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  • Lamamra : L’amalgame fait entre les notions de terrorisme et des mouvements de libération “vise à brouiller les cartes”

    L’amalgame entretenu entre les notions de terrorisme et des mouvements de libération “vise à brouiller les cartes et ne pas mettre en lumière les vérités”, a affirmé hier à Boumerdes le commissaire à la sécurité et à la paix de l’Union africaine (UA), M. Ramtane Lamamra. “Tous les textes de loi internationaux consacrent cette différence nette entre les phénomènes de terrorisme et le combat des peuples pour leur autodétermination”, a souligné M. Lamamra dans une communication faite aux travaux de l’université d’été des cadres de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) qui se tiendra jusqu’au 30 août. Il a expliqué, à titre indicatif, qu’“à la différence du terrorisme qui adopte la criminalité sous toutes ses formes dans ses actions, les mouvements de libération se caractérisent par leur adoption du principe de l’égalité faite entre les deux belligérants, tant en droits que devoirs, en appliquant ainsi le même comportement que toute armée est tenue de respecter envers les civils de la partie ennemie”. Le commissaire à la sécurité et à la paix de l’UA a ajouté, par ailleurs, que le terrorisme fait partie des grands fléaux “rigoureusement combattus” et pris en charge par les systèmes législatifs de chaque continent. Il a rappelé, à ce propos, que le sommet africain de Tripoli (Libye) avait adopté en 2009 une “nouvelle approche radicale pour luter contre le phénomène du terrorisme qui constitue un réel danger pour tous les peuples du continent”. Cette référence en la matière englobait un plan et un programme de travail “ambitieux” dépassant de loin le simple principe sécuritaire en incluant certaines approches symboliques et d’autres politiques et économiques pratiques, a-t-il relevé. Il existe en ce sens un “engagement total” de la part de chaque dirigeant africain, selon M. Lamamra pour lutter contre ce fléau et œuvrer de “façon sérieuse” afin de développer l’action de l’UA qui est désormais “une vraie organisation mondiale et concurrentielle de l’Onu dans la mise en place d’un système complémentaire pour la paix et la sécurité”, a-t-il encore indiqué. L’Union africaine s’est renforcée, a-t-il dit, par un système “d’alerte précoce” lui permettant de discuter et trouver des solutions à certains problèmes à travers le continent en “temps opportun” avant leur développement en conflits armés, tout en se dotant de certains mécanismes, tels le Conseil de sécurité et de paix chargé de prendre les décisions préventives qui s’imposent en cas de conflits, outre un Centre africain des études et recherches sur le terrorisme, et la création d’unités militaires prêtes à intervenir à travers tout le continent. M. Lamamra a annoncé, à l’occasion, des préparatifs en cours actuellement en vue de la constitution d’une force armée pour le maintien de la paix dont le rôle pourrait englober, a-t-il expliqué, la lutte contre le terrorisme, “si les instances de l’UA en expriment l’accord”. Le récent sommet de Kampala avait, également, émis plusieurs décisions similaires dans le cadre de la lutte contre le terrorisme stipulant, entre autres, de “charger l’inspection de la sécurité et de la paix de proposer une série de mesures et dispositions à soumettre en septembre prochain”.

    Ces nouvelles mesures pourraient englober, a-t-il ajouté l’élaboration périodique d’une liste des personnes recherchées par la justice ainsi que l’émission de mandats d’arrêts continentaux et internationaux, en plus de la création d’une commission africaine spécialisée dans la présentation des rapports supplémentaires sur les événements ayant trait au terrorisme à travers les pays d’Afrique”. Le sommet de Kampala avait aussi mis en avant, a-t-il rappelé, le renforcement de la place de la RASD et le soutien des efforts de l’Onu, au même titre que les propositions de paix et négociations entre le Front Polisario et le royaume du Maroc, tout en faisant une nette distinction entre le terrorisme et les mouvements de libération.

    El Moudjahid
    Commentaire de Diaspora Saharaui :
    Au Maroc, les évènement récents avec l’Espagne montrent combien le régime marocain est attaché aux pratiques terroristes. L’embrigadement des masses d’ignorants et de voleurs dans le but d’imposer un blocus sur l’enclave espagnol de Melilla relève du terrorisme d’Etat. L’ouverture de ses frontières avec l’Europe pour le trafic de drogues, l’immigration illégale et l’infiltration de terroristes sont autant de pratiques que le gouvernement continuent à pratiquer sous le regard complice du gouvernement espagnol et français.
    Mais comme dit l’adage : Qui s’assemble se ressemble. Mohamed VI  a beaucoup de commun avec ses amis, Zapatero et Sarkozy. Tous les trois sont en train de conduire leurs pays vers l’abîme. Sarkozy qui adore les palais et les délices de Mohamed VI s’est avéré aussi corrompu que le Commandeur Des Croyants.
  • Arrestation de 52 personnes en moins de 8 jours

    DROGUE, HARRAGAS, CRIMES SUR ASCENDANTS ET USURPATION DE FONCTION
    Arrestation de 52 personnes en moins de 8 jours
    Par : Farid Belgacem 
    Plus de 50 personnes ont été arrêtées, en moins d’une semaine, pour trafic de drogue, immigration irrégulière (par mer), crimes sur ascendants et usurpation de fonction, mais aussi pour trafic de carburant. Selon la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, ces arrestations interviennent au moment où le plan Delphine bat son plein, sachant que ce vaste programme, par ailleurs renforcé lors du mois du Ramadhan, a donné des résultats extraordinaires, notamment en matière de sécurité routière et de la baisse de la criminalité. Au chapitre des stupéfiants, au moins une dizaine de dealers de drogue et trafiquants de psychotropes hallucinogènes, ont été arrêtés et écroués à Tlemcen, Aïn Témouchent, Sétif et Bordj Bou-Arréridj, dont un Marocain, en situation irrégulière, appréhendé à l’ouest du pays. À Annaba, ce sont, en revanche, 18 jeunes, dont un mineur, qui ont été appréhendés au niveau des plages de Djenane El-Bey et Caroubier. Au premier jour du Ramadhan, les harragas croyaient que les services de sécurité ont baissé de vigilance. Faux calcul puisque les mis en cause ont été interceptés à bord de deux embarcations alors qu’ils allaient rallier les côtes italiennes. Les gendarmes de Seraïdi ont ouvert une enquête pour savoir si d’autres groupes ne sont pas également sur le point de tenter cette aventure suicidaire. Phénomène en recrudescence dans la société algérienne, les crimes sur ascendants deviennent monnaie courante. En effet, le procureur de la République près le tribunal d’Akbou, à Béjaïa, a placé sous mandat de dépôt un jeune de 35 ans. Celui-ci a été interpellé par les gendarmes de Béni Maouche suite à une plainte déposée à son encontre. Selon notre source, le mis en cause avait volontairement agressé son père, âgé de 72 ans. Un autre scénario similaire a été enregistré à Ighmourassène, à Oran, où un agresseur, âgé de 22 ans, a également été placé sous les verrous pour diverses blessures intentionnellement causées à sa mère, âgée de 43 ans. Le même tribunal avait condamné, le même jour, deux personnes pour faux et usage de faux. L’enquête menée par la section de recherche de la gendarmerie d’Oran a abouti à l’arrestation de ces deux mis en cause pour falsification de permis de conduire. Une autre affaire liée à l’usurpation de fonction a également été élucidée par les gendarmes de Chetaïbi, à Annaba, où un faux officier de l’Armée nationale populaire (ANP) a été débusqué après une longue cavale. Présenté à la justice, le faux capitaine a été écroué en attendant les résultats de l’instruction. Au registre de la contrebande, les gendarmes de Salah Bey ont saisi à bord d’un fourgon de marque Fiat, 700 kilos de tabac à chiquer. Le chauffeur a été placé en liberté provisoire en attendant les investigations entreprises pour remonter la filière. Par ailleurs, pas moins de 25 000 litres de carburant (essence et gasoil) ont été saisis aux frontières algéro-marocaine et algéro-tunisienne par les gardes frontières. Trois voitures et deux camions ont également été découverts et saisis au long des tracés frontaliers. Ces véhicules ont été abandonnés par les contrebandiers, à la vue des GGF. Ces derniers ont interpellé une dizaine de personnes impliquées dans le trafic de carburant, notamment à Tébessa, Souk-Ahras et Tlemcen.
    Liberté, 14/8/2010
  • Le Maroc et l’Egypte dépêchent leurs prêcheurs à Bruxelles

    En effet, la communauté musulmane de Belgique, même si elle est intégrée ou tente de le faire au mieux, reste pourtant parfois sinon marginalisée du moins pointée du doigt par certains concitoyens. La raison étant que la religion musulmane a été souvent «confondue» – sciemment ?
    – du moins «associée» depuis les tragiques évènements du 11 septembre – que le monde musulman a condamnés sans équivoque – à un islamisme rétrograde, synonyme de terrorisme.
    De nombreux partis et mouvements, de droite particulièrement – et c’en est devenue une constante occidentale – ne cessent de brandir, à diverses occasions, la menace terroriste islamiste, en veillant scrupuleusement à en faire un savant amalgame avec l’Islam.
    L’Islam vrai attaqué de toutes parts
    Les objectifs de ces attaques contre l’Islam, une religion de juste milieu, de modération et surtout de tolérance qui exclut toutes formes d’exagération et d’extrémisme, sont devenues monnaie courante particulièrement en périodes électorales, quand il convient de miser sur le «tout sécuritaire».
    A l’évidence, les polémiques stériles qui accompagnent le port du foulard ou l’excision des femmes africaines et qui n’ont absolument rien à voir avec la religion musulmane, mais toujours associées à celle-ci, participent de cet objectif inavoué de donner une mauvaise image de l’Islam et du musulman.
    Le mois sacré de Ramadhan s’avère donc un moment propice et privilégié pour l’ensemble des communautés musulmanes, résidant en Occident et particulièrement en Europe, pou montrer le vrai visage de l’Islam. Grâce notamment à un comportement au quotidien qui honore l’Islam mais surtout grâce à un dialogue avec les autres communautés.
    En Belgique, le conseil des théologiens et l’Exécutif des musulmans de Belgique, l’organe chef de culte, représentant la communauté musulmane de Belgique, veillent quelque peu à cela et tentent de remplir leurs missions au mieux. Même si ces dernières années, cet organe a connu des couacs internes avec des dissensions, propres à un organe aux statuts particuliers.
    En Islam, pas d’intermédiaire entre le croyant et Allah
    L’essentiel étant que le musulman n’a de compte à rendre qu’à son Dieu, et qu’en Islam, contrairement à l’Eglise chrétienne, par exemple, il n’y a pas d’intermédiaire, ni de clergé et les hommes de foi, n’ayant aucun pouvoir spirituel, ne doivent se limiter qu’à l’enseignement et à la vulgarisation du Coran.
    Ramadhan sera donc mis à profit, comme chaque année en Belgique, pour rappeler aux fidèles les vraies valeurs de l’Islam et surtout insister sur les fondements même de notre religion et sur les aspects d’humanisme, de solidarité, de charité, de sacrifice, etc.
    Il ne faut pas oublier, à ce propos, cette idée fausse mais tenace qu’ont de nombreux non musulmans du Ramadhan et dont certains d’entre eux n’hésitent pas à associer à une période de «bombance» et de ripailles…
    Il n’est pas rare en effet que des voisins, collègues, voire des amis évoquent le Ramadhan comme un mois de sacrifices, de jeûne, difficile à observer pour eux : «Ah vous ne buvez pas ? Même pas une goutte d’eau ?…» et soulignent avec un brin de malice : «Vous mangez beaucoup le soir avec plein de sucreries aussi. Comment faites-vous pour tenir ?» Etc. Etc.
    Des préjugés à la vie dure
    Tout ceci pour montrer l’image véhiculée au niveau de certaines communautés européennes qui fréquentent pourtant des milieux et communautés musulmans. Est-ce à dire que la communauté musulmane ne fait pas de lobbying, n’essaie pas d’intéresser son voisin à sa culture, sa religion, ses traditions ?
    C’est sans doute le rôle des spécialistes et de nos représentants au niveau de nombreuses conférences oecuméniques qui prennent parfois le devant de la scène politique. Mais il serait judicieux de porter cette «bonne parole» auprès des autres communautés et des citoyens et en cela les associations de mosquées qui pullulent en Belgique devraient jouer un rôle important.
    A condition d’avoir les personnes compétentes pour le faire. A ce jour, hormis le Centre islamique et culturel de Belgique, connu surtout pour ses «medersas» et sa «grande» mosquée et qui reste sous l’emprise de certains intérêts car financé en partie par l’Arabie Saoudite, les autres mosquées «vivotent» comme elles peuvent et sont donc sujettes à des OPA de toute nature.
    D’où probablement la vigilance et surtout le contrôle et l’appréhension que leur portent les autorités belges, depuis que l’Islam a été amalgamé avec l’islamisme et le terrorisme. Il n’en demeure pas moins que ces lieux de culte sont fréquentés assidûment et par des autochtones de plus en plus attirés par l’Islam et ce qu’il véhicule comme valeurs.
    Beaucoup de jeunes femmes belges embrassent l’Islam
    D’ailleurs, on assiste à des conversions de plus en plus nombreuses notamment de la part de jeunes femmes belges vers l’Islam, à l’issue de leurs mariages avec des musulmans.
    Côté traditions, en période de Ramadhan, certaines communes de Bruxelles capitale où se concentrent de fortes communautés musulmanes d’origines maghrébine ou turque, pour ne citer que celles-là, connaissent d’ailleurs des «rushs» où de nombreux belges n’hésitent pas à se rendre.
    C’est ce qui a poussé cette année encore les autorités communales à prendre leurs devants afin de «réguler» la circulation lors des pics d’affluence, c’est-à-dire lorsque les musulmans s’y rendent pour s’approvisionner en produits «hallal» dans les boucheries et autres magasins «exotiques» de Molembeek, Schaerbeek, Saint Gilles, Saint Josse, Anderlecht…
    Ce qui prouve bien que la communauté musulmane de Belgique suscite l’intérêt auprès des autorités qui respectent son droit de culte.
    Entre autres activités, la communauté aura droit, lors des soirées «tarawih», à des conférences qui seront animées par des «habitués» et organisées autour de thématiques aussi diverses que la dangerosité du tabac, la fraternité, la charité et les valeurs intrinsèques que véhicule le Coran.
    OPA du Maroc et de l’Egypte sur les musulmans de Belgique
    Last but not least, le cinquième pilier sera mis à profit par l’Exécutif des musulmans de Belgique pour «importer» une soixantaine de «conférenciers» venus tout droit du royaume du Maroc (42) et d’Egypte (20). En fait des imams censés animer les tarawihs durant ce mois sacré.
    De nombreux observateurs s’interrogent sur le bien-fondé de cette action – il existe en Belgique des imams capable de faire ce travail – et crient déjà au scandale, dans la mesure où personne n’est dupe puisque le Maroc et l’Egypte, en ce faisant, lancent une véritable OPA sur l’Islam de Belgique.
    Alors l’Exécutif des musulmans de Belgique, en «voulant bien faire», a-t-il succombé à des sirènes qui ne manqueront pas de le faire «chanter» plus tard ? Il est permis de croire que les dix-huit universitaires, notamment marocains, dépêchés via la Fondation Hassan II présidée par la princesse Lalla Meryem, sœur du roi Mohammed VI, seront ici en «service commandé».
    La communauté marocaine l’une des plus importantes résidant en Belgique sera-t-elle dupe ? Les Egyptiens, quant à eux, quel rôle joueront-ils à Bruxelles ? Une chose est sûre : le régime alaouite cherche à «contrôler» d’une manière ou d’une autre sa communauté à l’étranger et le ministère des Affaires religieuses égyptien a sûrement pour la Belgique des visées qui ne disent pas leur nom.
    Quant à ceux qui sont censés représenter les intérêts des musulmans de Belgique, c’est-à-dire l’EMB, ils ont sans doute fait un nouveau faux pas de plus en cédant le terrain à ce qui s’apparente à de l’ingérence étrangère.
    La communauté musulmane de Belgique a vraiment de quoi méditer en ce Ramadhan 2010…
  • Rezag Bara: le terrorisme international n’a ni religion, ni patrie

    BOUMERDES – « Le terrorisme international n’a ni religion, ni patrie et ne peut être imputé à un peuple, une race ou civilisation en tant que telle », a affirmé mercredi Rezag Bara, conseiller à la présidence de la République. S’exprimant au titre d’une communication qu’il a donnée à l’université d’été des cadres de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), qui se tient depuis le 1er août à Boumerdès, il a assuré que « cette hypothèse a été confirmée par plusieurs recherches scientifiques et autres résolutions d’organisations internationales sur la question ». « Le phénomène du terrorisme n’est pas né après le 11 septembre 2001, mais il remonte à une époque reculée de l’histoire de l’humanité qui a connu des extrémismes utilisant la violence et la liquidation physique pour des causes liées à la croyance », a-t-il noté au titre de son intervention intitulée « Le traitement du phénomène du terrorisme transnational par la communauté internationale ». 
    Le Maroc, pour s’approprier des ressources naturelles du Sahara Occidental, à l’aide du lobby franco-sioniste, mène une campagne d’envergure dans le but de salir la réputation du Front Polisario, un mouvement de libération respecté par ses méthodes de lutte propres. 
    Les incidents récents entre l’Espagne et le Maroc et le blocus imposé à la ville de Melilla constituent une preuve de la politique terroriste du régime marocain. 
  • L’Espagne paye pour l’Europe

    Lors de son accès au pouvoir en Espagne, le président Zapatero avait présenté le slogan de « l’alliance de civilisations » comme la potion magique qui allait en finir à jamais avec les problèmes créés par le voisin du sud, le Maroc. Et surtout éviter que l’incident de l’île du Persil (2002) se répète. Il était sincère et il était loin d’imaginer la suite.
    Aujourd’hui, ses gestions n’ont abouti à rien et il a dû solliciter l’intervention du roi d’Espagne, le plus gros calibre dont dispose le pays sans que cela n’apaise la situation dans la frontière de Melilla. Le roi Juan Carlos qui, hier encore, appelait Mohamed VI « mon frère » n’a rien tiré de son coup de fil au souverain marocain. Pire encore, personne ne sait les véritables raisons qui se trouvent derrière cette effervescence provoquée juste au début du mois de Ramadhan, une date significative pour les musulmans.
    Certes, l’Espagne est liée au Maroc par différents motifs, mais d’autres les séparent. Le premier est que la société espagnole est démocratique, cimentée sur l’empire de la loi, et il reste au Maroc beaucoup de chemin pour pouvoir dire la même chose. Lorsque le roi Mohamed VI prend une décision, il ne doit rendre compte à personne, ce qui complique les équivalences avec la capacité de manœuvre d’un gouvernement démocratique et un monarque sans prérogatives exécutives. Ce type de situations serait impensable s’il s’agissait d’un pays démocratique, mais le gouvernement espagnol réagit comme s’il ignorait cette réalité, alors que le régime marocain garde bien clairs ses objectifs et ses intérêts et n’abandonne pas ni allège ses pressions.
    Hier c’était les pateras, les drogues et la crainte du terrorisme, aujourd’hui Rabat change de méthode pour faire pression sur le gouvernement espagnol. Mais le plus triste de cette histoire est que le génie de « l’alliance de civilisations » doit payer pour un crime qu’il n’a pas commis. Dans toute cette histoire ce n’est pas l’Espagne qui est visée, mais l’UE qui risque de ne pas renouveler avec le Maroc l’accord de pêche qui expire en 2011. La Commissaire Européenne aux Affaires Maritimes et à la Pêche, Maria Damanaki, attend toujours des autorités marocaines des preuves démontrant que le peuple du Sahara Occidental bénéficie de l’argent rapporté par cet accord.
  • La haine engendre des fantasmes sexuels au Maroc

    El Ouali Moustapha Sayed, fondateur du Front Polisario avait dit dans un de ses derniers discours, que Hassan II, le roi du Maroc, était le Hitler des années 70. Les raisons sont évidentes : la monarchie alaouite utilise les mêmes méthodes que le régime nazi et tous les régimes dictatoriaux. Parmi ces méthodes, cultiver la haine du peuple contre les autres. Plus il sentait en danger à cause des tentatives de putsch, plus la haine devenait une composante essentielle du roi le plus sanguinaire de l’histoire du Maroc. Les mêmes techniques qu’a utilisé Hitler pour convaincre son peuple que les juifs étaient des démons sont utilisés pour semer la haine contre les voisins, l’Algérie et les algériens et les sahraouis en particulier. Plus les conditions sont difficiles pour le régime, plus les nerfs sont à bout, plus il a tendance à parler des ennemis de l’intérieur et de l’extérieur du Maroc, plus il a tendance à semer la haine, une haine qui empêche les marocains de pouvoir dissocier les choses, relever la vérité, une haine aveuglante.
    Tous les discours des officiels et les forums Internet sont remplis de haine et de mépris envers les algériens, jusqu’au point que certains marocains font de cette haine un fantasme. Incroyable mais vrai! La haine engendre des fantasmes sexuels. Lisez l‘histoire de Samir, un homosexuel algérien. Son copain marocain l’appelle « ma petite chienne algérienne ». Il dit que c’est pour « fantasmer ». Un fantasme d’un goût « politique ».

  • Arrière-plan de la crise hispano-marocaine : l’accord de pêche avec l’UE

    Les relations entre le Maroc et l’Espagne traversent une mauvaise passe. On a beau spéculé sur les raisons : crise interne, hantage marocain, pression sur le gouvernement de Zapatero, etc. Mais on a peut-être oublié un détail primordial qui peut se trouver derrière le saut d’humeur du gouvernement marocain pour une raison banale. Ce détail se trouve dans les déclarations de Carmen Fraga, présidente de la Commission de Pêche du Parlement Européen, dans une interview avec l’agence de presse espagnole EFE datée du 30 juin 2010.
    Fraga avait parlé de l’accord de pêche entre l’UE et le Maroc signalant que la Commissaire Européenne aux Affaires Maritimes et à la Pêche, Maria Damanaki avait demandé, il y a six mois, au gouvernement marocain des informations sur la façon dont l’argent de la compensation financière reçue de l’UE a été dépensé et si la population locale ( les habitants du Sahara Occidental) a bénéficié de cet accord. Mme Damanaki ne demandera pas au Conseil Européen l’autorisation de renouveler l’accord de pêche qui expire en février 2011, à moins que ces informations ne lui soient fournies. « Cependant », ajoute Fraga, «le Maroc ne nous les donnera pas ».
    Voyant l’accord de pêche mis en question et ne pouvant pas justifier la spoliation des ressources halieutiques sahraouies, les autorités marocaines s’en prennent au gouvernement espagnole pour rappeler qu’eux aussi ils ont leurs moyens de pression. Même le coup de fil du roi Juan Carlos d’Espagne n’a rien fait.
  • Le Makhzen déçu par le journaliste algérien qui a séjourné à Dakhla

    Campagne de dénigrement du Maroc contre l’auteur des reportages et contre Echorouk : quand le Makhzen voit rouge !
    Par Anouar Malek/ Version française Mohamed-Chérif Lachichi
    On peut faire remonter également la rage du Makhzen à une parution du journal influent «El Aâlem», organe central du parti El Istiklal dirigé par le premier ministre Abbes El Façi qui a titré à la Une le cinq août dernier un exhibitionniste «Anouar Malek effectue un revirement de 360° » Pourtant, 360° degrés signifie, en principe, rester sur sa position. 180 degrés n’ont, semble-t-il, pas suffit aux rédacteurs de cet article peu instructif et non moins hargneux à l’égard de l’Algérie et notamment à l’endroit de la première des ses publications Ech Chorouk, présenté comme l’ennemi absolu.
    Comme il était attendu : ça n’a pas tardé ! Le Makhzen marocain a fini par réagir à travers une vaste campagne de manipulation contre ma modeste personne et le journal «Ech Chorouk». Les raisons de cette levée de boucliers sont connues. Il s’agit bien évidemment du reportage que je viens de réaliser – selon les normes les plus rigoureuses de la profession et sans aucune mauvaise intention- sur la catastrophe humanitaire qui sévit actuellement dans la ville Sahraouie de Dakhla et ses environs. Ce reportage est venu briser en quelque sorte le silence de la communauté internationale. J’ai réussi à pénétrer la ville de Chama dans le cadre de la tenue, en marge de la célébration de la fête du trône, d’un colloque dit «international» pour traiter du projet d’autonomie marocain. Tel était le but initial de cette manifestation qui a été très vite détourné pour d’autres considérations. Il s’agissait d’une question importante liée à la sécurité dans l’espace méditerranéen. Pourtant, il ressort de la lecture du programme distribué aux participants une orientation visant à assimiler le front Polisario, accusé de tous les maux, au terrorisme international dont il serait lié. Un peu à la manière de ce qu’on appelle «Al Qaïda au Maghreb Islamique». Ce que je me suis empressé de démentir à la tribune. Personne n’a osé notamment parmi ceux qui n’ont cessé de rabâcher ce mensonge de venir me porter la contradiction. Il semble que la presse «Makhzénienne» ait reçu le feu vert du Palais royal pour abonder dans ce sens et réitérer différentes accusations. Bien entendu, le peuple marocain frère est, lui, bien loin de ce combat d’arrière-garde et perdu d’avance. Les marocains font, ainsi, constamment l’objet de tromperies et restent le plus souvent préoccupés par la satisfaction de leurs besoins essentiels. Ainsi, on a voulu me présenter à eux comme un agent des services secrets, en mission d’espionnage pour le compte d’un pays étranger. Jusque-là, j’avais évité de répondre à cette accusation du reste futile voire puérile. Une chose est néanmoins sûre est qu’il est, désormais reconnu que la région de Dakhla est une zone sécurisée et militarisée à outrance. Par conséquent, tous ceux qui viendraient à s’y aventurer ne peuvent être que des espions violant l’intégrité du maroc. On peut faire remonter également la rage du Makhzen à une parution du journal influent «El Aâlem», organe central du parti El Istiklal dirigé par le premier ministre Abbes El Façi qui a titré à la Une le cinq août dernier un exhibitionniste «Anouar Malek effectue un revirement de 360° » Pourtant, 360° degrés signifie, en principe, rester sur sa position. 180 degrés n’ont, semble-t-il, pas suffit aux rédacteurs de cet article peu instructif et non moins hargneux à l’égard de l’Algérie et notamment à l’endroit de la première des ses publications Ech Chorouk, présenté comme l’ennemi absolu. Certains de mes amis marocains m’ont assuré que la réaction du Makhzen n’aurait jamais été aussi violente si mon reportage avait été publié dans une publication étrangère autre qu’ El Chorouk.
    Si plusieurs sujets traités par le premier quotidien algérien avaient déjà fait mal par le passé, la visite de cette région déshéritée n’arrive pas à passer. C’est un crime de lèse-majesté d’autant plus impardonnable qu’aucun service de sécurité et aucun supplétif n’est venu signaler l’évènement. En revanche si l’on prenait connaissance de ce qui se dit régulièrement dans les journaux marocains au sujet de l’Algérie beaucoup tomberaient des nues. Aucune comparaison avec ce que publie Ech Chorouk de temps à autre et toujours au moment opportun. Les raisons de la colère du Makhzen ont trait également au fait que notre intrusion s’est faite au nez et à la barbe des services de sécurité parfois même sous leur protection. Personne ne semble s’être aperçu de mon incursion alors que tout le monde savait que j’étais une écrivain et journaliste dans cette publication. A leur tête les organisateurs du colloque. J’avais rappelé dans mon reportage qu’aucun organe de presse marocain n’avait pu se rendre dans cette zone interdite. La lecture du quotidien El Aâlem est, à ce propos, très éloquente surtout lorsqu’il y est mentionné que : «les conditions du séjour au Maroc de l’ancien officier des services de renseignement algériens Anouar malek restent à définir. Et la même interrogation par ailleurs concerne l’opposant algérien qui sous couvert de sa qualité de journaliste d’une publication affiliée aux services de sécurité de son pays a pu travestir, ainsi, la réalité et produire un tissu de mensonges portant atteinte à l’unité et à la souveraineté du maroc. Toutes les réserves portées quant aux objectifs de ce reportage traduisent, on ne peut mieux, le caractère ultra sensible de cette région soumise à un dispositif sécuritaire exceptionnel. Ce reportage a été perçu comme un viol des différentes mesures prises puisque j’ai pu largement prendre contact avec les gens et que j’ai même utilisé, pour mes déplacements, leurs véhicules. Pour cette raison et pour d’autres, El Aâlem exige, dans son excès de zèle, une enquête approfondie sur les tenants et aboutissants de ma visite. D’autres écrits réclament, à cor et à cri, l’ouverture d’une enquête judiciaire au sujet de ce prétendu viol de l’intégrité territoriale marocaine. De même qu’il est demandé la tête des personnes qui m’ont invité et qui m’ont permis de réaliser ce reportage. Une source particulière m’a informé de l’ouverture par les services de sécurité de Dakhla d’une enquête secrète destinée à retracer mon périple dans la région et l’identification des personnes avec lesquelles j’ai pris contact. Il s’agit, d’après mes sources, de parer à l’éventualité d’infiltration et au recrutement d’agents qui pourraient collaborer secrètement avec Ech Chorouk ou avec les services algériens.
    Il y a lieu de noter, par ailleurs, que je dispose de plusieurs photos de personnes de cette contrée et qui se sont ouvertement prononcés pour l’autodétermination du peuple sahraoui. Pour des raisons évidentes, ces photos n’ont jamais été publiées pour éviter, bien sûr, de graves déboires à ces témoins. Il y a aussi ces velléités du Makhzen à me présenter sous des traits peu amènes. Tantôt je suis présenté comme un écrivain opposant au régime algérien tantôt un élément rebelle qui ne veut plus soutenir les positions marocaines et qui refuse, dorénavant, de continuer à jouer le jeu du makhzen quant à la diffusion de ses idées dans la région nord africaine. Cette attitude vient du fait que, par le passé, j’ai porté des critiques à l’encontre du front Polisario. Ce qui a été interprété comme un soutien implicite au Maroc alors que je n’ai jamais prétendu que le Sahara est marocain. D’ailleurs, je mets au défi le Makhzen de présenter des preuves qui ne soient pas, bien sûr, des montages grossiers et dans lesquelles je m’oppose aux revendications légitimes du peuple sahraoui. Et si j’ai été amené à critiquer un jour le front Polisario cela ne signifie pas que je me désintéresse du caractère sacré de sa lutte pour l’autodétermination ni de la tenue d’un référendum honnête et transparent.
    D’ailleurs, si le peuple sahraoui venait à demander à s’intégrer au Maroc je ne pourrais que bénir sa volonté. Dans le cas contraire, je ne pourrais, là aussi, que le soutenir. Mes convictions se sont même renforcées à l’issue de mon séjour parmi les sahraouis. Sans l’ombre d’un doute, le maroc ne veut pas d’un référendum. Un suffrage qui reste le dernier de ses soucis. C’est pourquoi, d’ailleurs, le Maroc s’échine, à chaque fois, à présenter d’autres alternatives. De même, j’ai été amené à dénoncer plusieurs fois les violations des droits de l’homme à Ghaza de la part de certains éléments de l’appareil sécuritaire de Hamas et même des autorités palestiniennes de Ramallah notamment en ce qui concerne les conditions carcérales. Sur el Djazira, dans l’émission « El Itidjah el Mouâakess », je n’ai pas hésité à critiquer également le Hezbollah Libanais. Cela veut-il dire pour autant que je soutiens le sionisme est ses crimes abjects contre le peuple palestinien ? Il est utile de rappeler aussi que j’ai émis des critiques à l’encontre des médias officiels marocains mise en ligne par l’ « Express » le 13 juillet 2008. Dans son compte rendu, le journaliste marocain Nourreddine Lacheheb écrit : «Le journaliste algérien Anouar Malek se plaint de la déformation de ses propos dans les médias marocains ». En effet, les autorités marocaines ont exploités, souvent à tort et pour des buts inavoués nombre de mes déclarations. Dans ce cadre, il y a également Wafa Ismaïl, l’écrivaine égyptienne qui ne s’est pas gênée de déformer mes propos contenus dans un entretien qu’elle a accordé au site «Akhbar el âarab» au canada le 1er Avril 2008. Dans un article mis en ligne sous le titre : «Anouar Malek a-t- il été lésé ?», elle s’en prend à cette manie marocaine d’exploiter à tort et à travers mes propos. Brièvement, j’affirme en mon âme et conscience n’avoir jamais soutenu un régime qui réprime les volontés et les aspirations populaires. De même que je n’ai jamais fais de distinction en matière de violations des droits de l’homme. Et ce qu’elles quelles soient. En particulier, celles du Maroc qui pratique au Sahara occidental la torture, la détention abusive, le viol et les atteintes à la dignité humaine. Cela dit, les médias officiels marocains qui prétendent le contraire ne font que jeter à mon sujet de la poudre aux yeux. Le visiteur de mon blog «La voix de l’exil » ne pourra trouver, lui, à aucun moment, des assertions de la sorte. Ce qui n’a pas empêché une publication sympathisante du Front des Forces démocratiques de lancer, un jour, un « poisson d’avril » en publiant une prétendue lettre que je lui aurais adressé. A l’en croire, j’aurais révélé dans cette missive l’existence d’un réseau de prostitution dans lequel seraient impliqués des militants du Polisario et des éléments de l’armée algérienne. Et pour enfoncer le clou, l’agence de presse officielle n’a pas manqué de s’en faire l’écho refusant obstinément de publier ma mise au point. De même l’hebdomadaire «El Mechâal» dans sa livraison du 11/09/2008 prétend lui que j’aurais affirmé la marocanité du pétrole algérien. Bref de tout et du n’importe quoi !
    Cette levée de boucliers du makhzen marocain à mon endroit et qui correspond à un virage à 180°degrés aurait pu atteindre n’importe quel algérien tant la rancune est tenace. Sur un autre plan l’activisme du Makhzen à travers sa société civile (sic) qui s’apparente, selon lui, à de la diplomatie parallèle vise à accréditer, avec un grand tapage médiatique, l’option d’autonomie interne sous souveraineté marocaine. D’où l’option de la tenue d’un colloque à Dakhla qui devait regrouper des militants associatifs mauritaniens, chiliens, égyptiens, espagnols, brésiliens, tunisiens, britanniques, yéménites, irakiens et péruviens. A mon arrivée, je n’ai trouvé que le professeur d’université espagnol, Fernandez José accompagné de son frère médecin dont les noms n’apparaissaient pas au programme du colloque. Il n’y avait finalement que l’avocat José Antonio Sanchez Santana et l’écrivain Alejandro Garcia. J’ai appris par la suite qu’une lettre avait été transmise au cabinet royal au nom des participants félicitant le monarque pour son discours à l’occasion de la fête du trône. Je dois rappeler que l’enquête que j’ai menée dans des circonstances exceptionnelles a été marquée par le discours virulent de Mohammed VI à l’encontre de l’Algérie. Certains de mes nombreux détracteurs ont interprété mon reportage comme une réponse algérienne au discours du Roi alors que la réaction officielle est venue de la bouche même de Abdelaziz Belkhadem qui s’est exprimé à l’université d’été du FLN à Mostaganem en sa qualité de représentant du Président de la République. En conclusion, j’estime n’avoir accomplis que mon devoir en tant que journaliste et militant des droits de l’homme. Un algérien qui n’a pas de fil à la patte et en quête de vérité.
    http://www.anouarmalek.com
    Echourouk Online, 12/8/2010
  • Une délégation sahraouie au stade 5 juillet pour le match Algérie-Gabon

    Une délégation du Sahara occidental était présente au stade 5 juillet, à la tribune officielle, drapeau sahraoui bien en évidence. Il s’agit de délégués de la RASD, présents en Algérie à l’occasion de l’université d’été de la RASD qui a lieu à Boumerdès et qui ont tenu à assister à ce match afin de soutenir l’Algérie.
    Source : Le Buteur, 12/8/2010

  • Le président de la République félicite son homologue algérien à l’occasion du mois de ramadan

    Bir Lahlou (territoires libérés), 11/08/2010 (SPS) Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a adressé un message de félicitation à son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika à l’occasion de l’avènement du mois béni de ramadan, parvenu à SPS.
    « Il est un grand plaisir pour moi de vous adresser à l’occasion du mois béni de ramadan, en mon nom personnel, au nom du Gouvernement de la RASD (Le Sahara Occidental envahi par le Maroc en 1975, note de Diaspora Saharaui), de la direction du Front Polisario et du peuple sahraoui, pour vous exprimer nos félicitations et à travers vous l’ensemble du peuple algérien, implorant le Seigneur Tout-puissant de renouveler ce mois dans un climat de santé et de bonheur pour vous et de succès dans vos nobles missions et au peuple algérien plus de progrès et de prospérité », a écrit le préside de la République à son homologue d’Algérie.
    Il a également réitéré la volonté de la RASD à renforcer les relations permanentes de fraternité, d’amitié et de coopération entre les deux pays, au profit des deux peuples frères, sahraoui et algérien et tous les peuples de la région, a ajouté le texte.
    Le président de la République a prié Dieu pour que ce mois sacré se répète dans la miséricorde et le bien être de la nation islamique. (SPS)