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  • Un parti espagnol appelle à «dénoncer les agressions" contre les militants sahraouis et étrangers

    Madrid, 22 Juillet 2010 (SPS) Le Partie de la Coalition canarienne a appelé le gouvernement de Madrid à dénoncer l’agression marocaine perpétrée dimanche dernier à El Aaiun (capitale du Sahara Occidental occupé par le Maroc) par les forces marocaines contre des citoyens sahraouis et Espagnols, venus souhaiter la bienvenue à la délégation de militants sahraouis des droits de l’homme de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis. Selon un communiqué publié mardi par le parti espagnol, « ces attaques ne sont qu’une série de la répression marocaine à l’encontre des Sahraouis ». Le parti a demandé au gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero de « condamner clairement cette nouvelle attaque et exiger du Maroc à mettre un terme à l’harcèlement des Sahraouis et la nécessité de respecter les droits de l’homme et des libertés d’expression ». Le communiqué a appelé également la communauté internationale « de ne pas garder le silence au sujet de ces agressions. «  D’autre part, quatre Espagnols, victimes de cette agression avaient annoncé leur intention d’attirer l’attention du Conseil européen , afin de prendre des mesures contre le gouvernement marocain, selon le journal Al Quds Al Arabi. (SPS)

  • Un parti espagnol appelle à «dénoncer les agressions » contre les militants sahraouis et étrangers

    Madrid, 22 Juillet 2010 (SPS) Le Partie de la Coalition canarienne a appelé le gouvernement de Madrid à dénoncer l’agression marocaine perpétrée dimanche dernier à El Aaiun (capitale du Sahara Occidental occupé par le Maroc) par les forces marocaines contre des citoyens sahraouis et Espagnols, venus souhaiter la bienvenue à la délégation de militants sahraouis des droits de l’homme de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis. Selon un communiqué publié mardi par le parti espagnol, « ces attaques ne sont qu’une série de la répression marocaine à l’encontre des Sahraouis ». Le parti a demandé au gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero de « condamner clairement cette nouvelle attaque et exiger du Maroc à mettre un terme à l’harcèlement des Sahraouis et la nécessité de respecter les droits de l’homme et des libertés d’expression ». Le communiqué a appelé également la communauté internationale « de ne pas garder le silence au sujet de ces agressions. «  D’autre part, quatre Espagnols, victimes de cette agression avaient annoncé leur intention d’attirer l’attention du Conseil européen , afin de prendre des mesures contre le gouvernement marocain, selon le journal Al Quds Al Arabi. (SPS)

  • Le président de la République reçoit les condoléances du Groupe Sud Communication suite au décès de Mahfoud Ali Beiba

    Chahid El Hafed, 22/07/2010 (SPS) Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a reçu mercredi une lettre de condoléances du président du Groupe Sud Communication, Babacar Touré, dans laquelle il a présenté ses condoléances émues au peuple sahraoui, suite à la disparition de feu, Mahfoud Ali Beiba, ancien président du conseil national sahraoui (CNS) que nous diffusons dans son intégralité. « Dakar, le 20 juillet 2010
    Son Excellence, Monsieur Mohamed Abdel Aziz Président de la République Arabe Sahraouie Démocratique Secrétaire général du Front Polisario Excellence, Monsieur le Président, Nous avons appris avec consternation et émotion, le rappel à Dieu Soubhana Wa Talla, de Mahfoudh Ali Beiba, notre vaillant camarade, grand dirigeant du peuple frère sahraoui, membre fondateur du Front Polisario. Notre regretté camarade a également dirigé avec fermeté et détermination, loyauté et ouverture, la délégation de la République Arabe Sahraouie Démocratique et du Front Sahraoui, désignée pour les négociations avec le Royaume du Maroc. Il était connu pour son dévouement à la cause du peuple sahraoui, son internationalisme conséquent et son attachement aux valeurs universelles de paix et de progrès dans l’amitié et la solidarité des Nations. Nul doute que les idéaux et les valeurs pour lesquels il a vécu et qu’il partageait avec vous, ses camarades et l’ensemble du peuple sahraoui, mais aussi avec nous tous, vos camarades et aussi de par le monde, seront perpétués sous votre haute direction par les générations actuelles et futures. Permettez-moi, Monsieur le Président et cher camarade, de vous demander de bien vouloir transmettre mes condoléances émues, ainsi que celles des nombreux camarades et amis que vous comptez parmi nous, au Sénégal et en Afrique. Transmettez nos condoléances à toutes les instances de l’Etat, du Front Polisario et au peuple sahraoui. Vive la lutte pour l’émancipation du vaillant peuple sahraoui ! Vive l’amitié et la solidarité entre les peuples ! Très haute considération. Votre camarade, Votre compagnon, Votre ami et frère Babacar Touré Président du Groupe Sud Communication ». (SPS)
  • L’Algérie réitère son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination

    Chahid El Hafed, 22/07/2010 (SPS) Le président de la République algérienne démocratique et populaire, M. Abdelaziz Bouteflika a réitéré le soutien indéfectible de son pays au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance, dans un message en réponse à une lettre du président de la République, M. Mohamed Abdelaziz, qu’il lui a adressé à l’occasion du 48ème anniversaire de l’indépendance et de la jeunesse. « Au nom du peuple algérien, je ne peux que vous exprimer nos plus chaleureuses salutations et gratitude, saluant les liens fraternels qui unissent nos deux peuples frères », a écrit le président algérien dans sa lettre au président de la République, dont une copie est parvenue à SPS. M. Abdelaziz Bouteflika a exprimé la détermination de l’Algérie à « continuer à soutenir le peuple sahraoui jusqu’au recouvrement de ses droits légitimes du à l’autodétermination et l’indépendance », a conclut la lettre. (SPS)

  • Sahara Occidental El-Gueddafi : «Le droit à l’autodétermination est l’unique solution»

    «J’insiste toujours sur le référendum sans lequel il n’y a pas d’autre solution», a soutenu le leader libyen après avoir déclarer qu’«il est insensé pour nous, en tant que frères, arabes et musulmans, de nous quereller mutuellement (…). Nous ne devons plus recourir aux armes».
    Les déclarations du colonel El-Gueddafi ne seront pas sans impact sur l’approche  coloniale marocaine au Sahara Occidental prônant une solution «d’autonomie  pour un territoire inscrit dans les annales onusiennes en tant que question de décolonisation. Tenant ces propos à l’occasion d’une rencontre avec la délégation algérienne composée de représentants  des trois partis politiques, FLN-RND-MSP, la Libye  fait table rase de  toutes les lectures politiques infondées, faisant état du recul de la position de principe de Tripoli sur la décolonisation du Sahara Occidental. 
    Une position de principe chez nos voisins, pour rappel,  émanant des  fondements directeurs du processus historique du peuple libyen dont sa lutte pour l’indépendance du joug colonial italien. Cela étant, le  colonel El-Gueddafi a  tenu, par ses propos,  à saisir cette opportunité pour réaffirmer le soutien de Tripoli à la cause du peuple sahraoui pour son indépendance via  la tenue d’un référendum d’autodétermination.
    Un message de portée significative au vue du processus enclenché par  le représentant de l’ONU, Christopher Ross, illustré par les pourparlers indirectes sous les auspices onusiens entre les parties en conflit, en l’occurrence, le Front Polisario et  les autorités marocaines. Si  des voix de part et d’autres de l’opinion internationale ou de responsables s’élèvent pour exiger  le respect et l’application de la légalité internationale dans le règlement de la décolonisation du Sahara Occidental, ce n’est qu’un  rappel à l’ordre à ceux qui manœuvrent à son en piétinement. A ce propos, le guide libyen a lancé qu’il y a lieu de «convaincre toutes les parties qui rejettent le référendum d’y recourir». En se référant pertinemment  aux leçons de l’Histoire, il  rappelle qu’«il est établi de par le monde que l’on ne peut occuper, accaparer ou réprimer un peuple  contre sa volonté».  Aussi, en soulignant que «l’autodétermination est un principe universel», il n’a pas manqué d’indiquer que  «si les Sahraouis diront non et optent pour leur indépendance, nul ne saurait les contraindre à choisir une autre solution». Autant de déclarations du leader libyen sur le Sahara Occidental qui est le dernier territoire à décoloniser sur le continent.
    Par ses récentes déclarations, le guide libyen, qui pour lui l’édification réel du Maghreb  est une préoccupation  importante, met en exergue la voie à emprunter pour parvenir à un ensemble maghrébin effectif. Ce dernier ne peut s’ériger en force politique, économique et culturelle au vue des exigences de l’heure s’il y a piétinement et infraction du  droit indéniable du peuple sahraoui à l’autodétermination. D’où les propos du leader libyen qualifiant  la question du Sahara Occidental de «problème douloureux» et affirmant que cette question a «constitué un frein à la concrétisation de l’UMA».  En pitre, il n’a pas manqué de réitérer, par la même occasion, que «le peuple sahraoui avait le droit de choisir à travers un référendum parrainé par l’ONU».
    Karima Bennour

  • Les valeurs de la France : l´exemple du Sahara Occidental

    Au moment de la conférence sur le racisme de l’ONU, je m’étais insurgé contre le comportement de nos pays par rapport à la gestion du racisme. Personnellement, je rentre aussi dans cette catégorie la question des droits de l’homme : il est inacceptable que nous nous permettions de donner les leçons au Monde alors que nous sommes incapable d’être droit nous-mêmes sur ces questions, comme par exemple avec la Chine l’été dernier.
    L’actualité du jour nous le montre encore. Le conseil de sécurité discutait aujourd’hui du prolongement du mandat du contingent des casques bleus au Sahara Occidental (MINURSO). Le Front Polisario, qui est le principal mouvement en lutte contre l’occupation marocaine, réclamait que la MINURSO étende sa mission à la surveillance du respect des droits de l’homme par les autorités marocaines et par le Front Polisario lui-même. Cette demande a été appuyée par deux membres non-permanents du conseil, le Costa Rica et l’Ouganda, et les grandes puissances semblaient laisser faire.
    Or, une fois n’est pas coutume, la France a bloqué cette évolution, pourtant parfaitement acceptable et cohérente avec nos valeurs, pour ne pas froisser l’allié marocain. Franchement, cher lecteur, si l’objectif de notre pays est de permettre aux droits de l’homme de progresser, à quoi servent ce type d’actions, ces soutiens à des pays qui mènent des politiques pas toujours très claires. La seule solution est le référendum au Sahara occidental, solution totalement rejetée par les autorités marocaines.
    A quand une politique internationale en adéquation avec nos valeurs ?
  • APN : M. Ziari souligne l’attachement de l’Algérie au droit humanitaire international s’il n’est pas utilisé comme moyen d’ingérence.

    Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Abdelaziz Ziari a souligné jeudi à Alger « l’attachement de l’Algérie aux principes du droit humanitaire international et à l’action humanitaire tant que ces principes ne sont pas exploités aux fins d’ingérence dans les affaires internes des Etats ». Dans un message adressé aux participants à la journée d’étude sur « le rôle des parlementaires dans la mise en oeuvre des dispositions du droit humanitaire international dans la législation nationale », organisée au siège de l’APN avec la participation de la mission du comité international de la Croix- Rouge (CICR) en Algérie, M. Ziari a affirmé que « l’Algérie a le regret de voir le débat avec tout ce que le droit humanitaire comporte de noble, réorienté à la faveur de concepts divergents tels que +le droit d’ingérence humanitaire+, +la sécurité humaine+ ainsi que d’autres concepts non consensuels sur le plan international, car rejeté par les Etats partisans de la paix et de l’équité ». Il a rappelé à l’occasion les positions du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika qui a condamné à maintes reprises l’instrumentalisation des questions humanitaires pour justifier l’ingérence étrangère dans les affaires intérieures d’Etats souverains. Il a par ailleurs mis en exergue la place qu’occupent les conventions des droits de l’homme et leur influence sur les politiques intérieures rappelant « les violations des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés y compris El Qods est » et la situation « préoccupante » au Sahara Occidental, « qu’il s’agisse des réfugiés ou des habitants des territoires occupés ». « L’Algérie continuera à fournir assistance et protection aux réfugiés sahraouis en attendant qu’une solution définitive soit trouvée », a soutenu le président de l’APN ajoutant que cette démarche « s’inscrit dans le cadre de l’action de l’Algérie visant à consolider les principes du droit international de protection des catégories humaines vulnérables telles que les réfugiés et les personnes déplacées ». De son côté, la présidente de la mission du CICR en Algérie, Mme Eva Svopoda a estimé que « faire connaître le droit humanitaire international est plus que jamais nécessaire dans un monde marqué par les conflits et les guerres » ou la plupart des victimes sont des civils.Dans une communication intitulée « Présentation du droit international humanitaire et le rôle des parlementaires dans la mise en oeuvre de ses dispositions », le conseiller régional auprès du Comité international de la Croix-Rouge, Dr Chérif Atlem, a soulevé deux importantes interrogations. La première concerne les méthodes d’application des sanctions contre les criminels de guerre à la lumière des violations quotidiennes des droits de l’homme durant les guerres rapportées par les médias. La deuxième concerne la raison qui fait que le droit international n’est appliqué qu’au pays « faibles ». Le conférencier estime « qu’il serait vain de compter sur le conseil de sécurité pour sanctionner les criminels de guerre car c’est un « conseil politique ». Pour ce faire, a-t-il indiqué, il convient de relancer d’autres mécanismes tel la Cour pénale internationale qui est parvenue, selon lui, depuis sa création, à combler un grand vide. Il convient également, a-t-il poursuivi, de réactiver le volet « sanction » dans le droit international humanitaire dans les législations internes des pays, ce qui leur permettra « d’engager des actions judiciaires devant la justice locale à l’encontre des criminels de guerre à l’instar de la Belgique où une action a été intentée contre les criminels de Sabra et Chatila ». Par ailleurs, le représentant de la commission nationale du droit international humanitaire, M. Maroc Nasreddine a évoqué dans son intervention sur « le rôle de la commission nationale pour l’application du droit international humanitaire », « l’engagement de l’Algérie à l’adaptation du système législatif national au droit international humanitaire à travers la création de cette commission le 4 juin 2008. Présidée par le ministre de la Justice garde des sceaux, la commission se réunit deux fois par an et a pour mission d’adapter les législations nationales au droit international humanitaire en sus de l’organisation de sessions de  formation pour les magistrats et journalistes sur les méthodes de gestion des conflits conformément à la loi. APS

  • Algérie-RASD: des liens « très étroits »

    Algérie-RASD | Le recueillement samedi d’une délégation sahraouie à la mémoire des martyrs de la manifestation du 11 décembre 1960 dénote de l’étroitesse des relations entre l’Algérie et la République arabe sahraouie démocratique, a indiqué samedi à Alger, M. Brahim Ghali, ambassadeur de la RASD à Alger.
     A la faveur de ce geste, nous voulons montrer toute la solidité des liens existant entre les Algériens et les Sahraouis », a fait savoir M. Ghali qui faisait partie de la délégation, composée de militants membres de la résistance populaire des territoires occupés du Sahara occidental ainsi que de jeunes et étudiants participants à la 2e université d’été de la RASD. Pour l’ambassadeur de la RASD, le message que lui et la délégation qui l’accompagne, voudraient lancer à l’adresse des gens épris de justice de par le monde, est que la résistance et la lutte finiront par payer et que les Sahraouis recouvreront leur indépendance à l’instar des peuples de la terre

  • Conférence au Centre des études stratégiques d’El Chaaâb : «Tous les peuples ont le droit de jouir de leurs libertés»

    « Nous avons soutenu sans réserve le peuple sahraoui depuis le début de sa lutte par le biais de l’Algérie.
    Nous le soutenons encore aujourd’hui et nous soutenons son droit à l’autodétermination », affirme M. Djimdé Seydou, le président du bureau de la jeunesse du parti pour la renaissance nationale (Parena) dans une conférence qu’il a animée au Centre des études stratégiques d’El Chaâb en compagnie de Mme Mama Coulibaly, secrétaire à la Promotion de la condition féminine.
    Invités par le comité national algérien pour la solidarité avec le peuple sahraoui, à l’occasion de la semaine de la fraternité et de la solidarité algéro-sahraouie qui s’étendra à Alger, jusqu’au 11 juillet, les deux responsables du Parena, un parti d’opposition au Mali qui pèse 5 députés et 500 élus dont 20 maires, qui étaient accompagnés par une forte délégation du parti (dix personnes) ont préféré ne pas intervenir sur le thème retenu initialement : la coopération dans le Sahel africain mais sur les relations de leur mouvement avec le peuple sahraoui et les moyens et les voies de les dynamiser. « Tous les peuples ont le droit de jouir de leurs libertés », dit-il avouant être à Alger pour mieux comprendre la cause du dernier peuple colonisé d’Afrique pour pouvoir mieux sensibiliser les masses au Mali. Il est vrai que dans les pays francophones, pour des raisons multiples, la cause sahraouie rencontre mille obstacles. « Sur les 33 pays africains qui ont reconnu la RASD, très peu sont francophones », fait remarquer M. Berkouk, le modérateur de la conférence et un des architectes de l’axe Alger-Abuja-Pretoria, un axe qui apporte tout son soutien à la RASD sur le continent africain. « Nous souhaitons élargir cet axe », lance M. Djimdé Seydou qui s’apprête à signer un protocole d’accord avec le comité que dirige M. Mehrez Lamari.
    « Il est malheureux de constater que le Maroc continue à ignorer qu’aucun pays ne reconnaît la marocanité du Sahara », dira Belayet, l’ex-ministre et actuel membre du bureau politique du FLN. En marge de la conférence à laquelle une délégation de Sahraouis des territoires occupés (El Ayoun, Smara et Dakhla) ont assisté, certains ont avoué leur crainte de subir des représailles dès leur retour chez eux. Nguia Haouaci et Hayat Reguibi ont été exclues du lycée dès l’objet de leur déplacement à Alger connu.
    HORIZONS, 6/7/2010

  • Une association espagnole dénonce «l’état de siège imposé par Rabat»

    Le président de la Fédération des institutions espagnoles solidaires avec le peuple du Sahara occidental (Fedissa), Carmelo Ramirez, a dénoncé «l’état de siège» imposé par le Maroc aux citoyens sahraouis dans la capitale occupée du Sahara occidental, El-Ayoune, afin de «terroriser» la population dans les territoires occupés. Le gouvernement du Maroc maintient une répression permanente et une violation constante des droits de l’homme», déclare-t-il, pour lui, il est incompréhensible que cette répression se produise «contre un groupe de citoyens sahraouis sortis pacifiquement souhaiter la bienvenue à des militants des droits humains de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis».Le Maroc «cherche seulement à semer la terreur, la pire chose dans ce cas est l’agression contre cinq observateurs espagnols», a-t-il estimé, en ne manquant pas d’appeler le colonisateur marocain à se conformer aux résolutions de l’ONU, «afin de permettre une fois pour toutes l’organisation du référendum d’autodétermination».Ceci est à même «de mettre fin à ces violations continues des droits de l’homme» au Sahara Occidental, conclut Carmelo Ramirez. R. I.