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  • hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu…???

    Salam ,
    Hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu le Roi du Maroc. Durant ce rêve je me voyais comme celui qui dirige le Maroc et qui a commencé à faire de la justice parmi le peuple marocain, celui qui a renoncé à la fortune et a préfère aider ses semblables. Celui qui a mis à la porte tous ceux qui ne voulaient pas contribuer à la démocratie du Maroc. J’ai jugé tous ceux qui ont volé le Maroc. En quelque mois j’étais capable de redresser le Maroc. Il n’ y avait plus de chômage, plus de pauvreté, plus de jeune diplômés qui tenaient les murs, plus de femmes laissées à leur sort, plus de mendiants, plus de prostitution juvénile, plus de corruption.
    J’étais très heureux de sortir dans la rue comme un simple Roi parmi son peuple qui m’acclamait comme sauveur de la nation. Vous ne pouvez pas imaginer comme j’étais heureux de voire mes frères et sœurs heureux avec moi. J’ai même partagé mais palais et voitures de luxes avec ce peuple que j’aime tellement. J’ai même partagé mes costumes, avec mes amis et mon peuple. J’ai demandé à ce que tout marocain soit paye de la richesse que son pays produit. J’ai demande à tous ses crouches Lahram de ramener leur fortune et d’investir au Maroc. J’étais tellement heureux que je trouvais une paix en moi. Notre pays est enfin devenu un pays exemplaire avec mon règne.
    Une fois réveiller j’ai dit mon Dieu, j’ai fais un rêve illégale. Un rêve que je ne devais pas faire. Un rêve que juste certains on le droit de faire et pas moi. Moi un citoyen simple comment pourrai je faire un rêve pareil.
    Je me demande s’il y a une loi chez nous qui peut condamner des citoyens pour des rêves illégaux?????????
    J’attends vos commentaires et si vous avez des solutions et des suggestions pour moi. S’il y a un avocat parmi nous s’il vous plait donner des conseils à votre frère.
    Un bloggueur sur Modego 

  • Le Maroc s’entête et rejette les conditions algériennes

    Tout en réitérant son appel pour l’ouverture des frontières
    Encore une fois, le Royaume chérifien a appelé l’Algérie à rouvrir ses frontières, fermées depuis 16 années, tout en qualifiant la proposition portant sur l’autodétermination au Sahara occidental, rejeté par le Front Polisario, comme étant un « projet prometteur », tout en prétendant que les membres du Conseil de sécurité sont tous d’accord sur « cette issue politique du conflit ».
    Cet appel a été fait par le premier ministre marocain, Abbas El Fassi, « pour les intérêts de développement dans les deux pays », a-t-il précisé. Il intervient après plusieurs autres émis par les autorités marocaines. Pour rappel, l’Algérie a pris la décision de fermer ses frontières terrestres suite à l’imposition du visa sur les ressortissants algériens par le royaume chérifien.
    Dans le même cadre, le même interlocuteur a fait allusion à la condition algérienne pour la réouverture des frontières, à savoir le droit des sahraouis à organiser un référendum d’autodétermination. « Le dossier est actuellement au niveau de l’ONU, ça ne sert à rien de débattre des plans inapplicables et basés sur des formules dépassées, il est préférable de chercher une issue politique basée sur le réalisme », a-t-il déclaré. A relever que cette position renseigne sur le rejet de l’une des conditions transmises par l’Algérie au Maroc pour la réouverture des frontières.
    Il y a lieu de rappeler que Rabat a annulé le visa imposé aux ressortissants algériens souhaitant se rendre au Maroc, au lendemain de la rencontre historique qui a eu lieu entre le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et le roi Mohammed VI, à l’occasion du Sommet arabe, tenu à Alger, en 2005.
  • Plainte déposée en France contre le roi du Maroc

    Bourazzouq Driss
    Né le 29 août 1988 a Rabat
    Numéro de téléphone : 06 50 28 03 30
    Objet : plainte contre le Roi du Maroc, Mohammed Alaoui, dénommé Mohammed VI, plainte contre la personne morale de l’état marocain et contre la famille royale marocaine.

    Faits : Excellence, Procureur de la République, je vous adresse cette plainte même si je sais que cela va malheureusement être classé sans suite, je voudrais déposer plainte pour détournement de fonds publics contre le dictateur marocain Mohammed VI, contre la famille royale et la personne morale de l’état marocain. En effet le roi et la famille royale détiennent une fortune immense et notamment beaucoup de biens dont la prévenance est un petit peu suspicieuse. Le Roi du Maroc détient diverses propriétés notamment a Paris, a Neuilly-sur-Seine… La prévenance de cet argent qui a permis les acquisitions de propriétés par le Roi Mohammed 6 et sa famille, les sommes utilisées pour ces acquisitions sont sûrement des sommes provenant des finances de l’état marocain et de budget de l’état marocain et donc prévenant des Impôts payés par les étrangers résidant au Maroc et les Marocains résidant au Maroc, étant donné que j’ai vécu au Maroc de par le passé, étant donné que cela est une souffrance de tous les jours de savoir que ce dictateur élu par personne s’approprie toutes les richesses du pays en violant les droits de l’homme, les conventions internationales, en détournant les fonds publics, en faisant des acquisitions frauduleuses de société, étant donné qu’une partie de ces fonds est justement utilisée en Europe notamment en France, je vous demanderai mesdames, mesdemoiselles et messieurs le procureur de la république de bien vouloir enquêté sur la provenance de ces fonds.
    Mohammed Alaoui alias Mohammed 6 Roi du Maroc, possède des sociétés en France, divers comptes bancaires, il en est de même pour ses proches et toute la famille royale possède diverses propriétés notamment des terres, des appartements et villas, ces personnes-là en l’occurrence la famille royale sont clairement une dictature, personne n’a élu cette personne donc c’est un dictateur qui est a la tête du Maroc, dictateur qui n’hésite pas a encore utiliser tout moyen violant les droits de l’homme pour arriver a ses fins et son père ( Hassan 2 ) a éliminé diverses personne pour augmenter sa fortune, leur fortune est basé sur une expropriation permanente des biens du peuple, détournements de fonds publics, détournement des aides accordées par certains états notamment la France…
    Donc accusant le Roi de détournement de fonds, accusant le Roi d’avoir des biens mal acquis en France je vous demanderai à vous, excellence, de bien vouloir enquêter sur les fonds que le Roi du Maroc et sa proche famille ont utilisé pour acquérir tous ces biens qu’ils possèdent en France.
    Préjudice : ayant été un ancien contribuable au Maroc en payant la TVA et divers impôts et taxes, j’estime qui il y a préjudice, vu qu’en l’occurrence les impôts que j’ai payés n’ont pas servi au peuple mais plutôt a financer le faste dans lequel vie le roi du Maroc.
    Veuiller agréer, mesdames, medemoiselle et messieurs mes salutations les plus distinguées.

    Bourazzouq Driss, 21 avril 2010

    Source : Son blog (article envoyé par mail)

  • Le Maroc rouvre, soudainement, le litige avec l’Espagne sur Ceuta et Melilla.

    Le Maroc a ressuscité son irrédentisme annexionniste sur les deux villes espagnoles. Après des années de silence qui semblaient avoir enterré sur Ceuta et Melilla les prétentions anachroniques, son offensive renouvelée semble si surprenante comme inexplicable. Il faut se demander sur les raisons, en tenant en compte de l’usage historique que le royaume voisin a toujours fait de son aspiration envers les deux territoires comme s’il s’agissait de monnaies d’échange.
    Contre l’habitude, le Maroc invoque ses relations avec l’Europe pour donner plus de fondement à son aspiration. Quelque chose de surprenant également si nous tenons en compte que la réalité historique et démographique de l’Espagne, loin de l’affaiblir, elle fortifie encore plus en tant qu’Espagnols et, par conséquent, comme Européens. Le Maroc parle d’anachronismes mais le seul anachronisme passe par son irrédentisme.
    Quand Mohamed VI et ses acolytes « demandent » d’ouvrir des conversations sur la propriété des deux villes espagnoles, tout le monde sait que les autorités marocaines trament quelque chose genre « Île de Persil ». C’est déjà un indice que la partie du Sahara Occidental n’est pas gagnée et la position marocaine dans ce conflit traverse une mauvaise passe. Si non, comment expliquer l’acharnement du Maroc contre un pays qui, depuis l’avènement de Zapatero est devenu ambassadeur itinérant des thèses marocaines?
    Les déclarations contre l’Espagne et l’Algérie constituent un symptôme du corps malade de la monarchie alaouite. Les échecs accablants dans leur tentative d’annexion du Sahara Occidental et imposer leur hégémonie au Maghreb pousse Rabat à suivre les enseignements du sanguinaire roi, Hassan II, lorsqu’il a dit : « Si la situation se complique, il faut enfoncer le clou ». En d’autres termes, la fuite en avant. 
     
  • Le Maroc veut y prendre part et dénonce sa marginalisation par l’Algérie

    Par H. Yes
    L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, M. Mohamed Loulichki a implicitement critiqué l’exclusion de son pays de la coordination sécuritaire et de la coopération militaire qui se tient entre les pays du Sahel dans le cadre de la lutte antiterroriste, qui s’est soldée par le sommet d’Alger des ministres des Affaires Etrangères. Il a notamment expliqué la volonté et la prédisposition du Royaume Marocain à prendre part à l’ensemble des bonnes initiatives, visant à lutter contre le terrorisme.
    Lors d’un débat qui a été lieu, avant-hier, au conseil de sécurité de l’ONU, M. Loulichki a parlé des peines imposées sur les mouvements d’Al Qaida et des Talibans. Il a, dans ce cadre, expliqué que l’expérience a clairement prouvé que face à l’importance et la complexité des moyens que les groupes terroristes peuvent s’en procurer, il serait tort de prétendre lutter contre le terrorisme par les moyens individuels ou par la coopération avec des groupes précis de partenaires en excluant d’autres ».
    Il est à noter que le diplomate marocain ciblait indirectement la rencontre des ministres des affaires étrangères des pays du Sahel, sous l’égide de l’Algérie, le 16 mars dernier, sont le Maroc n’a pas apprécié le fait de ne pas y être invité. L’Algérie a, pour sa part, répondu à la protestation du Maroc, en expliquant que sur le plan géographique et géostratégique, le Maroc n’appartient pas à cette région et qu’il n’est, de ce fait, pas concerné par la coopération sécuritaire et militaire
    Le diplomate marocain a considéré que la région du Maghreb arabe à laquelle appartient le Maroc ainsi que la région du Sahel sont exposées à des menaces terroristes et que les efforts nationaux restent insuffisants tant qu’ils ne sont pas fournis dans un climat de partenariat et de confiance mutuelle.
    El Khabar, 13 mai 2010

    13-05-2010

  • Ceuta et Melilla : Madrid aggrave la blessure de Rabat

    Souveraineté sur les enclaves Ceuta et Melilla : Madrid aggrave la blessure de Rabat
    Madrid a réaffirmé, hier, la « souveraineté » de l’Espagne sur les enclaves de Ceuta et Melilla dans le nord du Maroc et leur « caractère espagnol » après un appel du Maroc à l’ouverture d’un dialogue sur le sujet.
    Le Premier ministre marocain, Abbas El Fassi, avait appelé lundi l’Espagne à « engager un dialogue » pour « mettre fin à l’occupation » de Ceuta et Melilla. « La souveraineté et le caractère espagnol de Ceuta et Melilla ne sont d’aucune manière remis en question » et le Maroc, avec qui il existe une « très bonne » relation, « connaît cette position », a affirmé la vice-présidente du gouvernement espagnol Maria Teresa Fernandez de la Vega à la Radio nationale (RNE).
    « La position du Maroc n’est pas nouvelle » et « nous ne changeons pas non plus notre position », a par ailleurs déclaré une source diplomatique espagnole à l’AFP. L’Espagne, « pays ami, est appelé à engager un dialogue avec le Maroc pour mettre fin à l’occupation de Sebta (Ceuta en arabe) et Melilla », avait affirmé le Premier ministre marocain devant la Chambre des représentants (Chambre basse). L’Espagne exerce sa souveraineté sur Melilla depuis 1496 et sur Ceuta depuis 1580. Elles étaient conçues à l’origine comme des postes avancés après la « reconquête » de l’Andalousie par les rois catholiques contre la présence arabe. Ces deux enclaves sont revendiquées par le Maroc depuis son indépendance en 1956.
    EL WATAN 
     

  • Sahara occidental : Mohamed Abdelaziz exprime son inquiétude

    Le président sahraoui Mohamed Abdelaziz a exprimé la préoccupation des autorités sahraouies quant à la situation alarmante de plus de 50 détenus politiques sahraouis dans les prisons marocaines.
    «Nous sommes préoccupés par la situation alarmante des droits de l’homme au Sahara occidental et les violations marocaines à travers l’arrestation de plus de 50 militants politiques sahraouis pour avoir défendu de manière pacifique et civile la charte et les résolutions des Nations unies et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination», a souligne le président sahraoui à l’issue de sa rencontre avec le président de la région autonome de Murcie (Espagne), Ramon Luis Valcarcel.
    Le président Abdelaziz a par ailleurs déploré la position des autorités marocaines qui font fi des revendications légitimes des détenus politiques sahraouis en mettant leur vie en danger après plus de 40 jours de grève de la faim. Il a appelé à ce que les positions du gouvernement espagnol soient en concordance avec l’élan de solidarité exprimé en faveur de la cause sahraouie par des partis et des forces politiques espagnols.
    Le président sahraoui a souligné dans le même contexte que «cette position honorable doit être celle du gouvernement espagnol pour qu’il assume sa responsabilité historique et juridique vis-à-vis de la décolonisation du Sahara occidental et adopte une position plus claire et plus ferme outre celle de la légalité internationale de soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui et la protection des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés».
  • N’autre vision : C’est plus facile, à côté !

    M. Z.(mohamed_zaaf@yahoo.fr )
    Le quotidien El Fadjr, , nous apprend qu’Alger a refusé l’invitation des marines à entreprendre des manœuvres militaires communes en terre malienne. El Fadjr qui dit tenir cette révélation d’une source diplomatique américaine nous confirme par ailleurs que les forces de l’ANP n’ont pris part à aucun moment à l’exercice militaire multinational Flintlock 2010 qui a regroupé dans la zone du Sahel quelque
    1 200 soldats originaires de divers pays, dont la France. Dans les faits, il était demandé à l’Algérie de participer non pas à des manœuvres à deux, traditionnellement soumises à la souveraineté locale, mais de rejoindre le troupeau dans le cadre d’une force multinationale qu’on a apparemment décidée sans la consulter. Une force pilotée d’ailleurs et qui arrive avec ses grands sabots pour agir à sa guise sans l’aval du voisinage, sans même en référer à l’ONU ou à l’UA. La réserve de l’Algérie ne peut alors que remplir ses fils de fierté. Que les marines aillent voir du côté des FAR, il est certain qu’ils les trouveront plus réceptives et autrement plus flexibles que notre rigide ANP. Les FAR seront sûrement intéressées d’autant qu’au Mali, le trône revendique quelque chose, comme au Sahara occidental, en Mauritanie ou même chez nous ou sur les rochers brûlants de la Méditerrannée. Des manœuvres qui serviront au moins à faire prendre conscience aux voisins de l’Ouest que la messe ne se dit plus au nom du roi dans ces contrées où désormais s’érigent des Républiques et que le pouvoir y change de main, y compris par la force. Pour leur part, les marines gagneront énormément aussi à se frotter à l’expérience des FAR dans la lutte antiterroriste. Le Maroc est en effet le seul pays de la région où le terrorisme compte une forte présence médiatique sans jamais passer à l’action. Au Maroc, le terrorisme se fait virtuellement taper sur les doigts dès qu’on lui prête la moindre intention d’allumer un… cierge. Bien assimiler l’expérience marocaine, c’est en finir à jamais avec les 11 septembre, sans recourir aux scanners corporels, ces engins coûteux et à histoires. Donc, il n’y a pas à hésiter, il faut singer le Maroc, lui qui tenait tellement à faire partie de la force sahélo-saharienne installée en toute souveraineté à Tamanrasset, à l’instar de la RASD à Tindouf.
    Le Jeune Indépendant
  • La Mauritanie échangera-t-elle l’otage français avec des éléments d’Al Qaida ?

    Le scénario du Mali n’est pas à exclure
    La conduite adoptée par la justice mauritanienne pourrait constituer une menace réelle pour la coordination sécuritaire existant entre les pays du Sahel, qui ne cesse de s’intensifier ces derniers mois. En effet, la manière par laquelle la justice mauritanienne a programmé le procès contre des salafistes mauritaniens suscite des doutes. Les observateurs n’écartent pas une intervention française, en vue de la libération de l’otage français détenu au Niger, il y a quelques jours.
    Dans ce sens, les médias mauritaniens se sont interrogés sur la rapidité par laquelle le procès des salafistes, dont ledit Abdellah Ould Sidna, l’un des terroristes impliqués dans le rapt des touristes autrichiens, a été organisé. Dans le même sillage, les entretiens franco-mauritaniens visant une éventuelle libération de l’otage français se sont intensifiés, notamment suite à la visite effectuée en Mauritanie par le Secrétaire d’Etat français chargé de la Coopération et de la Francophonie.
    Il y a lieu de préciser que les ravisseurs ont exigé la mise en liberté de certains salafistes détenus dans des prisons mauritaniennes.
    Selon les observateurs, la Mauritanie risquerait de céder aux pressions françaises, à l’instar du Mali, qui s’est plié et a échangé l’otage français Pierre Camatte, contre un terroriste notoire d’Al Qaida, ce qui a provoqué l’ire de la partie algérienne. 

    EL KHABAR 19 mai 2010
  • Les Sahraouis acculent la France

    Par Ghada Hamrouche
    En raison de son appui à la thèse marocaine, la France est en position de confrontation avec la lutte sahraouie. C’est du moins ce que pense M. Mohamed
    Abdelaziz, président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et secrétaire général du Front Polisario. Dans une allocation à la clôture de la
    réunion des cadres du Front Polisario tenue vendredi dans la wilaya de Smara, il a estimé que l’intervention de la France pour défendre la thèse marocaine au
    niveau du Conseil de sécurité «met Paris» en position de confrontation directe avec la lutte du peuple sahraoui sur le plan international. Cette conférence, qui a duré une journée, a été marquée par l’examen des derniers développements survenus à l’issue des positions exprimées notamment au sujet de la révision de la relation avec la Minurso et le contenu de la dernière résolution du Conseil de sécurité. L’occasion pour les responsables du Front Polisario de pointer du doigt les responsables du désenchantement sahraoui qui a suivi la dernière réunion du Conseil de sécurité. Les déclarations, rapportées par l’agence de presse sahraouie (SPS) et reprises par l’agence de presse algérienne (APS), soulignent encore une fois que «la France défend le régime marocain avec ferveur et interdit l’inclusion dans la résolution du Conseil de sécurité de la recommandation sur la protection et le contrôle des droits de l’Homme au Sahara occidental». Adoptant un ton plutôt menaçant, M. Abdelaziz avertit que la guerre ne s’est pas achevée avec le cessez-le-feu. Il précisera également que le peuple sahraoui s’est trouvé «confronté à une guerre marquée par un black-out total et des tentatives visant à ternir son image, et ce, outre la guerre
    psychologique menée par Rabat». Le président sahraoui a interpellé, dans le même sillage, les cadres du Front Polisario présents à cette réunion, sur
    l’un des plus importants aspects de cette guerre «sournoise», à laquelle fait face le peuple sahraoui sur différents fronts. Il a également relevé la «force» du soulèvement face à l’occupation marocaine, marquée par «une adhésion totale des Sahraouis au Front Polisario». Il rappellera, qu’il y a 37 ans, le 10 mai 1973, cette idée a germé grâce à un groupe de 17 militants qui ont fondé le Front Polisario.Par ailleurs, le président sahraoui a réitéré la volonté du Front à poursuivre la lutte par tous les moyens, y compris l’option de «reprise de la lutte armée» si nécessaire, soulignant l’importance de «se préparer à faire face aux pires éventualités».
    La Tribune