Mois : janvier 2015

  • La réponse désespérée des journalistes françaises payées par le Maroc

    Après avoir tournés sept fois leurs longues dans leurs bouches avant de parler, les journalistes françaises accusés d’être payées par le Maroc viennent de démentir les allégations d’être sous influence d’une puissance étrangère. Obnubilées par un cyber-activiste et lanceur d’alerte @chris_coleman24, parfois nommé le ‘Snowden marocain’ Mireille Duteil du « Le Point », José Garçon, ex de « Libération » et Dominique Lagarde « L’Express » ont publiés des articles pour se dédouaner des accusations qui les révèlent comme mercenaires de plume à la solde du Maroc tandis que le fameux Vincent Hervouët est encore en mode ‘mute’. 
    Pour chatouiller les sentiments et jouer la victime, elles choisissent des titres tels que ‘MarocLeaks : Nous sommes otages d’une machine à salir’(1) et ‘Non, je n’étais pas à la solde du Maroc’(2). Dès les premières lignes de leurs articles, elles s’enfoncent dans la mise en doute des courriels confidentiels postés en ligne sur twitter par @chris_coleman24, et, pathétiquement, elles font recours à leur longue carrière journalistique pour la mettre comme intercession face à ces accusations. 
    Pourtant, les documents confidentiels, qui ont été authentifiés par un journaliste spécialiste d’Internet, Jean-Marc Manach, dans un article paru le 15 décembre sur le site Arrêt sur Images (3), sont vrais et ne laissent aucun doute sur les relations entre le pouvoir marocain et ces spécialistes du Maghreb. Un flux de documents qui dévoilent des rémunérations à travers l’intermédiaire du chef de la DGED (service de renseignements marocains) Ahmed Charai, directeur du magazine ‘L’Observateur du Maroc’ en échange d’articles de propagande, mensonges et manipulation du public. Rien qu’entre janvier et fin octobre 2014, ces journalistes ont publié chacun entre 22 et 26 chroniques sur ce site et qui ont pour point commun de ne jamais évoquer la situation intérieure du Maroc. Des chroniques visant l’efficacité de la diplomatie marocaine face aux défis, qui en la matière ne seront qu’orientés contre l’Algérie et le Sahara Occidental ; chose qu’elles viennent malhabilement de confirmer. 
    En dépit, Dominique Lagarde a affirmée qu’elle n’a jamais reçu ni argent ni cadeau et le duo Garçon – Duteuil poursuivant leur écrit expliquent leur rapport avec le patron de presse, Ahmed Charai : «L’histoire commence quand Ahmed Charaï nous demande de lui «donner un coup de main à titre amical» pour lancer le premier site marocain sur le web qui deviendra l’hebdomadaire, L’Observateur du Maroc, paru en 2008, dans lequel nous publions des chroniques toutes les semaines. Il nous sollicitera aussi en 2011 pour collaborer à une version francophone de la revue américaine Foreign Policy». 
    Une réponse qui ne convaincre pas un spécialiste des liens entre élites françaises et le Makhzen (nom familier de l’État et des institutions régaliennes): « je ne connais pas un journaliste qui écrirait gratuitement pendant des années et pour un journal que personne ne lit! Je n’ai pas l’ombre d’un doute sur le fait qu’ils ont été payés ».
    Pour rappel, Ce n’est pas la première fois qu’est dénoncée la corruption de membres de la presse française par des régimes autoritaires du sud de la Méditerranée. En juin 2011, Le Canard enchaîné (4) avait publié les noms de plusieurs dirigeants de médias importants, invités à passer des vacances gratuites au soleil et remerciant avec des articles et des interviews complaisants. 
    D’ailleurs, on ne peut pas cacher le soleil par un tamis.
                                                                                                                                                    Khalil Asmar

  • LE MAROC DES IMPOSTURES

    Christopher Ross, l’envoyé spécial de Ban Ki-Moon pour le Sahara Occidental, présente un compte rendu sur les obstacles qu’il rencontre depuis plus d’une année, pour mener à bien le processus de négociations entre le Maroc et le Front Polisario. Hervé Ladsous, le secrétaire général ad- joint aux opérations de maintien de la paix aux Nations unies, et Kim Bolduc, la nouvelle responsable de la Minurso, présentent chacun un exposé sur la même question. Ils ne font pas de com- mentaire en quittant la réunion. La raison ? Ne pas envenimer davantage l’atmosphère avec le Maroc dont le blocage diploma- tique se poursuit et irrite de plus en plus le sérail onusien.
    Un territoire non-autonome qui ne passe pas 
    Nous vous annoncions dans notre dernier bulletin la nomination de la canadienne Kim Bolduc nou- velle responsable de la Minurso (Mission des Nations-Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental). Elle devait rejoindre son poste début septembre mais elle est toujours personne non grata pour le Ma- roc et elle n’a pas encore pu se rendre à El Ayoun, dans le ter- ritoire non-autonome du Sahara Occidental. Nous utilisons à dessein cette dénomination onusienne que le Maroc rejette dans un des 400 documents sortis secrètement par un «Assange» inconnu du Ministère marocain des affaires étrangères (les consulter sur le site : www. arso.org.). 
    Le terme « non-autonome » met en cause la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental, selon la note diplomatique d’Omar Hilale, ambassadeur marocain auprès des Nations Unies à Genève et depuis avril 2014 à New-York. Rappelons que cette affirmation est une vraie imposture face au droit international et à la 4e com- mission sur la décolonisation de l’ONU. Jusqu’à ce jour, aucun Etat n’a reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental qui, depuis 1963 déjà, est considéré par l’ONU comme un territoire non-autonome. 
    Dans un autre document, l’ambassa- deur Hilale relate une rencontre qu’il a eu le 4 septembre 2014 à New-York avec Christopher Ross qui ne peut toujours pas se rendre dans la région à cause des refus marocains. La question du territoire non-autonome est revenue dans leur discussion, l’ambassadeur marocain affir- mant que « le mandat qui lui (C. Ross) est octroyé par le Conseil de Sécurité n’a aucune relation avec un quelconque statut de «territoire non-autonome ». (…) Voici la réponse de C. Ross telle que la rapporte l’ambassadeur Hilale : « II (C. Ross) est revenu à la charge en précisant que l’As- semblée Générale considère le Sahara en tant que «territoire non-autonome»». Mais cet ar- gument juridique n’a pas été convaincant pour Hilale.
    Imposture diplomatique 
    Depuis près de 40 ans, la diplomatie marocaine est construite sur une suite de contre-vérités concernant ce qui est appelé dans tous les documents marocains « la question nationale » qu’elle brandit avec des arguments trop souvent fallacieux dans les lieux feutrés des salons et dans les instances nationales et internationales. Ses efforts de persuasion n’ont rien à voir avec la réalité des faits tels que l’ONU et ses institutions les défendent. De plus ils s’accompagnent trop souvent de privilèges généreux et luxueux. Il suffit pour s’en assurer de lire les documents envoyés sur twitter par le hacker Chris.Coleman (voir pages 5 à 8). 
    De forum en forum 
    Le 2e Forum mondial des Droits de l’Homme s’est déroulé à Mar- rakech du 27 au 30 novembre. La tenue de cet événement a coïn- cidé avec une politique de mu- sèlement des libertés publiques et de répression subie par les organisations des droits humains. Les associations sahraouies et marocaines, critiques envers le gouvernement marocain, n’ont pas reçu d’invitations officielles et ont, fini par boycotter cette grand messe. Des manifestations ont eu lieu avant l’arrivée des 5000 participant-e-s pour expri- mer la préoccupation de nombreux Marocains et Sahraouis sur la dégradation de la situation actuelle des Droits de l’Homme au Maroc et au Sahara occidental. Durant la tenue du forum, plus de 20 prisonniers sahraouis ont mené une grève de la faim soutenue par l’Association des Chrétiens contre la Torture (ACAT France) afin de dénoncer le double langage du Maroc. Sous le couvert d’une commu- nication axée sur la lutte contre l’impunité, ce pays impose la loi du silence aux victimes de torture et entrave systématiquement l’activité des ONG de défense des droits de l’homme. Aujourd’hui la fête des Droits de l’Homme est finie! Nous doutons qu’un changement favorable s’opère dans les pratiques répressives marocaines. 
    L’organisation d’événements internationaux se multiplie au Maroc depuis quelques années pour donner du pays une image d’ouverture et d’intérêt pour les questions qui préoccupent le monde. Mais cette « hospitalité » n’a rien de gratuit. Elle a comme objectif de soudoyer par le luxe et l’argent (les exemples sont nombreux dans les documents de C. Coleman) celles et ceux qui répètent ensuite, sans les véri- fications d’usage, que le Maroc fait de grands progrès dans le domaine des Droits de l’Homme. Ainsi, du 12 au 14 mars 2015, le Maroc accueillera le forum de Crans Montana à Dakhla. Savez-vous où se trouve cette ville sahraouie proche de la Mauritanie? Contre toutes les résolutions internationales, le site du forum indique qu’elle est au Maroc. N’y a-t-il personne parmi les hautes personnalités familières du forum pour réagir, comme notre ancien président de la Confédération Pascal Couchepin ou le Secrétaire général adjoint de l’ONU, Philippe Douste-Blazy ? Le forum de Dakhla traitera des rapports sud-sud et de l’avenir des femmes en Afrique. Des thèmes d’actualité s’il en est. Or, dans ce même cadre sahraoui, le Club des ports du forum de Crans-Montana (cercle unique, volontairement privé réunissant les grands acteurs de l’industrie maritime) se réunira pour traiter des ressources naturelles, un thème où le Maroc est le préda- teur du Sahara Occidental. En ef- fet, les ressources d’un territoire non-autonome doivent revenir à la population de ce territoire et ne pas enrichir l’occupant, fût-il roi. Rappelons qu’à Dakhla aussi, les entreprises de Mohamed VI font pousser les tomates et les melons qui se trouvent peut-être déjà sur les étals de COOP et Mi-gros. Soyons-y attentifs !
    Nouvelles Sahraouies
    http://www.arso.org/nouvellessahraouies/NS155.pdf
  • Rabat suspend sa coopération sécuritaire avec Paris

    Suspendue en février 2014 par Rabat, la coopération sécuritaire entre le Maroc et la France n’a pas encore repris, a rapporté, vendredi dernier, le quotidien espagnol El Mundo, citant un câble du WikiLeaks marocain, mis en ligne la semaine dernière. Même la collaboration antiterroriste est gelée, selon la même source, citée par le journal électronique TSA. 
    «Un câble envoyé à Rabat par l’am- bassadeur du Maroc à Paris ne laisse aucun doute sur l’absence de coopération antiterroriste entre les deux pays. Le câble a été mis en ligne sur Twitter la semaine dernière par chris_coleman24 « , explique Ignacio Cembrero, l’auteur de l’article d’El Mundo, en affirmant que c’est la police espagnole qui joue les intermé- diaires entre les forces de sécurité marocaines et françaises. 
    Le quotidien espagnol explique que Rabat a décidé de suspendre la coopération sécuritaire avec Paris en représaille pour l’affaire Abdelatif Hammouchi, le chef de la Direction de la surveillance du territoire marocain (DST) qui fait l’objet de poursuites pour torture en France depuis février 2014.
  • EL SAHARA OCCIDENTAL Y LA POSICION DE PODEMOS

    Por Honesto Hosein
    Creo y ojala este equivocado, que el manejo de un mapa, en el que aparece el Sáhara Occidental como parte de Marruecos en la web de Podemos, es intencionado y no un mero error; que ha generado una polémica en las redes sociales y en los demás medios de información; las instantes denuncias sin respuestas claras y convincentes, por parte de Podemos, a los colectivos y asociaciones de amigos del pueblo saharaui, y demás activistas pro saharauis, y a las distintas personalidades y demás internautas en las redes sociales y en los medios de información, pidiendo la corrección del mencionado mapa. Podemos tarda demasiado tiempo para hacer la primera rectificación; una vez hecha la primera rectificación, se vuelve a incidir en el mismo error, ya que en el segundo mapa, se reflejan los nombres de Marruecos y Mauritania, en sus respectivos mapas, mientras que se ignora el del Sahara Occidental, y solo en el mapa de Mauritania se escribe la palabra Sahara, en referencia al gran desierto del Sahara, y por ultimo en la tercera modificación; se descubren claramente las intenciones de la pagina web de Podemos; en el nuevo mapa no se ponen los nombres de los países correspondientes, o sea en ninguno de los tres mapas en la web de Podemos, se menciona el Sahara Occidental, creo que Podemos debería dar una explicación por este error y definir de forma clara y contundente su posición con respecto al contencioso Sahara Occidental
    No hace mucho el Sr. Pablo Iglesias presidente de Podemos, con motivo de la 39 EUCOCO, pronuncio un extraordinario discurso el día 15 de noviembre de 2014, que ha tenido gran resonancia en la opinión pública en general, pero los discursos por si solos no reflejan las posturas ni los compromisos, de los partidos, hacen falta pronunciamientos escritos del partido, ya que como dijo el Sr. Felipe Gonzales, el 14 de noviembre de 1976 en un discurso en los Campamentos de Refugiados Saharauis en Tinduf, « los saharauis, tenéis la experiencia de haber recibido muchas promesas nunca cumplidas » efectivamente la frase es cierta, aunque fue dicha por uno de los mayores oportunistas y enemigos del pueblo saharaui; ya que la historia nos ha revelado, que algunos de los dirigentes del PSOE y del PP, desde la oposición se pronuncian a favor de la causa saharaui, y una vez en la Moncloa se convierten en asiduos defensores de la ocupación marroquí.
  • L’article sur Mohamed VI qui a coûté 20 000 dollars aux Marocains

    Dans un article publié en avril 2012 sur le site du magazine Forbes intitulé « Is Arab Spring Bad For Investors? »,  le journaliste américain Richard Miniterne tarissait pas d’éloges sur la réaction du roi Mohamed VI face au vent printanier de 2011, dit « printemps arabe ».
    Outre la figure du roi, Miniter lançait également des louanges à l’économie marocaine « moderne » et « diversifiée » même si elle est« relativement libre » aux yeux de l’Américain.
    On le sait aujourd’hui, grâce au hacker « Chris Coleman », l’article n’avait rien de spontané ni de sincère.
    D’après un mail divulgué par ce hacker, cette pige américaine aurait été exécutée pour la modique somme de… 20 000 dollars !
    Dans ce mail adressé à Ahmed Charaï, honorable correspondant de laDGED, et au passage caissier pour journalistes indélicats, le journaliste américain ne va pas par quatre chemins pour réclamer son dû. Il demande clairement à son interlocuteur de lui verser la somme.
    En bon vendeur, il affirme que son papier avait eu un impact très positif auprès des politiciens américains et que ces derniers n’arrêtaient pas de l’appeler pour le féliciter.
    En guise d’apothéose, il termine son mail en espérant que sa pige avait plu à Mohamed VI et en suggérant que ce dernier le décore un jour.
    Ahmed,
    I understood that you’ll be in NY on May 13th Please don’t forget to bring with you my gift (S20.000). TD do a quick trip on Sunday to meet you. In DC die impact was very strong. I received many calls from several staffers of Congressman about the article. I hope that your king was very happy and one day he gives me distinction
    See you soon my friend.
    Rich
    Mail de

    Mail de Sdi Ahmed Charai demandant à Mourad El Ghoul de payer Richard Miniter.
    Traduction : « J’ai compris que vous serez à New York le 13 mai. S’il vous plaît n’oubliez pas d’apporter avec vous mon cadeau (20 000 dollars). TD fera un voyage rapide le dimanche pour vous rencontrer. A DC (Washington) les répercussions de l’article on été très fortes. J’ai reçu de nombreux appels de plusieurs membres du personnel de députés du Congrès sur l’article. J’espère que votre roi est content et qu’un jour il me donnera une distinction »
    En réponse, en bon commercial, profession qu’il a exercé dans le passé dans la défunte Gazette du Maroc, Ahmed Charaï demande à Mourad El Ghoul, le directeur du cabinet du patron de la DGED, Mohamed Yassine Mansouri, de « faire le nécessaire » pour régler la facture.
    Le mail d’Ahmed Charaï envoyé à partir d’une boite yahoo a été authentifié. Mais ce qui est amusant c’est que cet article a été publié par Richard Miniter sur le site du magazine Forbes dédié aux contributeurs et non aux journalistes.
    Et 20 000 dollars c’est très cher payé pour un article.
    Demain

    http://www.demainonline.com/2015/01/03/larticle-sur-mohamed-vi-qui-a-coute-20-000-dollars-aux-marocains/
  • 2015 será el año de Podemos, pero lo será del Sáhara?

    2015 se asoma como un año interesante, un año convulso, un año de profundo cambio político y social en España y en Europa, en el que el nuevo partido político PODEMOS está llamado a hacer grandes cosas. Las encuestas le dan unos números que ni en los mas profundos sueños de estos genios de la política habrían tenido lugar, los Juan Carlos Monedero, Iñigo Errejón y Pablo Iglesias les espera un año « Movidito » como poco…

    Y es entonces cuando un humilde servidor se platea qué aporta esto al Sáhara?.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=rdCsJ_qiX9c]


    Empezaron muy bien, en sus discursos, en sus mítines, en la EUCOCO (Conferencia europea de solidaridad y apoyo al pueblo saharaui) no olvidaban mencionar al Sáhara Occidental, su penosa situación, los DDHH, la flagrante violación del derecho internacional, la responsabilidad de España, los « errores » (Acuérdense de esta palabra, que tiene cola…) cometidos en el pasado por los gobiernos, que literalmente eran « Pro Negocio » según P.Iglesias -Arriba les dejo el video-
    Me gustaría destacar la frase que pronuncia el señor iglesias, mas o menos, en el ecuador de su intervención:

    « Los Saharauis no solo son nuestros vecinos del sur, también son nuestros HERMANOS » desde luego son palabras muy bonitas, pero…

    Todo empezó cuando en la campaña de las municipales, PODEMOS tenía en su página web un Mapa erróneo según ellos, ILEGAL según nosotros, en el cual figuraba la parte ocupada del Sáhara Occidental como parte de marruecos  -Mapa 1-


    Ya entonces, distintos colectivos y activistas, además de internautas, entre los que me incluyo, pedimos una rectificación a PODEMOS en Twitter, donde un silencio sepulcral fue la respuesta a nuestras reiteradas quejas. Sólo Teresa Rodríguez, la candidata a presidir PODEMOS Andalucía (@TeresaRodr_) contestó aludiendo a un « error » aunque indirectamente..
    « [..] acabo de pedir a los compas que lo rectifiquen, Toda la Razón » Concluía el Twitt. (11/12/14)

    Varios días después, el mapa seguía en la web, y nuestras quejas sin respuesta. Luego de ser cambiado el mapa, para nuestra sorpresa, seguía sin ser el correcto.. -Mapa 2-

    Este segundo mapa, aunque contenía las fronteras Legales (Según la ONU) seguía sin hacer mención al Sáhara Occidental, sólo ponía SAHARA en referencia al desierto, y en la frontera Mauritana.
    Seguimos insistiendo, sin respuesta para variar. Pero no es hasta ayer 29 despues de un Comunicado de prensa de la Plataforma de Acción Internacional por la Libertad de los Presos Saharauis de Gdeim Izik cuando trasciende a los medios, y nosotros intensificamos las quejas y las menciones al Partido político para que rectifique.



    El comunicado se centra en tres puntos fundamentales; 
    1- la falta de respuesta, exceptuando a Teresa Rodríguez.
    2- la tardanza en corregir el mapa, y hacerlo a medias puesto que sigue sin ser correcto.
    3- la enigmática asesora de pablo iglesias Dina Bousselham de origen marroquí y ligada con un partido político de este país que reafirma la marroquinidad del Sáhara Occidental.

    Entonces es cuando en dos « Twitts » el partido político liderado por Iglesias en su cuenta oficial (@ahorapodemos) se exculpa aludiendo a un « error » y que se corregirá cuanto antes. Pero para nuestra sorpresa, de nuevo, el mapa sigue sin ser Correcto. -Mapa 3-

    Este tercer, y hasta ahora último mapa no solo no muestra al Sáhara Occidental en sus delimitaciones, sino que sólo es el mapa anterior con todos los nombres borrados. Esta chapuza es deleznable y solo ha servido para confirmar la poca seriedad de la formación en este tema.

    Queda por aclarar el papel de Dina Bousselham en todo esto, su asesoría en los comités de DDHH y Asuntos Exteriores en el Parlamento Europeo al Eurodiputado de PODEMOS y líder del partido Pablo Iglesias. Precisamente los asuntos que atañen al Sáhara Occidental. además de su relación con el partido político marroquí PAM. Curioso, cuanto menos….

    También queda pendiente una rectificación formal, y un comunicado por parte de la formación reconociendo, ahora que ya son partido, el derecho del pueblo Saharaui a la autodeterminación, y a la vez comprometiéndose a hacer de él uno de sus principales reivindicaciones en temas de asuntos exteriores.

    Se está viendo, sobre todo en las encuestas de las municipales y autonómicas que vienen, que el partido de Iglesias empata con el PSOE en muchos lugares y que tendrá que pactar con este para conseguir Gobierno, una situacion perfectamente extrapolable a las generales, donde debiera haber un pacto de estas características para formar Gobierno, y donde tenemos el miedo, por desgracia, de que se caiga en antiguas rutinas Socialistas con respecto a Marruecos y el Sáhara occidental.

    Por esto creo que debemos pedirle a Podemos un compromiso en su PROGRAMA electoral, un compromiso que ha manifestado su líder en otras ocasiones y que ahora le pedimos por escrito y con garantías.

    Está claro que Podemos tiene aspiraciones de gobierno este 2015, pero debemos recordarle las palabras de Julio Anguita:

    « Los sucesivos gobiernos de España son débiles, débiles ideológicamente, y como son débiles, son fuertes contra el débil y débiles contra el fuerte »

    Personalmente creo que 2015 no será como 2014, y pase lo que pase, creo que la esperanza es lo último que se pierde, y de esto el Pueblo Saharaui sabe un « rato »…..

    ¡Feliz Año, y SAHARA LIBRE!


    http://nolvidesalsahara.blogspot.com/2014/12/2015-sera-el-ano-de-podemos-pero-lo.html

  • Quand Mireille Duteil et José Garçon confirment leurs liens avec l’agent de la DGED Ahmed Charaï

    En voulant se dédouaner du contenu compromettant des documents mis en ligne par un hacker marocain qui se présente sous le nom «Chris Coleman», deux journalistes françaises, Mireille Duteil et José Garçon, s’enfoncent. Dans un long article publié aujourd’hui par Le Pointsous le titre : «Nous sommes otages d’une machine à salir», ces deux journalistes ont tenté maladroitement de démentir leur compromission avec le Makhzen qui se paye à travers son agent Ahmed Charaï, directeur du magazineL’Observateur.ma, les services de plusieurs journalistes français pour ses besoins de propagande contre l’Algérie et le Sahara Occidental. 
    Pour se défendre, ces deux journalistes commentent par présenter leur «ami» Ahmed Charaï qui serait victime d’attaques pour «son lobbying à New York dans les coulisses des négociations sur le Sahara Occidental à l’ONU». Elles reconnaissent, au passage, avoir publié des chroniques dans l’un des médias détenus par l’agent de la DGED marocaine (services de renseignement et de sécurité intérieure) Ahmed Charaï, à savoir L’Observateur.mapour lesquelles ont été rémunérées. «Parmi les médias d’Ahmed Charaï, un hebdomadaire, 
    L’Observateur du Maroc, paru en 2008, dans lequel nous publions des chroniques toutes les semaines », ont-elles écrit. «L’histoire commence quand Ahmed Charaï nous demande de lui donner un coup de main à titre amical pour lancer le premier site marocain sur le web, qui deviendra cet hebdo. Il nous sollicitera aussi en 2011 pour collaborer à une version francophone de la revue américaine Foreign Policy (dont une première mouture éditée à Paris avait disparu en 2009). Ce projet nous paraît d’autant plus intéressant que des articles originaux axés sur les questions méditerranéennes doivent compléter l’édition américaine», ont-elles raconté sans pour autant livrer les sujets traités dans ces chroniques bien orientées contre l’Algérie et le Sahara Occidental. Des chroniques dans lesquelles elles louent également le rôle et l’efficacité de la diplomatie marocaine. 
    Elles estiment que la cascade de documents diplomatiques marocains rendus publics par le hacker «Chris_Coleman 24» «atteste par ailleurs d’une évidence : dans cette cyberguerre, les journalistes ne sont qu’une sorte de « produit d’appel » destiné à lancer, grâce à son aspect sulfureux (« la corruption de la presse française »), cette campagne que Rabat impute à Alger et que l’Algérie attribue à un « hacker marocain » sans fournir d’indice accréditant cette affirmation». 
    Elles justifient leur silence par leur longue carrière de journaliste qui prouve leur professionnalisme et leur indépendance. Ne démentant pas avoir été payées par Ahmed Charaï, les deux journalistes mettent en avant la thèse du complot qui aurait été fomenté par les Algériens. Une thèse largement mise en avant par les responsables marocains. «Il nous semblait enfin que certains signes étaient de nature à au moins envisager un « intérêt » algérien dans cette affaire : la diffusion à la mi-novembre d’une longue émission de la télévision algérienne consacrée aux « révélations de Chris Coleman, le hacker marocain patriote », la reprise systématique de ses tweets d’abord par Algeriepatriotique et par un site pro-sahraoui Diaspora Sahraoui ensuite. Une reprise agrémentée désormais d’articles à charge contre nous, qui s’est étendue ensuite à plusieurs quotidiens algériens», ont-elles conclu. Pleurnicheuses, ces deux journalistes n’ont finalement convaincu personne. Il suffit de jeter un coup d’œil sur les commentaires suscités par leur article.
    Rafik Meddour
    http://algeriepatriotique.com/article/quand-mireille-duteil-et-jose-garcon-confirment-leurs-liens-avec-lagent-de-la-dged-ahmed-cha
  • 900 millions d’euros d’aide au Maroc ou comment l’UE encourage les atteintes aux droits humains

    Une nouvelle preuve vient confirmer le manque de neutralité de l’Union européenne quant au dossier du Sahara Occidental. Et c’est Menouar Alem, chef de la mission du Maroc auprès de l’Union européenne, qui la fournit dans une interview accordée à un site marocain. «L’UE poursuit son engagement en faveur de notre pays pour la période 2014/2017 avec une enveloppe financière du seul budget communautaire portant sur un montant maximal de 890 millions d’euros pour accompagner la poursuite des réformes entreprises par le Maroc», a-t-il indiqué tout en affirmant que «la Banque européenne d’investissement (BEI), de son côté, a très clairement réitéré son engagement à poursuivre son intervention au Maroc par l’octroi de prêts concessionnels». 
    L’UE finance donc les opérations marocaines dans les territoires occupés du Sahara Occidental, notamment à El-Ayoun et Dakhla, où les exactions contre les Sahraouis se multiplient. «Le Maroc est le premier bénéficiaire de l’appui financier de l’UE que ce soit du budget communautaire ou des prêts de la BEI», a encore attesté le représentant du Makhzen auprès de l’UE, très regardant sur la situation des droits de l’Homme dans sa politique d’appui destinés à d’autres pays. Ce n’est pas la première fois que l’Union européenne affiche son parti pris dans dossier du Sahara Occidental. 
    L’accord de pêche signé avec le Maroc est entré en vigueur cette année aussi, malgré les vives protestations du Front Polisario et de la diaspora sahraouie en Europe. Cet accord permet en effet à 126 navires battant pavillon de 11 pays européens de repartir pêcher dans les eaux territoriales du Maroc et du Sahara Occidental, en échange d’une contrepartie financière annuelle de 40 millions d’euros, soit un peu plus que les 36,1 millions d’euros que Bruxelles versait au Maroc entre 2007 et 2011. 
    Cet accord sonne comme une reconnaissance de l’autorité du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental, un territoire en conflit. Il constitue de ce fait une atteinte au droit du peuple du Sahara Occidental de disposer lui-même des richesses de son pays. Mais beaucoup de responsables au niveau de la commission de l’Union européenne semblent avoir du fil à la patte. C’est pour cette raison que l’UE se range du côté du Maroc au lieu de défendre le droit des peuples à l’autodétermination.
    Rafik Meddour
    http://algeriepatriotique.com/article/900-millions-d-euros-d-aide-au-maroc-ou-comment-l-ue-encourage-les-atteintes-aux-droits-huma
  • Abogados saharauis en España piden rectificación a Catalá

    ASOCIACIÓN PROFESIONAL DE ABOGADOS SAHARAUIS EN ESPAÑA
    –A P A S E–
    SOLICITUD DE RECTIFICACIÓN PÚBLICA
    A/A del Excmo. Sr. Ministro de Justicia,
    La Asociación Profesional de Abogados Saharauis en España, se ha hecho eco de sus recientes declaraciones legitimando la acción de Marruecos sobre los sobre el Territorio del Sáhara Occidental, sus aguas y sus Recursos Naturales.
    Según sus declaraciones del pasado lunes día 15 de diciembre de 2014 http://www.eldiario.es/_13fbc504, recogidas por la Agencia EFE arguye usted con respecto a las prospecciones petrolíferas autorizadas por el Reino de Marruecos en aguas del Sahara Occidental –“hasta donde usted sabe, están dentro del más absoluto respeto al derecho internacional, de sus competencias y de su ámbito territorial y son conformes al derecho aplicable”.
    Sr. Ministro, España sigue siendo la Potencia Administradora de iure del Territorio y por ello le siguen correspondiendo las obligaciones que la Resolución 1514 (XV) le impone y que no podrá eludir hasta que no se proceda a la descolonización efectiva del Territorio del Sahara Occidental.
    España, Sr. Ministro está obligada a observar, respetar y promover el derecho de autodeterminación y mantener la condición distinta y separada del Sáhara Occidentalpara evitar cualquier obstáculo a la futura autodeterminación.
    España, Sr. Ministro está obligada especialmente por su condición de Potencia Administradora, de acuerdo con la resolución 1514 (XV), “deberán tomar de inmediato las medidas para traspasar todos los poderes al Pueblo del Sahara Occidental, sin condiciones ni reservas, en conformidad con su voluntad y sus deseos libremente
    expresados”
    En lo tocante al ámbito político, económico, social y educativo, España, Sr. Ministro está sujeta a una serie de prerrogativas que la obligan a emprender una campaña enérgica y sostenida contra las actividades y prácticas de los intereses extranjeros – económicos, financieros y de otro tipo- que actúan en los territorios coloniales para beneficio y a nombre de Potencias extranjeras y de sus aliados, ya que aquéllas constituyen uno de los principales obstáculos para el logro de los objetivos enunciados en la resolución 1514 (XV).
    España, Sr. Ministro al igual que el resto de Estados Miembros de la ONU considerarán la adopción de las medidas necesarias para lograr que sus nacionales y las compañías que estén bajo su jurisdicción pongan fin a tales actividades y prácticas; dichas medidas tendrán también por objeto evitar la afluencia sistemática de inmigrantes extranjeros a los territorios coloniales, que quebranta la integridad y la unidad social, política y cultural de las poblaciones bajo dominación colonial.
    España, Sr. Ministro está sujeta con carácter singular a estas obligaciones, no sólo por su condición de su Estado Miembro de las Naciones Unidas, sino que por ser la Potencia Administradora; a mayor abundamiento, indicar las resoluciones de la Asamblea General de las NNUU condenando las prácticas antes citadas y exigiendo a las potencias administradoras y/o ocupantes a que cesen en su actitud por ser ésta contraria a la solemne Carta de las NNU, RES 2621 (XXV), de 12 de octubre de 1970; 44/84, de 11 de diciembre de 1989; 48/46, de 22 de marzo de 1994; 62/113, de 10 de
    enero de 2008, entre otras.
    Por todo, Suplico rectifique esa declaración e inste a su Gobierno, como Potencia Administradora, que tome cartas en el asunto para impedir que Marruecos siga expoliando los Recursos Naturales del Pueblo del Sahara Occidental.
    Sidi M. Talebbuia
    Presidente APASE