Année : 2016
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Algérie: 13e édition du Festival international du cinéma du Sahara occidental
Madrid — La star du cinéma espagnol Clara Lago prendra part à la 13e édition du Festival international du film du Sahara occidental (FISAHARA) qui aura lieu dans les camps de réfugiés de Dakhla entre le 11 et le 16 octobre.Clara Lago qui espère par cette initiative « apprendre et apporter son grain de sable dans la défense de la cause sahraouie », a débuté très jeune sa carrière d’actrice dans le film espagnol « Terca vida » qui a été tourné dans les années 2000 avant de jouer en 2002 dans le « Voyage de Carol » pour lequel elle a été nominée pour le prix « Goya » du meilleur espoir féminin.La jeune actrice a, par la suite, obtenu le prix « L’oréal » du meilleur nouveau talent au cinéma espagnol dans le 56e Festival international du film de San Sébastien avant d’être récompensée du prix « Shooting star » en 2011 alors qu’elle avait 21 ans, au Festival international du film de Berlin.En 2014, Clara Lago tourne « Ocho Appelidos Vascos » (huit noms basques) qui devient le plus grand succès commercial qu’ait jamais connu le cinéma espagnol avec plus de 9 millions d’entrées.La star du cinéma espagnol a indiqué jeudi à la presse que « l’abus de pouvoir et l’injustice (faisaient) bouillir (son) sang et ce qui arrive au peuple sahraoui est une grande injustice » et c’est pour cela que « je ne pouvais pas refuser de participer à cet événement ».Le célèbre groupe de musique rock espagnol « Vetusta Morla » retournera, lui, aux camps de réfugiés 15 ans après une première visite effectuée en 2001, quand le groupe avait encadré des ateliers de formation au profit des écoliers sahraouis vivant dans les camps.Le guitariste et compositeur de ce groupe qui animera le concert de clôture de cette nouvelle édition du Fisahara, Juanma Latorre, a indiqué à la presse espagnole qu’ »au-delà des sympathies politiques que nous avons pour la cause sahraouie, il est également question de demander le respect du droit international et des droits de l’homme dans ce territoire occupé », avant d’ajouter que « l’Espagne a une responsabilité historique qu’elle doit assumer ».Clara Lago et le groupe « Vetusta Morla » vont ainsi se joindre à une longue liste d’artistes connus qui se sont produits lors des éditions précédentes du Fisahara comme Manu Chao, Ivan Ferreiro, Tonino Carotone et autres.La 13e édition du Fisahara qui sera consacrée aux peuples occupés du monde rendra également hommage au regretté Mohamed Abdelaziz, ancien président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et secrétaire général du Front Polisario. -
Maroc : démocratie de façade pour violer les droits de l’homme au Sahara Occidental
Personne n’a été surpris par le résultat des élections législatives au Maroc. Le fait que le Parti Justice et Développement, le parti au pouvoir, ait gagne a déjà été décidée, au préalable, dans les cabinets du palais royal. De la même manière que le fait que dans la scène politique marocaine seuls les partis ayant juré fidélité à la corruption de la monarchie alaouite peuvent y avoir accès.A l’instar de toutes les élections précédentes, il n’y a pas eu de surprises dans ces élections soigneusement orchestrées. Depuis son intronisation en 1999, Mohammed VI, grâce au soutien de la France, a perfectionné l’art de créer une façade démocratique. Paris doit présenter le Maroc comme la seule démocratie au Maghreb pour justifier son soutien à Rabat dans sin occupation du Sahara occidental et ses violations des droits de l’homme dans l’ancienne colonie espagnole. C’est pour cette raison que, ces dernières années, des changements superficiels ont été menés afin de faire semblant de respecter les normes et les standards internationaux, mais en laissant, dans la pratique, tout le pouvoir entre les mains du roi.La prétendue démocratie marocaine est une mascarade basée sur des élections truquées destinées à servir l’agenda extérieur du régime et assurer le soutien des alliés au Maroc dans sa confrontation avec la communauté internationale. Les élections ne sont qu’une farce où l’électeur peut voter, mais ne peut pas choisir. Le gagnant, le Parti de la justice et le développement a été créé par Driss Basri dans les années soixante-dix pour lutter contre les militants de la gauche. À l’époque, il s’appelait Jeunesse Islamique et son leader actuel, Abdelilah Benkirane, a participé dans l’assassinat de l’oppositeur marocain Omar Benjelloun, l’un des dirigeants et fondateurs du parti de l’Union Nationale des Forces Populaires (UNFP), le parti, le parti de Ben Barka, assassiné aussi en 1965 en plein coeur de Paris. En 2011, le régime marocain a permis au PJD de gagner les élections pour absorber la colère de la jeunesse marocaine lors du printemps arabe.Les sources officielles parlent de l’arrivée de plus de 200 observateurs internationaux pour surveiller le bon déroulement des élections. Cependant, les fraudes ont été énormes. Le régime a mobilisé ses milliers d’agents qui forment le corps des chefs tribaux, mouqadems et caïds pour semer la peur et distribuer de l’argent dans les milieux les plus pauvres du pays. S’il y a eu des observateurs, ils n’ont pas été vus dans le territoire du Sahara occidental où les autorités d’occupation prétendent que la participation des Sahraouis dans les élections a été massive.La fraude a été dénoncée par le Premier ministre actuel, Benkirane, en personne. La fraude orchestrée par le ministre de l’Intérieur et de la DST, les services secrets marocains. Cette dernière a été chargée de trouver, suivre et documenter les aventures sexuelles de certains membres du PJD. -
Marruecos : democracia de fachada para violar los DDHH en el Sáhara Occidental
A nadie le sorprende el resultado de las elecciones legislativas en Marruecos. El hecho de que el Partido Justicia y Desarrollo, el partido en el poder, haya ganado ya se había decidido, preablemente, en los gabinetes del palacio real. Exactamente igual que el hecho de que a la escena política marroquí solo entrasen los partidos que hayan jurado fidelidad a la corrupción de la monarquía alauita.Al igual que en todos los comicios anteriores, no ha habido sorpresas en estas elecciones cuidadosamente orquestadas. Desde su intronización en 1999, Mohammed VI, gracias al apoyo de Francia ha perfeccionado el arte de crear una democracia de fachada. París necesita presentar a Marruecos como única democracia en el Magreb para justificar su apoyo a Rabat en su ocupación del Sáhara Occidental y sus violaciones de los derechos humanos en la antigua colonia española. Por eso, en los últimos años, se han llevado a cabo cambios superficiales, con el fin de pretender cumplir con las normas y los estándares internacionales, pero dejando, en la práctica, todos los poderes en manos del rey.La pretendida democracia marroquí es una mascarada basada en elecciones amañadas para servir la agenda exterior del régimen y garantizar el apoyo de los aliados a Marruecos en su enfrentamiento contra la comunidad internacional. Las elecciones no son más que una farsa donde el elector puede votar pero no puede elegir. El ganador, el Partido Justicia y Desarrollo fue creado por Driss Basri en los años setenta para combatir a los militantes de izquierda. En aquel entonces se llamaba Juventud Islámica y su líder actual, Abdelilah Benkirane, participó, en 1975, en el asesinato del opositor marroquí Omar Benjelloun, uno de los fundadores y dirigentes de la Unión Nacional de Fuerzas Populares, el partico de Ben Barka, que fue también fue asesinado en 1965 en pleno corazón de París. En 2011, el régimen marroquí permitió al PJD ganar las elecciones para absorber la cólera de la juventud marroquí durante la Primavera Arabe.Marruecos habla de más de 200 observadores internacionales llegados para controlar los comicios. Sin embargo, los fraudes han sido enormes. El régimen mobilizó a sus miles de secuaces que forman el cuerpo de jefes tribales, mouqadems y caïds para sembrar el miedo y distribuir dinero entre las castas más pobres del país. Si observadores hubo, no llegaron al territorio del Sáhara Occidental donde las autoridades de ocupación pretenden que la participación de los saharauis en estas elecciones ha sido masiva.El fraude fue denunciado por el presidente del gobierno actual en persona, Benkirane. Un fraude orquestrado por el ministro del interior y la DST, los servicios secretos marroquíes. Esta última se encargó de averiguar, seguir y documentar las aventuras sexuales de algunos miembros del PJD. -
Elecciones en Marruecos : Una nueva mascarada
El régimen corrupto y asesino de Marruecos acaba de organiza una nueva mascarada electoral cuyos resultados han sido definidos con anticipación para servir objetivos diplomáticos determinados.Los comicios de este 7 de Octubre pretenden proyectar hacia el exteritor una imagen de democracia que sólo existe en la fértil imaginación de los estrategas marroquíes cuyos cálculos parten siempre del objetivo de afianzar la ocupación del territorio del Sáhara Occidental por Marruecos.Entre los medios instrumentalizados por Rabat para llegar a esta meta se encuentra la amenaza terrorista. En este contexto, el partido creado por el palacio para servir los intereses de la monarquía y sus secuaces es presentado como islamista, mientras que su otra creación que lleva la denominación de Partido de Autenticidad y Modernismo es presentado como un rival de tendencia liberal.La actual mascarada electoral se celebra en medio de un ambiente electrificado por las prácticas de represión del régimen del rey Mohammed VI. Detenciones arbitrarias, torturas, asesinatos y persecución de los opositores y de los militantes saharauis son las constantes de los gobernantes marroquíes apoyados por la Francia colonialista y la complicidad europea.Los partidos existentes son tolerados porque acatan la línea definida por le régimen y las elecciones las gana el partido designado por palacio, mientras la llamada prensa baila al son que toca la DGED, el servicio secreto marroquí encargado del espionnaje y el contraespionaje y su principal misión es servir los intereses del palacio y contribuir en la fabricación de una falsa imagen de un país democrático y próspero amenazado por los islamistas y las organizaciones terroristas y, de esta manera, atraer la simpatía y el apoyo de los aliados tradicionales de Occidentel en el contencioso del Sáhara Occidental.Por lo tanto, todo el circo electoral montado por la dictadura marroquí no es más que una búsqueda de respaldo al lavado de cara del régimen con aparentes reformas políticas y promesa de transparencia en los resultados para dar a París una razón que justifique su apoyo a Marruecos y sus declaraciones que presentan a la oligarquía marroquí como un ejemplo de democracia, tolerancia y progreso. -
Maroc : Attaque contre les prisonniers politiques sahraouis
Les prisonniers politiques sahraouis du groupe de Gdeim Izik ont été attaqué par les agents de l’administration pénitentiaires de la prison marocaine d’El Aarjat pour avoir protesté contre les dures conditions dans cette prison et la confiscation de tous leurs biens. Plusieurs prisonniers ont été blessés à cette occasion. Les autorités marocaines avaient procédé en août dernier au transfert de 21 prisonniers politiques sahraouis de groupe de Gdeim Izik depuis la prison de Salé vers celle d’El Aarjat, après l’annonce de la Cour de Cassation marocaine le 27 juillet 2016 du renvoi de l’affaire des 23 prisonniers politiques sahraouis condamnés par une cour martiale marocaine à de lourdes peines allant de 20 ans à la perpétuité, devant une juridiction pénale de droit commun.En novembre 2010, des affrontements ont éclaté au Sahara occidental, lorsque les forces de sécurité marocaines ont démantelé un camp sahraoui à Gdeim Izik où des milliers de Sahraouis manifestaient pour des revendications sociales et économiques. Des centaines de sahraouis ont été arrêtés et 25 d’entre eux ont été condamnés par un tribunal militaire à des lourdes peines d’emprisonnement allant de 20 ans à la perpétuité. -
Aidé par ses alliés : le Maroc «cache» mal son terrorisme
Couple juif assassiné à Casablanca Aidées par les Occidentaux, les autorités marocaines font tout pour «occulter» la multiplication des actes de violence dans la monarchie depuis quelques mois. Une vague qui correspond à une hausse inquiétante du nombre de Marocains embrigadés par l’organisation terroriste dite «Etat islamique» en Irak et en Syrie. Ce n’est, d’ailleurs, pas un hasard si les médias internationaux préfèrent se focaliser sur de prétendus «exploits» réalisés par les services de sécurité marocains, comme cette abracadabrante mise hors d’état de nuire d’une cellule de jeunes filles suspectées de liens avec Daech, à la veille des élections dans ce pays. La presse à la solde du Makhzen s’est même permis, pour magnifier davantage cette vigilance antiterroriste exhibée outre-mer, d’avancer que les présumées terroristes s’apprêtaient à commettre des attentats-suicides le jour même des élections.Mais ces médias, y compris européens, cachent systématiquement tout «incident» susceptible de ternir un tant soit peu l’image de cette monarchie qui leur sert de poste avancé pour l’exécution de leurs manigances dans la région, en contrepartie d’une exploitation éhontée des richesses naturelles du Sahara Occidental, et aussi pour tous les privilèges dont bénéficient les entreprises françaises basées au Maroc. Une autocensure qui en dit long sur la stratégie qu’adoptent ces pays, France en tête, dans leurs relations avec la région du Maghreb.Ainsi, nous apprenons de source crédible qu’une touriste hollandaise et ses deux enfants ont été grièvement blessés à l’arme blanche, mardi en fin d’après-midi, par un homme à Rabat, pas très loin de la tour Hassan. Une agression qui a été accueillie avec un mutisme total de la part des autorités qui ont, non seulement imposé le black-out dans la presse locale, mais ont aussi demandé la discrétion aux autorités consulaires néerlandaises.La même attitude adoptée par le Makhzen, lors de l’attaque de cinq employés italiens d’un cirque de jeux par un marocain, le 24 août dernier à Kenitra, tuant l’un d’entre eux et blessant quatre autres. Là encore, les autorités avaient, sur le coup, essayé de minimiser la portée politique de cette agression, en imputant l’acte à un «récidiviste» et circonscrire l’acte dans le cadre d’un «différend personnel» entre le mis en cause et le propriétaire du cirque qui l’aurait licencié de son emploi. Il n’est surtout pas question de suspecter un cas de «xénophobie» ou, pis encore, un acte «terroriste». Alors que ces deux actes portent toutes les caractéristiques d’un acte de xénophobie teinté de terrorisme.R. Mahmoudi -
Crime xenophobe au Maroc
Trois touristes néerlandais ont été poignardés par un homme lorsqu’ils réalisaient une visite à la mosquée Hassan II de Casablanca. Selon des sources du ministère néerlandais des Affaires étrangères, les trois personnes ont été grièvement blessées.Il s’agit d’une femme de 57 ans, son fils de 30 ans et sa fille de 27 ans. Ils ont été agressés par un homme. « Il est apparu de nulle part et a commencé à les poignarder », a indiqué un porte-parole des Affaires étrangères.Les autorités marocaines tentent de dissimuler le caractère xenophobe de l’agression en qualifiant l’agresseur, un homme de 28 ans, de psychologiquement perturbé. Pour donner de crédibilité à leur version des faits, ils prétendent qu’un des agents de la police aurait été blessé à une jambe lors de l’intervention des élélents de la sécurité pour neutraliser l’auteur des faits.L’incident risque d’avoir des répercussions graves sur le secteur touristique au Maroc, une des principales sources de revenus de l’Etat.Au mois de juillet 2016, un couple juif âgé a été assassiné dans sa maison de Casablanca. -
Maroc : Répression sur fond de mascarade électorale
Le samedi 1er Octobre, la manifestation nationale contre la réforme des retraites au Maroc a été interdite et violemment dispersée occasionnant des dizaines de blessés. Cet évènement s’est déroulé dans le contexte de la campagne ouverte pour les élections législatives qui auront lieu le 7 Octobre.La démonstration est faite que, pour le pouvoir, ces élections ne doivent pas être perturbées par les résistances populaires.Ces élections, que le pouvoir présente comme « démocratiques «et pluralistes », ne doivent pas, pour celui-ci, remettre en cause le statu quo :– la poursuite des politiques d’austérité,– le monopole politique du trône,– le maintien du despotisme et de la corruption,– le cantonnement des institutions représentatives à une simple façade où le parlement est une chambre d’enregistrement appliquant les directives royales, les injonctions du FMI et de la Banque mondiale.La campagne électorale est menée par des partis sans indépendance dans le cadre d’une Constitution qui ne reconnaît que ceux qui acceptent d’être « l’opposition de sa majesté ».Il n’a pas lieu de s’étonner de la répression des résistances sociales. La gauche radicale qui défend une position de boycott actif et populaire (La Voie démocratique, Tahaddi… ) voit banni le simple droit élémentaire d’expression.Ainsi dans plusieurs villes, les militants de La Voie démocratique, organisation pourtant légale, ont été harcelés, tabassés, au point de menacer l’intégrité physique de leurs membres. Simultanément, leur matériel a été confisqué.Nous apportons notre solidarité à toutes les forces qui mènent la lutte contre la mascarade électorale, refusent la paix sociale et subissent la répression de la dictature avec l’appui ou le silence complice des partis institutionnels.Montreuil, le 4 octobre 2016 -
Reunión del Consejo de Seguridad sobre el Sáhara el 18 de Octubre
Como es habitual, el Consejo de Seguridad se reunirá el 18 de Octubre, bajo la presidencia de la delagación rusa, para discutir la cuestión del Sáhara Occidental y el estado de las negociaciones. Intervendrán los enviados Personal y Especial del SG de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross y Kim Bolduc, respectivamente.Según las declaraciones del porta-voz de la ONU, Farhan Haq, las negociaciones sobre el retorno del personal de la MINURSO continuan y la misión todavía no ha alcanzado su plena funcionalidad.La reunión del Consejo de Seguridad tiene lugar, según el sitio Security Council Report, especializado y bien en informado sobre el tema de la ONU, en una situación de « profundas divisiones que han hecho que el Consejo sea en gran medida impotente en la cuestión del Sahara Occidental en sucesivas crisis recientes ».
« Tras la expulsión por parte de Marruecos, del componente civil de la MINURSO en marzo, añade el sitio, debido a una disputa con el Secretario General, el Consejo guardó silencio absoluto a causa de la insistencia de algunos miembros que apoyan la posición de Marruecos en el Sáhara Occidental. Estos miembros, entre los que figuran Francia, Senegal y España, siguen predicando una mínima participación del Consejo en la crisis actual. Otros miembros, entre ellos Angola, Nueva Zelanda, Uruguay y Venezuela, han tratado de mejorar la función del Consejo a través de peticiones de informes ad hoc, y proponiendo solucione, pero tienen que enfrentarse a una fuerte oposición ».
Las reuniones de la Cuarta Comisión de la ONU para la Descolonización prosiguen. Argelia y otros 24 países presentaron una proposición de resolución que pone énfasis en el derecho a la autodeterminación y llama a la reanudación del proceso de negociaciones entre le Frente Polisario y Marruecos que se encuntra estancado desde 2012.En Suecia, un grupo de parlamentarios presentó un proyecto de resolución en el parlamento slicitando al gobierno el reconocimiento de la RASD.En Estados Unidos, el Centro Robert F. Kennedy para los Derechos Humanos recordó, en un reciente informe hecho público en partenariado con otras ONG y universitarios, que, en virtud del derecho internacional, la ocupación del Sahara Occidental por Marruecos es ilegal.En Argel, un comunicado conjunto del Programa de Alimentación Mundiao, el Alto Comisariado para los Refugiados y el Fondo de Naciones Unidas para la Infancia lanzaron un llamamiento a los países donantes para que sigan aportando sus ayudas a los refugiados saharauis que viven ek Argelia.En Europa, uno de los últimos bastiones de apoyo a Marruecos, Rabat recibió con pesar la decisión del Abogado General de la Corte Europea de Justicia que dice claramente que « El Sáhara Occidental no es parte de Marruecos » y por lo tanto « el acuerdo agrícole entre Marruecos y la UE no es aplicable al Sáhara Occidental ». Es más, subraya que « ningún país europeo reconoce la soberanía de Marruecos sobre este territorio ».Marruecos, arrinconado se bate en retirada intentando aligerar el peso de la presión de la comunidad internacional solicitando el ingreso en la Unión Africana en un intento de neutralizar la acción de la organización panafricana de apoyo a la causa saharaui. -
Maroc : Le coup de grâce venu de l’Europe
L’avis de l’Avocat Général Me Wathelet de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a eu l’effet de coup de grâce pour le régime de la monarchie marocaine.Il souligne que le Maroc n’a aucune prétention à avoir sur le territoire du Sahara Occidental. D’une façon claire précise, il rappelle que « le Sahara Occidental n’est pas partie du Maroc » et son cas relève du statu de territoire non autonome depuis 1963, et par conséquent, les produits qui proviennent de ce territoire ne peuvent pas être exportés par le Maroc au titre de l’accord d’association UE-Maroc.Me Wathelet et allé en droite ligne avec la légalité internationale apportant la preuve que le droit international prime et défend les intérêts du peuple du Sahara Occidental. l’Union Européenne et, encore une fois, le statut du Front Polisario en tant que représentant légitime du peuple sahraoui est confirmé.Dans le sens opposé aux calculs des marocains, plus le temps passe plus ils enregistrent des revers accablants du fait que la communauté internationale s’accroche de plus en plus au droit international. Dans ce cadre rentre la visite du Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon et la position ferme du Conseil de Sécurité concernant la décision des autorités du Maroc d’expulser la composante civile de la MINURSO.Au niveau du continent noir, l’Union Africaine réaffirme son soutien au droit à l’autodétermination et au principe d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme.En Europe, les accords avec l’Union Européenne que le Maroc utilisaient pour imposer sa prétendue souveraineté sur le Sahara Occidental sont tombés à l’eau. La décision de la justice européenne sur l’accord agricole aura son effet sur l’accord de pêche. Me Wathelet n’a pas oublié les points sur les « i » en rappelant que « aucun pays de l’UE ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental ».Aujourd’hui, le Maroc tergiverse dans le but d’esquiver la médiation de l’Ambassadeur Christopher Ross avec les yeux rivés sur une éventuelle victoire de Hillary Clinton et le départ de Ban Ki-moon. Des faux espoirs pour dissimuler une défaite retentissante résultant de la mauvaise gestion du dossier sahraoui par une équipe qui a fait preuve d’inefficacité,