Année : 2014

  • Kosmos Energy s’entretient avec des faux membres de la société civile de Dakhla

    Par un activiste de la société civile dans la ville occupée de Dakhla, Sahara occidental

    Dans une tentative de trouver des alibis pour justifier ses opérations de forage prévues au Sahara Occidental occupé, Kosmos Energy, une société pétrolière dont le siège se trouve aux Etats-Unis, mène, ces jours-ci, dans les villes occupées, une série de réunions guidées et supervisées par les autorités marocaines et orchestrées par ses services secrets. 
    Une délégation de Kosmos Energy a organisé, le 23 et le 24, Septembre 2014, plusieurs réunions dans la ville de Dakhla, au sud du Sahara occidental, avec de nombreux responsables marocains et des représentants de la société civile pro-marocaine censée y représenter la population sahraouie. Au même temps, de nombreuses concentrations et manifestations pacifiques revendiquant des droits socio-économiques et politiques ont été interdites et cruellement réprimées. La compagnie pétrolière américaine a fait toutes ces rencontres avec des faux représentants de la société civile locale qui ont été sélectionnés en fonction de leur loyauté à la politique coloniale de l’Etat marocain.
    Curieusement, la délégation de Kosmos Energy a eu sa rencontre avec ces représentants dont certains sont des anciens contrebandiers qui ont été condamnés à des peines de prison lorsqu’ils ont été pris en flagrant délit alors qu’ils se livraient à des activités dans le cadre du crime international organisé. D’autres sont connus pour leur trafic de drogue, d’appartenir à des bandes de contrebande tandis que d’autres sont encore poursuivis par la justice pour utilisation de chèques sans fond, en plus de quelques sahraouis ignorants et analphabètes. D’autres participants ne sont même pas sahraouis et n’ont rien à voir avec la population locale, la plupart étant des agents de renseignement marocains.
    Nous, tous, nous posons la question : Que fait Kosmos Energy? 
    Le peuple sahraoui, vivant sous le joug brutal de l’occupation marocaine et les leurs exilés dans les camps de réfugiés en Algérie, condamnent les agissements de Kosmos et appellent à son retrait immédiat. Les prospections pétrolières de Kosmos Energy au Sahara Occidental occupé restent totalement illégales et moralement contraires à l’éthique. 
  • Les marocains, un peuple très flexible

    Il est très difficile de discuter avec un marocain sur la question du Sahara Occidental ou sur l’Algérie. Leur raisonnement est un copie conforme des thèses des officiels au Maroc. Même ceux qui appartiennent à l’opposition au Makhzen, ils sont plus royalistes que le roi lorsqu’il s’agit de discuter ces deux questions. Ils affichent une espèce de nationalisme pour le moins bizarre, au point qu’ils s’amusent de voir les forces de police réprimer la population civile sahraouie.
    Peut-être qu’être nationaliste et patriote au Maroc veut dire rallier le point de vue du Makhzen dans ces deux affaires. Prenons comme exemple l’histoire de la ville de Lagouira. Depuis la signature de l’accord de paix entre la Mauritanie et le Front Polisario, cette localité se trouve sous l’administration des autorités mauritaniennes. Malgré cela, les marocains s’obstinent à dire qu’elle est sous administration marocaine. Et tous les marocains répètent à l’unisson la fameuse expression « le Maroc, de Tanger à Lagouira ». 
    Dans la question des ambitions expansionnistes du Maroc et les relations avec l’Algérie, le peuple marocain et ses élites ont fait preuve d’une flexibilité sans égal.
    Les marocains ont applaudi le Makhzen lorsqu’il s’est opposé à l’indépendance de la Mauritanie en 1960 puis à son admission à l’ONU l’année suivante. Quand il l’a reconnu en 1969, ils ont tous trouvé cela très naturel, voire magnifique et personne ne s’est posé de questions. Ils ont même applaudi que le roi Hassan II partage le Sahara Occidental avec le régime Mokhtar Ould Daddah, le père de l’indépendance de la Mauritanie. 
    Pour les marocains, les sahraouis sont une poignée de « traîtres et de mercenaires à la solde de l’Algérie », mais quand le roi Hassan II décida, en 1989, de les accueillir dans son palais de Marrakech, aucun marocain n’a levé la voix contre cette décision. Dans cette rencontre, le roi du Maroc leur a proposé une large autonomie avec tous les pouvoirs sauf « le drapeau et le timbre ». Là aussi, tout le monde a loué la « vision du souverain » en dépit de sa contradiction avec les arguments de la « souveraineté et l’intégrité territoriale du Maroc ».
    Ainsi donc, les marocains sont unanimes à dire que le Front Polisario a été créé par l’Algérie pour combattre le Maroc. Ils ne veulent rien savoir des opérations militaires menées contre les espagnols depuis le 20 mai 1973. Et c’est justement le succès de son combat qui a fait réagir le roi du Maroc et la France qui avaient des visées sur les phosphates sahraouis.
    Pour les marocains, les sahraouis qui sont contre la marocanité du Sahara sont une minorité et la Cour de Justice de La Haye s’est prononcée en faveur des arguments marocains. Puisque les médias du palais l’ont affirme ! Pire encore, ces malheureux sont prêts à avaler ce gros mensonge de Benkirane selon lequel l’Algérie refuse d’ouvrir la frontière de crainte que les algériens découvrent le niveau de progrès réalisé au Maroc. 
    Vraisemblablement, être patriote au Maroc est synonyme d’être flexible par rapport aux thèses du Makhzen et de se soumettre au diktat du sultan, défendre sa politique et justifier ses exactions contre les sahraouis et ses attaques contre l’Algérie. Le problème est que cette flexibilité des citoyens marocains fait qu’ils soient faciles à embrigader contre les autres, comme c’était le cas contre les sahraouis et les immigrés subsahariens. Et contre les opposants au régime au Maroc.
  • Solidaridad con Scouts del Sahara Occidental

    Han sido ya varias las ocasiones en que La Roca del Consejo ha reflejado la situación en la que los Scouts del Sahara Occidental realizan escultismo.
    A pesar de las duras condiciones, el Movimiento Scout en el Sahara Occidental continúa creciendo de forma ostensible. Esto provoca una serie de necesidades para los miembros de la asociación, en lo que a uniformidad y simbología se refiere.
    Desde la Asociación de Scouts del Sahara Occidental se ha realizado un llamamiento al respecto, en el cual solicitan ayuda para uniformidad y simbología.
    El testigo ha sido recogido por algunos coleccionistas scouts a través de facebook. Actualmente, el proyecto se encuentra en proceso de rediseño de los logotipos iniciales aportados por la asociación saharaui.
    De esta tarea se está encargando Xuxo Guadix, scout y diseñador gráfico que, entre otros trabajos, ha realizado el diseño de la insignia del 12 Aniversario de La Roca. De los 7 logotipos rediseñados, 6 ya han sido aprobados por la asociación scout saharaui.
    En esta fase inicial, se ha creado una lista de distribución entre los interesados. Si deseas unirte, solo debes pinchar aqui, y enviar un correo electrónico.
    En la siguiente fase, con los diseños aprobados y el coste del proyecto, está previsto crear una web o grupo en facebook, comenzando así la divulgación de este proyecto.
    Desde La Roca del Consejo deseamos todo lo mejor a nuestros hermanos scouts del Sáhara Occidental.
  • Ils ont dit …

    « Rien ne nous dit, en effet, que l’Algérie n’est pas victime d’un complot savamment ourdi par de puissants lobbies étrangers. Tout comme la naissance et la progression de l’EI prêtent à moult équivoques et doutes, il est à se demander si cet enlèvement n’a pas été commis dans le but d’entraîner l’Algérie dans une guerre qu’elle n’a jamais voulue. Il s’agit, bien sûr, d’intervenir militairement en Libye, et peut-être même en Tunisie. Un pareil scénario-catastrophe nous mettrait aux premières lignes des Etats vassaux des Occidentaux, presque au même niveau que le Maroc ou bien le Qatar et l’Arabie saoudite. L’Algérie ne serait pas non plus à l’abri d’un plan visant à la déstabiliser. Ses positions fermes, courageuses et justes concernant plusieurs questions de principe, comme la cause palestinienne, la décolonisation du Sahara Occidental ou bien le refus que des forces armées étrangères s’immiscent dans les affaires internes de pays souverains comme la Libye et le Mali, nous ont sans doute fait plus d’ennemis que d’amis. La phase actuelle, critique sans être désespérée, doit être gérée avec prudence et rigueur extrêmes. L’Algérie, qui a déjà vaincu le terrorisme quand celui-ci était aidé et financé en Occident et qui a passé sans encombres le cap tourmenté des  » printemps arabes  » dispose de pas mal d’atouts (mais pas tous, hélas !) pour s’en sortir cette fois-ci encore… » (Ali Oussi, La Tribune des Lecteurs, 25/09/2014)
    A la mort du président américain Lincoln (la chronique d’alors laisse supposer qu’il a été assassiné par des magnats juifs), Bismark avait fait cette déclaration prémonitoire: » Je crains que les banquiers juifs, avec leurs artifices et leurs tours tortueux, domineront entièrement la richesse surabondante de l’Amérique et l’utiliseront systématiquement pour corrompre la civilisation moderne. Il n’hésiteront pas à précipiter toute la planète dans les guerres et le chaos pour que la terre devint leur héritage. »
    Comme prédit, le monde est, aujourd’hui, totalement à leurs pieds. Et nous n’en voulons pour preuve que leur main-mise sur l’économie mondiale et sur la politique extérieure des Etats-Unis et de beaucoup de pays d’Europe, principalement, la France. (Amirouche Al Hadi, La Tribune des Lecteurs, 25/09/2014)
    Hélas, en ces temps dangereux, où les superpuissances s’amusent à faire s’entretuer des populations en- tières, à pousser au démantèlement de pays aux civilisations si an- ciennes qu’elles ne peuvent qu’être le patrimoine de toute l’humanité, à ranger et à élargir la moindre brèche ethno-religieuse d’une com- munauté fragilisée, la mort est ba- nalisée par des médias aux gains monstrueux. Ce n’est pas par quelques chroniques écologiques humanistes ou sociales, orientées pour l’essentiel, qu’on se dédouane d’une complicité certaine avec les plus démentiels des criminels (Hocine Benmedakhene, Le Provincial, 25/09/2014)
  • Sahara Occidental : L’occupation marocaine à la croisée des chemins

    «L’occupant marocain, qui a échoué aux plans militaire et diplomatique, vit actuellement entre les pressions de la communauté internationale en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’attachement grandissant des Sahraouis à ce droit».
    C’est le constat établi par le président Sahraoui Mohamed  Abdelaziz. «L’occupation marocaine se retrouve entre les pressions de la communauté internationale et le combat du peuple sahraoui et son attachement à son droit à l’autodétermination», a souligné le secrétaire général du Front Polisario, dans son discours prononcé à l’ouverture des travaux du 2e congrès de l’Union des étudiants de Seguia el-Hamra et Rio de Oro. 
    Il a estimé que la communauté internationale est plus que jamais consciente du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Le président Abdelaziz a mis en exergue la responsabilité qui incombe aux étudiants sahraouis pour atteindre cet objectif, les appelant à redoubler d’efforts et à préserver le legs des martyrs. 
    Qualifiant leur rôle de «primordial et de central dans la lutte armée», M. Abdelaziz a appelé les étudiants sahraouis à s’armer du savoir et à exploiter les technologies de l’information et de la communication, notamment les réseaux sociaux. Il a présenté à l’occasion une rétrospective sur la création en 1975 de l’Union des étudiants de Seguia el-Hamra et Rio de Oro et la tenue de son 1er congrès, marqué alors par un soulèvement populaire contre l’occupant espagnol, relevant que le présent congrès se tient dans des circonstances similaires, à savoir sous occupation marocaine, faisant fi des décisions des Nations unies. 
    Le président sahraoui a, par ailleurs, condamné l’agression israélienne contre les Palestiniens à Ghaza, exprimant sa solidarité et son soutien à la cause du peuple palestinien «qui fait preuve d’une résistance exemplaire», a-t-il dit.
    F. H.
  • Points chauds : Erreur

    Faouzia Mahmoudi
    Ceux qui ont immédiatement opposé au retour de Nicolas Sarkozy ses ennuis judiciaires, ne devraient pas être ravis par la décision de la cour d’appel de Paris qui a suspendu hier l’en- quête qui vaut à l’ancien président d’être mis en examen pour corrup- tion depuis juillet. 
    Soupçonné d’avoir tenté d’obtenir auprès d’un magistrat des informations dans un dossier judiciaire le concernant, Nicolas Sarkozy s’était vu épinglé par la justice à la grande joie de tous ses opposants. Mais si la justice a suspendu cette enquête-là, l’ex-chef de l’État est encore visé par d’autres affaires qui ont toutes potentiellement les moyens de le détruire politiquement. 
    L’Affaire Bygmalion étant certainement l’une des plus importantes, avec des millions d’euros détournés pour financer sa campagne présidentielle de 2012, qui avait pris des dimensions pharaoniques. Mais l’ancien président malgré de nombreux faits qui le relaient à ce dossier a tou- jours nié toute implication dans cette affaire. 
    «J’ai appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle», a déclaré Nicolas Sarkozy lors de son passage sur le plateau de France 2, dimanche soir. Ce serait justement le point que les policiers qui enquêtent sur l’affaire tentent d’éclaircir, selon le quotidien français Le Monde, qui suit cette affaire de près. 
    Les adversaires de l’ex-dirigeant n’ont de leur côté de cesse d’affirmer qu’il est impossible pour ce der- nier de ne pas être impliqué dans ce trafique de fausses factures dont le chiffre s’élève à plus de 18,5 millions d’euros. Or, une telle somme , qui a été utilisée pour financer la campagne de 2012, ne pouvait pas- ser inaperçue, surtout pour Nicolas Sarkozy qui aime avoir un œil sur tout. Néanmoins, ce dernier va continuer de nier jusqu’à ce que la jus- tice soit en mesure d’apporter une preuve solide et incontournable de sa participation dans l’entreprise de fausse facturation. Reste à savoir si les militants de droite, très largement en sa faveur, continueront à le soutenir en cas de preuve d’agissements suspects ou si leur dévoue- ment est prêt à pardonner une «erreur» qu’aurait commise leur cham- pion.
    Le Jour d’Algérie, 25/09/2014
  • Aislamiento de Marruecos a nivel internacional

    *Fuente: Alifpost.com, 24/09/2014
    En un hecho sin precedentes, el monarca marroquí, Mohammed VI canceló su visita a Nueva York para participar en los trabajos de la Asamblea General de las Naciones Unidas, una visita que había sido anunciada y por la que apostaba Marruecos para defender su posición respecto al conflicto del Sahara, que se encuentra en una situación difícil para el reino alauí.
    *Fuente: Alifpost.com, 24/09/2014
    La escena de marginación se repite para Marruecos en las conferencias internacionales sobre la seguridad y en la región del Magreb árabe. El último episodio de esta marginación sistemática ha sido la cumbre de Washington, que se llevó a cabo el lunes de esta semana para abordar la situación de seguridad en Libia con la participación de los supuestos aliados de Rabat en el ámbito internacional, tanto en el mundo occidental como el mundo árabe.
    Estos acontecimientos están teniendo lugar en un momento en el que no se dan explicaciones oficiales sobre la eliminación de Marruecos en estas cumbres. 

  • EEUU considera « afrenta a la humanidad » muerte de rehén francés en Argelia

    Naciones Unidas, 24 sep (EFEUSA).- El Gobierno estadounidense calificó hoy de « afrenta a toda la humanidad » la muerte del francés Hervé Gourdel, secuestrado el pasado domingo en Argelia por un grupo vinculado con el yihadista Estado Islámico (EI).
    « Es un acción horrenda que supone una afrenta a toda la humanidad », indicó un alto funcionario estadounidense, que pidió el anonimato, a los periodistas que acompañan al presidente Barack Obama durante su participación en la Asamblea General de Naciones Unidas.
    El funcionario remarcó que « EE.UU. obviamente muestra su total solidaridad con nuestros aliados franceses ».
    Por último, el alto cargo de la delegación estadounidense apuntó que « el grupo responsable afirma estar vinculado al EI, pero esto no significa que esté bajo control directo o sea dirigido por el EI ».
    La muerte de Gourdel fue confirmada por el presidente de Francia, François Hollande, quien también se encuentra en Nueva York para asistir a la Asamblea General de Naciones Unidas.
    Gourdel « fue asesinado vil y cruelmente », señaló el presidente de Francia.
    Francia es uno de los países que forma parte de la coalición internacional liderada por EE.UU. que ha lanzado ataques aéreos contra posiciones del EI en Irak.
    El grupo terrorista Yund al Jilafa (Soldados del Califato), vinculado al EI, amenazó ayer, martes, con matar al rehén galo si, en un plazo de 24 horas, Francia no cesaba sus operaciones contra los yihadistas en Irak, que se iniciaron el pasado viernes.
  • « Soldados del Califato », la « marca » del Estado Islámico en Argelia

    EFE
    Argel, 24 septiembre 2014.- El grupo yihadista « Yund al Jilafa » o « Soldados del Califato », que decapitó hoy al rehén francés Pierre Hervé Gourdel, es la aparente nueva « marca » en Argelia del Estado Islámico (EI), a su vez una escisión de Al Qaeda.
    El grupo yihadista, que secuestró al ciudadano francés el pasado 21 de septiembre en la región montañosa de la Cabilia, está dirigido por el autoproclamado « emir » Abdelmalek Guri, conocido como Jaled Abu Salman, de 36 años y originario de la ciudad de Bumerdés.
    Abu Salman había anunciado diez días antes del secuestro su alianza con el EI y su obediencia a su líder, Abubaker al Bagdadi, con lo que ponía al servicio del EI la « experiencia acumulada » durante años en la región por Al Qaeda en el Magreb Islámico (AQMI, la filial magrebí de Al Qaeda) en la comisión de atentados, secuestros y extorsiones.
    El Estado Islámico, que controla amplias zonas de Siria e Irak, ha anunciado en diversos foros de su muy cuidada red de propaganda su intención de expandirse por el Magreb, y aunque se suponía que Túnez sería su prioridad, han elegido Argelia para salir a la luz.
    Abu Salmán se unió a Al Qaeda a fines de los años 90, antes de que la policía argelina lo detuviera y encarcelara.
    Tras cumplir su pena, en 2001 salió en libertad y tardó muy poco en regresar a las filas de AQMI, poniéndose a las órdenes de Abdelmalek Drukdel, el escurridizo líder de la organización que aún sigue en libertad y que teóricamente obedece a Al Qaeda y no al EI.
    Los grupos terroristas han encontrado uno de sus principales refugios en las montañas boscosas de la Cabilia, la conflictiva región argelina llena de grutas donde fue secuestrado el guía francés.
    El turista francés de 55 años, experto montañero, había sido invitado por un grupo de argelinos y albergado desde su llegada a Argelia, sólo un día antes, en un chalet cerca del complejo de Tikeyda, situada en la provincia de Buira, también en la Cabilia.
    Los terroristas de Yund al Jilafa sorprendieron al grupo de Gourdel, en el que había varios montañeros argelinos, pero no mostraron el menor interés por estos últimos, a los que dejaron libres, y solo se llevaron a Gourdel, al que llevaron hacia un destino desconocido.
    El Ministerio argelino de Defensa aseguró al día siguiente del secuestro que las fuerzas de seguridad buscaban activamente a Gourdel en la región de Tizi Uzu.
    La captura de Gourdel pone en entredicho la eficacia de las fuerzas argelinas para doblegar al terrorismo, como quedó también de manifiesto en la toma de la planta gasística de In Amenas en enero de 2013.
    Aquel secuestro, que duró varios días y terminó con la irrupción del ejército argelino en las instalaciones, se saldó con 38 trabajadores de la planta muertos (37 de ellos extranjeros), además de 29 asaltantes.
  • Felipe VI habla del Sahara Occidental con Ban Ki-moon

    Según un comunicado difundido por la oficina del portavoz de las Naciones Unidas, Ban y don Felipe hablaron también sobre la situación en Irak y sobre el conflicto en el Sahara Occidental, punto en el que el secretario general de la ONU agradeció a España su apoyo a las negociaciones.
    Felipe brindó con ambos y con el resto de comensales que compartían la mesa principal, entre ellos el presidente mexicano, Enrique Peña Nieto El rey Felipe VI asistió hoy al almuerzo oficial del plenario de alto nivel de la Asamblea General de la ONU como invitado en la mesa principal, junto al secretario general de las Naciones Unidas, Ban Ki-moon, y muy cerca del presidente de Estados Unidos, Barack Obama.
    Ban Ki-moon estaba acompañado a su izquierda por Obama y a su derecha por Felipe VI, con quien mantuvo antes del almuerzo un encuentro en el que le pidió que España apoye los esfuerzos que despliega la ONU para luchar contra la epidemia de ébola en África.
    Según un comunicado difundido por la oficina del portavoz de las Naciones Unidas, Ban y don Felipe hablaron también sobre la situación en Irak y sobre el conflicto en el Sahara Occidental, punto en el que el secretario general de la ONU agradeció a España su apoyo a las negociaciones.
    La reina Letizia acompañó a don Felipe en el saludo a Ban Ki-moon, a quien obsequiaron con una fotografía enmarcada y dedicada de su retrato oficial como Reyes de España y con una segunda imagen tomada el día de la proclamación del monarca, el pasado 19 de junio, cuando saludaban juntos a los madrileños desde el balcón principal del Palacio Real de Madrid.
    El secretario general de la ONU felicitó entonces al nuevo rey y le mostró su interés por conservar una fotografía de aquel día histórico.
    Antes de su entrevista con Ban Ki-moon, don Felipe fue el cuarto jefe de Estado en tomar la palabra ante la Asamblea General de la ONU y su intervención fue seguida por doña Letizia desde la tribuna de invitados, donde coincidió con la reina Máxima de Holanda, con la que conversó en algún momento.
    Después de reunirse con Ban y mantener un encuentro bilateral con el presidente de Polonia, Bronislaw Komorowski, el rey de España acudió al salón donde el secretario general de la ONU ofrecía el tradicional almuerzo anual a los participantes en el plenario de alto nivel de la Asamblea General.
    Allí, tras escuchar las palabras de bienvenida de Ban Ki-moon y de Obama -en calidad de presidente del país anfitrión, Estados Unidos-, don Felipe brindó con ambos y con el resto de comensales que compartían la mesa principal, entre ellos el presidente mexicano, Enrique Peña Nieto, sentado a la derecha del rey de España.
    El rey Abdalá de Jordania, el emir de Catar y los presidentes de Turquía, Egipto, Chile y Corea del Sur completaban la mesa principal en este almuerzo, tras el que los reyes ofrecerán una recepción a las delegaciones asistentes a la Asamblea General y a los funcionarios españoles de la ONU con la que pondrán fin a su visita de tres días a Nueva York.