Année : 2017

  • Visite d’un dignitaire sioniste au Maroc

    Note de l’Ambassadeur du Maroc à Rome informant les autorités aéroportuaires de l’aéroport de Rome Fiumicino, que le Grand Rabbin d’Israël, Salomon Mosh Amar et son épouse Mazal Amar, devaient transiter par cet aéroport avant de se rendre à Casablanca.
    Le diplomate marocain leur demande de les autoriser à embarquer à destination de Casablanca vu que les hôtes de Mohamed VI sont démunis de visas d’entrée au Maroc.
    Comme devenu habituel, les autorités du Maroc multiplient les gestes envers la communauté juive et sioniste faute de soutien légal à leur prétensions au Sahara Occidental. Cependant, ces gestes sont toujours effectués en catimini craignant des répercussions au niveau de la base populaire marocaine.
  • Memorandum of understanding between Group Crédit Agricole du Maroc and Bank of Agriculture Limited (Nigeria)

    November 28, 2016
    MEMORANDUM OF UNDERSTANDING BETWEEN Group Crédit Agricole du Maroc AND Bank OF agriculture LIMITED (boa)- Nigeria
    This Memorandum of Understanding (herein referred to as “MoU”) is made
    Between:
    Group Crédit Agricole du Maroc (GCAM)
    and
     Bank of Agriculture Limited (BOA)- Nigeria
    Hereinafter referred to collectively as « the Parties »
    Acknowledging the fact that African agriculture faces many problems shared by majority of African countries, such as the land tenure issue, low agricultural productivity and incomes, weak farmers’ organization, as well as insufficient level of agricultural products processing;
    Aware of the fundamental role of South-South cooperation in facing these challenges and building ambitious development paths through mutual exchange of know-how and expertise;
    And in accordance with the Memorandum of Understanding between the Government of the Kingdom of Morocco and the Government of the Federal Republic of Nigeria on an integrated project to support smallholder farmers in Nigeria;
    The Parties agree on the following:
    ARTICLE 1 – PURPOSE
    The signing parties hereby express their willingness to cooperate together in a formal way in order to promote productive investments in agriculture and development of agricultural and agro-industrial chains in their respective countries, on the one hand, and  to encourage smallholder agriculture and support the development of rural areas, on the other hand.
    The Parties agree that the main purpose of this MoU is the balanced and inclusive development of agriculture in their respective countries through the promotion of financing and support systems, especially for smallholder agriculture.
    ARTICLE 2 – OBJECTIVES
    In order to achieve the main purpose of this MoU, the Parties shall support activities and projects aiming at the exchange of know-how in the following areas:
    • Promoting an integrated, inclusive and participatory approach based on a comprehensive financing system through the segmentation of farms in order to tackle the actual and changing needs of the entire target population,
    • Developing financial engineering, i.e. the conception and commercialization of financing products and services through an approach that takes into consideration the precise knowledge of economic and technical characteristics for each agricultural chain therefore meeting the needs of the whole value chain
    • Exchanging on support functions particularly the agricultural risk analysis and management
    • Exchanging on non-financial support for small farmers in terms of financial education, technical and management capacity building, adaptation to climate change, etc.

  • Bouzida alerte sur le risque de pirater les sites sahraouis

    Parmi les équipes de la DGED, le service de renseignement extérieur du Maroc, il y a la composante informatique chargée de hacker les « ordinateurs ennemis ». Ils opèrent avec des équipements sophistiqués achetés en Italie, France et Nouvelle Zélande.
    L’une de leurs cibles permanentes est le Sahara Press Service, SPS, l’agence de presse officielle du Front Polisario.
    Mais il se trouve que leur amie, Hillary Clinton, lorsqu’elle était à la tête de la diplomatie du pays de l’Oncle Sam n’apprécie pas du tout ce genre de comportement voyou dont raffolent les appareils du Makhzen.
    Selon cette note de Karim Bouzida, Monsier « Com » du palais royal datant du 25 janvier 2010, « La Secrétaire d’Etat américaine Mme Hillary Clinton a prononcé le 21 janvier un discours dont l’objet est la liberté sur Internet ».

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  • Italie : Guerre d’influence entre le Maroc et l’Arabie Saoudite pour le contrôle du Centre Culturel Islamique.

    L’Ambassadeur du Maroc à Rome a alerté sa Centrale sur les manœuvres menées par l’Arabie Saoudite dans le but de prendre le contrôle de toutes les institutions islamiques en Europe afin d’imposer le rite wahabite dans la pratique de l’Islam au sein de la communauté musulmane d’Europe.
    Pour étayer ses arguments, le diplomate marocain cite l’exemple du Centre Islamique et Culturel d’Italie (Grande mosquée de Rome) que l’Arabie saoudite veut mettre sous son influence, remettant en cause le modus vivendi conclu entre les trois acteurs principaux de la gestion du Centre, qui attribue la Présidence du Conseil d’Administration à l’Arabie saoudite, le Secrétariat Général au Maroc et la désignation et le suivi de l’imam à l’Egypte (Al Azhar).
  • Tentative marocaine de bloquer une lettre de la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, Mme Zuma

    La Présidente de la Commission de l’Union Africaine de l’époque, Mme Zuma avait adressé une lettre au Secrétaire Général des Nations Unies concernant la question du Sahara Occidental tout en lui demandant de la diffuser auprès des membres du Conseil de sécurité.
    A l’époque des faits, la Présidence du Conseil de Sécurité était assurée par la France, allié traditionnel du Maroc farouchement opposé à ce que le Peuple sahraoui exerce son droit d’autodétermination.
    La délégation française n’a pas diffusé ce document et s’est empressé d’envoyer une copie de cette lettre en premier à l’Ambassadeur, Représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, de l’époque, Mohamed Loulichki
    Ce dernier, pris de panique, a vainement tenté de dissuader la présidence française de ne pas diffuser la lettre aux membres du Conseil de sécurité sous prétexte que l’Union Africaine ne dispose pas de mandat du Conseil de Sécurité pour entreprendre une quelconque action au sujet du Sahara Occidental et que Mme Zuma compte ainsi interférer dans l’examen de cette question, ce qui est complètement rejeté par le Maroc:
  • Suisse : Plainte contre le despotisme de l’ambassadeurs de sa Majesté le roi du Maroc en Suisse

    « Les propos vulgaires de M. Benryane ne s’entendent que dans les bas niveaux et les lieux infréquentables ». Ce sont les mots utilisés par le président de la Fondation Suisse Maroc pour le Développement Durable (FSMD) pour décrire les propos de l’ambassadeur du Maroc en Suisse.
  • Bouzida : Note d’information sur la nomination de William Hague

    Note d’information ( actualisée le 12 mai 2010)
    Nomination de William Hague au Foreign Office
    Après la nomination de David Cameron Premier ministre du Royaume-Unis, Wiliam Hague, Secrétaire aux affaires étrangères du cabinet fantôme depuis 2005, a été confirmé Secrétaire d’Etat aux affaires Etrangères et du Commonwealth.
    William Hague est naît en 1961. Après des études à Oxford, il a rejoint en France l’Institut européen d’administration des affaires INSEAD. Il a travaillé pour Shell (UK) avant de rejoindre le cabinet conseil McKinsey and Co.
    William Hague est un député conservateur représentant de Richmond, Yorkshire de 1989 à aujourd’hui. Après la défaite des conservateurs dans les élections de 1997 il a pris la tête du parti qu’il a quitté en 2001 suite à une autre défaite. Il est connu pour ses opinions eurosceptiques.
    A souligner particulièrement
    Sur la question du Sahara
    Un groupe lobbyiste pro-Polisario au Royaume-Unis « Free Western Sahara Network », a publié une lettre signée William Hague, destinée aux électeurs, dans laquelle il explique la position de son parti quant à l’intégration du contrôle des droits de l’homme au mandat de la Minurso.
    Cette information, fuitée le 23 avril 2010, s’inscrivait dans le cadre démarches de lobbying pro-séparatistes initiées au Royaume-Unis en parallèle aux discussions de la résolution du Conseil de sécurité sur la question du Sahara.
  • Pourquoi le magazine Actuel a eu le même sort que Le Journal Hebdomadaire

    A l’instar de Khaled Jamai, Aboubakr Jamai, Ahmed Benchemsi et Ali Anouzla, Rachid Tlemçani a fondé le magazine francophone Actuel dans le but d’informateur avec un « esprit ouvert ». Il était loin de penser que son magazine allait avoir le même sort que Le Journal Hebdomadaire.
    Trop indépendant, trop rêveur, Actuel a osé des publications qui ont dérangé le Makhzen. Comme cette interview kristof Clerix publiée le 10 avril 2010, un avec journaliste belge qui a attiré les foudres du Makhzen à cause de ses enquêtes sur l’affaire Belliraj.
    Dans cette interview, il affirme que « Samir Addahr l’ambassadeur du Maroc a Bruxelles m’a affirmé que la DGED défend un agenda politique et surveille l’intégrisme religieux…j’ai travaillé 3 mois dessus et je me demande sur quelle base Belliraj a été condamné… »
    Voici un article de kristof Clerix publié par Le Courrier International le 9 sept 2009 :
    Belgique. La mystérieuse histoire d’Abdelkader Belliraj
    Ce Belgo-Marocain a été condamné à la prison à vie au Maroc. Mais est-il un dangereux terroriste islamiste ou un informateur de la Sûreté belge qui fait les frais des tensions entre les services secrets des deux pays ?
    Le 9 octobre 1971, Abdel­kader Belliraj quitte sa ville natale de Nador – il a 14 ans – pour rejoindre son père Mimoun, employé dans une verrerie, à Bruxelles. A la même époque, après une attaque contre le Boeing du roi Hussein, le Maroc décide de créer de nouveaux départements de services secrets : la DGED (direction générale des études et de la documentation) et la DGST (direction générale de la surveillance du territoire). L’une et l’autre entretiennent alors de bonnes relations avec la Sûreté de l’Etat belge, dirigée à l’époque par Albert Raes. Les services de renseignements avaient conclu un gentlemen’s agreement : la sûreté belge surveillait les “comportements excentriques” de la communauté marocaine sur son territoire, la DGED marocaine informait les Belges d’éventuelles menaces contre l’ordre public en Belgique et au Maroc.
    Côté belge, c’est le jeune inspecteur André Jacob qui est chargé des contacts avec les autorités marocaines. La coopération se passe très bien. Abdelkader Belliraj est à cette époque un total inconnu. Le jeune Marocain décroche en 1980 un diplôme en électricité industrielle, se marie et commence à travailler comme électricien dans une aciérie.
    “J’ai vu un certain Patrick, agent de la sureté belge”
    Dans les années 1980, les contacts entre la sûreté belge et la DGED s’intensifient. Cette fructueuse coopération apparaît d’une façon manifeste en 1989 lorsque Albert Raes, le patron de la sûreté belge, reçoit le Ouissam Alaouite, une décoration militaire attribuée par le roi aux personnes civiles ou militaires pour services rendus à l’Etat marocain. Raes doit sa distinction au rôle qu’il a joué dans le cadre d’une initiative conjointe algéro-belgo-marocaine au sujet du Front Polisario, qui milite pour l’indépendance du Sahara occidental.
    C’est précisément pendant cette période de bonne coopération entre la Belgique et le Maroc que le fameux Abdelkader Belliraj entre en scène. Depuis le début des années 1980, la Sûreté belge avait fiché Belliraj comme extrémiste islamiste pro-iranien et opposant au roi du Maroc. Belliraj avait été observé par les services en 1986, 1988, 1990, 1993 et 1999, alors qu’ils s’intéressaient surtout au profil chiite de l’opposant marocain. La montée du chiisme au sein de la communauté marocaine de Belgique, traditionnellement sunnite, était un phénomène typique du pays. Après le renversement du régime du chah, en 1979, des centaines de Marocains de Belgique s’étaient convertis au chiisme car ils voyaient un parallèle évident entre le régime du chah et celui de Hassan II et ils espéraient que le même scénario révolutionnaire se répète au Maroc.
  • Sahara Occidental : Voilà pourquoi le Maroc ne veut pas lâcher prise

    Que les richesses naturelles du Sahara Occidental sont la raison principale qui a poussé le Maroc à envahir l’ancienne colonie espagnole, c’est quelque chose plus que connue. Il n’y a que les citoyens marocains qui avalent le discours de l’intégrité territoriale.
    Voici les déclarations de Mohamed El Kadiri, Secrétaire Général du Groupe Office Chérifien des Phosphates (OCP) faites le 12 juillet 2012, au cabinet du ministre marocain des affaires étrangères dans lesquelles il met en exergue l’importance des phosphates dont regorge le Sahara Occidental.
    « Les phosphates sont des matières premières à la fois, stratégiques, vitales pour la vie et constituent une part essentielle de la sécurité alimentaire mondiale. Cette matière première est plus importante que le pétrole dans le sens où « l’on peut se passer de voitures, mais pas de nourriture », a-t-il dit.
    Il souligne que “en 2011, la production marocaine de phosphates a été de 28 millions de tonnes, plaçant le Maroc au 3ème rang mondial. De cette production, le Maroc exporte 20 millions de tonnes, ce qui fait de lui le 1er exportateur mondial de phosphates”.
    Au même temps il rappelle, dans ce que la note appelle « la diplomatie des phosphates », que « dans le cadre d’arrangement avec plusieurs pays de la Caraïbe et du Pacifique, l’OCP livre à ces pays, gracieusement, des phosphates. Cependant, l’OCP risque d’être « épinglé » par les Etats-Unis d’Amérique, voient leur « chasse gardée » envahie, l’accuseraient de « dumping ».
  • Las instituciones autonómicas dejan en evidencia al Gobierno de Rajoy

    Alfonso Lafarga.-
    Cuando parecía que el Gobierno de España adoptaba, por fin, una postura comprometida sobre el Sáhara Occidental al asumir la sentencia del Tribunal de Justicia de la Unión Europea (TJUE) de 21 de diciembre de 2016 en la que se reconoce que la excolonia española no forma parte del reino de Marruecos, el ejecutivo de Mariano Rajoy ha vuelto a templar gaitas para no molestar a Marruecos. Por el contrario, varias instituciones autonómicas piden el cumplimiento de la sentencia e insisten en la responsabilidad del Estado español con el pueblo saharaui.
    Causó sorpresa la respuesta del Gobierno de 14 de marzo al diputado de Podemos Jorge Luis Bail conteniendo que el territorio del Sáhara Occidental no forma parte de Marruecos de acuerdo con la sentencia del TJUE sobre los acuerdos agrícolas entre Marruecos y la Unión Europea, máxime cuando, como dijo el senador Carles Mulet (Compromís) el Partido Popular había vetado en el Senado una declaración institucional “extremadamente aséptica” después de la sentencia del TJUE.
    El Confidencial tituló que España asumía la sentencia, el especialista en el Magreb Ignacio Cembrero comentó que “se acabaron las ambigüedades y titubeos” y el corresponsal de El País en Rabal, Francisco Perejil, escribió que “la respuesta declaraba por primera vez, negro sobre blanco, que el Sáhara Occidental no forma parte de Marruecos”.
    Pero inmediatamente el Ministerio de Asuntos Exteriores y de Cooperación salió al paso para manifestar que el Gobierno no había variado su posición: la portavoz Ana María Rodríguez dijo a EFE que el Gobierno sigue apostando por una solución “política justa, duradera y mutuamente aceptable”, declaración institucional con la que solventa siempre el conflicto del Sáhara, y reiteró la “firme intención” de España de mantener una “relación privilegiada” con Marruecos.
    Desde Exteriores se reconoció a El País que la respuesta parlamentaria pudo haberse redactado mejor, pero que las relaciones con Marruecos no están sufriendo porque en Rabat “conocen muy bien nuestra postura”. Lo que parecía una postura comprometida con la excolonia a la que España abandonó sin proceder a la descolonización se quedó en agua de borrajas.
    Por el contrario, varias instituciones autonómicas hicieron una declaración de compromiso y han pedido al Gobierno de Rajoy que actúe en consecuencia y que se cumpla la sentencia del TJUE. Los parlamentos vasco, balear y aragonés y la asamblea de Extremadura aprobaron por unanimidad declaraciones institucionales en este sentido, pues los acuerdos asociados a la liberación entre Marruecos y la UE “no son de aplicación en el territorio de Sáhara Occidental” y expresaron “su preocupación por la explotación de los recursos naturales en Sáhara Occidental por parte de compañías europeas, lo cual entra en contradicción con el derecho internacional europeo”.
    En la declaración se insiste en la “ilegalidad de cualquier actividad comercial en territorio del Sáhara Occidental sin el consentimiento del pueblo saharaui“, y se llama a las compañías europeas, españolas y de cada comunidad para que cesen las actividades que “puedan favorecer a la perpetuación de la ocupación marroquí del Sahara Occidental y la explotación de sus recursos naturales”.
    Aprovechan para recordar que España puso fin a su presencia en el Sáhara Occidental “dejando inconcluso el proceso de descolonización, que ya estaba en curso en el marco de la ONU”, por lo que el Estado “tiene una responsabilidad histórica, jurídica y moral con el pueblo saharaui”.
    Una declaración similar fue aprobada por el pleno del Ayuntamiento de Vitoria-Gasteiz el 24 de marzo de 2017 y el Cabildo de Fuerteventura el 20 de marzo instó al Gobierno, a las instituciones Canarias y a las empresas canarias a cumplir la sentencia del Tribunal Europeo, a la vez que pidió el reconocimiento efectivo del Frente Polisario.
    El 28 de marzo los Grupos Parlamentarios Unidos Podemos En Comú Podem En Marea y Compromís instaron a España acatar y hacer cumplir la sentencia del TJUE, a la vez que pidieron el cese de la represión de las manifestaciones de saharauis en El Aaiún y garantías judiciales y observación internacional en el juicio de Gdeim Izik.
    En esta línea, el senador de Compromís, Carles Mulet, ha presentado varias preguntas al Gobierno pidiendo explicaciones sobre su “papel cómplice” con Marruecos, pues considera que “su inhibición con el Sáhara permite las agresiones marroquíes contra la población del territorio ocupado”, lo que califica de “cobarde y colaboracionista”.
    Mientras tanto, en el Sáhara Occidental bajo ocupación marroquí y ciudades de Marruecos con población saharaui se siguen produciendo violaciones de los Derechos Humanos. Marzo saharaui 2017 incluye una relación aproximada de estos hechos ocurridos en marzo de 2017, según datos de organizaciones internacionales y medios de información saharauis, tanto oficiales como independientes y Testimonios declaraciones de los presos políticos de Gdeim Izik.