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Cuba confirme son engagement envers la décolonisation du Sahara occidental
Nations Unies, 23 juin, (RHC)–. Cuba a confirmé aux Nations Unies son engagement envers la décolonisation du Sahara occidental.Au cours d’une intervention devant le comité spécial pour la décolonisation, Pedro Nuñez Mosquera, ambassadeur permanent de Cuba auprès de l’ONU, a signalé que la résolution 1514 de l’Assemblée générale consacre le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.« Le conflit au Sahara est une question de décolonisation et c’est à ce comité que revient un rôle de premier ordre dans l’analyse de la situation » a relevé l’ambassadeur de Cuba qui a souligné que le peuple sahraoui est le seul pouvant décider de son avenir, librement, sans pressions ni conditions.Au nom de Cuba, Pedro Nuñez Mosquera a appelé les parties en conflit à poursuivre les efforts pour trouver une solution garantissant l’autodétermination du peuple sahraoui sur la base du respect des principes et objectifs de la Charte de l’ONU et de la résolution 1514 de l’Assemblée générale.L’ambassadeur permanent de Cuba auprès de l’ONU a d’autre part souligné l’appui que son pays offre au peuple sahraoui. Il a cité, sur ce point, la formation que reçoivent plus de 400 jeunes de ce pays du Maghreb dans la plus grande des Antilles. -
L’EDITO DE SOFIANE IDJISSA : L’impossible arrimage régional
Le projet initial d’Union pour la Méditerranée du président français ne pouvait comporter les éléments deconstruction sur le modèle de l’UE et il est certain que ceux qui soutiendraient que cela pouvait déboucher sur un tel projet ignorent – volontairement – qu’aucune union véritable ne peut se faire par rapprochement de systèmes politiques pratiquement antagonistes et des valeurs vraiment incompatibles. D’abord, l’UE a mis pratiquement 50 ans pour maturer et elle n’est pas encore arrivée à ses objectifs : il y a encore desréférendums qui se terminent par des rejets du traité constitutionnel. Déjà, avec des systèmes politiques homogènes, des valeurs en principe communes, des politiques plutôt centrées sur des enjeux de pouvoir, les mêmes comportements par rapport au champ politique, au champ médiatique, les pays maghrébins ne sont pas arrivés à avancer dans le processus de leur union, à garantir la liberté de circulation de leurs populations au sein du Maghreb et encore moins à créer un marché commun. Ce sont plutôt des initiatives extérieures qui encouragent à l’Union magrébine : ce sont les Américains qui ont réussi a réunir pour la première fois les chefs d’état-major des forces armées des pays du Maghreb a Stuttgart, en Allemagne, au siège de l’Otan et lancé l’initiative pansahélienne de lutte contre le terrorisme ; c’est le processus de Barcelone qui recommande la constitution d’un marché maghrébin et une intégration maghrébine… Quelle union pourrait exister entre des politiques économiques qui ont fait un long chemin sur la voie d’intégration sur la rive nord alors qu’elles s’ignorent complètement sur la rive sud ?S. I.La Nouvelle République, 27/6/2010 -
Le Maroc n’a jamais renoncé à ses revendications sur la Mauritanie
Un parlementaire mauritanien se réfugie au Mali:L’affaire fait déjà grand bruit. En effet, le site arabophone « aqlam » vient de révéler qu’un parlementaire mauritanien a obtenu la nationalité malienne et aurait procédé au transfert de tous ses biens vers son nouveau pays d’accueil. Avec l’obtention de cette nationalité, ce parlementaire jouirait actuellement des mêmes droits qu’un citoyen malien à part entière.Le site n’a pas donné le nom de ce parlementaire mais affirme néanmoins que ces derniers temps son absence des séances était très notoire. Il dit également que c’est un parlementaire de l’opposition qui a récemment rejoint le camp de la majorité.Les raisons apportées par ce parlementaire sur cette décision, c’est la recherche d’une paix et d’une stabilité mais des observateurs annoncent qu’il aurait contracté des dettes importantes envers certaines banques du pays et a peur de la confiscation de ses biens.Même si le texte sur la double nationalité dans le pays n’est pas totalement clair vis-à-vis de certains malgré sa révision et sa modification, ce parlementaire bénéficie quand même de l’immunité parlementaire et fait partie du plus grand groupe parlementaire au sein de l’assemblée nationale.Le choix de ce parlementaire élu sous les couleurs d’un parti d’opposition dans l’une des plus grandes villes du pays, intervient quelques temps après qu’un haut fonctionnaire mauritanien ait opté pour la nationalité marocaine, note le site.Source: Aqlam -
Exactions marocaines contre des jeunes sahraouis à Al Ayoun : L’ambassadeur de la RASD indigné
Brutalisez comme bon vous semble, cela ne fera qu’accentuer la détermination de notre peuple à recouvrer son indépendance ! ».
C’est en ces termes que son Excellence, l’ambassadeur la République sahraouie, Brahim Ghali, s’est adressé hier à l’administration marocaine à l’occasion de la tenue de l’université d’été de la jeunesse sahraouie au Village africain de Sidi Fredj. « Que les Marocains sachent que la résistance se poursuivra sans relâche », a encore asséné le diplomate, qui n’a pas manqué d’exprimer sa « vive indignation » face aux douloureux événements dont la capitale El-Ayoun a été le théâtre, le 18 juillet dernier, à la faveur du retour de quelques militants dans leur pays natal. Brahim Ghali a appelé l’ONU à organiser une session spéciale de dénonciation et de condamnation des violations systématiques des droits de l’homme par le Maroc dans les territoires sahraouis occupés. L’ambassadeur sahraoui n’a pas omis de rendre hommage à la population sahraouie qui, face aux moyens ultra-sophistiqués dont disposaient les forces marocaines, n’a répliqué que par « sa profonde foi en la justesse de son combat, de son droit à l’autodétermination et de son refus de rester sous le joug de la colonisation ». Pour sa part, Michel Mujica, ambassadeur de la République bolivarienne du Venezuela auprès de l’Algérie et de la République arabe sahraouie démocratique, également membre du Forum des ambassadeurs solidaires avec le peuple sahraoui, a mis en évidence la nécessité d’étendre les prérogatives de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso). « Les exactions commises par les Marocains n’auraient pas eu lieu en la présence d’une force capable de les dissuader de s’adonner à des actes de violence », a fait savoir M. Mujica, rappelant que 90 pays reconnaissaient, jusqu’à l’heure actuelle, le Front Polisario et l’Etat sahraoui.L’appui de l’ambassadeur du Venezuela
Selon l’ambassadeur vénézuélien, et au regard des ressources dont regorge le Sahara occidental, chaque citoyen a droit à 10 mille dollars par année. Il a appelé l’ONU, par le biais de la Minurso, à l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, d’autant, a-t-il dit, que les « bonnes intentions » de la partie sahraouie sont « indéniables » à la faveur des concessions faites jusqu’à présent. Lors de son intervention, Mahrez Lamari, président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), a salué « l’héroïsme et la résistance » des Sahraouis face aux exactions perpétrées par la partie marocaine. Dans la foulée, il a lancé un appel pressant à l’ONU afin que cette dernière assure la sécurité des Sahraouis et qu’elle mette les mécanismes « susceptibles d’assurer le déroulement d’un référendum pour l’autodétermination ». M. Lamari a fait savoir que l’Algérie allait accueillir, durant l’actuelle saison estivale, 1000 enfants sahraouis. En outre, a-t-il ajouté, quelque 500 cadres de la RASD séjourneront en Algérie durant le mois d’août prochain, dont les cadres se trouvant dans les territoires occupés. A la fin de cette rencontre, les participants à l’université d’été ont lu un communiqué dans lequel ils expriment leur « indignation » face aux pratiques des forces de sécurité marocaines à l’encontre des populations sahraouies. Ils ont lancé un « appel urgent » à la communauté internationale et au Conseil de sécurité afin que celui-ci mette un terme à ces pratiques et qu’il oblige le Maroc à se soumettre à la légalité internationale.
El Watan, 22/7/2010 -
Philippe Moreau Defarges : La majorité des pays n’a pas reconnu l’indépendance du Kosovo
Philippe Moreau Defarges. Chercheur à l’Institut français de relations internationales : La majorité des pays n’a pas reconnu l’indépendance du KosovoLa Cour internationale de justice a estimé, hier, dans un avis consultatif rendu à la Haye, que la déclaration d’indépendance du Kosovo n’a pas violé le droit international. Juste avant cette déclaration, El Watan Week-end a contacté un expert. – Cet avis était très attendu, particulièrement par les groupes minoritaires et organisations séparatistes qui vont y chercher un précédent légal pour asseoir leurs revendications. Qu’en pensez-vous ?Tout d’abord, il est important de dire que c’est un avis. Ce qui veut dire qu’il est juridiquement non contraignant. Il est fourni et constitue une analyse juridique du dossier, sur lequel le deux parties ont des avis totalement divergents. Ensuite, il est certain que, comme l’avis consultatif sur le Sahara occidental, cet avis sera prudent et balancé. Il prendra en compte les liens historiques entre la Serbie et Kosovo et le fait que le Kosovo fasse partie de la République serbe. Il prendra aussi en compte le droit du Kosovo à prendre en main son propre destin. Ce qui donnera du grain à moudre à tout le monde.– Est-ce que cet avis consultatif, repris par les organes des Nations unies, pourra jouer en faveur de la reconnaissance totale de l’indépendance du Kosovo ?Tant que nous n’avons pas analysé le contenu de l’avis, on ne peut rien dire. Mais compte tenu du fonctionnement de la Cour internationale de justice, elle donnera un avis ouvert, en reprenant les deux points de vues. L’ONU ne donnera pas d’aspect contraignant à cet avis, ce n’est pas sa pratique. Les 192 membres sont très divisés sur la question. A ce jour, 69 pays ont reconnu l’indépendance du Kosovo, ce qui veut dire que la majorité ne l’a pas reconnue. La communauté des Etats membres est donc très divisée sur la question. Il sera très difficile que le Conseil de sécurité ou que l’Assemblée générale adopte un texte juridiquement contraignant.– A l’image de l’avis consultatif rendu sur le Sahara occidental en 1975, celui-ci peut-il donner une base de revendication plus forte aux Kosovars ?Ce qui est sorti de l’avis de 1975, c’est qu’il fallait demander aux Sahraouis comment ils voulaient prendre en main leur destin. Veulent-ils être indépendants, rattachés au Maroc ou bien devenir autre chose ? Cela implique la mise en place d’un référendum qui n’a jamais eu lieu. Le cas du Kosovo est plus compliqué. Un référendum a déjà eu lieu, dont le résultat a été la volonté d’indépendance des Kosovars. La Serbie, rappelons-le, est composée à 90% d’Albanais et redemander un référendum, c’est déjà prendre partie, puisqu’on en connaît déjà la réponse positive. La demande d’un référendum ne peut que déplaire à la Serbie. Cet avis a été provoqué par cette dernière, à travers lequel elle veut voir reconnue l’appartenance historique du Kosovo à la Serbie. Ce qui n’a aucune chance d’aboutir. L’avis ne peut que confirmer la volonté des Kosovars à disposer d’eux-mêmes.El Watan, 23/7/2010 -
La Tanzanie et l’Algérie réitèrent leur soutien au droit du peuple sahraoui à la liberté et à l’autodétermination
Tanzanie, 21/07/2010 (SPS) La Tanzanie et l’Algérie ont réitéré mercredi leur soutien constant au droit du peuple sahraoui à la liberté et à l’autodétermination à l’issue d’une session de la Commission mixte des deux pays tenue dans la capitale de la Tanzanie. Dans un communiqué rendu publique après la réunion des MAE des deux pays, M. Abdelkader Messahel, ministre algérien délégué chargé des affaires maghrébines et africaines et M. Bernard Camiling Mumbey, ministre des Affaires étrangères et la coopération internationale de la Tanzanie, les deux pays ont rappelé que la question dus Sahara occidental est une question de décolonisation et renouvelé leur soutien aux résolutions des Nations Unies appelant au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, reconnu par le Droit et la légalité internationale. Les deux parties ont souhaité la reprise des négociations entre le Front Polisario et le Maroc pour parvenir à « une solution juste et durable au conflit qui permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et choisir entre l’indépendance ou l’intégration ». D’autre part, les deux parties ont condamné les violations des droits humains commises par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara occidental. (SPS) -
Des dizaines de Sahraouis blessés par la police marocaine à El Ayoun
Sahara Occidental: Devant accueillir un groupe d’activistes de retour des camps de réfugiés – Des dizaines de Sahraouis blessés par la police marocaine à El Ayoun
Amar Rafa
La police marocaine a procédé, dimanche soir, à une intervention «brutale», dimanche dernier à El Ayoun, dans les territoires sahraouis occupés, contre des citoyens sahraouis sortis accueillir un groupe de onze activistes sahraouis de retour d’une visite dans les camps de réfugiés sahraouis, selon l’agence sahraouie SPS.Des dizaines de citoyens sahraouis ont été blessés, dont des observateurs espagnols, a-t-on ajouté de même source. La journaliste espagnole Laura Gallego, qui était présente dans la maison où se trouvaient les membres de la délégation la nuit de dimanche à lundi, a déclaré que la police entourait le domicile et «lançait des pierres et des objets sur le toit». «La police marocaine sans avertissement a lancé des pierres contre des citoyens espagnols qui étaient présents, causant beaucoup de lésions sur les corps des victimes», a-t-elle enchaîné. La délégation de onze militants sahraouis des droits de l’Homme des territoires occupés avait exprimé, à Alger, sa crainte de subir des représailles de la part des services de sécurité de l’occupation marocaine, dès son retour chez eux.En réaction à cela, le président sahraoui, secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, a appelé le secrétaire général des Nations unies, M. Ban Ki-moon, à intervenir pour protéger les citoyens et militants sahraouis contre la répression des autorités de l’occupation marocaine. Dans une lettre adressée au secrétaire général de l’ONU, le président sahraoui a dénoncé ces violations perpétrées par le Maroc et a appelé le SG des Nations unies à prendre toutes les mesures urgentes à même d’assurer la protection des droits de l’Homme au Sahara occidental occupé à travers la mise en place d’un mécanisme onusien «efficace» de contrôle des droits de l’Homme au Sahara occidental, à même de mener le gouvernement marocain à se plier à la légalité internationale et à cesser ces violations graves des droits de l’Homme. Pour sa part, le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) a dénoncé la «répression brutale, dure et féroce» et les «violations systématiques des droits de l’Homme et la persistance de la politique criminelle coloniale marocaine dans les territoires sahraouis occupés».Ce comité a indiqué que les participants de l’Université d’été jeunesse de la RASD tiendront une session spéciale de dénonciation et de condamnation en présence d’un panel d’ambassadeurs et des membres du CNASPS, aujourd’hui au camp international de la jeunesse de Sidi Fredj. Au cours de cette manifestation, les participants «apporteront tout le soutien et la solidarité à la résistance populaire pacifique des Sahraouis» dans les territoires occupés du Sahara ccidental.AllAfrica.com, 22/7/2010 -
Fils blancs
Par Mohamed AbdounLa prétendue Al Qaïda au Maghreb arabe, organisation fantôme dont l’existence est rageusement défendue par ceux qui souhaitent que les Américains prennent le contrôle du sud de l’Algérie et de toute la bande sahélo-saharienne, cette Aqmi aurait menacé d’éliminer un Français, otage quelque part dans le Sahel, si la France ne libère pas un ou plusieurs terroristes détenus chez elle.Par-delà le fait que c’est la France qui a recherché cette inconfortable position lorsque Sarkozy avait fait pression sur le président malien, ATT, afin qu’il libére quatre dangereux criminels contre la récupération de son espion parti inspecter les lieux, il y a fort à parier que des demandes tacites, informulées, adressées par » valises diplomatiques » ont également dû être faites.Tout le monde sait, en effet, que seul l’argent fait encore courir et agir les quelques survivants des redoutables » moulathamoune « , qui activaient dans le temps sous la férule de Abderrezak El Para, de son vrai nom Amari Saïfi, et Mokhtar Belmokhtar, alias Belaâouar. Dirigés désormais par Abou Zeïd, les quelques éléments du peu qui reste du Gspc ont fini par faire jonction avec les bandes de contrebandiers, les trafiquants d’armes et même les bandits versés dans la traite des blanches pour donner naissance au phénomène du gangsterrorisme.Mis en appétit dès 2003 par la très forte rançon versée par l’Allemagne au Gspc, quand il était à l’apogée de sa puissance, ces bandits recherchent la même chose, sans pour autant poursuivre les mêmes buts.Si la rançon allemande, à cette époque, avait servi à l’achat d’un effrayant arsenal de guerre devant être acheminé vers les maquis du nord, (nous ne le savons que trop puisque le convoi criminel avait été brillamment intercepté par les forces de l’ANP quelque part dans le Grand Sud algérien), il en va tout autre aujourd’hui. L’argent que ces bandits perçoivent régulièrement, mais fort discrètement, de la part de nombreuses capitales occidentales, ainsi que de la Libye qui a joué un rôle nodal dans la récente libération du couple d’Italiens, sert avant tout à recruter des mercenaires de tous poils et de tous acabits. Cela augmente leur puissance de feu, leur permet de contrôler de vastes no-man’s land et même de rançonner les trafiquants de cigarettes et de drogue qui ont fait du Sahel un nouveau et discret point de passage.Bien entendu, et pour maintenir l’illusion, ces bandits de grand chemin tentent, de temps à autre, de se livrer à des coups d’éclat, comme cela a été le cas de l’attaque contre une patrouille de gendarmes dans le sud algérien.Les demandes de libération de complices sont de la même veine.Plus personne ne devrait être dupe.Et pourtant… -
Les Marocains retiennent des Sahraouis dans un commissariat
Les autorités marocaines maintiennent des citoyens sahraouis en détention au commissariat central d’El Ayoun occupée, après avoir été soumis aux interrogatoires par des agents de la police, selon des déclarations de leurs compatriotes libérés récemment.Les citoyens qui se trouvent toujours en détention ont été arrêtés parmi des groupes de militants sahraouis en raison de leur participation à la cérémonie d’accueil organisée à l’occasion de l’arrivée de la délégation de Sahraouis de retour d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis et aux territoires libérés de la Rasd.Selon la même source, l’ancien prisonnier politique, Mustafa Labrass, et le citoyen sahraoui, Bahi El Moussaoui, se trouvent en garde à vue, sans que leur famille soit en mesure de savoir les conditions et les raisons de leur arrestation. Les autorités marocaines avaient libéré lundi un groupe de militants sahraouis des droits humains arrêtés au cours des événements sanglants qui ont eu lieu à El Ayoun occupée à la suite de l’intervention «brutale» de la police marocaine qui a fait des dizaines de blessés dont des étrangers, rappelle-t-on.Le Jour d’Algérie, 21/7/2010