Année : 2017

  • Pourquoi Benkirane ne veut pas de l’USFP dans son gouvernement?

    Younes Moujahid est, certes un ancien militant de la gauche radicales qui a passé 10 ans dans les prisons de Hassan II. Mais, à l’instar de Driss El Yazami, il fait partie de ce groupe de militants qui ont laissé tomber leur passé militant pour devenir des agents de la DGED. Leur travail pour la DGED est couvert par une nomination officielle à la tête de certains organismes de l’Etat marocain.

    C’est ainsi que Moujahid accéda à la présidence du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), ensuite à la vice-présidence de la Fédération Internationale de Journalistes dont le président est aussi marocain et maintenant il est le porte-parole de l’USFP.

    La collusion de Moujahid avec la DGED est certifiée par les emails interchangés avec Mourad El Ghoul. Cette collusion prouve que l’USFP a boycotté le gouvernement de Benkirane en 2011 sous ordres de la DGED et c’est la raison de la montée du chef du PJD contre le parti de la Rose.

    Son travail sous les directives des services de Yassine Mansouri l’a poussé en 2012 à démissionner de l’agence espagnole EFE sous prétexte que celle-ci avait publié les propos d’un député andalou qui affirmait que Mohamed VI contrôlait « 80% de l’économie marocaine », y compris « le commerce de la drogue et les réseaux d’immigration clandestine ». La dépêche avait fortement déplu du côté du Palais royal, selon le magazine Maghreb Confidentiel. Moujahid sera ainsi le principal acteur d’une campagne médiatique orchestrée par la DGED contre l’agence EFE et dirigée par Mourad El Ghoul en personne .

    Sa sortie récente dans le journal Al Ittihad Al Ichtiraki, organe de presse officiel de l’USFP, dans laquelle il appelle indirectement Benkirane à une participation de l’USFP dans le futur gouvernement laisse supposer qu’il agit sous instruction de la DGED.

    El Ghoul explique son plan d’action


    El Ghoul transmet le résume de l’affaires à ses relais

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  • L’ambassade du Maroc à Washington, un haut lieu de débauche

    La diplomatie marocaine est le lieu de collusion de lobbying, corruption et débauche.
    Les ambassades du Commandeur des Croyants partout dans le monde utilisent les orgies et les soirées arrosées comme moyen pour attirer la sympathie des journalistes et politiciens et leur soutien à la colonisation du Sahara Occidental par le Maroc.
    Ainsi, le roi Mohammed VI est devenu le Commandeur de la débauche éffrénée même au Maroc où les visiteurs sont invités à toute sorte de dégénération et de perversion.
    Ici, l’ambassadeur de Sa Majesté au Pays de l’Oncle Sam, Rachad Bouhlal s’est appliqué en la matière en faisant appel à un groupe de danseuses de ventre pour, entre autres, le plaisir des yeux des visiteurs.
    Il y a lieu de signaler que parmi ses invités se trouve Edward Gabriel, ancien ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, devenu premier défenseur des intérêts du royaume dans le monde. C’est dire qu’il continue de payer les faveurs que le Maroc lui a rendus lors de son service à Rabat.
    Source : Maroc Leaks
  • Momodu Koroma, l’agent de la DGED au Sierra Léone

    Momodu Koroma est un ancien ministre des affaires étrangères (2002-2007). En 2007, il a créé une société de consultations sise à Freetown. Cette année-là, il multiplie les contacts avec la DGED, à travers la personne de Mourad El Ghoul.
    Avide de l’argent, il n’hésite pas à créer des prétextes bidons pour soutirer de l’argent à ses employeurs. A titre d’exemple, le 22 avril 2010, sous excuse de préparer sa candidature au sein de son parti politique, il a écrit : « s’il vous plaît, aidez-moi. Même si c’est pour la dernière fois ».
    Il s’est rendu à plusieurs reprises au Maroc avec des tickets payés par la DGED en guise de remerciements pour ses services. Il a aussi été invité à participer dans la conférence de l’association World Policy  Conference organisée à Marrakech en octobre 2010. A l’instar de tous les invités de la DGED, les billets étaient payés au nom de l’Institut Amadeus, l’arrière boutique des services de Mansouri.
    Dans son email du 17 juin 2010, il exprime remercie Mourad pour le traitement reçu et « ses efforts en vue de maintenir des bonnes relations fraternelles et une coopération réciproque ».
    Source : Maroc Leaks
  • Silence de la presse française sur le scandale du Consulat du Maroc à Orly

    Un cas d’esclavagisme manifeste chez une diplomate marocaine sur le sol de la « patrie des droits de l’homme », la France, et la presse de l’hexagone semble n’est pas être au courant.

    Aucun média ne crit au scandale, malgré que l’affaire est grave. Une malheureuse marocaine qui fait le travail domestique à la maison de la Consule Générale du Maroc à Orly est maltraitée physiquement et verbalemenmt et violée et aucun support français n’en parle. Pourquoi ce silence mortel?
    La réponse, il faut la chercher dans les révélations du hacker Chris Coleman.
    Au mois d’octobre 2014, il a mis à la disposition du public marocain et français les faveurs du gouvernement marocain au profit des journalistes et personnalités politiques de la France.
    Pour rappel, Coleman avait dévoilé comment la DGED, le service de renseignement extérieur du Maroc, a réussi, moyennant de l’argent et des sejours au Maroc au luxueux palais de la Mamounia, à recruter les journalistes Vincent Hervouet (LCI), Dominique lagarde (L’Express), Mireille Duteil (Le Point), José garçon (Libération), Florence Beaugé (Le Monde), Ruth ElKrief (BFM TV), Jean Pierre El Kabbach ( Europe1).
    Chris Coleman est de retour depuis le 7 février 2017. Son compte Tweeter a été suspendu sous pression du Makhzen marocain, mais il poursuit son déballage sur le site Calameo.

    Source : Maroc Leaks

  • Silence de la presse française sur le scandale du Consulat du Maroc à Orly

    Les journalistes Vincent Hervouet, Dominique lagarde, ), Mireille Duteil et José garçon

    Un cas d’esclavagisme manifeste chez une diplomate marocaine sur le sol de la « patrie des droits de l’homme », la France, et la presse de l’hexagone semble n’est pas être au courant.

    Aucun média ne crit au scandale, malgré que l’affaire est grave. Une malheureuse marocaine qui fait le travail domestique à la maison de la Consule Générale du Maroc à Orly est maltraitée physiquement et verbalemenmt et violée et aucun support français n’en parle. Pourquoi ce silence mortel?

    La réponse, il faut la chercher dans les révélations du hacker Chris Coleman.

    Au mois d’octobre 2014, il a mis à la disposition du public marocain et français les faveurs du gouvernement marocain au profit des journalistes et personnalités politiques de la France.

    Pour rappel, Coleman avait dévoilé comment la DGED, le service de renseignement extérieur du Maroc, a réussi, moyennant de l’argent et des sejours au Maroc au luxueux palais de la Mamounia, à recruter les journalistes Vincent Hervouet (LCI), Dominique lagarde (L’Express), Mireille Duteil (Le Point), José garçon (Libération), Florence Beaugé (Le Monde), Ruth ElKrief (BFM TV), Jean Pierre El Kabbach ( Europe1).

    Chris Coleman est de retour depuis le 7 février 2017. Son compte Tweeter a été suspendu sous pression du Makhzen marocain, mais il poursuit son déballage sur le site Calameo.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=xElKx5VvVWk]

  • Silence de la presse française sur le scandale du Consulat du Maroc à Orly

    Un cas d’esclavagisme manifeste chez une diplomate marocaine sur le sol de la « patrie des droits de l’homme », la France, et la presse de l’hexagone semble n’est pas être au courant.

    Aucun média ne crit au scandale, malgré que l’affaire est grave. Une malheureuse marocaine qui fait le travail domestique à la maison de la Consule Générale du Maroc à Orly est maltraitée physiquement et verbalemenmt et violée et aucun support français n’en parle. Pourquoi ce silence mortel?
    La réponse, il faut la chercher dans les révélations du hacker Chris Coleman.
    Au mois d’octobre 2014, il a mis à la disposition du public marocain et français les faveurs du gouvernement marocain au profit des journalistes et personnalités politiques de la France.
    Pour rappel, Coleman avait dévoilé comment la DGED, le service de renseignement extérieur du Maroc, a réussi, moyennant de l’argent et des sejours au Maroc au luxueux palais de la Mamounia, à recruter les journalistes Vincent Hervouet (LCI), Dominique lagarde (L’Express), Mireille Duteil (Le Point), José garçon (Libération), Florence Beaugé (Le Monde), Ruth ElKrief (BFM TV), Jean Pierre El Kabbach ( Europe1).
    Chris Coleman est de retour depuis le 7 février 2017. Son compte Tweeter a été suspendu sous pression du Makhzen marocain, mais il poursuit son déballage sur le site Calameo.

    SOURCE : Maroc Leaks

  • Pays où les officiels marocains peuvent être poursuivis pour torture ou crimes de guerre

    Abdellatif Hammouchi, ched des DGSN-DGST, poursuivi en France pour torture contre la personne de deux citoyens franco-marocains

    Les hauts responsables marocains peuvent être exposés – et certains le sont déjà – à des actions devant des juridictions pénales étrangères, notamment pour actes supposés de torture, sur la base du principe de la « compétence universelle« . Jusqu’à présent, ces actions ne sont ni systématiques ni coordonnées. Elles pourraient, toutefois, le devenir, si l’Algérie et le Polisario se laissaient tenter par le crédo du harcèlement pénal, comme un axe tactique de leur action internationale.

    La portée effective de l’exposition des officiels marocains dépend, notamment, de la protection juridique que le Droit international coutumier offre, ou pas, selon les cas précis. Ainsi, le Chef de l’Etat, le Chef du Gouvernements et le Maec bénéficient d’une protection juridique de droit (rationae personae), tandis que les autres responsables de l’Etat ne bénéficient que d’une protection ad hoc (rationae materiae), compliquée à mettre en œuvre et dépendante de la volonté de l’Etat d’accueil.

    Les zones d’exposition au risque de harcèlement pénal s’ajustent sur les pays qui souscrivent à la compétence universelle. Virtuellement, les officiels marocains seraient exposés dans 154 pays à des poursuites pour torture, et dans 195 pays à des poursuites pour crimes de guerre, sur la base des conventions multilatérales en vigueur.

    Mais dans la pratique, seuls les 8 pays qui incriminent ces infractions dans leur droit interne, peuvent enclencher des poursuites, à savoir : la France, la Belgique, l’Espagne, l’Allemagne, la Suisse, le Canada, le Rwanda et les États-Unis (uniquement en matière civile). Ce risque direct peut, toutefois, être démultiplié par les mandats d’arrêt internationaux et le Forum shopping. La Cour Pénale Internationale, elle, ne constitue pas une menace directe en l’état actuel du Droit international.

    La gestion de ce risque juridique se complique par l’incertitude qu’il recèle. Celle-ci découle, d’un côté, de l’imprévisibilité de certaines Ong actives dans le domaine du harcèlement pénal et, d’un autre côté, de l’attitude politique – coopérative ou passive – du pays où les poursuites sont engagées. L’indépendance de la justice renforce d’autant plus l’imprévisibilité, vu que des actions peuvent être activées sans le consentement, ou même la connaissance, des autorités diplomatiques du pays des poursuites.

    A défaut de pouvoir le prévenir systématiquement, le risque peut être géré et ses conséquences circonscrites : lorsque la menace n’est encore que potentielle, il s’agit de sécuriser la protection juridique des responsables en déplacement à l’étranger ; en revanche, lorsque des actions judiciaires sont effectivement enclenchées, il s’agit de gérer les déplacements de manière à éviter le champ d’action des tribunaux compétents. Outre l’outil juridique, l’outil diplomatique doit se déployer pour favoriser, en amont, les conditions de juguler ce risque.

    La présente étude se propose de faire le point sur ces aspects, en répondant aux 5 interrogations suivantes : Les officiels marocains peuvent-ils être inquiétés devant des juridictions étrangères ? Dans quelle mesure est-il possible de prendre en charge le risque de harcèlement pénal à auquel ils peuvent être exposé ? Quels sont ceux susceptibles le plus d’être inquiétés et sur quelle protection juridique peuvent-ils compter le cas échéant ? Quelles sont les pays présentant un risque crédible en termes de harcèlement pénal ? Quelles pistes de travail pour juguler, en amont, ce risque ?

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  • Demande mise en application provisoire anticipée du Protocole d’Accord du Partenariat de Coopération dans le secteur de la Pêche

    A

    Monsieur l’Ambassadeur de Sa Majesté Le Roi

    auprès de l’Union européenne

    – Bruxelles –

     

    Objet : A/S. Protocole entre le Royaume du Maroc et l’Union européenne fixant les possibilités de pêche et la contrepartie financière prévues par l’Accord de Partenariat dans le secteur de la Pêche entre le Royaume du Maroc et l’Union européenne, signé le 18 novembre 2013 à Bruxelles.

     

    J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que le Parlement marocain a adopté le Protocole à l’Accord de Partenariat dans le secteur de la pêche entre le Maroc et l’Union européenne, signé le 18 novembre 2013, à Bruxelles.

    Aussi, vous saurais-je gré de bien vouloir notifier cette information à la partie européenne, au moyen d’une Note verbale rédigée dans des termes identiques à ceux de la Note verbale de la Mission du Royaume du Maroc auprès de l’Ue n°. 233 du 19 juillet 2012 relative à l’Accord agricole :

    1. informant « le Secrétariat Général du Conseil de l’Union européenne que la Chambre des Représentants et la Chambre des Conseillers du Parlement du Royaume du Maroc ont adopté le Protocole entre le Royaume du Maroc et l’Union européenne fixant les possibilités de pêche et la contrepartie financière prévues par l’Accord de Partenariat dans le secteur de la Pêche entre le Royaume du Maroc et l’Union européenne, signé le 18 novembre 2013, à Bruxelles» ; et
    2. priant « le Secrétariat Général du Conseil de l’Union européenne de bien vouloir prendre les dispositions nécessaire en vue de procéder à la mise en application provisoire anticipée dudit Protocole ».

    Enfin, je vous saurais gré de bien vouloir faire part à ce Département (Dajt) de la réaction des autorités européennes.

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