Année : 2016

  • La malédiction du peuple sahraoui tombe sur Macky Sall

    Dans leur culture populaire basée sur la croyance religieuse, les sahraouis racontent que les actes malveillants commis contre les personnes correctes finissent toujours par se retourner contre celui qui les commet. 
    Dans le cas du président sénégalais Macky Sall, sa mauvaise foi contre le peuple du Sahara Occidental s’est retournée contre lui. Il est en train de subir la malédiction du peuple sahraoui. La première de ces malédictions se trouve dans le fait que les sénégalais ont découvert son vrai visage de personnage corrompu et malhonnête qui a voulu enrichir son frère avec l’argent du contribuable sénégalais. Aliou Sall a été contraint de démissionner après la découverte de son arnaque.
    Le président sénégalais et son ministre des affaires étrangères, Menteur Ndiaye, sont un exemple de corruption et de malhonetteté, prêts à vendre leur pays pour le moindre sous. Pour de l’argent, ils sont devenus des mercenaires du Maroc et de l’Arabie Saoudite. 
    Macky Sall a reçu des autorités de Rabat 50 millions d’euros lors de son dernier séjours au Maroc en échange de son engagement contre les sahraouis dans l’Union Africaine.
    Dans ce but, il a engagé Abdoulaye Bathily pour présenter sa candidature en vue de remplacer la sudafricaine Dlamini Zuma à la tête de la Commission Africaine. Ce poste sera l’avant-garde des conspirations du Maroc et du Sénégal contre la RASD, membre à part entière de l’organisation panafricaine depuis plus de 32 ans.
    L’autre mercenaire du Maroc, Menteur Ndiaye a été dévoilé par le hacker Chris Coleman. Il reçoit chaque année plus de 8 millions de francs CFA de l’ambassade du Maroc à Dakar. Au mois de novembre, le Sénégal présidera le Conseil de Sécurité. Il veillera à ce que la question du Sahara Occidental ne soit pas inscrite dans l’agenda du Conseil.

    Les sénégalais ne sont pas dupes. Vendredi ils sont sortis à la rue pour manifester contre magouilles de Macky Sall et sa famille. « Non à la gestion patrimoniale et familiale des ressources naturelles », « Le pétrole et le gaz au peuple, pouvait-on lire sur des banderoles ». 
  • Moroccoleaks : Tagma propose de réactiver la CEN-SAD pour contrecarrer le leadership algérien dans la lutte contre le terrorisme

    Du 04 au 06 août 2014 se sont déroulés les travaux de la première édition du Sommet Etats-Unis – Afrique. Pendant trois jours, une cinquantaine chefs d’Etats et de gouvernements ont été reçus par Barack Obama pour parler surtout affaires, sécurité et gouvernance.
    Le 5 août 2014, dans le panel sur la sécurité au Sahel et au Maghreb, le Maroc tente de se faire accepter dans les réunions sur le Sahel sous le slogan du « refus des démarches d’exclusion ».
    Dans un email envoyé le même jour, Ouali Tagma de Washington, rapporte que « sur le volet sécuritaire néanmoins participants africains ont reconnu le leadership de l’Algérie dans la zone », alors que « sur le volet religieux reconnaissent le leadership du Maroc ».
    « MD algérien a déclaré que l’argent du trafic du Kif finance le terrorisme ainsi que le trafic de la cocaïne et les rançons payés par l’occident. Les pays du Sahel n’ont pas remis en cause ces déclarations ni l’hégémonie de l’Algérie. D’où nécessite réactiver Censad », conclu Tagma.
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  • Moroccoleaks : Lettre de Laurent Fabius à l’occasion de la fête du Trône (30 juillet 2014)

    M. Fabius « regrette » les difficultés qu’ont connues les relations bilatérales et met en avant les efforts de la France pour trouver une solution dans le cadre du respect « des relations constitutionnelles et des obligations internationales de nos deux pays ».
    Il rappelle l’attachement de la France à la « relation singulière avec le Maroc, qui a été et sera toujours un partenaire essentiel » et a émis le souhait de voir « l’amitié sincère entre les deux permettre de laisser au plus vite ces tensions derrière nous ».
    Il souligne que c’est dans cet esprit que le Président de la République française a renouvelé son invitation pour recevoir le Roi Mohammed VI en France « afin de marquer solennellement la poursuite du partenariat d’exception entre nos deux pays ».
    Pour rappel, les relations entre le Maroc et la France se sont déteriorés suite à la convocation d’Abdellatif Hammouchi, le chef de la police marocaine, par la justice française en raison d’une plainte de l’ONG française « Action des chrétiens pour l’abolition de la torture » (ACAT) contre le chef de la DGST. 
    L’ONG avait profité d’un voyage de Abdellatif Hammouchi à Paris, dans le cadre d’une rencontre du ministre marocain de l’Intérieur Mohamed Hassad avec ses homologues européens, pour demander aux autorités françaises de l’entendre au sujet de faits présumés de tortures envers des citoyens Adil Lamtalsi, Zakaria Moumni et Ennaâma Asfari.
    Une convocation a été transmise par la police française à la résidence de l’ambassadeur du Maroc, à Neuilly, la justice française cherchant à auditionner Abdellatif Hammouchi. Pour manifester son mécontentement, le Maroc a convoqué l’ambassadeur de France à Rabat, Charles Fries et suspendu quelques jours plus tard la coopération judiciaire avec la France.
  • La France pointée du doigt

    Le camp de réfugiés sahraouis de Dakhla vit au rythme des festivités de la 13e édition du Fisahara, dont le coup d’envoi a été donné mercredi dernier. Celle qui a marqué ces dernières c’est le point de presse animé par le président de la République Sahraouie, Brahim Ghali après avoir assisté à l’ouverture officielle de cet événement cinématographique.
    C’est devant un parterre de journalistes, que le Président de la République sahraouie démocratique (RASD), Brahim Ghali, s’est exprimé d’un ton de haute tenue, soulignant, à l’occasion que le long parcours de la cause nationale se renforce inéluctablement de jour en jour. Il a affirmé qu’aucune volonté ne pourra contraindre la volonté du peuple sahraoui à renoncer à ses nobles objectifs, et personne ne décide de son sort. 
    Cette position ferme n’est pas dénuée de l’essence même qui fait la grandeur de ce combat, dans la mesure où l’orateur appelle à la paix, à l’entente et à la coexistence. Lors de ce point de presse très remarqué, pour la pertinence de ses thèmes, prononcée, en présence d’un parterre de journalistes, le Président Ghali a tenu à préciser que «notre message est clair, net et précis», tout en affirmant que l’issue finale de la cause sahraouie sera certainement couronnée par l’accession à l’indépendance.
    En ce qui concerne l’examen de l’état de la cause sahraouie à l’échelle internationale, le Président Brahim Ghali a exprimé son mécontentement au sujet de la position de quelques pays qui prétendent s’associer à la défense du respect des droits de l’homme dans le monde, épinglant au passage alors la France qui soutient le royaume du Maroc dans sa colonisation de grandes superficies du territoire sahraoui. 
    Le royaume chérifien, faut-il le redire, est considéré comme un grand pays exportateur de drogue dans la région. Eu égard à cette politique, le Président Ghali a précisé que le peuple sahraoui continue à honorer les promesses des martyrs sahraouis, dans un climat d’unité et de cohésion, sous la direction du Front Polisario, engagé dans la voie de la lutte pour recouvrer sa souveraineté et sa dignité au sein d’un territoire sahraoui libre. 
    Le président de la RASD a appelé le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités pour mettre un terme aux souffrances du peuple sahraoui, par un processus de décolonisation du Sahara occidental. Il rappelle que cet appel urgent est destiné au premier responsable de la MINURSO et garant de la mission dont elle a été investie, à savoir l’organisation du référendum d’autodétermination au Sahara occidental. 
    Par ailleurs, le Président sahraoui s’est félicité de tous les messages de solidarité avec le peuple sahraoui opprimé, notamment ceux des délégations officielles et d’autres représentants des organisations non gouvernementales (ONG), dans le but de participer aux évènements organisés par les autorités sahraouies. 
    Coté cinéma, plusieurs films sont au menu de cette manifestation cinématographies dont le principal objectif est la sensibilisation de l’opinion publique internationale à la cause sahraouie. 
    L’un des films qui a marqué l’assistance venue nombreuse projeté en plein air de cette 13e édition de Fi Sahara qui se tient sous le slogan «Peuples sous occupation», est celui de la documentariste iranienne Rokhsareh Ghaem Maghami, qui a suivi avec sa caméra Sonita Alizadeh, une jeune réfugiée afghane vivant à Téhéran. 
    Cette adolescente rêve de faire de la musique rap. Mais sa famille, restée en Afghanistan, a décidé de la marier de force, selon la tradition, en échange de 9 000 dollars. Pour aider Sonita à concrétiser son rêve, la cinéaste l’accompagne de bureaux en bureaux pour obtenir un passeport afghan, un visa pour les Etats-Unis et une place dans un lycée de l’Utah. Pour retarder l’échéance du mariage et modifier le cours du destin de Sonita, elle a payé 2 000 dollars à sa famille.
    Un choix qui soulève des interrogations morales, mais que la cinéaste assume. En marge de ces représentations cinématographiques les organisateurs ont concocté un programme riche et varié qui consiste des ateliers de formation dans le domaine de l’audiovisuel, en plus de tables rondes qui s’articuleront autour de thèmes liés au ’’Sahara Occidental sous l’occupation, comme modèle’’, ’’les peuples sous occupation, à leur tête la cause palestinienne’’ et ’’le cinéma d’Histoire’’, selon les organisateurs. 
    Le festival international du cinéma au Sahara est une initiative culturelle adoptée par le gouvernement sahraoui depuis plusieurs années, avec le concours de la coordination espagnole de soutien au peuple sahraoui qui a mis en place une administration spécifique dénommée ’’festival Fisahara’’.
    Par : DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL AUX CAMPS DE RÉFUGIÉS À DAKHLA : IDIR AMMOUR
  • La célèbre artiste Cynthia Basinet exhorte l’ONU à résoudre le conflit du Sahara Occidental

    L’emblématique chanteuse, actrice et activiste Cynthia Basinet, mieux connu pour la version la plus populaire de « Santa Baby » revient aux Nations Unies pour la 10e fois pour défendre les droits du peuple du Sahara occidental.
    Basinet s’est activé en vue d’attirer l’attention sur le sort des réfugiés sahraouis du Sahara occidental vivant depuis 40 ans, dans les camps au sud de l’Algérie dans l’attente de leur droit à l’autodétermination.
    En mai 2001, elle a visité ces camps en solidarité avec le peuple sahraoui. Le 5 Octobre 2016, parlant face à l’auditoire de la Quatrième Commission des Nations Unies (connu aussi sous le nom de Comité des questions politiques spéciales et de décolonisation), la candidate au Prix Nobel de la paix et activiste pour le changement social, Cynthia Basinet a averti que 16 ans dans un nouveau siècle, la communauté internationale ne pourrait «se permettre le coût des sans-voix ». Le monde ne pourrait pas prospérer si les sociétés sont aliénés, a-t-elle dit, ajoutant que «nos ennemis sont ceux que nous aliénos et repoussons, car elles aussi font partie de la solution ».
    Elle a dit que la lutte des Sahraouis a renforcé sa lutte; soulignant que le temps était venu pour un référendum au Sahara occidental, comme convenu en 1991. « 
    Toujours à l’avant-garde des tendances sociales, l’influence stylistique de Cynthia peut être vu à la mode de la musique et des médias sociaux.
    La fille de Los Angeles est mieux connue pour ses stylings pop jazzy dans ses hits comme « Going Out Of My Head» et le sensuel hit « Santa Baby » enregistré en 1997.

  • La famosa artista Cynthia Basinet insta la ONU a resolver el conflicto del Sahara Occidental

    La célebre cantante, actriz y activista Cynthia Basinet, más conocida por la versión más popular de « Santa Baby » vuelve a las Naciones Unidas por 10ª vez para defender los derechos del pueblo del Sahara Occidental.
    Basinet se activó con el fin de llamar la atención sobre la difícil situación de los refugiados saharauis del Sahara Occidental que viven desde hace 40 años en campos en el sur de Argelia en espera de su derecho a la autodeterminación.
    En mayo de 2001, visitó estos campamentos en solidaridad con el pueblo saharaui. 
    El 5 de octubre de 2016, hablando frente a la audiencia de la Cuarta Comisión de la ONU (también conocida como Comité de Cuestiones Políticas Especiales y Descolonización), la candidata para el Premio Nobel de la Paz y activista por el cambio social, Cynthia Basinet advirtió que 16 años después de la entrada en el nuevo siglo, la comunidad internacional no podría « permitirse el coste de los sin voz ». El mundo no podría prosperar si las sociedades están alienadas, dijo, añadiendo que  » nuestros enemigos son aquellos que alienamos y rechazamos porque son también parte de la solución « .
    Basinet dijo que la lucha de los saharauis reforzó la suya; haciendo hincapié en que había llegado el momento para el Referéndum del Sáhara Occidental, según lo acordado en el año 1991. « 
    Siempre a la vanguardia de las tendencias sociales, la influencia estilística de Cynthia puede verse en la música de moda y los medios sociales.
    La jóven de Los Ángeles es más conocida por sus estilos de jazz pop en sus éxitos como « Going Out Of My Head » y la hit sensual « Santa Baby » de 1997.
  • La célèbre artiste Cynthia Basinet exhorte l’ONU à résoudre le conflit du Sahara Occidental

    L’emblématique chanteuse, actrice et activiste Cynthia Basinet, mieux connu pour la version la plus populaire de « Santa Baby » revient aux Nations Unies pour la 10e fois pour défendre les droits du peuple du Sahara occidental.
    Basinet s’est activé en vue d’attirer l’attention sur le sort des réfugiés sahraouis du Sahara occidental vivant depuis 40 ans, dans les camps au sud de l’Algérie dans l’attente de leur droit à l’autodétermination.
    En mai 2001, elle a visité ces camps en solidarité avec le peuple sahraoui. Le 5 Octobre 2016, parlant face à l’auditoire de la Quatrième Commission des Nations Unies (connu aussi sous le nom de Comité des questions politiques spéciales et de décolonisation), la candidate au Prix Nobel de la paix et activiste pour le changement social, Cynthia Basinet a averti que 16 ans dans un nouveau siècle, la communauté internationale ne pourrait «se permettre le coût des sans-voix ». Le monde ne pourrait pas prospérer si les sociétés sont aliénés, a-t-elle dit, ajoutant que «nos ennemis sont ceux que nous aliénos et repoussons, car elles aussi font partie de la solution ».
    Elle a dit que la lutte des Sahraouis a renforcé sa lutte; soulignant que le temps était venu pour un référendum au Sahara occidental, comme convenu en 1991. « 
    Toujours à l’avant-garde des tendances sociales, l’influence stylistique de Cynthia peut être vu à la mode de la musique et des médias sociaux.
    La fille de Los Angeles est mieux connue pour ses stylings pop jazzy dans ses hits comme « Going Out Of My Head» et le sensuel hit « Santa Baby » enregistré en 1997.
  • El Sáhara en la ONU durante el mes de Octubre

    El enviado personal de Ban Ki-moon para el Sahara Occidental, Christopher Ross, intervendrá el próximo martes 18 de Octubre ante el Consejo de Seguridad para informarle sobre el desarrollo de su mediación en el expediente saharaui.
    En este sentido, el enviado de la ONU presentará un informe oral al Consejo de Seguridad y estará acompañado en esta reunión, que se hará a puerta cerrada, de la Sra. Kim Bolduc, jefa de la MINURSO. 
    Ross, que no logra obtener la cooperación de Marruecos para la reanudación de las negociaciones, deberá poner el Consejo de Seguridad al tanto de las trabas puestas por Rabat para restringir su libertad de movimiento, impidiéndole proseguir sus giras diplomáticas previstas para relanzar las negociaciones entre las dos partes del conflicto. Marruecos ya había intentado empujar el mediador de la ONU a la dimisión en 2012 y, posteriormente, lo declaró « persona no grata » en los territorios saharauis ocupados.
    La sesión de información de Ross tendrá lugar en un clima de seguridad particularmente tenso en la zona de Gargarat al sur del Sahara Occidental donde Marruecos quiere construir una carretera que atraviesa los territorios controlados por el Frente Polisario, en violación del acuerdo de alto el fuego.
    Esta sesión tiene lugar también en el contexto de las declaraciones del portavoz de la ONU, Farhan Haq en las que reconoce que la MINURSO todavía no ha recuperado su plena capacidad de funcionamiento tal y como lo había exigido el Consejo de Seguridad.
    El jueves 20 de Octubre, el secretario general adjunto de la ONU responsable del Departamento de Operaciones de Mantenimiento de la Paz, el francés Hervé Ladsus, llegará en una gira de 5 días en la región para tratar de solucionar la crisis desencadenada por Marruecos en Gargarat.
  • Pour la solidarité avec la cause sahraouie

    Mehdi Isikioune
    La 13e édition du Festival international du cinéma du Sahara Occidental (Fisahara) 2016 a débuté, mercredi soir, dans les camps des réfugiés sahraouis de Dekhla.
    Placée sous le thème «Des peuples sous l’occupation», cette édition voit la participation de 400 professionnels, venant de 28 pays à l’instar de l’Algérie, la Mauritanie, la Syrie, l’Espagne, l’Allemagne, l’Iran, le Venezuela, et le Sahara Occidental, pays organisateur. La cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence du président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Brahim Ghali, du secrétaire général au ministère de la culture Sahraouie, Mustapha Mohamed Fadel, du wali de Dekhla ainsi que d’artistes, cinéastes, intellectuels, journalistes et militants des droits de l’homme.
    Dans son allocution d’ouverture, le secrétaire général au ministère de la culture Sahraouie, Mustapha Mohamed Fadel a estimé que le festival revêtait une grande importance du fait qu’il permettait d’évoquer la cause sahraouie, ajoutant que cette manifestation est une occasion pour une rencontre amicale et professionnelle entre les cinéastes et les jeunes sahraouis, tout en espérant plus de succès au Fisahara : « Ce festival reste l’unique évènement cinématographique organisé dans les camps des réfugiés, un évènement incontournable pour le peuple sahraoui », a-t-il notamment précisé.
    Et d’enchaîner : «nous espérons que ce festival accueillera de nouveaux cinéastes et de participants». La cérémonie d’ouverture a été marquée, notamment par la projection du film documentaire « Danielle » du réalisateur Sahraoui, Lafdal Mohamed Salem. Le film relate l’histoire de Daniella, une femme sahraouie handicapée qui a eu le courage, avec le temps, d’affronter les problèmes de la vie quotidienne et ce, en dépit du peu de moyens et des conditions de vie très difficiles. Pas moins de 50 films et projections documentaires, dont 28 traitant de la cause sahraouie aux plans politique et social, devront être présentés lors de ce festival qui durera jusqu’à dimanche prochain et sera entrecoupé aussi de représentations musicales et artistiques.
    Huit ateliers de formation dans le domaine de l’audiovisuel seront aussi mis sur pied dans le cadre de ce festival, en plus de tables rondes qui s’articuleront autour de thèmes liés au «Sahara occidental sous l’occupation, comme modèle», «les peuples sous occupation, à leur tête la cause palestinienne» et «le cinéma d’Histoire». En marge de ce festival, une première rencontre a été organisée, jeudi soir en présence de la presse algérienne, sahraouie et étrangère, animé par, le militant sahraoui Mohamed Dadache qui a exposé son expérience militante. Parallèlement à ce rendez-vous international, le festival régional de la culture et des arts populaires a débuté mercredi matin avec l’organisation de plusieurs activités artistiques et poétiques.
  • La prensa española corrobora la información de Diáspora Saharaui sobre las agresiones a turistas en Marruecos

    Según la prensa española, « las agresiones a los turistas son raras en Marruecos, y casi siempre son presentadas como obra de perturbados mentales, supuestamente para no alarmar al vital sector turístico del país ». La constatación fue hecha tras el apuñalamiento, hace tres días, de una turista holandesa en Fez y otras tres turistas de la misma nacionalidad en Casablanca unos días antes.
    En esto coincide con la información dada por Diáspora Saharaui con fecha del 11 de Octubre de 2016 en un despacho titulado « Marruecos, país peligroso para los turistas ».
    Diáspora Saharaui afirmó que los atentados son cometidos por motivos religiosos bajo la influencia de la ideología asesina de Daesh. Varios atentados tuvieron lugar en Marruecos en este año y llevan el sello islamista. Entre ellos, el asesinato de una pareja de ancianos judíos que vivía en Casablanca y la agresión contra tres ciclistas españoles. 
    Las autoridades tratan de ocultar esta realidad para salvar las recetas del turismo, un sector vital para Marruecos.