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  • Le président du CNASPS dénonce l’exclusion de deux jeunes collégiennes sahraouies de leurs écoles à El Aaun occupée

    Alger, 07/07/2010 (SPS) L’Algérie est prête à accueillir dans ses écoles, les deux jeunes collégiennes sahraouies, exclues de leurs écoles à El Aaun, pour avoir pris part à l’université nationale de la jeunesse et des étudiants sahraouis, a affirmé, mercredi à Alger, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS),

    M. Mahrez Amari. M. Amari qui intervenait à l’ouverture de la deuxième édition de l’université d’été de la jeunesse et des étudiants sahraouis, a dénoncé l’exclusion des deux jeunes collégiennes sahraouies, Hayet Rgueibi et Neguia Haouaci de leurs écoles à el Aaun, affirmant que « l’Algérie qui a été la Mecque des révolutionnaires et devenue la Mecque du savoir pour tout le continent ».

    Estimant que cette exclusion est « une atteinte aux droits les plus élémentaires de l’être humain, à savoir le droit à l’instruction et l’éducation », il a souligné que « le comportement des autorités d’occupation au Sahara Occidental n’est pas étonnant, à partir du moment où elles répriment l’insurrection pacifique des Sahraouis des territoires occupés, au vu et au su du monde entier ».

    « Les écoles algériennes sont ouvertes pour ces deux jeunes collégiennes, comme elles sont ouvertes à toutes les victimes de l’arbitraire et du déni des droits de l’homme », a-t-il, encore affirmé.

    « Il s’agit d’un message du peuple algérien qui reste fidèle à son engagement pour le droit des peuples à l’autodétermination », a-t-il ajouté.

    Une délégation de onze militants des droits de l’homme des territoires sahraouis occupés, participent à l’université nationale de la jeunesse et des étudiants sahraouis qui se tient au Centre international de la jeunesse de Sidi Fredj.

    Saluant la participation de la jeunesse malienne, à travers la délégation de l’Organisation des jeunes du Parti de la renaissance du Mali, M. Mahrez Amari a souligné que « cette participation s’inscrit dans le cadre de la solidarité des jeunes africains pour parachever le processus de décolonisation du continent ».

    « Vous êtes venus en Algérie pour partager avec nous les valeurs nobles de la liberté et du droit à l’autodétermination », a-t-il dit à l’adresse de la délégation de la jeunesse du Parti de la renaissance du Mali.(SPS)
  • Le président de la République reçoit les condoléances de l’Union africaine suite au décès de Mahfoudh Ali Beiba



    Chahid El Hafed, 07/07/2010 (SPS) Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, dans laquelle il lui a exprimé ses sincères condoléances les plus attristées à la suite de la disparition du président du conseil national sahraoui, Mahfoudh Ali Beiba.

    Voici à présent le texte intégral de la lettre dont une copie est parvenue à SPS :

    « Monsieur le président,

    Je suis profondément attristé par le décès, le vendredi 2 juillet 2010, de votre compagnon de lutte, M. Mahfoudh Ali Beiba président du Conseil national sahraoui (parlement), éminent membre du Front Polisario et chef émérite de la délégation du Polisario aux négociations avec le Maroc sur l’avenir du Sahara occidental, sous les auspices des Nations unies.

    Avec le décès de M. Mahfoudh Ali Beiba, le Polisario et la République arabe sahraouie démocratique (RASD), perdent un patriote, un combattant résolu, compétent et déterminé dans la lutte du peuple sahraoui pour son autodétermination.

    En cette douloureuse occasion, je voudrais exprimer à vous personnellement, au Gouvernement, au peuple et au parlement sahraouis, ainsi qu’à la famille de l’illustre disparu, mes sincères condoléances les plus attristées.
    Je voudrais également vous assurer de la compassion et de la solidarité de la commission de l’UA dans l’épreuve que vous traversez.

    En priant pour le repos de l’âme du disparu et pour le triomphe de la cause pour laquelle M. Mahf oudh Ali Beiba a consacré sa vie, je vous prie de croire, M. le président, à l’assurance de très haute et fraternelle considération ». (SPS)

  • Message de condoléances au président de la République du Sénat du mexicain

    Chahid El Hafed, 07/07/2010 (SPS) .Le président e la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président du Sénat de la République du Mexique, Carlos Navarrete Ruiz, suite à la disparition du président du Parlement sahraoui, M. Mahfoud Ali-Beiba.

    « C’est avec grande tristesse que nous avons appris la nouvelle de la mort de Mahfoud Ali Beiba, président du Conseil national sahraoui (Parlement), vendredi dernier à l’Ecole nationale du 27 février « , a écrit Carlos Navarrete Ruiz dans une lettre au président de la République, Mohamed Abdelaziz.

    Le président du sénat mexicain a présenté au nom du Sénat des États-Unis du Mexique, ses sincères condoléances pour la perte de l’un des fondateurs du Front Polisario et récemment président du Parlement qui a conduit les délégations sahraouies dans les différentes négociations avec le Maroc sous les auspices de l’Organisation des Nations Unies, a-t-il poursuivi.

    Il a rappelé d’avoir le privilège de rencontrer le défunt et de s’informer sur les conditions du peuple sahraoui, son organisation sociale et ses institutions, lors d’une réunion durant sa visite à Rabouni (Chahid Le Hafed) et la Wilaya de Smara, en mars dernier, a-t-il ajouté.

    Pour ceux qui ont eu le privilège de le connaître, il a laisse un exemple de la force de ses convictions qui doit se reproduire dans la conscience des générations futures, a-t-il conclu. (SPS)

  • Maroc-Espagne Ambassade presque déserte

    Quelque 13 responsables diplomatiques ont quitté leur poste. L’Espagne assure que les relations entre les deux pays n’en souffrent pas.
    Fait inouï. L’ambassade d’Espagne au Maroc semble déserte. C’est du moins ce que rapporte la presse espagnole. Selon cette dernière, au moins 13 responsables de la représentation diplomatique espagnole ont quitté le Maroc ces derniers jours. Une telle situation aura-t-elle des répercussions sur les relations entre les deux pays ? La diplomatie espagnole, rapporte la même source, estime que c’est une «pure coïncidence» et ne devrait avoir aucune incidence sur les rapports entre les deux voisins. Pourtant, l’ambassadeur, sortant, Luis Planas vient de quitter le pays, les nouveaux titulaires des consulats de Tétouan et Nador n’ont pas encore été désignés. Au niveau central, à Rabat, l’équipe de la représentation diplomatique du pays ibérique a été, momentanément, réduite. Le «ministre conseiller», le premier secrétaire ,le responsable détaché du département de l’Intérieur,
    le représentant du CNI (services de renseignements) ont tous quitté leur poste. Postes restés vacants en attendant la nomination de l’équipe qui va accompagner le nouvel ambassadeur, Alberto Navarro, qui devrait prendre  ses fonctions, à Rabat, dans les quelques semaines à venir. Par ailleurs et de l’avis général, l’ambassadeur sortant, Luis Planas, aura réussi «brillamment» sa mission. Planas a pu effacer, au cours de ses six dernières années passées au Maroc, tous les «désaccords» nés de la politique de l’ancien gouvernement de droite.
    Le Soir, 6/7/2010

  • L’emprisonnement du fils de l’ex-président mauritanien : «Une vengeance» contre son père

    Le fils de l’ex-président mauritanien Sidi Ould Haidalla est toujours emprisonné par l’Etat marocain qui veut «se venger» des positions de son père en faveur de la question sahraouie, a-t-on appris de sources judiciaires sahraouies.
    Dans une lettre récemment adressée au rassemblement des défenseurs sahraouis des droits de l’homme, le prisonnier Sidi Mohamed Haidalla qui se trouve actuellement à la prison marocaine de Salé a indiqué que son emprisonnement, en date du 13 juillet 2007, vise à ternir son image et celle de son père sur le plan international et à l’amener à renoncer à ses positions à l’égard de la question sahraouie.
    La question du Sahara occidental «nous a coûté nos vies et nous n’y renoncerons pas. Les prisons marocaines ont renforcé notre attachement à celle-ci et à sa légitimité», a-t-il précisé.  Il a également indiqué que la vengeance de l’Etat marocain contre son père «est une vérité qui a été affirmée par le délégué général de l’administration pénitentiaire marocaine».
    Dans ce sens, le député Elkassem Ould Belali avait souligné que «les autorités marocaines, qui s’ingèrent dans les affaires de la Mauritanie, punissent le fils de l’ex-président Ould Haidalla pour se venger des positions de son père à l’égard de la question sahraouie», appelant Rabat à mettre un terme à ces pratiques. 
  • Mauvaise foi

    Par Kamel Amghar
    L’intégration maghrébine, on en parle sans y croire vraiment. A force d’être débattu sans conviction, le projet s’enlise chaque jour un peu plus. En 1988, au sommet de Zéralda (Algérie), le climat était nettement plus propice à cette construction. Aujourd’hui, 22 ans plus tard, on est paradoxalement bien loin du compte. Qui n’avance pas recule. Les cinq pays de l’UMA n’arrivent manifestement pas à accorder leurs violons sur cet impératif fondamental pour l’ensemble de la région nord-africaine. Il est clair qu’un Maghreb uni et solidaire pèserait mieux sur la scène internationale. La concrétisation d’un tel ensemble permettrait non seulement de conclure des accords économiques avantageux avec d’autres organisations régionales et multilatérales, mais participerait aussi au développement des échanges inter maghrébins. Pour garantir le succès d’une telle entreprise, il doit y avoir des valeurs communes, des objectifs partagés et une ambition égale à créer un espace qui garantirait les intérêts de chaque partenaire. Faute de volonté, on peine à définir ce socle «basique» sur lequel on devrait bâtir l’union promise. Outre la question du Sahara occidental, il y a d’autres écueils à surmonter pour déblayer le terrain. Avant l’ouverture des frontières et la suppression des visas d’entrée, on doit – par exemple – s’entendre sur des questions essentielles comme la sécurité. Durant les années 1990, les groupes islamistes armés (GIA), qui ont mis alors l’Algérie à feu et à sang, avaient publiquement établi leur base arrière au Maroc. Ils commettaient des attentats en Algérie et se réfugiaient immédiatement après de l’autre côté de la frontière pour échapper aux poursuites des forces militaires algériennes. Au lieu de mettre la main à la pâte pour sécuriser la région, le roi Hassan II imposa, en 1994, le visa aux touristes algériens qui affluaient par milliers vers les stations balnéaires de ce pays voisin. Cette décision unilatérale, faussement motivée par une crainte de «contagion» terroriste, a été vécue comme une humiliation par l’ensemble du peuple algérien. Dans ce même registre, on doit également ajouter l’épineux problème du trafic de drogue, étant donné que le Maroc est connu pour être le premier producteur mondial de haschich. Pour des raisons historiques et sociales qui lui sont propres, le royaume tolère la culture du chanvre indien, et ses narcotrafiquants ont des ramifications qui vont jusqu’en Europe et au Moyen-Orient. Les trafiquants d’armes, les contrebandiers et les «négriers» de l’émigration clandestine, qui pullulent dans cette région frontalière, profitent aussi de cette étrange passivité des autorités marocaines. Dans un tel climat, l’union resterait pour longtemps impossible à concevoir. Faisant fi de toutes ces considérations, les officiels marocains appellent épisodiquement à la réouverture du poste frontalier entre les deux pays. Agir de la sorte en rejetant toute la responsabilité de cette triste situation sur la partie adverse revient à faire preuve d’une incroyable mauvaise foi. Evidemment, l’intégration maghrébine passe inéluctablement par la pacification et la sécurisation totales de la région. La résolution durable du conflit sahraoui constitue en ce sens un autre préalable à la redynamisation réelle de l’UMA. La communauté internationale et les peuples maghrébins ont compris que la prospérité tant souhaitée passe justement par le règlement de tous ces contentieux. Dire une chose et faire son contraire n’avance pas la cause des peuples frères du Maghreb. 
  • Témoignage des activistes des droits de l’homme sahraouis au siège du CNASPS

    Une rencontre de solidarité avec la résistance populaire sahraouie à laquelle participeront des acteurs de la résistance sahraouie.
    Dans le cadre de la semaine de la fraternité et de la solidarité avec le peuple sahraoui, organisée par le Comité National Algérien de Solidarité avec le Peuple Sahraoui (CNASPS) et l’APC Alger-Centre, l’association Machaâl Chahid organise le 8 juillet, à partir de 10 h, au centre de presse Mohamed Abderrahmani, El Moudjahid (Alger), une rencontre de solidarité avec la résistance populaire sahraouie à laquelle participeront des acteurs de la résistance sahraouie, entre autres des militants de droits de l’homme venus de la partie occupée du Sahara Occidental par le Maroc.
  • Sahara occidental : Des militants sahraouis des droits de l’homme expriment leur crainte d’une répression marocaine

    Onze militants sahraouis des droits de l’homme des territoires occupés ont exprimé, hier à Alger, leur crainte de subir des représailles de la part des services de sécurité de l’occupation marocaine, dès leur retour chez eux. Cette délégation de militants sahraouis des villes occupées d’El-Ayoun, Smara et Dakhla, qui sont en Algérie pour prendre part à l’université d’été de la jeunesse et des étudiants de la République arabe sahraouie et démocratique (RASD), ont affirmé à l’APS, en marge de leur visite au siège du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), que les autorités marocaines utilisent « tous les moyens » pour maintenir le black-out sur la situation des droits de l’homme dans les villes sahraouies occupées. C’est ainsi que la militante Nguia Haouci (20 ans) a affirmé qu’elle a été exclue de son lycée à El-Ayoun, dès que l’administration avait pris connaissance de l’objet de son déplacement en Algérie. De son côté, Hayat Reguibi (19 ans), qui a connu le même sort que sa compatriote Nguia, a indiqué que les responsables des établissements scolaires « utilisent tous le moyens pour faire pression sur les collégiens et les lycéens sahraouis ». « Ils sont allés jusqu’à nous imposer des épreuves d’examen sur le thème de l’histoire du Maroc, en nous obligeant à apprendre par cœur l’hymne national marocain », a-t-elle encore révélé. Elle a affirmé, par ailleurs, que « les autorités marocaines orientent les élèves sahraouis vers les CFPA d’Agadir et d’autres villes marocaines pour vider les villes sahraouies des habitants autochtones ». Hayat Reguibi a indiqué, en outre, qu’elle avait subi du chantage de la part du wali d’El-Ayoun, pour arrêter ses activités politiques. « 
    Des actes d’intimidation, allant jusqu’aux menaces de viol », ont été aussi dénoncés par cette militante sahraouie. Ces appréhensions quant à une réaction violente des autorités de l’occupation contre les onze membres de la délégation de militants sahraouis des droits de l’homme, dont 5 femmes et 6 hommes, ont été également exprimées par Abdallah Khenaoui (36 ans), qui fait figure, déjà, de vétéran parmi cette délégation. Ce militant sahraoui des droits de l’homme qui a purgé une peine de sept ans d’emprisonnement et qui a connu les centres de torture marocains, dont les célèbres PCCMI, gérés par les services de renseignements des forces militaires d’occupation, a estimé que « les autorités colonialistes sont capables d’aller vers le pire pour casser l’insurrection des Sahraouis des villes occupées ».
    « Ils peuvent bien recourir aux milices civiles des colons encadrées par des membres de services de sécurité pour agresser la délégation, comme ils l’avaient fait au début de l’année avec la sixième délégation de militants sahraouis des territoires occupés qui s’était rendue aux camps de réfugiés sahraouis et dans les territoires libérés », a-t-il encore relevé.

     

  • “Il faut se battre pour que la résolution de l’ONU soit une réalité”

    La question sahraouie lors de la, conférence du Centre des études stratégiques d’Echaâb : “Il faut se battre pour que la résolution de l’ONU soit une réalité”
    “Notre amitié avec le peuple sahraoui est de longue date et nous avons toujours été au rendez-vous pour soutenir le peuple sahraoui, afin de parvenir à sa décolonisation.” C’est ce qu’a déclaré, hier, le président de la jeunesse du parti malien pour la renaissance nationale (Parena), Djimdé Seydou, lors de la rencontre au Centre des études stratégiques d’Echaâb.
    Conduisant une délégation de sa formation à la semaine de la fraternité et de la solidarité avec le peuple du Sahara occidental, qui se tient actuellement, à Alger et, qui s’étendra jusqu’au 11 juillet prochain, M. Seydou a observé qu’il est inconcevable de défendre la démocratie, mais aussi la paix et la liberté pour tous les peuples, “sans attacher de l’importance à la situation du peuple sahraoui”.
    Le jeune leader malien a, en outre, précisé que le soutien du Parena aux Sahraouis s’inscrit dans le cadre des résolutions des Nations unies, visant la tenue d’un référendum. Il a également révélé que la semaine de solidarité avec le peuple sahraoui leur a permis, à lui et aux autres membres de la délégation, de comprendre “l’essentiel du vécu” de ce peuple.
    À l’adresse des journalistes présents, il a indiqué que son parti politique est bien décidé à “apporter (sa) pierre pour l’indépendance totale du peuple sahraoui”.
    La conférence d’hier, consacrée initialement à la “réflexion autour de la coopération et du développement au Sahel”, a surtout débordé sur la question du Sahara occidental, “la dernière colonie en Afrique”.
    Ainsi, elle a permis au représentant du Front Polisario de présenter les membres d’une nouvelle délégation de Sahraouis venus des territoires occupés du Sahara occidental, dont trois adolescentes, qui vont se rendre prochainement dans les camps de réfugiés, à Tindouf, au sud-ouest algérien.
    Elle a également donné l’occasion à la délégation malienne d’exprimer sa position par rapport à la problématique d’autodétermination du peuple sahraoui, qui s’inscrit en droite ligne avec la légalité internationale, ainsi que sur le poids du Parena au Mali. D’après M. Seydou, le parti pour la renaissance nationale a notamment 5 députés à l’Assemblée nationale et 500 élus locaux dont une vingtaine de maires.
    “Nous sommes le 5e parti politique au Mali, sur la centaine de partis existants, depuis l’entrée du multipartisme, en 1991”, a-t-il souligné, non sans ajouter que “le Parena est assez bien implanté” au Mali et qu’il s’inscrit dans “l’opposition constructive”. “Nous continuerons à promouvoir le réseau de solidarité avec le peuple sahraoui, appuyer et aider le peuple sahraoui pour parvenir à son indépendance”, s’est engagé le responsable malien, en plaidant pour la poursuite de “la résistance pacifique” en Afrique, car “il faut se battre pour que la résolution de l’ONU soit une réalité”.
    Concernant la question de la coopération et du développement, M. Seydou a tenu à rappeler qu’“aucun pays (vivant) en autarcie ne peut s’épanouir”. “La coopération et la fraternité sont essentielles pour l’Afrique”, a-t-il déclaré, en relevant que le développement est  “collé à la croissance et l’épanouissement des peuples”.
    Liberté, 7/7/2010
  • Le Chef de l’Etat reçoit un message de condoléances de M. Christopher Ross suite au décès de Mahfoudh Ali beiba

    Chahid El Hafed, 06/07/2010 (SPS) Le président de la République, M. Mohamed Abdelaziz a reçu mardi une lettre de condoléances de l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. Christopher Ross, suite à la mort du chef des négociateurs sahraouis, Mahfoudh Ali Beiba. « Nous avons appris avec une profonde tristesse la mort du chef de la délégation sahraouie aux négociations directes avec le Maroc sous l’égide de l’ONU sur l’avenir du Sahara occidental », a écrit l’envoyé personnel du SG au Sahara occidental, Christopher Ross dans une lettre au président, Mohamed Abdelaziz. « Avec la disparition de Mahfoudh Ali Beiba, nous avons perdu un négociateur sincère et sage », dont une copie est parvenue à SPS. « A cette douloureuse occasion, je tiens à vous présenter ainsi qu’à la famille du défunt, mes sincères condoléances et compassion, implorant Dieu le tout puissant d’accueillir Mahfoudh Ali Beiba dans son vaste paradis ». (SPS)