Année : 2014

  • La politique «complexe» de la France dans le dossier sahraoui

    Le président du groupe d’amitié France-Algérie, M. Patrick Mennucci, n’est pas allé par quatre chemins pour qualifier de «complexe» la position française vis-à-vis de la question du Sahara occidental. 
    L’hôte du Parlement algérien a déclaré hier dans une conférence de presse que « la France n’engagera pas un processus de déstabilisation vis-à-vis du Maroc». Il poursuit : «Nous avons une relation très complexe à la fois avec notre partenaire privilégié qui est le Maroc et, d’autre part, avec notre partenaire stratégique qui est l’Algérie ». 
    Le parlementaire français s’est dit pour une sortie politique dans le cadre l’ONU. 
    Patrick Mennucci a pourtant reconnu après avoir constaté de visu, jeudi et vendredi dernier, lors d’une visite aux camps de réfugiés sahraouis à Tindouf, que le peuple sahraoui vit dans la pauvreté et la misère. Il a également affirmé que 200.000 personnes vivent dans des conditions lamentables « mais l’avantage c’est qu’il n’y a pas eu de dérives terroristes », a-t-il tenu à souligner. Il a également affirmé qu’il a recueilli des témoignages sur des cas de violation des droits de l’homme, répression de manifestations. « J’ai même appris, selon les Sahraouis, qu’il y a 61 prisonniers sahraouis et qu’il y a aussi des disparus ». 
    Il a également exprimé son satisfecit quant à l’intelligence politique menée par les Sahraouis, essentiellement leur président qui s’est montré « très modéré et très ouvert envers le Maroc ». Il poursuit :« Ils ne parlent jamais de guerre et de violence, ils attendent tout simplement que leur droit soit reconnu », a-t-il souligné. Le conférencier a précisé qu’il remettra un rapport exact sur la situation des réfugiés sahraouis au gouvernement français bientôt.
    Interrogé par les journalistes sur les effets de la loi antiterroriste qui consiste à frapper les présumés candidats au djihad d’interdiction de sortie du territoire (confiscation temporaire des passeports) et sur le risque de stigmatiser les musulmans notamment les Franco-algériens, le conférencier s’est montré rassurant et déclare que « la loi sera appliquée à tous les Français sans aucune distinction ». Il précisera que sur 930 personnes répertoriées dans la liste des mouvements terroristes djihadistes Daech, 30 % d’entre eux sont de souches européennes Italiens et Espagnols ainsi que d’autres nationalités». Il précise encore que cette loi «n’a rien à voir avec les Français d’origine algérienne». 
    Il explique que c’est une loi qui a été adoptée rapidement pour lutter contre les filières de recrutement qui conduisent de jeunes Français à partir à l’étranger pour les lancer dans les actions terroristes. L’heure est grave selon le conférencier qui a cité le cas d’une jeune fille de 14 ans arrêtée à Strasbourg qui a voulu rejoindre les djihadistes. L’intervenant a fait état également de l’arrestation, avant-hier, de deux jeunes filles de 17 ans à l’aéroport de Marignane à Marseille, pour avoir voulu rejoindre un réseau envoyant des volontaires combattre avec les djihadistes de Daech en Irak et en Syrie. Des jeunes recrutés par le biais des réseaux sur internet. 
    L’ambassadeur de France en Algérie Bernard Emie a, quant à lui, évoqué les facilitations accordées aux demandeurs de visas en Algérie en précisant que pas moins de 350.000 visas ont été octroyés aux Algériens durant cette année.
    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5203525
  • Intensa mobilización del MAE argelino en el tema del Sáhara Occidental en Nueva York

    El sábado llegó a Nueva York el ministro argelino de asuntos exteriores a la cabeza de una importante delegación argelina para participar en la 69 sesión de la Asamblea General de Naciones Unidas.
    El domingo, el Señor Lamamra se entrevistó con el Enviado de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross cuya misión se encuentra bloqueada por Marruecos. También celebró una reunión en el mismo día con el Secretario General de la ONU en la que abordaron el tema del Sáhara Occidental, según un despacho de la agencia de prensa argelina. 
    Con esta ocasión, el jefe de la ONU expresó su apoyo al papel mediador jugado por Argelia para estabilizar la situación en Libia, Mali y el Sahel.
  • " Pour des sanctions militaires et économiques contre le Maroc" (ministre sahraoui)

    Par Mohand K. 
    À partir d’Alger, le ministre des Affaires étrangères de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), M. Mohamed Salem Ould Salek, a appelé hier la communauté internationale à imposer des sanctions militaires et économiques au Maroc, pour l’obliger à se soumettre à la légitimité internationale et de mettre fin à son occupation illégitime du Sahara occidental, qui a durée plus de 23 ans. 
    Le ministre des AE sahraoui, lors d’une conférence de presse organisée au sein de l’ambassade de la République arabe sahraouie à Alger, tient à rappeler les missions de l’Organisation des Nations- Unies (ONU), dont l’objectif à sa création est de mettre fin au colonialisme.  » L’ONU est res- ponsable de décoloniser les territoires occupés dans le monde et de permettre au peuple sahraoui d’user de son droit à l’autodétermination et de garantir aussi le respect de l’accord de paix signé entre les deux parties, qui engendre l’organisation d’un referendum d’autodétermination, un passage obligé vers une solution politique du dossier de décolonisation du Sahara occidental « , a indiqué M. Salek.  » 
    On ne peut pas accepter que la mission des Nations-unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) change sa mission initiale à savoir celle d’instaurer la paix et l’organisation d’un référendum de l’autodétermination à celle de légitimer l’occupation, et de briller par un son silence à l’égard de la répression féroce (marocaine) et crimes contre l’humanité, ainsi que l’accaparement et dilapidation des richesses naturelles du Sahara occidentale. « , déclare le responsable qui dénonce également  » la complicité dont jouie l’occupant marocain au sein du Conseil de sécurité de l’ONU notamment parmi les cinq membres permanents du Conseil, chose qui remet en cause la légitimité internationale en continuant sa politique de main de fer, de la répression et la provocation et cela, au vu et au su de la communauté internationale et de l’opinion publique mondiale au point d’entraver la mission de l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, M. Christopher Ross interdit actuellement par le Maroc de se rendre aux territoires occupés et également le rejet de la mission de la nouvelle représentante officielle du secrétaire général de l’ONU et de faire barrage à sa mission. Il s’agit également du refus de coopérer avec l’envoyé spécial de l’Union africaine, l’ex Président mozambicain. 
    Suite à cette politique de la fuite en avant du Maroc, M. Salek appelle la communauté internationale à infliger au Maroc des sanctions économiques et militaires pour l’obliger à soumettre à la légitimité internationale en mettant fin à son occupation et de l’arrêter dans la répression et la dilapidation des richesses naturelles des territoires occupés. Le ministre dénonce par ailleurs, la démarche program- mée du Maroc qui continue d’envahir le marché mondial par la drogue. Une opération selon lui, opérée par des hauts responsables du Makhzen au plus haut sommet du pouvoir. 
    Il dénonce aussi le financement marocain des réseaux terroristes dans le Sahel et dans la région dans le but de détourner l’attention de l’opinion internationale sur le dossier du Sahara occidental. L’intervenant insiste sur la détermination du peuple Sahraoui à arracher son indépendance en dépit du le temps qu’il faudra. M. Salek dénonce également la politique de deux points deux mesures adoptée par les puissances occidentales dans leur perception des droits de l’homme et de les garantir pour les uns et de les ignorer pour les autres.  » Paris et Madrid sont très cléments avec le Maroc, qui veulent que la région soit toujours déstabilisée pour la sauvegarde de leurs intérêts « , estime le ministre. 
    M.K.
    La tribune des lecteurs, 22/09/2014
  • « La posición de Francia es compleja » (diputado francés)

    La independencia del Sáhara es ineluctable

    El presidente del grupo de amistad Francia-Argelia deploró las condiciones humanitarias « difíciles » en las que viven los saharauis en los campamentos de refugiados en Tinduf.
    « La posición de Francia sobre la cuestión del Sahara Occidental es compleja ». Esta confesión fue hecha por el Presidente del Grupo de Amistad Argelia – Francia, Patrick Minucci. En una conferencia de prensa que animó ayer junto a su homólogo argelino, Belkacem Belabbes dentro de la sede del parlamento argelino, el diputado francés fue directo para explicar la actitud de Francia a este respecto. El único argumentó que presentó es que Marruecos es un socio importante para Francia y Argelia es un socio estratégico. Una declaración que refleje claramente la ambigüedad de la posición de Francia sobre el Sáhara Occidental. El Sr. Minucci que visitó los campamentos de los saharauis llegó a una amarga conclusión. Deploró las « difíciles » condiciones humanitarias en las que viven los saharauis en los campamentos de refugiados de Tinduf.
    Mennuci señaló la situación « inaceptable » y las « duras” condiciones humanitarias en las que viven los saharauis en los campamentos. « Contrariamente a lo que se dice, no estamos ante gente fanática, sino gente que tienen la voluntad de encontrar una solución política a su situación », señaló. En este contexto, llamó a una « solución política » al conflicto del Sáhara Occidental a la luz de la « compleja » situación en la región, sobre todo en Malí y Libia. Volviendo al tema de su visita a los campamentos de refugiados, Minucci dijo: « Me parece muy importante que después de tantos años, las cosas evolucionen y que los saharauis puedan vivir sus vidas, pero hoy uno siente que necesitan hallar una solución a su situación. « 
    Pasando al tema de las relaciones entre Argelia y Francia, el diputado expresó la necesidad « pasar la página, mirar hacia el futuro y construir ese eje estratégico, Argel-París, al que tanto ansiamos ». También anunció que se organizarán por primera vez en Francia celebraciones oficiales con motivo del Día de la Inmigración (17 de octubre). Interpelado sobre la cuestión de los visados, el parlamentario declaró que 350.000 permisos de residencia fueron otorgados a argelinos desde el comienzo del año en curso. Minucci negó que haya la intención de dificultar el permiso de residencia. Como argumento, avanza que es normal que Francia se preocupe por el fenómeno de la migración.
    Dijo que incluso Argelia vive el problema la migración proveniente de Malí, Níger y Siria. 
    El Parlamentario habló incluso de la Ley Antiterrorista votada recientemente en la Asamblea francesa, explicando que no tiene como objetivo los franceses de origen árabe. Prueba de ello, dijo, de las 900 personas identificadas como relacionadas con las redes terroristas, el 30% son de origen francés.
    Por su parte M.Belabbès, presidente del grupo parlamentario de amistad  » Argelia-Francia, » destacó « la total convergencia » entre Argelia y Francia para la estabilidad de la región.
  • «Nous demandons des sanctions économiques et militaires contre le régime marocain»

    LE MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DU SAHARA OCCIDENTAL, MOHAMED SALEM OULD SALEK, A ANIMÉ, HIER, UNE CONFÉRENCE DE PRESSE AU SIÈGE DE L’AMBASSADE DE LA RASD, À L’OCCASION DE LA TENUE DE LA 69E SESSION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES, AU CALENDRIER RICHE EN DISCUSSIONS DES QUESTIONS INTERNATIONALES, PARMI LESQUELLES S’AFFICHE LA QUESTION DE L’AUTODÉTERMINATION DU SAHARA OCCIDENTAL. 

    Lors de son intervention, le ministre a demandé à l’instance onusienne d’imposer des sanctions économiques et militaires contre le régime marocain à cause de son entêtement et d’avoir entravé le référendum de l’autodétermination pour le peuple sahraoui. «Le non-respect des engagements contractés met le Maroc en porte-à-faux avec le droit international et demande alors à la communauté internationale d’exercer des pressions et imposer des sanctions contre le gouvernement marocain, afin qu’il autorise un référendum d’autodétermination au Sahara Occidental. Le peuple sahraoui est déterminé plus que jamais sur son autonomie. Le Maroc utilise la langue des armes et la répression depuis 1975 dans les terres sahraouies soumises à son monopole.» Dans ce sens, le ministre a dénoncé la politique de la double casquette employée par l’ONU. «D’un côté, elle défend les questions internationales légitimes concernant les droits des peuples à l’autodétermination, et, de l’autre, elle intervient militairement sous le prétexte des droits de l’Homme et de la démocratie pour s’interférer dans les questions internes des nations», a dit M. Ould Salek. La France est la cible des critiques ministre sahraoui. Le gouvernement français contredit, affirme-t-il, l’image qu’il veut donner de son pays en tant que berceau des droits de l’Homme par son attitude au Conseil de sécurité. «La crédibilité de l’ONU est sur le fil du rasoir. Aujourd’hui, nous sommes une partie prenante dans cette région. Nous demandons notre droit légitime : l’autodétermination.» Selon le diplomate, la complicité dont le Maroc bénéficie à l’intérieur du Conseil de sécurité a permis de piétiner la légitimité internationale et donner l’occasion au Maroc pour contester la visite de l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross. «Le groupe des 5 a kidnappé la cause sahraouie pour des intérêts stratégiques», a-t-il mentionné. Le ministre a accusé les organes sécuritaires marocains d’être impliqués dans le trafic de drogue dont l’argent est exploité pour des investissements en Afrique de l’Ouest, l’achat des armes, des consciences et des lobbies pour améliorer l’image du Maroc sur le plan international.
    HAKIMA HADJAM
    http://www.lnr-dz.com/index.php?page=details&id=36942
  • Diplomáticos españoles que abandonaron Libia seguirán la situación desde Túnez

    Luis Ayllón. Madrid
    Dos de los miembros de la Embajada española en Libia que, con el embajador al frente, abandonaron la representación diplomática el pasado 31 de julio por motivos de seguridad se trasladarán en breve a Túnez para seguir desde allí la situación en el país vecino, según informaron a The Diplomat fuentes solventes.
    La decisión del Gobierno español fue adoptada antes de que se celebrara en Madrid la Conferencia sobre Estabilidad y Desarrollo en Libia, en un intento de tener un contacto más cercano con la realidad de un país en el que se mantienen los enfrentamientos entre distintas milicias y entre el Gobierno salido de las elecciones del pasado 25 de junio y el Ejecutivo anterior.
    Entre quienes se desplazarán a Túnez no se encuentra el embajador, José Antonio Bordallo, quien, junto al resto del personal, y en la línea de lo que hicieron la mayoría de los países europeos, regresó a Madrid dejando la Embajada en Trípoli en manos de un Encargado de Archivo.
    España está tenido un papel activo en la búsqueda de soluciones en Libia, con actividades como la reciente Conferencia de Madrid, en la que participaron representantes de una veintena de Estados y organismos internacionales. Ayer, un nutrido grupo de diplomáticos de países que no participaron en la reunión acudieron al Ministerio de Asuntos Exteriores para ser informados de las conclusiones de la Conferencia.
  • El islamismo en Túnez: de la independencia al renacer salafista

    Sergio I. Moya Mena
    ISBN 978-9968-930-58-1 
    Septiembre 2014
    178 páginas.
    De la contraportada
    “Epicentro de las revueltas árabes, la experiencia tunecina está siendo la más satisfactoria en términos de cambio político y transición hacia la democracia. En comparación con otros Estados y sociedades de su entorno, Túnez posee ciertas fortalezas (Ejército no intervencionista, sociedad civil articulada, incorporación de la mujer en el espacio público, cohesión nacional, mayor secularización), entre las que destaca también el carácter moderado y pragmático de su principal movimiento islamista, Ennadha. Objeto de análisis, junto a la sorprendente reemergencia salafista, en esta monografía en la que con rigor y solvencia el profesor Sergio I. Moya Mena muestra que, lejos de constituir una amenaza, la integración del islam político en el proceso democratizador es una garantía para su éxito y consolidación, sin menospreciar los desafíos que esta innovadora experiencia tiene todavía por delante en el mundo árabe”.
    José Abu-Tarbush Quevedo
    Universidad de La Laguna, Tenerife
    “Esta obra es un análisis puntual de la actual coyuntura política del país donde se iniciaron las Revueltas Árabes, llamadas por la prensa “la Primavera Árabe”, denominación que tanta confusión ha creado. Teniendo como hilo conductor a los principales personajes, Moya desentraña las contradicciones que subyacen detrás de los líderes y agrupaciones que hacen de Túnez un caso particular.
    La pobreza, el desempleo, la corrupción y la inoperancia de Estado así como la intromisión de corte colonial han provocado en África una ebullición social de expresión religiosa cuyas víctimas principales han sido los ciudadanos musulmanes. En honor a ellos, pero también en honor a las nuevas propuestas políticas que empiezan a surgir se saluda este libro que ojalá provoque debate y controversia que ayude a comprender la naturaleza de los movimientos sociales del siglo XXI, del que no escapan las confesiones cristianas y católicas. »
    Rina Cáceres 
    Cátedra de Estudios de África y el Caribe 
    Universidad de Costa Rica
    Contenido
    Presentación………………………………………………………………………5
    Introducción……………………………………………………………………….11
    Orígenes y desarrollo del islamismo en Túnez……………………14
    El pensamiento de Rachid Ghannouchi……………………………..50
    Ennadha y la Revolución del Jazmín…………………………………..76
    De la clandestinidad al gobierno………………………………………..95
    Otras expresiones del Islam político………………………………….113
    El renacer salafista…………………………………………………………..121
    Transición, democracia e islamismo………………………………..150
    Notas……………………………………………………………………………….163
    Bibliografía……………………………………………………………………….165
  • Los pescadores gaditanos aseguran que siguen con problemas en el caladero marroquí

    Reclaman a las administraciones que arbitren una reunión
    Los pescadores gaditanos siguen teniendo problemas para pescar en Marruecos y, por ello, reclaman a las administraciones que arbitren una reunión con sus compañeros marroquíes para establecer algún « entendimiento o acuerdo de conducta » que evite conflictos en el caladero que deben compartir.
    Tras los incidentes de la pasada semana, en los que fueron expulsados del caladero marroquí, muchos palangreros de Algeciras y Barbate ya ni van al caladero, a pesar de que han pagado su licencia para ello en el marco del nuevo acuerdo de pesca entre la UE y Marruecos que se estrenó el pasado lunes.
    De los cuatro palangreros de Algeciras que sí acudieron la pasada madrugada, dos se volvieron sin siquiera echar sus artes y otros dos faenaron, pero en las afueras del caladero, en el único lugar en el que les permitieron colocarse los cerca de veinte barcos marroquíes que estaban en la zona. « Nos siguen diciendo que aquellas son sus aguas, que ellos tienen prioridad », ha explicado a Efe María Oliva Corrales, patrona de la Cofradía de Pescadores de Algeciras.
    Su barco, el « Muñi », es uno de los que la pasada semana sufrió el acoso de los barcos marroquíes, en unos incidentes en los que le rompieron diecisiete palangres, valorados en unos 2.000 euros. Ella es una de las que ha decidido que, en tanto la situación no cambie, no va a ir allí más « a buscar la ruina, perdiendo tiempo y dinero » y a « ponernos en peligro » porque, según dice, los pescadores marroquíes se niegan a compartir el caladero. « No sé a dónde va a llegar esto », apunta, al igual que Pedro Maza, el presidente de los armadores andaluces.
    « La situación no avanza », apunta Maza, que explica que los pescadores españoles no pueden « entablar una guerra con los pescadores marroquíes » para obligarles a aceptar el acuerdo firmado por su Gobierno, y por el que Marruecos recibe 40 millones de euros anuales de la UE y de los armadores, que abonan sus licencias trimestralmente.
    Por ello, el sector pesquero andaluz ha reclamado a la administración española o europea que pida una reunión al gobierno marroquí para llegar « a un entendimiento o un acuerdo de conductas » que permita aplicar el acuerdo. El conflicto continúa así « igual », mientras a los pescadores se les plantean ahora los trámites para pagar un nuevo trimestre de sus licencias, para pescar en el último periodo del año.
  • MAE argelino se entrevista con Christopher Ross en Nueva York

    El ministro argelino de asuntos exteriores, Ramtane Lamamra, se entrevistó ayer en Nueva York con el Enviado Especial del Secretario General de la ONU para el Sahara Occidental, Christopher Ross.
    Según la agencia de noticias argelina APS, el encuentro se inscribe en el marco de las concertaciones habituales con la ONU sobre la evolución de la cuestión del Sahara Occidental.
    El señor Ross tenía previsto realizar una nueva en la región para preparar el informe que remitirá en octubre al Consejo de Seguridad. Marruecos se niega a recibirle bajo el pretexto de ignorar la naturaleza de su misión y exige una respuesta del emisario onusiene a una serie de preguntas sobre la naturaleza de su misión.
    La mediación del diplomático americano gira en torno a una solución basada en el derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación y cuenta con el apoyo del conjunto de la comunidad internacional.
  • La France et l’Espagne sont les pays qui contribuent le moins dans la recherche d’une solution au conflit sahraoui » (Bouchraya Beyoun)

    « La France et l’Espagne son les pays qui contribuent le moins dans la recherche d’une solution au conflit sahraoui », a déclaré le représentant sahraoui en Espagne, Bouchraya Beyoun.
    Dans une déclaration relayée par le site San Borondón, Beyoun a souligné que « la France a soutenu le Maroc toute la vie, même si le gouvernement actuel semble n’est pas être prêt à continuer dans la même ligne ».
    « La Russie ne s’est pas prononcé contre et l’Alérie soutient que les sahraouis décident ce qu’ils veulent et n’est pas disposée à permettre une solution imposée. En plus, l’Algérie compte parmi les pays influyents dans la question des indicateurs politiques, antiterroristes et économiques, et le Maroc a perdu de l’importance et se voit dans un deuxième plan et « cela n’est pas de son goût », a-t-il ajouté.
    Concernant la situation au Sahara Occidental, Beyoun a déclaré que « les négociations sont bloquées du fait que le Maroc ne respecte les principes établies par l’ONU et empêche l’entrée au territoire des observateurs internationaux». 
    Il a rappelé que le rapport de Ban Ki-moon de l’année passée a souligné avec clarté que le problème du Sahara Occidental est un problème de decolonization, qu’il s’agit d’un territoire non-autonome et qu’il faut respecter le droit international dans la défense des ressources naturelles et les droits de l’homme. Il a aussi demandé au Conseil de Sécurité de revoir tout el processus au mois d’avril 2015 si les négociations n’avancent pas. 
    Les sahraouis espèrent que l’ONU ne recule pas dans sa decision. Dans le cas contraire, la situation pourrait devenir dangereuse. Les jeunes sahraouis n’ont plus confiance en la communauté internationale et veulent reprendre les armes pour défendre leurs droits.
    Le responsable sahraoui a exprimé sa crainte que d’autres conflits où il y a effusion de sang puissent assombrir le conflit sahraoui et que la communauté internationale y voit un conflit de base intensité qui n’a pas besoin de solution immédiate. 
    Beyun ha manifestado que el Frente Polisario alberga el temor de que otros conflictos donde hay derramamientos de sangre ensombrezcan el conflicto saharaui y que la comunidad internacional entienda que al ser un conflicto de baja intensidad no requiere solución inmediata. 
    La politique agressive du Maroc a réussi, signale-t-il, à créer une rupture totale au point que tous les sahraouis sont convaincus que la seule solution c’est le retour à la guerre.