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  • Le Maroc, un refuge pour les voleurs

    Affaire des 9000 milliards détournés vers l’Espagne : les mis en cause s’enfuient au Maroc
    Dans ce sens, nos sources font savoir que certains cadres des entreprises algériennes habitant dans la wilaya d’Oran se seraient enfuit vers le Maroc alors qu’ils étaient mis sous contrôle judiciaire. Ils seraient au nombre de six.
    A noter que la chambre d’accusation près le tribunal d’Alger avait émis un mandat d’arrêt contre plus de quarante personnes accusés dans la même affaire après à une plainte déposée par la direction des douanes algériennes contre une longue liste de personnalités suite à une correspondance des autorités espagnoles pour une enquête sur l’origine de ces fonds colossaux que ces derniers versaient dans des banques espagnoles.
    Par ailleurs, l’enquête sécuritaire et judiciaire a abouti à la définition du montant détourné vers l’Espagne et qui est estimé à 900 millions d’Euros, soit plus de 9.000 milliards de centimes, durant les trois dernières années.
  • «Le Maroc est en bonne voie pour devenir le pestiféré de la région» (responsable algérien)

    Un responsable algérien qui a requis l’anonymat a qualifié, dans une déclaration à Algeriepatriotique, les accusations du ministre marocain des Affaires étrangères, Salah-Eddine Mezouar, de «puériles, gratuites et dénuées de tout fondement». Il a dénoncé «ce réflexe pavlovien qui consiste à toujours pointer un doigt accusateur vers l’Algérie». La réaction de Rabat «illustre le désarroi et la fuite en avant d’une diplomatie qui doute de sa prétendue cause nationale devant l’ampleur du scandale Coleman» (divulgations de documents secrets marocains compromettants, ndlr), a-t-il poursuivi.
    D’après notre interlocuteur, les révélations faites sur les réseaux sociaux ont «le mérite de mettre en lumière une vaste entreprise de corruption au sein des organisations internationales et un recours honteux à certains lobbies». Le rapprochement avéré entre le Makhzen et les sionistes «en dit long sur la sincérité et l’engagement de ceux qui prétendent défendre la cause palestinienne à la tête du comité El-Qods», a encore souligné notre source.
    Les tentatives du Maroc de discréditer l’Algérie ne sont qu’un coup d’épée dans l’eau et risquent de se retourner contre leurs initiateurs, laisse entendre ce responsable algérien. «Ce pays qui a des problèmes avec tous ses voisins, l’Espagne, la France, l’Algérie et la Mauritanie, devrait prendre enfin conscience que l’essence expansionniste de sa politique va finir par en faire un pestiféré au niveau de la région», avertit notre source.
    Tags : Maroc, Algérie, Makhzen, lobby, Chris Coleman,
  • Le Maroc finance indirectement AQMI dans le but d’incriminer l’Algérie et le Polisario (ancien officier des renseignements marocains)

    L’ancien officier des services de renseignements marocains, la DST, Hicham Bouchti, a confirmé l’implication du roi du Maroc Mohammed VI dans le trafic de drogue et les liens des services secrets marocains avec les mouvements terroristes dans la région, tel AQMI et le MUJAO.
    Dans une interview accordée au journal algérien Echourouk, Bouchti a déclaré que “le roi est devenu riche grâce au trafic de cannabis. Il ne faut pas être très intelligent pour savoir que l’une des sources d’enrichissement de la monarchie marocains est le trafic international de drogue”.
    “Le Maroc finance indirectement Al-Qaïda au Maghreb islamique pour qu’elle puisse continuer reprendre son activité dans la région afin de tuer deux oiseaux d’un seul coup : accuser l’Algérie d’être un foyer du terrorisme et collera au Front Polisario l’étiquette d’organisation terroriste”, a-t-il ajouté.
    Dans le but de vendre aux puissances occidentales le rôle de “gendarme de la région et attirer leur argent au nom de la lutte anti-terroriste, la monarchie n’a pas hésité à réprimer, à torturer des citoyens marocains innocents pour les présenter comme des terroristes, a affirmé Bouchti.
    Tags : Maroc, Algérie, Hicham Bouchti, drogues, cannabis, haschich,
  • Maroc : Axes de la stratégie médiatique du régime définis par Karim Bouzida

    Activité du 24 novembre
    Contexte
    • Timing : veille du scrutin législatif, fin de campagne électorale
    • Monde arabe : «acte II» de la révolution en Egypte, violences en Syrie / Yémen
    • Conjoncture mondiale : croissance internationale atone et crise de confiance sur les marchés (ex : notations souveraines)
    • Il y a un peu plus de six mois, l’attentat de Marrakech
    Portée médiatique
    • Un événement majeur par son envergure (montant de l’investissement) et le niveau de partenariat
    • Conventions créent de la confiance par leur contenu, le profil des signataires et un timing à signification éminemment politique
    • L’accord apporte notamment des réponses concrètes à deux problématiques nationales essentielles que sont :
    ✓ la création d’emplois
    ✓ la régionalisation
    Portée médiatique • Il convient de profiter de la présence au Maroc de nombreux journalistes étrangers pour susciter/conforter un effet « Maroc émergent / exception » (Reuters, Bloomberg, L’Usine Nouvelle, Les Echos, Le Figaro, Financial Times, Wall Street Journal-> John Fund, …)
    Messages / cibles
    • 3 cibles à traiter concomitamment :
    ✓ International : dans un contexte marqué par l’immobilisme et les soubresauts… le Maroc avance économiquement et politiquement
    ✓ Grand public : la dynamique portée par la continuité des actions royales majeures donnent espoir et assurance
    ✓ Elites nationales : le Maroc témoigne une nouvelle fois de son attractivitéMessages / territoires • • Participants : Qatar, Emirats Arabes Unis, Koweit
    ✓ Pays du Golfe : accompagnement spécifique de la presse de ces pays
    ✓ Risque à anticiper : sensibilités de gauche pourraient manifester leur mécontentement (par antiaméricanisme) suite à la visite de l’émir du Qatar (cf. Goud et Hibapress)
    Pays occidentaux : le Maroc à l’avant-garde démocratique et économique de la région offre des perspectives fortes et pérennes
    Message clef
    • Qui : des chefs d’Etats aux avant-postes de la modernisation du monde arabe (Qatar, EAU, Maroc)
    • Quoi : un projet financier au service d’une ambition industrielle de bon sens (fonds souverain)
    • Où : le Maroc pays arabe ayant le mieux résisté à la crise mondiale (dont secteur touristique) et soubresauts régionaux (chiffres à l’appui : résilience)
  • Maroc : L’impact médiatique des personnes mesuré par Karim Bouzida

    Bilan médiatique (provisoire)
    Période étudiée : du 12 au 20 novembre (16h00), retombées internationales
    34 leaders d’opinion ont été identifiés dont 20 portent un discours négatif (Harrif x4 occurences).
    Classement des sources par nationalité: Europe x20, MENA x13 (dont 3 algériennes), Espagne x9, Afrique x9, US x7, Iran x5, Asie x3, UK x2.
    A noter une forte présence des leaders du PJD (Benkirane 3x, Daoudi x3, Boulif x1, Qastani x1). Les sept autres formations totalisent un impact chacun (USFP, PAM, MP, MDS, PSU). On relève particulièrement l’intervention de Qastani à Al Alam (Iran) : « l’opposition politique subit actuellement des pressions »
    Eléments du discours antagoniste :
    • Relais des appels au boycott
    • Répression des formations appelant au boycott
    • Taux d’abstention attendu haut
    • Vote des MRE (nbre d’impacts : 4)
    • Remise en cause des acquis de la constitution
  • Le Maroc veut "attiser la divergence Russie-Algérie" sur l’exportation de gaz

    Maroc: Quand Karim Bouzida proposait de « attiser la divergence Russie-Algérie et gagner la faveur de ce membre permanent du Conseil de sécurité »
    Diplomatie du gaz et relations Algéro-Russes
    Le quotidien algérien LIBERTE consacre, dans son édition du 17 décembre, un article à la dimension gazière des relations entre l’Algérie et l’Europe. L’article relaie des déclarations de Chakib Khellil sur la radio nationale algérienne.
    Chakib Khellil conditionne la signature d’un accord stratégique sur l’énergie avec l’Europe à la libre circulation des citoyens algériens entre les pays de l’Europe : « Qu’est-ce qu’on obtiendrait en retour de la signature de cet accord stratégique dans lequel nous nous engageons à assurer l’approvisionnement et la sécurité énergétique de l’Europe ? Il y a donc d’autres conditions. L’Algérie demande la libre circulation des personnes entre le pays et l’Europe. C’est un élément important. Il ne s’agit pas de vendre uniquement le gaz. Il est possible de vendre ce gaz aux États-Unis également. »
    Khellil avance d’autres conditions :
    Bénéficier d’un transfert de technologie de la part des pays européens. Ouvrir le marché européen de l’énergie au partenaire algérien.
    L’éditorial de LIBERTE
    Par ailleurs, l’éditorial de LIBERTE, consacré au même sujet, positionne l’Algérie comme « la carte à jouer » pour l’Europe dans ses relations énergétiques tendues avec la Russie. Ainsi, l’éditorialiste affirme :
    « L’Algérie, troisième fournisseur mondial de gaz, qui plus est jouit d’une proximité géographique avec l’Europe, est à même d’assumer ce partenariat énergétique qui mettrait définitivement les pays de l’autre rive de la Méditerranée à l’abri des fluctuations d’humeur entre Moscou et Kiev »
    Avant d’ajouter :
    (…)
  • Les mauvaises intox du Maroc sur le Sahara Occidental

    Le cyber-activiste @Chris_coleman24 est apparu sur la toile le 2 octobre 2014. Ses premières publications ont visé le sujet névralgique au Maroc : la question du Sahara occidental, dénommée «Question Nationale» dans les documents secrets de la diplomatie marocaine. Un sujet sensible au point que la question est gérée par la centrale de la Dged, le service d’espionnage extérieur marocain.
    Coleman et ceux qui se trouvent derrière lui ont voulu frapper là où ça fait mal au Maroc, affirmer la colonisation du Sahara occidental par le Maroc étant le but principal de la diplomatie chérifienne et ainsi devenir une puissance régionale incontournable grâce à ses nombreuses ressources naturelles qui attirent le convoitise de la France, allié principal du Maroc dans ce conflit qui dure depuis bientôt 40 ans.
    Un soutien qui n’est pas pour les beaux yeux de Mohammed VI ni de ses sujets, mais pour les matières premières dont regorge le sous-sol du Sahara occidental. Suite à l’incident du patron de la Dgst, El Hammouchi qui a failli être interrogé par la justice française, Rabat a voulu exprimer son mécontentement en suspendant la coopération sécuritaire avec la France.
    Une décision qui leur a été fatale, puisque le 2 octobre 2014, un mystérieux hacker a dévoilé des documents d’une extrême gravité. Ses publications ont été arrêtées le 28 janvier 2015 coïncidant avec l’annonce de la normalisation des relations entre la France et le Maroc.
    Tags : Maroc, Sahara Occidental, Front Polisario, Hacker Chris Coleman, ONU, MINURSO,
  • Belgique : Article exclusif sur la disparition de la princesse Lalla Salma du Maroc

    “Où est passée la Princesse, les Belgo-Marocains s’inquiètent”
    « Disparition inquiétante au Maroc »
    Sur son profil Facebook, le journaliste bruxellois d’origine marocaine Khalil Zeguendi se fait le porte-parole de la communauté marocaine de Belgique.
    Parodiant le chanteur Stromae, ce rédacteur en chef du magazine Le Maroxellois a ajouté la photo de Moulay El Hassan (15 ans), l’héritier du trône du Maroc : “Maman, où t’es ?” Celle dont l’aveuglante absence inquiète les BelgoMarocains n’est autre que Lalla Salma, l’épouse de Mohammed VI, le roi du Maroc.
    Omniprésente depuis leur mariage en 2002, la femme de 41 ans a subitement disparu des radars vers le début de l’année 2018. Du moins avant février 2018 : difficile d’être plus précis. Cela fait deux ans en tout cas que le monde entier se demande où est passée la première dame du Maroc, qu’une certaine presse proche du Palais décrit désormais comme “mal élevée”, “dédaigneuse”, “méprisante”, “colérique”, “agressive”, “narcissique”, “arrogante”, ce qui n’est pas bon signe.
    L’épouse ou l’ex-épouse du monarque est-elle morte ?
    Khalil Zeguendi : “L’inquiétude est réelle. La princesse Salma occupait l’avant-scène médiatique. On la voyait constamment aux côtés du Roi lors-qu’ils recevaient les têtes couronnées et les chefs d’État. Depuis deux ans, plus aucune photo ou aucun enregistrement ne la montre, si ce n’est des montages avec des photos d’archives. Lalla Salma est devenue un fantôme.”
    Très pointue, la presse espagnole fut la première à évoquer un possible divorce, entre-temps officialisé par le Palais. À partir de là, toutes les rumeurs ont circulé, de la plus banale à la plus inquiétante, celle d’un possible décès. Le fait que le couple a volé en éclats est devenu une évidence. Mais qu’est devenue physiquement l’ex-première dame du Maroc, qui avait représenté des espoirs d’ouverture et de modernité ?
    La communauté marocaine inquiète
    (…)
  • Maroc : Note de Karim Bouzida sur « Le roi prédateur » et ses auteurs

    Note au sujet de la publication du livre de Graciet et Laurent
    La publication du livre « le Roi prédateur », développant un discours négatif, pourrait avoir des visées de déstabilisation politique et économique. Le sujet n’étant pas nouveau, il conviendrait de bien doser les aspects de communication de façon à ne pas lui faire une publicité gratuite ou le crédibiliser. Nous pensons que l’adossement du nom d’Eric Laurent à Catherine Graciet procède par ce souci de « crédibilité » de l’ouvrage, c’est pourquoi ce paramètre est central.
    Tout en évitant toute sur-réaction nous recommandons toutefois un dispositif dont certains éléments sont a déployer dés fin de cette semaine, étant entendu que l’intensité du dispositif (au Maroc et en France essentiellement) restera a calibrer en fonction de l’évaluation qui sera faites de la sortie de l’ouvrage ou de toute autre action imprévue concomitante.
    AXES PRINCIPAUX DE L’EDITEUR
    L’ouvrage prétend être une « enquête » sur les intérêts économiques de la Monarchie. Son résumé mis à disposition par l’éditeur souligne :
    • La fortune personnelle du roi du Maroc a quintuplé en dix ans, et le magazine Forbes le classe désormais parmi les personnalités les plus riches du monde.
    • Par le biais des holdings que contrôle la famille royale, avec l’aide du secrétaire particulier de Sa Majesté et la complaisance de nombre de dignitaires et de valets du pouvoir, c’est à une véritable mise en coupe réglée de l’économie du Royaume que l’on assiste depuis plus de dix ans.
    • Voici ce système, et les hommes qui en tirent les ficelles, pour la première fois mis au jour au terme d’une minutieuse enquête de terrain, d’un examen fouillé des dossiers sensibles, de nombreuses rencontres avec les principaux témoins de cette royale prédation, y compris parmi les proches du Palais
    -Voici comment le souverain d’un des régimes désormais les plus menacés par la vague démocratique dans les pays arabes a transformé ses sujets en clients, l’Etat en machine à subventionner les intérêts de la famille royale, et notre pays en complice d’un désastre politique et moral auquel contribue, à son corps défendant, le contribuable français.
    ANALYSE CONTEXTUELLE
    Saisissant le contexte régional dit “printemps arabe” et avide de parallélisme pervers , un nombre de réseaux antagonistes a choisi de nuire a l’image des institutions sur deux bases, le champs économique et le champs politique.
    On constate toutefois que ces réseaux qui s’emploient sur le plan national et international ont concentré leurs attaques sur le champs économique .
    Cette concentration trouve son explication dans :
    • Faiblesse des arguments antagonistes sur un pseudo hégémonie de l’institution Royale sur le champs politique, lesquels viennent notamment buter sur le train de réformes initié par Sa Majesté trés largement plébiscite au plan international ( discours du 9 mars , référendum constitutionnel, transparence des élections, arrivée de l’opposition parlementaire a la primature, renouveau de la classe partisane, gestion soft des revendications et manifestations…)
    • Volonté antagoniste de nuire a la proximité du souverain avec les couches les plus défavorisées et ses actions de règne contre l’exclusion ( on sent une forte crispation de ces réseaux contre la symbolique de “Roi des pauvres” )
    • Ces réseaux croient en la “solidité de leurs arguments” : classement Forbes, chiffres et statistiques, performances des filiales Sni…
    • Tout prétexte est “bon a prendre” ainsi ces réseaux , appuyés par des relais internationaux et des sites webs Marocains , travestissent et amplifient des actes tels que : le sit-in d’ouvriers des domaines agricoles, la cession d’atlas hospitality, la rénovation de la résidence de Sa Majesté, les protestations d’Imider…
    • Les “mouvements” dits contestataires ( principalement 20 février) ont très vite montré leurs limites en terme de mobilisation, les dits réseaux, convergeant ici avec Jaoi, s’évertuent a utiliser ce thème en guise de mobile de mobilisation et d’excitation des protestataires a caractère économique et social
    • Pour ces réseaux, décliner sur l’espace public de manière outrageuse voire injurieuse des éléments censés se rapporter a la sphère privée de Sa Majesté est une manière censée écorcher la sacralité du souverain voire de provoquer une réaction répressive qu’ils ne manqueraient pas d’utiliser fallacieusement.
    ANALYSE SPECIFIQUE A L’OUVRAGE 
    (…)
  • Le roi du Maroc impliqué dans une fraude fiscale

    Fraude fiscale : les personnalités épinglées dans l’affaire SwissLeaks
    HSBC, mais pas seulement, d’autres Banques ont fait pire, les Milliards s’en vont pour une bonne raison, plus d’avenir en France. La Suisse se frotte les mains elle engrange de l’argent qui est tenu par des personnes de paille et que personne n’ira réclamer, les morts n’ont plus besoin d’argent. Cet argent ne profite pas non plus aux vivants, il sclérose l’investissement, la consommation. Il faut en contre partie en injecter du nouveau qui par définition, fait baisser la valeur de la masse monétaire.
    L’argent sale ou celui qui échappe au fisc, pèse sur ceux qui sont honnêtes et qui paient leurs impôts. C’est comme dans une copropriété, où la moitié des propriétaires ne paieraient pas leurs charges. Les Paradis fiscaux, servent également aux Etats, aux Partis Politiques, ce qui fait d’eux une constante dans l’espace public. Ce sont toujours les classes moyennes qui trinquent. Les riches ne paient pas un centime d’impôt, c’est le même constat pour les Multinationales. Il faut arrêter de voter pour ceux qui sont mis en place par le Système de Fraude et de Mafias en tous genres.
    Les partis Politiques conventionnels travaillent pour le 1% de la Population mondiale qui s’attribue 99% des richesses. Ne soyez pas le serviteur du Diable, il vaut mieux être pauvre, que dépendant de la bonne volonté de Satan. Matthieu 19…23Jésus dit à ses disciples: Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des cieux. 24Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. 25Les disciples, ayant entendu cela, furent très étonnés, et dirent: Qui peut donc être sauvé?…
    Baptisée « SwissLeaks », l’enquête, révélée par le journal « Le Monde », propose un voyage au coeur de l’évasion fiscale, mettant en lumière la face cachée du secret bancaire suisse et les ruses utilisées pour dissimuler de l’argent non déclaré.
    Les informations s’appuient sur des données soustraites à la filiale suisse de la banque, HSBC Private Bank, par un informaticien, Hervé Falciani, ex-employé de la banque à Genève. Pendant de nombreuses années, ces fraudes n’étaient connues que de la justice et de quelques administrations fiscales, même si certains éléments avaient filtré dans la presse.
    Les données analysées font ressortir des profils très disparates, allant du chirurgien français venu placer ses honoraires non déclarés en Suisse aux têtes couronnées.