Année : 2016

  • Le Maroc remis à sa place par une « entité non étatique »

    Les autorités de Rabat, dans leurs rêves les plus fous et insensés tentent d’arracher au Front Polisario son statut de représentant légitime et unique du peuple sahraoui. Un statut que l’ONU lui a octroyé après la visite de la première mission onusienne envoyée au Sahara Occidental le 12 mai 1975.
    Cette tentative rentre dans le cadre de la recherche désespérée d’un argument justifiant le refus de Rabat à s’asseoir avec les autorités sahraouies sur la table des négociations tel que sollicité par les différentes résolutions consécutives du Conseil de Sécurité. D’un autre côté, Rabat veut pousser l’ONU à demander à l’Algérie l’abandon de sa condition de pays intéressé et devenir pays directement concerné et partie involucrée dans le conflit qui oppose les sahraouis au Maroc. La France est beaucoup plus engagé au côté du Maroc et le Front Polisario s’est abstenu de lui demander de s’asseoir à la table des négociations. 
    Aujourd’hui, le Maroc s’est retrouvé dans la position d’un nain après les événements de El Gargarate. Son projet a été calé par ce que les voyous de Rabat appellent « entité non-étatique ». Les gendarmes du Maroc sont incapables d’avancer d’un pas sous risque de se voir convertis en fumée sous les armes des valeureux combattants sahraouis.
    Au Conseil de Sécurité, la proposition avancée par la France comme solution et qui propose d’achever le bitumage par la MINURSO a avorté face à la détermination de « l’entité non-étatique », selon les termes des serviteurs de la France qui logent à Rabat. 
    Ceux qui appellent ainsi le mouvement de libération sahraoui appartiennent à la nouvelle génération et ne connaissent rien sur les défaites de l’armée marocaine face aux combattants de « l’entité non-étatique » et qui n’attendent, aujourd’hui, que le feu vert des autorités sahraouies pour asséner aux fachos de Rabat une leçon qu’ils garderont dans la mémoire pour le reste de leurs vies.
    Pour rappel, cette prétendu entité non-étatique empêche,  depuis 40 ans, la dynastie alaouite, une entité fantoche installée par la France pour défendre ses intérêts dans la région, de réaliser son rêve de convertir le territoire du Sahara Occidental en province marocaine. Hassan II, le  roi sanguinaire qui a poussé le peuple marocain dans cette malheureuse aventure, a rendu son âme sans pourvoir mettre le peuple sahraoui à genoux. Ce n’est pas ce roitelet raté qui passe son temps à faire les magasins de mode de Paris qui va le faire. 
  • Se confirma el objetivo de las agitaciones marroquíes

    Las declaraciones del representante marroquí ante la ONU, Omar Hilale, a la agencia de prensa marroquí MAP confirman el objetivo que perseguía Marruecos con la embestida de la zona tampón de  El Guergarat.
    A la pregunta de si El Enviado Personal de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross, había solicitado hacer una gira en la región, Hilale respondió : « Efectivamente, lo solicitó a Marruecos. Nuestra respuesta al Sr Ross fue clara. El contexto actual no es idóneo para tal visita. Marruecos está en plena campaña electoral para las elecciones legislativas y habrá, justo después, un nuevo gobierno. Su predecesor, Peter Van Valsum, se abstuvo, voluntariamente, de visitar la región durante las elecciones legislativas de 2007. Estas legítimas razones fueron bien comprendidas por los miembros del Consejo de Seguridad ».
    De esta manera, Marruecos deja claro que la provocación de El Gargarat se inscribe en el marco de las maniobras precedentes tendentes a trancar la gira del diplomático americano que molesta desde el principio a los gobernantes de Rabat. Con este fin, Marruecos rechazó recibir al Secretario General de la ONU y expulsó el componente civil de la MINURSO alimentando la esperanza de invertir el equilibrio de fuerzas en un futuro próximo con el fin del mandato de Ban Ki-moon y las elecciones presidenciales en Washington.
  • Un diplomate américain relève le nombre élevé de barrages routiers à El Aaiun

    Dans un entretien avec la directeur marocain des Questions lobales, M. Collim Fishwick, Chargé des Droits de l’Homme à l’Ambassade des USA au Maroc, a attiré l’attention sur les nombreux barrages routiers installés par les forces de répression marocaines autour de la ville de El Aaiunm capitale occupée du Sahara Occidental. Ils donnent l’impression que « El Aaiun est risquée » et entravent l’exploitation du potentiel touristique de la ville.
    Il a aussi réitéré l’importance et l’utilité des visites de la délégation américaine dans les territoires occupés du Sahara Occidental et de ses contatcs avec la société civile représentative des points de vue différents.
    Selon une note rendant compte de cette réunion, « avec une posture de donneur de conseil, le diplomate américain (quittant le Maroc le 14 août prochain) a indiqué que si le Maroc « would like to achieve his objectives in Sahara he has to pay more attention to some, but important, details » comme « orienter le discours du Maroc vers ce qu’il fait et vers sa stratégie au Sahara et éviter de trop pointer le Polisario et les indépendantistes ».
  • Moroccoleaks : Conflicto con Marruecos sobre la mediana marítima

    Un correo electrónico confidencial del 24 de Junio 2014, enviado por la ministra delegada marroquí Mbarka Bouaida a un consejero del rey, informa del contenido de su reunión con el embajador español en Marruecos. Entre otras cosas, discutieron de :
    – Un barco « BGP Prospector » de la empresa operadora KOSMOS socio de ONHYM lleva a cabo una campaña de adquisición de datos sísmicos en las aguas de Tarfaya, desde abril de 2014.
    – Este barco traza líneas en la zona marroquí. Por exigencias de maniobra, el barco sobrepasó ligeramente la mediana.
    – La Armada Española ha enviado un mensaje de advertencia al comandante del barco el 4 de junio.
    – El 23 de junio, un avión español sobrevoló la popa del barco, y una llamada de radio de la marina española interpeló al oficial de servicio solicitando información que le fue proporcionada por el comandante.
    – El tema de la mediana siempre surge entre los dos países y es objeto de intercambios regulares entre las dos autoridades. Siempre en un clima de confianza y serenidad que caracteriza a nuestras relaciones, siempre respetando el derecho internacional.
    – Marruecos está dispuesto a reanudar las negociaciones sobre la delimitación marítima siempre respetando las leyes internacionales.
    – Incluso en ausencia de delimitación, Marruecos siempre contempló la retención et avita todo lo que podría provocar una tensión inútil
  • Moroccoleaks . Compte rendu de la reunion avec l’ambassaduer espagnol

    24/06/2014 22:35
    M. Le Conseiller de Sa Majesté,
    Suite aux hautes instructions de Sa Majesté que Dieu l’Assiste, j’ai reçu, ce jour a 18H30,  M. L’Ambassadeur d’Espagne a Rabat, et ce, en présence de M. Nasser Bourita, Secrétaire General du. Ministère.
    Lors de cette réunion d ‘information, qui s’inscrit dans un esprit de collaboration et d’échanges habituels entre nos deux pays, j’ai mis l’accent sur les éléments ci-après:
    – Un bateau  » BGP  prospecteur » opérant pour la société KOSMOS partenaire de l’ONHYM effectue une campagne d’acquisition des données sismiques dans les eaux de Tarfaya, depuis avril 2014.
     – Ce bateau tire des lignes dans la zone marocaine. Pour des exigences de manoeuvre, le bateau a du dépasser légèrement la médiane.
    – La marine espagnole a adressé une lettre d’avertissement au commandant du bateau en date du 4juin.
    – En date du 23 juin, un avion espagnol a survolé l’arrière du bateau, et un appel radio de la marine espagnole a interpellé l’officier de garde sur le bateau demandant des renseignements, qui lui ont été fournis par le commandant.
    – il s’agit d’un incident benin sans aucune gravite.
    – la question de la médiane s’est toujours posée entre nos deux pays et fait objet d’échanges réguliers entre nos deux autorités. Ce point est toujours réglé dans un climat de confiance et de serenite qui caractérise nos relations, toujours dans le respect du droit international.
    – le Maroc est pret a reprendre les discussions sur la delimitation maritime toujours dans le respect du droit international.
    – Meme en l’absence de delimitation, le Maroc s’est toujours astreint a la retenue et eviter tout ce qui pourrait provoquer une tension inutile.
    – La visite du Roi Felipe VI est très attendue, et nous souhaitons  ensemble réussir cet événement.
    – le Maroc pourrait envisager une coopération en matière d’exploration commune si l’Espagne est intéressée.
    En guise de réponse, M. L’Ambassadeur d’Espagne a:
    – remercié le Maroc pour cet esprit de collaboration.
    – indiqué qu’il n’est pas au courant de ce fait
    – Qualifié ce fait comme « pas quelque chose de sérieux ».
    – Souligné que lors d’une rencontre a Casablanca avec  le commandant d’une frégate espagnole Santa, ce dernier n’ a pas évoqué le bateau en question, ce qui confirme qu’il n’y a aucun problème.
    – reconnu que la question de la médiane est une grande source de préoccupation et devrait être réglé le plutôt possible. 
    – précisé que la prochaine visite du Ministre Espagnol de l’énergie serait l’occasion pour aborder cette question.
    – affirmé que la visite du roi Felipe VI est une visite familiale.
    – conclu en se félicitant de la coopération entre nos différents services 
    – a relancé  quant a l’affaire de Melilla, et informé de l’appel téléphonique de son Ministre M. Margallo demandant plus d’informations a ce sujet. M. L’Ambassadeur attire l’attention du Maroc sur l’intérêt que porte l’opinion publique espagnole a cette affaire.
    Haute Considération
  • UNSC : Western Sahara Consultations

    This afternoon (9 September), Council members will meet in consultations at the request of the Secretariat to discuss the situation in Western Sahara amidst rising tensions with regard to ceasefire violations. Special Representative and Head of the UN Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO) Kim Bolduc will brief the Council via video-teleconference, and Special Envoy Christopher Ross will brief in person. The meeting will be the second since allegations emerged that Moroccan forces have traversed the berm, which separates the Moroccan-controlled territory from that held by the Polisario, in violation of the 1991 ceasefire that it signed with the Polisario. At press time, no Council member had proposed an outcome; however, some members may be keen to call for a Council product on the situation.
    The Council last met on Western Sahara on 26 August at the request of Venezuela, which sought information concerning reports that beginning on 11 August Morocco had repeatedly crossed the berm into the Polisario-held part of Western Sahara in the Al Guergerat zone near the Mauritanian border, in contravention of the ceasefire agreement. Assistant Secretary-General for Peacekeeping Operations El-Ghassim Wane briefed the Council, reporting that MINURSO had observed the presence of armed gendarmerie in the area, in breach of Military Agreement No. 1 of the ceasefire. It seems that Wane reported that the UN was initially told by the Royal Moroccan Army that they were clearing the area of drug trafficking and smuggling; however, MINURSO later observed the building of a road in the area. Wane confirmed that Morocco had not given the UN prior notice of its activities.
    At that meeting, most Council members apparently expressed concern over the ceasefire violations, warned of the risk of escalation and urged the parties to refrain from any further violations. France, Senegal and Spain, however, cautioned against over-reaction. Several Council members registered their displeasure with the Secretariat for not having kept them abreast of these developments, which they learned of through the media or other sources, and requested that the Department for Peacekeeping Operations (DPKO) provide timely updates on the situation.
    Since then, the Secretariat has sent confidential notes to the Council on 28 August and 2 and 6 September, depicting a situation of increasing tensions and risk of confrontation. It seems that that on 28 August the Polisario informed MINURSO that it was establishing a checkpoint intended to stop Moroccan construction work. In response, MINURSO informed the Polisario that such action would constitute a violation of Military Agreement No. 1.
    In an effort to deescalate the situation, Bolduc has reportedly presented the parties with several proposals, including a freeze of engineering work and complete withdrawal of all armed elements, or a continuation of the construction work by a third party or by MINURSO. Morocco has reaffirmed its intention to proceed with the construction of the road, which would link the Moroccan-held territory to the Mauritanian border, while Polisario officials continue to object to the work. Bolduc further proposed the withdrawal of respective security elements by 300 metres, as the positions of the parties are currently 120 metres apart.
    On 3 September, Bolduc met with the Moroccan Minister Delegate of Foreign Affairs, who reiterated that Morocco is determined to complete construction of the road, but indicated willingness to consider a proposal for each party to withdraw by 300 metres, followed by a full removal of all security elements by both parties, leaving MINURSO as the only presence in the buffer strip and expecting MINURSO to complete the construction of the road.
    Two days later, Bolduc met in Rabouni, Algeria, with the Polisario “Minister of Defense”, who rejected the proposal and stated that only a full withdrawal of Moroccan elements from the buffer strip and the restoration of the status quo would lead to the withdrawal of Polisario security elements. Bolduc raised the presence of Polisario elements in other locations in the buffer zone, namely Mijek and Bir Lou. The Polisario contended that the situation in Al Guergerat could not be considered in isolation and that it was being forced to move toward “full readiness” in case of aggression by Morocco.
    That same day Morocco communicated to MINURSO that unless the Polisario ceases its build-up in the buffer strip, the Moroccan army would have no alternative but to start building up its presence as well.
    Earlier today, the Polisario sent a letter to the President of the Council highlighting that the construction of a road in the buffer zone had been previously attempted by Morocco in 2001 and 2002, as reflected in the reports of the Secretary-General (S/2001/398, S/2001/613 and S/2002/41), but that such work had been suspended “at the request of MINURSO” on the basis that such activities could constitute a breach of the ceasefire. The Polisario maintains that the Council, based on the precedents contained in the above-mentioned reports of the Secretary-General, “must assume its responsibility so that the normal situation prior to 11 August is restored”.
    Despite receiving information on recent developments from the Secretariat, the Council has yet to react. Bolduc and Ross may impress upon the Council that the resumption of hostilities remains a real possibility and that the Council should not depend on the quiet diplomacy advocated by some of its members. Given the recurrence of crises concerning Western Sahara in recent months, the briefers are likely to stress that the current tensions are not the result of operational issues, but rather the lack of a way forward on the political process. As a result, they may highlight the pressing need for a resumption of negotiations.
  • El martes se conocerá el informe sobre el recurso al acuerdo con Marruecos

    El próximo martes, 13 de septiembre, está previsto que el Abogado General del Tribunal de Justicia de la UE presente sus conclusiones sobre el recurso de apelación interpuesto por el Consejo de la UE contra la sentencia dictada por el Tribunal de Justicia, el pasado 10 de diciembre, que anulaba parcialmente el Acuerdo Agrícola con Marruecos, por considerarse que dicho Acuerdo se aplicaba también en los territorios del Sahara Occidental.
    El sector de frutas y hortalizas agrupado en FEPEX espera con expectación este informe, paso previo al veredicto final, previsto para finales de año, porque puede tener gran trascendencia sobre la situación del mercado comunitario de frutas y hortalizas por el fuerte crecimiento de las producciones en el Sahara Occidental, producciones que son coincidentes con el calendario español y que se están beneficiando de las concesiones del Acuerdo de Asociación de la UE con Marruecos.
    El Tribunal de Justicia de la UE emitió una sentencia el 10 de diciembre de 2015 que anulaba parte del Acuerdo de Asociación de la UE con Marruecos porque, según el Tribunal, dicho acuerdo afectaba a los territorios del Sahara Occidental, admitiendo los argumentos del Frente Polisario, que niega la autoridad de Marruecos sobre estos territorios.
    Ante esta situación, el Consejo de la UE acordó presentar un recurso de apelación, iniciado el pasado 19 de julio. En esa primera sesión, junto a las partes, intervinieron también los abogados de Francia, España y Portugal que apoyan al Consejo y, por tanto, están en contra de la sentencia del Tribunal de Justicia de la UE y a favor de que el acuerdo de la Comisión con Marruecos siga como está.
    Fuente: fepex.es
    Fecha de publicación: 09/09/2016
    http://www.freshplaza.es/article/100235/El-martes-se-conocer%C3%A1-el-informe-sobre-el-recurso-al-acuerdo-con-Marruecos
  • Informe del Comité Especial Encargado de Examinar la Situación con respecto a la Aplicación de la Declaración sobre la Concesión de la Independencia a los Países y Pueblos Coloniales sobre la labor realizada en 2016

    B. Sáhara Occidental
    116. El Comité Especial examinó la cuestión del Sáhara Occidental en sus sesiones cuarta y quinta, celebradas los días 14 y 17 de junio (véanse A/AC.109/2016/SR.4 y A/AC.109/2016/SR.5), y en una sesión extraordinaria a puerta cerrada convocada por el Presidente, celebrada también 17 de junio.
    117. En su examen del tema, el Comité Especial tuvo ante sí un documento de trabajo preparado por la Secretaría que contenía información sobre los acontecimientos relacionados con el Territorio (A/AC.109/2016/17).
    118. En la cuarta sesión, celebrada el 14 de junio, formularon declaraciones los representantes de Cuba, Côte d’Ivoire, Granada, la República Bolivariana de Venezuela, Nicaragua, Etiopía, Antigua y Barbuda, la República Unida de Tanzanía y el Ecuador, así como los observadores de Uganda, Namibia, Sudáfrica, Angola, Marruecos y Argelia.
    119. También en la cuarta sesión, el observador de Marruecos formuló una declaración sobre una cuestión de orden, lo cual dio lugar a un difícil intercambio con el Presidente respecto de la situación del representante del Frente Popular para la Liberación de Saguia el-Hamra y de Río de Oro (Frente Polisario), Sr. Ahmed Boukhari. En consecuencia, el Presidente suspendió y poco después levantó la sesión antes de la hora prevista a fin de calmar la situación y facilitar que el Comité Especial encontrase un modo de avanzar en su examen del tema (véase A/AC.109/2016/SR.4).
    120. A fin de seguir examinando la cuestión del Sáhara Occidental, el 17 de junio el Comité Especial celebró una sesión oficial extraordinaria a puerta cerrada en la que se aprobó un texto oficioso presentado por el Presidente, en el que se habían reflejado las consultas oficiosas celebradas anteriormente en relación con el mismo tema.
    121. En la quinta sesión, celebrada el 17 de junio, la Secretaria del Comité Especial, a solicitud del Presidente, dio lectura al texto oficioso y señaló que el representante del Frente Polisario haría uso de la palabra en calidad de representante del Sáhara Occidental, sobre la base de lo dispuesto en el párrafo 7 de la resolución 34/37 de la Asamblea General y el párrafo 10 de la resolución 35/19 (véase A/AC.109/2016/SR.5).
    122. En la misma sesión, formularon declaraciones los representantes de Côte d’Ivoire, Antigua y Barbuda, el Ecuador, Granada, Chile, Cuba, Nicaragua, la República Árabe Siria, el Estado Plurinacional de Bolivia e Indonesia.
    123. El representante del Frente Polisario, Sr. Ahmed Boukhari, presentado por el Presidente como representante del Sáhara Occidental, formuló una declaración y respondió a una pregunta planteada por el representante del Ecuador (véase A/AC.109/2016/SR.5).
    124. Asimismo, formularon declaraciones los representantes de la República Bolivariana de Venezuela, el Estado Plurinacional de Bolivia y Cuba.
    125. También en la quinta sesión, de conformidad con la práctica establecida del Comité Especial respecto del examen de la cuestión del Sáhara Occidental, y con sujeción a las directrices que pudiera formular la Asamblea General en su septuagésimo primer período de sesiones, a propuesta del Presidente, el Comité decidió transmitir a la Asamblea la documentación pertinente a fin de facilitar el examen del tema por la Comisión Política Especial y de Descolonización (Cuarta Comisión) (véase A/AC.109/2016/SR.5).
  • Le retour des hostilités avec des potentielles implications régionales plus grandes reste une préoccupation majeure (ONU)

    Déclaration du Porte-parole du Secrétaire général de l’ONU: 7 septembre 2016 au sujet du Sahara occidental
    La situation dans la zone tampon de Guerguerat, au Sahara occidental, reste tendue avec des constructions de route menées par le Maroc dans le Berm auxquelles s’oppose le Front Polisario. 
    Malgré les efforts actuels de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) pour la désescalade de la situation avec les parties, les éléments de sécurité du Maroc et du Front polisario ont maintenu leurs positions sur la route, approximativement 120 m les uns des autres. 
    La Mission a déployé des observateurs non armés sur des positions entre les parties dans un effort pour maintenir le calme.
    Parallèlement à cela, des négociations de haut niveau avec les parties et des États Membres clefs ont été menées pour exhorter à la retenue et identifier les options pour une solution acceptable à la crise actuelle.
    Le retour des hostilités avec des potentielles implications régionales plus grandes reste une préoccupation majeure.