Année : 2014

  • Quand la reine enfonce le roi – LONDRES RÉAFFIRME SON SOUTIEN AU PEUPLE SAHRAOUI

    Décidément le royaume du Maroc n’est pas au bout de ses peines ces derniers jours. Alors que son plan d’autonomie pour le Sahara occidental était déjà en mévente depuis une année, voilà qu’il fait face à des dénonciations tous azimuts de sa politique annexionniste. nique a confirmé hier son soutien au droit du peuple sahraoui a l’autodétermination, affirmant qu’il traitait avec le Maroc sur la base des «frontières reconnues à l’échelle internationale». Autrement dit, Londres ne reconnait aucune souveraineté du royaume sur le Sahara conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité. En effet, répondant aux questions des députés du Parlement, le gouvernement britannique a affirmé «traiter avec le Maroc sur la base des frontières reconnues à l’échelle internationale», réaffirmant son soutien «au droit du peuple sahraoui a l’autodétermination», a souligné l’agence de presse sahraouie (SPS). Et comme pour prendre clairement ses distances vis-à-vis de Rabat, le sous-secrétaire d’Etat parlementaire des affaires étrangères, Tobias Ellwood a asséné que : «la Grande Bretagne soutient également les efforts du secrétaire général de l’ONU et de son émissaire spécial au Sahara occidental, Christopher Ross visant le règlement du conflit du Sahara occidental, à travers une solution négociée qui consacre le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Voilà qui va «tuer» les espoirs du Maroc pour qui Christopher Ross est devenu le cauchemar en refusant même de l’accueillir pour une tournée. Ce soutien de poids du Royaume-Uni va sans doute booster la cause sahraouie surtout quand on sait que les Etats-Unis ont abandonné le Maroc à cause de son acharnement contre Ross qui est d’abord un diplomate américain. 
    Le makhzen mal barré 
    Dans des questions adressées récemment au gouvernement, le parlement britannique avait évoqué «la question des frontières marocaines reconnues à l’échelle internationale, ainsi que l’implication de la société britannique Kern Energy dans des activités de prospection illégale dans les territoires occupés du Sahara occidental», a précisé la même source. Cette réponse du gouvernement britannique confirme «l’isolement du Maroc sur la scène internationale, en raison de son implication éhontée dans le conflit du Sahara occidental» et prouve qu’«aucun pays dans le monde ne reconnait la souveraineté fictive du Maroc sur le Sahara occidental». Du reste des documents confidentiels notamment les courriers envoyée par le représentant de Rabat à New-York, le sulfureux Omar Hilale, révélés la semaine dernière, confirme la grosse panique qui s’est emparée du makhzen. La politique du royaume qui consiste à dépenser des millions de dollars pour rétribuer ses lobbyistes et s’acheter le soutien des grandes puissances, des médias et des personnalités influentes, n’est plus payante… Les Etats-Unis qui ont d’autres foyers de tension au Sahel et au Sahara n’ont plus de temps à consacrer pour secourir un régime Makhzenien dont le seul agenda est précisément de massacrer les Sahraouis.
    Hamid Merakchi
  • Le trône de Mohamed VI ébranlé

    Par Wassim Benrabah
    La grève organisée mercredi au Maroc à l’appel de trois syndicats ouvriers pour dénoncer l’absence de dialogue social pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs et la réforme du régime des retraites a été largement suivie, rapporte jeudi la presse marocaine citant des syndicalistes. La presse marocaine est revenue dans son édition de jeudi sur ce débrayage, et relève que l’appel de la Confédération démocratique du travail (CDT), de l’Union marocaine du travail (UMT) et de la Fédération marocaine du travail (FDT) a été suivi à 84%. 
    Dans un communiqué commun, l’UMT et la FDT ont annoncé mercredi soir un taux de participation global de 84% en moyenne nationale, et plus de 90% dans les secteurs publics et semi-publics, et à 80 % dans le secteur privé. Cette grève préventive d’une journée, largement suivie par des ONG de défense des droits de l’homme, a été organisée, selon les trois syndicats proches des partis de la gauche marocaine, pour protester contre « l’atteinte portée au pouvoir d’achat de l’ensemble des salariés ». 
    La colère des syndicats est également alimentée autant par la rupture du dialogue social de puis avril 2011 sur les grandes questions sociales et économiques, que par la volonté du gouvernement dirigé par le PJD (parti du Développement et de la Justice, islamiste) d’imposer des réformes impopulaires, dont celle du régime des retraites et de la caisse de compensation des prix administrés. Pèle mêle, les syndicats marocains revendiquent la hausse des salaires, la reprise du dialogue social, notamment sur les réformes des régimes de retraite et de la caisse de compensation, le droit d’appartenance à un syndicat, le droit de grève et l’application du code du travail. 
    Pour le gouvernement, la pression syndicale à travers cette grève n’est  »pas une solution » aux questions en suspens.  »Le gouvernement poursuivra la mise en oeuvre des réformes annoncées dans son programme , notamment celle du régime des retraites », avait affirmé mardi, le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane. Acculé par de mauvais indicateurs macroéconomiques, en particulier une croissance molle de moins de 3% durant trois ans, un déficit budgétaire de 5% en 2013 et une dépression économique sur le sillage de la crise en Europe, le gouvernement marocain a battu en retraite sur plusieurs questions sociales. Il a ainsi décidé deux réformes impopulaires: celle de la caisse de compensation, avec notamment la fin de la subvention des prix des produits énergétiques avec le retour de l’indexation des prix, et la réforme du régime global des retraites.  »Sans cette réforme (du régime des retraites, NDLR), le paiement des pensions sera arrêté dans quelques années » a indiqué mercredi soir le ministre de la communication Mustapha Al Khalfi. 
     »La réforme des régimes de retraite en général et celle des pensions civiles assurées par la Caisse marocaine des retraites en particulier est nécessaire et urgente, en ce sens que le déficit de ce régime atteindra 135 milliards de dirhams en 2023. Si la réforme n’est pas réalisée, cela mettrait la Caisse dans l’incapacité de payer les pensions », a expliqué M. El Khalfi, également porte- parole du gouvernement. Au printemps 2011, juste après le dernier round social (gouvernement, syndicats, patronat), 
    Abdelilah Benkirane avait déjà annoncé que cette réforme du régime des retraites sera entamée en 2014 avec un prolongement de deux ans de l’âge de départ à la retraite, qui sera porté de 60 à 62 ans dès 2015 et sera relevé progressivement à 65 ans. Le régime des fonctionnaires sera le premier à être réaménagé et dans lequel tous les paramètres seront retouchés: l’âge de départ à la retraite, le taux de cotisations ainsi que l’assiette et l’annuité de liquidation de la pension. Selon le directeur de la caisse marocaine des retraites, Mohamed Abdellaoui, le coût financier du retard dans la mise en place de la réforme du régime des retraites est évalué à près de 20 milliards de dirhams (environ 1,8 Mds d’euros), pour chaque année au-delà de 2012. Un dilemme pour le gouvernement marocain, d’autant plus que, selon des experts des caisses de retraite marocaines, le vieillissement de la population occupée pose un problème de taille au gouvernement: au Maroc, un salarié cotise pour trois retraités. 
    Le Haut commissariat marocain au plan (HCP) estime dans une étude prospective sur le régime des retraites, que la dépense totale des retraites représenterait 10% du PIB à l’horizon 2050 contre 3% en 2010, alors que les recettes (cotisations) ne représenteraient que 2,6% du PIB, soit un déficit de 7,4%. Le Maroc compte trois mutuelles et deux grandes caisses pour les retraités des deux secteurs d’activité: la caisse interprofessionnelle marocaine des retraites (CIMR) et la caisse marocaine de retraites (CMR). La CMR devrait  »disparaître » en 2019 avec l’épuisement des 79 milliards de dirhams de ses réserves si  »aucune mesure de réforme n’est prise », selon des prévisions de sa direction.
    W. B.
  • Embajadora marroquí Oumama Aouad espía al Perú

    Wikileaks revelan intervención en asuntos internos del país
    -Congreso debe investigar espionaje y fuga de documentos reservados peruanos a países extranjeros
    -En reiterados informes señala que el presidente Ollanta Humala es de “izquierda radical” y que trabajó con su entorno para evitar el restablecimiento de relaciones con la República Saharaui.
    Ricardo Sánchez Serra
    Informaciones secretas del espionaje marroquí están siendo difundidas por twitter por una persona que se hace llamar “Chris Coleman” @chris_coleman24, que son un escándalo mundial.
    Publica documentos reservados de los embajadores marroquíes en el mundo que dirigían a su cancillería y que muestran la corrupción en los más altos niveles de la ACNUR y el Alto Comisionado para los Derechos Humanos, cuyos funcionarios están bajo dominio del servicio secreto de Marruecos, y mails comprometedores en donde figuran pagos a periodistas.
    Por ello escribí a “Coleman” pidiéndole revele la correspondencia de la Embajada de Marruecos en el Perú. Él accedió:
    Maniobras de la Embajada de Marruecos
    La embajadora Oumama Aouad informa que el lobby de la embajada “ha impedido que los separatistas (República Saharaui) estén presentes en la toma de posesión del presidente Humala… Los esfuerzos constantes realizados por esta misión han evitado cualquier presencia de los separatistas (saharauis) en el Congreso o el Gobierno”.
    Oumama Aouad
    En otro documento reservado y encriptado detalla que para contrarrestar a los saharauis se reunió con el Secretario General de la Presidencia, Luis Chuquihuara, que califica de pro marroquí. Chuquihuara le informa de la posición neutral del Perú en el tema, pero le advierte que algunos funcionarios de Gana Perú podrían cambiar la posición (a favor de los saharauis). ¿A quién asesoraba Chuquihuara? ¿A Humala o a la embajadora marroquí?
    Afirma que los contactos se reforzaron con “especial atención en el entorno del presidente Humala”. Dice además: “el ex presidente Alejandro Toledo se ha distinguido por el apoyo a la Embajada…”
    Notifica que frustró en el Congreso la formación de la Liga de Amistad Perú- República Saharaui propulsada por “legisladores de la izquierda radical que componen la mayoría presidencial”. Aouad cuenta detalladamente a su gobierno el debate en la Comisión RR.EE. y además tenía un documento que Roncagliolo envió a esa Comisión. ¿Quiénes informan a la Embajada de Marruecos? ¡O es espionaje!
    Paranoia por Argelia
    Aouad sugiere a su Gobierno que invite a su país al presidente de Sierra Exportadora, Alfonso Velásquez, porque “es amigo” del primer ministro Óscar Valdés y a Carlos Durand, presidente de la Cámara de Comercio de Lima, para “contrarrestar las maniobras de Argelia y su influencia económica”.
    En otra comunicación, Aouad engaña -para justificar que le aumenten el presupuesto- al señalar que Argelia financia las actividades de las organizaciones pro saharauis en el Perú.
    En otro informe, miente y calumnia acusando al suscrito de ser mercenario a sueldo de Argelia y que me habrían pagado 4000 dólares por dos artículos que publiqué. Ella, como el ladrón, cree que todos son de su condición. 
    Preocupados por Perú
    Informe confidencial del gobierno marroquí: se debe evitar cualquier cambio de la política exterior peruana sobre el Sahara, “por la llegada al poder del presidente de izquierda Ollanta Humala” y que la embajada “está sensibilizando… para bloquear cualquier reconocimiento” a la República Saharaui.
    (Recuadro 1)
    El por qué de los lobbies marroquíes
    El Sáhara Occidental es considerado por ONU un territorio no autónomo pendiente de descolonización. Marruecos lo invade y ataca con bombas de fósforo y fragmentación a la población saharaui, que en gran parte huye y se instala en los campamentos de refugiados de Tinduf en Argelia. La Corte Internacional de Justicia de La Haya señala en un histórico dictamen: “La conclusión del Tribunal es que los materiales e información presentados a él no establecen ningún vínculo de soberanía territorial entre el territorio del Sáhara Occidental y el reino de Marruecos o la entidad mauritana”.
    Los más horrendos crímenes contra los saharauis son realizados por Marruecos en el territorio invadido, además se niega a que la ONU realice el referendo de autodeterminación del pueblo saharaui y bloquea las negociaciones.
    Para desinformar a la opinión pública mundial y a los gobiernos realiza millonarios lobbies y soborna a periodistas y funcionarios.
    El Perú reconoció a la República Saharaui en 1984 y por orden de Vladimiro Montesinos se suspendieron las relaciones diplomáticas en 1996. ¿Casualidad que cuando Montesinos estuvo escondido quiso refugiarse en Marruecos?
    Es justo que el Perú restablezca inmediatamente las relaciones diplomáticas con la República Saharaui, porque somos una nación soberana y no subordinada a lobbies de países extranjeros.
    Recuadro 2
    Plan de acción marroquí
    Otro wikileaks marroquí menciona el accionar de la embajadora con los medios de comunicación peruanos, para contrarrestar la propaganda de los saharauis. Dijo que ampliará su círculo de influencia y la lucha contra los saharauis. Pide que se invite a Marruecos a varios periodistas y enumera los viajes de congresistas.
    En el informe de la embajada se menciona que invitaron en el 2012 a Nueva York, a Fernando Rosas Moscoso “porque es escuchado” en el Ministerio de RREE de Perú, para que intervenga a favor de Marruecos en Comité de Descolonización ONU. Afirma que le pagarán los boletos aéreos en business class, el hotel y le asignarán 2200 dólares de viáticos por cinco días.
    Refiere que la embajada donó sillas de ruedas para Ica a pedido de la ministra Ana Jara, que es de “influencia en Gana Perú”… y que hay que seguir ayudándola porque es “una ministra clave, del círculo del presidente Humala”.
    En el resumen se vuelve a mencionar que Humala fue elegido presidente “en representación de la izquierda radical” (http://www.4shared.com/web/preview/pdf/azaKFSf7ba) y que la embajada“redoblará la vigilancia”.
  • Sahara occidental : La Grande-Bretagne soutient l’autodétermination

    Le Maroc a irrémédiablement perdu la bataille de la crédibilité. Le coup de massue a été donné par le gouvernement britannique affirmant, en réponse aux questions des députés au Parlement, son soutien « au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination » et sa volonté de « traiter avec le Maroc sur la base des frontières reconnues à l’échelle internationale ». 
    Le réquisitoire se fonde sur le constat accablant qui montre qu’« aucun pays dans le monde ne reconnaît la souveraineté fictive du Maroc sur le Sahara occidental ». 
    A cet effet, par-delà « l’implication de la société britannique Kern Energy dans des activités de prospection illégale dans les territoires occupés du Sahara occidental » évoquées par le parlement, le sous-secrétaire d’Etat parlementaire des Affaires étrangères, Tobias Ellwood, a clairement exprimé l’appui de la Grande-Bretagne aux « efforts du secrétaire général de l’Onu et de son émissaire spécial au Sahara occidental, Christopher Ross, visant le règlement du conflit à travers une solution négociée qui consacre le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ».
  • El Aaiún : acoso contra saharauis y observadora portuguesa

    Acoso marroquí en la ciudad ocupada de El Aaiun contra defensores saharauis de derechos humanos y observadora portuguesa
    *Fuente: CODAPSO, 1 de noviembre de 2014.
    La observadora portuguesa Isabel Lourenço, que se encuentra de misión de observación en la ciudad ocupada de El Aaiun, fue retenida en la tarde de hoy sábado por unidades de la policía y gendarmería marroquí en el distrito de La Playa. La observadora iba acompañada por el vicepresidente de CODAPSO Hmad Hamad y los activistas Abdelaziz Abiay y Lehueidi Mahmud, de la misma organización.
    Según Hmad Hamad, puesto en contacto con Poemario por un Sahara Libre, el grupo fue retenido por el conocido alto cargo de policía, conocido como Shtayou, quien insultó y amenazó al grupo, y retiró el pasaporte de Isabel Lourenço durante una hora.
    El grupo fue expulsado del distrito de La Playa hacia la ciudad de El Aaiun y de nuevo retenido en el camino por unidades de la gendarmería marroquí. Durante el registro los activistas volvieron a ser objeto de insultos, amenazas y provocaciones.
    El grupo de defensores saharauis de derechos humanos y la observadora portuguesa denuncian el trato al que han sido sometidos por los agentes de la administración de ocupación en la ciudad ocupada saharaui.
  • ASÍ ENGAÑARON AL PRÍNCIPE EN ELSÁHARA

    Hoy se cumplen 35 años de la firma del acuerdo por el que España le entregaba el Sáhara a Marruecos. Un libro desvela cómo la CIA estuvo detrás de la Marcha Verde y Kissinger apoyó a Hassan II ocultándoselo a Don Juan Carlos 
    Kissinger movió las piezas según los intereses norteamericanos. 

    Había que APUNTALAR a Hassan
    2/ CRÓNICA / Nº 787 EL MUNDO / DOMINGO / 14 / NOVIEMBRE / 2010
    JESÚSPALACIOS
    La crisis desatada en el vera- no de 1975 por el monarca alauí Hasán II en el Sáhara occidental forzaría una vez más a lPríncipe Juan Carlos a acudir solicitando el auxilio de Kissinger [el secretario de Estado pensaba del entonces Príncipe que era un hombre «agradable» pero «ingenuo»]. Pero en esta ocasión los intereses entre uno y otro iban a estar cruzados y no serían coincidentes. Hacía muchos años que el sueño imperial de Hasán de forjar el Gran Magreb marroquí pasaba por la anexión del territorio saharahui de Saguia el Hamra y Río de Oro. España,que le había otorgado la categoría de provincia al territorio y dado la ciudadanía espa- ñola a los saharauis, era la potencia administradora por mandato de la ONU, y se había comprometido a realizar un referéndum de autodeterminación auspiciado por Naciones Unidas. A mediados de octubre de 1975 la Corte Internacional de Justicia de La Haya sentenció que Marruecos carecía de título de legitimidad alguno sobre el territorio y la población saharaui. Hasán reaccionó entonces con el anuncio de una gran marcha —la Marcha Verde— con el objetivo de ocupar «pacíficamente» el Sáhara. El monarca, que atravesaba una grave crisis interna, creía que si no se hacía con el Sáhara podría ser derrocado.Y se echó en los brazos norteamericanos. Sus padrinos y protectores y su gran aliado, además de Francia. Kissinger acudiría solícito ens u socorro. Informó al presidente Gerald Ford de que el fallo de La Ha- ya era favorable a Marruecos, lo que en absoluto era cierto. Pero EEUU no podía permitir que su aliado magrebí se viera en peligro, y mucho menos que un Sáhara independiente cayera bajo la in- fluencia del régimen prosoviético de la Argelia de Bumedian. La administración USA dispuso de in- mediato el envío a Marruecos de apoyologístico, suministros y armamento, entanto que la CIA se encargó del plan operativo.
    EL CEREBRO AMERICANO
    La idea de una ocupación manu militari, camuflada dentro de una gran marcha civil y pacífica, fue de la CIA. Suyo fue el nombre de la operación —MarchaBlanca—,que Hasán cambiaría por el de Marcha Verde. A Marruecos sed esplazó Vernon Walters, subdirector ya de la CIA, para coordinar y dirigir la operación. Walters había acumulado una notable experiencia en América Latina derribando gobiernos y colocando dictadores títeres sumisos a los intereses norteame- ricanos. Y prestó todo su esfuerzo para que Hasán, al que conocía muy bien desde 1942, se saliera con la suya. 
    No cabe duda de que con un Franco en otras condiciones físicas, Hasán nunca se hubiera atre- vido a dar ese paso,puesto que ya en 1974, aprovechando el episodio de la tromboflebitis, Franco frenó un primer intento de ocupación marroquí del Sáhara. Pero el Caudillo entró a mediados de octubre en su fase biológica terminal, lo que en esa ocasión sí aprovecharía el astuto rey marroquí para lanzarse definitivamente a la conquista del Sáhara. Aquel monarca podía ser cruel y déspota. Y lo era. Como también inteligente. Y sabía muy bien lo que quería. Por el contrario, el Gobierno español, débil y pusilánime, además de confundido, estaba dividido entre quienes eran partida- rios de resistir y hacer frente a la invasión de Marruecos con las armas en la mano (Cortina Mauri, Exteriores), y entre quienes querían salir corriendo del territorio lo antes posible (Arias Navarro, el jefe de un gabinete asustadizo y aturdido). 
    Además, sobre alguno de los ministros, caso de Solís Ruiz (Movimiento), recaían algo más que sospechas de ser un colaborador de Hasán y de llevar sus inversiones en España. Otros, como Carro Martínez (Presidencia), al que sus malvados adversarios le llamaban el Hombre de Cromañón por sus espaldas visiblemente combadas, llegó a hacer ante Hasán la más indigna bajada de pantalones que se recuerde en un servidor público: dejarse someter al escribir al dictado de Hasán una carta por la que el Gobierno español mendigaba que parase la Marcha Verde aceptando todas las exigencias marroquíes. 
    SEGUIR LEYENDO : 
    http://kosmos-polis.com/images/pdf/sahara3.pdf
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  • Maroc, la diplomatie de la corruption tous azimuts

    Si les câbles twittés par chris_coleman24 ont eu un mérite, c’est d’avoir montré le véritable visage de la diplomatie marocaine. Même si certains d’entre eux se sont révélés être des faux, il n’en demeure pas moins que les autres, montrent l’ampleur des dégâts infligés aux affaires étrangères par des décennies d’infantilisation, menée par le Palais et par un système de recrutement et d’avancement qui fait appel au népotisme, plutôt qu’au mérite et où tout le monde semble trouver son compte. Le régime se rassure en nommant des fonctionnaires dociles et médiocres à des postes sensibles, dans des villes prestigieuses, moyennant l’obligation pour ces derniers d’une stricte observance des règles édictées par le palais de ne jamais prendre d’initiatives, ni se risquer à des fréquentations non autorisées, sous peine de mise à l’écart brutale. Tout le contraire des règles de la diplomatie dont on sait qu’elle se fait à coup d’initiatives personnelles et de dynamisme.
    Plusieurs des documents révèlent le modus operandi de notre représentant permanent auprès des Nations Unies, Omar Hilale qui se résume en deux mots, fayotage et corruption. Ainsi lorsque l’intéressé s’apprête, par exemple, à rencontrer le 15 mai 2013,Navanethem Pillay, la haut commissaire aux droits de l’homme à l’ONU, il écrit, histoire de donner à penser que son emploi du temps est particulièrement chargé :
    « Parallèlement et afin de neutraliser toute nuisance potentielle au sein du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme (HCDH) , j’ai même rencontré pendant une heure, le tunisien Frej Fennich ………………Voulant verrouiller totalement l’intéressé, j’ai demandé à son ami intime, de lui demander de contribuer positivement à minimiser l’impact de cette rencontre. ».
    Le reste du document est à l’avenant, avec la mise « en exergue (de) l’estime que Madame Pilnay éprouve pour le Maroc en général et la vision courageuse de Sa Majesté le roi, en particulier ».
    Après cette tirade indigeste, semblant tout droit sorti des dépêches de la Maghreb Arab Press (MAP), on comprend l’indigence intellectuelle que cherche à se faire pardonner notre diplomatie, à coups de tagines, d’invitations et de corruption.
    Le plus grave est à venir, lorsque l’ambassadeur évoque clairement la piste de la corruption pour « intéresser Madame Pillay financièrement, en raison des réductions drastiques du budget du HCDH………. », avant de confirmer que celle-ci a bien eu lieu, dans le câble daté du 1° février 2014, avec « une généreuse contribution volontaire annuelle d’un million de dollars etc……… »
    Une donation qui semble justifier la stupéfiante déclaration de la Haut commissaire, à l’issue de sa visite au Maroc, en mai dernier et dans laquelle elle soulignait gênée, « que le pays avait fait de grands progrès, vers une meilleure protection des droits de l’homme…. », avant de se racheter, en reconnaissant « que beaucoup restait à faire, notamment en matière de liberté d’expression. »
    D’autres documents accablent notre homme promu, depuis, représentant permanent du Maroc aux Nations unies, à New York depuis le 14 avril 2014, après avoir sévi depuis les rives du lac Léman, où il officiait comme représentant à la mission du Maroc auprès de l’ONU. Une promotion largement due au caractère de grand corrupteur du personnage que n’effraient nullement les sommes faramineuses que le pays injecte à puits perdu dans des causes tout aussi perdues, comme lorsqu’il recommande vivement d’inviter Bacre Waly Ndiaye, Directeur de la Division des Organes des Traités au Haut Commissariat des Droits de l’Homme, qualifié de « fervent Tijane » pour un pèlerinage à Fès, dans des lignes qui en disent long sur la politique africaine du Maroc.
    Chaque câble confirme ce qu’on savait déjà, sur les pratiques indignes de l’Etat marocain, telles que l’achat des consciences, le financement des campagnes électorales de pays tiers, le népotisme, les invitations dispendieuses des thuriféraires de la dictature.
    Omar Hilale qui n’a ni le pouvoir, ni le début du commencement d’une idée, pour sortir le Maroc de l’ornière du Sahara et du lourd dossier des atteintes aux droits de l’homme, n’a donc plus que la corruption comme stratégie. Il n’ignore, en effet pas, que celle-ci, en même temps qu’elle rapproche ses acteurs, en fait des complices et les détenteurs de secrets inavouables. Elle les rend, du même coup, indéboulonnables, ce qui explique pourquoi tant de corrompus continuent de graviter autour du palais, inamovibles et taiseux, face aux exactions du régime.
  • Henri Louis Védie, au service de la DGED marocaine pour faire la promotion du règne de Mohammed VI

    Suite aux multiples publications qui dévoilent l’incompétence du roi Mohammed VI et son manque d’intérêt pour la gestion des affaires de son pays, c’est la DGED, et son directeur en personne, Yassine Mansouri, qui s’est occupé de faire la promotion de Mohammed VI moyennant le recrutement de journalistes, écrivains, experts et autres. Parmi eux, en plus des journalistes Vincent Hervouet, Dominique Lagarde et Mireille Duteil, l’économiste français Henri Louis Védie, Professeur Emérite du groupe H.E.C, Chambre de commerce et d’industrie de Paris.
    Il a été chargé d’écrire un livre pour sur « les performances de l’économie marocaine ». Il a été présenté à Paris le 18 février 2010 à l’occasion de la commémoration du dixième anniversaire de l’accession de Mohammed VI au trône du Maroc.
    Mourad El Ghoul, chef du cabinet de Yassine Mansouri, soumet à son supérieur un rapport détaillé sur la présentation du livre dont voici le texte intégral révélé par le hacker marocain Chris Coleman.
    Objet : présentation à Paris du livre du Professeur Henri Louis Védie : « Le Maroc : L’épreuve des faits et des réalisations ».
    J’ai l’honneur de rendre respectueusement compte à Monsieur le Directeur Général du déroulement de la présentation du dernier ouvrage sur le Royaume du Professeur Henri Louis Védie intitulé « Le Maroc :: L’épreuve des faits et des réalisations », consacré aux performances actuelles de l’économie marocaine. Ce livre avait été commandé par cette Direction Générale, en collaboration avec Monsieur Benatiq, dans le cadre de la commémoration du dixième anniversaire de l’accession de SA MAJESTE LE ROI, que Dieu L’assiste, au Trône de Ses Glorieux Ancêtres.
    La présentation de l’ouvrage en question a eu lieu, le jeudi 18 février 2010, de 19h00 à 23h00, au Cercle National des Armées à Paris ; devant une assistance de plus de 70 invités, en grande majorité français, appartenant au monde économique, syndical, universitaire et militaire de l’Hexagone. 
    L’événement a été couvert par des média nationaux (RTM, 2M, MAP) et internationaux (LCI, France 24, Le Figaro, Radio Orient, Les Afriques, groupe Centre France (huit titres français), Acharq Al Awsat, etc.). 
    Dans sin exposé particulièrement objectif, le Professeur Védie a parfaitement montré comment le Maroc est passé, depuis 1999, d’une hypothèse de croissance économique à la réalité du développement intéressant divers secteurs (Agriculture, Tourisme, Infrastructures, Education, etc.). L’orateur a fait la démonstration, chiffres à l’appui, que la Maroc, en dépit de la crise financière internationale, a réussi à préserver ses fondamentaux (taux d’inflation maitrisé, déficit budgétaire faible, consolidation de la position extérieure du Royaume en terme économique). 
    Le Professeur Védie a, par ailleurs, expliqué que des efforts restent à faire, notamment en matière de lutte contre la pauvreté et le chômage, en assurant toutefois que les autorités marocaines se sont pleinement engagées à relever ces lourds défis, à la faveur de la croissance régulière que connaît notre pays depuis une décennie. L’économiste français a mis en exergue, dans ce contexte, l’importance de la création des grands pôles de développement, en faisant référence à la région Tanger-Tétouan et aux provinces sahariennes, et celle des zones franches attractives permettant l’installation d’activités économiques à forte valeur ajoutée. 
    L’auteur a aussi tenu à répondre à ceux qui objectaient que le développement des provinces du Sud du Royaume a freiné le développement des régions du Nord et de l’Oriental. Il a ainsi clairement mis en exergue le fait que le développement économique au Royaume concerne l’ensemble du territoire national et qu’il n’y a aucune région « orpheline», comme en témoignent les multiples déplacements dans le pays de SA MAJESTE LE ROI, que Dieu L’assiste. 
    L’économiste français a enfin salué la clairvoyance des autorités marocains qui, dans le contexte de la crise financière internationale, ont su «préparer l’avenir » et sauront gérer l’après-crise, ayant respecté les fondamentaux économiques. 
    Remarques :
    Le message de la perspicacité économique du Royaume a été bien diffusé parmi l’auditoire français présent au Cercle National des Armées. 
    L’Ambassadeur de SA MAJESTE LE ROI à Paris, Monsieur Mostafa Sahel, a été d’n excellent apport à cet événement par les réponses qu’il a apportées à certaines questions sur le Royaume non maîtrisées par l’orateur (lutte contre le radicalisme islamique, contre le blanchiment d’argent, réforme du champ religieux, etc. ). 
    Le Professeur Védie, par l’entregent de Monsieur Benatiq, est aujourd’hui un relais acquis à cette Direction Générale qu’il convient d’entretenir. L’intéressé est ainsi disposé à participer à des conférences en Amérique du Sud, aux côtés des Professeurs Cherkaoui et Ouali pour plaider notre cause nationale dans cette partie du monde. Il a aussi dans l’idée d’écrire, dans une année ou deux, en cas d’accord de Monsieur le Directeur Général, un nouvel ouvrage plus dense sur le Maroc. Il se propose, enfin, dans un geste d’amitié à l’endroit du Maroc, de jumeler la petite ville de Bricquebec (5000 habitants) dans le Département de la Manche, dont il est maire (tendance UMP), avec celle de Boujdour. 
    Respectueusement
    Mourad RHOUL 
    COMPTE RENDU RELATIF A LA PRESENTATION A PARIS DU LIVRE DU PROFESSEUR HENRI LOUIS VEDIE SUR L’ECONOMIE MAROCAINE 
    SOURCE : 
  • Rapport marocain confidentiel sur la société Kosmos

    Siège : Dallas – Texas, USA
    Descriptif : Société Américaine d’exploration et de production qui intervient en Afrique et en Amérique du Sud.
    § Kosmos a été fondée en 2003 comme une organisation centrée sur la recherche de nouveaux points de pétrole dans des lieux peu explorées. 
    § Son PDG Andrew G. Inglis a travaillé 30 ans pour British Petroleum (où il a été notamment en charge de la l’exploration et de la production, y compris en Algérie).
    § Selon ses dires, Kosmos est composée d’« éclaireurs avec une expertise technique prouvée et un esprit habilitant et non-conformiste ». 
    § Kosmos se fonde ainsi sur 3 stratégies : une approche visionnaire et disciplinée, une expertise profonde et un esprit non-conformiste et enfin des Partenariats. 
    § Kosmos mise également sur l’équilibre entre « risques et récompenses » et trouve aussi le juste équilibre dans ses relations avec les gouvernements et les pays où elle exerce ses activités.
    § Kosmos ambitionne de travailler avec les pays et gouvernements pour transformer les ressources naturelles en ressources nationales pour l’amélioration des vies.
    § L’équipe de gestion a fondé la société sur un concept géologique unique « le système de jeu du Crétacé supérieur » négligé par les autres industries.
    § En 2007, Kosmos a prouvé que son concept géologique fonctionne, en découvrant le « champ Jubilee » massif au Ghana.
    § Aujourd’hui Kosmos conduit des opérations dans 4 autres pays (Irlande, Mauritanie, Suriname et Maroc « y compris au Sahara ») où elle dispose de bureaux locaux.
    § En 2011, Kosmos est devenue une société cotée en bourse sur le New York Stock Exchange.
    Kosmos & le Maroc 
    § Les sociétés Kosmos Energy Deepwater Morocco et Kosmos Energy Offshore Morocco, filiales de la société mère Kosmos Energy, sont co-titulaires avec l’ONHYM de 4 zones d’intérêt encadrées par les accords pétroliers :
    – Foum Assaka Offshore (où Kosmos détient 29,925 % des parts d’intérêts) ;
    – Cap Boujdour Offshore ;
    – Essaouira Offshore (où Kosmos détient 30 %) ;
    – Tarhazoute Offshore (où Kosmos détient 30 %).
    § Kosmos forera le 1er puits à la mi-mars dans le bloc Foum Assaka qui pourrait contenir 500 millions de barils de pétrole. 
    § Ainsi, pour l’exploration de ce forage, Kosmos Energy a conclu un accord de partage avec British Petroleum et Maersk Drilling (Kosmos détiendra 55% du permis et en restera l’opérateur, tandis que l’ONHYM possèdera le solde de 25%).
    § Les forages dans le bassin d’Agadir est important car il représente l’un des derniers bassins inexplorés au large des côtes atlantiques.
    § Le côté marocain (représenté par Mme Benkhadra et M. Amara) avait souligné que cette opération témoigne, pour le Maroc, de :
    – l’attractivité du royaume auprès des investisseurs de renommée internationale. 
    – l’engagement du gouvernement à promouvoir l’investissement, à travers l’amélioration continue du climat des affaires. 
    – son souci de veiller à préserver la stabilité de la région en renforçant la coopération avec l’Afrique subsaharienne, à travers le transfert de technologies et la création d’opportunités d’investissements (la stabilité régionale étant un facteur primordial pour le renforcement de la prospection pétrolière). 
    § La société Kosmos avait souligné que :
    – le partenariat qui lie Kosmos au Maroc est promis à un bel avenir.
    – l’exploration pour le développement des ressources en hydrocarbures peut avoir des retombées bénéfiques sur le plan socio-économique aussi bien national que régional le Maroc représente une plateforme d’investissement prometteuse.
    Reg MANHAS
    Postes actuels :
    Titre : « Senior Vice President » des Affaires externes (01.02.2014)
    Société : « Kosmos Energy » Dallas -Texas (depuis 2002)
    Domaine: Exploration et production de pétrole et énergie 
    Titre : « Member of Board of Trustees » (depuis 2012)
    Société : « Canadian Museum of Nature »
    Domaine : Musées et institutions culturelles
    § Postes précédents :
    – Juin 2012 – Fév. 2014 : « Vice President, External Affairs » – Kosmos Energy.
    – Jan. 2007 – Mai 2012 : « Vice President, Corporate Affairs » – Talisman Energy.
    – Jan. 2003 – Jan. 2007: « Senior Manager, Corporate Responsibility & Government Affairs » -Talisman Energy.
    – Jan. 2000 – Jan. 2003 : « Senior Advisor, Corporate Responsibility » – Talisman Energy.
    – Jan. 1997 – Jan. 2000: « Legal Counsel » – Talisman Energy.
    – Jan. 1994 – Jan. 1997: « Legal Associate » – McCarthy Tétrault.
    – Jan. 1989 – Jan. 1991: « Ingénieur pétrolier » – Petro-Canada.
    § Formation de M. Manhas :
    – 1991 – 1994 : “Bachelor of Laws” – “University of British Columbia”.
    – 1985 – 1989 : “Bachelor of Applied Science, Chemical Engineering” – “University of British Columbia”.
    § M. Manhas :
    – C’est un ingénieur chimiste qui est devenu avocat.
    – Il est membre de l’ :
    o “International Bar Association” ;
    o “Association of Professional Engineers of Alberta” (Canada) ;
    o “Association of International Petroleum Negotiators”. 
    – M. Manhas a été nommé en 2012 par le Gouvernement du Canada au « Conseil d’administration » du « Musée canadien de la nature ».
    – Reg Manhas gère aujourd’hui les « affaires de Gouvernements » de Kosmos, la performance sociale et les fonctions de communication d’entreprise et a plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie du pétrole et du gaz. 
    – Avant de se joindre Kosmos en juin 2012, M. Manhas avait passé plus de 15 ans à Talisman Energy (basée à Calgary-Canada) où il a géré les affaires générales de l’entreprise. 
    – Il est réputé pour avoir une connaissance étendue dans les domaines de :
    o La gestion des risques globaux sociopolitiques ; la responsabilité sociale des entreprises et la gestion du risque lié à la réputation. 
    o mais aussi sur : les rapports sur la durabilité, la planification stratégique, l’industrie de l’énergie, du pétrole et du gaz, la gestion de projets, le développement durable, la stratégie d’entreprise, la gestion des risques, etc. .
    § Controverses : 
    § Chez Kosmos, M. Manhas avait travaillé sur un projet controversé au Soudan et aujourd’hui, en tant que vice-président de la Division des affaires corporatives et de communications, il est un porte-parole pour un autre projet controversé : celui de l’extraction de gaz des roches de schistes (gaz de schistes).
    § Kosmos a été au centre du documentaire de la BBC 4(24.06.2013), intitulé « Storyville: Power, Money, Greed and Oil » (Storyville: pouvoir, argent, cupidité et pétrole »), critiquant les sociétés pétrolières (Kosmos) mais aussi les responsables gouvernementaux (au Ghana où Kosmos a des activités étendues).
    Source : Le Makhzen
  • Las pretensiones de Marruecos y Mauritania suponen una recolonización del Sáhara (Washington Post, octubre 1975)

    Editorial del “Washington Post” 
    Washington, 30 (EFE). Las ambiciones de Mauritania y de Marruecos sobre el Sáhara Español representan un ultraje y un proceso de recolonización del territorio, denunció hoy el diario “The Washington Post”.
    El periódico de la capital federal se unió a los editoriales acusadores de la marcha marroquí sobre el Sáhara, que en los últimos días han aparecido en la prensa norteamericana, al reservar su principal comentario del día a fustigar las ambiciones de los países fronterizos del Sáhara español.
    Dice que Marruecos, un Estado del Tercer Mundo “dedicado de manera ostensible a la descolonización, ha expresado simplemente sus deseos de apoderarse del Sáhara español y de anexionárselo”.
    “El Tribuna del Justicia Internacional ha negado los derechos de Marruecos sobre el territorio, pero esto no ha frenado a Hassan”, añade el editorial del Washington Post.
    Dice que si los Estados Unidos hubieran intentado anexionarse este territorio habría habido un clamor mundial, pero por tratarse en esta ocasión de antiguas colonias y con credenciales de anticolonialistas en regla, sólo se han oído unas pocas voces de protesta, la mayor parte de ellas proveniente del Africa negra.
    Termina el editorial diciendo que Marruecos pretende simular un referéndum entre la población saharaui, llevando a 300.000 marroquíes al Sáhara, en camiones, para que voten durante un día y así inclinar la balanza del referéndum en su favor.