Catégorie : Uncategorized

  • Le chef de l’Etat reçoit les condoléances de l’Assemblée nationale au Nicaragua suite à la mort de Mahfoudh Ali Beiba


    Managua, 08/07/2010 (SPS) Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président de l’Assemblée nationale du Nicaragua, René Núñez Téllez, dans laquelle il lui a exprimé ses condoléances, après avoir appris la nouvelle du décès du président du Parlement sahraoui, Mahfoudh Ali Beiba.

    « C’est avec beaucoup de regret que nous avons appris la mort regrettable de Mahfoudh Ali Beiba, qui était un membre du Secrétariat national et président du Parlement national. A cette occasion, je tiens à vous exprimer au nom de l’Assemblée nationale de la République du Nicaragua et en mon nom personnel, nos sincères condoléances », a écrit René Nunez Tellez dans un message de condoléances au président sahraoui, Mohamed Abdelaziz.

    « La mort de Mahfoudh Ali Beiba est une perte irréparable pour le peuple sahraoui en raison de sa lutte tenace pour la paix, la justice et la démocratie, sa loyauté patriotique et son dévouement au service de son peuple avec une grande carrière politique en tant que dirigeant du Front Polisario et membre du Comité exécutif », a-t-il indiqué.

    Rappelant que Mahfoud Ali Beiba était connu pour son engagement, sa sagesse et sa sérénité, le président de l’Assemblée nationale du Nicaragua a exprimé ses chaleureuses salutations et sa solidarité au peuple sahraoui avec qui, a-t-il dit, il partage ces moments difficiles. (SPS)

  • L’université de la jeunesse sahraouie se tient dans un contexte marqué par l’intensification du combat (responsable)

    Alger, 07/07/2010 (SPS) Le commandant général des Scouts musulmans algériens (SMA), M. Noureddine Benbraham a affirmé mercredi à Alger que son institution accueillera 10 enfants sahraouis et 10 maliens pendant les prochaines vacances d’hiver. M. Benbraham qui recevait une délégation de l’union de la jeunesse malienne, a indiqué que cette initiative du Comité national de solidarité avec le peuple sahraoui s’inscrivait dans le cadre du renforcement des relations avec ces peuples. Il s’agit également de redynamiser la solidarité entre les associations de la société civile africaine en matière de soutien au peuple sahraoui et de recherche d’opportunités de coopération notamment dans le domaine de la jeunesse, de l’enfance, de la femme et des Droits de l’homme, a-t-il ajouté. Cette rencontre avec la délégation malienne a permis de tracer le programme de coopération entre les deux parties qui sera mis en oeuvre à partir de septembre outre le développement des capacités des jeunes à l’orientation de leurs potentialités dans le cadre du soutien au peuple sahraoui dans sa lutte pour l’indépendance. De son côté, M. Ibrahima Trayor, conseiller municipal malien a annoncé son intention de faire don d’un terrain de 2 hectares pour la construction d’une infrastructure pour les scouts qui contribuerait à l’intensification des rencontres entre jeunes algériens, sahraouis et maliens. (SPS)
  • L’université de la jeunesse sahraouie se tient dans un contexte marqué par l’intensification du combat (responsable)

    Alger,07/07/2010 (SPS) La deuxième édition de l’université nationale de la jeunesse et des étudiants de la République arabe sahraouie et démocratique (RASD), se tient dans un contexte particulier, marqué par l’intensification du combat libérateur du peuple sahraoui, a souligné, mercredi à Alger, le ministre sahraoui des territoires occupés et de la communauté, M. Sid M’hamed Khelil.

    Le ministre du RASD qui intervenait à l’ouverture de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants sahraouis, au centre international de la jeunesse de Sidi Fredj, (Alger) a affirmé que « le combat des sahraouis s’est intensifié, à la lumière des exigences de la nouvelle étape », ajoutant que « la jeunesse sahraouie est appelée à se préparer pour cette nouvelle conjoncture ».

    C’est dans ce cadre qu’il a expliqué, devant les 120 cadres jeunes et étudiants de la RASD qui participent à cette université, que le contexte actuel du combat sahraoui « exige une préparation militaire au niveau des territoires libérés », ainsi que « l’intensification de l’insurrection pacifique des Sahraouis des territoires libérés ».

    Il a également indiqué que cette université s’est assignée une « tâche particulière » à la hauteur, a-t-il ajouté, de la mémoire du héros de l’insurrection de Zemla, du 17 juin 1970, le combattant Sidi M’hamed Bassiri, disparu dans des conditions obscures, et celle du défunt président du Conseil national de la RASD, Mahfoudh Ali Beiba, l’un des fondateurs du Front Polisario, décédé vendredi dernier.

    Il a réitéré, à cette occasion, la revendication du Polisario de « connaître la vérité sur la disparition de Bassiri, lors de cette insurrection réprimée par le colonialisme espagnol ». Tout en estimant que « le Maroc est sous protectorat français », au vu des aides militaires de cette puissance au colonialisme marocain,

    il a rappelé la position de la France au Conseil de sécurité de l’Onu, en opposant son véto à l’élargissement des missions de la Minurso pour englober la surveillance et le contrôle des droits de l’homme dans les territoires sahraouis.

    De son côté, le consul de la RASD à l’Est algérien, M. Ouali Moussa, a insisté sur le contexte « particulier » dans lequel se tient la deuxième édition de l’université nationale de la jeunesse et des étudiants sahraouis, estimant que « cette nouvelle étape du combat sahraoui exige des actions sérieuses et efficaces ».

    Abondant dans le même sens, le secrétaire général de l’Organisation de la jeunesse du Polisario, M. Moussa Selma, a mis l’accent sur la nécessité de transformer cette université en « un espace pour la prise de conscience sur les exigences au niveau de la région et dans le monde ».

    « Il faut faire de cette université un espace de lumière et de connaissance pour intensifier le combat des Sahraouis et surtout, pour préparer l’avenir », a-t-il souligné à ce sujet.

    Invité à prendre la parole au nom de la délégation de la jeunesse malienne, hôte de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants sahraouis, le secrétaire général de l’Organisation de la jeunesse du Parti de la renaissance du Mali, M. Sidou Himdi, a réitéré le soutien de la jeunesse malienne au combat du peuple sahraoui pour l’indépendance.

    Tout en estimant que « tout jeune a le droit à la santé et à l’instruction », il s’est élevé contre la décision des responsables marocains « excluant les deux jeunes filles, Hayat Rgueibi et Neguia Haouaci, à cause de leur participation à l’université d’été des jeunes sahraouis ».

    « Les écoles du Mali sont ouvertes pour vous », a-t-il dit à l’adresse des deux membres de la délégation des onze militants sahraouis des droits de l’homme des territoires occupés qui participent à cette université.

    « Il est de notre devoir de poursuivre le combat de nos parents pour l’indépendance de tous les peuples africains », a-t-il encore affirmé.(SPS)

  • Le président du CNASPS dénonce l’exclusion de deux jeunes collégiennes sahraouies de leurs écoles à El Aaun occupée

    Alger, 07/07/2010 (SPS) L’Algérie est prête à accueillir dans ses écoles, les deux jeunes collégiennes sahraouies, exclues de leurs écoles à El Aaun, pour avoir pris part à l’université nationale de la jeunesse et des étudiants sahraouis, a affirmé, mercredi à Alger, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS),

    M. Mahrez Amari. M. Amari qui intervenait à l’ouverture de la deuxième édition de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants sahraouis, a dénoncé l’exclusion des deux jeunes collégiennes sahraouies, Hayet Rgueibi et Neguia Haouaci de leurs écoles à el Aaun, affirmant que « l’Algérie qui a été la Mecque des révolutionnaires et devenue la Mecque du savoir pour tout le continent ».

    Estimant que cette exclusion est « une atteinte aux droits les plus élémentaires de l’être humain, à savoir le droit à l’instruction et l’éducation », il a souligné que « le comportement des autorités d’occupation au Sahara Occidental n’est pas étonnant, à partir du moment où elles répriment l’insurrection pacifique des Sahraouis des territoires occupés, au vu et au su du monde entier ».

    « Les écoles algériennes sont ouvertes pour ces deux jeunes collégiennes, comme elles sont ouvertes à toutes les victimes de l’arbitraire et du déni des droits de l’homme », a-t-il, encore affirmé.

    « Il s’agit d’un message du peuple algérien qui reste fidèle à son engagement pour le droit des peuples à l’autodétermination », a-t-il ajouté.

    Une délégation de onze militants des droits de l’homme des territoires sahraouis occupés, participent à l’université nationale de la jeunesse et des étudiants sahraouis qui se tient au Centre international de la jeunesse de Sidi Fredj.

    Saluant la participation de la jeunesse malienne, à travers la délégation de l’Organisation des jeunes du Parti de la renaissance du Mali, M. Mahrez Amari a souligné que « cette participation s’inscrit dans le cadre de la solidarité des jeunes africains pour parachever le processus de décolonisation du continent ».

    « Vous êtes venus en Algérie pour partager avec nous les valeurs nobles de la liberté et du droit à l’autodétermination », a-t-il dit à l’adresse de la délégation de la jeunesse du Parti de la renaissance du Mali.(SPS)
  • Le président de la République reçoit les condoléances de l’Union africaine suite au décès de Mahfoudh Ali Beiba



    Chahid El Hafed, 07/07/2010 (SPS) Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, dans laquelle il lui a exprimé ses sincères condoléances les plus attristées à la suite de la disparition du président du conseil national sahraoui, Mahfoudh Ali Beiba.

    Voici à présent le texte intégral de la lettre dont une copie est parvenue à SPS :

    « Monsieur le président,

    Je suis profondément attristé par le décès, le vendredi 2 juillet 2010, de votre compagnon de lutte, M. Mahfoudh Ali Beiba président du Conseil national sahraoui (parlement), éminent membre du Front Polisario et chef émérite de la délégation du Polisario aux négociations avec le Maroc sur l’avenir du Sahara occidental, sous les auspices des Nations unies.

    Avec le décès de M. Mahfoudh Ali Beiba, le Polisario et la République arabe sahraouie démocratique (RASD), perdent un patriote, un combattant résolu, compétent et déterminé dans la lutte du peuple sahraoui pour son autodétermination.

    En cette douloureuse occasion, je voudrais exprimer à vous personnellement, au Gouvernement, au peuple et au parlement sahraouis, ainsi qu’à la famille de l’illustre disparu, mes sincères condoléances les plus attristées.
    Je voudrais également vous assurer de la compassion et de la solidarité de la commission de l’UA dans l’épreuve que vous traversez.

    En priant pour le repos de l’âme du disparu et pour le triomphe de la cause pour laquelle M. Mahf oudh Ali Beiba a consacré sa vie, je vous prie de croire, M. le président, à l’assurance de très haute et fraternelle considération ». (SPS)

  • Message de condoléances au président de la République du Sénat du mexicain

    Chahid El Hafed, 07/07/2010 (SPS) .Le président e la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président du Sénat de la République du Mexique, Carlos Navarrete Ruiz, suite à la disparition du président du Parlement sahraoui, M. Mahfoud Ali-Beiba.

    « C’est avec grande tristesse que nous avons appris la nouvelle de la mort de Mahfoud Ali Beiba, président du Conseil national sahraoui (Parlement), vendredi dernier à l’Ecole nationale du 27 février « , a écrit Carlos Navarrete Ruiz dans une lettre au président de la République, Mohamed Abdelaziz.

    Le président du sénat mexicain a présenté au nom du Sénat des États-Unis du Mexique, ses sincères condoléances pour la perte de l’un des fondateurs du Front Polisario et récemment président du Parlement qui a conduit les délégations sahraouies dans les différentes négociations avec le Maroc sous les auspices de l’Organisation des Nations Unies, a-t-il poursuivi.

    Il a rappelé d’avoir le privilège de rencontrer le défunt et de s’informer sur les conditions du peuple sahraoui, son organisation sociale et ses institutions, lors d’une réunion durant sa visite à Rabouni (Chahid Le Hafed) et la Wilaya de Smara, en mars dernier, a-t-il ajouté.

    Pour ceux qui ont eu le privilège de le connaître, il a laisse un exemple de la force de ses convictions qui doit se reproduire dans la conscience des générations futures, a-t-il conclu. (SPS)

  • Maroc-Espagne Ambassade presque déserte

    Quelque 13 responsables diplomatiques ont quitté leur poste. L’Espagne assure que les relations entre les deux pays n’en souffrent pas.
    Fait inouï. L’ambassade d’Espagne au Maroc semble déserte. C’est du moins ce que rapporte la presse espagnole. Selon cette dernière, au moins 13 responsables de la représentation diplomatique espagnole ont quitté le Maroc ces derniers jours. Une telle situation aura-t-elle des répercussions sur les relations entre les deux pays ? La diplomatie espagnole, rapporte la même source, estime que c’est une «pure coïncidence» et ne devrait avoir aucune incidence sur les rapports entre les deux voisins. Pourtant, l’ambassadeur, sortant, Luis Planas vient de quitter le pays, les nouveaux titulaires des consulats de Tétouan et Nador n’ont pas encore été désignés. Au niveau central, à Rabat, l’équipe de la représentation diplomatique du pays ibérique a été, momentanément, réduite. Le «ministre conseiller», le premier secrétaire ,le responsable détaché du département de l’Intérieur,
    le représentant du CNI (services de renseignements) ont tous quitté leur poste. Postes restés vacants en attendant la nomination de l’équipe qui va accompagner le nouvel ambassadeur, Alberto Navarro, qui devrait prendre  ses fonctions, à Rabat, dans les quelques semaines à venir. Par ailleurs et de l’avis général, l’ambassadeur sortant, Luis Planas, aura réussi «brillamment» sa mission. Planas a pu effacer, au cours de ses six dernières années passées au Maroc, tous les «désaccords» nés de la politique de l’ancien gouvernement de droite.
    Le Soir, 6/7/2010

  • L’emprisonnement du fils de l’ex-président mauritanien : «Une vengeance» contre son père

    Le fils de l’ex-président mauritanien Sidi Ould Haidalla est toujours emprisonné par l’Etat marocain qui veut «se venger» des positions de son père en faveur de la question sahraouie, a-t-on appris de sources judiciaires sahraouies.
    Dans une lettre récemment adressée au rassemblement des défenseurs sahraouis des droits de l’homme, le prisonnier Sidi Mohamed Haidalla qui se trouve actuellement à la prison marocaine de Salé a indiqué que son emprisonnement, en date du 13 juillet 2007, vise à ternir son image et celle de son père sur le plan international et à l’amener à renoncer à ses positions à l’égard de la question sahraouie.
    La question du Sahara occidental «nous a coûté nos vies et nous n’y renoncerons pas. Les prisons marocaines ont renforcé notre attachement à celle-ci et à sa légitimité», a-t-il précisé.  Il a également indiqué que la vengeance de l’Etat marocain contre son père «est une vérité qui a été affirmée par le délégué général de l’administration pénitentiaire marocaine».
    Dans ce sens, le député Elkassem Ould Belali avait souligné que «les autorités marocaines, qui s’ingèrent dans les affaires de la Mauritanie, punissent le fils de l’ex-président Ould Haidalla pour se venger des positions de son père à l’égard de la question sahraouie», appelant Rabat à mettre un terme à ces pratiques. 
  • Mauvaise foi

    Par Kamel Amghar
    L’intégration maghrébine, on en parle sans y croire vraiment. A force d’être débattu sans conviction, le projet s’enlise chaque jour un peu plus. En 1988, au sommet de Zéralda (Algérie), le climat était nettement plus propice à cette construction. Aujourd’hui, 22 ans plus tard, on est paradoxalement bien loin du compte. Qui n’avance pas recule. Les cinq pays de l’UMA n’arrivent manifestement pas à accorder leurs violons sur cet impératif fondamental pour l’ensemble de la région nord-africaine. Il est clair qu’un Maghreb uni et solidaire pèserait mieux sur la scène internationale. La concrétisation d’un tel ensemble permettrait non seulement de conclure des accords économiques avantageux avec d’autres organisations régionales et multilatérales, mais participerait aussi au développement des échanges inter maghrébins. Pour garantir le succès d’une telle entreprise, il doit y avoir des valeurs communes, des objectifs partagés et une ambition égale à créer un espace qui garantirait les intérêts de chaque partenaire. Faute de volonté, on peine à définir ce socle «basique» sur lequel on devrait bâtir l’union promise. Outre la question du Sahara occidental, il y a d’autres écueils à surmonter pour déblayer le terrain. Avant l’ouverture des frontières et la suppression des visas d’entrée, on doit – par exemple – s’entendre sur des questions essentielles comme la sécurité. Durant les années 1990, les groupes islamistes armés (GIA), qui ont mis alors l’Algérie à feu et à sang, avaient publiquement établi leur base arrière au Maroc. Ils commettaient des attentats en Algérie et se réfugiaient immédiatement après de l’autre côté de la frontière pour échapper aux poursuites des forces militaires algériennes. Au lieu de mettre la main à la pâte pour sécuriser la région, le roi Hassan II imposa, en 1994, le visa aux touristes algériens qui affluaient par milliers vers les stations balnéaires de ce pays voisin. Cette décision unilatérale, faussement motivée par une crainte de «contagion» terroriste, a été vécue comme une humiliation par l’ensemble du peuple algérien. Dans ce même registre, on doit également ajouter l’épineux problème du trafic de drogue, étant donné que le Maroc est connu pour être le premier producteur mondial de haschich. Pour des raisons historiques et sociales qui lui sont propres, le royaume tolère la culture du chanvre indien, et ses narcotrafiquants ont des ramifications qui vont jusqu’en Europe et au Moyen-Orient. Les trafiquants d’armes, les contrebandiers et les «négriers» de l’émigration clandestine, qui pullulent dans cette région frontalière, profitent aussi de cette étrange passivité des autorités marocaines. Dans un tel climat, l’union resterait pour longtemps impossible à concevoir. Faisant fi de toutes ces considérations, les officiels marocains appellent épisodiquement à la réouverture du poste frontalier entre les deux pays. Agir de la sorte en rejetant toute la responsabilité de cette triste situation sur la partie adverse revient à faire preuve d’une incroyable mauvaise foi. Evidemment, l’intégration maghrébine passe inéluctablement par la pacification et la sécurisation totales de la région. La résolution durable du conflit sahraoui constitue en ce sens un autre préalable à la redynamisation réelle de l’UMA. La communauté internationale et les peuples maghrébins ont compris que la prospérité tant souhaitée passe justement par le règlement de tous ces contentieux. Dire une chose et faire son contraire n’avance pas la cause des peuples frères du Maghreb. 
  • Témoignage des activistes des droits de l’homme sahraouis au siège du CNASPS

    Une rencontre de solidarité avec la résistance populaire sahraouie à laquelle participeront des acteurs de la résistance sahraouie.
    Dans le cadre de la semaine de la fraternité et de la solidarité avec le peuple sahraoui, organisée par le Comité National Algérien de Solidarité avec le Peuple Sahraoui (CNASPS) et l’APC Alger-Centre, l’association Machaâl Chahid organise le 8 juillet, à partir de 10 h, au centre de presse Mohamed Abderrahmani, El Moudjahid (Alger), une rencontre de solidarité avec la résistance populaire sahraouie à laquelle participeront des acteurs de la résistance sahraouie, entre autres des militants de droits de l’homme venus de la partie occupée du Sahara Occidental par le Maroc.