norte de África y ha puesto la mirada del mundo en el estancamiento del Plan de Paz que tiene la organización que lidera desde hace un cuarto de siglo, en el conflicto del Sahara Occidental.
    El gobierno de Marruecos ha acusado al dirigente de la ONU de faltar a la neutralidad y objetividad. Ban Ki- Moon también visitó Argel, Mauritania y Burkina Faso. Este último Estado con el objetivo de profundizar sus gestiones para lograr desbloquear el conflicto, ya que no se le conoce al gobierno de este país ningún papel en la cuestión más que el de ser uno de los pocos del continente africano con los que la monarquía Alavita que gobierna Marruecos mantiene excelentes relaciones diplomáticas.
    Esto tras su no integración a la Unión Africana, justamente por la razón que a ese organismo ingresó la República Árabe Saharahui Democrática que fuera proclamada por el independentista Frente Polisario. La Organización de las Naciones Unidas, dio a conocer la inclusión de Burkina Faso en la gira de Ban Ki- Moon debido a la prioridad que tiene para el organismo mundial, garantizar la paz y seguridad neutralizando la terrible amenaza islamista en todo el entorno sahariano- saheliano.
    Razón por la que tiene gran sentido la escala que realizara el Secretario General en Burkina Faso, este país tiene un rol importante en la lucha contra el terrorismo yihadista en el Sahel, que ha golpeado este país múltiplos en múltiples ocasiones y de manera especial, en el contexto de la misión de las Naciones Unidas para Mali (MINUSMA).
    Un elemento clave a lograr en la región es el control total de Libia, donde debe ser contenido el avance del Estado islámico (EI), para que éste no extienda sus dominios en la región y lograr evitar la unión de fuerzas con Boko Haram en el norte de Nigeria. Tema que también fue tratado por el Secretario General de la ONU en su reunión con el Presidente Mohamed Abdelaziz en los cuarteles del Frente Polisario en Rabuni, sede del Gobierno Saharahui.
    De ahí que Ban Ki- Monn señalara al Movimiento Saharahui, como un posible aliado en esta lucha y no como sospechoso de dar apoyo al Ejército Islámico (EI), acusación que en reiteradas ocasiones realizara el Gobierno marroquí. La preocupación del Secretario General de la ONU ante el terrorismo yihadista en esta región del norte de África se presenta en un momento que Argelia teme una avalancha de militantes del Ejército Islámico a través de sus fronteras con Libia.
    Además esta necesidad de buscar un acuerdo con los principios de la ONU para el pueblo Saharahui es la estrategia a seguir para acabar con esta amenaza. Ban Ki- Moon ha puesto en el tablero internacional esa idea en la que lleva insistiendo desde hace mucho tiempo que la frustración que suscita entre los saharahuies el estancamiento de 25 años del Plan de Paz podría acabar encendiendo un nuevo foco de inestabilidad ya presente tras bambalinas, en la volátil situación del entorno sahariano- saheliano.
    Si bien el vehículo que trasladaba al Secretario General de la ONU en el lado Polisario del Sahara Occidental fue apedreado por jóvenes saharahuies y éste se vio obligado a suspender un evento, Ban Ki Moon externo posteriormente ante la prensa mundial la necesidad de comprender la reacción de los jóvenes que expresaron su sentimiento de cólera ante el olvido del mundo de su penosa situación
    Recordemos que Koffi Annan que fue el 7º Secretario General de la ONU entre 1997 y 2006, llegó a decir a finales de su mandato que el conflicto del Sahara tenía una muy difícil solución y parece ser que le acertó.
    ¡Hasta el próximo análisis…! Lic. Washington Daniel Gorosito Pérez 
  • El Aaiún: misión de paz…

    Francisco Javier Burón
    Hace apenas dos semanas, escribí un artículo sobre el Sáhara Occidental, antigua colonia española, que España ‘abandonó’ a su suerte en 1975, ya que dicho territorio fue ‘ocupado’ por Marruecos, ‘invadido’ en toda la extensión de la palabra de forma ‘ilegal’…, adjetivos éstos que ‘molestan’ al rey moro, pero que hablan sobre la realidad de unos ‘hechos’ que ya forman parte de la Historia tal como los estoy narrando.
    Fue un año ‘fatídico’ ya que los españoles tuvimos que salir de El Aaiún, capital de ese ‘nuestro’ Sáhara, en el que vivimos, ‘convivimos’ con los saharauis durante tanto tiempo; el que esto firma, durante 15 años: desde los 3 hasta los 18…, quizá, los años más ‘entrañables’ en la vida de una persona ya que es el período que abarca desde la infancia hasta la juventud. ¡Los guardo en un lugar privilegiado dentro de mi corazón…!
    Vuelvo con otro artículo sobre el Sáhara, pues los acontecimientos se ‘arremolinan’ en torno a El Aaiún, donde he podido leer que se ha levantado un ‘muro’ (nada que ver con el ‘Muro de la Vergüenza’, en la frontera con Marruecos donde murieron miles de ‘inocentes’…) de 4 kilómetros de largo, con una altura de 1’70 y unos 2 metros de ancho, para ‘ahuyentar’ las posibles ‘incursiones’ de los saharauis cuando éstos, después de esas cuatro décadas, lo único que esperan es que la ‘voluntad’ de Alá les proteja y les deje conseguir un trozo de tierra para seguir esa vida que llevan en la sangre: el ‘nomadeo’… aunque después de haber descubierto junto a los españoles el ‘progreso’, la civilización y demás, les resultaría, tal vez algo engorroso el tener que retroceder a su antigua forma de vida, con sus cabras, camellos, y sus jaimas en mitad del desierto, ese ‘desierto abrasador’ que te hace padecer enfermedades y tener que soportar los tan consabidos ‘sirocos’ que azotan esa zona del Sáhara Occidental.
    Las fuentes de información más seguras no tienen muy claro el futuro por el que atraviesa el pueblo saharaui que, a corto plazo, parece que corren ‘vientos’ y no son precisamente ‘bonancibles’ de una ‘tormenta de arena’ (sin más), sino que hablan de una ‘vuelta a las armas’… una situación que sería casi el final de una ‘contienda’, la del pueblo saharaui, que no es la que sus habitantes esperan desde hace más de 40 años.
    Su ‘paciencia’ por supuesto, tiene un límite. Pero por su comportamiento ‘pacífico’, merece un mayor ‘respeto’ este pueblo, por parte de las instituciones internacionales, de sus ‘Derechos Humanos’, que se les niegan cada vez con mayor ‘crueldad’, empezando por la ONU y continuando por los países interesados en el conflicto de la autodeterminación del pueblo saharaui, ya que el Sáhara Occidental es ‘poseedor’ no solo de la ‘soberanía’ de ese territorio tan ‘inhóspito’ y ‘desolado’, sino de una riqueza como son los ‘fosfatos’ y un litoral cuyo caladero de pesca es uno de los más importantes del mundo. El Frente Polisario ya está cansado de ‘bendiciones’ que son verdaderas ‘cortinas de humo’ que van ‘minando’ su resistencia y se están viendo ‘abocados’ a tener que tomar una decisión tan ‘drástica’ como el plantearse la vuelta a otra ‘reyerta’, aún más ‘contundente’ que la anterior y con la cual no se resolvería nada, tan solo habría más ‘víctimas’ que no tienen culpa alguna en esta ‘contienda’…
    Por otro lado el Frente Polisario pone a punto sus regiones militares ante el riesgo de que se rompa la paz. La incertidumbre de lo que sucederá a finales de este mes en la Asamblea de Descolonización de las Naciones Unidas, en la que se decidirá la renovación del mandato de la Minurso y la continuidad del Plan de Paz, acordado el 6 de septiembre de 1991, lleva a los saharauis a tener su ejército preparado para lo que pueda suceder en una situación de alto riesgo debido a que Marruecos ha rechazado la opción del referéndum al expulsar el contingente civil de los cascos azules, encargados de realizar el censo y la puesto en marcha del referéndum que, es la base del acuerdo de paz firmado para « el alto el fuego ».
    Es inevitable que la misión de la Naciones Unidas, que de renovarse se tenga que redefinir y de no ser así se abrirá la veda a retomar la lucha armada, lucha para la que el monarca marroquí ha iniciado su campaña de recabar apoyos militares como muestra su discurso emitido en directo por la televisión marroquí ayer (20/04/2016) en Riad, en el que pedía apoyo de las monarquías del Golfo en la cuestión del Sáhara Occidental afirmando que estaba en juego la estabilidad monárquica y alertando de un complot en contra de las monarquías árabes.
    Entresaco un texto en el que se ‘explica’ de manera exhaustiva la ‘construcción’ del muro del que antes hablé (escrito público): Del 17 de marzo al 13 de abril, una empresa marroquí vasalla de las autoridades de ocupación ha construido un muro de 4 km. de largo en El Aaiún, rodeando el barrio periférico del ‘25 de Marzo’, al este de El Aaiún, desde una distancia de 500 m. Según informaciones recogidas por Équipe Média, este tramo es el primero de un muro destinado a rodear toda la ciudad, que sería de 20 a 25 km. de perímetro. El muro, de 1,70 m. de alto y 2 metros de ancho, va de la banda del Oued Essaguia hasta el punto de control situado en la carretera entre El Aaiún y Smara ocupadas.
    Ha sido construido con arena y rocas por la sociedad Omar Sbayou, que ha movilizado para las obras a 60 obreros, 4 bulldozers ‘Poclain’ y 6 camiones. El responsable, Omar Sbayou, es un antiguo elemento del ejército marroquí encargado de las detenciones de civiles saharauis, convertido en un hombre de negocios muy rico en el Sahara Occidental. Sus obreros son colonos marroquíes. Las tierras por las que pasa el muro pertenecen a la comuna. Las autoridades de ocupación han decidido construir el muro sin ninguna consulta al pueblo saharaui, propietario legítimo de la tierra. Ninguna valla o cartel informa al público de la Wilaya, de la misma manera que los medios autorizados por el colonizador tampoco informan. Manteniéndose en el anonimato, algunos periodistas saharauis reconocidos por las autoridades de ocupación han admitido disponer de la información, pero con la prohibición de la Wilaya de difundirla.
    El muro tiene consecuencias sobre la libre circulación de los ciudadanos saharauis y sujetos marroquíes, pero sobre todo va a obstaculizar el paso de las familias de beduinos saharauis con sus rebaños. Es un muro similar al que el ejército marroquí construyó alrededor del campo de protesta de Gdeim Izik en 2010, para poder controlar a los veinte mil saharauis desplazados hasta allí en señal de protesta contra sus condiciones de vida tan mediocres. En 1975 y en los siguientes años tras la invasión y la ocupación militar de una parte del Sahara Occidental, Marruecos construyó muros alrededor de todas las ciudades ocupadas para impedir a los ciudadanos saharauis que huyeran hacia los campos de refugiados, y también para proteger a sus colonos y los intereses de estos dentro de las ciudades.
    Estos muros no habían sido objeto de ningún mantenimiento tras la construcción de casas en barrios periféricos por colonos marroquíes, y fueron destruidos paulatinamente por el viento. El muro actual, construido en un especial contexto internacional, levanta inquietud entre numerosos saharauis. Tras la anulación por la Corte Europea de Justicia, en diciembre de 2015, del Acuerdo agrícola de libre cambio UE-Marruecos por ser de aplicación en las zonas ocupadas, y la ruptura de relaciones diplomáticas entre estos dos protagonistas, más la visita del Secretario General de la ONU a los campamentos con la consecuencia de la expulsión por Marruecos de los agentes de la Naciones Unidas para el mantenimiento de la paz en el territorio ocupado, el aislamiento de la región permite temer la multiplicación de la violencia en un espacio hermético.
    Los Derechos Humanos del pueblo saharaui son violados a diario en los territorios ocupados por Marruecos. Naciones Unidas lo consiente y apoya al ocupante a pesar de los informes del Secretario General del Consejo de Seguridad. Con esta conducta el norte de África corre serios riesgos de desestabilización al menospreciar a un pueblo que ha aprendido a no tener prisa, ya que su mayor virtud es la ‘paciencia’. Pero como comenté anteriormente, ésta tiene un ¡basta ya! que no podemos olvidar, ya que los saharauis pueden ser ‘fuertes’, ‘sufridores’, pero saben que la espera tiene su parte contraria que es la ‘desesperación’ y, yo diría, que el Frente Polisario al frente de la República Árabe Saharaui Unida están al borde de la ‘crispación’ viendo cómo Naciones Unidas está ‘trabajando’ en el caso del Sáhara Occidental pero que no tiene la ‘fuerza’ que debiera ya que otros países afines a Marruecos, al parecer, ‘influyen’ más en las decisiones a adoptar por Naciones Unidas que el propio asunto en sí, como es el ‘Referéndum de autodeterminación’ del pueblo saharaui.
    El pasado 16 de abril se celebró en Madrid, un acto reivindicativo en ‘favor de los presos políticos’ saharauis (en estas últimas fechas, ha fallecido algún preso en ‘huelga de hambre’ por tal motivo) pidiendo su ‘liberación’. Cientos de personas se congregaron en los alrededores de la Plaza Mayor, en las cercanías del Arco de Cuchilleros (el Madrid de los ‘Austrias’), teniendo que soportar la lluvia, el frío y las circunstancias adversas de este tipo de eventos, pero que ‘subsanaron’ con sus ganas de ‘alentar’ a sus hermanos saharauis en este proceso de ‘injusticia’ que Marruecos lleva cometiendo desde más de 40 años, desde que ‘invadió’, ‘ocupó’, reitero, los adjetivos que sé que ‘joroban’ muy mucho a Mohamed VI que dice que ‘no ha roto un plato’… Su ‘egolatría’, le lleva a tal grado de ‘hipocresía’ que niega cualquier afirmación que se haga en cuanto a la Minurso que pretende ‘expulsar’ de El Aaiún.
    Ya está en marcha el programa ‘Vacaciones en Paz’ que, todos los años, desde hace muchos, se viene realizando a nivel peninsular e insular. Como los hechos no ‘pintan’ demasiado favorables a una ‘paz’ en El Aaiún y demás lugares ‘invadidos’, este año será algo ‘particular’ en cuanto a la ‘acogida’ de pequeños saharauis, ‘guayetes’, que saldrán de los territorios ocupados de Tinduf y otros sitios del Sáhara Occidental y pasarán un par de meses fuera de la ‘presión’ a la que están sometidos y con la falta de ‘libertad’ para campar a sus anchas por las costas españolas, y el magnífico litoral canario, el más cercano que tienen estas criaturas y que sus familiares, muchos de ellos, están afincados en nuestras islas desde hace años. La ‘solidaridad’ con todos estos chiquillos/as le proporcionará, un año más, una alegría tal que algunos ya han querido ser ‘adoptados’ por las familias de acogida.
    Para concluir este artículo sobre El Aaiún, comentar que la fotografía que se puede contemplar es el rostro de un ‘anciano saharaui’ que es la ‘historia viva’ de ese Sáhara Occidental que, una vez, fue español, y que, ahora, atraviesa por unos momentos ‘prebélicos’ que he podido contrastar y que tan solo son cual ‘espejismo’ que se divisa en el horizonte de ese grandioso desierto, cuyos atardeceres hacen ‘soñar’ con un bellísimo ‘oasis’ donde reine la ‘paz’ y se pueda disfrutar de esa ‘libertad’ que añora el saharaui desde que España lo ‘entregó’ a un reino tan ‘traicionero’ como el ‘marroquí que vendería su alma al mismísimo ‘diablo’…
    Una fotografía de Lucas Blanco que ha sido expuesta en público por la ‘autenticidad’ de unos ‘rasgos’ más que identificadores con el habitante del Sáhara Occidental, el saharaui que ha vivido muchos años, que conoce la ‘historia’ de su pueblo y en su cara se ‘dibujan’ las arrugas de todas las vivencias que la vida le ha ofrecido. Toda una imagen cuyas ‘facciones’ son el reflejo de un hombre, ‘saharaui’, que puede relatar en primera persona todo lo acontecido en El Aaiún, capital del Sáhara Occidental durante tantos años, y cuya mirada nos otorga la serenidad del ‘nómada’ que descansa tranquilo, sentado y cruzado de piernas, con su ‘darrah’, su turbante… a la espera de tomar ese vaso de ‘té con ‘pinchos morunos’…
    PD.: ‘Wilaya’ significa en ‘hassanía’: provincia, se refiere a las que existen en el Sáhara Occidental como El Aaiún, Smara, Villa Cisneros…
    Francisco Javier Burón Monís es ciudadano de Telde.
  • Le Maroc, seul contre tous

    La formule « le Maroc accueille avec satisfaction… » semble avoir été éludée par les autorités marocaines pour s’exprimer sur le contenu du rapport que le Secrétaire Général de l’ONU sur le Sahara Occidental vient de soumettre au Conseil de Sécurité.
    En effet, le Représentant Permanent du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, s’est contenté de dire que son pays « prend note » du rapport et se réserve le droit d’y revenir. Il faut comprendre que Rabat attend de voir la décision du Conseil de Sécurité et la suite qu’il va donner aux remarques et recommandations du diplomate nord-coréen. Il ests clair que le Maroc compte poursuivre son programme d’outrage contre la personne de Ban Ki-moon si la résolution du Conseil de Sécurité n’est pas de son goût. L’essentiel pour les responsables marocains c’est de gagner du temps jusqu’au 31 décembre 2016, date de la fin du mandat de Ki-moon.
    Aux nombreux revers essuyés par le Maroc s’ajoute la décision du Conseil de Sécurité d’accepter l’intervention de l’Envoyé Spécial de l’Union Africaine pour le Sahara Occidental qui exprimera la position de l’Afrique sur ce contentieux qui dure depuis plus de 40 ans. Ce sont ces revers qui ont poussé le Maroc à forcer un sommet extraordinaire avec les monarchies du Golfe. Dans une tentative déséspéré de prouver aux marocains que leur pays n’est pas seul dans son aventure contre la communauté internationale.