Année : 2014

  • Maroc Leaks : Open Gate, le relais marocain en Italie

    Le hacker marocain Chris Coleman continue de régaler son public avec des documents confidentiels du Ministère des Affaires Etrangères marocain. Jusqu’à présent, il concentre les publications sur l’affaire du Sahara Occidental.
    En vue d’asseoir son contrôle de l’ancienne colonie espagnole, la diplomatie marocaine s’est fixé l’objectif de discréditer le Front Polisario et salir sa réputation en disséminant des fausses informations sur le mouvement de libération sahraoui.
    Les relais du Maroc partout dans le monde ont tenté de convaincre l’opinion publique internationales de fausses liens du Polisario avec la nébuleuse terroriste. Parmi ces relais, l’agence Open Gate, dont le président Tullio Camigliero est en étroite relation avec la DGED marocaine, secondé par Cecilia Delvecchio et Giorgia Rossi.
    Open Gate a été payé pour calomnier contre le Polisario et organiser les voyages des journalistes italiens au Maroc et au Sahara Occidental.

    Email entre Mourad El Ghoul (DGED) et Tullio Camiglieri, Président d’Open Gate:

    Email échangé entre Mourad El Ghoul (DGED) et Cecilia Delvechio concernant un reportage sur le Sahara Occidental


    Email entre Mourad El Ghoul (DGED) et Cecilia Delvechio, sur la mort de Mahfoud Ali Beiba


    Email échangé entre Mourad El Ghoul (DGED) et Cecilia Delvechio, concernant le Sahara Occidental 


    Email échangé entre Mourad El Ghoul (DGED) et Cecilia Delvechio, concernant médiatisation affaire Mustapha Salma
    La campagne sur la prétendue collusion du Polisario avec le terrorisme
    Un autre mail sur le même sujet :
    Et encore un mail :

    D’autres mails sur le sujet :

    http://dc218.4shared.com/download/xyfpeh2Jba/Capture1.PNG?lgfp=3000

    http://dc218.4shared.com/download/1MZpOs2Cce/Capture2.PNG?lgfp=3000
    http://dc694.4shared.com/download/L9gVFhUQce/Capture3.PNG?lgfp=3000
    http://dc218.4shared.com/download/ihaqXvgpba/Capture4.PNG?lgfp=3000
    http://dc218.4shared.com/download/YPLQl_SLce/Capture6__2_.PNG?lgfp=3000
  • Plusieurs vicitmes suite à une attaque de la police marocaine contre des manifestants pacifiques

    Rapport du Centre Sahraoui Pour La Média et La Communication concernant la manifestation pacifique du 15 Novembre 2014, organisé par la plate-forme des associations des droits sahraoui à ElAaiun occupé.
    Dans le cadre de la campagne nationale et internationale pour l’élargissement du mandat de la Munirso pour la surveillance des droits humains au Sahara occidental, et la campagne nationale et internationale pour la liberté de tous les prisonniers sahraouis dans les prisons marocain, la plate- forme des associations des droits sahraoui à ElAaiun occupé a organisé une manifestation populaire sous le slogan : ‘‘Pas de pillage des ressources naturelles du Sahara Occidentale’ 
    Les forces d’occupation marocaines en civil et uniforme et leurs voitures ont encerclé les rues de la ville, pour empêcher les manifestants de participer à la manifestation pacifique, mais malgré tout ça et grâce à la volonté du peuple sahraoui les manifestants à 17h00 au boulevard ‘Smara’ et d’autre les quartiers de « Skikima, lahouhom, Lirak, boulevard Smara » sont commencé la manifestation en chantant des slogans pour la demande du droit de l’autodétermination et contre le pillage illégitime de leurs ressources, comme : « Stop au pillage des ressource »
    Les forces Marocain ont attaqué les manifestants d’une manière sauvagerie, ce qui permit la tombe des victimes suivants :
    MARIEM BOURHIMI
    LGHALYA DJIMI
    ZAYNA CHTOUKI
    AZIZA BIZA
    AZIZA DAHWARA
    GHLANA BOUMAKHROTA
    BACHRI BENTALIB
    GHLAYJILHA LBODNANI
    IBRAHIM DAHAN
    Le centre Sahraoui pour la media et la communication
    ElAaiun le 15 novembre 2014
    Source : Facebook
  • Lettre ouverte à Mohamed VI à propos du Sahara

    Sire,
    Si je m’adresse à vous, c’est pour faire suite à votre discours du 6 novembre et vous exposer mon avis de citoyen, tiraillé par le doute et vous dire combien il est ardu de défendre la mère patrie, lorsque celle-ci est gouvernée par l’autoritarisme, les atteintes aux droits de l’homme, les privilèges et la rente ?
    «Halte aux surenchères sur le Maroc, et halte à l’instrumentalisation des droits et des libertés, pour comploter contre lui », disiez-vous, insinuant, que défendre les droits de l’homme et la liberté d’expression, serait assimilable à la trahison. Je pense qu’une appréciation différente sur la question du Sahara, relève plutôt de la liberté d’opinion, alors que le mélange des genres entre pouvoirs et affaires, se rapproche bien plus du crime que vous évoquez.
    Défendre les droits de nos semblables est un devoir citoyen, même s’il est le fait de ceux qui ne partagent pas nos opinions. A contrario, justifier les exactions et les atteintes aux droits de l’homme et en protéger les auteurs est assurément un crime.
    Affirmer que l’Algérie est une dictature est une vérité que nul ne vous contestera. Mais cela ne fait de sens que si vous vous décidiez à sauter le pas, pour vous joindre au club des démocrates tout en abandonnant le monde des affaires, avant que les indépendantistes sahraouis ne fassent, demain, des émules, dans d’autres régions du pays.
    Vous dites que le Sahara occidental coûte au Maroc sept dirhams investis, pour un dirham de ses recettes ! Que doivent en penser les habitants du Sud-est marocain qui survivent dans l’exclusion et dans la plus insupportable des misères ? Devraient-ils, à leur tour, revendiquer leur indépendance, pour que nous leur prêtions enfin attention ? Comment se convaincre de son appartenance à une nation qui vous refuse toute dignité et vous contraint à l’exil, au péril de votre vie. Vous citez votre ancêtre, à propos des envieux. Pourquoi n’évoquez-vous pas plutôt cet autre Hadith : « Je m’étonne que ne brandisse le glaive, celui qui ne dispose de son pain quotidien ! ».
    Dois-je comprendre de vos paroles qu’un ralliement des sahraouis à la patrie, signerait la fin des investissements colossaux que vous évoquez, comme vous le faites des autres provinces du pays ?
    Pardonnez toutes ces questions. Elles viennent en réponse à ce jeu hilarant que vous aviez initié, avec votre drôle de question, « Où sont les richesses du Maroc ? ». Nous avions répondu, dans un même élan, que leur grande majorité était passée dans vos poches, celles de votre famille et vos courtisans. Des richesses bâties grâce à la proximité avec le Palais. Nul ne nous avait alors, écoutés.
    Sire,
    De Washington à Paris en passant par New York et Bruxelles, nombreuses sont les bonnes volontés, des compatriotes, des amis du Maroc, cadres hautement qualifiés et décideurs qui seraient disposées à défendre un projet cohérent, mais qui s’en abstiennent, face à l’ampleur de la tyrannie, des exactions et de la corruption qu’ils découvrent et qui les révulse. Alors, affirmer aussi péremptoire que vous le faites, que « Le Maroc restera dans son Sahara jusqu’à la fin des temps » relève, si vous me le permettez, du sophisme pur ! Nul ne sait, en effet, si le Maroc existera dans une centaine d’années, car l’une des particularités de « l’injustice est de détruire toute civilisation », comme disait notre ancêtre commun, Ibn Khaldoun.
    Tout comme il ne peut y avoir d’horizon commun, sans un minimum de justice.
    Hamza Mahfoud
    Interprétation de Salah Elayoubi

    http://www.demainonline.com/2014/11/15/lettre-ouverte-a-mohamed-vi-a-propos-du-sahara/

    http://www.jadaliyya.com/pages/index/19979/an-open-letter-to-king-mohammed-vi

  • Los acuerdos nulos de Madrid

     , Catedrático de Derecho Internacional
    Como tantos otros episodios de la política exterior de la dictadura, el asunto del Sahara Occidental aún conserva muchos de sus aspectos en la sombra. Entre ellos, el singular desenlace que le diera El Gobierno presidido por el señor Arias Navarro, el 14 de noviembre de 1975, fecha en que éste firma en Madrid con los representantes de los Gobiernos de Marruecos y Mauritania una «declaración de principios» sobre el territorio bajo administración española. Este acuerdo internacional, al igual que las posteriores medidas encaminadas a su ejecución, creo que nunca ha sido aceptado por una gran parte de la opinión pública española, que aún sigue preguntándose cómo pudo llegarse a tal solución. De otra parte, las consecuencias de aquel acuerdo todavía siguen pesando dolorosamente no sólo sobre el destino del pueblo saharaui, sino sobre nuestras propias relaciones exteriores en la actualidad. Parece obligado, por tanto, tratar de esclarecer el alcance de aquel acto, no tanto para juzgar un pasado político ya muerto, sino porque este pasado, en el caso del Sahara Occidental, aún sigue afectando el futuro de nuestras relaciones internacionales.
    Por el acuerdo de Madrid, el Gobierno aceptó dar por terminada la presencia española en el territorio antes del 28 de febrero de 1976, creándose una «administración temporal» del Sahara Occidental, en la que se incluían, junto a las autoridades españolas encargadas de liquidar la anterior administración colonial, dos Gobiernos adjuntos nombrados por Marruecos y Mauritania. Con ello, se abrió el camino para la inmediata ocupación militar del territorio por parte de los dos Estados -no sin encontrar una fuerte resistencia armada de su población- y para su posterior reparto entre ambos, realizado en el acuerdo de 14 de abril de 1976. Este resultado es tanto más sorprendente ya que el Gobierno español había defendido reiteradamente -ante, los órganos políticos de las Naciones Unidas (NU) y, con abundantes pruebas documentales, ante el Tribunal Internacional de Justicia-, que ninguno de los dos Estados a los que ahora se entregaba el territorio poseía título jurídico alguno sobre el mismo. Extremo que fue reconocido por el principal órgano judicial de las NU en su dictamen consultivo del 16 de octubre de 1975.
    Correlativamente, el Gobierno español admitió en dicho acuerdo que la voluntad del pueblo saharaui, que debía expresarse libremente en un referéndum celebrado bajo los auspicios y la garantía de las NU, podía ser reemplazada por la apariencia de una consulta a la «Yemaa», que se realizó sin contar con un gran número de sus miembros y ante la presencia de las fuerzas de ocupación marroquíes. Resultado no menos sorprendente, porque se halla en abierta contradicción con anteriores declaraciones españolas, entre ellas, la hecha por el entonces jefe del Estado, el 21 de septiembre de 1973, que afirmaba que el pueblo saharaui era «el único dueño de su destino» y que el Estado defendería «la libertad y la voluntad de libre decisión» de los habitantes del territorio. Y contradecía también la comunicación hecha por el Gobierno español a las NU en el verano de 1974 aceptando la celebración de un referendum en el territorio para 1975, como le había solicitado reiteradamente la Asamblea General de la Organización.
    Los hechos, en la sombra
    Es esta comunicación la que abre la crisis final en el asunto del Sahara, por obra de la iniciativa diplomática de Marruecos. Pero el hecho es que en octubre de 1975, como se afirma en el informe de la Misión de Visita de las NU. la población saharaui residente en el territorio, deseaba, en su inmensa mayoría, acceder a la independencia. Y el Tribunal Internacional de Justicia, en el citado dictamen consultivo de 16 de octubre de 1975, afirmaría, dada la inexistencia de anteriores vínculos de soberanía entre el Sahara Occidental y Marruecos o el conjunto mauritano en el pasado que, nada se oponía «a la aplicación del principio de la libre determinación, a través de la expresión libre y auténtica de la voluntad de las poblaciones del territorio».Cabe preguntarse, legítimamente, qué hechos determinaron -entre el 14 de octubre y el 14 de noviembre de 1975- este doble resultado final. Pero los hechos, como dije antes, aún permanecen en su mayor parte en la sombra. Quedan, ciertamente, las imágenes de aquel período -en el que las noticias sobre el Sahara Occidental compartían con los partes médicos un lugar destacado en los medios de comunicación-, como indicios que tratan de explicar un acto del Gobierno español por el que se condenó al pueblo saharaui a una nueva dominación colonial. Entre ellas, sin duda, un lugar de primer orden corresponde a la «marcha verde»; pero los documentos de las NU han revelado un hecho entonces ocultado a la opinión pública española: que la marcha se inició y realizó en el entendimiento del Gobierno español de que si la marcha se realizaba en un área limitada y por tiempo también limitado, no se produciría una respuesta armada por parte de las fuerzas españolas ante la penetración en el territorio. Quedan también las imágenes de las reuniones del Consejo de Seguridad, convocado a instancias del Gobierno español, la enérgica actitud de los representantes españoles y la condena por este órgano de la «marcha verde»; sin que Marruecos -tal vez por gozar de un decidido apoyo diplomático de Estados más poderosos- se dignase a aceptar sus resoluciones. Y también conservamos, en la confusión de aquel momento, las imágenes de los viajes y de las negociaciones sucesivas, entre el Gobierno español y los de Marruecos y Mauritania, entre el 21 de octubre y el 3 de noviembre. Si hemos de creer la declaración hecha por SM el Rey de Marruecos al representante especial del secretario general de las NU, señor Lewin, el 4 de noviembre de 1975, en esta fecha ya se habían convenido las principales disposiciones de la que sería la Declaración de Madrid y en ella se estipulaba, según el soberano alauita. «la transferencia de soberanía por parte de la potencia administradora a Marruecos y Mauritania».
    El gran «show» marroquí
    De este modo, el inicio de la «marcha verde», el siguiente día 5 de noviembre, adquiere un sentido más real. Fue, ciertamente, un gran «show» marroquí, al que no faltaron- las imágenes de TVE para mayor impacto en la confusa opinión pública; pero también era, de otra parte, el gesto simbólico que preludiaba la posterior anexión del territorio. En esta perspectiva, hoy resuenan como huecas las censuras dingidas por el ininistro señor Carro Martínez a la conducta de las Naciones Unidas, en el pleno de las Cortes del 18 de noviembre de 1975, así como-tantas apelaciones improcedentes al honor del Ejército español, que nunca estuvo en juego en aquella crisis.Pero los hechos de aquel período -aún siendo insuficientemente conocidos en todos sus aspectos- permiten, no obstante, establecer ciertas conclusiones muy precisas, conforme al derecho internacional en vigor. En primer término, que si un territorio no autónomo, como el Sahara Occidental, «tiene en virtud de la Carta una condición jurídica distinta y separada de la del territono del Estado que lo administra» y esta condición subsiste hasta que el pueblo de dicho territorio «haya ejercido libremente su derecho de libre determinación de conformidad con la Carta», el acuerdo de Madrid, de 14 de noviembre de 1975, es nulo, pues el Gobierno español no podía hacer entrega del territorio, como se pactó, a los Gobiernos de Marruecos y Mauritania. Su retirada del Sahara Occidental hubiera requérido el establecimiento de una administración del territorio, a cargo de las Naciones Unidas, pero nunca la concertada con estos dos Estados y seguida de la ocupación militar por parte de los mismos.
    En segundo lugar, dado que el derecho de libre determinación de los pueblos es hoy una norma imperativa de Derecho internacíonal, que no admite pacto alguno en contrario, la «Declaración de Principios» hecha en Madrid, el 14 de noviembre de 1975, es nula, por ser contraria a estas normas de jus cogens. En efecto, el objeto y fin de dicho acuerdo fue privar al pueblo saharaui, mediante una ocupación militar de su territorio, del derecho a expresar libremente su voluntad, mediante un referéndum. La consulta a la «Yemaa» que figura en el citado acuerdo, al constituir una simple farsa, no fue otra cosa que una flagrante burla del Derecho de las Naciones Unidas y que éstas se negaron a admitir, rechazando el envío de un representante del secretario general.
    «Crimen, internacional»
    Finalmente, la violación grave de una obligación internacional de importancia esencial para la salvaguardia del derecho a la libre determinación de los pueblos «como la que prohibe el establecimiento o el mantenimiento por la fuerza de una dominación colonial», constituye un hecho internacionalmente ilícito, que da lugar a la responsabilidad internacional del Estado ante la comunidad internacional y que a juicio de la Comisión de Derecho Internacional de las Naciones Unidas, debe ser calificada como un «crimen internacional». Los actos realizados por los Gobiernos de Marruecos y Mauritania con posterioridad al 14 de noviembre de 1975, al ocupar militarmente el territorio del Sahara Occidental y proceder a su reparto, puede estimarse que quedan comprendidos en el supuesto del precepto anteriormente citado, pues, de hecho, equivalen a establecer una nueva -y más cruel- dominación colonial del territorio.A mi juicio, corresponde a las Cortes surgidas de las elecciones del 15 de junio, solicitar, mediante la creación de una comisión especial, una completa y detallada información sobre los hechos que condujeron a la firma del acuerdo de Madrid. Y una vez determinados éstos, si las anteriores conclusiones son correctas, adoptar un acuerdo por el que se declare que, a juicio del Estado español, la Declaración de Principios hecha en Madrid, el 14 de noviembre de 1975, es un acuerdo nulo, conforme al Derecho Internacional en vigor, y, consiguientemente, que el Gobierno debe orientar su política internacional, en relación con la cuestión del Sahara Occidental, en toda ocasión y circunstancia, de conformidad con este acuerdo. La posición actual del Gobierno español, por su inherente ambigüedad, resulta difícilmente admisible, pues equivale a admitir el acuerdo de Madrid, pese a su nulidad y negarse a reconocer los efectos del mismo.
  • Le Makhzen et l’Afrique

    Par Nazim Rochd 
    Quelles que soient les causes réelles qui ont poussé le Makhzen à défier la Confédération africaine de foot- ball, il apparaît évident qu’il croyait, dur comme fer, qu’il allait obtenir gain de cause. Il a campé sur sa position jusqu’au bout. Jusqu’à ce que la CAF prenne la décision qu’il fallait, laquelle l’a surpris, en appliquant souverainement les clauses prévues par son règlement. Il a cru qu’il pouvait obtenir le report de la Coupe d’Afrique des Nations, par le simple fait d’arguer de la «menace du virus Ebola» , tout en ignorant que l’argument est battu en brèche à plusieurs égards. 
    A ce sujet, le magazine marocain Telquel, dans son édition du 12 novembre, écrit : «Il suffit de lire le communiqué de la Confédération africaine de football (CAF) pour s’apercevoir de la légèreté de la décision prise par le gouvernement. L’argument du risque de propagation du virus Ebola et le princi- pe de précaution brandi par nos ministres s’effondrent devant la démonstration de l’instance afri- caine, ainsi que les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (l’OMS).» 
    Le magazine n’y va pas de main morte, en rappelant que le seul pays touché par la maladie invo- quée, la Guinée, joue ses matches de qualification au Maroc. L’équipe guinéenne, rappelons-le, est dernière de son groupe et a une chance très mince d’être qualifiée. Ajoutée à cette incongruité, une question est posée par un grand nombre d’observateurs. Pourquoi le Makhzen maintient-il l’organisa- tion de la Coupe du monde des clubs, qui se déroulera à Rabat et Marrakech, du 10 au 20 décembre prochain ? Soit une quinzaine de jours avant la CAN. Une seule réponse s’impose : son arrogance traditionnelle et son mépris envers l’Afrique. Tel quel, s’en désole : «Une stigmatisation de plus, dont tout le monde aurait bien pu se passer.» Il faut dire qu’en la matière, il y a des précédents. 
    Feu Hassan II, en réaction à l’admission du Polisario au sein de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), a décidé de quitter l’instance africaine et l’a qualifiée d’«organisation tam-tam». Ultime insulte, inspirée des pires clichés du racisme colonialiste européen. Le même monarque avait une formule qui trahissait cette propension à assimiler son royaume aux puissances coloniales. Il disait fièrement que «le Maroc est un arbre dont les racines sont ancrées en Afrique mais dont les branches s’étendent en Europe». 
    Sans vergogne, le magazine Maroc Hebdo pouvait titrer son édition du 2 au 8 novembre 2012 : Le péril noir. Il visait l’immigration subsaharienne. Il exprimait un sentiment banalisé, dont la preuve est donnée, la semaine même de la parution de l’article, par le ministre marocain de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Abdelouahed Souhail, du PPS (Parti du pro- grès et du socialisme) qui a impliqué les immigrés subsahariens dans la crise de l’emploi au Maroc, même s’ils ne sont que quelques milliers et qu’ils subissent les brimades policières et celles d’une partie de la population. Heureusement, les Marocains sont outrés et le disent. Ils ont réagi à de telles indignités. Pour la véritable cause de l’affaire de la CAN, vont-ils croire que c’est Ebola…? Vont-ils accepter le déni fait à l’image de l’Afrique ? N. R.
    Le Jour d’Algérie, 14-15/11/2014
  • XX Años de Solidaridad con el Pueblo Saharaui

    Viernes, 14 de Noviembre de 2014
    La Asociación de Solidaridad con el Pueblo Saharaui de Ubrique llevará a cabo una serie de actividades bajo la denominación « XX Años de Solidaridad con el Pueblo Saharaui », colaborando en las mismas el Ayuntamiento de Ubrique y la Asociación « Cineando ».
    La programación prevista es la siguiente:
    21 de noviembre: a las 20:30 horas en el I.E.S. Maestro Francisco Fatou, charla-coloquio « Sahara Occidental y derechos humanos ». Una realidad vista por protagonistas.
    28 de noviembre: a las 20:30 horas en el I.E.S. Maestro Francisco Fatou, »Saharauis, un mundo de mujeres », siendo organizada y financiada esta actividad por el Ayuntamiento de Ubrique.
    12 de diciembre: a las 20:00 horas en el I.E.S. Maestro Francisco Fatou, proyección del documental « Hijos de las nubes. La última colonia » de Javier Bardem.
    PRESS PEOPLE,/14/11/2014 
  • El presidente Saharaui Mohamed Abdelaziz, denuncia el desprecio de Marruecos hacia la legalidad internacional.

    MADRID – El presidente saharaui Mohamed Abdelaziz denunció este viernes 14 de noviembre en Madrid, la política de Marruecos, que « alienta el retorno a la guerra » a través de su « oposición » a la legalidad internacional y su « rechazo » al diálogo para el arreglo del conflicto del Sáhara Occidental.
    « Marruecos incita el retorno a la guerra por el cierre de la puerta al diálogo, rechazando el referéndum de autodeterminación del pueblo saharaui, evitando que el enviado especial del Secretario General de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross pueda proseguir sus esfuerzos. Marruecos pretende continuar el saqueo de la riqueza del Sahara Occidental « , dijo el presidente Abdelaziz, durante una reunión con el apoyo caucus español para el pueblo saharaui.
    Durante la reunión que se celebró con el grupo del Parlamento español de apoyo al pueblo saharaui, al márgen de los trabajos de la 39 Conferencia Europea de la solidaridad con el pueblo saharaui (EUCOCO), Abdelaziz criticó el reciente discurso del rey de Marruecos Mohamed VI « que incita a la guerra « , dijo.
    El presidente saharaui reafirmó por otra parte, su posición en favor de una solución pacífica al conflicto, pero sin descartar la opción de la lucha armada.
    « Somos pacifistas y defensores de una solución pacífica a este conflicto. Pero si Marruecos sigue desafiando el derecho internacional, estaremos listos para volver a la lucha armada », ha advertido el presidente saharaui, pidiendo a la ONU a « hacer honor » de sus compromisos encarando la cuestión del Sáhara Occidental, en particular mediante la organización de un referéndum de autodeterminación.

  • Complicité franco-marocaine contre l’ONU

    Royaume du Maroc 
    Ministère des Affaires 
    Etrangères et de la 
    Coopération 
    Le Secrétaire Général 
    …………………/SG.4 
    04/09/2012 
    A Monsieur le Ministre 
    Objet : Entretien avec le Ministre Conseiller à l’Ambassade de France 
    J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que j’ai reçu, le 04 courant, à sa demande, M. Ludovic Pouille, Ministre Conseiller à l’Ambassade de France à Rabat. Cette entretien a porté sur les éléments suivants : 
    I. Question nationale 
    1- Visite de la délégation du centre Robert F. Kennedy (RFK) 
     M. Pouille s’est interrogé sur les raisons pour lesquelles le Maroc a autorisé la tenue de la visite de la délégation du centre RFK dans les provinces du Sud, malgré la position de parti pris de cette ONG en faveur des thèses du polisario.
     J’ai souligné que le Maroc avait préféré autoriser la visite afin de démontrer que les provinces du sud sont un territoire ouvert. 
     J’ai exposé à mon interlocuteur, le constat du caractère impartial à la fois de la démarche et du rapport préliminaire de RFK. Un constat partagé par M. Pouille qui a salué l’organisation du Maroc de visites aux provinces du sud aux profits des ONG.
    2- L’Envoyé Personnel 
     M. Pouille s’est interrogé sur l’évolution du dossier du Sahara marocain suite à l’entretien téléphonique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, et M. Ban Ki-Moon.
     Après avoir transmis les remerciements personnels de Monsieur le Ministre pour l’engagement dont a fait preuve la France au cours des derniers mois, j’ai rappelé à 
    mon interlocuteur que M. Ross n’avait jamais constitué la préoccupation centrale du Maroc. 
     La démarche du Royaume auprès du SG de l’ONU reposait sur 3 volets (Mandat de la MINURSO, clarification des paramètres du processus politique et la conduite de la facilitation).
     J’ai indiqué que l’entretien téléphonique avait apporté des clarifications essentielles avec des paramètres précis et qu’il s’agit désormais de décliner de manière opérationnelle lors de la reprise des négociations.
     M. Pouille a indiqué que la démarche marocaine a été pertinente permettant de « désamorcer la situation sans re-légitimer Ross ». Il a souligné que la France accueillait très favorablement cette évolution qui permettra de gérer de manière satisfaisante les prochaines échéances et notamment de briefing de l’Envoyé Personnel du SG de l’ONU en octobre et la 4ème commission de l’Assemblée Générale. Il a proposé que Paris et Rabat travaillent de manière optimale pour préparer négociations au sein du Conseil de Sécurité en Avril prochain.
    II. Relations bilatérales 
     S’agissant de la visite au Maroc de M. Fabius, M. Pouille a indiqué qu’elle se fera en marge de la réunion du Groupe des Amis de la Syrie.
     Il m’a également informé de la tenue prochaine de nombreuses visites ministérielles au Maroc, en octobre, notamment de M. Moscovici, Mme. Bricq, Mme Belkacem, Mme. Fioraso, Mme Conway et Mme Guigou (présidente de la commission affaires étrangères au parlement) en préparation de la Réunion de Haut Niveau (RHN) prévue les 12 et 13 décembre 2012.
     En prévision de la RHN, M. Charles Fies, Ambassadeur de France à Rabat, entend rencontrer Monsieur le Ministre et Monsieur le Chef du Gouvernement afin de définir une méthode de travail et un point de contact comme ce fut le cas lors de la précédente RHN. 
    III. La crise en Syrie 
     M. Pouille s’est félicité de la présence de Monsieur le Ministre à la réunion ministérielle du Conseil de Sécurité de l’ONU organisée le 30 août 2012.
     S’agissant de la tenue de réunion du Groupe des Amis en octobre, j’ai informé M. Pouille, qu’elle permettra de conférer un contenu substantiel à la rencontre (réunion en marge de l’AG ONU, actions de l’Envoyé spécial M. Brahimi, réunion de centre syrien des Droits de l’Homme, organisation de l’opposition).
    SOURCE :
  • El Sàhara Occidental. Acuerdos de Madrid

    Interesantes fechas que es preciso recordar.

    He estado en los Campamentos de Tinduf y creo que no es normal que, pasados tantos años, no se encuentre la solución para resolver el problema de las personas que allá habitan, un desierto inóspito, con minas anti persona a destajo, sin que las autoridades competentes actuen y procuren medor vida a sus habitantes.
    Hace 38 años, que, el 14 de noviembre de 1975, con los llamados “Acuerdos de Madrid” entre España-Mauritania-Marruecos, se alcanza un acuerdo mediante el cual España, abandona sus responsabilidades sobre el territorio del Sáhara y los dos países restantes se lo reparten, quedando, el pueblo saharaui, vendido a su suerte, en contra de las resoluciones de la ONU que urgen, a descolonizar y conceder la autodeterminación del Sahara.
    Tras su independencia de Francia, Marruecos reclamó el territorio del Sáhara Occidental, como parte de su “Gran Marruecos”. En 1967, la ONU recomendó la descolonización del territorio en tanto que poco después, Mauritania también se sumó a las reclamaciones territoriales marroquíes.
    Entre tanto, comienza la agitación nacionalista en el Sáhara Occidental. En 1968 se crea la Organización Avanzada para la Liberación de Saguia el Hamra y Río de Oro bajo el liderazgo de Sidi Brahim Basiri. La represión de un brote nacionalista en El Aaiún, el 17 de junio de 1970 concluye con algunos muertos, decenas de heridos y cientos de detenidos. Basiri es arrestado y nunca se volvió a saber de él. La hipótesis más extendida es que una patrulla del ejército español lo sacó de la cárcel para asesinarlo y después enterrarlo en el interior del territorio. Poco después, el 10 de mayo de 1973, se crea el Frente Polisario (Frente Popular para la Liberación de Saguia el Hamra y Río de Oro), que comienza la lucha armada contra España. Su primera acción tiene lugar el 20 de mayo de ese año con 17 combatientes que tan sólo contaban con cinco armas. Los choques armados se sucederían durante los siguientes meses.
    En 1974, España anuncia sus planes para conceder mayor autonomía a los saharauis y para celebrar un referéndum durante la primavera de 1975. Marruecos se opuso al proyecto español, en tanto que la ONU forzó a España a suspender el referéndum y a acudir al Tribunal Internacional de Justicia de La Haya. En septiembre de 1975, se emitió el dictamen que, sin embargo, no clarificó qué debía hacerse (condena las pretensiones de Mauritania y Marruecos sobre el Sáhara Occidental pero tampoco reconoce el derecho a la autodeterminación de la zona). La situación se fue deteriorando hasta que el rey Hassán II de Marruecos organizó la llamada Marcha Verde (16 de octubre de 1975). Mientras tanto, la administración española organiza la Operación Golondrina, una operación para evacuar a los españoles del territorio. Se llevarían hasta los cadáveres de los cementerios. El 2 de noviembre de 1975, el rey de España, Juan Carlos I, entonces jefe de Estado en funciones, visita a las tropas españolas desplegadas en el Sáhara Español, asegurándoles todo el apoyo del gobierno en su defensa del territorio y del pueblo saharaui. Cuatro días más tarde, el 6 de noviembre de 1975, unos 300.000 marroquíes desarmados concentrados en la ciudad marroquí de Tarfaya, cerca de la frontera, se internan en el Sáhara Occidental. Poco antes (31 de octubre), tropas marroquíes habían cruzado la frontera noroeste del Sáhara Occidental y enfrentado a tropas del Frente Polisario.
    En este clima de tensión, agravado por la agonía de Franco en España, Marruecos, Mauritania y España (representada por el entonces príncipe Juan Carlos), firman en Madrid (14 de noviembre de 1975) un acuerdo por el que España se comprometía a poner fin a su presencia en el Sáhara el 28 de febrero de 1976 y a compartir hasta entonces la administración del territorio del Sáhara Occidental con Mauritania y Marruecos. Este acuerdo contó con la oposición frontal de Argelia y del Frente Polisario. Ante la presión de la Marcha Verde, las guarniciones españolas se habían retirado a El Aaiún, Smara y Villa Cisneros.
    Tropas mauritanas y marroquíes empiezan a ocupar las ciudades del Sáhara Occidental (Smara, 27 de noviembre; El Aaiún, 11 de diciembre; La Güera, 20 de diciembre; Villa Cisneros, 9 de enero). Los saharauis empiezan a abandonar las ciudades (noviembre 1975-febrero 1976) para instalarse en el desierto. Tras los bombardeos marroquíes de los campos, finalmente terminarían en campos de refugiados en Argelia.
    El 26 de febrero de 1976, los últimos soldados españoles abandonaban el Sáhara Occidental. Aquella misma noche, cuando las tropas marroquíes ya habían entrado en el territorio, el Frente Polisario proclamaba la constitución de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD). El 14 de abril, Mauritania y Marruecos firmaban un acuerdo en Rabat por el que se repartían el país: los dos tercios más al norte para Marruecos y el tercio restante para Mauritania. La información es de Vickipendia
  • Les services secrets espagnols traquent le hacker Chris Coleman

    Le 21 octobre 2014, une vingtaine de jours après l’apparition des publications du hacker marocain qui se fait appeler Chris Coleman, j’ai reçu un mystérieux courrier d’un des administrateurs du site web La Página de ASR, la page des services secrets espagnols.
    « Nous offrons le Forum Intelpage como endroit pour héberger les publications confidentielles du hacker Chris Coleman », dit le courrier. « Nous avons vu qu’il a eu des problèmes avec ses comptes Twitter et lui offrons un portail sûr, qui rapporte au renseignement et qui est capable de soutenir toute activité contre la DGED. Nous aimerions que vous transmettiez cela à Coleman et gardiez les réserves opportunes. Salutations et merci ».
    Ma réponse fut celle-ci:
    « Le compte Twitter a été réactivé depuis hier. Vous pouvez le contacter à travers ce compte. D’autre part, rien ne me dit que ce courrier vient effectivement du site Intelpage. N’importe qui peut créer un nouveau compte Google avec ce nom d’utilisateur. Par conséquent, votre mail est suspect. En plus, Coleman semble être inscrit dans votre Forum depuis novembre 2012, je ne comprends pas pourquoi vous ne le contactez pas directement ».
    “L’utilisateur est faux, ce n’est pas le vrai Coleman. Je ne demande pas de m’envoyer l’information, je demande juste que si’il a des problèmes pour publier sur Twitter ou un autre site, qu’il utilise Intelpage en tant que Forum sûr. Si vous voules, vous pouvez contacter MOd1 et dites-lui que c’est de la part de Rubén, il me connaît, D’autre part, l’intention est de dévoiles les hontes de la DGED et le Maroc. J’aimerais que vous transmettiez cela à Coleman puisque je n’ai aucun moyen réservé de parler avec lui. Salutations et merci. », répond-t-il.
    Dans le Forum, Mod1, l’un des modérateurs, m’a confirmé qu’il connaît Rubén. Ainsi, j’ai confirmé qu’il s’agit bien des services secrets espagnols.

    Dans un autre courrier en date du 27 octobre, j’ai reçu un nouveau courrier. Ils y demandent à nouveau que Coleman contactent leur service. « Nous aimerios avoir des directives marquées par lui pour mener une action coordonnée de publications sur Intelpage et contre le Maroc. Nous voulons aussi savoir si vous avez besoin d’un soutient depuis l’Espagne. Il est important que le Maroc soit puni. Comme vous le savez, nous sommes un Forum d’intelligence qui a beaucoup de relations et nous ont tracé ces directrices `pour agir avec vous. Merci beaucoup ».

    Après ce message, je n’avais plus le moindre doute que les services secrets espagnols, le CNI, cherche à localiser l’adresse IP de l’ordinateur de Coleman pour le vendre aux marocains. Les services secrets espagnols sont manipulés par les marocains avec l’épouvantail du terrorisme. Les espagnols pensent que les services de sécurité marocains protègent l’Espagne de la menace terroriste et ils veulent leur rendre la pareille en facilitant des informations sur le hacker Chris Coleman.

    Quelques jours plus tard, j’ai dénoncé leur tentative dans un article sur le blog Noticias del Sáhara. Ils ont immédiatement supprimé mon compte sur leur Forum ainsi que celui qu’ils ont créé sous le nom de Coleman.