Mois : décembre 2015

  • Le documentaire «La vie attend : référendum et résistance au Sahara occidental» projeté à Alger

    Le documentaire « Life is waiting: referendum and résistance in Western Sahara » de la réalisatrice américano-brésilienne Lara Lee, mettant en avant la résistance et le combat du peuple sahraoui a été projeté mercredi à Alger. 
    En compétition dans le cadre du 6e Festival international du cinéma d’Alger (FICA) dédié au film engagé, ce documentaire de 59 mn s’articule autour du mouvement artistique sahraoui dans sa lutte pour recouvrer la liberté spoliée par les forces d’occupation marocaines. 
    Appuyé par des défenseurs de la cause sahraouie et des activistes des droits de l’homme, ce mouvement de résistance constitue le fil conducteur de ce film sorti en 2015. Le documentaire émerge dans les camps des réfugiés sahraouis en pénétrant dans les tentes, symbole de résistance contre l’assimilation prônée par les autorités coloniales. 
    Donnant la parole à des militants et acteurs de la scène culturelle, ce documentaire met en évidence la contribution des artistes dans la sensibilisation du peuple sahraoui dans son combat contre l’occupant marocain. Outre les artistes, la réalisatrice a donné la voix à des activistes et militants étrangers anticolonialistes engagés en faveur de la cause sahraouie. 
    Des figures de proue de mouvement sahraoui à l’image de la militante Aminat ou Haidar ou encore Khadidja Hamdi, ministre sahraouie de la Culture, ont également intervenu dans ce documentaire en soutien au combat du peuple sahraoui. Le documentaire dénonce les dérives d’un régime arbitraire en dévoilant les exactions des autorités coloniales à l’encontre des sahraouis qui exigent un référendum sur l’indépendance du territoire. 
    Peu tendre avec le régime colonial, Lara Lee a expliqué lors du débat que « le documentaire donne la parole aux opprimés ». Déroulé sur un fond musical impressionnant et des chansons interprétées par la chanteuse sahraouie disparue Mariem Hassen, impressionne par l’originalité des lieux et par un texte édifiant cinéaste et engagée en faveur de la promotion de la paix et de la justice, Lara Lee a réalisé plusieurs documentaires sur des conflits. 
    Elle a également fondé « Cultures de résistance », un réseau d’artistes qui promeut la paix et la justice dans les zones de conflit, dont le Sahara Occidental. 
    Le 6ème FICA se poursuit jusqu’au 19 décembre avec au programme 16 films entre documentaires et longs métrage de fiction projetés en compétition à la Salle El Mouggar et rediffusés à la Cinémathèque d’Alger. 
    Le Courrier d’Algérie, 20 déc 2015
  • Mohamed Abdelaziz seguira a la cabeza del Frente Polisario y la RASD

    Como deciamos en un articulo anterior, la composicion de la presidencia del XIV Congreso del Polisario indica claramente que nada cambiara el la élite que dirige el destino de los saharauis.

    Es una estrategia conocida y una practica que lleva 40 anos. En cada congreso, la direccion anterior elige a un equipo de sus mas fieles servidores para presidir los trabajos del congreso y asi garantizar que si interés siga intacto.
    Jatri Adduh, presidente del XIV Congreso acaba de confirmar en una entrevista con la revista argelina de El Moudjahid que Mohamed Abdelaziz seguira siendo el mandamas en la RASD.
    A la pregunta de si el congreso va hacia la reeleccion de Mohamed Abdelaziz a la cabza del Frente Polisario, Jatri dijo : « La unanimidad se inclina hacia esta reeleccion, aunque el presidente a expresado su deseo de abstenerse en cuanto a su presentacion de nuevo para un nuevo mandato. De todas maneras ; Abdelaziz a probado que es el dirigente que obtiene el consenso. Es uno de los simbolos de esta lucha ». Amén
  • Conflit au Sahara occidental : Sensibilisation parmi les populations marocaines

    D’énormes efforts ont été consentis pour sensibiliser les populations marocaines sur la légitimité de la cause sahraouie, ont affirmé vendredi à Dakhla (camps de réfugiés sahraouis) des militants sahraouis des territoires occupés venus prendre part au 14ème congrès du Front Polisario.
     « Nous n’avons ménagé aucun effort pour faire parvenir notre combat même au sein des populations marocaines, qui sont également réprimées par le régime du Makhzen », a déclaré à l’APS, le président de l’Association sahraoui de lutte contre la torture, basée à Dakhla occupée, Mami Amar Salem, en marge des travaux de la 3ème journée du congrès, qui a vu une importante participation de congressistes venus des territoires occupés.
     « Dans les territoires sahraouis occupés, les organisations des droits de l’Homme font un travail acharné pour sensibiliser les populations marocaines de la légitimité de la cause sahraouie », a-t-il ajouté. « Les militants Sahraouis activent sur plusieurs fronts dans leur travail de sensibilisation », a-t-il souligné, citant notamment les efforts menés par les étudiants sahraouis à l’inté- rieur des universités marocaines.
     Interrogé sur l’adhésion des ONG marocaines à la cause sahraouie et au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, M. Amar Salem, qui a constaté une « insuffisance » dans ce sens, a toutefois salué le travail que mènent l’Association marocaine des droits humains (AMDH) et le parti d’EnNahdj démocratique (ex-mouvement de gauche clandestin, Ila Al-Amam).
     Pour sa part, la militante Aminatou Damber — s£ur du défunt militant Said Damber, assassiné par les forces de l’occupant il y a quelques années — a dit que « le peuple marocain éprouve dans sa majorité une sympathie envers la cause sahraouie, mais il ne peut pas s’exprimer à cause de la répression ».
     La militante, qui a salué à son tour « le courage et l’audace » de l’AMDH et du parti d’En-Nahdj démocratique, a fermement dénoncé l’ »embargo médiatique imposé par les autorités marocaines aux populations sahraouies et marocaines ».
     La veille, le Parlement européen avait adopté son rapport sur les droits de l’Homme, dont il demandé notamment l’élargissement du mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) au monitoring des droits de l’Homme au Sahara occidental. 
  • Claude Mangin Asfari : « Le Maroc est sommé de répondre à notre plainte »

    Sahara occidental, Claude Mangin Asfari représentante du Comité des familles des prisonniers politiques de Gdeim Izik : « Le Maroc est sommé de répondre à notre plainte »
    Fervente militante des droits de l’Homme, Claude Mangin Asfari est la représentante du Comité des familles des prisonniers politiques de Gdeim Izik et épouse de Naâma Asfari, défenseur des droits de l’homme sahraoui, arrêté le 7 novembre 2011 à Laayoune, la veille du démantèlement dudit camp et condamné à 30 ans de prison par un tribunal militaire civil.
    De nos envoyés spéciaux à Dakhla : Fouad Irnatene et Nesrine Terrab
    Fervente militante des droits de l’Homme, Claude Mangin Asfari est la représentante du Comité des familles des prisonniers politiques de Gdeim Izik et épouse de Naâma Asfari, défenseur des droits de l’homme sahraoui, arrêté le 7 novembre 2011 à Laayoune, la veille du démantèlement dudit camp et condamné à 30 ans de prison par un tribunal militaire civil.
    La situation des prisonniers sahraouis s’aggrave de jour en jour. Qu’est ce qui empêche ce dossier de connaître le bout du tunnel ?
    Le Maroc s’est vengé en condamnant lourdement ces civils sans aucune preuve. Une vengeance dirigée contre des militants qui ont montré au Maroc que les Sahraouis existent. Les 24 prisonniers de Gdeim Izik, ce camp de la dignité, ont été torturés, emprisonnés pendant 28 mois sans être jugés. Ils sont les représentants d’un peuple debout. Le procès est politique.
    Le jugement par un tribunal militaire est une double transgression, n’est-ce pas ?
    Un jugement par un tribunal militaire et sans preuve et sans enquête préalable. C’est devenu une carte à exploiter du moment où le roi a été dénoncé dans tous les rapports de l’ONU. Aussi, dans toutes les chancelleries, tout le monde sait qu’il y a des prisonniers politiques au Maroc, que le roi devra relâcher avant l’échéance. Cela dure depuis cinq ans et on espère que ça va bientôt finir.
    Quelle sera votre prochaine démarche pour faire avancer le dossier ?
    Il y a un an, j’ai déposé une plainte auprès du tribunal français contre le directeur de la DST et devant le Comité contre la torture à Genève. La plainte suit son cours et le Maroc est sommé de répondre. Et il le fera, quel que soit le temps que ça prendra. 
    Propos recueillis par F. I.

  • Conflit du Sahara occidental : salve de coups de semonce pour le Maroc

    par Kharroubi Habib

    Les soutiens internationaux qui ont permis au Maroc de se soustraire à l’engagement royal pris il y a une vingtaine d’année de respecter le principe de l’organisation d’un référendum d’autodétermination pour la population du Sahara occidental en contrepartie de l’arrêt de la lutte armée que le Polisario menait contre ses forces d’occupation, se lassent : à l’évidence de l’entêtement de ses autorités à prétendre que le dossier du Sahara occidental est clos par la décision de leur souverain octroyant « l’autonomie » interne à ce territoire dans le cadre de la souveraineté marocaine. Ils le font savoir à Rabat par des prises de position battant en brèche l’attitude de parti pris flagrant en sa faveur qui a été la leur jusque-là. 
    Le coup de semonce annonciateur que les thèses marocaines sur le conflit du Sahara occidental sont de moins en moins défendables est venue des Nations unies qui, s’estimant provoquées par le comportement des autorités royales à l’égard de l’envoyé personnel pour le Sahara occidental du secrétaire général de l’ONU, ont fermement réaffirmé qu’elles s’en tiennent à leur engagement d’organiser le référendum dont Rabat a décrété ne plus vouloir en entendre parler. Leur réaffirmation de cet engagement s’est accompagnée de la sommation à l’endroit des autorités marocaines à cesser de faire obstruction à sa concrétisation. Sommation dont Ban Ki-moon a été chargé d’en faire connaître le caractère contraignant lors de la prochaine visite qu’il effectuera au royaume et dans la région en tant que signe que pour les Nations unies, les rodomontades marocaines ne sont d’aucun effet sur la position onusienne concernant le Sahara occidental. 
    Il a été suivi de deux prises de position européennes qui ont ébranlé la certitude marocaine que le royaume a cause définitivement acquise auprès de l’Union européenne pour sa politique annexionniste. La première est venue de la cour de justice européenne qui a déclaré illégal et donc inapplicable le traité commercial négocié avec le Maroc portant sur l’exploitation des richesses du territoire sahraoui occupé, la seconde a émané du Parlement européen demandant à l’ONU de doter la Minurso (mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental) d’un mandat de surveillance des droits de l’homme. Il est clair que les autorités marocaines sont en train de perdre les appuis « inconditionnels » dont elles ont bénéficié et qui leur faisaient ignorer les appels à respecter les préconisations des Nations unies quant à un règlement du conflit sahraoui. Cela va probablement se vérifier dans quatre mois lorsque la question de l’élargissement des prérogatives de la Minurso sera de nouveau examinée au Conseil de sécurité. Paris, qui faisait obstruction à cet élargissement, ne peut persister dans sa position contraire à la demande que vient de formuler le Parlement européen qui rejoint celle des organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme. Les Etats-Unis, quant à eux, y sont déjà favorables et ont même eu l’intention de parrainer une résolution dans ce sens qu’ils ont abondonnée sous la pression française. 
    Depuis peu, Paris a émis des signaux sur le conflit sahraoui indiquant que la France ne peut, par respect de ce qu’elle prétend incarner, être dans le déni des principes sur lesquels se fonde la cause des Sahraouis sauf à s’en tenir cyniquement à celui que les intérêts de la monarchie marocaine priment pour elle sur ces principes.
  • Fracaso de la visita del MAE marroqui Mezouar a Nouakchott

    El conflicto del Sahara Occidental, el caso Bouamatu y el apoyo de Marruecos a ciertos paises hostiles a Mauritania entre los asuntos que perturban las relaciones entre Marruecos y Mauritania
    La visita de la delegación marroquí en Mauritania no ha tenido el efecto deseado por Rabat, a saber una salida de la crisis que desde hace años caracteriza las relaciones entre los dos países, informó hoy la página web mauritana Zahra de Chiguetti basansode en fuentes diplomáticas de Nuakchot.
    A pesar de que el presidente mauritano canceló un viaje programado para el fin de semana con el fin de recibir a la delegación marroquí encabezada por el ministro de Asuntos Exteriores de Marruecos, Salaheddine Mezouar, la entrevista no aportadó ningun elemento susceptible de encontrar una solución a los contenciosos existentes entre Mauritania y Marruecos, añadió la misma fuente.
    Según las fuentes de Zahra de Chinguetti, la ida de la delegación marroquí sin hacer ninguna declaración a la prensa mauritana es evidente a la luz del fracaso de la visita y la incapacidad de las dos partes para salir con una visión común sobre ciertos temas complejos, entre ellos la cuestión del Sáhara Occidental, el caso Bouammatou, las relacions comerciales y el apoyo de Marruecos a algunas partes que se oponen a un liderazgo de Mauritania en África.
  • Echec de la visite de Mézouar à Nouakchott (site mauritanien)

    Le conflit du Sahara Occidental, l’affaire Bouamatou et le rôle de la Mauritanie en Afrique opposent Mauritanie et Maroc
    La visite de la délégation marocaine en Mauritanie n’a pas eu l’effet escompté par Rabat, à savoir une sortie de la crise qui caractérise depuis des années les relations entre les deux pays, a rapporté dimanche le site mauritanien Zahra de Chiguetti se basant sur des sources diplomatiques de Nouakchott.
    Malgré que le président mauritanien a annulé un voyagé programmé pour le week-end en vue d’accueillir la délégation marocaine présidée par le ministre marocain des affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, l’entretien n’a pas apporté d’éléments susceptibles de trouver une solution aux contentieux entre la Mauritanie et le Maroc, a ajouté la même source.
    Selon les sources de Zahra de Chinguetti, le départ de la délégation marocaine sans faire aucune déclaration à la presse mauritanienne est logique à la lumière de l’échec de la visite et l’incapacité des deux parties de sortir avec une vision partagée sur certains dossiers complexes, y compris la question du Sahara Occidental, l’affaire Bouammatou, les relacions commerciales et le soutien du Maroc à des parties opposées à un leadership mauritanien en Afrique.
  • Sahara Occidental: Un Congrès qui passe presque inaperçu

    Au Sahara occidental, un événement transcendantal a lieu et il semble passer inaperçu. Outre les très pauvres dépêches de l’agence de presse sahraouie dont la plupart sont un copier-coller des publications de l’APS algérienne, rien n’apparaît dans la presse nationale ou internationale sur les travaux du XIV Congrès du Front Polisario qui se déroulement au camp de Dakhla.
    Mis à part la presse algérienne, aucun média ni dans la toile ni dans la presse écrite ne parle de ce grand événement qui a lieu dans une conjoncture très particulière et décisive pour plusieurs raisons dont on peut citer :
    – Au niveau de l’ONU, confrontation du Maroc avec l’instance internationale en refusant de négocier avec le Front Polisario tel que recommandé par le Conseil de Sécurité. 
    – Annonce du président sahraoui de sa volonté de renoncer au poste de chef suprême du mouvement sahraoui. 
    – L’annulation des accords commerciaux entre l’UE et le Maroc par la Cour de Justice Européenne. 
    Ce silence mortel est dû à la situation de faillite qui caractérise la politique du Front Polisario dans tous les domaines. Parmi ces domaines se trouve les moyens de communication qui sont pratiquement inexistants. Malgré que la communication constitue aujourd’hui un des moyens clefs dans le conflit du Sahara Occidental et où le Maroc a investi des millions d’euros pour attiser le feu de la propagande bien orchestrée alors que les dirigeants sahraouis se contentent de sortir dans la télé sahraouie pour faire leur propre publicité. La SPS n’est une agence de presse que dans les apparences. Elle n’a ni personnel ni budget et le ministre de l’information, Mohamed Tamek, se trouve à la tête de cette importante institution non pas grâce à sa compétence ou son niveau intellectuel mais parce qu’il appartient à une tribu que le Polisario courtise.
    A cause de leur politique tribaliste, les dirigeants du Polisario ont fait des institutions sahraouies une espèce de cimetière où s’agitent quelques individus comme des fantômes. Les locaux sont envahis par le sable parce qu’il n’y a personne pour les nettoyer. On dirait, un pays fantôme parce que ses piliers sont érigés sur le mensonge. Et comme tout mythomane, les dirigeants sahraouis ont fini par croire leur propres mensonges.
    Les millions reçus par le président sahraoui en dinars et en devises, au lieu de les utiliser pour créer des institutions authentiques qui défendent la cause; il les distribue entre les individus afin de garantir sa pérennité à la tête du mouvement sahraoui. Et comme il distribue l’argent, il distribue les postes en privilégiant les ignorants, incompétents et potentiels traîtres qui menacent de se rendre au Maroc s’ils ne reçoivent rien. Même l’aide humanitaire est offerte pour être vendu dans les marchés.
    Les congressistes, à l’instar de ceux qui apparaissent dans la photo se chargeront d’applaudir à la direction pour que rien ne change.
  • Sahara Occidental: Un Congrès qui passe presque inaperçu

    Au Sahara occidental, un événement transcendantal a lieu et il semble passer inaperçu. Outre les très pauvres dépêches de l’agence de presse sahraouie dont la plupart sont un copier-coller des publications de l’APS algérienne, rien n’apparaît dans la presse nationale ou internationale sur les travaux du XIV Congrès du Front Polisario qui se déroulement au camp de Dakhla.
    Mis à part la presse algérienne, aucun média ni dans la toile ni dans la presse écrite ne parle de ce grand événement qui a lieu dans une conjoncture très particulière et décisive pour plusieurs raisons dont on peut citer :
    – Au niveau de l’ONU, confrontation du Maroc avec l’instance internationale en refusant de négocier avec le Front Polisario tel que recommandé par le Conseil de Sécurité. 
    – Annonce du président sahraoui de sa volonté de renoncer au poste de chef suprême du mouvement sahraoui. 
    – L’annulation des accords commerciaux entre l’UE et le Maroc par la Cour de Justice Européenne. 
    Ce silence mortel est dû à la situation de faillite qui caractérise la politique du Front Polisario dans tous les domaines. Parmi ces domaines se trouve les moyens de communication qui sont pratiquement inexistants. Malgré que la communication constitue aujourd’hui un des moyens clefs dans le conflit du Sahara Occidental et où le Maroc a investi des millions d’euros pour attiser le feu de la propagande bien orchestrée alors que les dirigeants sahraouis se contentent de sortir dans la télé sahraouie pour faire leur propre publicité. La SPS n’est une agence de presse que dans les apparences. Elle n’a ni personnel ni budget et le ministre de l’information, Mohamed Tamek, se trouve à la tête de cette importante institution non pas grâce à sa compétence ou son niveau intellectuel mais parce qu’il appartient à une tribu que le Polisario courtise.
    A cause de leur politique tribaliste, les dirigeants du Polisario ont fait des institutions sahraouies une espèce de cimetière où s’agitent quelques individus comme des fantômes. Les locaux sont envahis par le sable parce qu’il n’y a personne pour les nettoyer. On dirait, un pays fantôme parce que ses piliers sont érigés sur le mensonge. Et comme tout mythomane, les dirigeants sahraouis ont fini par croire leur propres mensonges.
    Les millions reçus par le président sahraoui en dinars et en devises, au lieu de les utiliser pour créer des institutions authentiques qui défendent la cause; il les distribue entre les individus afin de garantir sa pérennité à la tête du mouvement sahraoui. Et comme il distribue l’argent, il distribue les postes en privilégiant les ignorants, incompétents et potentiels traîtres qui menacent de se rendre au Maroc s’ils ne reçoivent rien. Même l’aide humanitaire est offerte pour être vendu dans les marchés.
    Les congressistes, à l’instar de ceux qui apparaissent dans la photo se chargeront d’applaudir à la direction pour que rien ne change.
  • Sahara Occidental : Un Congreso desapercibido

    En el Sahara Occidental, un evento trascendental esta teniendo lugar en estos dias y sin embargo parece que pasa desapercibido.
    A parte de los paupérrimos y escasos despachos de la agencia de noticias saharaui SPS, no se ve ninguna noticia sobre los trabajos del XIV Congreso del Frente Polisario que se celebra en el campamento de Dajla.
    A parte de los medios argelinos, ni en la red ni en la prensa escrita se habla de este gran acontecimiento que tiene lugar en una coyuntura muy particular y decisiva por varios motivos, entre los que se puede citar :
    A nivel de la ONU, enfrentamiento de Marruecos con la instancia internacional al negarse a negarse a negociar con el Polisario tal y como lo exige el Consejo de Seguridad . 
    Anuncio del presidente saharaui de su deseo de renunciar al cargo de maximo dirigente del movimiento saharaui 
    La anulacion de los acuerdos comerciales entre la UE y Marruecos por el Tribuna de Justicia europeo. 
    Este mortal silencio se debe al estado de bancarrota que caracteriza a la politica del Frente Polisario en todos los campos. Entre estos campos se encuentra los medios de comunicacion practicamente inexistentes. A pesar de que la comunicacion representa hoy en dia una de las claves en el conflicto del Sahara Occidental y en la que Marruecos ha invertido millones de euros para atizar una guerra de propaganda bien prquestrada mientras que los dirigentes saharaui se conforman con salir el la tele saharaui para su propia publicidad. La SPS es una agencia de prensa en apariencias nada mas. No tiene ni personal ni fondos y el ministro hasta hoy, Mohamed Tamek, figura a la cabeza de esta importante institucion no por su competencia ni nivel intelectual sino porque pertenece a una tribu a la que el Polisario corteja.
    A causa de su politica tribalista, los dirigentes del Polisario hicieron de las instituciones saharauis una especie de cementerio en el que se agitan algunos individuos como fantasmas. Los locales se encuentra llenos de arena porque no hay nadie para limpiarlos. Una nacion qu se diria fantasma porque sus pilares estan erizados sobre la mentira. Y como todo mitomano, los dirigentes saharauis acabaron creyendo sus propias mentiras.
    Los millones que recibe el presidente saharaui en Dinares argelinos y en divisas, en lugar de utilizarlos para crear autenticas instituciones que defiendan la causa; los reparte entre los individuos para garantizarse la perennidad a la cabeza del movimiento saharaui, Y al igual que distribuye el dinero, distribuye los cargos privilegiando a los ignorantes, incompetentes y eventuales vendepatrias que amenazan con ir a Marruecos si no se les ofrece algo. Incluso las ayudas humanitarias se ofrecen para ser vendidas en los mercados.
    Hoy en dia estamos pagando las consecuencias de esta politica basada en el tribalismo y el clientelismo.
    Los congresistas, como los que aparecen en la foto se encargaran de aplaudir a la direccion en este Congreso para que todo siga igual.