Année : 2018

  • Fotos de Emboiric Ahmed con su nuevo amor brasileña

    El representante saharaui en Brasil ne puede quejarse de vacío sentimental puesto que acusa un alto grado de capacidad relacional y sentimental, sobre todo que su pareja no es ni más ni menos que una judía brasileña de origen marroquí y los saharauis la sospechan de trabajar para Marruecos y la causa sionista ya que ne vacila en defender la causa de Israël.

    Emboiric Ahmed, presunto intelectual desde que presentó hace dos años una obra sobre la lucha del pueblo del Sáhara Occidental, representa al Polisario en Brasil desde hace poco más de un año.

  • Polisario Leaks : photos d’un diplomate sahraoui avec sa copine brésilienne

    Décidément, la diplomatie sahraouie ne se lève pas. Après le coup de Salama Hannane, l’ambassadeur du Polisario au Nicaragua, le représentant sahraoui au Brésil, remplit la scène médiatique sahraouie avec les photos de sa nouvelle copine brésilienne.

    Elle s’appelle Laura et elle est juive originaire du Maroc et elle défend la cause sioniste.

    Pour lire la suite et regarder les photos, cliquez ici

  • Cuando el Gobernador de El Aaiún derrapa demostrando su grosería y poca diplomacia

    En un reportaje transmitido el 31 de agosto, el programa « Democracy Now » revela los pasajes de una recepción que le acordó el wali marroquí de El Aaiún, Yahdih Bouchâab, quien derrapó haciendo comentarios tan absurdos como poco diplomáticos. ¡Un deslizamineto incontrolado!

    El video fue publicado el viernes pasado. Desde entonces, dió la vuelta por las redes sociales. En él se ve al Wali de El Aaiún hablando con representantes del media americano Democracy Now. Nervioso, afirma que el nivel de respeto de los derechos humanos en el Sáhara es superior al observado en los Estados Unidos.

    Incluso se atreve a dar una lección a Democracy Now añadiendo que en una ciudad como Nueva York, hay « un millón de ciudadanos que viven en el subsuelo y se alimentan de ratas. Cuando están bastante débiles, son, a su vez, comidas por ratas ».

    « Si quieren hablar de derechos humanos, primero deben interesarse por Guantánamo », aconseja el wali antes de levantar la sesión ofreciendo al enviado especial de Democracy Now una escena que no se esperaba y que demostraba la cruel falta de diplomacia de este esbirro de la administración colonial marroquí.

    Emitido en 1.400 estaciones de televisión y radio en Estados Unidos, Democracy Now es una emisión americana « independiente » de noticias, análisis y opinión que se emite en inglés y español. Se define como un programa que « presta especial atención a temas que sus productores consideran ignorados o insuficientemente cubiertos por los medios de comunicación ».

  • La UE confirma que la justicia española es la peor de Europa

    Sahara Occidental, 18 agosto 2018.- Según datos de la comisión europea la justicia española es la peor de toda Europa occidental,tan solo tres países del este tendrían una peor percepción de independencia judicial.

    Estos datos demuestran que la justicia en España esta claramente politizada y este hecho da a lugar a un aumento sin precedentes en el numero de presos políticos en democracia.

    Varios organismos internacionales han mostrado su preocupación ante tales acontecimientos,la justicia en España esta al mismo nivel que la justicia en países tales como Marruecos, Brunei o Pakistan, según la organización Transparencia internacional.

    España procede a la expulsión de marroquíes con una sorprendente facilidad, mientras que en los otros países interviene la justicia para evitar las extradiciones a Marruecos por miedo a que el individuo sea sometido a la tortura.

    La semejanza entre España y Marruecos no se limita solamente a las prácticas fascistas del gobierno de Madrid. La mentalidad del ciudadano español no difiere mucho de la del marroquí. A pesar de la opinión demasiado optimista que los españoles tienen de sí mismos, su manera de pensar se parece mucho a la de los ciudadanos marroquíes. Esto se refleja en su comportamiento con las familias de los niños saharauis que secuestran bajo la mirada de sus paredes sin que ello genere el más mínimo efecto emocional. Se comportan como si fueran los padres biológicos de esos niños. 

    Esto se añade a la posición del gobierno de España sobre la cuestión del Sáhara que hizo de Madrid el segundo aliado de Marruecos después de Francia. Hoy en día, los peores enemigos de los saharauis son Francia y España. Su enemistad sobrepasa ampliamente a la de los marroquíes.

  • Sahara occidental : Khatri Addouh accuse le Maroc d’«entraver» les efforts de Horst Köhler

    Le président du Conseil national sahraoui, chef de la délégation des négociations du Front Polisario, Khatri Addouh, reproche au Maroc sa volonté de « faire entraver » les efforts menés par l’envoyé spécial de l’Onu pour le Sahara occidental, Horst Köhler, pour relancer les négociations entre les deux parties, à l’arrêt depuis 2012.
    « Le Maroc ne cesse de créer des obstacles. Aucune déclaration sérieuse n’émane de ce colonisateur qui va dans le sens du respect de la volonté internationale et onusienne, car il ne cesse de mettre des conditions préalables inaccessibles à toute négociation, ce qui met à nu sa volonté de fuir la légitimité internationale», a-t-il affirmé hier à Alger.
    Il faisait allusion aux déclarations d’Omar Hillal, ambassadeur du Maroc à l’Onu, qui a déclaré que l’ouverture de négociations sur le dossier sahraoui sans la présence de l’Algérie serait « une perte de temps ». Le diplomate marocain a justifié sa position par le fait que le Front Polisario serait, selon lui, « une entité imaginaire et un outil entre les mains de l’Algérie ».
    L’émissaire onusien pour le Sahara occidental a informé le Conseil de sécurité de son intention de se lancer dans une sorte de dialogue « 2+2 » : belligérants et pays observateurs. « En principe, M. Köhler va remettre des invitations aux deux parties du conflit, Sahara occidental et Maroc, et aux deux pays observateurs Algérie et Mauritanie. Or, le Maroc veut imposer l’Algérie comme partie prenante dans les négociations », ajoute M. Addouh, qui reproche au Maroc d’imposer « une condition insensée » pour fuir les négociations. Le chef de la délégation des négociations du Front Polisario a fait savoir que M. Köhler va envoyer dans quelques semaines des invitations aux belligérants pour un nouveau round de négociations, et devrait en recevoir une réponse en septembre prochain pour entamer, par la suite, un autre round de négociations.
    Le Maroc, estime le diplomate sahraoui, doit dépasser « la négativité de ses positions », parce que, dans un avenir proche, « il ne trouvera aucun moyen pour défendre ses thèses expansionnistes », ajoute le responsable sahraoui.
    Appui inconditionnel de la France
    Les efforts de M. Köhler, renchérit-il, sont « méthodologiques et planifiés», mais « se heurtent à l’intransigeance du Maroc, qui a l’appui inconditionnel de la France ». « Dans le cas où le Conseil de sécurité n’exercerait pas de pressions sur le Maroc pour qu’il respecte les résolutions onusiennes et celles émanant du Conseil de sécurité, il n’y aura pas de développement dans la question et le statu quo va perdurer », avertit M. Addouh. Ce dernier manifeste sa « préoccupation » de la position politique de la France sur le Sahara occidental, loin de se conformer aux résolutions onusiennes.
    « Si la France, membre permanent du Conseil de sécurité, ne change pas de position politique sur la cause sahraouie, il n’y aura pas d’évolution dans le dossier. Sans une position de la France qui va en conformité avec les résolutions onusiennes, je doute que le dossier réalisera des avancées sur le processus de règlement du dossier sahraoui qui est une question de décolonisation inscrite sur l’agenda de l’Onu », ajoute M. Addouh.
    La réduction du mandat de la Minurso d’un an à six mois est un message du Conseil de sécurité pour les deux parties et à l’ONU pour accélérer le processus de résolution du dossier, estime-t-il également. « Le mandat de la mission onusienne pour l’organisation d’un référendum d’autodétermination expire en octobre prochain. Et ce mandat peut être écourté à nouveau », prévoit le président du Conseil national sahraoui.
    Statu quo et alerte sur la situation dans la région
    Le statut quo qui perdure depuis quatre décennies arrange, selon M. Addouh, le Maroc qui conclut des accords d’association sur les richesses sahraouies avec l’Union européenne, alors que la Cour de justice de l’UE a émis trois arrêts qui ont déclaré le territoire sahraoui un territoire distinct et séparé du Maroc. Pour sa part, la population sahraouie ne peut rester les bras croisés face à ce statu quo, car elle peut recourir à « des moyens légitimes » pour défendre ses intérêts, avertit M. Addouh. « Dans le cas où on n’enregistre aucune évolution dans le dossier, plusieurs points vont rebondir et seront soulevés », dit-il. « Nous sommes au Sahel, une région en ébullition, et ce qui se passe actuellement en Libye et au Mali menace la stabilité et la sécurité de la région avec un risque de dégénération ». Quid de la radicalisation qui menace la jeunesse sahraouie ? Sur ce point, faut-il rappeler qu’à l’ouverture de la 9e édition de l’université d’été des cadres sahraouis, le président de la Rasd et SG du Front Polisario, Brahim Ghali, a appelé les cadres sahraouis et les participants à cet événement annuel de s’inspirer de l’expérience algérienne en matière de lutte anti-terroriste, de déradicalisation et de lutte contre l’extrémisme violent. Mais la jeunesse sahraouie risque-t-elle de se radicaliser ? Le mouvement de libération risque-t-il de devenir un mouvement extrémiste? « Le Maroc nous ouvre de nouveaux front dans la bataille », accuse M. Addouh. Ce dernier rappelle, en se référant au rapport du département d’Etat américain de 2017 sur le trafic de drogue et la criminalité financière dans le monde, que la « production totale de cannabis au Maroc en 2015-2016 est estimée à 700 tonnes, ce qui, potentiellement, équivaut à 23% du PIB marocain, estimé à 100 milliards de dollars », souligne le conférencier. Ce même rapport précise, selon M. Addouh, que le Maroc, « premier producteur et exportateur de cannabis au monde, est devenu un pays de transit important de cocaïne provenant de l’Amérique du Sud et destinée à l’Europe».
    «Le colonisateur marocain a des liens avec des réseaux et organisations criminelles», ce qui « exige de la direction du Front Polisario qu’elle soit vigilante par rapport à ce qui se passe dans la région, car, bien que lassée de la situation, la jeunesse sahraouie ne risque pas la radicalisation», conclut le diplomate sahraoui.
    Source > Reporters
  • WSRW denuncia un proyecto eólico marroquí de 900MW de 900MW en el Sáhara

    Western Sahara Resource Watch (WSRW), una organización no gubernamental que defiende los derechos del pueblo saharaui bajo ocupación marroquí, ha denunciado enérgicamente el proyecto de un parque eólico de 900 megavatios en Dakhla anunciado por la empresa Blockchain Soluna.

    El viernes 10 de agosto, la ONG criticó al director general de Soluna, John Belizaire, entrevistado por Reuters, y subrayó que la construcción de un parque eólico en Dakhla « viola los derechos del pueblo saharaui ».

    En una declaración otorgada a la « agencia de noticias » del Frente Polisario, WSRW acusó a « Marruecos de intentar implicar a empresas extranjeras y legitimar su ocupación del Sáhara Occidental ».

    El proyecto fue anunciado en julio por Brookstone Partners, una empresa con sede en Nueva York que apoya, a través de su filial marroquí Platinum Power, Soluna, la construcción de un parque eólico de 900 megavatios junto con un centro de datos para servidores de cadena de bloques.

  • La France entre macronisation et marocanisation

    Personne n’ignore qu’entre la France et le Maroc, les liens sont étroits, inaltérables — quelle que soit la couleur politique du régime à Paris — et soudés par les relations personnelles entre le roi et ses amis d’outre-Méditerranée. Les quelques nuages passagers qui traversent le ciel de cette belle entente et qui naissent du courage de quelques hommes politiques français dénonçant le silence de Paris sur les atteintes aux droits de l’Homme ou encore des écrits courageux des rares plumes libres non inféodées à Rabat, ces nuages ne peuvent remettre en cause les énormes intérêts français dans un pays encore colonisé. Un pays qui a une apparence de souveraineté mais qui n’est, en réalité, qu’une succursale de l’impérialisme et un haut lieu du sionisme international. 

    Ce protectorat est dirigé par une oligarchie occidentalisée composée de courtisans affairistes dont les intérêts sont intimement liés aux grandes compagnies françaises et américaines notamment qui possèdent pratiquement tout le Maroc ! Au cours de deux visites effectuées en 1988-1989, nous avons parcouru des centaines de kilomètres entre Oujda, Fès, Casa, Rabat, Marrakech, Essouira et Béni Mellal et, partout, nous avons pu constater la mainmise des sociétés occidentales sur les richesses et l’économie marocaines. Nos hôtes ne s’en cachaient pas même s’ils ne disaient pas tout ! Les parts qui revenaient au roi, par exemple, n’étaient pas divulguées alors que le monarque possède des actions dans pratiquement toutes les grandes entreprises. Des amis bien informés ont évalué cette part à 10%. Sans compter, bien sûr, ses biens personnels car, ici, il s’agit des entreprises semi-publiques de grande importance. 

    Qu’ils soient de gauche ou de droite, les pouvoirs successifs français ont toujours évité de critiquer le Maroc. Dans les moments de grande répression intérieure,  comme celui qu’a connu récemment le Rif ou sur le dossier du Sahara Occidental, les Français font preuve d’un étrange alignement sur le régime de Rabat. Même constat pour une presse dont les patrons ont des intérêts énormes au Maroc, à l’instar d’un Drahi, citoyen franco-maroco-israélien, propriétaire de BFM, de la chaîne sioniste i24 et de l’Express, entre autres. Quand ils ne sont pas patrons, beaucoup de journalistes français se laissent séduire par quelques faveurs sous forme d’avantages divers. 

    Mais les journalistes ne sont pas les seuls privilégiés du système de lobbying marocain. Beaucoup d’hommes politiques, des membres influents de la société civile, des têtes d’affiche du monde des arts et du spectacle, sont également conviés à goûter aux plaisirs charnels qu’offrent les nuits chaudes de Marrakech. Pour certains, cela va plus loin puisque le «tourisme» local n’est pas très regardant sur les excès lubriques de quelques libertins en mal d’exotisme,  excès qui vont jusqu’à la pédophilie et l’esclavage sexuel d’enfants issus de la classe pauvre. Faut-il, pour ne pas être taxé de «comploteur antimarocain», citer les témoignages de l’amant d’Yves Saint-Laurent sur les soirées agitées de la villa Bleue impliquant des gosses ou les cas des ministres Jacques Lang et Frédéric Mitterand ou encore celui de ce pédophile espagnol condamné par la justice marocaine et gracié par le roi ? 
    La permissivité du Makhzen vis-à-vis de ce désordre moral qui donne à Marrakech les allures d’un Sodome moderne est vivement appréciée par les milieux dominants français qui ont le double avantage d’être les vrais patrons de cette «province» et d’utiliser des «sujets» locaux pour jouir de plaisirs tabous et punis par la loi chez eux. 

    Je fais encore appel à la mémoire pour citer un lieu que nous avons visité près de Marrakech, un immense camp de débauche collective où nous avons été invités pour un méchoui. Je ne suis pas un islamiste obscurantiste et je n’ai rien contre les cabarets et les boîtes de nuit que je fréquentais assidûment durant ma jeunesse, mais ce que j’ai vu et entendu à «Aliwood», près de Marrakech, m’a confirmé tout le mal que je pensais de ce «paradis sexuel» couru par les dépravés et les pédophiles du monde entier. Je passe sur les détails du «programme» pour ne pas choquer les âmes sensibles, m’arrêtant juste à ce moment fatidique où quelques fillettes en tenue légère furent introduites sous notre tente, pour une danse qui n’avait rien de folklorique.  Nous étions mal à l’aise, gênés par ce spectacle insolite et chacun de nous voyait sa propre fille parmi ces pauvres créatures. Mais l’honneur des Algériens fut sain et sauf. A l’invite d’un accompagnateur marocain qui nous proposait,  ni plus, ni moins, de «profiter» de l’occasion, Rezigui, vieux journaliste émérite de l’hebdomadaire arabophone El Moudjahid, se leva et en fit voir de toutes les couleurs à ces «organisateurs», pour une fois mal tombés : «Vous nous prenez pour qui ? Ces gosses ont l’âge de nos propres filles ! Vous ne connaissez pas l’Algérien ! Ne le confondez pas avec ces affamés sexuels, ces touristes dépravés qui profitent de votre bassesse…» Au moment de quitter notre tente, nous aperçûmes les fillettes agglutinées autour des restes de nos méchouis, s’arrachant les morceaux de viande comme des animaux ! Triste moment qui me fit réfléchir à ce Maghreb de l’impossible que nous voulions bâtir… Je pensais à Boumediène et à ce qu’il disait à propos de la féodalité marocaine… 
    Pour revenir aux relations franco-marocaines, il n’y a pas que ce côté apparent des choses. Depuis quelque temps, les «représentants» et autres espions déclarés ou pas du Maroc pullulent en France,  grimpant rapidement les échelons du pouvoir politique. Il y eut Dati, Najet-Vallaud Belkacem, Azoulaï et bien d’autres. Leur rôle est de servir les thèses monarchiques et influer sur les positions françaises. Parfois, il s’agit de jonctions entre les intérêts du royaume et ceux d’Israël qui a certes des défenseurs de plus en plus nombreux en France, mais qui aura toujours besoin d’une forte présence en Afrique du Nord, dans un pays aux relations «intimes» avec l’ancienne Métropole.

    Le nouvel épisode de ce long feuilleton et qui a pour titre «Benalla et les Macron» traduit on ne peut mieux cette omniprésence marocaine dans les hautes sphères parisiennes. Une affaire qui n’a pas livré tous ses secrets mais qui aura le mérite — nous l’espérons — d’ouvrir les yeux de l’opinion française sur des dérives qui n’ont que trop duré. L’intérêt de la France n’est pas et ne sera jamais dans ces arrangements douteux qui servent une caste éphémère mais pas les deux peuples. Les intérêts des deux oligarchies empêchent la vérité et la justice d’imprégner ces relations dont le moins qu’on puisse dire est qu’elles ne veulent pas sortir du sordide, depuis ces temps pas très lointains où des barbouzes du Quai des Orfèvres enlevaient Ben Barka,  au cœur de Paris, sur ordre de Hassan II. 

    M. F. 

    P. S. : lorsqu’il est conçu sans arrière-pensées, le Partenariat public-privé peut effectivement rendre d’énormes services à l’économie algérienne. Mais la version corrigée et revue par le FCE et… l’UGTA (!) n’était qu’une énième tentative de brader le secteur public au profit de patrons à la soudaine richesse ! Ces pistonnés, de plus en plus nombreux au fil des mandats, lorgnent du côté des entreprises propriétaires de foncier important, bien installées et rentables. 

    Un exemple édifiant : celui de GTH, grande société de travaux hydrauliques qui eut ses heures de gloire. Ayant une grande expérience dans le domaine des transferts hydriques et des constructions de stations et de barrages, cette société a, curieusement, de moins en moins de marchés au moment où, paradoxalement, quelques rares sociétés privées croulent sous les commandes ! Les travailleurs de GTH éprouvent des difficultés à percevoir leurs salaires et l’entreprise est en voie de disparition. Mais les «sauveurs» guettent…
    Ce n’est plus du  partenariat mais du «pousse-toi de là que je m’y mette !»

    Le Soir d’Algérie

  • Los saharauis descubren, consternados, la verdadera cara de los españoles

    Sahara Occidental, 31 julio 2018.- Como cada año, el programa Vacaciones en Paz continúa y con él prosiguen los escándalos. 
    Vacaciones en Paz es un proyecto solidario de acogimiento temporal. Una familia residente en España acoge durante los meses de julio y agosto a un niño/a saharaui de entre 8 y 12 años. Son niños despiertos e inquietos, acostumbrados a jugar en la calle. Son niños de familias estructuradas, con lazos afectivos muy fuertes y un entorno social estable.
    Si las asociaciones de solidaridad con el pueblo del Sáhara lo ven así y lo trazan como un objetivo noble cuya meta es permitir a estos niños pasar un verano en condiciones menos penibles que en el desierto de la Hamada argelina, muchas familias acogedoras lo hacen con propósitos poco nobles. Para muchas es una ocasión para secuestrar a un niño y cortarle todo arraigo con su familia biológica. Los ejemplos no faltan de familias saharauis que no saben nada de sus niños y cuyo lazo familiar ha sido usurpado.
    Hace unos años, todos hemos vivido el episodio de la hija de Bachir Mustafa Sayed, que además de ser un alto resposnable del Frente Polisario, es nada menos que el hermano del difunto creador del movimiento de liberación saharaui. No sólamente corto todo contacto con su familia, sino que además sus fotos « glamour » en las revistas de moda dieron la vuelta al mundo.
    Acusan a las familias biológicas de los niños de secuestrar a sus « hijos » cuando les obligan a quedarse en los campamentos con sus familiares y allegados. El mundo al revés, ya que los verdaderos secuestradores de niños son esas familias españolas que aprovechan la situación de necesidad de esos niños y la falta de medios de sus familias para subvenir a sus necesidades sanitarias para amparaarse de ellos y arrancarles todo el amor materno y paterno que nació y creció con ellos.
    Este año, los saharauis miran consternados cómo a algunos niños se les enseña a fumar en la pipa turca (chicha) como lo atestigua un vídeo que circula en las redes sociales.
    Muchas de esas familias de acogida no saben ni siquiera dónde queda el Sáhara. Lo hacen por puro capricho, para presumir o simplemente como medio para « adoptar » a un niño, una adopción que más bien es un secuestro ya que ese niño ni es huérfano ni su familiado lo ha dejado en la calle. Y todas, sin excepción, en las elecciones votan por los enemigos del Sáhara, el PP y el PSOE.
    Tags : España, Sáhara, Polisario, vacaciones en paz, secuestro, adopción
  • Los « crímenes de guerra » de Marruecos en el Sahara Occidental

    La Asociación de Acción Cristiana para la Abolición de la Tortura entregó el 27 de enero su premio de derechos humanos a Naâma Asfari, un activista saharaui encarcelado en Marruecos.

    La asociación Acción Cristiana para la Abolición de la Tortura (Acat) ya no quiere andar con rodeos y tolerar las derivas semánticas. El Sahara Occidental, llamado por Marruecos « Provincias del Sur », es en realidad un territorio ilegalmente ocupado desde hace más de cuarenta años. « Marruecos está llevando a cabo una intensa política de colonización, »marroquinización » de la sociedad saharaui y el saqueo de recursos, centrándose en una política imponer una situación irreversible », argumenta Hélène Legeay, Acat, con el informe de las relaciones de fuerza en la mano.

    Marruecos ha alentado la instalación de 200.000 a 300.000 marroquíes, además de 100,000 a 150.000 militares y policías, por menos de 100.000 saharauis nativos del Sahara Occidental identificados en 2010 por la Minurso, la misión de la ONU, muchos de los cuales viven en el campo de refugiados de Tindouf en territorio argelino.

    Un conflicto desconocido y olvidado.

    « El derecho de guerra regido por los Convenios de Ginebra se aplica, las violaciones de derechos humanos cometidas en este territorio son crímenes de guerra », continúa Hélène Legeay. Pero estos crímenes de guerra perpetrados en medio del desierto ocurren en un conflicto tan poco conocido como olvidado.

    La asociación ha decidido el 27 de enero otorgar su premio Engel-du Tertre de derechos humanos a Naâma Asfari, de 48 años, encarcelado desde noviembre de 2010, junto a otros 24 saharauis. Por sí solo, encarna los abusos y violaciones de los cuales son víctimas los saharauis que están luchando por su derecho a la autodeterminación (celebración de un referéndum previsto desde 1991), una línea roja para el reino de Marruecos.

    La lista de sufrimientos sufridos por Naâma Asfari es larga: tortura, detención arbitraria, juicio injusto, encarcelamiento fuera del territorio ocupado, etc. Su esposa francesa, Claude Mangin, ha sido expulsada de Marruecos y se le prohibe visitarlo en prisión desde hace más de dieciocho meses.

    Naâma Asfari había jurado, cuando era joven, mantenerse alejado de la causa saharaui que le había costado tanto a su familia. Su padre fue arrestado en 1976, luego desapareció durante dieciséis en prisión, poco después de la gran marcha verde de Marruecos para invadir el Sáhara Occidental, que la antigua potencia colonial española estaba a punto de abandonar. Pero después de los estudios universitarios sobre derechos humanos y libertades civiles, Naâma Asfari se convierte a principios de la década de 2000 en una figura de la protesta saharaui.

    Hostigamiento, abuso y condenas.

    El Marruecos de hoy ha cambiado poco en el tema del Sahara Occidental en comparación con el Marruecos que estaba gobernado con un puño de hierro por el rey Hassan II. La vida de Naama Asfari será una larga serie de hostigamientos, malos tratos y condenas hasta su arresto y encarcelamiento en noviembre de 2010 y su condena final a 30 años de prisión en julio de 2017.

    Se le acusa de la muerte de varias personas durante el desmantelamiento por parte de la policía marroquí de miles de tiendas del campamento de Gdeim Izik erigido por los saharauis cerca de El Aaiún, a pesar de que, según sus simpatizantes, fue detenido el día anterior a los acontecimientos.

    La condena de Marruecos por el comité de la ONU contra la tortura en diciembre de 2016 no contribuyó a suavizar la línea dura del reino. Hélène Legeay incluso teme la reanudación de la répression con más violencia todavía. Porque, dice, « hablar de crímenes de guerra hace que Marruecos se vuelva absolutamente furioso ».

  • Sahara Occidental : Un territorio disputado y un pueblo olvidado

    Fuente de tensiones y de problemas, la cuestión del Sáhara Occidental no es objeto de debate en la sociedad marroquí. Para las autoridades, este territorio de aproximadamente 266.000 km2 es parte integrante del territorio nacional, de ahí su ocupación y la represión permanente y violenta de los partidarios de la independencia.

    El Sáhara Occidental es considerado por las Naciones Unidas como un « territorio no autónomo ». Tras la muerte de Franco, España decidió despojarse de sus responsabilidades históricas y cedió el territorio a sus dos vecinos. En lugar de aplicar el derecho a la autodeterminación de los saharauis, concluye un acuerdo tripartito con Marruecos y Mauritania en el que se divide el territorio y se entrega a estos dos países. Cuando el colonizador se fue en 1976, el Sáhara Occidental cayó en un conflicto armado entre el movimiento de liberación del Sáhara Occidental, el Frente Polisario, y Marruecos.

    En 1991, la resistencia saharaui depuso las armas, tras la promesa de las Naciones Unidas de celebrar un referéndum. Después del alto el fuego, enseguida comenzaron las trabas impuestas por las autoridades marroquíes. Hasta la fecha, se niegan a reconocer que un referéndum incluya la opción de la independencia del Sáhara Occidental.

    Sin embargo, la ONU está sobre el terreno y se suponía que iba a celebrar ese referéndum ya que es la función que le fue asignada a la misión de las Naciones Unidas, la MINURSO. Mantenerla en el terreno cuesta 60 millones de dólares al año.

    Desde 1991, la MINURSO ha venido supervisando las actividades de las partes beligerantes y la preparación del referéndum sobre el estatuto definitivo de la zona. Su mandato no incluye la protección de los derechos humanos. En lugar de celebrar el referéndum en 1992, pero no hace más que supervisar el alto el fuego a lo largo del muro militar marroquí construido en los años 1980.

    Marruecos ocupa alrededor del 80% del territorio, mientras que el Frente Polisario controla el 20%. Para evitar sus incursiones, Marruecos ha construido unmuro militar de 2.720 km de longitud eque atraviesa el territorio saharaui de norte a sur y está vigilado por 160.000 soldados marroquíes armados hasta los dientes. Los saharauis lo llaman el « muro de la vergüenza ». Es el muro de defensa más largo del mundo y divide un territorio y a su pueblo. Millones de minas antipersonales lo protegen además de radares de alta precisión.

    Existe una gran similitud entre este muro y el que rodea a Cisjordania que, cabe recordar, ha sido condenado por la Corte Internacional de Justicia. Al igual que el Estado de Israel, Marruecos anima financieramente a los marroquíes a trasladarse a los « territorios ocupados ». Actualmente, hay al menos tres marroquíes por cada saharaui.

    Los derechos humanos violados a diario

    Marruecos hace caso omiso de la Cuarta Convención de Ginebra relativa al respeto de los derechos de la población de los territorios que se encuentran bajo ocupación.

    Desde la ocupación marroquí en 1976, muchos saharauis han huido de la feroz represión del ejército marroquí, pero 38 años después. Muchos más nacieron en los campamentos de refugiados sin haber visto nunca su país. Cada familia saharaui ha conocido la separación, y el descubrimiento de fosas comunes con cuerpos de desaparecidos saharauis atestiguan su trágico destino.

    Muchos son los informes -como el informe Tannock del Parlamento Europeo de 2013- ponen de relieve las graves violaciones en los territorios ocupados por Marruecos y la inaceptable situación humanitaria en los campos de refugiados. En los territorios ocupados prevalece la tortura, el encarcelamiento sin un juicio justo por la expresión de una opinión política y las desapariciones forzadas. La represión violenta de las manifestaciones pacíficas es casi diaria. Ni siquiera hace falta ser activista de derechos humanos para ser agredido por las fuerzas de represión marroquíes, el hecho de ser saharaui es a menudo suficiente.

    Un territorio rico en recursos naturales

    Marruecos basa su reivindicación territorial en los pretendidos lazos de lealtad entre las tribus saharauis y los sultanes marroquíes, reivindicaciones no reconocidas por la CIJ en su opinión de 1975. En la realidad, Rabat busca controlar los recursos naturales :fosfato, pesca, uranio, petróleo… Según una resolución de la Asamblea General de la ONU de 2008, el pueblo saharaui es el único propietario de sus recursos naturales. La explotación de estas riquezas por parte de Marruecos es un robo, según la legalidad internacional.

    Europa participa en el saqueo de las riquezas saharauis

    La UE y Marruecos están vinculados por un Acuerdo de Asociación, cuyo artículo 2 estipula que los derechos humanos « constituyen un elemento esencial ». Pero la ocupación militar marroquí pone de relieve una vez más la brecha entre la declaración de principios y la acción de la UE. Desde 2013, la UE también contribuye, mediante dos acuerdos, el agrícola y el de pesca, firmados con el gobierno marroquí, en este robo al permitir que sus barcos pesquen en las aguas territoriales del Sáhara Occidental. Este acuerdo no distingue entre las aguas adyacentes al Sáhara Occidental y las aguas adyacentes al territorio de Marruecos. Además, en virtud de los propios términos del acuerdo, los beneficios deberían ir a parar al pueblo del Sáhara Occidental. Hasta hoy, la UE no ha podido verificar este punto. España y Francia velan por la perennidad de esta absurda situación.

    Todos los países europeos que se callan ante esta anomalía son cómplices. Pero los países clave para encontrar una solución son España, responsable de la descolonización; Francia, que bloquea cualquier resolución que se oponga a los intereses de Marruecos en el Consejo de Seguridad; Estados Unidos, que no se aplica lo sufieciente para imponer una solución al conflicto y la UE que concluye acuerdos económicos con Marruecos sin respetar los derechos del pueblo saharaui, lo cual anima a Marruecos a seguir ocupando un territorio que no le pertenece.